BULLETIN —
DE
L'ACADEMIE IMPERIALE DES SCIENCES
DE
S’-PETERSBOURG.
TOME VINGT-DEUXIEME.
(Avec 9 Planches.)
Mo. Bot, Garden,
159
Co v Rx
ST.-PÉTEPSBOURG, 1877.
Commissionnaires de l'Académie Impériale des sciences:
A ST.- PÉTERSBOURG: A RIGA: : A LEIPZIG:
MM. Eggers € Cit, J, Glasounof
EL ; ? 1d Voss.
et Jacques Issakof; M. N. Kymmel; M. Léopo
Prix du volume: 3 Roub. arg. pour la Russie, 9 marks Allemands pour l'étranger.
Imprimé par l'ordre de l'Académie Impériale des sciences.
Janvier 1877. - C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel,
Imprimerie de Académie Impériale des sciences.
(Vass.- Ostr., 9° ligne, N: 12.)
TABLES DES MATIÈRES.
A. TABLE SYSTÉMATIQUE.
(Les chiffres indiquent les pages du volume.)
\
SCIENCES MATHÉMATIQUES, PHYSIQUES ET BIOLOGIQUES. | C. à Maximowles, Diagnoses plantarum Japoniae et Mandshuriae.
e 264
- cas XX (avec une planche). 209—264,
e ATHEMATIQUES. N. Geleznow, Recherches sur la quantité et la répartition de l'eau
V. Bouniakowsky, Sur quelques propositions nouvelles relatives au dans la tige des plantes ligneuses. 921—358.
systéme de Legendre (2). 958—377.
ZOOLOGIE ET PHYSIOLOGIE.
J, Schmalhausen, Les plantes de l'étage oursien, trouvées dans les
ts fleuve Ogour, Sibérie orientale (avec 4 planches).
ASTRONOMIE.
A. Sawiteh, Observations faites à l'Observatoire astronomique de
l'Académie des sciences à St.-Pétersbourg. 198—199.
0. Struve, Sur le satellite supposé du Procyon. 295—303.
E. v. Asten, Recherches ultérieures sur la comète Encke. 550—572.
PHYSIQUE.
M. Avenarius, Sur les causes qui déterminent la température cri-
tique (avec une planche). 378—889.
0. Chwolson, Sur un rhéostate à mercure construit par M. Jacobi
(avec deux planches). 409—440,
R. Lenz, Application de la loi de Kirchhoff sur la distribution du
courant électrique aux liquides. 440—450.
CHIMIE.
J. Setschenow, Sur l'absorption du carbone par l'acide sulphurique
„et par ses mélanges avec l'eau. 102—107.
N. Mentschoutkin, Sur l'acide tartronamique. 138—145,
— — Sur l'éthyl- et le méthylsuccinimide. 145—147.
Jdanow, Sur l'acide diéthylméthylacétique, nouvelle variété isomé-
rique de l'acide œnanthilique. 170—173.
6. Lawrinowitseh, Sur le pinacone et le pinacoline qui se forment
du méthyléthylketon. 488—492,
. D. Pawlow, Action des chlorures électronégatifs sur les composés
métallorganiques. 497—533.
: GEOLOGIE.
H. Abieh, Sur l’âge géologique du grés houiller jurassique du Nord
aucase et sur le salpétre naturel qui s’y rencontre dans
la vallée de Kouban. 148—170.
BOTANIQUE.
A. Famintzin, La formation des bourgeons des Equisetum (avec une
planche). 194—198,
277—291.
—— Examen microscopique des restes de nourriture du Rhinoceros
antiquitatis seu tichorhinus de la Sibérie. Communication préa-
lable. 291—295.
F. W. Woldstedt, Sur une collection d’Ichneumonides de Silésie.
402
H, Struve, Phénomènes osmotiques produits dans les cellules végé-
tales et animales par l'action de l'éther. II. 533—550. +
PHILOLOGIE ET HISTOIRE.
A, Nauck, Remarques critiques. VII. 1—109.
L. Stephani, Parerga archaeologica. XXIX et XXX. 107 — 122 et
402—409.
A. Schiefner, Contes indiens. IV — VI. 123—138.
M. Bésobrasof, L'Institut de droit international de 1873 à 1876.
73—193.
M. Brosset, Rapport sur Pouvrage manuscrit de M. Bakradzé con-
tenant l'exposé des recherches archéologiques faites dans l'Ad-
chara et dans le Gouria par ordre de l'Académie en 1873.
264—277.
—— Revue de la littérature historique de l'Arménie. 303—812.
Bulletin bibliographique, 200—208, 315—820, 492—496, 572—576.
——= —
B. TABLE ALPHABÉTIQUE.
(Les chiffres indiquent les pages du volume.)
— - = Ce géologique du grès houiller jurassique du Nord
ucase et sur - salpétre naturel qui s'y rencontre dans la
ei er Kouban.
v. Asten, E, Recherches dn sur la cométe Encke. 550.
radis, M. Sur les causes qui déterminent la température cri-
tique (avec une planche). 378.
Bésobrasof, Wl. L'Institut de droit international de 1873 à 1876.
Böhtlingk, 0. — observations concernant is racines de l'an-
avec les r et 1 formant des syllabes.
Bouniakowsky, Y. Sur quim propositions nouvelles relatives au
— |. 358.
sset, M. Rapport sur l'ouvrage manuscrit de M. Bakradzé con-
— mech des Deere archéologiques faites dans PAd-
a par ordre de l'Académie en 1878. 264.
ren de Legendre
303.
—— ei ei Lea technique géorgienne, ben et
civil
Bulletin Bibliogr aphique. 200, 315, 492, 572.
Chwolson, O, Sur un rhéostate à mercure construit par M. Jacobi
(avec deux planches) 409.
Famintzin, A. u formation des bourgeons des Equisetum (avec une
planche).
Geleznow, N, eris sur la quantité et la répartition de l'eau
dans la tige des plantes ligneuses. 321
Jdanow. Sur l'acide diéthylméthylacétique, nouvelle variété isomé-
rique de l'acide œnanthilique. 170.
Lawrinowitsch, 6. Sur le pinacone et le pinacoline qui se forment
du méthyléthylketon. 488.
Lenz, R. Ai de la loi de Kirchhoff, sur la distribution
urant électrique aux liquides. 44
Masini, C. J. Diagnoses plantarum Fësch et Mandshuriae.
XX (avec une planche). 20
ve: N. Sur l'acide tartronarhique. 138.
thyl- et le méthylsuccinimide. 145.
Nau à, A, ee critiques. VII. 1.
Pawlow, D. Ad hs chlorures électronégatifs sur les composés
métallorganiq ¡E
Sawiteh, A. Observations faites à l'Observatoire astronomique de
PAcadémi e des sciences à St.-Pétersbourg. 198.
Sehmalhausen, J. Les plantes de l'étage oursien, trouvées dans les
galets du fleuve Ogour, Sibérie orientale (avec 4 planches).
T5
xamen microscopique des restes de nourriture du Rhinoceros
demie seu tichorhinus de la Sibérie. Communication préa-
Schiefner, A. Contes indiens. IV — VI. 123.
— J. Sur l’absorption du carbone par l'acide sulphurique
> alados avec l'eau. 102.
Steph s zi ion archaeologica. XXIX et XXX. 107, 402.
Struve, 0. Sur le satellite supposé du Procyon. 2
Struve, H. En osmotiques is dans les cellules végé-
8 imales par l'action de l'éther. II. 538
Woldstedt, d W.S ur une collection PIchienmohides de Silésie. 390.
T. XXI, N° 1: ` t | ` : beu. ure
— . BULLETIN
DE L'ACADEMIE IMPÉRIALE DES-SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.
4
|
|
TOME XXII.
(Feuilles 1--13.)
CONTENT.
; Page
A, Nau, Kesatuan orioa WO e EE 1—102
J. Setschenow, Sur l'absorption du carbone par l'acide MA ERIC, et par ses "mélanges
; Ae EE ON E E AES 102—107
i. L. Stephani, Parerga archaeologica. CU CERE. A E 107—122
3 2 Sehiefner, Contes indiens. I Iv — Vi. NE C ou v vs A eee 123—138
P © N: Menschutkin, Sur l'acide tartronamique.. 2.22. ee eee 138—145
E ~ Sur Péthyl- et le méthylsuceinimide. ....:.......... Meo Ma RE cii E 145—147
: H ën Sur Page géologique du grés houillier jurassique du. Nord du Caucase et sur is
“ le salpétr e naturel qui ST rencontre dans la vallée de Kouban................ 148—170
Jdanow, Sur l'acide diéthyl - Bee, A nouvelle variété Komiaa de, Hinde
l We EE E EE EE A 170—173
E WI. Besobrasof, L'Institut de drojiternational B 138.1576... E a L,ss 173—193
S A. Famintzin, La formation des bourgeons des Équisetum (avec une planche)......... 194—198 2
? A. Sawiteh, Observations"faites à die aire a de l'Académie des sciences. .
5 LPS ure MEE Lou. ccs ve M 198--199
E E EE e EE 200— 208
; *on s’abonne: chex MM. ge & Cie, J. Issakof et J. Glasounof, libraires à St.-Pétersbourg; au Comité Ad
KR ministratif de l'Académie (Komurers IIpamaemis Muneparopcroúl Axaxenia Hdyk»); N. Kymmel, libraire à Riga,
i et chez M.Léopold Voss, libraire à Leipzig:
kom 9 gris d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl.arg pour la push
o 8 thalers de Prusse pour l'étranger. -~
< Imprimé par ordre » l'Académie Impériale des sciences.
C. Vessélofski, Secrétaire perpétuel.
Imprimerie de l'Académie Haze des sciences.
(Vass.-Ostr. „9° ligne, 12.)
Juillet 1876.
t
BULLETIN
DE L'ACADÉMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.
+
Kritische Bemerkungen. Von A. Nauck. (Lu le 25 no-
vembre 1875.)
VII.
Im Bulletin XVII p. 216—219 oder Mélanges
Gréco-Rom. III p. 259—263 glaube ich erwiesen zu
haben dass das bei Homer als Epitheton der Sub-
stantiva veixos, mokemos, vous und Savaros ziemlich
häufig auftretende ópoítos, mit dessen Erklärung man
in alter Zeit wie in unseren Tagen sich vergeblich
abgemüht hat, nichts anderes ist als ein thürichter
Schreibfehler statt des allein möglichen &ottoc. Auch
der Verfasser des Hymnus in Vener. 244: viv òè oi
uiv taya ynpas öpoltov gea cdder. hat das Greisen-
alter ohne Zweifel cAoáov genannt. Dagegen steht
nichts der Annahme entgegen dass spätere Dichter,
getáuscht durch einen alten Fehler, dem Adiectivum
ópotog eine seiner Natur nach ihm durchaus fremde
Bedeutung «elend, traurig» irrthümlicher Weise bei-
gelegt haben. Vgl. Quintus Smyrn. 13, 197: Arc-
pevóç Tote yioas "eben eigapuxéa Sau. Gregorius Naz.
Anth. Pal. 8, 50: où vécos oùdé cc yrpas óp.oov, où oé
Y OV, xairep ynpahény, piteo eni; daj.a.cev. Non-
aus Metaphr. 11,49: Aafapov suvaos ROTILOS ebe,
agro dido Urvov &yov. Inschrift aus Palästina C. I.
4578c vol. 3 p. 253: órrrror àv» alca ferm óporiov
Savareıo, wo Buckinghams Lesung OHOIIOY nichts
anderes zu enthalten scheint als das von Franz ge-
setzte önorev. Für die Form Gees finde ich bei Gre-
gorius Naz. drei Belege. Vol. 2 p. 82 B: oe orparcv
ero xaptepóy, O oAotıov EpBadev¿ySos. p. 86 C:
5 po ypas Eyeuev doten, p. 132 C: eldos Er sldos
ayouoav Zeien, An diese Nachweisungen knüpfe ich
noch eine bemerkung über Nonnus Dion. 13, 416:
app! de ven
Daadov side Bons avriSpoos ALO
Ywtns apa pépovre xapıkonewn Átowo0,
xal OTRA] Tope Sapooç Öpottov.
Statt des letzten Wortes hat Köchly nach eigener
Vermuthung &Aorov gesetzt. Ist hier eine Aenderung
Tome XXII.
| Homerischen Poesie bereits bekannt würe.
überhaupt berechtigt, so wird &Aotev unbedingt vor-
zuziehen sein, nicht sowohl weil dies der Ueberliefe-
rung näher liegt, als weil Sous überhaupt nicht hin-
reichend verbürgt ist.
Die Formen eyxo3: und geg unterscheiden sich
wie etwa ó3: und c9, d. h. ayysSı ist die ältere und *
ausschliesslich poetische Form, jünger ist das ver-
kürzte, auch von einigen Prosaikern gebrauchte ayye.
In den Homerischen Gedichten finden sich beide F For-
men überliefert. a) € 412: orn%os BeßAyxemw Arie av-
TUYOS, Grën detors. 1p 762: renviov ¿Eshxouca Wa ee
ov, dën à loyer. v 103 (347): gë à atis
avtov érnparoy Zesceäde, b) B 172(09): genä iota-
Rëm Toocéon YAauxorız ASnvn. B790(T 129. A 199.
Q 87): gen A totapéwn mpocépn modas dxéa “Ip.
A 92 (E123. 2169. X215. 228): ayyoù è icrapévn
Greg nrepoevta zëpegoëe, A203 (N 462. € 356.11 537.
825.0 552.7 100): eme 9' texagevoc Iren nrepcevra
rpoonuda. N 768: gen A iotapevos roccéon alo-
xgolo: Ereoow. 0173: eu à totapéva rpoodon xv-
Toy sivocÓqatov. P 684: dei 9 iocagevog moccéQm
OS Mevéhaos. Q 709: geg de EvpBhnvto zou
verpev ayoytt. € 159: get à icrauévn Tpocepoves da
Segov. € 5: égen KuxAonov apor ME
0 349: dyycü 9' iorapevos Iren mtepóevc a.yopzuen.
9526 (7271): ayyod, Oerrpoto» dyBpO» èvè niov mue.
Nach der Ueberlieferung hätten wir somit, wie es die -
Herausgeber thun, an 4 Stellen dyyóst, an 27 Stellen
ayxoú zu schreiben. Gegen aYyo9 spricht jedoch ein
sehr triftiger Grund, dass es námlich bei Homer nicht
eine einzige Stelle gibt, welche die zweisilbige Form
mit Nothwendigkeit fordert, wie es ohne Zweifel der
Fall sein würde, wenn die jüngere Form ayyoö der
Dieser `
Grund scheint mir durch kein Raisonnement beseitigt
oder erschüttert werden zu kónnen: dass unter 31 Be-
legen dieses Adverbium nicht ein einziger die zwei- -~
silbige Form erweist, kann unmöglich dem Zufall bei-
gemessen werden. Wenn wir also gegenüber der hóchst
unzuverlássigen Ueberlieferung unserer Homerischen
i 1
3 Bulletin de PAcadémie Impériale 4
Gedichte nicht blindlings auf jedes eigene Urtheil ver-
zichten, wenn wir dem Dichter selbst mehr glauben
als den auf uns gekommenen Handschriften, so wer-
den wir bei Homer durchgüngig die dreisilbige Form
dyyóst herzustellen haben, falls nicht jemand mit
Payne Knight avyoro (d. h. ayyóo) zu schreiben sich
für berechtigt erachtet; was selbstverständlich in glei-
cher Weise für ayyoð wie für ayysSı überall eintreten
kann. Dass ein alterthümliches gë dem gangba-
ren ge? mehrentheils bei Homer gewichen ist, hat
nichts befremdliches!): selbst die Einstimmigkzit un-
serer Handschriften, die meines Wissens nirgends ein
Schwanken zeigen zwischen ayyoS und geg, wird
niemand überraschen, dem es bekannt ist inwieweit
unsere Homerischen Handschriften selbst in gering-
fügigen Fehlern zu harmoniren pflegen.
= Unter den so genannten Homerischen Hymnen fin-
det sich (als Nr. VIII) eine Anrufung des Ares, die
vielleicht mit Ruhnken und G. Hermann zu den Or-
phischen Poesien zu rechnen ist, sicherlich einer ziem-
lich spáten Zeit ihren Ursprung dankt. Der sechste
Vers dieses Hymnus lautet:
Tiooé£ms GXNTTOLE, Tupanyéa xo pos éAiocav.
Unhomerisch ist hier wie die ganze Redeweise so auch
die Stellung des Wortes oxmrrodyos, dessen mittlere
Silbe den Versaccent hat, wie gewóhnlich in der epi-
schen und elegischen Poesie der spáteren Zeit. Vgl.
Moschus 2, 161: ol oxnrrouger avaxtes émtysovtototy
£oovraı. Meleager Anth. Pal. 7, 428, 5: % da vs v-
xaevra paya oxartovyoy avaxta. Orph. Hymn. 15, 6
(18, 3): Zen Kooves, cxnnrouys. 52, 7: onge, ox-
mt6üye, xoporuavés. 55, 11: mupgrëig, ouvdaute, TEO»
cx*r1o0ys, Avxawa. Nonnus Dion. 26, 105: A
wv axnrrouxos £yov, Tryphiod. 267: Aapdavidn cxn-
1) Für weit ER halte ich es, wenn der Genit. Sing. der
zweiten Declinatio zech) veründert worden ist, as in der
That zuweilen repudian sein dürfte. Vgl. 2295: Toy xaTa TAtóg:
xAurd zeigen hady lom, :oxad y amo rasgado. Coy5v
Ahrens Rhein. Mus. N. F. II p. 168 f. mit hoher ae keit
die Genitive ’IAloo, macadhoo, rovroo, rrUoo, yalxso empfohlen. Auf
einer ganz ähnlichen Verderbniss — zu beruhen, was bei He-
siod Op. 369 jetzt steht:
pint de nidou xoi xéyorros xopécacia:,
0$. geí8coSat* dern 0. Evi ru uév: pedo,
Statt es WC der Genitiv angemessener; ich móchte daher
mécooo gcíóco3a: lesen.
rrodys… Dagegen lesen wir bei Homer A 279 (8231.
e 9): ORmmToÖyes Pages. B 86 (3 41): oxmmreoöyoı
Bardies. E & 93: Gees rein ai où reoigrg hal.
864: axi coUo», net où xe xaxol totouade TExotev.
$47: emeng xmpué de peroyero doy geräcu, Diese
Verschiedenheit lehrt dass bei er die júngere
contrahirte Form unberechtigt ist, dass ihm vielmehr
wie atyioyos qavnoyos Amfoxoc Yvloyos, SO OXNTTOOLOS
zukommt. In gleicher Weise dürfte Y 457 statt An-
woöyev vielmehr Ampóoxov nothwendig sein.
Durchaus willkürlich ist es, wenn bei Homer ge-
schrieben wird oder geschrieben wurde X 97: rupyo
ent Wiel de Y 325: xal Toy mgeuyovca crever.
P4535: iie ppasaaro 8 innov dotem. TQOUOVT.
y 8: xal TROULOVTO Éxaotod Evven Tanpoug. 6138:
Een nióvas OS x 90: èv ga det mood youcty.
r 544: dl mpouyovtt peAaSpo. 082: garg Ent toov-
yovon, xt miarei Edmoróvro. Keine dieser Stellen
erweist die Contraction peu statt mocéye: es sind
also die offenen Formen in ihr Recht einzusetzen,
Tpoéyovte Tpoéyovta Tpoéyovto TEoeyovoaç U.S. W., nicht
weil x 90 in einigen Handschriften mọoéyovow sich
findet, sondern weil das unwandelbar feste Gesetz, das
der Dichter beobachtet hat, höher zu stellen ist als
die Schulweisheit thörichter Grammatiker oder die
Willkür gedankenloser Schreiber. Selbst Contractio-
nen wie roeuSnxev sind in der Homerischen Poesie
mehr als bedenklich.. Vgl. O 367: eure uv eis Aído
ruhaptao roourepbev. N 136 (0 306. P 262): Tewes
òè neoutubay does. Q 409: cag Oy rpouSnxey Ayi-
Meis. 1143: euäi mp&npatver (déoSal. 1145: eupavoSev
rooupame. p 394: Deol cepa. mgougatyov. v169: xai .
`
87, ei ie ráca. p54: TOY por dro roourephe.
o 117: frroo mpoöreudbe xal puc: xohAnroïou.
Das Metrum gestattet und der constante Gebrauch
fordert tpoérepubey rocétubay rocéSnxev u. s. w. Die
einzige Stelle; wo zgeuzepdhe durch das Metrum ge-
fordert wird, o 360:
ya, òè Tmdépoyo xoà Bouxokoy nds cuo
roovrepŸ, de Av deinvov deerMogaer TayıoTa,
ist entweder durch den jüngeren Ursprung der be-
treffenden Partie zu entschuldigen oder, was ich für `
wahrscheinlicher halte, fehlerhaft überliefert. Selbst
rpouxerto bei Hesiod Scut. 312 ist zu verwerfen, wie
im Hymnus Cerer. die Schreibungen Sxpov Te QoU-
yovarv (A8 xpndepva X qoc (V. 151) und éri mpovyovtt
. Versschluss ausser £91.
VM QUA DERT een Ge
5 . des Sciences de Saint- Pétersbourg. | 6
"me (272. 298). — Beiläufig erwühne ich noch
Choerob. in Theod. p. 244, 18: tò yde O xal E eig
Rb OY pSoyyov wipvarraı H x1pyaal), olov To pov
TOULOV, t QOEG tt TPOÍOTL, TooéBn rooußm. Diese Stelle
hat Lentz in seinen Herodian aufgenommen vol. 2
p. 339, 12 und abermals p. 623, 15. Das überlie-
ferte zouen ist p. 339 stillschweigend in E
verändert worden; dagegen wird p. 623 TPOVOT: ge-
duldet, aber in den Corrigenda et addenda p. 1260
meoart als rectius bezeichnet. Statt "ës TpodoT:
war vielmehr“ zu schreiben rpoeorn rpoöorn (vgl. Soph.
Ai. 1133: % oo yde Alas TOMÉpLLOS TEPOVOTN Tore).
Wer diese auf flacher Hand liegende Emendation
—
- nicht sofort selbst machte, konnte sie entnehmen aus
Choerob. in Theod. p. 395, 26: vo yap O xai E oydé-
TOTE sis mv EY KpSoyyov Soa (l. xıpvarar), LAN
eis ny OY, olov tò épóv rouuév, TOOEETN TECUGTN,
rooeßn EIER eine Stelle welche ebenfalls im Hero-
dian von Lenz zu lesen ist und zwar, wie sich erwar-
ten liess, wiederum doppelt, vol. 2 p. 336, 11 und
DIT DA
Die Homerische Stelle o 88:
BovAonaı Aën veta Sat de ipéreg': ei yap črev eme,
kann ich nicht für richtig halten um der contrahirten
Form veicSæ willen. In der nachhomerischen Poesie
Wird eine derartige Contraction niemand befremden,
wie wir z. B. lesen bei Pind. Pyth. 4, 247: paxpa mot
wetoSot xax apalrro. Nem. 2, 12: pn TmAösev 'Q-
plova veioSat. Soph. Ant. 33: xal Sedpo Velo Sa aura,
Toit un eldoorv cap reoxmpuéovta. Eur. Alc. 737:
où yap TOŠE y” eig tato otéyos veloS" al à arenei
Xe ps. Epigr. im Corpus Inscr. Att. vol. 1 p. 207:
TAUT droðupapevo vsiohe ¿mi Tomy dyaSév. Arat.
407: do Eorepinv ¿ha veras. Callim. Hymn. 3, 148:
el «t pépouca velar niov ¿deopa. 6, 7: tava veltat;
6, 82: veirat tor Totoras. Apoll. Rhod. 3, 373: veto?
avtos dóhoto: rahicouror. 3, 431: % pe xal evade
wosa Erzeypasv. Bei Homer dagegen finden wir fast
durchgängig vísoSe wie veéoSo und veéoSov. Ameis
bemerkt über das vereinzelte vedar im Anhang zu
088: «vetoSat findet sich nur hier contrahiert, was
durch die Stellung im Verse motiviert ist, in den
übrigen 55 Stellen steht véo%a und zwar stets im
5221. #51.» Also durch
den Zwang des Metrum d. h. durch die Messung des
Wortes dën soll der Dichter bewogen worden sein
eine sonst durchgüngig gemiedene Contraction sich
zu gestatten? Das mag glauben wer es vermag. Ich
denke, der Dichter schrieb oder vielmehr sang QouAo-
par amovésoSo4. Gerade der Umstand, dass Homer
lieber arovesoSa: mit irrationaler Debünus des kur-
zen Alpha als arovsioSa: sich gestattet hat, ist der
sicherste Beweis für die Unrichtigkeit des überliefer-
ten» Boulou ën veioSæ. Die an 13 Homerischen
Stellen unversehrt erhaltene Form dxovésoSar scheint
auch anderwärts in Folge unwillkürlicher Fehler oder
durch willkürliche Correcturen verdrängt zu sein. Da-
hin rechne ich A 19: Exrégou Hotópuoto nor, du 8 ol-
xa ixéoSou. (530: dos bi Oäuoerg Dees ol-
xai Ieëeza, 066: Sn ydp por "ue eerderau olco
ixéo Sou, d 211: rou à aAdov où zen &xouca Senden
épè aes UTOTOTO» olxad ixícSat, 135: d See, où
WET répaoxsS Umorpomov olxad” Leder Anen aro
Teóov. An diesen fünf Stellen würde der Versschluss.
amovéeoSa: dem Sinn wie dem Metrum genügen, und
vielleicht ist dafür oixad’ ixécSa: gesetzt worden von
einem Corrector welcher die Verlüngerung der ersten
Silbe in «ro beanstandete?). Dass 435 der Inf. Aor.
2) Vielleicht wird man einwenden, es widerstreite aller Wahr-
scheinlichkeit, dass alte Correctoren oder Copisten die Form &xc-
vécodar bei Ho omer an ceti Stellen geduldet, an fünf Stellen da-
gegen durch otxaó
n Erfahrungen unmógliche x
welche an drei Stellen din MI nn (7 283. y 316. w 343) es
ist, habe ich geändert in £x "Aere mit der Bemerkung dass ver-
muthlich nv substituirt worden sei zur Vermeidun ng.eines durchaus
Geen Hiatus, der bei Zoe ut an der gleichen Vers-
telle von mir nachgewiesen wurde. Die zur Begründung meiner
Ansicht gren gemachte APER benutzt W. Harte Wind
wenn sie ES und Zn» kannten, so EEN sie eben auch Any für
erechtigt erac hten, wie es denn n Belegen dieser fehlerhaften
Form nicht gänzlich fehlt. Ob freilich C. I. 6280 B 39 vol. 3 p. 919
die von Franz gebilligte Schreibung xat Tavuundein xoi Aapdavıov
yévos nny zu dulden ist, lässt sich entscheiden nur durch eine neue
Vergleichung des Originals: sicherlich jedoch steht wës par, exra-
+
Yhus, Enern poda por pídos nnv viermal hinter einander KE :
Pariser Papyrus (vgl. meine Vorrede zur Odyssee I p. , währen
dem Verfasser dieses Verses nur Fey zugetraut werden darf. n
aber kann es nicht überraschen dass Correctoren und Abschreiber
geduldet hatten, ab und zu beanstandeten: wir selbst gaps
gen nur zu oft dem chen Spe wie Lobeck im Phryn.
1
7 Bulletin de l'Académie Impériale E ec
ixécSa: dem Sinne nach schlechterdings unmóglich
ist, erkannte Madvig Adv. crit. I p. 170, dem ich je-
doch nicht beistimmen kann, wenn er die in den Scho-
* lien überlieferte Variante olxade veioSa: einfach bil-
ligt. Allerdings ist vetoSaz durchaus sinngemäss, aber
die Form erscheint als unstatthaft, und so meine ich
dass die Variante olxads veicSa: zwar eine Spur der
richtigen Lesart enthält, nicht aber das Original wie-
dergibt. — Wenn die Form veioSo« der Homerischen
Poesie fremd ist, so werden wir auch die Contractionen
veia. und veía: beanstanden, und gewiss ist es nicht
zufällig dass an den in Betracht kommenden Stellen
der Odyssee die offenen Formen vésta: und vésa dem
Metrum sich fügen. Vgl. à 633: onrors Tnaéayoc
weit de Tlúhov muaSoevtros. À 114 (p 141): ok xaxos
velar, done dro mavtas écaíoouc. p 188: oi 6 ye
repbapevos vetar xat Thelova cidos. E 152: de vetar
OSvosus. — Noch befremdlicher als vetoda: und veta:
ist veópo: E 136: dozen yap veupa ER TEMO avovre.
Entsprechend dem Homerischen Sprachgebrauch, d. h.
den Formen véopas veovrar veopny véovco veojesa. véov-
Ta: tee amovdovrar amoveovro, werden wir zu
lesen haben no0%ev véopa: yde. In der späteren Poesie
ist dagegen vedpa: durch mindestens einen Beleg und
^. ^ durch zahlreiche Analogien sicher gestellt. Vgl. Epigr.
Hom. 15, 11: vedyaf cot, vedpar émadotos. Theocr. 18,
56: veupeSa xapqec de Sg3go. Apoll. Rhod. 2, 1153:
veupsS de Opyopevoy xredvov ASapavtoç ente. Anti-
pater Anth. Pal. 9, 96: efrev, ST qj» dën veumevos eis
Av Marcellus de piscibus 76: xeivo Aros tonto
dravenpevoy 4Smcnoos. Orphica (fr. 19, 11 Herm. oder
Lobeck Aglaoph. p. 497) bei Proclus in Plat. Tim.
p. 38 A: dj pécos Zë REMO TpÉTETAL motveúpevos.
Oppian. Cyneg. 3, 101: al 8 ap ¿mer on(oo ra vev-
svat. Nonnus Dion. 14,89: Zooous p.etavedpLevos cuy».
-29, 7: io» géet) weraveupevos. 33, 286: mot Te-
Rtapémy peraveupevos. 36, 161: &were, xal Tpopa-
Xoue petaveupevos. Nonnus Metaphr. 1,115: Sec rep
at SepíQy pets ¿dpaxe xoXxov. 6,66 (6, 102):
bezeugt, wenn er sagt: «quotusquisque nostrum mon aliquando ad ea
obstupescit , quae plus centies legit». Sollte endlich die Aenderung
Emiero statt nv gewaltsam scheinen, so erinnere ich an Verwech-
ungen wie Eoxev und Zriero Od. $ 284, Tt» und Zosen Od. E 222,
méie und nv Od. 7 192, ¡Emdey und dv Il. M 11 und Tzetz. Posth.
477. Ist übrigens meine Vermuthung éxhero statt Tiny an den drei
oben eitirten Stellen der Odysses berechtigt, so wird für Il. A 808,
wo Tny vor einem Consonanten überliefert ist, die gleiche Substi-
tution weder unmóglich noch unwahrscheinlich : zu nennen sein.
actu Kagasvaobp. weraveupevar. 12, 49: haos TouSaíov
peravsúp.evos. 13,25: AolaStov.Ex TPOTOU pecaveupe-
vos. 15, 41: roxoëns dyarns aroveúpevos. Freilich
lassen sich die Formen vevpeSa und veopevog in den
vorgeführten Stellen eher entschuldigen als veópas,
sofern veópe5a und veópevos dem daktylischen Maasse
widerstreben, während véop.a: in der epischen und ele-
gischen Poesie ohne Schwierigkeit gebraucht werden
komnte.
Nur selten fordert der Homerische Vers den ein- ;
silbigen Nominativ raiz (vgl. Bulletin VI p. 22 oder
Mélanges Gréco-Rom. II p. 418), während die offene
Form zas fast durchgängig entweder nothwendig oder
doch zulässig ist und um der Häufigkeit der Fälle
willen auch da als vollkommen berechtigt erscheint,
wo das Metrum die jüngere Form reg zulässt. Der dem
Nom. ras entsprechende Accus. ov ist i in der spáteren
Poesie nicht eben selten. Vgl. Apoll. Rhod. 4, 697:
Ge T Almtao raw xvayev. Oppian. Cyneg. 3, 218:
¿oy naw Aorßeßocev. Anth. Pal. 3, 8: ¿ova pèv ets
’ISaxnv ouy ünedeko naw, 9, 125, 9: Toly Tay aSoricoct
Ashoup.évov Údat: GegvO. 9, 125, 6: autos En aont
Sixev éov nov, 008 geriet, Greg. Naz. vol. 2 p. 43
A: coùte ray Svmtoioty opota yervapévoro. p. 105 A:
doaypmv TE Tpófatóv TE TAY T ATO TAYT ChÉGAVTE.
p. 120 A: aytíx apDpnonayv duu raw, (ca. TÉXECO!
tiovres. p. 121 C: púpato oùxéte Spa, Tay Ò og
xspo! dapevra. p. 122 C: alba ratno dée xaxov
Taty, adyén yelpas théatre. p. 162 B: où yàp anró-
root raros éyvos raw. Greg. Naz. Anth. Pal. 8, 51:
doxe Sch Sucín» Aßpaap. naw. Georgius gramm. bei
Matranga Anecd. p. 575: teteheapévas ò de Opus Taw
ayxaraıcı oépBots. Eben diese Form finden wir in einer _
ziemlich jungen prosaischen Inschrift aus Lesbus, C. I. |
2186 vol. 2 p. 195: tò» ayovoSétav xai ravayuotapyav,
rar Ediévo 76 apyeiodos, aro yovoy Eu&évo, Vielleicht
ist es nur zufällig dass unsere Ueberlieferung der älte-
sten Dichter diesen Accus. nicht kennt. Ich halte:es
für wahrscheinlich dass er der üblichen Form traida.
gewichen ist an folgenden Stellen. M 309: adtixæ 35
Pisis noccéon nad ‘Irroïoyoo. M 387: Teuxpos
St TAauxov xpatepov mais ImmoAóyo. © 289: ao
Estvov Suornvov, Euov raid, el mot ¿nv ye. Hesiod. Op.
378: ympatos de Savos Erepov raid ¿yxatadeímos.
Desgleichen Z 432: un raid cepamxoy Seins xnon TE
yovaixa. Y 56: xat raid dy neyapcıoı' xaxóg 9. ol ré
Ri ëëeten, Eben so wäre nat zulässig an zwei Stellen,
9 des Sciences de Saint - Pétersbourg.
wo jetzt viov den vierten Fuss schliesst, E 612: xoi
Barcy Approv Zshdyou vióv, Ze 8 ¿yl Hatow vais rohu-
xrnmov, und P 590: éoSov Evi rponayoroı Ion, vièv
Heríwvos ?). Selbst an Stellen wie A 327: cup” viov Ie-
tedo MeveoIna IDejeer cov, A 499: GX viby HMotóp.oto
vosov Bade Anpoxóovta, I 651: ret y viðv II rang
dalpgovos, “Exropa doy, A 197 (0239): eve viðv Iota-
poro daippovos, “Extopa 8icv, würde ich za vorziehen
(supe ma, dé rov u. dgl.), und Y 391 könnte 1
òè per ‘Adprrou viðv aus y 5i per Adumror ray ge-
macht sein. Das Nomen viós*) wird bei Homer in den
Casus obliqui überwiegend nach der dritten Declination
flectirt; den Formen vio und vícóg wie vict begegnen
wir in der Ilias und Odyssee nirgends, den Formen
uie) und vicio: je einmal. Für den Accus. Sing. vióy
lassen sich aus den beiden Epen zusammen mehr als
160 Belege anführen; die bei weitem meisten Stellen
bieten jedoch keine völlige Garantie für die Richtig-
keit der jetzigen Schreibung, sofern am Schluss des
Verses und in der Hauptcüsur vta, an anderen Stellen
viéa dafür eintreten kann. Dies detaillirt zu erórtern
überlasse ich anderen: nur auf einige Fille móchte
ich hinweisen, wo die Ueberlieferung uns zwingt” die
Form vióv zu beanstanden. Bei Athenaeus XIV p.
632 E wird als Beleg eines oríxos huyapós als Home-
risch folgender Hexameter angeführt:
aipa 3' ag Aaen vièv ocv A yícuo. —
Dieser Vers findet sich nicht in unserem Homer, und
er ist kein oriyog dayagós. Gemeint aber war, wie ich
glaube, Q 333: aide 8° de "Eppeíny viev oiov dcc»
` ma, und um einen artyos hayapós zu gewinnen, wer-
den wir zu schreiben haben Ov vièy statt viv oiov.
Diese bereits von Meineke Philolog. exercit. in Ath.
II p. 35 oder Anal. crit. p. 304 vorgenommere, von
ihm selbst als nicht hinlänglich wahrscheinlich be-
zeichnete Aenderung wird gegen jeden Zweifel ge-
3) Was hier über E 612 und P 590 gesagt ist, gilt in gleicher
Weise für N 185, wo nicht vid y, sondern vía mit elidirtem Endvocal
am Schlusse des vierten Fusses steht: Kredrov uf Axrooiwvoc, Auch
hi Krearov zé für besser und eben darum für wahr-
scheinlicher als die überlieferte Lesart.
4) Einen Nominativ nach der dritten Declination vive (auch wie
geschrieben) oder vvs hat kürzlich R. Neubauer im Berliner Hermes
p. 158 ff. aus Inschriften nachgewiesen. Den Nominativ ves soll
Simonides gebraucht. haben, vgl. Etym. Flor. bei Miller Mélanges
de litt. Gr. p. 291: vios’ ¿ori Dre Utoc, Oç Gps Oqtos* eloncat y cveta
mago Zuon.
sichert durch zwei andere Homerische Verse. Od.
e 28 schreibt man gewöhnlich 7
7 ba, xal “Eopetay vioy plov avcícy niða,
während die meisten und besten Handschriften píhov
viðv bieten, und A 103 (oder y 343) steht zwar in un-
seren Handschriften
| Xoopevos Ze oi uiv píhoy é&aAaocas,
aber Maximus Tyr. XXX VIII, 7 citirt Ze oi piov utóv
ééahawoev. Hiernach erscheint das gangbare uióv píhov
Q 333. e 28. à 103 (v 343) als eine metrische Cor- '
rectur, der ein gelinderes Heilmittel vorzuziehen sein
dürfte, nämlich Q 333: aj à de "Erpetav oiov vida
avriov nöd. € 28: d Ba, xal Epuetay piov viéa avtiov
nda. À 103 (v 343): xoopevos Zo ol piov vica. Zëe-
A&ocac. Dass der Hiatus am Schluss des vierten Dak-
tylus vollkommen berechtigt ist, bedarf kaum der Er-
wühnung.
Das Nomen pòca bezeichnet bei Homer und spáter
theils kluge Anschläge theils die männliche Schaam.
In letzterer Bedeutung steht es Od. £ 199: êx TUXIVNS
Ò dns mTopSov xhdos ystol Tayei púM O», Oc Ducato
Tepl ygol pndco, porós. o 67: Deag à» bureau Ep}
próca. c 87: prdea T dëssen: doy xuclv opa daca-
aSa. y 476: umden T éÉépuoav, xuciv opa dacachar.
Hesiod. Theog. 180: œéhou 3' ano pròsa maroc Zeen,
pévos doe, 188: phòca 8 de To moros dree dën:
gäonauct xaBBaX ar mreiooro TOAUKAVOTO dal TÓVTO.
Emped. 349: où node, où Ion get. où phòca a-
xnevra. Antimach. fr, 42: Sperávo Ténvoy dro pòca
mazgos. Apoll. Rhod. 4, 986: Spéravey — d are ra-
tpóc pòca vnàciðç étape Koovos. Oppian. Cyneg. 1,
581: phòed T avõpopéorot maveíxeho xapróvovtas (Seh-
Qiwc) 3, 207: pepaos "mie vevusco: Tapéo Sat
phòca. 3, 388: dmmvér 8 ¿vdosr Jupo Ange xuvóz
opiyyov de paisa. 4, 207: add xuvóg ei Y aŭt
aro unden Béean deet herrado. 4, 441: da:
Yovov T dro puden yeun. Maneth. 4, 220: yovipov
feu amapnropas Avdpas. 4, 312: otopareoot
OTULOMÉVOUS, yovorotas, phòca posó exovras. 6,
298: xépoavres ydp dyosiow éd amd couaros aldo
xal xucl phòca dovres éxovrny opa dacaciar. 6, 580: |
phòc amorunyovres dpnpépos elvexa. opge Äerer
Süpqot» Epsornörss därer, Nonnus Dion. 7, 227:
ansporyauo Koóvog &orm pròsa mareos éreuvev. Orph. `
bei Proclus in Plat. Crat. p. 116 (Lob. Agl. p. 542):
próso 3 ap méAmyog récev úbosev. Orac. Sibyll, 1,
3
» mende Adi. Seet pflegt man entwed
M
n ` _ Bulletin de l'Académie Impériale 12
49: unden T apoexdhubar, rel cola je aldog. Dass
Alexandrinische und Byzantinische Dichter die mánn-
liche Schaam prdea genannt haben, kann durchaus
kein Befremden erregen: bei Homer, Hesiod, Empe-
dokles und Antimachus dürfte dagegen, wo diese Be-
deutung erforderlich ist, vielmehr pé£ea zu schreiben
sein, wie im Homer von Payne Knight bereits p.eScea.
gelesen wird. Diese von Gregorius Corinth. de dial.
p. 535 als Ionisch ‚bezeichnete Form ist unversehrt
geblieben bei Hesiod. Op. 512: Snpss A poicaous,
odpas à Uno pels ¿Sevto. Vgl. Archil. fr. 137 p. 567
` ` (hergestellt von Schneidewin Coni. crit. p. 138): (vas
wetéov dméSouew. Lycophr. 762: vico» à eis Kgovo
otuyouyéwny Agry reoaouc, peléov xpemvópiov. Nic.
Ther. 722: aytíxa 5i yoos pétem T avdpos ¿vepde tt-
taveta. Wenigstens kann ich es nicht für glaublich
halten dass die männliche Schaam, die in den "Epgya
xai nuéoa des Hesiod péZea genannt wird, in Hesiods
Theogonie pòsa geheissen habe, oder dass wenn Ho-
mer die pudo avdoov erwühnt, nur der Zusammen-
hang entscheiden soll ob die Geschlechtstheile oder
die Anschläge der Männer gemeint sind. Die für pnèeæ
in der Bedeutung «Schaam» scheinbar sprechende
Stelle. Hesiod. Theog. 200: (man nannte die Aphro-
dite Kungoyévera) Zo yéyto zchachdoco Evi Kurpo, nos
pthopndéa, ext y m93éov ¿¿soaa3n, wird von Lennep,
Schoemann, Kóchly u. a. mit Recht. für eine spütere
Einschaltung gehalten: der Urheber dieser Worte
scheint ein unverstündiger Grammatiker gewesen zu
sein, der nicht wusste was toppene (denn so hiess
Aphrodite) bedeutet und auf die falsche Schreibung
‚role luan: eine thörichte Etymologie gründete. Ein
so apokryphes Zeugniss kann gegen die empfohlene
Schreibung péteo schwerlich etwas beweisen.
Das in der ältesten epischen Poesie öfters vorkom-
von tò evgos oder
von Zeie abzuleiten und danach entweder durch weit,
geráumig oder durch schimmlig, moderig zu er-
kláren. Vgl. Etym. M. p. 398, 1: eügdevco, — mago.
Toy gek Ve, süpocóevca., xal exor Suerg.
d Tapa To SUYOS tugoeyca, xal dxráce: suposyra, Beide
Etymologien sind in formaler Hinsicht schwerlich zu
rechtfertigen (vgl. Lobeck Pathol. elem. I p. 352),
und beide Erklürungen finden an dem Gebrauch der
Dichter aus classischer Zeit keine Stütze. Dass einige
Spätlinge uge: für eugus nahmen (vgl. Oppian Hal.
te
natürlich nicht in Betracht.
5, 3: xöArov ay eügósyca, Saracons. Nonn. Dion. 25,
476: Advdgeov eupwevri xaxéxougey avdepeov:), kommt
In welchem Sinne das
Wort bei älteren Dichtern zu fassen ist, ergibt sich
aus folgenden Stellen. Y 65: céxéx (des Hades) ouep-
Sa upasven, ra ts oruyéouar Jeol Tep. x 512: av-
Tos Ai cic Aldeo Léva dopov eupdevra. y 322: es Aldo
dopo» GU Siogerg, o 10: Zens Ai apa oo “Epuetas
AXUANTO KAT suodevca. xé.soSa. Hesiod. Op. 153: és
eupwevra Dépov xpuepod Aídao. Theog. 739: tegat
¿not deyadé (oder nach Philodemus x. eucefeias p
27 Eusodadé”) evpdevra, Ta TE aruydoum Deet meg.
Hymn. Cer. 482: oSígsvóg rep Und Góp eupwevtt.
Diese Stellen lehren dass evpwers nichts anderes be-
deutet als dunkel, finster, wie schon alte Gramma-
tiker das Wort durch oxorsıvos wiederzugeben pflegen,
und wie es jüngere Dichter in diesem Sinn gebraucht
zu haben scheinen. Vgl. Anon. bei Hippol. Refut.
haer. p. 96 ed. Gott.: Taprapov eupwevrog aetxAaucotat
weAASootg. Orac. Sib. 2, 303: ¿Ma paxpay GopcevS’
und Taprapov eupuevta TERN Bocovra:. Greg. Naz.
vol 2 p. 40 B: Ñ xal ge Undvepdev és eupwevra Bé-
oeSpa. Nonnus Dion. 26, 107: Bomen suguer xat-
exMiioos QeoéSoo 5). Das Adi. svooets wird mit andern .
Worten, abgesehen von einigen gelehrten Dichtern
sehr später Zeit, durchgängig in demselben Sinn ange-
troffen wie nepoeıs(vgl. O 191: Ardng A8 Aaye Cópov egó-
eyta. W 51: vexoóv — vésaSat uro Écoov msocevca.. v 64:
xaT Teoocvca, xékeuSe. Hesiod. Theog. 119: Tágtapo 7’
nepoevra. Hymn. Merc. 172: &vtoo dv meocevtt, u. à.).
Auf+diesen Thatbestand hat L. Döderlein (Hom. Gloss.
I p. 6) die Vermuthung gegründet, dass nepóses und
svowets verschiedene Formen desselben Wortes seien;
er sieht in evowets eine uralte, vielleicht Dorische Form,
aus ausoost entstanden, welches sich zu vegoetc eben
so verhalte wie auadéos zu dies, und meint, das av
5) Einmal finden wir in din Tragódie dasselbe Wort, Soph. Ai.
1167: orevoov xoiAny xametoy tw Ey 199^, ¿vda Bporore TOY aci-
poto» tagov supwevra voie, Die meisten Erklárer denken hier
an das finstere, manche an das verfaulte Grab. Bei der £inen wie
bei der anderen Auffassung erscheint die Verbindung detuvnotoy
coowevra tagov als höchst befremdlich ; ; Hartung hielt cov aetuvnarov
für unrichtig und schrieb dafür del œuvnotov, wo gegen Morstadt
cvpwevta durch ey jocsévra ersetzen wollte. Es ist mir nicht móglich
über diese Stelle zu einer festen Entscheidung zu gelangen: für
wahrscheinlich aber halte ich dass eópuevra auf einem —
beruht, obgleich Quintus Smyrn. die Lesart tapoy eúpueyta vor A
gehabt zu haben scheint, wenn er 14, 241 den Grabhügel i Achilles
Tug ov evoweyra nennt.
1
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
1
sei durch das folgende o getrübt, «wie eópos neben
aden». Dieser von Ahrens im Philol. VI p. 7 gebillig-
ten Ansicht kann ich nicht unbedingt beitreten. Die
Identität von nepóstig und eUoóetg erscheint auch mir
unzweifelhaft: dass aber von ame eine Bildung eUoóetg:
hergeleitet werden kónne, halte ich für unmóglich. Die
dicke, schwere, atmosphärische Luft, mit der sich
die Vorstellung des Nebels und der Dunkelheit ver-
bindet, heisst bei Homer im Nominativus anp (E 864.
n 143. ( 144), während in den Casus obliqui (népos
géet néga) wie in den abgeleiteten Wörtern (Nepros Ñe-
pós:s nepocidns u. a.) durchgängig der Vocal Eta im
Anlaut erscheint. Ob die seltsame Discrepanz zwischen
ano und népos berechtigt sei, lasse ich unentschieden:
in jedem Falle aber stand nach dem ersten Vocal, mag
er nun À oder E gelautet haben, ursprünglich ein Vau.
Dies ergibt sich aus dem Lakonischen aßnp und dem
Lesbischen ou wie aus dem Lateinischen aura. Das
Adi. nepósis lautete also ursprünglich nrepcers. Daraus
konnte vielleicht entstehen evepoe:s, schwerlich aber
evpoets, wo das Omega meines Wissens der Analogie
widerstrebt. Die Form eupwers erscheint um so bedenk-
licher, da sie am Metrum nirgends eine Stütze fin-
det: statt Sieger und evpwevra kann durchgängig ve-
poevr. und nepcevra eintreten. Für die Annahme dass
evposis eine falsche Nebenform von yeposıs sei, lassen
sich auch einige Schwankungen der Eoberliefsrato gel-
tend machen. Bei Hesiod Op. 153 findet sich neben
edpoeyta Benz die Schreibung suposvra Scpov, die auf ein
ursprüngliches nepcevra 9. hinzuweisen scheint. Eben
so steht otuyepov dópov eupcevra im codex Palat. bei
Nicarchus Anth. Pal. 11, 328, 5. Die Stelle des He-
siod Theog. 119 wird angeführt von Cornutus de N.
D. e. 17 p. 83, wo die Handschriften zwischen Tap-
Tapa T vepósvta und Taprapı T evpuóevta (oder cù-
pucdoyta) getheilt sind. Od. d 322 bieten unsere Hand-
schriften und Ausgaben: d de sig Aco Sopov T-
AuSey &Upoevca., aber vo. ñepósvra ein Scholion cod.
Vind. 5. Sollte endlich jemand, um suposts neben ye-
ects zu retten, sich auf Hesiod Theog. 729 — 731
berufen:
voa Scol Tirives Uno Cogo nepcevtı
Kerpuparaı Boukyo! Atos ele eg
1090 Ev e dedeurt, zeideg coyaro. votas,
so kann ich allerdings die Aenderung yopo dv nepósvt:
nach dem voraufgehenden úrò Lópo nepésvr: nicht für
wahrscheinlich erachten: aber mit Recht hat man hier
den letzten Vers längst beseitigt als eine spätere Zu-
hat.
Die mit dem Substantivum pnrıs zusammengesetz-
ten Adiectiva schwanken in hóchst auffallender Weise
zwischen den Endungen «s und ns: neben dem xeAv-
pres Oducosús finden wir bei Homer den Kooves ay-
xuhop Tas, und demselben Schwanken begegnen wir
anderwárts. Welche Endung die richtige sei, darüber
kann nach den Gesetzen der Griechischen Wortbildung
+
nicht der geringste Zweifel bestehen. Von pavrıs kom-
men die Composita eXrSopavete aporöpavrıg Tsonavrıs
KOMOAYTIS VUXTOJLOYTIS CVELRCLAVTIS TOM vti TOWTO-
pavrız IvSopavris oepvopavrız otoatomavris deudc-
wavrıs buyöpovris u. a.; dem Substantivum pv ent-
| sprechen Bapupmvıs duopmvıs aime, mods liefert
Composita wie ¿tods Mrd œuhomoks u. à. In glei-
cher Weise ist roAupnrıs eine gesetzmässige Form,
dyxvhounTns dagegen nicht minder befremdend als es
befremden würde, wenn jemand aroAng und othorchns
schriebe. Durchaus nicht zutreffend ist was L. Schroe-
der Unterscheidung der Redetheile im Griech. und Lat.
p. 380 zur Rechtfertigung von Schoumtns beibringt,
Formen wie Asıroraxıng (richtiger Aıroraxıng), aiSon-
yevérng, imrogarns u. dgl., wo die Endung tyg handgreif-
lich vorliegt. Die einzige Analogie welche für dyxuħo-- `
ptas, TouxthounTrns und entsprechende Missbildungen
sich nachweisen lässt, bieten, so viel ich sehe, gewisse
Composita von ee: wo wir neben den regelrechten
Bildungen ¿v3opy:s évooyts xoubopxis povopyıs auch fin-
den évéoyns omodcoyns Teopxms, Wie aœvopyos Évopxos
tolopyos. Was von évooyns und &vopxos (letzteres schon
Il. Y 147) nebst entsprechenden Formen zu halten sei,
lasse ich für jetzt unerörtert: in Betreff der von pitte
abgeleiteten Adiectiva glaube ich jedoch dureh fort-
gesetzte Beobachtung zu dem Resultate gelangt zu
sein dass die auf ntng ausgehenden Adiectiva als un-
berechtigt erscheinen. Selbst wenn dies Resultat sich
als unrichtig erweisen sollte, wird eine Mittheilung
des von mir gesammelten Materiales nicht unnütz sein. —
Der leichteren Uebersicht wegen folge ich bei der
Aufzählung der hier in Betracht zu ziehenden Adiec- — `
tiva der alphabetischen Ordnung.
1. aæyxvkountns. Nom.: Kocvos donot À 59:
Hesiod. Theog. 137. 168. 473. 495. Hymn. Hom.
4, 22. 42. Dorotheus 36. TpownSeds groupe
t
HYPE TW We S e T
IR CN rl,
y OT AE en ES F \
d x d x^ `
-. Bekk. p. 329, 3. Aehnlich Suid.:
%
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. nesius p. 126, 17 ed. Bonn. — Accus.:
AB A A A A MeL, S ré repo ro e UE COTES ERA Re CM à SC
EN Ne INC UAE AS ET ce EM T
n ETG ee ZG "ech 4
ue Tue vi 4
15
Bulletin de l'Académie Impériale
Hesiod. Theog. 546. Op. 48. aacyetos ayxvhounTns
Tzetz. Posth. 39. An allen diesen Stellen bildet æyxv-
Acus den Schluss des Verses, so dass ayxvAöpmtıs
durch das Metrum gestattet ist. Von Prosaikern vgl.
« Mss. nostri, aipuXcoumtıv» und Ilgen p. 361: «Fl. Ald.
aigvrourrnv. Codd. Mosc. et Regg. aipvAopmrıv», wäh-
rend G. Hermann, Fr. Franke und A. Baumeister
über dies Schwanken der Ueberlieferung schweigen.
Damasc. de princ. p. 186: ós moi 6 Te oupras bes gUebrigens hat Ruhnken oip»AcyvSov vermuthet, Igen
xai ó ayxvrountns. Nicetas bei Westermann Mythogr.
p. 355, 4: ¿mísera Aros: ixétoc, Épéotios — dyxuho-
patas. Grammatiker und Lexikographen lasse ich im
Allgemeinen geflissentlich unerwühnt. Bei Christ.
pat. 3 schreibt Dübner dpaxov ayxwhoprtas, aber
dyxvhountis bietet, wie Boissonade Anecd. V p. 16
bemerkt, eine Pariser Handschrift. — Genit.: Koóvou
ras ayxvhoumtew B 205: 319. A 75. 137. M 450.
II 431. 3 293. 9 415. marpos Keen ayxukopnteo
Anonymus de herbis 105. «09 œyxvaoumrou Auge Ge-
Koovov ayxv-
%ounenv Hesiod. Theog. 19. Maneth. 4, 425. vcov ay-
xukoy.n tr» Procl. Hymn. 6, 49. Ueberall schliesst die
Form den Vers, überall wäre also ayxwopmrıv zu-
lässig. — Vocat.: ayrwhopnta, oepıots Orph. Hymn.
13, 9. — Nom. Plur.: dyxvhountar oxodroßoudc: Lex.
AYAVMPATAS. xal
` ayxvhouiras ol aworößoudct.
^... 11, 215. 234. — Accus.:
. taphr. 4, 75.
cdyxvkopntes. Nom. : Koovog ayxvhountis Epime-
_nides bei Tzetz. in Lyc. 406. xai Auxos dyxvounric
. erepysrar Gora. Aaa Nonn. Metaphr. 10, 47. xoi
X096 dyxuhópnts anıororartoy (Üneppiaioy) Papıcarov | 2
Toia xal ayruhpntiy eré-
Suen ¿vtuvao3a: xepdo Oppian. Hal. 2, 107. où Kocvov
Grengen £o Sorvnropa ratdov Nonn. Dion. 21, 253.
sine, xal dyxuhópnty ap opalo zi puso Nonn. Me-
"Icuóa/ov yopov ayxuopnty dacag 12,
148. raw Y einorog xal dyxvhcunti (so Osann nach
.. den meisten Handschriften statt T— xa Ova!
mo» Kapen Cornutus de N. D. c. 7 p. 2
2. aa ente. Nom.: rapSévos illo Tepi-
pony aykaspmrız Greg. Naz. vol. 2 p. 152 B. éuredos
aep aoo d dvagtayýeoxe yevézAn Procl. Hymn. 3, 10.
téns aha pas Ens énégouvev Ererós Tryphiod. 183.
— Vocat.: mag3éve xudnecoa xal dyhaopnr: mepippwv
Greg. Naz. vol. 2 p. 55 C.
3. aiuvrountrnc (?). Hymn. Merc. 13:
xa tot éyeivaro oido. TOAYTPOTOY alpulop try,
wo der Vers die fehlerhafte Endung nicht schützt, die
nicht einmal in den Handschriften einstimmig über-
liefert ist; wenigstens sagt Ruhnken Epist. erit. I p. 28
1
alovhopatra» geschrieben; eher könnte man an atos-
paro oder ayxvkopntiv denken.
4. aloXountns. Hesiod. fr.
Lycophr. 284:
KonSeds nd ASapac xai Xíguooc aiokountne.
atokdópntis. Nom.: tieta à alohóp.nTig Seos oot;
¿mi oepvois Aesch. Suppl. 1037. ¿v3a tor atohop.ntes
| aAopevos TASe» Odvaceys Dion. Per. 207. rouvre
aiohountes EInpove rue téton Nonn. Dion. 1, 279.
xal mAéow aiokcuntis édéyvuro Muerte avinv 9, 299.
Muortíhos adohopentes émixdhorcoy mvuse vixnv 20, 160 und
37, 340. Seutepos atohóp.ntes "Eros Teyvaipov Seco
33, 90. Moppsus atcAomte* énepSéyÉavro de Auot 36,
471. Alaxos atohop.nytis, UmoxAémtowu dE vapco 37,
576. pov 9 ‘'aichounris enel pasev Zeg povons
38, 31. Zéuowy atohcuntis: eremBedove Te tapco Nonn.
Metaphr. 21, 120. &v8o« yap atorounris "Epos Behé-
eco! Zougier ) Materne 198. — Accus.: nos HooynSéa
rouxkihov aohopntiy (andere e'Yxoloymz» oder unme-
Disch œyxvaounrnv) auapriveoy T Entpunséan Hesiod.
em, 511. ¿v3a toy atohcumriv Oducaéa Oppian. Hal.
2, 503. da v9 T aloAoumrıv avotyyunı xara. TOV ee
Anonymus (Verf. von origor Neotxol eis TO Ve
im Catal. cod. Clark. I p. 58
5. oizungcne im oct bei Aesch. Prom. 18:
ans CoScBouhou Gépidos ainupnta rai.
[æicuounTns ist lediglich eine etymologische Fiction,
durch welche das Wort atovyvntne erklärt werden soll,
Etym. M. p. 39, 27. Etym. Gud. p. 22, 28. 617, 46.]
6. RS Aesch. Agam. 222: Bords Spa-
ouer yap alaypoumtıs Taawa ropaxora. Dasselbe
Wort in etwas veränderter Form hat vielleicht ge-
bráucht Tzetzes Posth. 702: cüvexa p loaaxoç dti-
cato aicyeotipas, wo ich atoyeópmris oder allenfalls
auch AS vermuthen móchte.
7. apyıpnrns nur bei dem Tragiker Phrynichus
fr. 15 p. 560: apyıpmras tavpos, von dem Stiere,
welcher die Europe entführte. Hesychius und Eusta-
thius, welche das Fragment erhalten haben, weichen
nur insofern von einander ab, als dort gen gege, hier
apynys sich findet. Mir scheint weder dies noch
32, 4 bei Tzetz.
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
deyénte zulässig; vielmehr sollte man, denke ich,
etwa depono erwarten nach Moschus 2, 85: xú-
xhos 9 Geiger Hëooo pops pETOTO. Vel. P 454:
Ey dE pETOTO Asuxov ML ÉTÉTURTO T.EPÍTOONOY NUTE
payo.
8. ap3itopqtis bei Greg. Naz. vol. 2 p. 147 A:
Scute de raot Seco Bod hoyos OSTs.
9. BaSvpnta (Nomin.) beruht auf Pind. Nem. 3,
53: Ae yopevoy de TOUTO T.QotéoQYy Emos ro" Basuyñta
Xeoov todos AS "lago Evdov réyer.
10. dtyopmrıs. Nom.: apo deyopntıs č Eny "is
Nonn. Metaphr. 7, 167. opSnv míoct» Zreueg xal ei
Zoch eoöoa 11, 146. — Accus.: ’Incods Ardyp.oro
voov dryopmrıv Geen Nonn. Metaphr. 20, 132.
[dorountıs s. Sohounris.]
dis dohop NTs. Vocat.: té S a9 tot, Soden,
So oupppodocaro Boukds A 540. zos ¿duvo, Soho-
pita, Sun Bes Serporopmoa: Hymn. Merc. 405. TÉ
mrwggete , dodopnta; zéi Anea Ameporevero Oppian.
Hal. 2, 305. cyéxX "Epos Schouñte 4, 11.
Schopnrtis. Nom. Sing.: va 3 oi poor õe-
SE AlyıoSos doldpntiç; rel ura ve rohov apelo a 250.
0» ba xaSciccv Alyıodog dohcuntis ayov à 525. Kac-
cavdons, TY xTelvs Kuston dohopontis À 422.
Scopa puyav Sox papes ITpounSeus Nonn.
Dion. 2, 576. os pay.évn Soportes Zeus ouye Bot.
pov 8, 176. Tape Sohopntis, Eros Hoparotov En
29, 336. ¿93 órorav dohop.ntes (nv 9' orola» Sorröumtıs
cod.) avro Orac. Sibyll. 13, 89. Boats étixhoTov
eúparto Déeg anrín Oppian. Hal. 2, 120. oc xal ¿pol
SchopnTis, ¿mel Loës č ovra, puy Eyvoy Greg. Naz. vol. 2
p. 32 B. touvexa xai dohópntes, rel Xotocoo Bacos
p. 59 B. vexpoßópos Souris ataosados p. 80 B. rois
ò Zivov doropnrıs ¿médpape tpavpact Bolso» Tzetz.
Posth. 688. — Accus.: AlyiaSoy Sohópnty, 6 d ra-
Tépa, xhutoy čxta & 300. y 198. 308. doópyty D ara-
tay Aesch. Pers. 93. ech axoltny Dupong dohe-
bg, émel Sutixo mapa xévrow Nonn. Dion. 6, 96. —
Vocat.: yaips, Sea Sordat. dohorrhavés Nonn. Dion. 8
126. — Nom. Plur.: Sovhoppoves Ak xai pidas
Suoayvors ppsotv Aesch. Suppl. 750, wo man zur Her-
stellung des Metrum Folge: e xai Aeueugeäee
oder CUM Qoeve c 8 ayay xal Sckoumrides vermuthet hat.
13. Svopnrns oder Suounrts. Hesych.: Svoun-
Te "` xaxoteyvoç. Suidas: vont: ó xaxogcuAoc.
14. ¿predopytes. ¿predópnrtis dvayxn Nonn. Me-
Tome XXII.
taphr. 10, 63. mas Bporès Epredéunric ópórioxoç els
Ré piuvov 15,:17.
bbs dd s. xotvopante. ]
15. Eup 71s als Nomen pr. bei Apollod. ILE, 8
der neben vielen anderen Sóhnen des ee ge ch
nigs Lykaon auch Expajeny erwähnt.
unge, Nom.: paros vto egene: ¿mel xal untos
AATTOY Oppian. Hal. 5, 97. — Accus.: & dé os Kuss
EVYapov, Ep Made, t OEC CY Aene Antipater
Anth. Pal. 9, 59, 8.
16. nriountis. Nom.: Top evi piv Tola TT
Os NTIOUMTIS Ex Supo quéov EmitéA ope Greg. Naz.
vol. 2 p. 62 D. — Vocat.: dAX Eurns téde eet rav-
TOY Théoy, route. Greg. Naz. vol. 2 p. 112 A.
17. Seopntıs. Dat.: Suid.: Seounte' Seoppev:
Seoßevrg. — Accus.: xai noSev où Secpntew à OH yt-
vocxete povyy Nonn. Metaphr. 8, 121. |
18. Spaoupmtis. Leonidas Anth. Pal. 6, 324:
es de Tunas ou Séyopa Bopolz 6 Spacupnris
Apns.
19. ix zcpmtte. Pind. Isthm. 7, 9: apo Jas
inrounriv.
20. XAXCHATAE. Nom. Sing.: P8 Tots no,
XAXOLNTELS dvi Eur. Or. 1403, wo jetzt ziemlich all-
gemein xaxcuınrıs «vno goscliricben wird nach einer
Emendation von Porson, welche lediglich durch Rück-
sicht auf das Metrum bedingt war, zugleich aber statt
einer falschen Bildung die richtige Form herstellte. —
Nom. Plur.: Teravss xaxop.ta: onéoQtv Zeen EJOVTEG
Orpheus (Lobeck Aglaoph. p. 507) bei Proclus in
Tim. p. 54 B.
xaxountis. Gen. Sing.: E coce Meyaton: -
Orph. Lith. 223. xal Pagano xaxounridoc efspuostas
wagtus Anon. bei Cramer Anecd. Paris. vol. 4 p. 292;
16. — Acc.: vis Papao xaxopntiv, Aya Solos,
AcoupÍoy vs TUXPOTATOWS Bocinas ¿Jpépato Greg. Naz.
vol. 2 p. 50 B. aà) ¿pens xaxcunty @dsveo p. 57 C.
oe Pagan xaxopnziy, dvardéas Epyodiwxras p. 97 B. -
‚| meta (7) Papas xaxcunriv, andéas dovovs Anon. bei
Cramer Anecd. Paris. vol. 4 p. 291, 24. — Der Nom.
Pl. xaxouyries ist vielleicht herzustellen bei Maneth. 2, Ee
308: rohhaxt xal xreavay rioters, Ovméo vig ÉdUXEY `
Aa don raoSéxevog Seegen MEVNTAVTO, und 4, 307:
gel xaxÓqct quvatxo» GupcuAct, Béier, Maxopmtopsg,
alcyposrdaxtar. Allerdings liegt es an der zweiten
Stelle sehr nahe mit Köchly xaxopyotopes zu schrei-
e die
Bulletin de l’Académie Impériale
ben; aber xaxounotog ist so wenig nachweisbar als
xaxountiæ, wofür sich eine analoge Bildung findet nur
in dem bei einigen Grammatikern (Hesych. Suid. Etym.
M. p. 11, 30. Aneed. Paris. vol. 4 p. 89, 12) er-
wähnten ayhaopntia. `
7 591. xaptépomnrts. Greg. Naz. vol. 2 p. 76 A:
cuoc KOOTEPCHANTIS, evi. TETOMECOL pLÉYLOTOS.
2 YAV TOP TAS: Philostr. iun. Imag. e. 13: Ac-
xd mitos dé, eet, outos Eros Tadya Tov mapeyyoov
egen xa x). AUTOpATAS (Variante xAvropntıs) oùx dra-
Erën mapa ccu axovoar. Aus dieser Stelle hat man den
wahrscheinlichen Schluss gezogen, dass Sophokles das
Wort als Epitheton des Asklepios gebraucht habe,
natürlich nieht xAvropmrng, sondern xAutóponTes.
xAutopmtte. Acc.: "Hoatoco» xAuxópoaytw deloso
Hymn. Hom. 20, 1. Nixoxparny xAuröumtıv, ap alpa-
Tos apxıspnov Corp. Inser. 1066 vol. 1 p. 562. —
Voc.: Aapóyaot xAutóuntt, Begonche, oot Tode xUdOS
Anth. Plan. 43, 1. vouochuta, xAuropmtı, pepfoßıe
Corp. Inscr. 5973* vol. 3 p. 801
23. xowopntes. Aesch. Suppl. 700: to Snpov,
TÒ Eë xgatUvet, roma sus euxorvonmtıs geg, Die
Herstellung der fehlerhaften Stelle scheint mir un-
| sicher; nur dies kann keinem Zweifel unterliegen, dass
` statt des sinnlosen ebxowéunris vielmehr xowópnt zu
schreiben ist, wie Lachmann bemerkt hat.
24. hemrópntis. Hesychius: Aer towntes (so Mu-
sūrus statt des handschriftlichen Aertöprrus) y ða-
asia (vielleicht Aen sta 21 vy.
25. peyadopytes, bei Aesch. Ag. 1426: peyadó-
ne el, mepíppova À ¿haxss.
[peyan stand nach einer unrichtigen Vermu-
. thung von Musurus ehemals bei Hesychius, wo man
das handschriftliche peduyoperións jetzt in peryoper-
ns oder pertyopstöng geändert hat auf Grund der
beigefügten Erklärungen toadyehos, 13uYeAos.]
26. tp pente. Simonides (fr. 61 p. 891) bei Theo-
philus ad Autol. II, 8: Seès ó ráppares.
27. rnotxthounTtns. Aceus.: datppova other
(durchgüngig am Sehluss des Verses und durchgángig
mit der Variante rotxthcpntt oder rorxAopmrıv) A 482.
y 163. y 168. y 115. 202. 281. — Vocat.: cyéous,
ost Ta, oiov. dar, D de pentes v 293. cyé-
TAE, Tox Cem ca, TÉ voy dr prosa: ho Hymn. Apoll.
Pyth. 144. tinte oý, Fetten garg, möSey Tode vuxrèc
du Zen Zeg Hymn. Merc. 155. 3e&x, Mauados vis,
Staxtops tormdopnto 514.
rouxthowntts. Nom. Sing.: awp rose ap
Eoreping éme[epSe(c Orac. Sib. 12, 257. "Hen Tomt-
Mounts apuvouén maoaxctcn» Nonnus Dion. 8, 125.
To Ò dr romerhcpontis avedpapev xüs EosySeuc 37,
622. — Vocat.: mayra repropadéns, Boot rommdoumtı
Sohoppoy Orac. Sib. 3, 217. ¿Ma où pa pillo», Beer
rotxt}OUNTL xaxoppov Orac. Sib. 3, 624 (mit der Va-
riante rotxtAcunrt Boaduvs angeführt von Clemens Alex.
Protr. p. 64). — Nom. Plur.: rotedopnrides rar Soph.
fr. 530 bei Stob. Flor. 98, 45.
28. rodupatas. Gen.: Gig gear ompetov roAuum-
tou Anonymus bei Boissonade in Marin. p. 132. —
Accus.: tva, darcvov Guhov lee tGavorca, theter TOAU-
Spouv xal rohuuntay Synesius Hymn. 2, 54 p. 317 C,
wo das Metrum auch die Form roAupntıv zulässt.
Toduprtao als Nom. bei Oppian.. Hal. 5, 6: 'Tare-
Tolo yévos rodupita IpoumSeus.
roïvpntts. Als Beiwort des Odysseus findet ih
der Nom. zouge an 18 Stellen der Ilias, an 68
Stellen der Odyssee, überall durch das Metrum ge-
sichert. Entsprechend aurap mel ToURNTIS doy TONY-
pngavov eucev Hymn. Mere. 319. zehun gene Oduoceds
Ar. Vesp. 351. Tod peones ovaxtop Orac. Sib. 14, 94.
Xs'oG» oOXAugévov &opet rodupnrıs (andere SE
ASnvn Orpheus (vgl. Bulletin XII p. 517 oder Mé-
langes Gréco-Rom. III p. 60 f.). zeideg ésadpasey
oBoruorraten Orph. Lith. 569. Ae papévn reos Orup-
Toy ¿Bn rovente AS Nonn. Dion. 26, 36. Tvioyos
Tokupntis čov xal édocovas inzous 37, 203. —
Gen.: zue Terponever roAupmrıos "Hoatccoto D 355.
ob mooto rom token tios Hoaíotot Verfasser der
Popwvis in Schol. Apoll. Rhod. 1, 1129. “Hoatozoto
xo» roAupmtios Apoll. Rhod. 1, 851. moXupmttec
"Eopeao Orph. Lith. 54. — Dat.: rokupnnd céyvq
Orph. Argon. 127. — Accus.: yhauxorty tou,
apelhyoy Yrop éycuca» Hymn. Hom. 28, 2. où «v
AVATTUCCOYTA glo zehn doSpoóv Anth. Plan.
325, 1. autoteAn roAuumtıv "Epoca Orph. Arg. 426.
Dieselbe Form ist vielleicht 8 200 herzustellen, wo
man jetzt liest: où tva deldtnev prne, oùt, da Tré-
baier, paia geg Todu pu ov dóvta. — Vocat.: dia
poxap rompen: rohuonope Orph. Hymn. 6, 10. Zen»,
Tokur: (so Hermann statt zoAyynSe) peyis rph.
Hymn. 10, 10.
M
| paa».
des Sciences de Saint. Pétersbourg.
30. taxvpnteis. Nasavanı TAXVNTE E értog voae
Pinze Nonnus Metaphr. 1, 184. xat Matos tay-
ws avédqae 9G. cog cd 19, 16. Bei Hesychius
wird AYTO durch rayvumrıs erklärt.
31. Jorepépnres. Nonnus Dion. 2, 8: Aeren
ae WM A-TORTEÍELE Tuposus, 13, 540: Hpíacos
DOTEPOUMTLS ENv ÚrTEdUCaTO Tcov. Kona. Metaphr. 20;
130: Oopas 3 vorepounris aquorgasa. péato DOYNY.
Aus der vorstehenden Stellensammlung, die zwar
durchaus keine Ansprüche auf Vollstündigkeit erhebt,
aber doch schwerlich etwas wesentliches: vermissen
lässt, ergibt sich, wenn wir bei den mit (zt; zusam-
mengesetzten Adiectiva die nachgewiesenen Formen
nach den Casus ordnen, folgende Uebersicht:
Bing. Nom.: a) lios aydasımrıs aLohop.n tes
aio yocpamcts APTO Te Buren Sohópuntis Suas
epmedepa as eps ATICUNTIS Soacupmtc xax ott
KAPTEHORNTIS HOLVOILIITLS NERTOBMTIS peyahopnts TAP-
PUNTES TOUXAOPNTIE uge IS UOTEPÓP.NTIS.
b) apo NTI aiohoUNTNs ApypnTas (-Tns)-duo-
PATAS xaxountas xkurounrns nebst dem Nomen pro-
prium Evunrns. d
c) BaSupyra roAupnee.
Genit. a) xaxopntios roAupmrios, xoxopo idos.
b) geen teo Green geen up ren.
Dat. Seounrt rorupaısı.
Accus, a) @yxuXcpnrıv aiguhountew alokcumriv Syo-
bom Soon Te» duty Seopmrıy Inropmtv xa coat
large TOAVUNTY TON.
b) ayxuropnenv aipukopnrn momdounmv TOV-
Voc. a) Gage Soho gege XAUTOLNTL TOL-
tient "reicae,
b) gehen gea alrup.ico, Sohop.nTa. ee
Plur. Nom.: a) Sodoy-ntides TOXIOUNTLÈES, zweifel-
haft xaxounries.
b) ayxuionfrar zaxou.ntar.
Selbst eine flüchtige Betrachtung dieser Tabelle
lehrt dass die gesetzmässige Endung Agen: im Nom.
Sing. und die dieser Endung entsprechenden Formen
in den übrigen Casus bei weitem vorherrschen: bei ge-
~ mauerer Analyse erweisen sich die immerhin zahlreichen
Contraventionsfälle, welche für -uytng zu sprechen
Scheinen, was die classische Gräcität anbetrifft, als
21 22
29. roaUpmtte. Pind. Ol. 6, 42: readpentíy + | durchaus unsicher, uud als berechtigt nur bei wenigen
Eeva. Spätlingen, die in Folge ihrer Unkenntniss der Ge-
setze der Wortbildung ‘durch fehlerhafte Texte sich
täuschen liessen. Gehen wir die einzelnen Casus durch,
so ist nicht eine einzige Dichterstelle vorhanden, welche
im Nom. oder Accus. Sing. das Eta der Endung er-
wiese: Formen wie doAopmrıs und doAdanrıv, ToAupmrıs
und xoXopmtw werden für Masc. und Femin. ge-
braucht; ayxudopneng alodounıns AYXUYAOPNTNY TOLL-
hop» und entsprechende Formen erscheinen in der
Ueberlieferung nur masculinisch, sind aber durchgän-
gig so gestellt, dass der Vers die gesetzmissigen Bil-
dungen æyxvhoumnris aloAcuyrız Gelénge TCOUXCÀG-
ug u. dgl. gestattet‘). Da dies unmöglich einem
blinden Ungefähr beigemessen werden kann, so sehen
wir uns genöthigt Formen wie Kpóvos Dok es
Kocvoy ayxudopnenv u. ü. für unber echtigt zu halten,
Wie also bei Eur. Or. 1403 das überlieferte xaxo-
puras avnp als verdorben aus zesinn: avro schon
durch das Metrum erwiesen wird, so sind ganz in glei-
cher Weise Schreibungen wie Kocvos donas,
KE moien Kpovov arxuAojareny, Uëuege Ae
poova rorxerounenv u. dgl. fehlerhafte Bildungen aus
‚den Texten der Dichter zu entfernen. Die Consequenz,
mit der namentlich bei Homer das ursprüngliche Kpóvos
ayxvhoumrs in Koövos ayxudounens entstellt worden ist,
lehrt augenscheinlich dass wir es hier wie bei den mei-
sten E ! desH hen Textes nicht mit zu-
fälligen Versehen der Abschreiber zu thun haben, son-
dern mit Correcturen der Alexandrinischen Öelehr.
.| ten, die mit einer höchst unzulänglichen Kenntniss der
elementaren Grammatik ausgerüstet sich für befugt hiel-
ten die Homerischen Gedichte zu emendiren, deren dtop- `
Søges eben darum mehrentheils napalio Saori waren:
wasan sich kein grosses Unglück wäre, wenn nicht diese
Paradiorthosen in zahllosen Fällen die ursprüngliche
Lesart völlig verdunkelt hätten. Wie aber konnte ein
Grammatiker darauf verfallen das vollkommen unver-
fängliche Kpovos æyxvňópntıs in das vollkommen un-
mögliche Kgóvos dyxvaounrns zu corrumpiren? Der.
Grund ist einfach dieser, dass bei Adiectiva oder Sub-
6) Diesen Thatbestand hat richtig erkannt Moschopulus in He-
siod. Op. 47 . 65: loréoy © ott TO KyxuAöumtig, TO Torxop ne tò ĝo-
AQUNTIG xal oco and toU Daa € GUyxeccat mpoxupobiverut xat ài tod
I ‚ypaperar. — ót di ènt To» eddy Bpayuxar dAnera raura dor: xai
qm qe Zéien and toy pérpey, el rt ré roraure ÉEcraéer
Bodhe
9*
[
Bulletin de l'Académie Impériale
24
stantiva mobilia überaus häufig die Endungen tys (Gen.
zov) für das Masculinum und o (Gen. 1.005) für das
Femin. einander entsprechen. Dahin gehören Bonia-
"ge ¿oy TNG TAPACTATNS, Kgotovaras Hoang Zrap-
KA Teyearne, dparméres EUVÉTNS xéTe CDEAÉTNS
| MODUS evepyirns Vrnperns, gute XOUNTNS Age
s
formen wie BonAatıs dpyarıs Tapastarız,
rhamrens TOMATNS neoprene Unopnens Alyıynıns, 9o-
parime omita modos orönplıns revue Tpadtıns
opine yaptıns ABsnpitng Zuagi, nepopaktns ops-
aupolTNs, AYPÉTNE Aeren rpodceng Wee OLYOTOTNS
zokorng, TEsoßurng, gregorge I Sacorns torte Aprea-
Sege Apysrorns H paxheuTns Zixeitiarng Borg, tepo-
pavths, xepaoıng puotns u. dgl., wo überall Femininal-
Kootowarts
Modus Zraprıarız Teysätıs, dpandrız euvéttg ixétus
dperhétis quAétis u. s. w. vorhanden sind. Getäuscht
durch diese Analogie meinten die Grammatiker, bei
den mit pis zusammengesetzten Adiectiva gehöre
die Endung uc: von Rechts wegen nur dem Femi-
ninum ; für das Masculinum suchten sie nach Möglich-
. keit die fehlerhafte Endung +prrns einzuschmuggeln.
Den eine 'O8uccsog konnten sie nicht los werden;
statt Kocvos œyxvacunrie und Koovov ayxukopntev setz-
ten sie dagegen, da der Vers es zuliess, die falschen
. Bildungen Kpovos ayxudopnens und Kpcvov ayxuroun-
nv. Auf einem ähnlichen Missverständniss scheint es
zu beruhen, wenn zu dem ursprünglich als Masc. und
Fem. gebrauchten wnotts die Masculinarform vyotns
` ziemlich früh (bei dem Paroden Matrón, vielleicht so-
gar schon bei Simonides) vorkam, obwohl hier die En-
. dung -ng sich bei weitem besser vertheidigen lässt
den entgegengesetzten Fehler
r
als bei ayxuħopntngs :
machten diejenigen welche zu cuyyewns und evyevos
besondere Feminina bildeten, ouyysvés suyevís, die von
den Grammatikern als äusserst barbarisch bezeichnet
werden. — Hiermit glauben wir die der Analogie wi-
derstrebenden und durch das Metrum nirgends ge-
sicherten Formen ayxvhountns alohopntns Suourrns
XAUTOUATNS, wie deier afp Try Tohoi-
RW rorupmtav beseitigt zu haben. Der Nom. apyı-
pytas (oder apyıpyeng) gees bei dem Tragiker Phry-
nichus erschien um des Sinnes willen als unzulissig;
xaxounras bei Eur. Or. 1403 musste schon um des
Metrum willen dem gesetzmässigen xaxopnt weichen.
Unsicher ist das Urtheil über das Nomen pr. Eÿuyrns
bei Apollodor: vielleicht ist hier Evpxôns zu schreiben,
ein ziemlich häufiger Name, dem zahlreiche entspre-
chende Bildungen zur Seite stehen (vgl. Pape-Benseler
Wörterb. der gr. Eigennamen p. X XX); in jedem Falle
kann dieser Name nichts beweisen. Hóchst auffallend
ist der Nominativ BaSvpnta bei Pind. Nem. 3,53: Xe-
yóp.evoy Ab erg rporepwv ¿mos Ego BaSupnra Xefpov
zone Mtv Iacov ¿vdoy téyer xal émertev AcxAnnuv.
Ob der Dichter BaSupmrıs reos, ob anders geschrieben
hat, vermag ich nicht zu sagen; dass BaSupita Xeipov
unrichtig ist, kann keinem Zweifel unterliegen. Statt
rohvunta IpopmSceus bei Oppian vermuthe ich (yévos)
Trompa: Ho. — Die Vocative aërupnta dohop.qTa tot-
xüOcpre sind willkürlich substituirt von alten Gram-
watikern statt der allein berechtigten Formen atrú-
ponte Soo pg: conor: bei &yxurounre Orph. Hymn.
13,9 kann man zweifeln, ob die Abschreiber gefehlt
haben oder der Verfasser selbst. — Im Gen. Sing.
erscheint als anstóssig nur der ófters wiederkehrende
Versausgang Kocvou mous ayxvhounteo: denn bei By-
zantinern sind die Formen dyxvhquytou und roAupmTou
als Sprachfehler hinzunehmen. In der Homerischen
Poesie dagegen dürfte Kocvou meg ayxuhounteo ein
schlechter Ersatz sein statt des ursprünglichen Keovou
Tats œyxvounti. Denn bei der Erwähnung des Kro-
niden Zeus erwarten wir vielmehr ein diesen selbst
charakterisirendes Beiwort als ein Epitheton zu Kpo-
vou, und sicherlich konnte ayxuXcpnris auch Zeus ge-
nannt werden. Vielleicht also erinnerten sich gelehrte
Grammatiker bei der Verbindung Kpöveu mag ayxu-
Acunris zur Unzeit des Umstandes, dass Homer den
Kronos als æyxuħopytys (oder vielmehr ayxvhcpntes)
zu bezeichnen pflegt. — Der Dat. Sing. zeigt nur die
gesetzmüssigen Formen Seopnr: (richtiger vielleicht
Secuntu) und roAupmeıdı. Wenn" Ed. Kammer (Ein-
heit der Odyssee p. 432) statt Alyio30s Soho tes Od.
y 250 schreiben wollte Atylo3o Schengen, so fehlte er
gegen die Gesetze der Grammatik und bediente sich
einer Dativform, die ich erst aus dem 19. Jahrhun-
dert n. Chr. nachzuweisen vermag, vgl. O. Schneider
Callimach. vol. II p. 416: «id enim epithetum Kgovo
dyxvhopnty potius quam Urano convenit». — Auffallend‘
selten begegnen wir dem Pluralis der in Rede stehen-
den Adiectiva: die Formen «YxuXopTro: und xaxo-
pra: sind durch die Unkenntniss der Autoren, bei
denen sie sich finden, hinreichend entschuldigt.
Für airus und alreıvos finden sich zwei Nebenfor-
AX am. ER V a Ren ee Ed
E ES
ER
25
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
le
- men, die nur bei gelehrten Dichtern der späteren Zeit
td zu sein scheinen, airneis und atrós. Die
Form oatzgerc gebrauchen Apoll. Rhod. 2, 721: vnoov
AT OV rien, Leonidas Anth. Pal. 7, 973: EÜPOU pe
Kale xal alrneoca, xatayý. Quintus Süiyi. 1,304:
ga/vecat almneooa. Tétpn Zug T groepdë. 11,333:
Moro poto xoci nréky airneccav. Die einzige Gewähr
für diese Form bietet ® 87: Imdaoov alrícocay ELOY
ent Zatuoevtt, wo airnscca vielleicht durch Indacov
a'reym» Z 35 veranlasst ist, der Dichter aber wohl
eher ein gleichbedeutendes DA Tvsnocccav ge-
braucht haben dürfte. — Häufiger begegnen wir der
neben atrus höchst auffallenden Form Altos die bei
Homer in zwei Verbindungen auftritt, aira Seen
und réi airmv. Vgl. 0369: Sruyèc Sr aTa —
Soa. DO: Ev $ émecoy pe yodo Rao TO, Boaye Ò atra
Ge Go à apo! me! pe YaN taxov. N 625: öç te
TOT ppal Ot pSéocet TOt Str, 1130 ( 533. » 316):
Motoucto ze NEUEN org, 3516: 20v 3 Ay
dere rokwy xsparíépey aërmv. Statt Tóry airy dürfte
es nicht allzu verwegen sein Tomy GP rc0v^) zu vermuthen
nach Analogie von 199g duty, IAS deen, zeideg
é9 oregtag und ähnlichen Verbindungen, die ich' Bul-
letin histor.-philol. XVI p. 439 f. oder Mélanges Gré-
co-Rom. II p. 189 f. zusammengestellt habe. Für eic
ist eine derartige Uebertragung der Masculinarform
auf das Femininum zwar nirgends überliefert, aber
‘noch an einer anderen Homerischen Stelle mit ho-
her Wahrscheinlichkeit anzunehmen. Bekanntlich ge-
braucht Homer, wie Aristarch sehr richtig beobachtet
hat, “Dos als Fei. , wogegen das Neutrum "Icy ihm
fremd ist. Diesem eset widerstrebt in dem auf uns
gekommenen Text eine einzige Stelle, 071:
etc 6 £ Ayao
"Dov aro £kotev ASnvains Sa Bovhas.
Sollte auch diese Stelle unecht sein, wie alte und neuere
Kritiker vermuthet haben, so wäre ein "Dua atr» da-
mit allein noch keiileswegs entschuldigt, da tò "Duov
erst aus der Tragódie nachweisbar ist. Ausserdem
spricht gegen die Richtigkeit der Lesart "Duren aix
éhotev der zwar nicht unerhórte, aber doch immerhin
7) Od. » 316 bietet in der That aixdy der codex Augustanus, und
zwar post rasuram, wie La Roche bezeugt. Dies erwühne ich, nicht
um meine Vermuthung als diplomatisch beglaubigt hinzustellen,
sondern um anzuerkennen dass ein anderer vor mir den gleichen
Gedanken gehabt hat
sehr auffallende Hiatus nach arú. Aristarch soll “Troy
éxméococty geschrieben haben. Die blinden Verehrer
des «grossen Kritikers» werden nicht ermangeln zu
behaupten dass er diese Lesart aus besseren Hand-
schriften entnommen habe; denn eine gewaltsame oder
unwahrscheinliche Vermuthung dem Aristarch zuzu-
trauen kónnen sie sich nicht entschliessen: damit an
seinem Namen nicht dieser Makel hafte, müssen seine
uns unbekannten Handschriften so gefällig sein jeder
seiner Vermuthungen, den richtigen wie den unrich-
tigen, die nöthige diplomatische Beglaubigung zu ver-
leihen. Mir scheint es unzweifelhaft dass wir O 71
"Doy airdv herzustellen haben, was in au verändert
wurde, weil man aëruv als Masculinarform auffasste. —
Die alra bes on (0369. 99) lauteten vielleicht ur-
sprünglich atva osea. Zu Gunsten der Vermuthung
27uyos údatos od béeSpa könnte man sich berufen
auf die Handschriften des Quintus Smyrn. 5,453: 7
de Song Üxave mori Zruyos alva deep, wo jetzt nach
einer Vermuthung von Spitzner in Uebereinstimmung
mit 6,266 Zruyos atna beson geschrieben wird. ® 9
würde ich, wenn die Aenderung atva hier berechtigt
ist, nicht sowohl ava épa als Boaye 3 alva. verbin-
den (vgl. A 420: 3ewóv 9' ¿Boays yoXxog). Bei gelehr-
ten Dichtern ist alos natürlich zu dulden. Apoll. Rhod.
1,927: lotia $ cüoo oTnoapevez xovens ASapavridos
P beeipa, elogfahov. Quintus Smyrn. 2,596: aii
¿ho cop.évou "Yreepiovos alma x£ActSa. 5,55: tedmnotec
aina xéheuda. 6, 145: "Extopos alna éhaSoe. 6,266:
Tapa Zruyos aina beine. 7,557: d Sumdccs
aina papa. Unsicher ist Tupoonoto alris bei
Euphorion fr. 84. ;
Der Homerische Vers B 544:
Soenxac Ber Inlov apol anse,
galt nach Eust. p. 282, 29 den Alten als zwülfsilbig :
To À Üm(ov draoa ol mararol afrovor d ka ayayı-
vooxeıy Broud äu: Sa dxpovnocos rei I, xal yíveras
eeng To Eos ¿hooróvdcioy. Die DECH des Ho-
mer messen dagegen $ntov anapästisch. Dieser An-
nahme widerspricht Cobet Mnem. nov. II p. 200: modo '
Butt &yBoec, Sniov avòga, Anton de nohépoto, Iniov És
Topo dizit TeaM Bos, modo per synaeresin Soto:
naysosar, Beer 85 yappa yevéoSas, p.opvacSa! qora: — i
sed Bekkero placuit Snoot, Snious, niov, Zuierg seri-
bere incertum quo more aut iure. Allerdings findet
sich für das Verbum 3*«»6o überaus häufig in unserem
Bulletin de l'Académie Impériale
28
Homerischen Text die kürzere Form 950 (vgl. $no-
coc A416. 3qoSévcov A 417. Sou» E 452 u. dgl.);
für das Adiectivum dos lässt sich dagegen aus Homer
nur eine einzige Stelle geltend machen, deren Lesart
jedoch streitig ist. 1594 liest man gewóhnlich:
xéxva dé T GRO dyouct Basubavous TE vuvaixas.
Zenodot aber soll gelesen haben téxva òè Spot Ayovar.
Wiire diese Lesart richtig, zo dürften wir ein zweisil-
biger 3os für Homer als erwiesen betrachten. Alle
übrigen Homerischen Stellen welche Cobet zu Gunsten
der Schreibung 3105 anführen kann, sind so beschaf-
fen dass dns mit Verkürzung der ersten Silbe durch
den Vers nicht ausgeschlossen wird. B 415: rpmoa 3
Tugs önloro Súpetoa. B 544: Sognxas prsy nov
app} ornSecotv. À 373: Gase naysosar. Z 82: Ömioror
3 yappa menge, 2331: mupcs Gate Eu H 241:
nía píhmeoa: Apy. 0181: Tupos Bunter evécSo.
1317 (P 148): paovasdout Sufotety dr ayàgaat. 1347
(674): aAcéepevar Bro Top. K 358: vo $ dvògaç
Snus, Aanbnga Se ‚yovvar boya. A 190 (205): pag-
vadar Bnioo XATA LPATEPNY Zog, A 667: Tupos
nou Sépovre. M 264: Baroy dr autawy Önlous.
M276: dníous voti &ccu Beate, 11127: rupgos Inforo | sS
lor». 11 301: drogue vol Bou rp. P 667: 9ntotct
Nros». 3 13: arocduevor oy x0o.. Q 684: aydpacty
3» Snícrar. Die Uebereinstimmung dieser Stellen lehrt
— . dass Homer die erste Silbe in Ae: nicht selten ver-
kürzt, die zweisilbige Form dos dagegen gemieden
hat, und dass Zenodots Schreibung téxva 85 IYor ayouot
keinen Glauben verdient, ein Pentameter dagegen wie
yoAxso» dy. övvya státe póovoy niov (Anyte Anth.
Pal. 6,123) von Seiten des Metrum nichts gegen sich
hat. Mit der Verkürzung dgos statt Sos vergleicht
Cobet die Homerischen Doppelformen Beie und Og-
xss. Allerdings sind die Schreibungen Goÿxss Oonxn
Oonxn se» Ooyxenvds jetzt bei Homer herrschend, ver-
bürgt aber«sind diese Contractionen nur durch E 462:
eidopevos Axapavte 300 nynTopt Bonxöv.
Alle übrigen Stellen wo jetzt entsprechende Formen
geschrieben werden, lassen sich zurückführen auf Govt-
xes mit verkürzter Wurzelsilbe oder @géxss (nach
Steph. Byz. p. 317, 1: to éSwxov paol xal Bpdıxes
„xal Smvxos Opéaca). So À 519: Bars 9 Opyuoy ayös
avgav, und entsprechend A537. Z7. 15. 72. K 464.
470. 506. 518. A222. NA. 301. 2227. Y485. 0234.
. $361. Diesen Thatbestand erkannte Payne Knight,
der E 462 als unecht bezeichnet: «etsi enim dei ple-
runque sub virorum personis in acie versabantur , non
ita Mars nunc fecisse videtur. Vide infra 846, etc.
Ocqxov» quoque, quum in Homerico sermone SAN
fuerit Sezrixov, in nullo vel fine vel initio versus locum
habere potuit». —
Wie nach der vorstehenden ¡CU der Vers
(B544)
Sognxas Käfeg nifo» appl os gg
nicht sechs, sondern nur fünf Spondeen enthält, so sind
zwülfsilbige Hexameter wie wir sie in der ältesten Rö-
mischen Poesie finden, z. B.
olli respondit rex Albai longai, oder
introducuntur legati Minturnenses,
von Griechischen Dichtern schwerlich jemals gebraucht
worden. Denn die insgemein angeführten Delege rein
spondeischer Hexameter (A. Ludwich de hex. spond.
p. 26) kónnen eine derartige Licenz nicht erweisen.
Vgl. A130:"Azocións: «à 9 adc Ex déppou youvatéoSnv.
Statt 'Atosión< schreibt man jetzt mit vollstem Rechte
Arosións (eig. Arperlöns): der älteste Epiker der ein
dreisilbiges Atpsións sich gestattet hat, ist meines Wis-
sens Tzetzes. Der Gen. dopo wird besser Sípooo lau-
ten, wie Leo Meyer erkannt hat. — Y 221: Quynv x-
xAncxoy Horgoxkros derhoto. Homer kennt nicht Ha-
TROXA OS , sondern nur IlatooxAécos. — 0 384: aitov
xal xperoy T olvov Befpídaciv. Fehlerhaft ist x get»,
was vielmehr xpedov heissen sollte; bedenklich dë otvov,
wofür xal olvoo erwartet wird. — ọ 15: co à ¿y Mec-
ann Euren». AAA ADV, Statt der activen Form up-
Barri» fordert der Sprachgebrauch das Medium, also
EuvySinato mit einem erlaubten Hiatus: ev Meco yg
scheint statt ¿vi Mecoyyy substituirt zu sein. —1175
(192): Sek Se rhextny dE autou TELQNVADTE. Miel
mehr «3x6o. — Hymn. Apoll. Del. 31: vñcos T Aëyéms
yaucixAeve T Eäëerg. Der Dichter dieses Hymnus hat
im 4. und 5. Fusse Daktylen gebraucht, vaa Asi,
T Euca.
Il A 156 ist überliefert: érem (oder émel 5 para
moda peta Éd op TE GXIOEVTE SALTO TE NANETTO.
Statt des in der Ilias und Odyssee nirgends weiter vor-
kommenden petağó hat I. Bekker peomyus gesetzt,
wie der aus einer erheblichen Zahl von Stellen ersicht-
liche Homerische Sprachgebrauch zu schreiben ge-
bot. Was man gegen diese Aenderung eingewendet
hat, läuft hinaus auf die eine ger. dass eraf
29 des Sciences de Saint- Pétersbourg.
30
in allen unseren Handschriften steht und bei einigen
späteren Schriftstellern °) und Grammatikern aus eben
dieser Stelle angeführt wird, kurz dass die Ueberliefe-
rung A 156 eben nur perafu kennt, nicht aber peonyo
oder peonyus. Ein derartiges Argument ist freilich
geeignet auch das widersinnigste zu vertheidigen, will
aber doch sehr wenig bedeuten, wenn man erwägt wie
nahe es einer jüngeren Zeit lag das dichterische und
veraltete peonyyó durch das gangbare petaÉy zu er-
setzen. In einem bekannten Orakel (bei Phot. Lex.
und Suid. v. onst: Anth. Pal. 14, 73. Schol. Theocr.
14, 48) finden sich die Worte:
AAN Ent xal zën eloly dneivoveg d To pe GNYÙ
TiguvSog vatova: xo Apxading nekupmdon,
wofür Tzetzes Chil. 9, 492. 886 ct tò peras citirt,
' wie-anderwärts fva ëng 03, ¿mos und Aóyoz, pos und
gute u. del. unendlich oft voi titóclit werden. Um die:
handschriftliche Lesart A 156 zu schützen, war zu zei-
gen dass schon in ziemlich alter Zeit yeca£9 gebraucht
wurde. Einen Versuch dies zu beweisen macht Ameis,
der behauptet, in dem Sprichwort road peroo neher
xúlixos xal yeldcos axpou sei der Anfang sicherlich
aus unserer Stelle entlehnt -— eine durchaus willkür-
liche Behauptung, die, wenn sie richtig wäre, für die
Form petag nichts beweisen würde — und darauf fort-
fährt: «wird doch sogar der ganze Vers (xoX1à.— dxpov)
von Michael Hamartolus in Boisonnade's Anecd. IV
455 dem Homer beigelegt, was wol jeder als ein Zeug-
niss für das Alter des Verses betrachtet.» Wie alt ein
Vers mindestens sein müsse, damit er von einem
schlecht unterrichteten Pyme für Homerisch ge-
halten werden kónne, hat Ameis vorsichtiger Weise
unentschieden gelatin Michael Hamartolus aber hat
seine falsche Angabe vermuthlich aus Stob. Flor. 111,
14 entlebnt, wo der nàmliche Vers roMa petao ré-
het eege xal yesos degen angeführt wird mit dem
Lemma "Oagecu 'O3uccsíac. Der Ursprung dieses Irr-
` - thums erklärt sich sehr einfach, wenn man weiss dass
in den Schol Od. xy 9 dieser Vers besprochen wird;
statt der Homerischen Odyssee hätte Stobaeus viel-
mehr die Scholien zur Odyssee erwühnen sollen. Aus
Dez Auf einem Irrthum beruht Bekkers Angabe (Hom. Blàtter I
212), dass Plato in einer Anführung uera&v habe; bei Plato wird
dido Stelle überhaupt nicht angeführt. Wohl aber bieten petao in
Uebereinstimmung mit unseren Handschriften Plut. Mor. p. 672 D.
Dio Chrysost. 37, 44. Apollon. e Epist. 60. Iohannes Alex.
p. 42, 19. Schol. E 479. I 363. T 218
t
der irrthümlichen Angabe des Michael Hamartolus
lässt sich somit das Alter jenes sprichwürtlichen Ver-
ses in keiner Weise bestimmen,
Zu Od. x268: olda yap de ed aucóg dhevocar ees
TY aAdov diete oe étage, finden wir in den Schol. -
Havn. über cà» die Bemerkung: 'Apíotapyos gud) tod
cóov. In seiner ersten Ausgabe der Odyssee billigte
Ameis die Auffassung des Aristarch aus verschiedenen
Gründen, die man bei ihm selbst nachlesen mag; spá-
ter Mikschnóte er có» als Gen. von cos, wofür er wie-
derum verschiedene Gründe anführte, ohne jedoch des
einfachsten und schlagendsten Grundes zu gedenken, `
des Umstandes nämlich dass die einsilbige Form ode
der Homerischen Poesie fremd ist. Bekanntlich ist coz
entstanden aus oae (eigentlich caros), wofür frühzei-
tig ocos aufgekommen zu sein scheint. Abgesehen von
einer einzigen Stelle, X 332:
Kee, aca TOY ČENG Hazzeniee éEeva.ot oy
cos &cceoS , ¿pi 9 oùdèy orikeo voopıy dovra,
wo 00s ¿o0z03 aus Los £cocoS oder gods ¿osos ver-
derbt ist, gestattet die Homerische Poesie durchgün-
gig die an mehreren Stellen durch den Vers gefor-
derte zweisilbige Form, die wir eben deshalb bei Ho-
mer als allein berechtigt anzusehen haben‘, während
der «grosse Kritiker» Aristarch, sei es nach schlechten
Handschriften, sei es nach eigener Willkür, das Attische
cóc bei Homer unrichtiger Weise bevorzugte (vgl. La
Roche Hom. Texteskr. p. 358). Die zweisilbige Form
lautet in der Ueberlieferung der Homerischen Ge-
dichte fast durchgängig cóoç: nur selten begegnen wir
der Form 6005 (wie bei Apollon. de coni. p. 489, 16:
Boukou eyo Aay cao» qvos, aus À 117, und Schol. A
11252: Soe ypapstar, xat coc» xal caoy), die ety-
mologisch allein berechtigt ist und aus zahlreichen
Ableitungen auch bei Homer erkannt wird: dahin ge-
hören oacppwv und oacogocuvn, Verbalformen wie
écaoca écawSny caoco caVcopa:, namentlich aber
der Comparativ caortepos A 32. Nach diesen Ablei-
tungen, die das Alpha der Wurzel durchgángig be-
wahrt haben, erscheint es als höchst auffallend, dass
odos aus unserem Homerischen Texte fast spurlos ver-
schwunden ist. Für die Veränderung der ursprüngli-
chen Form oaos in ccc; dürfte der O-Laut der En- .
dung maassgebend gewesen sein: ganz eben so kam
statt pacs. die Form edos frühzeitig auf (die Schrei-
bung og wird von Leo Meyer Zeitschr. f. Spr. IX `
31 : Bulletin de l'Académie Impériale 32
p. 389 verworfen); aber die Trübung des wurzelhaften
Alpha beschrünkte sich auf den Nom. und Acc. Sing.,
d. h. auf die Formen wo ein O auf das Alpha folgte,
wogegen pas und oasa den ursprünglichen Vocal durch-
güngig bewahrt haben: wie etwa Anpopaov zu Anpopoov
werden konnte, Evpvoascscoa dagegen eine entspre-
chende Veránderung nicht erlitten hat. Kónnen wir
somit die Formen 0605 gov ocot bei Homer gelten las-
sen, so dürften doch schwerlich Trübungen zu recht-
fertigen sein wie ccv, und oda. Vgl. O 497: &hoyos «e
con xal naiss ómicoo. 0382 (v 364): ug meo cac
zo. góa ép. Den alten Grammatikern lag es begreif-
licher Weise sehr nahe, sobald 0005 und odo» aner-
kannt waren, auch con und soa für berechtigt und
- nothwendig zu erachten?): uns wird obliegen die gesetz-
mässigen Formen san oaa wiederherzustellen, weil für.
. diese Formen eine Trübung des Alpha als unmotivirt
erscheint, und namentlich weil das Attische va (Neu-
- trum Plur. bei Eur. fr. 762 und Plat. Critias p. 111 C,
Fem. Sing. bei Aristoph. Com. 2 p. 1194) den Wur-
zelvocal Alpha erweist. Eine Spur der richtigen Fe-
mininalform ist vielleicht wahrzunehmen I 230:
ara inv péyo Tempo, dorpepés, Stoppe
dsldıyev dy Berg 9$ oo cépev y Loon:
vias duscéhpovs, el pon ol ys dussar deg,
Hier hat I. Bekker das sinnlose caocéuey geändert in
0005 čev (eben so etwas später Cobet Mnem. IX p. 392);
- die Gesetze der Grammatik fordern vielmehr eaa dev,
und caocégsv erklärt sich nunmehr ganz einfach aus
der falschen Verbindung cuacéuev. Der classischen
Zeit durchaus fremd ist die Form 0095 (richtiger 000g),
die zuweilen bei Homer als Variante auftaucht (wie
A 117. H310. © 246) und bei Attischen Prosaikern
‚statt des ursprünglichen coz sehr häufig in die Hand-
schriften eingedrungen ist: so weit wir zu urtheilen
vermögen, kann cocs als sicher gelten nur für nach-
alexandrinische Autoren, wie Apoll. Rhod. 1, 918.
Philodemus Anth. Pal. 6, 349, 6. Babr. 94, 8. Ma-
ximus zei xatapyo» 386. Merkwürdig ist der Miss-
brauch späterer Dichter, welche durch die Form ocez
veranlasst wurden Bildungen wie Boorecocos im Sinne
9) Sehr bezeichnend für die Anschauung der alten Grammatiker
ist was über den Ursprung der Form 50 berichtet wird Schol. Eur.
Hec. 994: 4x5 tod 0005 xatd SUXOT HV YÉverat 005, 100% Sek Awpt-
awe 040%, xat tponn toù À eig v péya xai &xßon tod O 605. Ext (L
&£ott) di xal odor did 109 O use
von gau tous aySporovs zu gebrauchen: während die
in álterer Zeit vorkommenden Adiectiva der gleichen
Endung (Aao006os, Soguoccos u. dgl.) bekanntlich nicht
mit c&og oder cóos zusammenhängen, sondern von csào
(eigentlich orso) abgeleitet sind.
Dem Adiectivum caos entspricht das Verbum caño,
das in den Homerischen Gedichten die regelrechten
Bildungen caëco acp. 800.000. 200.057» nebst den
zugehórigen Flexionsformen durchgángig bewahrt hat,
im Präsens und Imperfectum dagegen eine Unregel- `
mässigkeit zeigt, in der ich nur einen neuen Beweis finde
für die nach meinem Dafürhalten unzweifelhafte That-
sache, dass die Alexandrinischen Grammatiker wenig
Griechisch verstanden, und dass die Homerischen Ge-
dichte, weil diesen vorzugsweise ihre unreife und will-
kürliche Kritik galt, am meisten systematisch entstellt
. wurden. Auf einem leicht erklárlichen Irrthum beruht _
die Schreibung eg o als Imperf. an zwei Stellen der Ilias
wie als Imperat. an zwei Stellen der Odyssee. II 363:
aa xal Os dvépuuve, cao à Eoinpas Eraipous. 238:
Locus òè oao xata xaha bé5pa. v 230: Ma cao piv
radta, cao 9 pé. p595: ayrov piy oi THOTA cao
(sao eine Wiener Handschrift und Apollonius de pron.
p.59 A). -Dieselbe Form finden wir überwiegend in `
der späteren Poesie, wo man mitunter zweifeln kann,
ob die Dichter selbst oder die Abschreiber durch
den Homerischen Text sich täuschen liessen. Callim.
Hymn. 5, 142: xoi Aavasv xAdgov aravra cao. 6,
135: yale. Sea xai Tavès cao To. Phaedimus
Anth. Pal. 13, 2: Anohodooou raida xal rarpav `
cao.: Greg. Naz. vol 2 p. 73 B: dMa cao xal
vous pcv. p. 79 D: Ma can pe cam. pe, PAN
tuas. p. 96 B: aka cgo pe cao pe, Teod cys. Greg.
Naz. Anth. Pal. 8, 37: Ma cao xal v0» pe, TATEP,
peyadyo: tow. Apollinar. Par. Psalm. bei O. Schnei-
der Callim. I p. 83. Unversehrt hat sich e&ocv erhal-
ten Hymn. Hom. 13, 3: yaips Sea xal tnvèe oaov To-
Xv (wo man jetzt cao schreibt mit Barnes). Callim.
(Epigr. 35) Anth. Pal. 6, 347: ¿Ma où pèv dé, Tó-
cw, THY dE oaov (so Anna Fabri). Hedylus bei Ath.
XI p. 486 B: nv aaou (ny c) sas richtig L. Dindorf
im Thes.) ravrog. Theodoridas Anth. Pal. 6, 157:
Toto piv wAoras Bale, caou de Grieg Quintus Smyrn.
12, 153: xAüSt, Sea peyadupe, caou 9 ep xal TEOV
immo». Synes. fyra. 3, 496 p. 329 B: ra où rayta
paxap Arfueco: oaov. 3, 543. 546 p. 330 B: xai
des Sciences de Saint -Pétersbourg. #
cópa cao grenge, &ySpaic a aov Aën, xal zen
gaou dpóħuvtev, avaë. 8, 6 p. 345 C: où dé pov Broto»
caou ravarmova, xoipave. 8, 38 p. 346 B: òapov dienen
oaov. Einem Schwanken zwischen beiden Formen be-
gegnen wir in dem Epigramm Anthol. append. 294:
_xuies, Ze Bachet, xal oao Apxadlav, wo Polybius 4,
33 cdo (Var. cac?) bietet, Pausanias dagegen 4, 92
caos (Var. cóc). Für Hosen wie überhaupt für die
lrinische Zeit werden wir das regelrechte
oëeu für nothwendig zu erachten haben mit CobetMnem.
noy. II p-356: «nempe Ev Tolg tarator évévearto CAO,
napspIapn 3b Und Toy PeTayapaxınpıcavwv, qui ca
. scripserunt quum caOY deberent.» — Stärker entstellt
sind diejenigen Formen des Verbum c«6o, welche bei
Homer in der Wurzel den Vocal get on zeigen.
1393: nv yap òr pe 0000, Seol xa, olas Be ee? Hier
ist entweder nv yap $% pe caño: Seo oder nv yao
91, cacwot Seo zu schreiben; dass die Ueberlieferung
schwankte lehrt ein Schol. m cómo!" Topavviov np
TEPLOTO Oc degen — Ariov Ak Bui rod A Yoage: — 1
de Tcov Xenets, Qv ¿om xal ó Acxahovíras, oe 00-
oct, xal Sidoy Ser Tod ouer ouarokmy autos (doch
wohl aro) del roapadécacsa: Womit zu vergleichen
das Citat in Schol. V 11 252: du yao 3 we oaoot
Jeol xal oixad tempor. Ferner 1424: 1| xé Gen vñas
te 060 (andere on) xai Xa6v Aan, und 1681: érroc
xev vidis. Te 005 (andere Handschriften bieten cénc,
Gute, 0005, eege) xai Aay A xe16v. An diesen bei-
den Stellen liegt es nahe vis Te cao? und vite Te
cactis zu schreiben, zumal Aristarch 1681 zwischen |:
cops und caos schwankte; vielleicht aber ist vorzu-
ziehen vac oacy und vias cacas. In jedem Falle ver-
langt die Wurzel den Vocal Alpha. Vgl. -Tyrtaeus fr.
‘11, 13 bei Stob. Flor. 50, 7: m&UpoteQot Svroxouct,
cavòt (so Buttmann statt des handschriftlichen adouat)
òè Aaó» ómiooo. Theognis 868: alypnuns yap avro
mm Te xal &ccv oao? (andere cao). Callim. Hymn. 4,
22: oao? dé pv avr dria Soo. Nicander Alex. 167:
TÒ yap On Lon» te cac? (andere cac), xai mótuoy ért-
aret (?). Diog. L. 3, 45 (Anth. Pal. 7, 109): Peißes
épuas Bporois Amy 792 Marovo, tv py {va Yu-
mv, Toy 8’ "e E cao? ^), — Endlich ermangelt für
> 10) aig bei Diog. L. als in pra Anth. pe scheint ‘tot überlie-
. Eine Prüsensform von oacw vermuthet m auch bei
[een Se 73, angeführt von Apollonius Ae pron. p. 128 B: Ggs
Tome XXII. p
Homer und die ältere Poesie hinreichender Beglaubi-
gung die Form cwo, deren sich spätere Dichter aller-
dings bedient haben. Apoll. Rhod. 2, 296: ol à ¿px
elgaytes Undotpepov ap dei vga gece zer (so Ruhnken
nach dem Zeugniss Etym. M. p. 742,7 statt des hand-
schriftlichen Ceieczer, 2, 610: 3n yap paca ZE Aldao
Good. 2, 1010: adovco maptE TıBapnvida yaiav. 3,
307: Ud cte atn coopéyor peoonyos Évéxaoev. 4,
197: avtov S úpelov doShmy éraoo'0y dodoay costs.
Nicodemus oder Bassus Anth. Pal. 9, 53: “Trroxporns
paos T wies xal costo Ay Eve Macedonius
Anth. Pal. 5, 235: dAX ¿pl cb VU yo dm nreiporo
pavéyta oe Tedy Ayıdvov ¿vd dsfop.eévn*). Bei Ho-
mer ist o@eıv überliefert an zwei Stellen, 0363: ő of
paño rokhoxtg ulov vetpGpevoy COECXCY UT. Euguc'ic
déShov, und (430: «o 9 étépo ÉxateoSev itv» ges
éva/oouc. Weder die eine noch die andere Stelle kann
das Omega der Wurzelsilbe rechtfertigen; es werden
also die durch die Analogie geforderten Formen in ihr
Recht einzusetzen sein, dort caceoxoy, hier TUCOVTES,
In gleicher Weise ist e 490: orépua uge roto», wo
Buttmann Ausf. Sprachl. II p. 295 appa. Topos TONY
vorgeschlagen hat, vielmehr créppa Tupos ca her-
zustellen: die Zulässigkeit dieser dreisilbigen Form
spricht dafür dass Buttmann, wenngleich sein Verbes-
serungsvorschlag nicht zu bise ist, doch mit vollem
Recht gègen das handschriftliche cotoy sich erklärt
hat ^).
oT gon armoluuévous Game H
AXxaioc Sevtépw. Doch könnte hier, wie Bekker erinnert, auch Sawo
oder géngen oder eine entspre echende Form gestanden haben
11) Von zweifelhafter Gewähr ist die handschriftliche ec? bei
kan fab. 103, 17 setzte Lachmann: aoro, eot», statt
des iae rotin Coto, áns andere mit Recht in
181, 23.
an einer Stelle des älteren ee: ei coto, überliefert,
aber keineswegs einstimmig, bei Hesiod Op.
mouvoyevne de mars Ge Cot beier ua OÙLOV.
So die eine Recension, während andere schreiben:
N enge, ai rats ely TATpwtoy otxov
"exi (ws yàp mhoUros aketat èv Keyaporaıv.
Hier FE der zweite Vers eine spätere Zuthat zu sein, die durch
das erg E en wurde. Mit Tilgung dieses Verses
möchte ich schreiben
vere di oe cado! 7 Tatpwtoy oËxov.
Die Form caco: kon e leicht einerseits in oo, andrerseits i in ein
entstellt werden. Auffallend bleibt freilich oixov statt roixov.
8
Bulletin de l'Académie Impériale
Od. 0.479 ist überliefert:
avcho © Evdounnse TETOVO Oe all xh.
Die einsilbige Form xn£ findet sich nur hier und bei
- Grammatikern die auf die vorliegende Stelle Bezug |
nehmen. Sonst gebrauchen die uns bekannten Dichter
zur Bezeichnung des hier gemeinten Vogels durch-
güngig nur die zweisilbige Form, xnu& oder xam.
Babrius 115, 2: dans re xai xuw Se doo caus.
Lucian E 113: roûs tavta mere dya xa SN LEVOS
p.ovos omoi XApUE (l. ud) ge Toy Toda. Hippo-
nax fr. 2 p. 589: Kixov 3 ó mavdarnrtog (?), Ap.p.opos
xaung. Antimach. fr. 77: dcs ttg xauné duvy. Callim.
fr. 167: eudtot AS Lycophr. 495: tpuacous de
TAL{UTOUGL Keoxaipov vara, zouge, 741: E Goen
mom iuevoc xhado. 789: AcioSov A8 xanë Bots
HAT Seoyeus. Leonidas Anth. Pal. 7, 652, 5: 10
Lä To anne xal ¿y Sugcgors \apfdecats eine
ärvous. Euphor. fr. 88: ng ov alsura C905 xpuspol
xaunxes. Schon nach diesen Stellen muss das einsil-
bige së bei Homer’als höchst befremdlich erscheinen,
zumal da xq»$, wie die Nebenform xaung und das La-
| teinische gavia lehrt , ‚zwischen den beiden Vocalen
ursprünglich noch ein "Vau hatte. Es dürfte somit
zu schreiben sein:
avrho à Evdounnas negos Og ely AN XIVE.
Somit ist es vielleicht nicht zufällig, dass mehrere
Handschriften der Odyssee die zweisilbige Form XNUË
bieten, die auch im cod. Gotting. der Schol. Pind.
Pyth. 8, 10 sich findet. Zur Unterstützung meiner
Vermuthung kann dienen Schol. Soph. Ant. 264, wo
in einem Verse des Callimachus (fr. 209) péyas etvd-
Atos pudooc überliefert ist statt péyas sv Al pudpos.
Statt ¿vdour nos wird aús einer: Wiener Handschrift
und Eust. das Simplex 'éBour os. von La Roche ange-
merkt: vielleicht eine Spur des ursprünglichen «vto
8 äydsunnee. Uebrigens dürfte die aus Hipponax, An-
timachus und jüngeren Dichtern nachgewiesene Form
xavné in Verbindung mit dem Lateinischen gavia wohl
eher auf ein älteres xarné oder xnrné schliessen las-
sen, das freilich nirgends bezeugt zu sein scheint, als |
auf das von mir vorgeschlagene xnu£, das als Appella-
tivum spät und selten, überaus häufig dagegen und
schon bei Hesiod als-Eigenname auftritt. Darum würde
ich nichts einzuwenden haben, wenn jemand an der
Homerischen Stelle avte A eydounnos recodo os ci»
adi xnnë zu schreiben vorzöge.
1l. 0532 — 541 spricht Hektor in einer Versamm-
lung folgende Worte:
Siocna) ef xé pe 0 Tudsións OS Aroumöng
TAO yr» TOO Tel oc ATWOETAL, d Lë ¿yo TO
e daucas Sapo. Bporcevra popa.
aŭ otoy NV deer» dasiostas, d x pov tee
ue(vq émepyópevoy: oO), Ev TQÓTOLON, do,
KEÍCETOL Deet rohées à app TOY étaigot,
LA AYLOVTOS Ze a3 gto. el yap ey Oc
ELN Gsavares xal aynpaos npara TANTA,
E a 9 de tet ASnvain xal ATOMOV, `
de vOv Tjxéon NE xaxòy oéoet Apyetorow.
Ueber die Verse 535 — 537 finden wir in den Scho-
lia A folgende Bemerkung Get Ñ TOUTOUS del Tous toeig
oriyous pM ote TO avcíovyy.a mapaxsıcat, Y TOUS ¿Ens
toeic, ot al ocea TagaxewTaL eis yap d AUT
yeypappévor slol Sroaivoray. ¿yxpíver SE p.obhhov ó Aplarap-
yos ie deutépous da: TO HO Meer etyat TOUS
hóyovg' 6 òè Znvodoros tods noWroug telg cU8b čypapey.
Hierhach hätte Aristarch drei Verse und zwar ent-
weder 535 — 587 oder 538 — 540 ausscheiden wol-
len. Es liegt aber auf der Hand dass 538 — 540 sich
nicht ausscheiden lassen, falls nicht zugleich 541 ver-
worfen wird: darum wollte I. Bekker schreiben 9 tovg
¿Eng téocoapas (538 — 541), eis al otypal Taga-
serien, und in der That konnten tests und tégoapes
überaus leicht vertauscht werden, wie sonst tptrog und
réragros. Gleichwohl ist Bekkers Aenderung unwahr-
scheinlich mach den Worten 6 32 Zyveðotos tovg rpw-
trous tosta 0085 ¿vpaqe», die darauf hinzuweisen schei-
nen dass es sich um je drei Verse handelte. Unter den
¿Ens toets ere möchte ich daher mit Pluygers und
585
540
und L. Friedländer (Aristonici mep? onpelov "Dados
reliq. p. 152) die Verse 538. 539. 541 verstehen und
annehmen dass Aristarch die aus N 827 entlehnten
Worte
moin I de tér ASnvaén war Ane) oy
an unserer Stelle überhaupt nicht gekannt habe. Dies `
ist der wesentlichste Gewinn der sich aus dem oben
mitgetheilten Scholion ergibt: nicht zu verschmähen ist
demnächst die Notiz, dass Zenodot die Verse 535 —
537 083 ¿ypage», d. h. aller Wahrscheinlichkeit nach
in seinen Handschriften des Homer gar nicht vorge-
funden. In der That bieten diese Verse manches be-
fremdliche: nv apermv statt roy ap., dostosta: statt
des hier zu erwartenden use Setter, endlich oùrnSes
37
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
38
statt des üblichen ovtap.evos. Gleichwohl dürfte es
misslich sein auf diese Indicien hin die drei Verse
535 — 537 als eine spátere Einschaltung zu verurthei-
len: ich möchte eher mit Payne Knight und I. Bek-
ker die Echtheit der Verse 535 — 541 in Zweifel ziehen
als annehmen dass die drei in der Ausgabe des Ze-
nodot fehlenden Verse von unberufener Hand nach-
tráglich eingeschaltet seien. Dass 535— 537 vor 538
nicht fehlen dürfen, scheint mir klar hervorzugehen
aus einer bisher meines' Wissens von niemand wahr-
genommenen Entstellung unseres Textes, um derent-
willen gerade eine Besprechung dieser Stelle nicht
überflüssig schien. Aristarch wollte entweder 535 —
937 oder die drei nachfolgenden Verse (nach unserer
Zählung 538. 539. 541) ausscheiden '”), weil in bei-
den Stellen derselbe Gedanke enthalten sei. Worin
aber besteht die von Aristarch gerügte Tautologie?
Offenbar nur in der Ver bindung von &0ptov NY APETV
Stasisera. und meAíou AYLOYTOS ÉS gäe, Allerdings
ist diese Verbindung unerträglich; aber neXlou awovroc
és gäeren scheint mir an sich unpassend, und wenn die
Erklärer bemerken, és otov sei hier «unrichtig» statt
avgtoy gebraucht, so kann ich diese Unrichtigkeit nicht
dem Verfasser unserer Stelle zur Last legen, sondern
lediglich den Abschreibern. Wie wir H 423 lesen:
NeALog piv ¿mento véoy TpocéBO ME» gëeuiege — OÙ pAVOY
Stoos, und ähnliches anderwürts, so scheint es mir
‚unzweifelhaft, dass es utspränglich geheissen nehtou
dvóvtos és oupavov. Gerade durch das voraufgehende
adprov V. 535 wurde der. Fehler unseres Textes ver-
anlasst, und wenn wir dwóvrog és oupavov herstellen,
so ove sich für die früheren Worte eine leon:
mung wie sie in avptoy enthalten ist, als unentbehrlich;
V.535 — 537 kónnen somit unmóglich einfach ES
geschieden werden. Statt éreoyoyevov 536 dürfte dreg-
Xop.évou nothwendig sein. — Eine andere Metamorphose
hat das Wort oupavós NE Georgius get, in
Spengels Rhet. Gr. vol. 3 p. 254, 16 erlitten,
ein Beleg der rpoowror.euia angeführt wird, ot où Ber
Simyoüyrar SoËav Seen, Den Ruhm Gottes verkün-
den wie andere Geschópfe so wohl auch die Geier, vor-
zugsweise aber doch die Himmel: statt e otwvol ist
13) Statt n£verv wäre angemessener a3eceiv: wenn drei Verse den-
selben Gedanken enthalten wie drei unmittelbar voraufgehende oder
nachfolgende, so ist dies ein Grund nicht zum Beibehalten, sondern
zum Tilgen von drei Versen.
vielmehr d cuvol d. h. oi odpavol zu schreiben, wie die
Quelle des Spruches (Psalm 18, 2) lehrt.
1.1412 415:,
el pév x aus: pávov Troov TONY APPLY pa, *
GASTO Wë pot 09706, ATAG sën apSttoy datar:
el Sé xe olxad Top im de rarplda yatay,
GAETO por xhdos éoShov, ¿ml Bmpo dé por atoy,
Die Ueberlieferung schwankt V. 414 zwischen top:
und began. Gegen cixaÿ (op spricht der Umstand,
dass in tx» die erste Silbe stets lang gebraucht wird.
Tadellos in metrischer Hinsicht ist Bentleys Vermu-
thung oixa$' Txopoa, éd» de rarplda aia, welche
von Bekker Hom. Bl. p. 218 und Meineke Stob. Ecl.
p. CXCVI gebilligt wird. Dass jedoch ein überliefertes
opt Ey in Txopoa oO» übergegangen sei, kann
ich nicht für wahrscheinlich halten *). Leichte ist
jedenfalls die Aenderung:
el dé xe olxad (ont pim» de Tarplda yatay,
und wohl auch sinngemässer: denn el xev Txopo be-
deutet «wofern ich gelangt sein werde», el x&v lop
dagegen «wofern ich aufbreche»; dem ads: pévery kann
aber füglich nur das Antreten der Reise, nicht das
Ankommen in der Heimath gegenübergestellt werden.
Die Form tow, die ich sonst nicht nachzuweisen ver-
mag, ist gesichert durch iyasa K 67 und tyow 1701.
Il. A528 — 530:
xelo Imroug te xal App. iSuvopev, Sa guo ca.
innies reboi te, xaxnv ¿pida rooBahoytec,
` ŒAimhous OAÉxouct, Bon Ò Lofeotos Zegeen.
Die Verbindung ¿o xoogoXAst» ist mir räthselhaft,
und meines Wissens ist es bis jetzt niemand gelungen
eine mit dieser Redensart vergleichbare Anwendung
des Verbum rpoßarrsıy nachzuweisen. Denn nur auf
einer falschen Vermuthung, welche durch die vorlie-
gende Stelle gestützt werden sollte, beruht was Wun-
der dem Sophokles beilegte: erst pot mv Epıv ov mpoi-
Bares Trach. 810, wo ich das handschriftliche mv E
0 | pay für durchaus nothwendig, dagegen rpoußades für
verdorben halte und mit der auf die Scholien gegrün-
deten Aenderung drei po: (oder éxeiv)) mv Séptv au
mpovashets zu heilen versucht habe. An der Homeri-
-
14) Die ei Vertauschung scheint — Od. TT
c 8 ¿mi rotor ëréeeoa yepatv êmat.
Wo ich yepot a vorziehen würde nach X27: Kach ð: veel
el A noyuve Saitov. "D 99: do£faro yepol planer. € 482: Aen 8
cun» ÉtTapnouto yepal Pina. h
3
-Tepopépovtes. Tzetzes Anteh. 25:
Bulletin de l'Académie Imperiale
40
"schen Stelle scheint mir nothwendig zu sein: xaxny
¿pda roopépovres. Ueber diese Verbindung vgl. T7:
Téguu Y dom Tai qs ott ¿onda mpopepovran Ç 92:
oreißov 3 d» Bósparo: Sods ¿pida mpopepoucat. 3210:
Ge Tis Estodoxo ¿pda eecht aéShoy Sip. Ev dAAo-
$axó. Anth. Plan. 29, 5: “Extoga — Aavaoict MONTY
(ayns die Handschr.) rpopepovra. Orac. Sibyll. 14,
93-(196): &hAnhous XTEVÉOUO! (xorpovo!) xaxny ¿pda
(Lone aig. TOSYTOS
er aXmhois mpopépovoar. Die Mehrzahl der vorste-
- henden Stellen spricht für das Activum reopégew: nur
L7 und $ 210 finden wir das Medium, &prda roopépoy-
«at und Eorda rpopepyrar déShov. Aber 3210 erscheint
bei Julian p. 96 B in folgender Fassung: Gares ervo-
oxo ¿oda t oopégqot Qagstav, und T7 wäre xaxn»
¿pudo moopépovary durch das Metrum gestattet.
Il. T1810 f. heisst es von Euphorbus:
xal yap On tote portas Éelxoot Boe» ap Dora,
root Zu c)» Asor, Sida oro pevos TohépLolo.
Durchaus berechtigt ist eine Structur wie ¿pretoos
rives, eldos tivos, dedampévos tivos: aber PIRL O x Ope voc
twos hat bisher niemand zu rechtfertigen vermocht.
Man sollte, wie ich meine, erwarten 1:Aatopevog To-
Anere, Vgl. l 133: deefe Arkaröpevor end
IL. 2410:
1, xal ax da osécoto TEMP alnzov avéotn
"wie: Ad 9i xvnpol baovro Aparal.
Wenn Hephästus réhos genannt wird, so bezieht sich
diese Benennung auf die Hässlichkeit seiner gleichsam
den Naturgesetzen zuwiderlaufenden Erscheinung: was
das nur hier vorkommende aintev bedeute, ist ein un-
gelöstes Räthsel. Ein durchaus angemessenes und zwar
nicht weiter in der Homerischen Poesie, aber bei Ar-
chilochus erscheinendes Wort bekümen wir, wenn es
hiesse zéAoo ainvès dvéorn. Ueber aimms (Attisch
alawıs) vgl. Blomfield zu Aesch. Pers. 935 und die
im Bulletin VI p. 38 f. oder Mélanges Gréco-Rom. II
p. 441 f. von mir gegebenen Nachweisungen. Alte
und neuere Grammatiker berufen sich, um alnros zu
schützen, auf ® 395:
virt ar, © KUYOLULO, Secüc épòt Euvehmbverg
Sapaos d ANTOY Eyouca;
Auch diese Stelle ist höchst bedenklich: denn nur für
einen Nothbehelf kann ich es halten, wenn man &qccv
auf np: «wehen» zurückführen und aus der hiernach
gewonnenen Bedeutung «wehend» die neue Bedeutung
«heftig» ableiten will. Die von Hesychius überlieferte
Notiz, dass Aeschylus (fr. 2) anrous für p.eyohos ge-
braucht habe, kann uns wenig helfen, da der Beleg für
diese Behauptung uns vorenthalten wird, und wenn
Nic. Ther. 783 dyros im Sinne von axopeotos an-
wendet, so beruht diese Redeweise vielleicht nur auf
einer falschen Auffassung des Homerischen Sapoos an-
xov. Dentlicher ist die Entlehnung aus Homer bei Quin-
tus Smyrn. 1, 217: GX dye Sagoos datovy Evi arep-
vost haBóvres axs pynoopecõa. Zu einem sicheren
Urtheil über das Sapoos antev habe ich bisher nicht
gelangen können: sicherlich aber ist reXop atqtov durch
Sapcos nto noch keineswegs gerechtfertigt.
Od. «68 f.: cà Hocedatoy yamoyos aaxeitg alet
Kúxdoros xeyóhota:, 0v 69S aA. 00 aAamcev.
Die Verbindung ó95So24.09 doce» kehrt wieder (516:
vOv SÉ p dv CAlyos Te xal cutibavog xal axtxuc oprah-
pod dhawoas. Man entschuldigt die pleonastische Re-
deweise damit dass in aA«cóv der Begriff des Berau-
bens enthalten sei, also óoSeXqc0 ahaocev stehe für
zone dorépncev. Aber ahaocuy heisst «blind ma-
chen, blenden», und daou «tva 6oSauo ist nicht
minder befremdlich als tupAoöv tiva $9SeApo0 oder
«jemand des Auges blenden» es sein würde. Dass von
tupXog zuweilen ein Genitiv abhängig gemacht wird,
kommt hier nicht in Betracht: tuphos tivos ist so viel
als out 690v «t oder Ardpis tivos (vgl. Tuokos Tod péh-
Aovcog u. à.), lässt also mit aioeug SoSarnou sich ganz
und gar nicht vergleichen. Wie man aber TupXag Toy
Erepov 6pSa.ov sagt, so würde ich SoSaapous daf
twa nicht beanstanden. Der Genitiv pSaapod scheint
an den beiden oben citirten Stellen hinzuweisen auf
das ursprüngliche Sao dranepoeg und OQSaAxoU
arapepcas. Für apépðew oder dmap.éodey Teva tivos
finden sich bei Homer und jüngeren Dichtern zahl-
reiche Belege; unseren Stellen gleicht am meisten 3 64:
ooTar.oy piy & dpegae, dido à nèeiav adn).
Od. T387: eið Ki ¿de Be à aya yet, ahha Bohea3e
| UTOY TE GOEY xal fren TATPOLA TAYTA TÉ.
Eine der wenigen Stellen wo statt des bei Homer herr-
schenden rav3ayo die jüngere Form aydavo gebraucht `
zu sein scheint"). Vielleicht ist &pavdavsı eine will-
kürliche gg statt des ursprünglichen arsvadev.
15) Statt Boukns, n $a. Seoisıy Epnvdave unticwo:y H 45 hat Hoff-
mann 3eotc émoavdave vermuthet, I. Bekker dagegen Seotory ¿rnydave
drucken lassen: wir werden vorziehen Szoto:y Eravdave mit Payne
A9 ; des Sciences de Saint- Pétersbourg. TN 42
Noch kónnte ich manche Stelle zur Sprache brin-
gen, wo die überlieferte Fassung des Homerischen
Textes mir unhaltbar scheint; doch es kam mir zu-
nüchst wesentlich darauf an, zu zeigen dass wir berech-
tigt und verpflichtet sind wie bei anderen Texten des
Griechischen Alterthums, so vorzugsweise bei Homer
unser Urtheil nicht blindlings den Handschriften oder
den Alexandrinischen Grammatikern gegenüber gefan-
gen zu geben. Sollte es mir gelungen sein für diese
Ansicht einige Anhánger gewonnen zu haben, so würde
der Zweck der vorstehenden Bemerkungen vollstündig
erreicht sein. Dass wir alle mehr oder weniger ge-
neigt sind den gangbaren Homerischen Text als un-
trüglich zu betrachten, geht hervor namentlich aus der
Gleichgiltigkeit oder Willkür, mit der wir Homerische
Citate und Reminiscenzen zu behandeln pflegen. Bei
weitem die meisten Citationen aus Homer geben al-
lerdings den herrschenden Text; zuweilen aber dürfte
es doch nicht ganz zufállig sein, wenn im Alterthum
selbst Varianten auftreten, die mit den Vermuthun-
gen neuerer Kritiker -ganz oder theilweise zusammen-
fallen. Hierfür einige Beispiele. X 460 liest man: xoà
Sopnx * o ya Ñy ol, drmodeos moros éxaiooc. Da das ein-
silbige du bei Homer mir bedenklich scheint, so habe
ich vor mehreren Jahren die Vermuthung ausgespro-
chen dass eu &xéAecs zu lesen sei mit Tilgung des
entbehrlichen Pronomen ci. Zu Gunsten meiner Ver-
muthung konnte ich anführen das Citat bei Choerob.
in Psalm. p. 9, 18: © yap nv anwheoev rotos Eraipog,
wo Gaisford durch den gangbaren Homerischen Text
sich verleiten liess nach yy das Pronomen (ot) in Klam-
‘mern einzufügen. —&8185 wird allgemein geschrieben:
TOMA dàyea Suouevésoou(v), yappata à eupeveryor. Sehr
i ansprechend vermuthet Herwerden Eur. Ion. p. 198
"osparg 8’ e gevésaat. Damit vel. Gregor. Naz. vol. 2
p. 47 A: yappa péy edpevécoory, dos dé te Suoye-
véeccty. — Besonders aber ist belehrend für die bei
Citationen Homerischer Verse jetzt und vermuthlich
bereits in Byzantinischer Zeit herrschende Praxis 539: |
Eada A dorun: péyas aleros ayrwdoyeling
TOL XAT Ee ge xal ¿xtavey.
Knight. Eben so wenig beweist gegen raydayo r 178, wo Helena sa-
gen soll: i JO Savartós por Adely xaxoc, OmMTOTE dedo
oo Erópmv.
Hier ist ¿dele nicht ganz sinngemáss: Helena konnte nur wünschen
«hätte mich doch der Tod Naveseeta », also oc Gpehey Javarós
W Edépev xaxoc
So unsere Handschriften und fast alle Ausgaben. Da
jedoch Avant, ursprünglich For vojal lautete, hat Da-
WES TAOL XAT axyéva rage, Cobet taot xac CS ¿age -
vorgeschlagen: vgl. Kontos im Acte: "Epuns I p. 88.
Zur Empfehlung, wenn es deren bedarf, dient Hero-
dian eg} pov. AE. p. 15, 18: mao: xav ayyév ¿n-
Eev") xal ¿xravev. Dies nämlich bietet die Hand-
schrift: Lehrs jedoch (Herodiani scripta tria emendat.
p. 48) trug kein Bedenken die Worte zu ändern in räsı
xat avyévaç vés xal čxtavev; und selbstverstündlich
ist Lentz Herod. vol. 1 p. 395, 8 oder vol. 2-p. 921,
32 ihm gefolgt. So werden die Spuren aller Abwei-
chungen von den Homerischen Handschriften und Aus-
gaben vertilgt in maiorem vulgaris lectionis gloriam.
Bevor ich Homer verlasse, móchte ich noch auf ei-
nige Citate oder Benufzungen Homerischer Stellen
hinweisen, wo die Worte des Dichters mehr: oder
weniger entstellt vorliegen, wo also der citirende oder
benutzende Autor zu emendiren ist. Derartige Emen-
dationen sind allerdings oft ziemlich wohlfeil, aber
dafür um so einleuchtender und einem Widerspruch
kaum ausgesetzt.
Anecd. Oxon. vol. 1 p. 44, 30: deier yap Beos,
aus v 305: dhevaro yap Béhos autos. Eben da p. 44,
32: a3Acuo xal mod dvaxtoç, Zu lesen d3Asuoy ro
avaxtos nach Q 734.
Anecd. Oxon. vol. 1 p. 164, 19: të roc éyoi-
pony og vuxceoíc. Vielmehr éyouny nach p 433.
Anecd. Oxon. vol. i p. 169, 14: maídos ééoyn vía.
Gemeint ist A 131: o:dos doy pula».
Anecd. Oxon. vol. 1 p. 253, 1 (oder Herodian. gr.
vol. 2 p. 297, 9): Eoreora y Kä? Die Emendation
ergibt sich aus y 130: ¿otaóT ayy autis.
Anecd. Oxon. vol. 1 p. 441, 18: ppovtidos supeins.
Lies popridog eupeíns (250). Eben da p. 441, 31:
amp auto drun, Vielmehr yuuén (T 284. $527).
Anecd. Oxon. vol. 2 p. 376, 28 (oder Herod. gr.
vol. 1 p. 469, 9): anrócyovtar xoAAct. Vielmehr dró-
oyavrar Kohémor (A799. £78. 1141. E199) `
Choerob. in Theodos. p. 645, 32 (oder Herod. gr.
vol. 2 p. 806, 1): 3jose« ysociv dung, Vgl. p 444:
mpesa yspotv ënger, woran schon O. Schneider Cal-
lim. vol. 2 p. 763 erinnert hat. `
16) Formen wie Euvéntey oder xacevj£apev soll bekanntlich Zeno-
dot bei Homer gelesen haben: vgl. Duentzer de Zenod. p. 61. Ent-
sprechend sind &wvoyxcer, Envdavey u. dgl.
43
Bulletin de l'Académie Impériale
| 44
Iohannes Alex. p. 42, 18: ¿mel % par ap dopadés.
Lehrs Quaest. epic. p. 62 schrieb stillschweigend erst
dad dg acpahé, und Lentz Herod. gr. vol. 1 p. 520,
7 ist dieser Aenderung beigetreten. Die verba incerti
„auctoris gehören,’ wie bereits La Roche im Anhang
"seiner Ausgabe der Odyssee erkannt hat, dem Vater
Homer, vgl. 196: dren par apropadé” beten oudoy,
wo andere lasen dpropadis ¿ppevar cüdaz.
Longinus bei Spengel Rhet. Gr. vol. 1 p. 327, 29:
arevdovro À rANSUS ¿mi vn as Auen, Die Wortfolge
sollte sein: n TANTOS ènt vias Aan drevéovto (0305).
| Maximus Planudes Rhet. Gr. vol. 5 p. 557, 10:
dXX dye co» 8 Eänas Qéoo» ava dopa. Vgl. 9234:
aka cu, AC Evpazs, oépoy dva dopara (andere dopa
ro) togov.
Schol. BLV B 284: vov yap xal movos Zort, Ueber
dies Citat sagt Cobet Mnem. nov. vol. 3 p. 88: «in Ho-
mericis carminibus non reperies. Laudaverat homo, opi-
nor, ex. Odyssea 9. 258.
vÜv piy yap xata pov Zeen voto Seoto,
sed ex evanida ac fugiente scriptura librarius quum ni-
hil extunderet dedit quod in buccam venit.» Vielmehr
meint der Grammatiker, wie auch O. Schneider Callim.
vol 2 p. 778 urtheilt, B291: 7) piy xal rovos goriv
ayımaevra, vécoSas.
Schol. A Z 152 (oder Herod. gramm. vol. 2 p. 54,
29 und p. 164, 23): 0 dy tereheopévoy dotó. Zu schrei-
ben mit O. Böhnsidar tetedeapévos nach A 388, ob-
gleich auch hier zufälliger Weise eine Handschrift TE-
rercopevov bietet.
Schol. A O 187 (oder Berek gr. vol. 2 p. 93, 25):
elgaro suen, Vielmehr £coaxo reuyea (H 207), vgl.
O. Schneider Callim. vol. 2 p. 774 f.
Schol. V 11221: avéoye micovaou.o ou E. op.cíoc
`
xaà À o AT EVITPOTOY Asydov Sopov
für entschieden unrichtig; schon die Verbindung von
xata und ax erscheint hier als höchst befremdlich.
Somit vermuthe ich xaë à dọ éuavoocov Xeyéov Sopov.
Hymn. 33, 14 — 17 ist die Rede von den Dios-
kuren, welche den bedrängten Schiffen Rettung brin- -
gen: avta à gra Aën avégov XA TÉTONCOY OEAAAG, |
xuparo A dorogecay Aeuxic ados dy Eze
43 4
des Sciences de Saint: Pétersbourg.
46
vavta ONPLATO xara, Tovod cpio. ol dE Goeres
"ëmge, ravaavro à diéupoio TcOvotc.
Völlig unverständlich und ganz sinnlos sind die Worte
rovov optoıv. Was Matthiae dafür vermuthet hat, rAcou
coto», würde ich der Erwähnung nicht werth achten,
wenn nicht mehrere Herausgeber diese Vermuthung
in den Text gebracht hätten, natürlich mit anderer
Interpunktion:
—xUpLaTO à dotopeoay heuxns QAOG Ev meAa[soaty
VAÚTOLE, ONPATO KAAL TAOOU TH"
wo vautats und coíct» als geradezu unertráglich er-
scheinen, màcou mindestens höchst überflüssig ist. Sehr
richtig hat Baumeister erkannt dass der Fehler liegt
nicht in rovov, sondern in coíctv. Wenn er jedoch
schreibt vautars opata xaha, móvov xpíat»,
und zóveu xpfou durch laboris discrimen d. h. finem
oder exitum erklärt, so legt er dem Wort stoe eine
Bedeutung bei, die demselben nicht zukommt. Wie vc-
cou xpícis dasjenige Stadium der Krankheit bezeichnet
wo eine Wendung zum Guten oder zum Schlimmen
d. h. zur Genesung oder zum Tode eintritt, so würde
Tovou xpfois — wenn überhaupt eine derartige Verbin-
dung möglich wäre— es unentschieden lassen nach wel-
cher Seite hin die Wendung erfolgte: hier dagegen
muss nothwendig «die Befreiung aus der Noth» be-
zeichnet werden, wonach ich rovov Aucıv für wahr-
scheinlich erachte. Verbindungen wie Auct; póySov
Soph. Trach. 1171, revSeov Pind. Nem. 10, 76, rn-
pato» Eur. Andr. 900, revéns Theognis 180, Savarou
Theogn. 1010 u. del. sind hinlánglich bekannt.
Bei Hesiod Op. 240 f. bieten die neusten Ausgaben:
roldx xal Évproca TOAG XAXOV dvðgòg gien,
Ze e adıroatver xal acaso. qon y evi ant,
Wáre diese Schreibung richtig, so würde sie der alten,
leider noch nicht ganz veralteten Theorie über die só
genannte Zerdehnung contrahirter Formen eine ge-
wichtige Stütze bieten. Bekanntlich nahmen oder neh-
men die Grammatiker an, aus einer Form wie altıaov-
ra: sei zunächst durch Contraction attiovra: entstan-
den, und sodann sei diese contrahirte Form, damit sie
dem daktylischen Maasse sich füge, wiederum zerdehnt
worden in attıöovrar. Auf diese Theorie gründet sich bei
Lobeck Technol. p. 173— 189 das Capitel de diectasi,
das mit den Worten beginnt: «Verborum. in ao deri-
vatorum notum est apud poetas epicos tres reperiri for-
4
mas, integram, contractam et ex contractione dilatatam ;
quarum altera omnibus verbis concessa est, reliquae non
omnibus.» Gegen die der gesunden Vernunft wider-
streitende Annahme, dass man zuerst contrahirt und
dann die Contraction wieder beseitigt habe, hat sich
besonders Leo Meyer erklärt, der altıcovra: als eine
falsche Schreibung statt alticovra: bezeichnet und aus
altıaovraı zunächst æitiwovrau, sodann erst aictóvcat
entstanden sein lässt. Für die Richtigkeit dieser Auf-
fassung und gegen die Schreibung a/ctóovcot spricht,
wenn wir lediglich die uns vorliegenden Thatsachen
ins Auge fassen, namentlich folgender Umstand: wäre
eine Form wie altıcovra: berechtigt, so hätten die
Dichter auch die erste Pers. Sing. atricopar gebrau-
chen dürfen, für die ein Beleg nirgends vorzukommen
scheint. Nicht minder befremdlich als atriópar ist
der Indicativus pmyavaarar mit einer Dehnung der
vorletzten Silbe. Darum halte ich es für unzweifelhaft
dass an der obigen Stelle des Hesiod mit Goettling die
Coniunctive herzustellen sind,
Ge tig adırpalvn xal ATACIAAA PNLAYAATAL, =
Im Coniunctivus ist pnyavaata eine vollkommen be-
rechtigte Form, die den Uebergang vermittelt von
unyavantaı zu wnyovacos. In der That findet sich bei
Hesiod die Variante «Atpatvy, und Ge xe» aXwxoatvq
xal atacada paridara (oder gonyavaa.cos) lautet der
Vers bei Aeschines c. Ctesiph. $ 135. Bemerkens-
werth aber ist dies, dass die fehlerhafte Schreibung
des Hesiodischen Verses ihren Einfluss ausgeübt hat
auf spätere Dichter, bei denen wir den Indicativus pn-
yavaarar und einige entsprechende Formen antreffen
als handgreiflichen Beweis für die Urtheilslosigkeit,
mit der sie die ihnen vorliegenden Texte ausschrieben.
Vgl. Orac. Sib. 5, 125: al al col Auxén, Zeg col xaxa
ungayaaraı novros. 5, 171: ovx raue Tí Sebc duva-
rat, TÉ 2 pnyavaara:, Nic. Alex. 221: Oe 0 voou Ava-
ep eoo) pa Bpuxavaaraı pudo». Oppian. Cyn. 3,
67: n 9 ¿prod eloopaarar pelo: iv peltoy Tehé-
Set, peyadyo: de petov. Orph. fr. 2, 12 Herm.: oude
TNG AUTOY eigopa. Vuyov ITY, e 9 elccoaata.
Tzetz. Hom. 372: àyptoo» $ paata! oro vpo» ¿pr
dourov. Secundus Anth. Pal. 9, 301: tinte TOY. ÓYxN- -
mv Bpadurovy ¿vov dpqu de esoe "mec dhoetvais
¿share dpópo»; Quintus Smyrn. 1, 420: y cuj Zeg:
ate yuvaixa péy — TEOPEROUGAY ELO
Orac. Sibyll. 1, 77
47
Bulletin de l'Académie Impériale |
As
voan 9 ap papol, XEXOQUSLÉVOL aipat POTOY
xal TOAépLoUS émotouv.
Hóchst unpassend ist xsxropuQpever, offenbar vordorben
aus peLoguy Ever.
, 112: oùre Seov Serdrôtec cur aydpamoug | aldc-
Beie, Es muss natürlich heissen Serdorxotes. Derselbe
Fehler kehrt wieder 1, 179: cox Gpynv de Seoû dersto-
tes Uioroto. 8, 183: ai provea Geen Seudrores cox (l.
098 ) AYTO TO».
3, 248: |
nvixa à Alyurtov heípe xal xeorvov Odeuner
Ange ó Budsxapuhos Ev Hyapocıv Seomépetoo «té.
Dass dy nyepootv unrichtig sei mag ich nicht behaupten,
wenngleich. gn wyspoow mir besser zusagen würde.
Entschieden sinnlos aber ist tspr.vov ódevos: von den
durch die Wüste wandernden Israeliten: man erwar-
tet was die metrische Lateinische Uebersetzung aus-
drückt, desertaque vadet per loca, also xai £o ov ödev-
ce. Aus KAIEPHMON konnte leicht KAITEPIINON
entstehen.
5, 467:
el TOTE Supoßope: pépores o yowmas,
Mg TELQOJLEVOL.
Die hier vorliegende Anwendung des Adiectivum Sv-
‚moßepos ist nach dem sonstigen Gebrauch des Wortes
' ganz unglaublich: Supoßcgev ist was am Herzen nagt,
wie êgts, Auty, Göuvar, besonders aber «Sorgen» (vgl.
Corp. Inscr. 6203, 14 teli 9 p. 883: Aeuyaddong te po-
Bous xal Supoßepous pohedovas. Nonn. Dion. MF; 53:
Supogópous yap 0) atayues Aucuct pehnôcvas), die in
ähnlicher Weise auch yuroßopor (Hesiod. Op. 66) und
dameëëee (Synes. Hymn. 4, 244 p. 340 A) genannt
werden. Die ihre Eltern Weer Menschen dürf-
ten wohl eher als a3eopofópor zu bezeichnen sein. Zwar
ist dies Wort bisher nicht nachgewiesen: aber aSsc-
_popayes kennen wir aus Maneth. 4, 564.
7, 40 — 42: OR S hor
> eben Il£ocat, poyójnoy quAXcv, aca, Servoi
Eoaovrar Sarapo vouoóy ux duovana pila.
Im mittleren Verse móchte ich weder mit Alexandre
paytpcv púñov noch mit Meineke payrov púthov (eine
meines Wissens völlig unerhörte Form) setzen. Das
fehlerhaft gemessene põħov ist ohne Zweifel veranlasst
durch die 300 vaux puta des folgenden Verses: der Si-
byllist dürfte payxınov yévos geschrieben haben.
11, 94: 900650» dl Téga yocvotc.
"in den ersten Jahrl
Dass der Verfasser die mittlere Silbe in rpoosASov kurz
gebraucht habe, scheint mir undenkbar. Vermuthlich
ist zu lesen tocuohov ert tépuæ yoovotc.
11, 130:
tovtov A eig dotar Baotdeds xAUTÔS autre.
Zur Herstellung des Metrum hat Alexandre xAyTos
in xdertos geändert: ich möchte vorziehen xhvtos à QY
mom! Ò mûre TOMEG UT gaeren rokqUoTOY
TONVLOROIS ATOAOUYTAL.
Es war zu schreiben nicht reXsıg ro avSoorov» mit
einem schwerlich zu entschuldigenden Hiatus, sondern
ROÂNES UT ATL TO.
David Proleg. ad Porphyr. Isag. p. 18 b 4 behaup-
(tet, über Porphyrius und Iamblichus habe die Pythia
den Ausspruch gethan:
¿vous 6 Zupos, TOAULAINS 6 o Poiwé.
Nach G. Wolff de novissima oraculorum aetate (Berlin
1854) p. 9 ist dies der jüngste Delphische Orakelspruch,
von dem eine Notiz auf uns gelangt ist. Welche me- '
trische Form die obigen Worte ursprünglich hatten,
lehrt ein von Cramer Anecd. Paris. vol. 4 p. 281, 14
mitgetheiltes Epigramm, das etg toy Ge EN
TOY 3606 ov betitelt ist:
"E»Seog nv ó 2ópec, Keel desch nev 6 Doré,
Karradoxns Y dppo xal un Däer,
Im ersten Verse steht bei Cramer Av 82 6 Doiwé, im
zweiten xe ien apporépors. Nach diesem Epigramm
ist es klar dass Davids Angabe über den Ausspruch `
der Pythia nicht den mindesten Werth hat.
Bei Didymus Alex. de trinitate IT, 27 p. 300 wer-
den zum Beweis dass auch ci ^EAXqvez d. h. die heidni-
schen Griechen über die göttliche Dreieinigkeit zuwei-
len richtige Ansichten ausgesprochen haben, folgende
Hexameter eines unbekannten Verfassers angeführt:
Teva, piv aSavaroro Get GS ex por Gps
auroIev évSev ¿By mévoy Eumedov Utt. ueota cov,
aha Seoïo Moto pévov Ca Séotc omg xohrots
TAYTA TEAC ën Selog apmderar apyEyovos PONY,
xrícpoo! de Euuması pépet qaot, d oro ravta
Epya Dee Edel xal alov ¿May apoy..
Diese angeblich heidnische' Poesie rührt offenbar hér
von einem Christen und gehört vermuthlich zu den
eben so zahlreichen als albernen Fálschungen, welche
derten unserer Zeitrechnung von
H
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
frommen Betrügern in Umlauf gesetzt wurden, um
christliche Dogmen durch erlogene Autoritáten zu
stützen und einem kritiklosen Publikum zu empfehlen.
Einer solehen Afterpoesie gegenüber hat die Kritik
einen schwierigen Stand, da man keineswegs berech-
tigt ist dem Autor durchweg eine verstündige Aus-
druckweise zuzutrauen: aber wenigstens einige Fehler
des Mingarellischen Textes lassen sich mit vólliger Si-
cherheit heben. V. 2 dürfte zu schreiben sein péve:
&urcedov mit Lobeck Aglaoph. p. 959. Im vorletzten z
Verse würde ich ns vro vorziehen. Ob im letzten Verse
Lobecks Schreibung xoi aet» May apoynv einer-
seits nothwendig und andrerseits ausreichend sei, wage
ich nicht zu entscheiden. Am handgreiflichsten aber
ist entstellt V. 4:
ravra TEAST ër Selos AUNÔETAL apyeyovos per.
Statt Seïos apmdera: hat Mingarelli Señoy & undsrar
vorgeschlagen, und ihm ist Lobeck gefolgt in der Weise
dass er, ohne die überlieferte Lesart zu erwähnen,
dréien: lässt:
mayta teici, Ars Selov, & phòetat dpi PA Pory.
Die handschriftliche Lesart war vielmehr beizubehal-
ten und nur die Buchstaben anders abzutheilen: i
nayta téhera TiSei Con dt apyéyovos pon».
In derselben Schrift des Didymus finden sich III,
- 21 p. 402 folgende Hexameter:
TAYTA Seod peyodoto voou UTC VEN poo! «sitas,
geg ug re Cons xal Vnefpoyoy uge
xal «paros nas Bin xal layuog Autos gin?
xai SUVAUUS xoxceoT) XA? APLPLÉAMITOS Anon.
Die letzten drei Verse citirt Lobeck Aglaoph. p. 444,
ohne die gangbare Lesart zu beanstanden. Dennoch
scheint es mir unzweifelhaft, dass der Verfasser schrieb
æotupéhixtos avayxn. Bekanntlich ist dies Adiecti-
vum der spüteren Poesie sehr gelüufig, wie wir es in
ähnlichen Versen bei Didymus selbst finden. II, 19
p. 287: pépov Deia ATUPÉMATO?. III, 2 p. 322: asa-
varog AR Seóc Tavayapaos THESES C RS III, 18 p. 386:
dSavatos A eds mavurégtatos asp: valo», Aptos
AOTUPÉMATOS.
Maneth. Apot. 1, 210:
el òè Are Lau ege TANIOUGA CEANN XTÉ.
Den Dativ oa: finden wir, nachdem er 6, 575 durch
die Emendation œavn von Köchly beseitigt ist, noch
an einer Stelle der AxexeAeo acier, 6, 566: pavas 3
gv PV SONT paet Tedëuom XATA TAVTA, Vielleicht ist
Tome XXII.
Mo. Bot. Garden,
1897.
es nicht zufällig dass hier wie dort ein mit zwei Con-
sonanten beginnendes Wort folgt: vermuthlich ist an
beiden Stellen oo? zu schreiben, eine bisher nur aus
den Sibyllinischen Orakeln (prooem. 18. 1, 348. 3,
494) nachgewiesene Dativform, die selbst in dem Vers-
schlusse ¿y qai xcıvo von den Abschreibern in das
gangbare que: geändert worden ist.
2, 210 — 212:
¿osos 9 a9 DaécSov Apeos clxotat Beßnxev,
LE epar» nynTopes Ev te Bporolory
TLOJLEVOL TONY MYNTOLES N paces. ;
Zunächst ist die Schreibweise tptopaxapss eben so un-
berechtigt als ¿urenooovras 2, 153. Es muss heissen
du ronocovtas und tols poxapes*”). Sodann befremdet
die Wiederkehr desselben Wortes in zwei auf einander
folgenden Versen, orparıov nynropss: und tokio» Hyn-
topes. Der Fehler scheint an der zweiten Stelle zu lie-
gen: ich denke, der Verfasser schrieb rokMoy may.
-
OTLTEVOVTAG ÉTOLOOY
suverıdas TNOY TE, XAL aloysa Laxoa TEXOUVTA.
Vielleicht aioysa moxa TeXoövrag nach 2, 381. 3,
151. 39
2, 367:
duet xe Üemvrar pazapavy lepols rap Bupols.
Ich kann es nur für eine Uebereilung halten, wenn
Axt und Rigler das ei£qxe« der Gronovschen Ausgabe
17) In gleicher Weise ist tots paxopas zu schreiben bei Maneth.
` 77.177.317, wie tols Ekuxroc oder torékuxtoc (nicht aber totoéluxrog)
197. Auf die richtige Se Schreibung deuten ófters die ba 27
EL nte, wie rproorfupnv xov hei Archilochus oder rorspuaxap bei
Callimachus, wofür einzelne Gelehrte der Neuzeit ger Weise
tproorlupmv und tplopaxap gesetzt haben. Noch deutlicher ergibt sich
die nothwendige Trennung aus Redeweisen wie tots paxapes xat te-
| zpaxıs bei Hom., Timon, u. a., rie 9” ob xunare Anth. Pal. 12,
52, óic xo P xo. mE waxaoros Greg. Cyprius in Boisson.
Anecd. vol. 1 p. 357. Dazu kommen metrische Gründe, vgl. Soph.
Oed. C. 372: detiëe toiy cole élu otc xaxn, wo die Verbindung
torca dto.» einem in der Tragödie mit unverbrüchlicher Strenge be-
obachteten Gesetz zuwiderlàuft, das Porson Eur. Hec. p. XXVII
hachgewiesen hat, neuere Kritiker aber nur zu oft in ihren Coniectu-
ren verletzen. Ob in unseren Handschriften totoíydtotos oder tots
Dire häufiger ist, kommt ganz und gar nicht in Betracht, da die
Verbindung oder Trennung von Wórtern bezüglichen Fragen
überhaupt nach handschriftlicher Autorität nicht zu entscheiden
ind. Ein unzweideutiges Zengniss für die richtige Schreibung bie-
e dagegen TPEIC- OÀBIOV A. h tots Gov) auf einer christ-
lic hen Inschrift C. I. 8668 vol. 4 p. 812. — Fehlerhafte Schreibungen
wie EUvALOMEvOS statt ed (oder 20) EEN gar Aryunvetov-
dad Bap nn ra: ravrapiotos, rokupéptaros sind
n jetzt zwar noch nicht veier aber doch
érésstéutheils Dee
4
A: A AR m A NS O E
* BERN: VER dad E na idet Sn td
E. CUM EET LU E S rca cet ue n
CUTE. S NEU BR? t iot
rie T nde IT
51
Bulletin de l'Académie Impériale
in !Eyvrar ünderten, und finde es ráthselhaft dass eben
dieses f£nvra bei Kóchly im Text steht und von Veitch
Greek verbs irregulare and defective p. 291 registrirt
worden ist. Der hier erforderliche Pluralis kann nur
- lauten t&ovca:.
-^ 3, 277 — 279:
Agooyevel de cuvov Daho 79 Ayreon ey
TocoButépas oteípas T ahoyous xal deızdag alvos
DOXEV. |
Die Verbindung von rpsoßurepa: und oreipar mit dem
ganz heterogenen astxéss kommt auf Rechnung eines
Abschreibers, nicht des Dichters, der ohne Zweifel
asióéas alvos BEE hat.
4,07 f.:
dppwners, dohosprós, goes, aloysópuSos,
rapnbextop, adldarrtos, gel Ae är än due: aicyooic.
«Unterrichtet in schändlichen Dingen» könnte heis-
‚sen dedrdaypevos aioye oder aoyoóv, nicht aloypois:
der Begriff aber « unterrichtet von schändlichen Men-
schen» würde hier zu schwach sein, wo nicht «ein Schü-
ler der Bösen», d. h. ein an sich guter, aber durch
schlechten Umgang oder böses Beispiel verdorbener
Mensch, sondern ein Ausbunt der Schlechtigkeit be-
‘ zeichnet werden soll. Dazu kommt die wunderliche
. Verbindung von astdaxtos und aei dcdSæyuéves, die
unmöglich durch die Annahme eines Oxymoron ent-
schuldigt werden kann. Es scheint unzweifelhaft dass
dedıdaypzvos durch das unmittelbar vorhergehende gët.
daxtos veranlasst ist. Man erwartet ael pepelnyévos
aicyoos. Ueber diese Anwendung des Perf. pepin-
par vgl. Maneth. 4, 124 (oder 1, 289): &xpoor arosto-
> TUTEOLG pepeAnpévor noz xac. 4, 505: Gäeren
pepeinpevar. Nonn. Dion. 13, 431: pepernuévoy etcéct
palo. 37, 12: pepe pvo 738: omg, 37, 495:
géi roypaykg pepekmpées. 37, 502: 6c topos atel
TATO0O pepóhro TO LEVOS aan Nonn. Metaphr.
11, 208: SunyroMy meushnuéves. Andere Belege gibt
Köchly Quint. Smyrn. 4, 500. Dass atcyootz pepe-
Anpevos gesagt werden konnte, lehren Nonnus Dion.
37, 202: oc dé xc Ateyvrievet so pepeinpevos ein. Me-
taphr. 9, 129: oÛTos Argent Téhe! pepehnpévoç
gung, Aaf Psalm. 5, 19: Soepcïon gel eelere
puSors. 36, 61: ee peneinpever. Nicht we-
sentlich Eee ist was wir bei Maneth. 4, 321
lesen, oxurein tég neweinpedvm aäëiers Da-
e. nach berichtige man 4, 279: afSépt xal yain pepeton-
péva Zeg rehonvras, und 4, 524: cuum peperonpéva
roaypar Eyovtas, WO pepetonpévo durch nepeinnevo
zu ersetzen ist. — Auch das Perfectum Act. pépnàa
wird in gleichem Sinne gebraucht, wie sonst (vgl. Quin-
tus Smyrn. 4, 530: irracógor peros. Nonnus Dion.
37, 1: oran pepondores. 37, 135: tavroíars dps-
| TAG pepmhdtes), so bei Maneth, 6, 369: porav yav-
sept pepodoras avöpas Zeenëog, 6, 590: xpurradíars
T cüvQot pepmdoras (gewöhnlich E avöpas
Etsugav.
4, 197: xépdeos ÉxSporatou Inentopas. Was wég-
dos Ayo» hier bedeuten soll, ist mir unverstándlich;
passender dürfte sein aioyporazou..
4, 210: yaropétoaç deixvuor. So Köchly statt des
überlieferten yazop.étoas, das andere in yeopérpas ge-
ändert haben. Es war vielmehr yetouéteas zu schrei-
ben, wie yetomovo: 4, 433. vetonovous 6, 489 und Aë,
yeto< überaus Mate / in den Apotelesmatika vorkommt.
4, 422: yvartopas eu iopo» zérAov xal TEVXTOQAÇ .
auto» fotorcvous. An evonpoyv haben Axt und Rigler
mit Recht Anstoss genommen; ihren Vorschlag euvn-
zov kann ich nicht für richtig halten, weil &uvntos oder
ÉvyynTes von keinem Dichter jemals dreisilbig gebraucht
zu sein scheint.: Darum möchte ich vorziehen eyoxn- `
vov reriov. Bildungen wie sösxnpos sind in der spä-
teren Gräcität nicht eben unerhört. So @oynpos Thes.
Gr. L. und tó» aoynporarov Diog. L. 2, 88. doyn-
pos Schol. Il. O 21. suoynpos Suid. v. gedeeft, Anecd. -
Bekk. p. 439, 29. ópororgnos Apoll. de pron. p. 87 A.
131 B. ed Me Phoebammon Rhet. VIII p. 492.
493. Mate Ae Tevraoympog, dexaoynpos Ps. - Plut.
p. 175 Did. xaxsoynpos und rodoympos Herod. Epim.
p. 177 Boiss. Dass Theophr. de causis plant. VI, 1,6
ueyahocynuos gebraucht habe, halte ich für ales
scheinlich, Sicherlich fehlerhaft ist Eur. Hec. 569:
To Mn Tepovoray ÉGYEV ed y my. og nece,
wo die in der dritten Ausgabe von mir empfohlene
Schreibung ev po» soci» neuerdings eine gewich-
tige Stütze bekommen hat an einem noch nicht veróf-
fentlichten Papyrus von Herculanum: vgl. Th. Gom-
perz Beitr. zur Kritik und Erkl. gr. Schriftst. II p. 13
(oder Sitzungsb. der phil.-hist. Cl. der Wiener Akad.
| i LXXX p. 757). Als nicht minder anstóssig erscheint
Anv pos statt axúpoy bei Eur. Herc. 698: Botten:
| Toy dxupoy xey Bieren Éooccic, Tépoas deinara Ingo», .
wenngleich spätere Schriftsteller diese Form zugelas-
A >.
62. ::
!
53 des Sciences de SE 54
sen haben. Eher lässt sich entschuldigen das von Cra-
tinus Com. 2 p. 103 gebrauchte &Xorpröyvopos. `
4, 483: Tupetpwv émavoixtooag Ovda.
Ueber diese Stelle sagt Kóchly in der Leipziger Aus-
gabe p. XXX: «elegantissimus auctor dubitari non po-
test quin Svpéoy scripserit, cum a compilatore I, 310
turpissimus soloecismus Suoécoov ¿Svetawv haud alie-
nus videatur.» Aber denselben Fehler hat der Ver-
fasser des vierten Buches der Apot. begangen, indem
er Ynpaoy schrieb (V. 448). Ganz entsprechend ist
poraoy bei Quintus Smyrn. 4, 212 (was einige Lexi-
kographen auf einen Nom. Sing. poty zurückführen
wollen), desgleichen vqcaov bei Callimachus Hymn.
4, 66. 275. Andere Beispiele derartiger Declinations-
fehler verzeichnet ein Scholion BV T 1, vgl. Ahrens de
dial. Dor. p. 229. Schneider Callim. vol. II p. 775.
Die älteste Autorität für diese Genitive bóte Hesiodus
Scut. 7, wenn er wirklich geschrieben hätte, was ihm
beigelegt wird, Bhzpaguy + arc xvavsaov.
4, 490:
TE p.a. TUXPOY Agbleue Tixons popne UT AYNA.
Kóchly schreibt TEA Auygov Astbouor: vielleicht ist
. vorzuziehen ryeupa oXov, wofür zu sprechen scheint
Tove Upa S ¿oy Astıbouor 1, 320.
4, 531:
où plav eic atparov Birou voov Exvavovres,
gece Ò ao Co?» eutgertov Eyovtec.
Das sinnlose Beérou vóov hat Köchly in gréccu popoy
gebessert. Consequenter Weise wird éxvevovtes durch
(SUvovcec zu ersetzen sein: non unam in viam vitae
cursum. dirigentes. Vgl. 4, 326: M3opoxto XALAT
Bien ¿Suvoyras. 4, 507: PRA Biov Couougat, 4, 525:
eig tòény SE arem ıboyspcv Bícv (Suvovcas.
4, 584:
OTELDAS TOL aerea xol ATÉX LOVAG dvòpáar vwppas
Greg TE vOxoto Axn hrorarda pepóucas.
Eine Bildung atéxpoy ist nicht nur unerhört, sondern
schlechterdings undenkbar. Die vorliegende Stelle hatte
ehemals folgende Gestalt:
IER .
atelpas To. Šele xal AKYMONAS avöpacı VUPPaS.
Mit den übergeschriebenen Buchstaben war atéxvas ge-
meint; ein unverständiger Abschreiber machte aus axv-
povas und arexvas das unmögliche arexuovas. Uebri-
gens war die Interpretation ungenau: dxupov bedeu-
tet nicht «kinderlos», sondern «unfruchtbar».
, 105: où xados domi Apne ren fain Appodéry.
Zur Herställung des Metrum hat Rigler Aen: pàv de.
Köchly Aons xal Ereußaivov geschrieben. Beide Vor-
schläge sind dem Sinne nach unzulässig. Darum ziehe
ich vor: Aen où xadós deen,
Der Schluss der Apotelesmatika 6, 751 — 755
lautet:
antao doru povoyo: xai aSso(otcty à ap OTRO
EVÉALEVOS 7 Armin d Sek XATATAUTO aom»
AOTÉRES cupsyyels Atos alytóyov te Suyarpes,
Darte xal xAéog éoShov Ka ROPOUVET geän.
Im ersten dieser Verse ist qua lästig: vielleicht schrieb
der Verfasser xai aorpaoıy alsepíoraw. Entschieden
unrichtig scheint mir der zweite Vers, da die in den
beiden letzten Hexametern an die Sterne und an die
Musen gerichtete Bitte unmöglich als Artis Upvos be-
zeichnet werden konnte. Wie ich glaube, ist herzu-
stellen Atv otov ¿ps groe acne.
Ueber die Verbindung otos do; und über die Ver-
wechslung von yves und olmos habe ich gesprochen
Bulletin XII p. 490. XVII p. 224 oder Mélanges Gréco-
Rom. III p. 21 f. 270.
Anführungen von Versen des Manetho sind fast un-
erhórt; mir ist nur eine Stelle bekannt, wo ein Vers
unserer AroreAsopuarixo ohne Nennung des Verfassers
erscheint, Philoponus de mundi creat. IV, 20: 6%ev ol
géttóvcec adc (nämlich Thy Yevestadoytay) "ie ayvolas
alo Jopevor aho els adas "ie anotevËsos altías Kap
TOVTAL xal xotyóv uiv amat TO
el de Gen deiert, guef een Gravra,
T» evpeîv Eotıv aduvarov. Vel. Maneth. 5, 27: yy &
Deny pevontas, cuvidMoSeY à LTOYTO, WO Dorvilles Ver-
muthung nv $ ó
pevos sehr nahe kommt, obwohl schon Philoponus
das fehlerhafte bevonra: vorfirid^ — Die im Etym. M.
p. 328, 56 ohne Nennung des Verfassers angeführten
Worte apsrooBloy Zeg dru
finden sich allerdings bei Manetho (1, 53), aber auch
bei-Nonnus (Dion. 17, 382. 26, 296. 36, 162), so
dass an Manetho zu POR kein EE vorlag.
Zur astrologischen Poesie gehören die von unseren
Literarhistorikern, wie es scheint, übersehenen Kar-
opn devas: dem richtigen el à Sen
+
apyaí eines Ee aus denen Tzetzes bei Cramer
Anecd. Oxon. vol. 3 p. 382 und Exeg. Il. p. 33, 8 meh-
rere Verse anführt. Die Stelle der Anecd. Oxon. ist
mit Benutzung von Matrauga Anecd. p. 613 und Bois-
: AT
SA qu TREE Uu Um "Ab dd CH A aa AU IA P e
AS EE E
Fa ** Ze p REM T SC EU Live " ` ET sč T
55
Bulletin de l'Académie Impériale
wa Tj "LT Le Eé
Dk, d
ao E
SA
ire 23 E
PAN SR
56
sonade Tzetz. Alleg. Il. p. 122 etwa so zu schreiben: |
dx zöv Appwvos ARTO
ev vgonixois oùT ap "open way oÙTE yopoto
uynoteiny pathy eier, cU OS ONY"
pb Sampocivny AE TLVOS Get: choc.
el SE xal dAdo ct nonypa SEAS poso» ¿rl Ömpov,
PA gu Ye our ¿pEns tgortxols pavas evsouans' 5
TOLVTO yap Ev vie TaNvrpona ÉXTEALOUOL,
xal Xenepot xat Ovarpoı peudovr dy Tporıxolgt.
¿ndios A 6 Aaßov ct xal Goran amodwaet.
els Estuny dE ret) xal Gdeuuey nv UN EL
ev teen, see vootos dé vot Zogerat deus, 10
Av elg oe Ing TUOS Esing dng acts.
ny de em Separov XOXOUYILAVOS Ev Tponixalarv,
a eig olxov dyaxtoz Zieieeragr oò Umaruker
das à Ev Kai dhogetor 0udé TE Jose,
V. 1 ist überliefert odT «9 yopésv, V. 3 pure, V. 4
zz, Lë: épSets , V. 6 raMyrova Enteklount, V.8
End; C 6 Aagàv xal domacíos aro víget, V.8 el òè Éévnv
rhoËn (oder TA Gen) xal beve nv ¿SémnoTa, V. 10
vos, V. 11 xal eis ofxov y (oder č) Timos, V. 14
dMoxeta:. Die Emendation vorros V. 10 rührt her von
Dübner. Fehlerhaft scheint éxrehéouot V. 6, wo éxte-
Aovar den Vorzug verdient, wie psudovr V. 7. — In
der Exeg. Il. sagt Tzetzes: ¿me 88 6 pasnparıxös pnaty
Anna Ev rafe Éautoÿ xarapyals:
dv arepeoig Lee ewy els aia» deel: `
Inpov de Bess, xa Tor 20706 Boadus dorar"
doapévn 9i vococ arepeois xoxo o98b yap oxa
TAVETAL, LAND pever TE vocos xal Tohhaxıs dvdpas
OAECEY, el un Tis phwy Seóc eloudev doe,
x
+ .V.2 schrieb man bisher 8oa90c dore. Verdächtig ist
‚never te vooos V. 4, ganz unverständlich im letzten
Verse pwy, wofür vielleicht yx» genügt.
Die neusten Bünde der zweiten Sammlung der Her-
culanensia volumina machen einen traurigen Eindruck,
sofern die hier mitgetheilten Texte, titellose Schriften
unbekannter Verfasser, in so trostloser Zerrüttung vor-
liegen, dass nur selten einige zusammenhängende Zei-
len sich ergeben, zumal da bei dem Copiren der un-
deutlichen Schriftzüge vielfache Irrungen unvermeid-
lich waren. Zuweilen erregen Namen alter Dichter, die
in diesen Fragmenten auftauchen, unser Interesse:
Dichterworte lassen sich dagegen nur wahrnehmen, wo
- eine anderweitig uns bekannte Stelle benutzt wird.
Dahin gehört VIII fol. 142:
KAIOATTAAON .
A
TOPXHC€ Al
d. h. xa£ Y doo» [yeraoaı] soi T opyncaciar (aus
|, Od. E 465). Ferner VIII fol. 51:
THNA^ BIAPAOYTTAPAINEC
TIPWT/ VOHPOCTTETPAIOYKPH
TIM CTANC NITPOCTPE
TTCON ICTTONECCINOMI
YHCI IAAPOCTTWCTAPTEN
d. h. my Alp |prapaou rapaiveolev| «r[ov|7[tojo FImpos
rerpatou [yllo] place vo[o]v Week [rasalıs
TolMJeoor épifher]» ono! [TMév]Sapos. TOS YAP TE.., WO
die Emendation der Fehler wie die Ergánzung der Lü:
cken durch Pind. fr. 19 uns ermöglicht wird, an Va-
|rianten nur mpooreeroy statt des gangbaren mgocQé-
oov sich ergibt. — Wenn wir VIII fol. 59 lesen
AOKAHCEDHO
ETIONHTOC
so liegt das Supplement [’Epre]doxins 8 «S[sog dp-
Bootos, dat Svyroc» auf flacher Hand; aber etwas
neues erfahren wir nicht. — Ein anderer Vers i
Empedokles (2 der Steinschen Ausgabe), |
oteworol uiv YAP TAAAPOL XATA (uia. XEXUvTaL,
erscheint dagegen VII f. 29 in etwas verschiedener
Gestalt: à; : |
TAITTOTEKAIEMTTEAOKAHC
CYNEMYAINWNTOYTOAIA
T. 7^ EINCTEINWTTOIMENFAP
H \IKATAFYIATETAN
+ ANINAETATWI wW
TTHNA TUTAI
d. h. quéíve]taí (?) mote xoi Epredoxhñs cuvey.quóvoy
toto do où Aërker «otewonrot piv yap [taiapa]
xata yuia tétavt[or»]. Die Lesart tétavta: scheint
mir vor dem gangbaren xéyuvtat den Vorzug zu ver-
dienen, vgl. Emped. 288: tac Mopapo! cagxóy cugr(-
yes mupato» xata copa téravrat. Was im Papyrus
folgt, vermag ich nicht zu enträthseln. — Noch er-
wähne ich IV f. 136, wo der Schluss
QATTEPOTANE*
Il
€EITHIFENNAIOT
TPOTTWNTEKM
ein Citat aus Euripides enthält, dessen For tsetzung,
wie Th. Gomperz brieflich mir mitgetheilt hat, erst.
zu Anfang von f. 140 zum Vorschein kommt:
H
`
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
l
XHMAEXEIC CAH
WFY AlLFNWIH ANWC
TO IANOPWTTOY <
HMAIACONTIC
T ENEYFENHCTO
wonach es klar ist dass die Blätter 137 — 139 eine
falsche Stelle einnehmen ^). Die lückenhaften Worte
sind ungefähr so zu ergänzen: [xa]Sarep Srav Eulor-
nins] eiry yevvatót...... toon TEX] NOLOV
ro ohipa Eyes, Intels 9 [mor et], à yulvlar.
DNK [82] &» os [ta] zoa y | ayäporcu regt
TO ona du» oe [el mépux]ev euyevnc.
Vier Trimeter aus Eur. Ion. 237 — 240: yewaroıng
r , ` " ` "
get, XAL TPONWY rechte TO erën Eyetg TEÒ, ne el
xot, © yuvaı xté. Die Worte yewozcrns oct sind nicht
ohne Grund beanstandet worden. Sollte Dobrees Vor-
schlag yevvaños el ctc richtig sein, so wäre die Entstel-
lung des Euripideischen Textes älter als der Anony-
mus der Herculanischen Rollen; mit gleichem Rechte
könne man jedoch yevvazórntos (so Boissonade) toy toó-
Toy vex otov vermuthen.
Antipater Anth. Pal. 9, 92:
Aoxsi terrıyas Weder Spocos” AAA TIOVTES
. dele xuxvov elol yeyovóTtepor.
Os xal doados avro &sv(o» yap avrancdoüvaı
Upvoug EUÉPATALE ote, THAT OY CAYO.
Das nicht weiter vorkommende esvéoxrns kann nichts
anderes bezeichnen als svepyens: dieser Begriff aber
scheint hier nicht eben angemessen, darum weil der-
jenige welcher einem &évog Speise und Trank verab-
reicht, noch nicht dessen « Wohlthüter» genannt wer-
den kann. Unerlässlich nothwendig ist dagegen eine
nähere Bestimmung zu úp.vovs: denn der Verfasser des
Epigramms will zeigen dass wie die Cicaden, wenn sie
im Thau sich berauscht haben, lieblicher singen als
. man 34 Tafeln CN neuen Sammlun
die Schwáne, so der Sünger eine geringfügige Gabe
zu lohnen. weiss nicht mit Liedern schlechthin, die
vielleicht besser ungesungen blieben, sondern mit herr-
aq Diese Erfahrung ist nicht neu, seit Th. Gomperz nachgewie-
n hat, dass im zweiten Bande der neuen Sammlung mar
Rollen Tafel 94 und 61 die Reste einer und derselben Columne
hilodemus Rus gera enthalten (vgl. Zeitschr. f. d. ida
Gymn. 1864 p. 731 ff. Philodem úber Frómmigkeit p. 45), wonach
ng zu ern hatte, um
zwei zusammengehörige Papyrusfetzen egeo etie ngen. — Bei-
pies mag hier erwähnt werden, dass Here. Vol. Coll. alt. IV f. 137
n bei Demetrius eben da VI f. 154 wiederkehrenden E des
Sophokles (fr. 690) enthält, vauta: 8° ¿unpúdayto vnos icy
|
|
lichen und kóstlichen Liedern. Somit wird herzustel-
| len sein vous SUMPÉNTOUS, womit zu vel. Telestes
bei Ath. XIV p. 626 A: vol à ó£ugovotc rnxtidov Wah-
pois xpéxov Au8tv Úp.vov. Mnasalcas Anth. Pal. 7,
192: a30 xpéxouoa péhos. Leichter lässt sich nunmehr’
in dem obigen Epigramm ein anderer Fehler heben;
ich meine die unertrügliche Gegenüberstellung von
ayrarodouvar und raSov. Es muss heissen:
Oz xal aote ae Ésvloy yapry dvtarodouva!
Upvous cüxoéxcous old, Aa àv Alya.
Dem raSov würde xoci» entsprechen: zu dvrarodou-
va: bildet den allein möglichen Gegensatz Aa fu.
Palladas Anth. Pal. 9, 379
(Pagi maporaxos «x&v de Saxo dvdpa Tcovmpóv»*
CAAA Tod ody odTO pp? monas Ayer».
dd 8axot xay de aa Seu; xal arpaypovas due,
To dE xaxov dedios Önkerat ovðè dpaxwv.
Der Sinn des hier angeführten und als unwahr be-
zeichneten Sprichwortes ist leicht verstündlich: ein
schlechter Mensch bringt einen jeden gegen sich auf,
oder bildlich, einen Schlechten beisst sogar ein Thier
das sonst keinem etwas zu Leide thut. Es liegt auf der
Hand dass die Erwähnung des Schweines, das zwar in
dem Rufe grosser Unsauberkeit steht, nicht aber als
gutmüthig oder harmlos gilt, hier unpassend ist. Da- -
rum hat man ehemals x4» püs daxcı avðpa Tongoy
vermuthet, was Meineke Theocr. p. 458 billigt. Mir
scheint diese Aenderung unstatthaft: die Maus ist zwar
ein furchtsames, aber keineswegs ein sanftes Thier;
sie beisst unter Umständen, nämlich im Drange der
Noth oder (nach Batrachom. 44 ff.) im nächtlichen
Dunkel, einen jeden. Und wie können pos und 39axov
einander gegenübertreten? Maus und Lówe würden
einen passenden Gegensatz bilden als Symbole der
Furchtsamkeit und des Muthes, der Ohnmacht und der
höchsten Kraft; nur würde hier dieser Gegensatz nicht
gut gewählt sein, weil damit dem Schlechten eine An-
erkennung gezollt würde, die:der Dichter sicherlich
nicht beabsichtigte. Ein drittes Thier finden wir in
der bei Diogenianus 5, 87 überlieferten Fassung un-
,
seres Sprichwortes, x0 até Saxn avöga rovnpov, WO `
Leutsch zwar das unmögliche Saxn ohne Anfechtung
durchlässt, aber dafür mit naturhistorischer Gelehr-
samkeit uns überrascht: «caprarum. morsus, quum ip-
sae nunquam sine febre et maxime epilepsiae obnoxiae
sint, noxii et exitiales putantur: v. Hippocr. negt leon
58
Bulletin de l'Académie Impériale
_: yocou T. 1,606 Kuehn. Varr. R. R. II, 3, 5» u. s.w.
= Ob die Ziegen beständig fieberkrank sind und zu epi-
— leptischen Anfällen neigen, ob ihre Bisse schädlich
oder gar tódtlich sind, dies kommt für das Sprichwort
SE: ' dass den Schlechten selbst eine Ziege beisst, ganz und
S gar nicht in Betracht. Auch die Ziege will für dieses
- Sprichwort sich nicht schicken. Das von Diogenian
| überlieferte Sprichwort lautete ursprünglich x&v ofç
axor Avdpe rovmoóv, und eben so ist in dem obigen
- Epigramm V.1 wie V. 3 Ae zu ändern in ots, wodurch
Es wir zu dem dgaxo» d. h. der giftigen Schlange den
passendsten Gegensatz bekommen in dem gutmüthi-
- gen Schaf. Die Substitution von cz statt Oe verdient
= ` kaum den Namen einer Aenderung, sofern die Byzan-
tiner zwischen OI und Y keinen Unterschied machten.
Wie also Suidas es der Mühe werth findet anzumer-
ken dass das Schweinefleisch Aeren xpéas mit dem Yp-
y, . silon, das Schaffleisch dagegen olstov xodas mit OI zu
schreiben ist, so ist die Wahl zwischen ôç und ot nur
vom Sinn der betreffenden Stelle abhüngig zu machen,
nicht von der Autorität Byzantinischer Handschriften.
. Die hier nachgewiesene Verwechslung finden wir wie-
. der in dem Sprichwort: tò xuvóg x«xóv Ús améroey
. bei Gregorius Cyprius 3, 77 u.a. (vgl. Meineke Theocr.
p. 461), dessen Sinn nur sein kann, dass der Schul-
dige oft straflos bleibt, indem ein Unschuldiger für ihn
büsst. Offenbar muss es heissen tò XUVOS X&XCY Og
. amérv, den Schaden den der Hund angerichtet, be-
zahlt d das sen mein, sondern das unschuldige Schaf.
Anth. Pal. 9, 498:
Mn Jarre TOY ASATTOY, ča xucl xpa yeveodar'
17 Tyco UNTE LNTEODŸ OO oU ÖEyET avöoe.
Ec Den metrischen Fehler des ersten Verses ‚hat Jacobs
durch die Aenderung pn Sarreıv zu heben gesucht;
vielleicht ist ‚vorzuziehen pn Sans zën AJATTOY, WAS
nicht nur Plan. bietet, sondern auch Agathias 2, 31.
Anth. Pal. 9, 701:
AVTOV ERR C0 otxos ¿atroz 099 gn Ohvuros
pépubsta: oupmvoSev Ziva xatepyowevor.
‚Schwerlich sage ich etwas neues, wenn ich bemerke
dass pépparr oUonvóSey zu lesen ist: aber selbst in
der neusten Pariser Ausgabe der Anthologie wird pépye-
ta: stillschweigend geduldet. .
Posidippus Anth. Plan. 119, 1:
AVGITTE, TAQOTO Zonóws, 30poahén Yeh.
Dem Ausdruck Sagoaden yel, zuversichtliehe oder ver-
=
PES AP Lee e M
4
E
wegene Hand, lässt sich hier .schwerlich ein passender .
oder aueh nur erträglicher Sinn abgewinnen?) Die
ursprüngliche Lesart 3a:da id yet ist uns zufällig ge-
rettet worden von dem diesen Vers anführenden Hi-
merius Orat. XIV, 14 p. 74, 38 Dübn. Zur Bestiti-
gung dient Anth. Pal. 9, 826: cóv Boogícu carupoy
reyvnsaro Boräoidn yefo.
Ein bekanntes Epigramm des Aratus ets Arorunov
lautet:
Alako Aën, og Ev rerogor xaSmvat
Dapyagéwy raralv Bita xol arpa Mov.
Der Hexameter dieses Distichon erscheint bei Bergk
Anthol. lyr. p. 141 in einer wesentlichen verschiede-
nen Gestalt,
Alato à oct polvos Evi Tétonot xa 3 gra,
ohne dass die Vorrede p. XI, wo nur gesagt wird « Ara-
‚tus. Stephanus Byz. v. Éd et Anthol. Pal.. XI
457», über die Neuerung der Lesart uns aufklärt. Das
Epigramm findet sich auch bei Macrob. Sat. V, 20, 8
und Eust. Il. p. 986, 48. Von den übrigen in der zu- '
erst mitgetheilten Lesart, äbgesehen von der gering-
fügigen Variante rétoauot xaS1ca:, übereinstimmenden
Zeugen weicht allein ab Stephanus Byz. p. 199: exei
(nämlich. ev Tapyapoıs) xa Arcrıpos ó Akaora
edldaoxE mëtteg, ets oy Agatos & ce.
alaka GT: p.ouvos Evi TÉTENOL Séier
ra:cıy l'apyagéoy Bita xol aapa Méqov. —
Lediglich auf diese Stelle gründet sich die von Bergk
gegebene Fassung, in der die Einschaltung des & auf
Coniectur beruht. Die gangbare Lesart ist aber ent-
schieden die richtige, weil sie den Namen des Diotimus
enthült, von dem das Distichon handelt. Die schein-
bar auffallende Abweichung des Stephanus glaube ich
in einfachster Weise erklären zu kónnen. Aus
aiako AIOTIMON OC ey réropot xaS tot
wurde zunüchst, indem man nur falsch theilte,
aiako AIOTI MONOC £ réronot xaSntet,
und dafür setzte ein Verbesserer
alo Oct Rouge dd TÉTENOL xaSmcau,
so dass die ursprüngliche Lesart zu Gunsten des Me-
trum an das Stellen willkürlich geündert wurde (wo-
19) 9) In an neusten Ausgabe der Griechischen Anthologie wird mit
Sapoakin yeto verglichen eine Stelle des Propertius (IV, 8, 9):
a Lysippo est animosa effingere
die mir durchaus nicht hierher zu gebóren scheint, Unter den ani-
mosa signa kënnen offenbar nur «lebensvolle Figuren » gemeint sein.
Wie aber wäre es möglich Sxpoahén yeto in diesem Sinne zu deuten?
E d À
a uer acidi us A à
A JA : |
D E hd
xal Ev geg
ei me D ET J MEE fia T x E E. : CUTS MINES > V 5 2: ^ EE
z Gë Vs SE CES
ES
‘ 1
des Sciences de Saint- Pétersbourg. 2 62
bei immer noch die Dehnung des Iota in ¿ví anstóssig
bleibt) und von dem Namen Arctos kaum noch eine
Spur sich erhielt. Aehnliche Willkürlichkeiten werden
auch jetzt noch begangen. Den auffallendsten Beleg
dieser Art bietet eine in der Revue archéologique 1866
I p. 439 publicirte, im Philologus XXV p. 369 unge-
nau und fehlerhaft wiederholte Kyprische Grabschrift,
bestehend aus fünf elegischen Distichen, deren letztes
in der Abschrift so lautet:
OYKAKOZEETAIAAETTAPIOIZENEXAIPE
TIPOZEITTAZ
KOINOZETTEIONATOIZOTTAOOZEIT
POIMENOYE
Der Herausgeber D. Piéridès las den Hexameter:
Oùx dxoc $ ¿orar 8 domapror, Eee, Xaipe rooceîras,
und Egger wollte corrigiren ` ` |
où xaxos Zem 9 domacpos, Ecve, Jalps rooceirau,
bis endlich E. Miller in derselben Revue 1866 II p. 62
erinnerte, dass TTAPIOI eine falsche Lesung war statt
TTAPIOI, die Buchstaben aber etwas anders abgetheilt
werden mussten: s
ou xaxés dor Aübuz uoi, Ééve, «yaipe» noooeinas.
Dass eine derartige Erinnerung überhaupt jemals noth-
wendig wurde, ist kaum zu glauben. Und doch geschah
etwas noch viel unglaublicheres: im Philologus XXVI
p. 445 wurde Millers Lesung verworfen und eine neue |
Herstellung empfohlen,
ovx dxos dotar ò, de maprov, Edve, yaios Tocosiras,
über die ich nur sagen kann dass sie mir vollkommen
unverstándlich ist.
Procopius de bello Gotthico IV, 22 erzühlt, Aga-
memnon habe in Gerástus der Artemis ein steinernes
Schiff geweiht, auf welchem entweder damals oder spá-
ter eine metrische Inschrift eingegraben worden sei.
Die Charaktere dieser Inschrift seien im Laufe der Zeit
zum gróssten Theile unleserlich geworden, die ersten
Buchstaben aber seien noch sichtbar und lauten:
Nia yéAatyay idovoato Tis Avapéyvov,
Eine arpartınz oué Tcikondvng.
Eye «Tnvwyos ¿motor Aprenıdı Bohocía». Der
Hexameter dieses Distichon dürfte so herzustellen sein:
Noa pérmvay avaË iSoucare Tio. Ayapzavov.
.. Wie leicht &va& nach péhavay ausfallen konnte; lehrt
der Vers eines christlichen Dichters bei Cramer Anecd.
Paris. vol. 4 p. 294, 18:
LANA p dy ¿hémips xal sixcva. Velay devo,
Wo MA p GvaË datos zu schreiben ist. In dem Pen-
tameter des von Procopius erhaltenen Epigrammes ist
onpa vielleicht zu ersetzen durch das deutlichere
pa. Die nachher folgenden Worte
Tage Emoter Aprepıdı Bohooín
standen sicherlich am Schluss des Epigrammes, wo-
nach èv geg nicht richtig sein kann, wie auch daraus
hervorgeht dass à» deng keinen richtigen Gegensatz
bildet zu ta roûta veappoara. Man sollte erwarten
ems
rap ix ee
RII NU M
xal úroypapn» yet, In dieser Unterschrift wird Tqw- | v.
xoc mit, Welcker Sylloge epigr. p. 226 in Towiyos zu
ändern sein. Die "Aprepıs Botocía ist vielmehr Bo-
Aocta zu nennen; dafür spricht die von Dindorf ange-
führte Stelle des Etym. M. p. 205, 25 wie das Me-
trum; denn offenbar bildet diese Unterschrift einen
iambischen Trimeter*), zu dessen Herstellung es nur
einer ganz geringen Aenderung bedarf:
Tovwyos ¿mofery Aprépud Boiocta.
Die Form Zoos kennen' wir aus einer Milesichen In-
schrift, vgl. Kirchhoff Studien zur Geschichte des Gr.
Alphabets (Abhandl. der hist.-philol. Klasse der K.
Akademie der Wissensch. zu Berlin 1863) p. 140.
bei L. Heuzey Le mont Olympe (Paris 1860) p. 479
findet sich eine aus zwei Distichen bestehende Grab-
schrift, von denen nur das erste sich herstellen lässt:
FAIOCEIMAPTHAAOKW
TOA€CHMAOANOYCH z
OHKEAYKEIANHMNH
MOCYNHGENEKEN
Vermuthlich bietet der Stein EIMEPTHAAOXW. Da-
nach würde das Distichon lauten: `
Paros einsprh arogo dës cipa Savovor,
xs Auxsiavn pynmoouvng Évexev. :
Natürlich ist epson so viel als ipsoc d, während sipag-
zg @\yo mir sinnlos scheint. — Von der bei Heuzey
p. 480 folgenden Grabschrift vermag ich nur den ersten
Vers zu entziffern, welcher lautet oder doch lauten
sollte:
b
In dieser Unterschrift erkannte Meineke Del. poet. Anth. Gr. p. 285 f.
ner
einen iambischen Trimeter:
Kuduvaras Koncidas clpyaëute.
Dass diese Vermuthung bis auf eine geringfügige Kleinigkeit rich- ,
tig war, lehrt das neuerdings aufgefundene Original im ersten Bande
des Corpus Inscr. Att, p. 187. Nur hätte Meineke cipyaooaco schrei-
ben sollen, wie vor Auffindung des Steines Boissonade vermuthet
hatte.
*
Bulletin de l'Académie Impériale
‘Qg 0600 slagevev pe BoorcoSopos forages Ans.
Was der Herausgeber dafür gesetzt hat, kónnen wir
auf sich beruhen lassen.
Eine neue Bearbeitung der Bruchstücke des Calli-
machus war nach der nie genug zu bewundernden Lei-
stung von Bentley ein dringendes Bedürfniss, dem end-
lich Otto Schneider durch den zweiten Band seiner
Callimachea im J. 1873 abgeholfen hat in einer Weise
die unsere vollste Anerkennung verdient. Die Her-
stelluug der Fragmente bleibt, wie es in der Natur der
Sache liegt, vielfach unsicher. Entschieden fehlerhaft
aber ist was in der neuen Ausgabe p. 244 dem Calli-
machus beigelegt wird (fr. 83°),
: roonyaysv 9 emi mhsioto»
A Estos Dod& Edpopfos, dois gëurmue XTÉ.,
wo der dritte und vierte Fuss des Choliambus durch
ein einziges Wort gebildet werden. — Fr. 147 ergánzt
O. Schneider zu einem überlieferten Pentameter ver-
suchsweise die vorgehenden und nachfolgenden Worte:
[Spéravo» Y ois ne Kocvoto, |
zo TEpl StynsyT Axpovidny SS,
Dao xeivnor].
Derartige Ergänzungen sind an sich kaum mehr als
ein müssiges Spiel; in dem vorliegenden Falle aber
müssen wir Protest erheben gegen die Form ns, die
zwar bei Gregorius? Naz. sich ófters findet (vol. 2p. 46 A:
enel xeos Ye yevíoSon. p. 99 O: réprros 9 e PT-
TOS, 63 Extos Bap3ohopatos. p. 101 A: TOD TÉTOATOS
ne Kaivav. p.126 B: ro: pèv gege Ye, Torov Dé Te
rarotv éctoty), die ich aber dem Callimachus, trotzdem
dass es mit seiner grammatischen Correctheit schwach
` bestellt ist, zunächst nicht zutrauen móchte”'). — Eine
der gelungensten Ergünzungen eines Fragmentes des
Callimachus verdanken wir O. Jahn (Berliner Hermes
i p. 249), der die abgerissenen und unverstándlichen
21) Hartel (age ue 2. Aufl. Wien ée D nt ) wundert
sich, dass ich O
ei pe Groe Ergo T» KEÓVÓTATOS «e,
das mir bei Homer anstössige Ty nicht wage in de zu ändern, sondern
lieber an der Herstellung dieser und «ühnlicher Stellen» (mir ist
entsprechen bei Se men ern die Formen Zoxe(v), čev, dev,
nv, Zon (nny ist nur eine Fiction der Grammatiker). Die erste dieser
Formen hat den rs schon in der classischen Zeit einge-
büsst; von den übrigen Formen ist nur der in de verkürzt worden,
aber meines Wissens nicht früher als bei dem Kirchenvater Grego-
rius Naz.
Worte «àv ¿ydoov Gore Kopcıpov (fr. 307) aus Porphy-
rion vervollstándigt hat:
énta cool yalporte: Te dech date Kopetgov
OÙ TUYAS LÍO LEY.
Unbegreiflicher Weise hat der neuste Herausgeber ge-
gen Jahns glánzende Herstellung sich ablehnend ver-
halten. — Einen durchaus richtigen Takt hatten die
Kritiker bewiesen, welche nach Cie. Tusc. 1, 39, 93:
non male ait Callimachus multo saepius Lett fuis:
mum quam Troilum, und Plut. Mor. p. 113 E: peto»
yap ¿vros Edaxpucev Towtkos n Ilptapos, dem
Callimachus (fr. 363) den Pentameter zueigneten
pelos édaxouoev Teoíhos y Hptapos.
Dieser Pentameter liegt bei Plutarch unversehrt vor,
sobald man die Worte yde und &vrog auscheidet, die
offenbar dem Plutarch gehóren und nichts zu thun ha-
ben mit dem von ihm benutzten Dichterwort?). Wie
schwerfällig nimmt sich dagegen aus, was Schneider
nach der Plutarchischen Stelle dem Callimachus auf-
bürdet,
sl yap dvros Teodce y Eduxpugev
n Moíap.os.
In dieser Fassung enzieht sich évcoz unserem Verständ-
niss, und die zu Gunsten des Metrum eingeschaltete
Partikel ye ist unpassend, weil Troilus nur einer uhter
vielen ist, die mit gleichem Rechte im Gegensatz zu
Priamus erwähnt werden konnten. —Die weit verbrei-
tete, selbst in mythologische Handbücher (wie Preller
Griech. Mythol. I p. 247 zw. Aufl.) übergegangene
| Notiz einiger Grammatiker, Callimachus (fr. 82° oder
fr. 62) habe in den Worten
"ois EdxoMvr
die Hekate xat avriopacıy Edxokn genannt, beruht
auf einem mg lin Irrthum. Wie schon Bentley er-
22) Das ydp ist von Plutarch eingefügt, weil er mit den Worten
des Ed die voraufgeschickte Behauptung (er: 6 heyopevos
€ Sdvaros evrapapdInrós ċott) begründet; durch Zus zeigt der
Schriftsteller an dass er dem citirten Autor Recht gibt, dass in dem
vorliegenden Fall ein ,bekannter Ausspruch sich bewahrheitet oder
etwas ähnliches. Ganz entsprechend sagt z. B. Cornutus de N. D.
c. 30 p. 174: ¿vrs yap civög TL Tupt Toon pávos GË xată tods TOLNTAG,
wo nicht ein iambischer Trimeter (wie etwa ¿vts yap olvog pévog £go»
io» up) zu suchen ist, sondern hinlänglich bekannte Worte des
posters + (p.153 Bernh ) benutzt werden:
06 TOL Tuot tcov Zyct pe ALL cur d» de audpa
EN xup.atyct © cía A(Quocay aha
one v) vorog XT
Bo
Worte über welche ausser A thenaens; Stobaeus nit Clemens Alex. `
noch verglichen werden kann er, v. vapImxorinpwrov, oder
Hiller Eratosthenis Carm. reliq. p. 111 f
waren noch zu beachten Aelian N. A.
65 des Sciences de Saint» Pétersbourg. ! 66
- kannte, galt das yates bei Callimachus nicht der‘ Exarn,
sondern der Exayn, und statt yate EuxcMyn, war viel-
mehr mit Cobet Mnem. nov. 1 p. 378 yaig “Exadvn
. zu schreiben. Vgl. Etym. M. p. 319, 45: aurny (nám-
lich nv Exam») ExaMvn» Zeen ol zaiacl úroxoptgo-
evo. Plut. Thes. c. 14: tn» "Exo étépoy Exadvny
(Exadny»n» die Handschriften) vroxopföpevor da To
xaxswm» véoy ovra x xov Ongéa Eevikoucav aera-
caosa. Tpcofutixos xal quiopooveloSqt ToLoUTOLE VTO-
xoptapois. — Für Callim. fr. 222:
TEULOY Qc EtépO tig ÉD XAXOV Bart TEUYEL,
7, 11 und das
von R. Hercher herausgegebene Fragmentum Marcia-
num (Hermes 3 p. 385, 13), vgl. Bulletin XVII p. 227
oder Mélanges Gréco-Rom. III p. 275 f. — Fragm. 289
war einfach zu tilgen. Statt Sava ¿via xeaco. hat
Bentley unzweifelhaft richtig ¿via Java xsaocaı her-
gestellt”); diese Worte aber sind aus der Odyssee (0322)
entlehnt, und wenn es auch an sich nicht unmóglich
ist dass Callimachus einen ähnlichen Ausdruck den
Homerischen Worten nachgebildet habe, so kann doch
eben so wohl der Name KoMipoxos auf einer Gedan-
kenlosigkeit des Suidas beruhen. In jedem Falle ist die
Ergänzung Sava Bio [turda] zesoen: durchaus will-
kürlich. — Auf fr. 481:
pon peroeiv oyotvo Hepotó nv vopiny, |
bezieht sich Gregorius Naz. Epist. 209 vol. 1 p.903B
, (bei Hercher Epistologr. p. 15): té yap n m Hasan
oyo perpsioSar dei nv acpíay n Tadros Lal Ges
Das von Herodian m. pov. Aé. und Choerob. erhaltene
23) Zu den úblen Angewohnheiten der Schreiber unserer Codices
gehórt auch die wunderliche Neigung ein nachgestelltes Adiectivum
seinem Substantivum vorzusetzen. So bieten alle unsere s MEM
d. y 418. Zwischen T0ÀÀo0 Aoet und got xoAAot schwankt
lieferung bei Hesiod Op. 763 f. In den Sibyllinischen Orakeln 12,
2
02: xat rote ôn Bacídera xAvTn peyxAoto avaxtos, ha n die Ab-
schreiber xut) que vorgezogen. Der Versausgang 00» raren
THLOLEVOY Eur. fr. 2 5 ist mit Recht von Bothe geändert worden in
marépo Gv men Aus derselben Unsitte erklárt sich bei Eur.
Andr. 423 Ce N, unserer, Handschriften zwischen eit £up.-
Zog de yon
Ms e Se A Yet,
onv raid i£ayetv,
at ony rató yery
wo Kirchhoff durch die Umstellung xatóa 67» aye» die Hand des
. Dichters hergestellt hat, während interpolirende Byzantiner einen
dreifachen unrichtigen Versuch gemacht t hatten die fehlende Silbe
durch Einschaltung zu gewinnen. Einige andere Belege für derar-
tige Umstellungen habe ich beigebracht im Lexicon Vindob. p. XVI f.
Tome XXII.
fr. 505: vuppís Anuooco», axe Eeve, steht ohne Nen-
nung des Verfassers auch bei Procopius Gaz. Epist.
18 p. 539 Herch.
Den Bruchstücken des Callimachus hat O. Schnei-
der eine nahezu 400 Numern umfassende Sammlung.
epischer und elegischer Anonyma angehängt (p. 705—
791), die man dem Callimachus vermuthungsweise zu-
geschrieben hat oder vielleicht zuschreiben darf. In
dieser überaus fleissigen Zusammenstellung, welche
einem künftigen Bearbeiter der Fragmente der Grie-
chischen Epiker von wesentlichem Nutzen sein wird,
bleibt natúrlich vieles streitig und zweifelhaft. Um so
lieber beschränke ich mich auf die Nachweisung über-
sehener Thatsachen. Der Vers ygouvol pèv datovro,
péyas à “Hoatoros avéotn (fr. 84) steht auch bei Tzetzes
in Lycophr. 86, wo er dem Homer beigelegt wird. —
Fr. 112 ist zu tilgen, da der Hexameter
men, TEPOÍXOOL, Ta TE COÍOLY AYTLONGLY
sich bei Oppian Hal. 1, 48 findet. — Warum wurden
die Worte yırava Te wuto cocas fr. 113, wo der
Herausgeber eine Verunstaltung von Od. ¿229 voll-
kommen richtig erkannt hat, nicht einfach ausgeschie-
den? Ein gleiches gilt von fr. 154. 291. 321. 324.
337. 342. 356. Ueber alle diese Stellen genügt es
auf Schneiders eigene Auseinandersetzungen zu ver-
weisen. — Fr. 119 aus Etym. Flor. p. 93: vat èx
rod duo yetar dun xol dual Sual Ev pepélnytas,
wiirde vermuthlich fortgeblieben sein, wenn meine
Emendation, Sox ds tod due yetar orot xal Sorat
Souat gà» MeveAao (A 7), dem Herausgeber früher be-
kannt geworden wäre. Diese Stelle kann zeigen, wie
vorsichtig die Texte der Grammatiker zu benutzen |
sind. — Der Zweifel über die echte Lesart in fr. 116:
zeng Ò autíxX ¿metta xatappenèc ¿cauto xup.a, erle-
digt sich und das Bruchstück verschwindet, wenn man
die Quelle desselben kennt, Apoll. Rhod. 2, 593. —
Dass fr. 120: x1000 9 ipeposvt: xac iones (l. ¿ote-
bey) éSetoas, dem Periegeten Dionysius (947) gehört,
habe ich in dem Bericht über E. Millers Mélanges
bemerkt. Auch sonst werden or@Asıv und atépely ver-
wechselt. — Was unter fr. 132 über méxtos mir bei-
gelegt wird, ist genau das Gegentheil von dem wasich in
an der von 0. Schneider angeführten Stelle (Bulletin `
XIII p. 362 oder Mél. Gr.-Rom. III p. 129) gesagt
habe: auch ich wunderte mich dass M. Schmidt und
Lentz das bei Arcad. p. 80, 9 überlieferte móxtos ge-
5
67 Bulletin de "Académie Impériale . ! 6s
ändert- und zwar stillschweigend geändert hatten in
méxros. — Die Glosse des Hesychius a Aéhotrey
(fr. 144) ist entlehnt aus Greg. Naz. vol. 2 p. 52 D.
Wie dieser Kirchenvater dem Lexikon des Hesychius
“und anderen Byzantinischen Grammatikern eine reiche
Ausbeute zugeführt hat, so sind nachweisbar aus der-
selben Officin hervorgegangen die Glossen in fr. 160:
sideos xs céhas (Greg. p. 102 D), fr. 204: uns x30-
vos (Greg. p. 52 D), fr. 214: ¿ma ynevovtes (Greg.
p. 36 B), fr. 218: rap xuAcova (Greg. p. 58A), fr. 246:
"gien tàs (Greg. Anth. Pal. 8, 112, 1). Alle diese
auf Gregorius Naz. beziiglichen Nachweisungen liessen
sich aus der Schmidtschen Bearbeitung des Hesychius
gewinnen: Homerisch sind die als fr. 207 erscheinen-
den Worte voponv ye vény (À 447), wie fr. 224: rohu-
deuxéa ovr» (vgl. meine Bemerkung zu Od. 7521),
desgleichen fr. 322: deen. £yov ¿mi vnas (A 168). —
Ueber den gelegentlich (p. 772) erwähnten Hexameter
Apdo Ate ¿post moAUQorct; Aer
konnten noch einige Zeugnisse beigefügt werden (vgl.
Bulletin XII p. 517 oder Mél. Gréco-Rom. III p. 60 f.).
— Fr. 329: Seorıv xatefpóvrnoev ó QAérov Ora, ist
ein Vers aus den Kavowss des Iohannes Damascenus
(Hymn. 3, 91}, über die ich zuerst in der Zeitschr.
£ d. Alt.- Wiss. 1855 p.19 — 22 und später bei
verschiedenen Anlüssen gesprochen habe. Nachdem
diese Kavovss durch die Anthologia christiana von W.
Christ und M. Paranikas (Lipsiae 1871) allgemein zu-
‚gänglich geworden sind, wäre es endlich an der Zeit
dass sich mit ihnen alle diejenigen genauer bekannt | -
machten, welehe über Griechische Grammatiker und
über die bei denselben erhaltenen Dichterfragmente
zu Schreiben unternehmen. O. Schneider hatte um so
mehr Veranlassung diese Hymnen zu lesen, da Naeke
einen Vers derselben mit Callim. fr. 76 verbinden
wollte: eine Muthmassung, durch welche sich mit vie-
len anderen auch Bernhardy im Suidas II, 2 p. 1296
Duschen liess, wie denn unter den Philologen unseres
- Jahrhunderts Ce e in seinen Ausgaben des Suidas
und des Etym. M. fast der einzige gewesen sein diirfte
der die: metrischen Hymnen des Iohannes Damascenus
kannte. — Fr. 334. Den in den Schol. V IL M 5
anonym überlieferten halben Vers, va wy regl récav
esp yet, hat O. Schneider durch die Aenderung puy statt
wy geheilt; was er aber über die ursprüngliche Be-
ziehung dicte? Worte p. 97'und p. 774 vermuthet (er
denkt an das unheilvolle Gewand, welches Medea ihrer
Nebenbuhlerin Glauke gesendet), ist irrig, da die frag-
lichen Worte dem Hesiod gehóren, Theog. 127:
Tato 8é tot roûtov pèv éeivarco (oov ¿otr |
Deene EI , {va pity mepi TAYTA X OX tot,
öpp ein paxdpeoar Dec: ¿dos dopadis aiei.
So (abgesehen von der Variante xaħunty) unsere Hand- `
schriften und Ausgaben; aber fva py tepl aca» éépyor
ist, wie die Koechly- Kinkelsche Ausgabe anmerkt,
deutlich erkennbar in den mannichfachen Entstelhin- `
gen der Handschriften des Cornutus de N. D. c. 17
p. 87 f. Os., wo die Worte tva qu» — acpañès atei an-
geführt werden. Abermals ein Beweis, wie unfrucht-
bar es ist abgerissenen Fragmenten eine bestimmte
Stelle in verloren gegangenen Gedichten zuweisen zu
wollen. — Fr. 343: opuewns axpatou xal xéôpou vn- '
Xe xarvo. Dieser Vers lässt sich nach der Ansicht al-
ter Metriker als daktylischer Hexameter und als iam-
bischer Trimeter lesen. Ein Schol. Hephaest. p. 21
und Tzetzes in Aneed. Oxon. vol. 3 p. 318 legen den
Vers dem Hesiod (fr. 248 Goettl.) bei und bieten eine
bei weitem wahrscheinlichere Fassung: rioong Te Ôvo-
pepis xal xédpou Aé xarvo. — Fr. 359: vov ð piv `
ot tócoy veléSet xaxèv ¿vd0% pépvov. Die auch im
Etym. M. p. 614, 9. Etym. Gud. p. 417, 15 stehen-
den Worte his dem Gregorius Naz. "li 2 p. 129D,
wonach die von Schneider begonnene Emendation zu
vervollständigen ist. — Ueber das vom: Herausgeber
(fr. 37 16) nur aus Plutarch angefiihrte
(oda tot xuapoug ¿ode XEPOLOS TE TOXNOY
konnten nicht wenige andere Parallelstellen beige-
bracht werden, vgl. Bulletin XVIII p. 494 f. oder
Mélanges Gréco-Rom. III p. 577 ff., wo ich hinzufüge
Etym. Gud. p. 351, 8: Opnpos, fody Tor ugoe TE
panel. — Fr. 378: yaotpos aro meins Bou. xal
unriv auetve. Die Vermuthung 8ouA7 xal pntis apei
voy wird bestätigt durch eine andere Stelle des Plutarch
Quaest. symp. VII, 9, 1 p. 714 A. — Fr. 380: Asun-
TO TAPA Dmtsüoat piyay els Enavröy, berücksichtigt
von” Clemens Alex. Str. I p. 383 : xai Adna Syrevov
(zë súploxeta: «uéay eis Evinurevo, Nach Schol.
Eur. Alc. 1 haben einige Gelehrte den Vers dem Rhia-
nus beigelegt (vgl. Düntzer Fragm. der ep. Poesie II
p. 72 und Meineke Anal. Alex. p. 180). — Nachträge -
zu den von O. Schneider zusammengestellten Adespota
beizubringen wäre eine endlose Aufgabe, welche die
Vi
69 des Sciences de Saint. Pétersbourg. 70
Grenzen dieser Bemerkungen weit überschreiten würde,
Eine Stelle móchte ich jedoch erwühnen, wo ein Dich-
terwort benutzt zu sein scheint. ‚Athenagoras Suppl.
pro christ. e. 14: dy tolvuv mue, ött pm xotóg exsívorz
Secasßoun.ev, Aosßonev, TOTO! po TONELS ravra 85 ¿Syn
ceQouctv' ou yap TOUS groe Tavres your Sous,
Den letzten Worten dürfte ein Pentameter, wie etwa
de OÙ TOUS ŒUTOUS TAVTES d'[cuct Sege
zu Grunde liegen, der möglicher Weise von Callima-
chus herrührt.
Die Texteskritik der Fabeln des Babrius ist durch
die Ausgabe von A. Eberhard (Berlin 1875) wesent-
lich gefórdert worden: nichts desto weniger bleibt für
diesen Diehter sehr viel zu wünschen und wohl auch
noch manches zu thun übrig. Dass der im codex
Athous überlieferte Text hie und da durch ungeschickte
Hände erweitert ist, lässt sich urkundlich darthun und
wird allgemein zugestanden; in Betreff der einzelnen
Stellen werden freilich die Ansichten vielfach getheilt
sein. Eine längst erkannte Interpolation wird von
Eberhard nicht Geiger Eab:.9;.1f.;
Aieue tic [akous ee xal Topos mode’
xol ÒN mov] Gov Anloas auoySntos
Au TPOS ahy mupoyiny Est,
TO déxruov Sels ¿repériey edpoucos.
' Gewiss ist es nicht zufällig dass die eingeklammerten
Worte sich ausscheiden lassen zum entschiedenen Vor-
theil der Darstellung. Die Verbindung æÿhods eiye mit
copos nde: ist an sich so ungeschickt, wie wenn jemand
sagen wollte: «N. N. besass Geigen und geigte gut»;
hier wird diese Verbindung noch lästiger durch das
nachfolgende avi0v. Der Pluralis «9Acog ist veranlasst
durch die folgenden Worte teós 4010 rdvpovin»,
woraus der Interpolator den falschen Schluss zog, der
Fischer habe mehrere Flöten: gleichzeitig geblasen.
Nicht minder einleuchtend scheint mir die Fäl-
-. schüng 22, 2:
d ex
Së
Ba e TON TAY pé» £yov Gem
[véos p&v ovx y, oudémO òè rosoßurng]
Aeuege pehatag peyadas Exdover yaltas.
Wohl kann man sich gefallen lassen eine Erläuterung
wie sie 103, 2 gegeben wird: Aéov èr drem ouxért
GS évOy Basen, TONNO väe non TO AT Ab
xoldns Zou onmAvyyos Og vóco xapvoy Geer, Dass
aber zu dem allgemein verstündlichen Begriff der mitt-
leren Jahre noch der Zusatz tritt «zwar nicht Jüngling,
aber noch nicht Greis», dies ist nicht nur überflüssig,
sondern geradezu lüppisch. — Fabel 44 handelt von
drei zusammen weidenden Stieren; der Lówe getraute
sich nicht mit der Gesammtheit em zu werden,
ACotc 9 UroUActg da gohais TE TUYXAPOVOY
éx3pous droit, yopícas Y ar’ dd
Exactov auto» ¿oye badíay Solny.
Bei éy3pouz émoter fehlt die Hauptsache, eine Bezeich-
nung dessen mit welchem die Stiere verfeindet wur-
den, nämlich «kmo. Auch scheint dagohais wenig
Gd, sofern es neben den &taßoAa noch andere arg-
listige Reden gab (namentlich Verspr echungen), durch
welche der Lówe seinen Zweck eben so gut und besser
erreichen konnte. Babrius-dürfte geschrieben haben:
hoyos Ò Unoÿhos yopícas ar oda
Éxaotov auto» days badlws Sotynv.
Frei von der Interpolation war das Original der pro-
saischen Fassung (Fab. Aesop. 394 Halm): aipudous de
Aóvotc Toutous dayopícas, pep.ovopévovs coutoy Eva xas
¿va een dòcoç TjoStev.— Von den Arabern, welche den
mit Lügen und Schelmereien gefüllten Wagen des
Hermes ausplündern, heisst es 57, 9 — 11:
rëm doratovcsc dzee gece `
éxévogay AUTRY où donxav eis dee
[Er mpoeASelv aéreo Gvras dvSpomous].
Dem Unsinn der Worte xaírso övros dv3purous hat
man mit verschiedenen Mitteln abzuhelfen versucht; `
dass derartige Versuche scheiterten kann nicht be-
fremden, da der ganze Vers nichts weiter ist als eine
cite Zuthat von spüterer Hand.
In der Fabel vom Fuchs und den Trauben liest man
bei Eberhard 19, 6. 7:
xapyouca Y dios (où yap Zoyusy Aen
opge eco Bouxolcusa zg AUT NY.
Nicht während der Fuchs sich umsonst abmühte,
ging er vorüber, sondern nachdem er sich umsonst
abgemüht hatte, ging er fort, also xapo9ca à dwg
— amiASsv, wo arvise längst Burges in Aesch.
Suppl. 920 vorgeschlagen hat, xapvovoa aber aus xa-
poca gemacht ist wie Fab. 9, 5 éxauve aus éxaue.
Auch toyöev scheint mir bedenklich, da das Ypsilon
dieses Verbum bei Babrius sonst stets lang ist (vgl.
47, 12. 76, 16. 77, 6. 95, 7. 112, 10).ausser in dem
unechten Epimythion von Fabel 96; vielleicht ist zu
bessern où yap doSevey daier, wie oSévew oft durch
toyúety erklärt wird.
pt
Bulletin de l'Académie Impériale
22, 4 wird bei Suidas v. xôpoç angeführt, wonach
xogcug künftig nicht als Coniectur des Minoides Mi-
nas zu bezeichnen sein wird *).
35, 3. 4: AX dy pév ayróv asks Um EUvoËns
q SAArovoa xoXmotg drëtte ATOTVÉYEL.
Der Herausgeber schreibt mit Bergk und Seidler
&yoíog amorvíye: und bemerkt: sedem uu. a. As e. el
à. à. commutabat N (d. h. Nauck). Vielmehr habe ich
Philol. 6 p. 408 vermuthet:
GAN Du piv avtov ayong ÚT euvobns
Sahrouoa xóhrots dS Ao € ATOTVÍYEL,
was ich noch jetzt für nothwendig halte.
46, 6 — 7 lauten in der neuen Ausgabe:
do» Ò EMO coc TIS TONG T ATOTEUYOY
… Tit Tòc VAAS 6 8i tahac XATEGXANXEL,
un xo xopavny Seucégn» avanınaaz.
Statt des mittleren Verses bietet die Handschrift zwei
Choliamben:
diet mpos Vus: ó 8b nevin Ivy axel.
Davos JE ALO xoà VOTO XATECXANKEL.
Mit Recht hat Bergk die Worte £Aagoc — ON
x: getilgt. Vorher dürfte zu schreiben sein © 8
yenving Svijoxet, wie ich bereits früher bemerkt habe”).
Vollkommen richtig sind die nachfolgenden Worte pn
TO xopovny devtépny avarınoas, die im Rhein. Mu-
seum N. F. IX p. 312 angefochten wurden: sie be-
zeichnen dass der durch den Besuch seiner Freunde
des Futters beraubte Hirsch vor der Zeit starb; denn
der Hirsch ist teroaxopwvos nach Hesiod. 1.163, 2.
Oppian. Cyneg. 2, 292.
54, 1. 2: Euvouyos gie noos Dom Unio raldov
axel ópevos.
24) Uebersehen ist von den Eee des Babrius auch fol-
gende Glosse des sag ydping TE pLpEpoU
i 8€ pyne froe De ydpin:.
Dies Citat ist + Oe dlane von Babr rius 25, 5:
el de Muvns ¿yyds Noa» eüpeine.
2 in n TYPIHY übergehen konnte, lásst sich begreifen;
bemerkenswerth aber ist die Freiheit, mit welcher Suidas oder sein
Gewührsmann eine völlig sinnlose Entstellung als unverfälscht hin-
nimmt und frischweg erklärt. Auf der gleichen Quelle beruht Zon.
Lex. p.459: yuping meprpeoods. Wäre nur diese Glosse uns erhal-
ten, so würde niemand den Betrug ahnen. Ein B wir Grund
Seng gegen Suidas und Consorten uns misstrauisch zu verhalten.
25) Vgl. Bulletin XVII p. 258 f. oder Mélanges Gréco-Rom. III
.820. Diese meine Bemerkung scheint Eberhards Aufmerksamkeit
entgangen zu sein, eben $o wie die Vermuthung Aóyotot gniwJeioa
coi; pelryhwocors 95, 9 (vgl. Bulletin XII p. 519 oder Mélanges
Gréco-Rom. III p. 63 f.).
Was oxepóp.evos hier soll, vermag ich nicht ausfindig
zu machen: offenbar ist zu bessern xpnoóp.evos.
56, 9 steht bei Eberhard: "i
aUTOS TOY giereg TAG TLG EUTPETN MQUvEL.
Wozu bemerkt wird: «autós tov E: toy aire A». In
den Verbesserungsvorschlägen zum Text des Babrius
(Berlin 1866) p.8 sagt der Herausgeber: «v. 9 hat A
TOY (TCU más "e Singer? zoher: also wird zu schrei-
ben sein autos tv gären. Vielmehr scheint die Hand-
schrift zu bieten: ev autos aútod TAS tig eunpenn
xpívez. Ist dies aber der Fall, so sehe ich keinen Grund
zu einer Aenderung.
59, 17: nepa te Toret, TOY PIovov DE py xplveiv.
Der Sinn dieser Paränese kann nach dem Zusammen-
hang nur dieser sein: «lass dielt, wenn du etwas zu
schaffen suchst, nicht irre machen oder stören durch
Neider oder Tadler», womit die nachfolgende Zeile
stimmt, apsorov aros
Worte tòv qSovov òè pn xolva, die sich dem Verständ-
niss entziehen, für fehlerhaft zu halten sind, selbst
wenn das Epimythion, dem sie angehören, nicht von
Babrius herrührt, haben Eberhard und Tournier rich-
tig erkannt. Tournier (Bibliotheque de Pécole des
hautes études, Sciences philol. et hist. Dixiéme fasc..
p. 33) vermuthete «6v oSovov à da xptvew. Ich denke,
man sollte eher das Gegentheil erwarten, ev qSóvov
Se py ča »otverv, wie denn Eberhard ph PSovev à ča
xoweuw im Texte gibt und Hertzberg, ohne eine Aen-
derung für nothwendig zu erachten, übersetzt
Thu, was du willst, doch lasse nie den Neid richten.
Dass auch Eberhards Aenderung einen schiefen Aus-
druck gibt, scheint mir keines Nachweises zu bedürfen:
die Fabel lehrt dass der Momos, der früher unter den
Göttern wohnte, überall wo etwas geleistet wird, Stoff `
zum Tadeln findet ; wer etwas schafft, kann nicht verhin-
dern dass die Missgunst der Neider an seiner Schö-
pfung mükelt; aber er soll gegen unberechtigten Ta-
del sich gleichgiltig verhalten. Nur dieser Gedanke
ist hier statthaft, also weder un oSóvov A ča xpiverv
noch où oSóvoy SE SeT sien noch det PScvov SE um sët
vet» (wie Eberhard früher wollte) noch etwas ähnliches.
Vielmehr ist hier erforderlich die Mahnung: «küm-
mere dich nicht um den Szeen, d. h.
Toy QSoyov Y da ya tpsty.
Aus dieser Lesart floss der Unsinn des jetzigen Textes
in Folge einer übergeschriebenen Erklárung:
I
oudév ¿ori to Mopo. Dass die '
vg
78
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
74
un xplverv
mov pSovoy $ Em yalp.
Damit war gemeint zu p3óvov 3 un do xpiveuv: aus
metrischen Rücksichten aber wurde das Zo fortgelassen.
70, 3: “YBptv SE mae, où yap eis.xaremmper.
So Eberhard nach einer Vermuthung von Seidler, die
ich nicht nur als misslungen , sondern als geradezu
unbegreiflich bezeichnen muss. Zwischen ovdeíg und
ouy eis besteht. ein gewaltiger Unterschied, sofern
ou eig nichts anderes bedeutet als ¿vto oder zeiAet,
Vgl. Aesch. Sept. 103: tatayos out évos Sopcs. Soph.
O. R. 122: Ayoras Epaoxe ouvtuyovras où jud boy
xravelv vu, aha Guy zer yegay. Eur. fr. 273: tij;
tuyns 9 cUy eig to6roc.
71, 5. 6: Nxovas A y SaXacca, xol yu vanesa»
Aaoüca povny eine ré.
Statt der «weiblichen Stimme» würde ich hier vor-
ziehen «weibliche Gestalt», also yuvarxeiny AaBodra
poppy eire, vgl. 32, 3.
72, 14: xal. noas Seous NEw aletod xoe(ocov.
Bezeichnender wäre atetod Saccwv. Der Schlussvers
derselben Fabel lautet in der Handschrift:
toig ÉTÉQUY YAP dj.moéro» coUtov CTEPNSNON.
Somit wird es genügen, wenn wir schreiben, was in
den Eurip. Stud. II p. 190 empfohlen wurde, toteu
ÉTÉQOV YAP dj. moérov Green,
~ 89, 4: où Ti ps mépuor puxpôs Ov encore.
Statt en 3% pe würde ich ou toi pe vorziehen, was je-
denfalls leichter ist und wohl auch passender.
94, 10: GAX doxécet cot ph te xao» raoyetv. Rich-
tig der Herausgeber py t: xol xaxov macyst», wie ich
selbst (Eur. Stud. II p. 190) schon früher vorgeschla-
gen hatte.— Die Form oto5as 95, 14 glaube ich Eur.
‚Stud. II p. 71 — 73 (vgl. p. 190) hinlänglich geschützt
zu haben, so dass kein Grund vorlag dafür oídas zu
setzen mit Minoides Minas und den prosaischen Pa-
raphrasen der Aesopischen Fabeln.
95, 50: yoaXenóv xeAcuctc, AAA VIOLENTO.
Den fehlenden Versfuss hat man auf verschiedene Weise
zu gewinnen versucht: mir scheint das passendste ya-
heroy xedevers Epyov oder ¿pyov xeAeuetg jy emóv.
Gegen das 115, 12 überlieferte té yap vepov pot
wüsste ich nichts einzuwenden; vgl. Bernhardy Paral.
synt. Gr. p. 67 und meine Bemerkung im Bulletin XII
p. 519 f. oder Mélanges Gréco-Rom. III p. 64 f. *
- Einen Vers wie 134, 1: rom» cxúňaxa tts čte
èx xeveßpeiov, wo der Tribrachys des zweiten Fusses
von einem dreisilbigen Wort gebildet wird, hat Ba-
brius schwerlich sich gestattet. — Zu den Druchstü-
cken daktylischer Fabeln, welche Eberhard p. 96 f.
nach dem Vorgang von Lachmann p. VII f. seiner Aus-
gabe des Babrius beigefügt hat, kommt eine von Bois-
sonade in Tzetz. Alleg. Il. p. 320 aus einer Handschrift
von Iohannis Georgidae Gnomol. mitgetheilte Stelle,
die sich auf Babrius 86 zu beziehen scheint:
yaatéon (8 ?) öyxov. &youcay
"Ti Aent opel» elcodos où duvara. y |
Für die geistlichen Hymnen des Bischofs Synesius
war, wie wir meinten, durch die im J. 1871 erschie-
nene Anthologia carminum christianorum von W. Christ
und M. Paranikas vorliufig in ausreichender Weise
gesorgt, zumal da diese gedunsene Poesie nur wenige
Leser jetzt findet und. künftig finden wird. Nachdem
jedoch die neuste Specialausgabe dieser Hymnen uns
zu Gesicht gekommen ist (Synesii episcopi hymni me-
trici. Apparatu critico adjecto ed. Johannes Flach.
Tubingae, apud Franciscum Fues. 1875.), halten wir
eine abermalige Bearbeitung eben dieser Hymnen für
hóchst wünschenswerth. Die Fehler des neusten Tex-
tes schrittweise zu verfolgen hiesse Papier verschwen-
den; es genügt uns einige Verbesserungsvorschläge
mitzutheilen, die einem künftigen Herausgeber der
Hymnen des Synesius vielleicht nicht unerwünscht sind.
Hymn. 1, 13: xSapas piroug épécoeuv. Vermuth-
lich ist zu lesen apacoew, nach Christod. Ecphr. 46:
isonv A8 Aupmv où yepalv apacas:s. Orph. Arg. 384:
Poígov xıSapny pera yepoiv apacowv. 400: Oétidos xat
Timdéos vióg yspoi Aver» npacoe. Entsprechend das
Lateinische pulsare citharam.
3, 250 — 252: dia rare pan
ay YEVOpLEvOS
Ó yevnoopevos.
Der mittlere Vers ist- metrisch fehlerhaft und sinnlo
zugleich. Man sollte aov. yeyos erwarten.
3, 670 — 673: 0d yap ySoviag
| Segpóg AVLYXAS
Augen Sva.colc
| Biov otvoy oet. m
| Also dvdyxas Seapòç Bien olvoyost? Das klingt etwas
‚wunderlich; ich denke, Synesius schrieb piv anos,
wie etwa Meleager Anth. Pal. 12, 119: ege Ivarav
Guest xpadlav.
Waff o A
A 2 RUN
75 Bulletin de l'Académie Impériale 76
:3, 713 — 724: Mas ovpavía
xéyujat xata yas
nayd pe dido,
OSev éEeyuSmy
puya ANUS.
VEUTOY TOOYOVE
OT peynvar
veúcoy 9 dré col 720
TOPLLEVOPÉVOS,
CUY AVARTL 000
Gren Coins
VospOUG Dpaeue,
-1
EH
Qu
So der Flachsche Text. V.717 ist dAnrns überliefert:
aus soll nach p. XI von Boissonade herrühren (ob-
wohl schon bei Petavius in der Ausgabe von J. 1612
«Xie sich findet), ` eu? (statt puyas) scheint ein
Druckfehler zu sein. Um das Metrum in Ordnung zu
bringen schrieb Badham Comm. in Eur. Hel. 1454
(Lond. 1851) gorras dAqtus. Gegen porras aber wie
gegen dene spricht Emped. 381: zou xal ¿yo gu
cini, puy As Seósey xal atnes, eine Stelle welche Sy-
nesius hier ausgeschrieben hat, wie er xudel yalov 1,
-56 aus Homer, aßarov arogas 3, 134 aus Soph. Oed.
C. 167 wörtlich zu entlehnen kein Bedenken trug.
Somit glaube ich dass Synesius die erste Silbe in qu-
ds lang gemessen hat, zumal da mehrfach ähnliche
Licenzen bei den Vocalen v und : in diesen Hymnen
auftauchen ®). V. 721 ist überliefert rarp! capseucpé-
96) Dahin nn in d Er wie 1, 45: de xai os
eda» (ut 5: ra à dvo orya ptum (Gu 4,
' 56—59: eet tis | mevdotyto rarpos, | Deo de iis T 7 erba
iude. 1, 128: Eye pot, puxa, motoa. 3, 10: Sup AYAÍLARTOY (ge e-
wöhnlich 38k duisi als ob Synesius die u. Silbe in avat-
paxtov verkürzt hätte); „desgleichen Verlängerungen wie 4, 115:
npoyuoty vice. 3, 234: où xatayu3¿y (vielleicht fehlerhaft, +
lich aber nicht in xatayeudéy zu ändern). 10, 10: ta por dp. gu 3.
Für die Verlängerung des Ypsilon in xarapooet 3, 122 konnte sich
der Verfasser auf das Beispiel älterer Dichter berufen. Bedenklich
scheint mir 10,8: 30 or xaS£ov, vielleicht durch kút & ra3Éoy zu
ersetzen, Nicht minder verdächtig ist 8, 28: 9td cow, narep, ixéca v,
wo das sinngemissere, aus 10, 4 zu entnehmende olxeray überaus
nahe liegt. 1, 100: ¿ye pay, Eve Tt péyyos (tv-t), möchte ich
Eveorı péj vermuthen. Schreibungen wie xtd VOY XPUSELOv
SAßov (ur. ER A t.) 1; 28. TOLXGpUPOY Zeen dixdy 1, 66. móvos cic
sign rayüoat 1, 117 dürfen wir als nicht Hire ed beglaubigt
ihrem Schicksal überlassen, Die Accentfehler ent Barfidas 3, 109
sprechen scheinen 3, 99: o£, xat , Hé Zoe, | yevéra x6Guou, ind 8,
45: &££atvuco zu dr | xoi Acuyaléas ATAG. „Aber r yevéta ist wohl
- nur verschrieben statt yevétav, und Acvyakéac atras scheint verdorben
va»: die Münchener Handschrift A, deren Autorität
für taprevopévay geltend gemacht wird, bietet vor
diesem Worte eine Rasur, bestátigt also lediglich die
Lesart der übrigen Codices; mir scheint die scharfsin-
nige Vermuthung von Badham, -
vedaov $ UTO oe
TOUTOVEUOILÉVEY,
dus Original wiederzugeben.
Die Verse 6$ xaprov aroporoy `
TOOPOV Geraihgou popou
TOQEV AOYEYOVO vosoav'
OTEPAVNPÓOS xus,
cé, mateo Tai rapSévov
Uva Soho nidos,
bei Christ und Paranikas Hymn. 9,7 — 12, bezeich-
net Flach p. VI f. als haud contemnendos: gleichwohl -
hat er sich nicht gemüssigt gesehen ihnen die gebüh-
rende Stelle im Text zu gónnen, sondern sie in die
Vorrede verwiesen (p. XV), ohne das apodiktische Ur-
theil «equidem pro spuriis eos habeo» irgend wie zu
begründen. Die unmetrischen und sinnlosen Worte
Topey Goyeyóvo vospay hat Badham geheilt durch die
Aenderung röpev apyeyovo Bopav. Statt ma rapSévou
war hier wie nachher (9, 11. 28 Chr.) ra vagoSévou
zu schreiben.
Aesch. Prom. 1 f.:
XSovos pàv eis TnAoupoy Nxopev Tédov S
2xU3ny de oipov, aßporov eis dompiay. `
Unsere Lexikographen folgern aus dieser Stelle für
otgos die unerweisbare Bedeutung «Landstrich»; ich
denke, der Dichter konnte hier nicht von dem Scy-
thischen «Pfade», sondern nur von dem Scythischen
«Lande» reden, d. h. statt der gangbaren und von ei-
nigen Grammatikern bereits vorgefundenenen Lesart
Za és einen vermuthe ich Xxu30v és aav. An
entsprechende Verbindungen wie tr» ciònpopntopa &I-
Sely de aia» Prom. 302, DPevyóv és aia» Eur. Hec.
1141, Köxyov és alav Med. 2, Poxéov de ata» EL 1287
u. dgl. brauchen wir nicht zu erinnern. Bemerkens-
werth aber ist für Eur. Alc. 8:
dza de yalav më ¿Boupópfouy Eévo,
die bei Athenagoras Suppl. pro christ. e. 21 p. 104
überlieferte Schreibung 81$» 5 gç alav, der gegenü-
ei die handschriftliche Lesart als hüchst Torr
aus aus Acuyalén vas (AYAS konnte leicht für ATAZ genommen
werden).
-
}
«7,
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
erscheint. MUR Wort dürfte verdunkelt sein bei
Eur. Hel. 4
devis 3 és AAA» rpouSeumv yo: pi où,
To Ò övopa ToUpLov, ASA "Einen dopo.
Statt npouSeuny hat Musgrave wohl richtig TOUTES NY
geschrieben; wodurch alles verstándlich wird mit Aus-
nahme des Anfangs Pouyoy 9 de dhxnv. Dass in ax
eine Schwierigkeit liegt, kónnen die verschiedenen
Uebersetzungen lehren, welche man versucht hat:
Phrygum in proelio proposita fui (Musgrave), Phrygum
in potestate proposita. fui (Fix), Phrygum in manum
mandata sum (Klotz). Der Begriff proelium ist hier un-
passend, die Würter potestas oder manus entsprechen
durchaus nicht dem Worte zAxr. Man sollte, denke
ich, vielmehr erwarten Povyoy 8 ¿y aix oder allenfalls
Pouyoy Y de alav teouréSnv. Sehen wir nach den vor-
stehenden Belegen bei den Abschreibern eine Abnei-
gung gegen das ihnen fremd gewordene ata, so werden
wir geneigt sein auch Aesch. Pers. 492:
Marron, de "aiay Ke Maxsdovov
xopav Apoyos, En’ AËlou mopov,
für verschrieben zu halten statt baie a 9 de atav.
Aesch. Prom. 88 — 91:
vw dog aip xal Tayurrepor TVOM,
TOTALOY TE TNYAl TOVTÍOY TE AUPATOY
avnoIpov "gong, TAPLNTOR TE YN,
xa TOY TAVÓTTIV XUXA OY HALOU XANG.
Einen Anapäst im ersten Fusse des iambischen Tri-
meters hat Aeschylus keineswegs vermieden, und na-
mentlich im Prometheus ist diese Licenz háufiger als
in irgend einem anderen Aeschyleischen Stück. Gleich-
wohl ist der Anapäst mzocapev V. 89 schwerlich be-
rechtigt, weil er sich überaus leicht vermeiden liess.
Wie wir bei Aeschylus lesen Syxas te reoyóvoy (nicht
rooycvay te Snxas) Pers. 405, desgleichen bei So-
phokles pnto 9$ Megóren (nicht Meporm 35 prog) Oed.
R.775, und bei Euripides Soc pavías (nicht pavas
dc) Andr. 52, rétvovoa yovarov (nicht yovarov
rervouoe) Andr. 573, aoa ayopas elow (nicht ayo-
gas ayarpat sioív) El. 388, Aourpoicı xaSagois (nicht
xaapoto: Aourpois) El. 794, Soxnte Sucías (nicht Sv-
alas doxnts) El. 1137, Euvnys zdhencg (nicht zëieten
Euwnbev) Rhes. 428, und entsprechend sonst, so glaube
ich dass Aeschylus schrieb nicht mocajóv te nyyaí,
sondern za te rorapov, zumal da eben diese Worte
Tnyal te motapo» bei Eur. Herc. 1297 zu Anfang
eines Trimeters sich finden. — Für entschieden unrich- -
tig halte ich die sich anschliessenden Worte rovríoy
TE Xopaccov ave duo yóhacpa. Ausdrücke wie Hymn.
Cer. 14: yola te mao ¿yéhacos xal ahpugd olðpa Sa-
hacons, Trag. adesp. fr. 269: dxúparos de "mopSpó:
ev œpéxn yerd, Leonidas Anth. Pal. 7, 668: 0uS el per
yeóoca xatactopéoets yayo xúpora, sind zwar kei-
neswegs selten; aber das «Lücheln des Meeres» kann
nur einen vorübergehenden Zustand bezeichnen, ist
also unpassend da wo das Meer als ein Theil des Uni-
versum anderen Elementen gegenüber gestellt wird.
Der Dichter wird geschrieben haben:
mOVtÍQV TE XULATOY
KC ruo.
In diesem Ausdruck haben wir eine passende. Bezeich-
nung des sich weithin erstreckenden, die Erde rings
umschlingenden Meeres. Vgl. Aesch. Choeph. 586:
novel T ayudar. fr. 450 (vgl. Ar. Ran. 704): Yuxas
čyovteç xupatoyv e ayxahars. Eur. Or. 1378: 'Queavos
6» TOMPÓXPAYOS ayxaras ÉMocwy xvxhoi ySova. Hel.
1062 und 1436: rehayious de ayxahas. Nausicrates
Com. 4 p. 575: neXaytoız Ev ayxadars. Die Form v-
ou3pos ist bisher zwar erst aus Theokrit und Lykophron
nachgewiesen, aber für die ältere Zeit nicht anstóssi-
ger als etwa vnvepos. Aus neo konnte sehr leicht
entstehen avqo'Syov, und gerade diese Verderbniss mag
zur willkürlichen Veränderung von ayxadtopa in yé-
Aacyc den Anlass geboten haben. .
Aesch. Prom. 732:
dotar de Synrois eis gel hóyos peyas
ns ons Topslag.
«Die Menschen werden von deiner ardor viel re-
den»: dieser hier erfórderliche Gedanke konnte mei-
nes Erachtens nur durch Aóyog mods ausgedrückt
werden. Ueber die Verwechslung. von mods und péyas
habe ich Bulletin XVII p. 241 oder Mélanges Gréco-
Rom. III p. 295 gesprochen. Vielleieht gehórt dahin
auch Soph. Ai. 714: rawy: 6 péyas Xoevos papatet,
wo ich $ reide yoóvoç vorziehen würde; ó péyas ypevos
bezeichnet «die gewaltige Zeit», wogegen «die Länge
der Zeit» © modus (oder ó paxpòs) xocvoc zu nennen War.
Aesch. Prom. 1014 ff. redet Hermes von den Lei- `
den welche Prometheus zu gewärtigen hat. V. 1016 —
25 heisst es: Toota pi» yap Oxo `
papayya Boovrf xal xepauvía oXov `
rarno capote zue, xal xputjet dépas
79
Bulletin de PAcadémie Impériale
TO có», menm. 8 dyxahn cs Bacracer.
poxpoy de phxos Enreksurngas Xgevou
apogeo» mess els paros: Atos dé Tor
TeTnpOS xóo» Saporvos MTS Aagooc
Simpra unos: cópatos péya bnixos,
axAnros domos Sarradeds Tvn pLepos,
xehamoBooros Y hrap dxSovaoeta.. 1025
In diesen Versen befremdet zunüchst die Verbindung
¿xpida gapayya, da weder óxoí (oder öxpıs) noch pa-
paré jemals adjectivisch gebraucht wird. Vermuthlich
ist papayya Boovrÿ aus mépory: Bpovrns entstanden,
womit zu vergl. xspawvía zë Beovens Soph. fr. 493
und fulminis venti Virg. Aen. 2, 649, Eben dahin
gehört vielleicht Eur. fr. 972: CH 8 Qoovciis nv
avamoy QÀsgev, wo die Ueberlieferung schwankt zwi-
schen rvsupe (Plut.) und tọavpa (Theo Smyrn.); ob
&vary.ov richtig sei, wage ich nicht zu entscheiden. —
Nachher halte ich orapafeı 1018 für anstóssig: der
Blitz kann wohl den Felsen «treffen» odér «zerschmet-
tern», nicht aber orapasceıv d. h. lacerare, hin und her
zerren, zerfleischen, zerzausen. Was hier vom Blitz
unpassend ausgesagt wird, würde vortrefflich passen
für den Adler, welcher als ungebetener Gast táglich
- den Prometheus heimsucht und dessen Leber, wie Ci-
cero in der Uebersetzung einer Aesehyleischen Stelle
(fr. 187) sagt, aduncis lacerans unguibus pastu dila-
niat fero. Mit anderen Worten, Aoorasgfet gehört
in V. 1023, wo wir jetzt lesen:
Saprapıması opge péya hands,
Worte die kaum eine Spur ihrer ursprünglichen Ge-
stalt bewahrt haben. Denn dass Aeschylus nicht schrei-
ben konnte soparos péya Bëss, ist selbstverständlich
und lángst von andern bemerkt (vgl. Heimsoeth Wie-
` derherst. der Dramen des Aesch. p. 430 und H. Weil
zu d. St.); aber auch dtapraneiv «in Stücke zerlegen»
oder «schlachten» passt nicht für den die Leber des
Prometheus anfressenden oder aufzehrenden Adler.
. Die Anfänge der Verse 1018 und 1023 hatten ehe-
mals folgende. Gestalt:
rap omapakeı Tryde und
dLmomapaksı OT.
Ein alter Corrector, der an der Wiederholung des
Verbum oragaccew mit Recht Anstoss nahm, änderte
an falscher Stelle und schon deshalb verkehrt; wir
halten 8120 agas: 1023 für nothwendig, und bessern
1018 ratno apaEeı gës,
1020
Sept. 995 f.: IZM. io lo xaxa,
ANT. dop.aoı xai ySovt.
Ohne die sonstigen Schwierigkeiten dieser Zeilen zu |
erórtern, móchte ich nur darauf hinweisen dass die Ver-
bindung des «Hauses» und des «Landes» schwerlich
sich rechtfertigen lásst; ich denke, der Dichter schrieb
Sopacı xal roher. Dass roms und ysov oft, vertauscht
werden, ist hinlänglich bekannt ”). :
Suppl. 453:
Sélo Ò ddots [Xv N COPOS HARDY
ELVaL. i
Die Verbindung 0965 «tvog lässt sich aus späteren
Schriftstellern nachweisen; für die classische Grácitát
ist mir kein zweites Beispiel gegenwärtig. Vielleicht
schrieb der Dichter y xaxov igts. Die jetzige Lesart
konnte daraus entstehen in Folge der unwillkürlichen
Aenderung der Wortfolge 7 gis xandv.
Ag. 479: Té Ode TOMÓVOS d PPEVOY HEXOLLÉVOS ;
Das unerhörte und unverstündliche oosvóv xexopq.évoc
scheint nichts weiter zu sein als eine thórichte Ent-
stellung aus gocvó» trytopevos. Vgl. Soph. El. 1326:
d TAslota, popor xal ppevo» cWcojevot. Dasselbe Par-
ticipium wäre durchaus passend bei Theognis 223,
wo jetzt vécu BeBhappévos doe gelesen wird.
Ag. 1389 f.:
xuxqoucióy öfslav alpatos coayny
Baker y. doepag baxadı porvías Spcaou.
Sollte der Dichter nicht ¿Estay afyatos pony vorgezo-
gen haben? Jedenfalls wáre dies ein angemessener
Ausdruck, und zur Empfehlung unseres Vorschlages
dient Soph. Ant. 1238: xal quctów déclav &xgeDXe
Bony Aeusg magst. qotvíou OTAALYPATOG.
Choeph. 178: pdmot éxetvou Bootpuyöıs rgo G-
27) Vgl. meine Bemerkungen im Bulletin XII p. 496 f. XVII
.253£ oder Mélanges Gréco-Rom. III p.30 ff. 318 f. Zu den daselbst
DEE Beispielen dieser Vertauschung füge ich drei neue
hin
T
L Eur. Alc. 476: &&vot, Depaías mode xwprta: yŸovde Da hier
die Bewohner der Stadt Pherá im Lande Thessalien angeredet wer-
den, so ist wohl nichts natürlicher als Pepatas au XOATEL TC -
zog, wie bald nachher E aotu gelesen wird.
I. Xuthus will bei Eur 5 en ihm geschenkten Sohn
mit sich „nehmen nach Affen: SCH 9 ’Admvalov 13o0vos ¿En Jeatnv
à59cw, Oc oUx Ovt àipów Nicht das Land, sondern die Stadt der
Athener soll Ion kennen lernen: folglich werden wir Adnyalov `
aben
zéien: herzustellen h:
IH. Ephippus (Com. 3 p. 339) bei Ath. XI p. 509 E: rat Avaoras
eie veavías tà» ¿E Axadnue(ae tig — ¿efes « AVÔPES TAS AJ-
aiwv y3ovoc». Offenbar spielt die pes in Athen; somit liegt es
tio zu vermuthen c? ASnvaiwv óleo
"e, a?
Le
si
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
eidstat. Dass ein Attischer Dichter in einem iam-
bischen Trimeter die Form rpoostöera: gebraucht habe,
kann weder durch das in einem Chorgesange bei ET
Ag. 772 vorkommende Participium etôouévay noch
durch sonstige Analogien wahrscheinlich gemacht wer-
den. Mir scheint statt rpoczódstar nichts anderes denk-
bar als rocosupcons, über dessen Anwendung in der
Tragódie ich gehandelt habe in den Eurip. Stud. II
p. 85. 190
Choeph. 617: ypuooxpnraoıv oppo; riSnouoa
soporo: Mévo. Dem Participium r'Snouc begegnen wir
öfters in der ältesten epischen Poesie (Il. A398. Z183.
1119. A 235. N 369. P 48. X 107. Od. 9315. Hesiod
Op. 359. 671. Hymn. Hom. 3, 546), einmal bei Pin-
dar (Pyth. 4, 109), sodann in den angeführten Wor-
ten des Aeschylus, endiech bei einigen Spátlingen wie
Lyeophr. 236. 735. Apoll. Rhod. 1, 33. Nonn. Me-
taphr. 12, 105. Orac. Sibyll. 3, 656. Entsprechende
Formen anderer Modi scheinen überaus selten vorzu-
kommen; ich vermag augenblicklich nur nachzuweisen
enee Quint. Smyrn. 13, 415. eriSncav Nonnus Me-
taphr. 9, 90. Alexandrinischen und Byzantinischen
Dichtern werden wir das Participium rı$ncas unbe-
denklich zugestehen, im ältesten Epos halte ich die
Berechtigung dieser ganz vereinzelt dastehenden, durch
keine Analogie geschützten Form für hóchst zwei-
felhaft ; theils weil die Ueberlieferung zuweilen we-
nigstens (wie N 369 und © 315) zwischen zi/$9,cac und
reno Sos schwankt, theils weil geg: überwiegend in
Verbindungen gebraucht wird welche nach parallelen
Stellen vielmehr xezo$og erwarten lassen (vgl. Butt-
mann Sprachl. II p. 265 f.). Wie man aber auch dar-
über urtheilen mag, immer bleibt das Aeschyleische
a höchst befremdlich. Vielleicht ist zu bes-
sern copot retoSeian, zumal da in den Handschriften
ratSnouca steht: coppers retoSeioa bietet die Ausgabe
des Stückes von Blomfield, der rsto3ston. als eine Aen-
derung von Heath bezeichnet. Auch bei Pindar, wo
die Handschriften zwischen Xeuxaig rtSnoauvra opacity
und Asvxais neSnoavta ppaciy getheilt sind, würde
Aeuegio retodévra ppaciv dem Sinn wie dem Metrum
gerecht werden.
Choeph. 900. Orestes ist unschlüssig, ob er gegen
seine Mutter die Hand erheben soll; Pylades erinnert
an die Weisung des Delphischen Gottes, indem er,
‚sagt:
Tome XXII.
red Sn Ta Moara Acten pavreumata
Ta IvSoyenora;
Die Worte a hora paveedp.aca kónnen nur bedeu-
ten «die übrigen Weissagungen», während es sich hier -
nicht um 'Orakel handelt, die zu einem bestimmten,
vorher erwühnten Gótterspruch in Gegensatz treten,
sondern lediglich um den einen Befehl des Gottes,
weleher unter Androhung schwerer Strafen gefordert
hatte, dass Orestes die Ermordung des Agamemnon
mit Blut sühne. Die bei Blomfield verzeichneten Ver-
muthungen, durch welche man das unpassende ta hora,
zu beseitigen versucht hat, sind in hohem Grade
unwahrscheinlich. Der Dichter dúrfte geschrieben
haben: ou Bn tò Acımcv AoËtou pavteúpara
a P
"
Bulletin de l'Académie Impériale
zu bezeichnen durch ¿morgopaí, und so dürfte hier zu
'schreiben sein. Vgl. Sept. 648: xataë£w pora tóvds 77)
xal Tahy Ser ma pda dopaToy éniotgopaç. fr. 245:
Znepyetè Totapè Bouvouoi T Erıorpopat. Der Pluralis
Bom äu ¿moteopaí scheint durch den Spachgebrauch
` empfohlen zu werden, wenngleich érusteoon nicht ab-
solut unzulässig sein dürfte.
Eum. 794:
epo mí(SeoSe m Begurr het gépe"
où ydp vevínoS, AAA toOto den
¿ENAS age «té.
Worte der Athene, welche den über die erlittene N Jie-
derlage entrüsteten Chor der Eumeniden zu begütigen
sucht. Unpassend scheint hier Bapvarovos, sofern es
: sich lediglich darum handelt dass die Eumeniden sich
fügen in die zu Gunsten des Orestes ausgefallene Ent-
scheidung, dass sie dem Lande der Athener nicht wei-
ter grollen um dieser Entscheidung willen u. dgl. In
dem fapuotóvos wird ein unwesentliches Accidens her-
- vorgehoben, die Hauptsache dagegen bleibt ungesagt:
Groll gewichen ist. Der in diesem Zusammenhang pas-
Ü sendste Ausdruck ist, wie ich glaube, ¿pol see
E be CS un TOMYAÓTOS ER und eben darum halte ich ta-
- Myxotag für das von Aeschylus hier gewáhlte Wort.
. Die gleiche Verbindung hat Eur. fr. 576, 2: goen
E CULLTÉTTOYTE Ph TOAYMCTOS.
-Sopb. Oed. R. 907:
oätvovra, yap Aatov
Sécoar ¿Earpovar gär,
xouday.od tais ATOAAOY épars. |
In diesen Worten lásst der Chor seine Missbilligung
laut werden über die Gottlosigkeit der Iokaste, welche
—.N.851— 858 behauptet hat, das dem Laius ertheilte
Orakel, wonach er durch die Hand seines Sohnes ge-
tödtet werden sollte, sei unter allen Umständen ein
lügenhaftes gewesen, so dass man auf Weissagungen
überhaupt nichts zu geben habe. Die Worte pStvovra
29) Gewöhnlich xaragw 8 avôpa tivi, wo de völlig sinnlos ist.
gim Anhang zu Soph. Ai, 1093. Dieselbe Ver-
P: 197 ¿v8pa £xactov bietet. Bald nachher liest
dlacacxsv. Zur Vermeidung des Hiatus haben alte Correctoren un-
verstándiger Weise önuou T Mag geschrieben; ich möchte Syjuou
qoa vermuthen
. der Groll der Eumeniden ist zu fürchten, nicht ihr
de" schweres Seufzen, das von selbst aufhört, sobald der
man B198:0 9 ad önpoväavdna 180: Boswyra T Épepot, 19v unnrew
yap Aaïoy scheinen lückenhaft, und eine sichere Her-
stellung dieser wie der vorhergehenden Worte lässt
sich nicht hoffen, da auch die entsprechende Partie
der Strophe in fehlerhafter Gestalt auf uns gekommen
ist. Wahrscheinlich ist nach oSéovra yap ein Epitri-
tus _.__ ausgefallen; ich habe œStvovræ YAQ; TANT `
avaccov, Aatoo vermuthet, worüber ich auf die 6. Auf-
lage der Schneidewinschen Bearbeitung verweise. Mit
völliger Sicherheit aber glaube ich einen bisher nicht
bemerkten Fehler der obigen Worte heben zu kónnen.
Der Ausdruck Aafen Sécpata leidet an Undeutlich-
keit, sofern man nicht weiss, ob Orakel zu verstehen
sind welche Laius bekommen hat, oder welche sich
beziehen auf Laius: sodann ist eben dieser Ausdruck
unpassend; denn nur dies kann der Chor tadeln, dass
man ein göttliches Orakel missachtet; wem es ertheilt
worden ist und auf wen es sich bezogen hat, thut
nichts zur Sache. Durchaus verfehlt war also die Ver-
muthung eines, neueren Gelehrten:
oSvoyra yap Anßdaxelcu Tpeppatos
. Séopar ¿Eopovaty non. |
Statt der dem Laius ertheilten oder auf Laius bezüg-
lichen Orakel waren vielmehr die Orakel des Apollon
zu erwähnen, d. h. es ist herzustellen Ao&lou Seopar
2£arpedar von. «Man missachtet die Sprüche des Lo-
xias, und Apollon wird nirgends in Ehren gehalten»,
dies ist der hier erforderliche Gedanke. Ueber die
Anwendung der Synonyma Aoëfaç und ATÓAAQY genügt
es zu erinnern an Oed. C. 623: el Zeus čt Zeie x0
Aros Poißos capas, wo © Ad: kein anderer ist als eben
Poißos.
Soph. Oed. R. 1034 — 1038 in dem Gesprüch
zwischen Oedipus und dem Korinthier, welcher den
Tod den- Polybus gemeldet hat, lesen wir: !
ATT. Mo c pa iS root axpas.
OIA. deuvoy y ovetdos GTAQYAVOY ayer ipn».
“ALL, Sar Qyop.aoSne ex de Tayıng Og gt
OIA. à Uu 3609, Ge bm: N TATPÓS; PPAGOY.
ATT. cüx old ó Doug de rot épod Ago» Ppovel.
Schon vor einer Reihe von Jahren habe ich erinnert
dass die Frage mobs putos 7 rarpos; 1037 nicht
wohl passt zu dem unmittelbar voraufgehenden ovo-
oos, sondern besser sich anschliessen wird an dta-
Tügous "ëch Cape 1034. Wenn Oedipus > den,
8t cogot rodatv a.a oder richtiger von den ang ol-
| lenen Füssen seinen Namen bekommen hat, so ist es
1085. .
$5
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
klar dass nicht seine ihn dem Tode preisgebenden
Eltern ihm diesen Namen beigelegt haben, sondern
die Finder oder die Adoptiveltern, und ob einem Kinde
der Name beigelegt wird von dem Vater oder der
Mutter, wird sich in den meisten Fällen kaum ermit-
teln lassen. Nachdem dagegen die durchbohrten Füsse
erwähnt sind, erscheint die Frage, ob der Vater oder
die Mutter des Oedipus in dieser Weise das Kind be-
handelt haben, als wohl motivirt. Somit werden 1035 f.,
weil sie den Zusammenhang von 1034 und 1037 in
unerträglicher Weise stóren, .entweder zu tilgen oder
mit M. Schmidt umzustellen sein. Unabhängig von der
Entscheidung dieser Frage ist ein den letzten der obi-
gen Verse betreffendes Bedenken: za? ¿pod Agen
ooovst ist ein offenbarer Unsinn, da es sich hier weder
um schärferes Urtheil noch um grösseres Wohlwollen
handelt, sondern lediglich um genaueres Wissen öder
Mittheilen. Statt pove? ist nothwendiger Weise ent-
weder opaosı oder, was ich für wahrscheinlicher halte,
pave? zu schreiben.
Ant. 885 — 888:
ou. gës" Oç TÁLLOTO; KO xo rnpepe?
Tippo mepımrugavtes, oc elo evo,
gäer ek domp.ov, elte Len | Savety
cit dy rolaury Coca vuppeustv are.
Dass Tragiker und Komiker statt xenéex und iite
ziemlich häufig uge und xo gesagt haben, ist eine
in unserer Zeit allgemein herrschende Ansicht. Von
alten Grammatikern die für diese Ansicht sprechen,
sind mir nur zwei Zeugnisse bekannt. Suidas v. jet:
xonc de ro regéiere xat den. Kporivos Nóposs (Com. 2
p. 87): vôv yao On co Tapa pv Jeopol TOY npuetégo,
Tapa 9 «AX 6 tt yolis. Hesych.: ege SéAetc, xonters.
Auf Grund dieser Zeugnisse haben neuere Kritiker
die in Rede stehenden Formen in dem bezeichneten
Sinne statt des überlieferten yon für nicht wenige
Stellen vorgeschlagen, wie etwa xpñs für Soph. Ai.
1373. El. 606. Trach. 749. 1155. Eur. Hipp. 345
(oder Ar. Eq. 15), xen für Soph. Ant. 887. Eur. fr.
910, 1. Derartige Vorschläge würden zu billigen sein,
wenn die vorausgesetzte Thatsache hinreichend beglau-
bigt wäre. Gegen die Richtigkeit der bei Suidas
und Hesychius sich findenden Angabe sprechen aber
triftige Gründe. Zunüchst zeigt sich nirgends eine
Form, die zu xeÿs und xo eine Analogie böte; sodann
ist es mir wenigstens unverstündlich, wie die Formen
Schmidt Verisim. (enge 1861) p. 27 und F
xeñs und eg zu der vorausgesetzten Bedeutung ge-
langen konnten; endlich kann überall wo jetzt yegs und
ven gelesen wird, dafür eintreten Ags und AÑ. Das
Dorische Verbum 20, über das wir ziemlich vollständig
unterrichtet sind ?), ist auch in der Tragödie zuwei-
len gebraucht worden, wie bei Euripides im Meta 3é-
vas fr. 627 b: xal xataSe yo T Age role. Die For-
men Age und An konnten überaus leicht in zeg über-
gehen, sobald die Interpretationen yoners und xereet
in den Text gedrungen waren und um des Metrum
willen die zweisilbigen Formen durch einsilbige ersetzt
werden sollten. Hiernach möchte ich Ant. 887 eïte
Ag Sew» für wahrscheinlicher erachten als zu der
Annahme mich entschliessen dass die Tragiker und
Komiker xoñís und Ate oder zeg und Ay in gleichem
Sinne gebraucht haben. — Ausserdem befremdet in
der obigen Stelle der Ausdruck xarnpepei cupo,
trotzdem dass dieselbe Bezeichnung wiederkehrt El.
381: Sa unxé vato oéyyos mpoodber, Coca à dv
xarnpeoel otéyy modos (die Handschriften sinnlos
ySovéc) tos Exrös Unwmosıs xaxa. Das Adiectivum
xarmpsons kann nur von einem mit einem Dach ver-
sehenen Raume verstanden werden im Gegensatz zu
dem freien Himmel; Ant. 885 wie El. 381 ist offen-
bar gemeint ein unterirdisches Gewólbe, eine Art von
Grabkammer: man erwartet also xol xo co uy: Tp Ro
repıntukevres und dy xacoouyxt otéyn. Vgl. Ant. 774:
xoUtjo merpuder (vielleicht mérpa wv oder gë vw?)
coca» ev HAT QUIL. Ant. 1100: ¿A3oy xópm» piv Ex
xatopuyos areyng AVES, xticoy DE TO Wie ee TAO.
Cassius Dio 56, 11, 7: oùto yap mov tò Tüp érexgn-
TAGEV DOTE Kr Tous dy Ty axger. és: Gage xata LO-
po», welvar, AAA TAS vuxtos aty Exdmelv xol èc.
oixnpata xaropuya xaraxpupSnvat. Virg. Georg. 3,
376: ipsi in defossis specubus secura sub alta otia agunt
terra. Cul. 274: defossasque domos ac Tartara. In
entsprechender Weise wird das Substantivum ai xat-
dems von der Schatzkammer der Priamiden ge-
braucht bei Eur. Hec. 1002: xpuoou rahatat Hprapı-
Bon xatopuyes, und von den unter der Erde lebenden
Menschen der Vorzeit sagt Aesch. Prom. 452: xato- d
30) Sehr genaue Nachweisungen über die auf uns gekommenen
Formen dieses Verbum gibt Ahrens de dial. Dor. p. 347 f- Vgl. M.
r. Heimsoeth de
diversorum mendorum rare ge dedi altera (Programm der
Bonner Universitat 1867) p. X a
?
À
Bulletin de l’Académie Impériale
euxeé 8. Zvarov (defossi habitabant) dor anovpot y-Xoyn-
zes avrguy Ev muyals avmlors, wie Plinius Nat. hist. IX,
7: animalium quae semper defossa vivunt, cew talpae;
den gleichen Sinn gibt Dionys. Per. 964: of Breu ev
rerogor xatoguyéeootv &Ssvro. Nach dieser Stelle des
Periegeten wie nach dem Homerischen Aasooı xato-
ouxézao apapuia Od. £267 und xatoguyésao: MSototy
Od. (185 könnte man geneigt sein an den oben be-
zeichneten Dichterstellen die flurch das Metrum ge-
stattete Form xatoguyas für die allein berechtigte zu
erachten und somit xatoguyeis Aesch. Prom. 452,
. xaxoouyoog Soph. Ant. 1100, xatogujel Ant. 774.
885. El. 381 zu schreiben; ich wage darüber keine
Entscheidung abzugeben, so lange wir auf das hier
mitgetheilte Material beschrünkt sind”).
Eur. Alc. 363: AXX o9» xeitos x9o080xa p , Ta Javo.
Monk bemerkt ganz richtig, dass die Worte exstos
rooodoxa. pe nur bedeuten können «expecta me illuc
venturum». Aber die Redeweise rgo0d0xa ue éxsios
entzieht sich dem Verständniss: soll exeise möglich
werden, so muss ein Verbum des Kommens hinzutre-
ten, wie man im Deutschen zwar sagen kann «erwarte
mich dorthin».
nur schreiben n&sıv Y éxeïce npoodoxa p, otav Sayo.
dass ich dorthin kommen werde», nicht aber «erwarte
So viel ich sehe, konnte der Dichter
Ale. 852: ety TÖV ër
-Kógns avaxtos T eis avnàlouçs Sóp.ovs.
Die Unterwelt wird Euripides wohl eher bezeichnet
haben als avnkovs puyous, wie Herc. 607: dE avn-
Aloy p.uyoy Ardou Kopnc T éveo%ev, Heracl. 218: A:3cu
T &ospyov puyov. Selbst der Interpolator von welchem
Soph. Ai. 571 herrührt, hat mit richtigem Takte pu-
31) Dass Formen wie »arwpuyss, xatwpuyoc, xarupuy: durch die
E I geschützt sind, würde an sich die Móglichkeit nicht
hliessen dass derselbe Fehler 80 und so oft gemacht worden
unc Zur Erläuterung diene das Wort zpoacrıov. Die Überliefe-
ruug unserer Handschriften qu in ‚ganz entschiedener Weise
für die v von Herodian vol. 2 p.573,
18) TE Schreibung xoodGteto», die in unseren Texten, so
weit nicht das Metrum Einsprache erhebt, die herrschende ist. ‘Um
weder mit dem Gebrauch der Dichter i in Collision zu an me
t Lobec
Paral. p. 253 sich zu der nn entschlossen, don sei da
dichterische, tpodoteroy die pros
Eurip. Stud. II p. 77 f. rpoaoreov mm "iie richtige Em. Rpodsterov
als eine falsche Schreibung bezeichnet. Neuerdings ist diese meine
"Ansicht bestätigt worden durch eine im Berliner Hermes VIII p. 193
. edirte Urkunde aus Mykonos, wo vir die Worte finden: yuvalzı xat
dem die falsche Schreibung rpoaoterov geläufig war, hat dem voll-
kommen richtigen rpoacríw: überflüssiger Weise ein sie beigefügt.
en habe ich
yoös (nicht Sopous) tod xato Zen geschrieben. Eine
Vertauschung dieser Substantiva glaube ich auch Soph.
Ant. 1241 wahrzunehmen:
sera de vexooc Tepl VEXQÓ, TA ue
EAN hoyo» delas Ev Ardov dopors.
Weder civ “Ardou Sép.ors durfte hier geschrieben wer-
den noch v y “Aou 3opot;; denn die Partikel ye
ist dem Sinne nach ungehórig, die Form etv aber
dem Trimeter fremd. Für bei weitem wahrscheinlicher
halte ich die gewaltsamere Aenderung. 2v yalas puyol.
Andr. 103: A
"Mio alnewg Maps oi yapoy AAA TY arav
nyóyer euvalay eis Sahapous “Edévay.
Schon früher habe ich y%p.ov als verdächtig bezeichnet,
darum weil yæpoç weder für yvvy gebraucht werden
kann noch in der dem Worte zukommenden Bedeu-
tung hier passt. Manche werden vielleicht, um den
überlieferten Zügen sich móglichst eng anzuschliessen,
an yavos denken; ich móchte ypas, vermuthen nach
Hel. 1134: vous ou Lech AAR Zeng AavaGy vepéhay
èr} d'M aov.
Hel. 448:
rings du ouai y ayyshelv tods aus Aëteue,
Durch Hirschigs Emendation rıxgous ist ein Fehler
dieses Verses gehoben; ein abscheulicher gramma-
tischer Schnitzer liegt aber in der Verbindung ayys-
hey y), und völlig sinnlos ist die nach opo von `
einem unverstándigen Corrector eingefügte Partikel
Ys. Cobet V. L. p. 574 begnügt sich zu sagen «locus
corruptus est»; ich denke, der Dichter schrieb: rtxgous
ay cat goe arayysihar hoyos.
` Hel. 1047 f.: n
GAN cu8i py vais Zarıy y a@Seipev dv
@uyovrss' TV Yo slyop.ev Saraco Eye.
«Das Sehiff, das wir hatten, hat das Meer». Wollte
Euripides in dieser Weise mit dem Verbum yes spie-
len, so konnte er nur sagen Zu yap pels TgocSev
32) Denselben iic machte Haupt pates - p. 295, wo er
für Eur. fr. 288, 18 — 15 die Er rgänzung vorse
de $ av Spas, el ne Apyos av Sec
£Uyotro xoi yn yerpt guhhéyor Blov
(Mj) redvrigev. ai 9^ aveimıoror "et
3 ia >
TUpyodo at xaxa TE oup. poo
Die Lücke nach doc Bioy scheint Haupt richtig. erkannt zu ha-
ben; sein Supplement ist unzulässig, da die Partikel X» mit tedvn-
Esıy sich so wenig verträgt als mit oiua. Andere Herstellungsver-
suche der unheilbar zerrütteten Stelle finden sich bei Th. K
eri sim. p. 249.
zu Eurip. p. 361 f.
<
^
n
Herwerden Stud. crit.: p. 45. Wecklein Studien `
y
- i wi: Se Ce Ké A^ & E > t ; ES ES E RA R ~ S A^ s LC
So zg y a. ag , '
89 | des Sciences de Saint- Pétersbourg. ` ` 90
elyop.ey, Ta vöv yet n Sahacoæ. Der überlieferte Aus-| Here. 1155: XAL TEXVOMTOVOY MUTOG
druck lehrt dass nicht der Dichter sondern ein Ab-
schreiberversehen verantwortlich zu machen ist für
das frostige Wortspiel. Man erwartet Ñ yde mASouev
Saraco Eye.
Hel. 1263. Für die Todtenfeier welche zu Ehren
des angeblich gestorbenen Gemahles der Helena ver-
anstaltet werden soll, verlangt Menelaus vom Aegyp-
tischen König Theoklymenus auch Waffen, weil der
Verstorbene ein Kriegsheld gewesen sei:
xohenhaS Oro xal yap gu plos Seet,
Der Ausdruck qoc dogí scheint unstatthaft; ertrüg-
licher wäre pov 36pu, für angemessener aber und
eben darum für wahrscheinlicher haite ich: xat yap
ny Aper plos.
Hel. 1490: 'Qpoívva T &vyoyiov. Nach dem entspre-
chenden antistrophischen Verse (1507 : Bdħete Bapße-
gov Aeyéov) dürfte Oagíova + Evvaxıov zu schreiben sein.
Here. 62: os ouàèv Coren TOY Sev» cagéc.
Kirchhoffs Emendation to» Seto» wird bestátigt durch
Iustinus Märtyr Exposit. rectae fidei c. 8: däin yao
avipmrors tQ» Selay capés, oc EhAmvoy copos tc
Zorte, wo die Herausgeber den Euripideischen
Vers verkannt haben”).
33) Eur. El. 122 lautete ehemals und lautet hoch in der fünften
Ausgabe von eg ti SE sceni ci:
rep, 00 8” ¿y “Arda On
, Gas dÀCyOU X
Statt des Molossus Ada ES liess das antistrophische aipatoy einen
Creticus erwarten; darum schrieb ich im J. 1854 où 9' &v Aida (mit Til-
g der Partikel 97). Neuerdings sind wir durch Wilamo witz- Moel-
von einem Zen Dontecter eingeschaltet ist. - — Heracl. 356
und 365 schrieb man frü
veremos: Eë Y ¿pas bm
ai ¿mas ySovóc avrepoué
im J. 1854 E eg ich peyainyoptaroı à "ex und xat £u dc Voie
avromevoug. Noch vor dem Erscheinen der zweiten Ausgabe meines
Euripides erfuhr ich dass peyaAnyopía:o: 8° ¿pas im Pal. 287 (cod. B
nach Kirehhoffs Bezeichnung) gelesen wird. — Zu Iphig. Aul. 253:
Toy Botozüv 8° oroma rovrías, und 265: £x Muxiyac 0€ ras KuxAo-
rías, bemerkte ich in der Ausgabe vom J. 1854 vol.2 p. III: «253
töv et 265 èx deleverim». Etwas später wurde bekannt dass in der
besten Handschrift B der Artikel to» erst von zweiter Hand ein-
geschaltet ist. — Ueberraschender war mir eine theilweise Bestäti-
gung ramps sowas Phoen. 747 ausgesprochenen Vermuthung. Phoen.
146 f. lies
ER Space reoxplvas 5 gos eupouMa;
KP. dueorepoy aroderpdiy ydp ovðèv Jarepo
Dass der zweite Vers fehlerhaft ist lehrt "rej eer dem he
Gesetz widerstrebende Ausgang ovdty Fate Die Handschriften
lassen uns völlig im Stich, und die Hifanagber schweigen, v vermuth-
ich weil mit einer leichten Aenderung zu helfen unmöglich ist.
ste ORG? nes: Qao Eevav Lov.
fingen wie texvoxróvo< statt des üblichen raudoxró-
vos sind bei Schriftstellern der classischen Zeit nur sel-
ten anzutreffen; aus der Tragödie lassen sich von derar-
tigen Composita folgende Analoga beibringen. Aesch.
Sept. 928: mpo racav TUVO OTOTO! Texvoyévot
xéxhnyra:. Agam. 155: olxovopos Šola pvaquov Mrs
tex»omotvoe. Soph. El. 107: TEXVOAÉTELO” OS Tt
andov. Eur. Tro. 853: texvororóy reueg zëgbe yas
Soo Ev Sarapo. Ich halte es für sehr wahrschein-
lich dass bei Sophokles die Nachtigall vielmehr raso-
Aécetoa. genannt worden ist, und Aesch. Sept. 928 fin-
det sich das dem Sprachgebrauch angemessene maso-
yovor in mehreren Handschriften. Abgesehen von te-
rvodaítas (Orakel bei Paus. 8, 42, 6), rexvomorcs (He-
rodot, der jedoch auch maboros gebraucht) und te-
xvotpopía (Democritus bei Stob. Flor. 76, 13), schei-
nen sonst nur Xenophon und Aristoteles mit Dildun-
gen wie TEXVITOEÎO DEL TEMVOTOLÍO. TEMVOTOLOS TEMVOYOVÍA
TEXVOTPODELV Texvoreopía von dem herrschenden Gesetz
abgewichen zu sein. Was das bei Euripides überlie-
ferte cexvoxcovov pugos betrifft, so finden wir allerdings
in späterer Prosa Texvoxtoveiv (Clem. Al. Heliod.
Charit.) und texvoxtovía (loseph. Plut. Charit.), wie
in der Anthologie texvogoveiv und bei Lycophr. 38 te-
xvopatoTns: dagegen gebrauchen raSoxtoves Soph. Ant,
1305. Eur. Herc. 835. 1381, mardoxtoveiv Eur. Herc.
1280, rardopöves Eur. Med. 1407. Herc. 1201, mabo-
Denn dass die Worte arolsıydiv oudiv Satepov völlig sinnlos sind,
kann einem aufmerksamen Leser nicht entgehen. Der hier erforder-
,
a: zen Écépov oudiy stev. Auf Grund dieser Erwägung sagte ich
n der dritten Ausgabe vol. 2 p. XLII: wv 747 graviter corruptus.
a yap tepov Sarépou Acherupévov temptabat N.» Mehrere Jahre
später fand ich die Aenderung Asketupévov epe pr einen By-
zantinischen Dichter bei Cramer Anecd. Par vol. Ar
cupido TOS TOY Srparnyav TU sss
E 8oxGv, ay3pure, da mapa.tpéyetc,
Sapcet mpoxpivag TOY QpEYOYV evpouxtav;
Ev yàp EA Sattpov AEAEtp. MÉvVOY.
Wo £v Yap aus Zorıv yàp entstanden zu sein scheint. Für den Vor- ;
schlag Erepov Sarépou scheinen die Scholien (bei Dindorf vol. 3 p. 208, .
4) zu sprechen: oUdEy yap fort tò Erepov arolerpdéy tod Étéoou, und
grepmdiv yàp TO Érepoy toU étépou o oudiv Zorıy. — Auch.aus anderen
Schriftstellern könnte ich Beispiele anführen, wo-von mir aus-
gesprochene Vermuthungen hinterher anfhörten blosse Vermuthun-
e sein; doch es kam mir nur darauf an zu zeigen dass die Con-
rg deren Nothwendigkeit und Berechtigung von vielen
noch immer nicht begriffen wird, etwas mehr ist als eine unfrucht-
bare meme dés Scharfsinns.
»
Bulletin de l'Académie Xmpériale
ber "i
héros Aesch. Sept. 727. Eur. Med. 1393. Rhes. 549,
roudohérsipa Med. 849, rarSodvp.as Aesch. Cho. 604,
ratSoBcocs Cho. 1068. Somit wird bei Euripides Herc.
1155 xai pucos ratBoxrovoy herzustellen sein. Daraus
wurde zunüchst, in Folge der oben Anm. 23 bespro-
chenen Abschreibermarotte, xai tatdoxtóovov jococ,
was man hinterher aus metrischer Rücksicht in das
handschriftliche xai vexvoxcovov usos umänderte. —
Für die vorgeschlagene Aenderung glaube ich mit Si-
cherheit auf die Zustimmung desjenigen Kritikers rech-
nen zu dürfen, der das von mir verworfene cexyoxcovoc
für eine andere Euripideische Stelle selbst vorgeschla-
gen hat. Iph. Taur. 1082 f. richtet die Heldin des
Stückes an die Artemis folgende Worte:
à mótw, rep œ AuAldog xata TUYAS
derung ¿oras Ex TATOOKTOVOU Xepöc.
Dass dem Agamemnon, sofern er seine Tochter der
Göttin als Opfer darbringt, unmöglich eine rarpoxts-
vos "eis beigelegt werden kann *), hat Herwerden
Adnot. crit. et exeget. ad Eurip. (Amsterd. 1873)
p.25 sehr richtig bemerkt: «matpoxtóvov yepos pro
_ratoùs 5006. Qovíac dici potuisse ab Euripide difficul-
ter adducar ut credam, nec improbabile mihi videtur
fuisse aliquando in Akter
groe
Sevis Eco cac Ex TEXVOXTOVOU yeooc
indeque matum esse quod. hodie legitur in codicibus.»
Nur móchte ich glauben dass Euripides geschrieben
Ex yeooc TOLDO MTIYON, und dass auch hier die Umstel-
lung de ma:doxróvov ysooc den Anlass geboten zu dem
thórichten matpoxtóvos.
Suppl. 93: pntéga yepaza» Bouiay ¿pnyévny. Der
Sprachgebrauch scheint zu fordern popíay Sam Zum,
Suppl. 320: un Int ¿pós y dy, d céxvov, Jpacys
^t: Die Worte ph dodoys tas bedeuten in diesem
Zusammenhange so viel als py Ber iaa ¿pAys, un deos
épeupe3ís, zieh dir nicht den Vorwurf der Feigheit zu,
indem du den Schutzfiehenden deine Unterstützung
34) Selbst dies scheint mir anstóssig, obwohl es sich eher ent-
schuldigen lässt, dass Orestes nach Od. o 299 und y 307 &cavc (oder >
wie es y 197 heisst, pee rarpopoyna, Alyıodoy Solounreiv, © ot
ratépa »Auröy Éxra. Aegisth us tódtete zwar den Vater des Orestes,
nicht aber war er ein marpopoveds, d. h. ein 7
also vielmehr avöpopovja oder avepopavrnv erwarten. An dem glei-
chen Fehler scheinen zu leiden Soph. Trach. e xoi mapeuvrioto
yàp au Tic TATPOPO YTOV „(richtiger dyOpopovtau) y TPOS, We XAUELV
êué, und Eur. Or. 193: ata doug rurpogovou (richtiger dy8popóvos)
parpós.
versagst. Wer die voraufgehenden Verse nachliest,
wird sich überzeugen dass 3oxcqmc hier ganz sfatilos
ist. Es muss heissen UN — raSys tods.
Suppl. 346 — 349:
ein xal vexpods Exkucopa
Aoyoıcı Telov" el de bi Bin. Sopcs
non Tod ¿orar xouy! ouy po SEO.
dotar de xonko xal zéie TAON Tode.
Theseus will die Leichen der gefallenen Helden aus-
lösen auf gütlichem Wege oder nöthigenfalls mit be-
waffneter Macht; wozu, wie er wünscht und hofft, die
Bürger von Athen ihre Zustimmung geben werden.
Die Erwähnung des Neides der Götter kommt hier
hereingeschneit so unpassend wie nur möglich. Wila-
mowitz-Moellendorf hat mit Recht nach dopss 347 eine
stärkere Interpunktion gesetzt; unbegreiflich aber ist
mir die nachher von ihm beliebte Schreibung,
xal Bu 709 État, soual cuy QS6vo Tedy,
sókat SE onto xal node raon Tode.
Die Worte òn 708 ¿oras soit c0» oScvw Seo» waren
auszuscheiden als ein ungeschicktes Supplement, her-
rührend von einem Abschreiber, der die Brachylogie
«el SE pn, Bla Seegen nicht verstand. |
Suppl. 640: -
9» Zeug XEPALYO TuproAo xoa soot.
Für xspauvo rueróko ist mir ein entsprechender Aus-
druck nicht bekannt. Darum habe ich xegauvQ Typ-
rvöo vermuthet nach Stellen wie Pind. fr. 123: Tue
rveovrog xspauvod. Aesch. Prom. 359: pue ÉXTVEDY
oxoya. Prom. 917: zıvaoowv yetpl nupr.voov Béhos. Non-
nus Dion. 21, 224: rupérvoov deng xepauvod. Doch
könnte Euripides wohl auch xspauvo muggópo geschrie-
ben haben. Vgl. Pind. Nem. 10, 71: Wl Thake
bodoevra xepauvóv. Aesch. Sept. 444: tòv- uppépoy
ngeıv MEQOLIVO». Soph. Oed. C. 1658: Tuppégos Seot
xepauvos. Oed. R. 200: zuppópov actpat TAY XPATH
VÉLOY. |
Hipp. 274 — 285 finden wir ‚folgendes Gespräch
zwischen dem Chor und der rgop05 über den Zustand
der Phädra:
XO. o os a.o Sever te xal warregavron Myas.
TP. xóg 3 où, tortatay coc dotes ipépay;
. TOTEPOV ÚT ATNS N Davelv retpopevn;
. Savelv' dorre? Ò eis anooracıv Bien.
. Saupaorèy cimas, el tað ¿iapuel rade.
. MAQUITTEL o NOS og xou delt vogsiv.
275
des ni de Saint» Pétersbourg. ee, 94
XO. 0.8 eis roccwnov où texpaloerar Bhérov; 280
P. Exdnpos Ov yap trade Tuyyavsı ySovos.
XO. où Ò oux avayany TPOTPÉQELG, TELpOLEYN
voco» TUSÉTIAL TNOÈE xal avc» QosvOv;
TP. eis mày apiypar xoudèv elovacogat Toy"
OÙ Wm ayoo Y out vuy TpoSuplas «té. 285
Auf die undeutliche Frage in V. 276 antwortet die
-Amme, Phádra enthalte sich der Speise eig dróotacr»
Biou, d. h. sie gehe darauf aus Hungers zu sterben.
Darauf der Chor: seltsam, wenn ihr Gatte Theseus
sich dabei beruhigt. Diese Antwort ist unpassend;
auf die eben empfangene Mittheilung konnte die Frage
folgen, ob nicht Theseus oder sonst jemand die Phádra
zum Essen bewegen könne: das ¿¿apxet ist dagegen
nach den voraufgehenden Worten vóllig unmotivirt.
' Die Amme entgegnet (V. 279); Phädra verberge ihre
Krankheit und behaupte gesund zu sein. Also darum
soll Theseus das bis zur drógtao:g Prov sich fortsetzende
aoureiv der Phädra ruhig ansehen, weil sie gesund zu
sein behauptet? Das würe von Seiten des Theseus eine
in der That unbegreifliche Fügsamkeit oder Gleichgil-
tigkeit. Weiter fragt der Chor, ob Theseus nicht sei-
ner Gattin ins Gesicht sehe und daraus Schlüsse ziehe
(über ihren Zustand, was freilich hátte ausgedrückt
werden sollen). Die Amme berichtet darauf, Theseus
sei verreist. Wie aber geht es zu, dass wir dies erst
Lë erfahren und nicht unmittelbar nach den Worten
ei tað ¿émpxei nocet V. 278? Müssen wir nicht aus
. V. 279 auf die Anwesenheit des Theseus schliessen?—
“Ich denke, der Mangel an folgerichtigem Zusammen-
hang in V.276 — 281 lässt sich nicht in Abrede
stellen. Die betreffenden noe sind, wie ich glaube,
80 zu schreiben:
XO. Sieste un ATS À Save e 276
TP. xpurteı vae ne Tape xou poly vocety. 279
XO. Sauasroy einas, el xa ¿capuel TOGEL. 278
TP. Zxönpos du yap 7509s Tuyyaver YSovog. 281
Nachdem 279 und 278 ihren Platz getauscht hatten,
wurden zwei Verse eingeschaltet: denselben Vorgang
habe ich bei Soph. Ant. 570 — 573 ehemals nach-
o"
. gewiesen. Die beiden hier ausgeschiedenen Verse sind
auch in der Form anstóssig; den Worten & à sis mpós-
eov où texpolpetos QAémov fehlt das zu texpofgeras
erforderliche Object, und antorasız Seu «der Abfall
vom Leben», ist eine Redeweise, die weder sonst vor-
zukommen scheint noch, wenn sie vorkáme, hier pas-
send zu nennen wáre. Entschieden fehlerhaft überlie-
fert ist noch V. 276, wo ich in der dritten Ausgabe
TOLAS UT ATNE XATIAVEÙY T. vermuthet habe.
Auf den Ruf der Phädra Q yuvalxss, ÉÉcupyaoueda
folgt Hipp. 566 die Frage des Chors:
ri $ ott, Da/dpa 8etvov Ev doporo! colg;
Der tragische Ee lässt statt Savoy viel-
mehr xatvov erwarten. Nicht möchte ich mit Elmsley
coi; in cct ändern; vielleicht aber schrieb der Dichter:
ti Ò Zoe, Paidoæ, tolode xatvov Ev Soyetc;
Hipp. 1325 f. spricht Artemis zu Theseus:
dev ¿mpañas, AAA OS
ET domi col xal ube CUYYYOpnS TUE.
Besser wohl x&x tóvds, auch unter diesen Umständen;
über dx rovôe vgl. die zu Soph. Ai. 537 gegebenen
Nachweisungen.
Iph. A. 936£.: où yap Eumdcxerv thomas
gé naplo 00 nocet tovpov dépas.
Worte des Achilles, welcher der Klytümnestra erklárt,
er werde niemals zulassen dass man die Iphigenie
opfere, nachdem man sie unter dem Vorwand, er (Achil-
les) werbe um sie, nach Aulis gelockt. In dieser Si-
tuation ist Sépos sehr unpassend; nicht den Leib, son-
dern den Namen des Achilles hatten die Atriden für
ihre Zwecke gemissbraucht, wie Achilles selbst aus-
spricht in den unmittelbar folgenden Worten: toùvopa
Ye, el xal un alómpcy npapny, Toupcy qoveuct aida
any (vel. oben V. 910 Klytümnestras Aeusserung:
voua ydo TO goy " aráheo, © c anuvaSeiv "peu,
Folglich wird V. 937 zu EE sein: ¿yo rapézo
rodpov bvop.a có rocet. Aus coUpgóv óvopa mag zuerst
«cUpév cópa geworden sein und dann die weitere, durch
Rücksicht auf das Metrum pangih Entstellung sich
angeschlossen haben.
Iph. A. 1222: oûac yapıras ¿Soxa wavredsfannv. |
Der von einem einzigen Worte gebildete Tribrachys
des zweiten Fusses würde vermieden sein, wenn man
schriebe yaprras píhas. Eher aber möchte ich für das
ursprüngliche halten: on ¿Soxa SE yao.
Iph. T. 1286f.:
xaAeic GvarTUËMVTES euyoppcus TUAAS
¿Eo pehaSgoy rue xc(paycy YSovos.
In diesem Zusammenhang ist Ae oov rôvde unmóg-
lich; es muss heissen 77,08& xatpavov yS5ovos nach dem
Muster von Iph. T. 1080. Ale. 507. Med. 7 1. Herc.
138. fr. 1117, 61.
OS y
95
Bulletin de l'Académie Impériale
Ion 14: avc de mazpl, TO SEG yap i oc),
actoos Brtweme öyxoy.
Kreusa verheimlichte ihre Schwangerschaft vor ihrem
Vater Erechtheus; folglich ist zu erwarten nicht ayvos
de mato (unbekannt dem Vater), sondern 243pa Se
TATPÓS — 100106; Seve x Ce, wie V.340: xa
raid Y ÊTEXE TO Geo AaSon rage.
Ion 260 f.:
Koécuca Héi por xeovoy- , ex A "Eos yséoc
RÉDUXA, ratQic VA 5 Adnvalov TOM.
Die Stellung des dé entschuldigt Herwerden mit dem
Umstand dass rateis y7 ein einziger Begriff sei. Aber
va ist hier befremdlich um des nachfolgenden TOAS
willen. Sollte nicht der Dichter zaxeis 9 ¿or Amy-
valo» oz geschrieben haben?
Med. 235 — 237:
zou Tod ao» páyiotos, n xaxov habei
7 Xxenocóv ov yag sies amoo
deg, oU cic» T AwNVACIA: room.
` Die Heldin des Stückes beklagt die unglückliche Lage
der Frauen, die für vieles Geld sich einen Gatten und
Gebieter erkaufen, an den sie gekettet sind, mag er
mm gut oder schlecht sein. Hier scheint euxdseis
NV. 296 zu schwach: nicht sowohl wenig ehrenvoll ist
es für die Frau sich von ihrem Manne zu trennen, als
vielmehr äusserst schwierig: où yap £9 yeoetc arahia-
yal yuvargiv, dies ist der hier zu erwartende Begriff.
Or. 875f.: LOY tt TroAeploy Tapa.
eye overtépoxe Aavaidoy TONY;
Statt roro mapa (ab hostibus) ist vielmehr roXsplov
rép: (de hostibus) zu schreiben.
. Or. 896 f. heisst es von den Herolden:
cds à atoi pics,
: Og On dy Ta: XOAsOg dy T dpyator À.
Der Genitivus zoheos kann unmöglieh mit Matthiae von
Borsa: abhängig gemacht werden, und rokcos ¿v T
apyalor statt dy te móAsog doynict» zu sagen hat sich,
wie Porson sehr richtig bemerkt, kein Schriftsteller
der classischen Zeit gestattet. Aber gesetzt auch dies
von Hermann in Schutz genommene Hyperbaton wäre
zu entschuldigen, so würden doch die Worte òc av 3u-
vta: ohne eine nähere Bestimmung unverständlich |
bleiben. Der Fehler liegt in dywnrar, wofür Euripides
vermuthlich schrieb Suvacrns.
|
zen, um den Untergang der Stadt Troja nicht zu
überleben:
pép eis TUPAY dao ue», Oz MALTE Vot
od Tide rarpldı xatiavely TUpoOUEvy.
Offenbar konnte nur gesagt werden cov mato cq.
Die jetzige Lesart ist eine falsche Correctur des zu-
erst gemachten Fehlers cov they TATH,
Soph. fr. 146 bei Stob. Flor. 26, 1: aSa Deo»
OTUYEOR xal AYAPATOS OSUYATELE Ka, EUTOTILOTETE
pehéov avéyouca Biou Boayuv taSucv. An der Heilung
dieser übel zugerichteten Stelle hat sich neuerdings
Herwerden Mnem. nov. ser. 1 p. 312 nicht ohne Er- -
folg versucht; ich beschránke mich auf einen kleinen
das letzte Wort betreffenden Nachtrag. Statt Biou Boa-
yy odpov dürfte zu schreiben sein Biv gpayv oty.ov. :
Soph. fr: 287 bei Stob. Flor. 30, 6: türter yao
0982 ¿o Sho sx ata oyo. Dem Ausdruck etxata oo,
temerarium otium, vermag ich keinen vernünftigen Sinn
abzugewinnen, glaube vielmehr dass die ursprüngliche
Lesart war y Alav oyoAn, wie sich sonst findet y Atav
corparía, n May coup u. à. |
Pseudo-Eurip. fr. 1117, 15 heisst es von der Danae:
UTOTETOOY Adoyra Tegera Tarot.
Das handschriftliche úxóxetoo hat Bentley richtig
in drörtepov geändert, der vmómtepos Aéov ist Perseus.
Zur Bestätigung dieser Emendation kann dienen eine
fehlerhaft überlieferte Stelle‘ des Aristides vol. 1
p. 25: Ilepoéa dE adtonrepoy eis lop[óvov yopous
ko dv, wo Unortepov zu schreiben ist.
der angeführten Stelle des Aristides haben unsere
Wörterbücher das Adi. adtórrtepos entnommen. ——
Im dritten Bande des Teubnerschen Euripidesp. XXI
habe ich unter den Nachträgen zu meiner Sammlung
Nur aus,
der Trag. Gr. fr. eine von Haupt im Hermes 3 p. 343
nachgewiesene Stelle des Ambrosius aufgenommen,
welche die Griechischen Worte Bacthéwy tas mohv-
yo»couc tuyas enthält. Dieselben Worte finden sich
in theilweise correcterer Gestalt bei Philo Iud. vol. 1
p. 548: xai day Bacırdov TOLUIPUGOY TULA ÚTEP-
Barıwar.
Ar. Nub. 102 f. charakterisirt Phidippides die Ati
hänger des Sokrates: tods aAatóvac,
zous WYPIOVTAS, TOUS avuroðytovg Adyeıc.
Statt tous oyotovras, die Bleichen, hat Aristophanes
| vermuthlich einen gleichbedeutenden, aber gewählte-
Tro. 1282 f. will Hecuba sich in die Flammen stür- |
ren Ausdruck gebraucht, nämlich «69g Zvepoypuraz,
97
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
die Todtenfarbigen. Dafür scheint zu sprechen Alciphr.
5-42: Nxevon évos xÓv èv Ty Toxin darpıßovrov
dro o? xai ¿vepoypoto», wie Etym. M. p. 340,
10: évepóypoceg" VEXPOJPOTES, vexooü yootx» Éyovtec.
Sicherer ist es dass wir évepcypotes herzustellen haben
bei Agathias Hist. 2, 23 p. 114, 22 Nieb.: rokhol
yap non avappwasevres anevcormoav ds ta olxsio, xas-
geg Ev omg xal toayodía Ex TOY «cxótou TUAOY»
(Eur. Hec. 1) dprypévot, Cox vol rues xal ETEPOXPOTES
xal olor Sedétreo dou tods Evruygavovras.
Men. Com. 4 p. 210: où xg yap alto» oudë horas
altoup.evos. Auf diesen zur Erläuterung des Unter-
schiedes von aitte und atzeioser öfters angeführten
Vers bezieht sich Tzetzes Chil. 12, 305: où 0p aitö
yap Aeyopev oust Moana 9' altoüpat, WO 0985 horda al-
toupa zu schreiben ist %).
Men. mon. 385: auf nv avanaueı, npépa à Epyov ost
Gegen Meinekes Vorschlag vdË ovadver pév sprechen
mehrere Gründe; offenbar muss es heissen: auf piv
avanaucıy, Hepa A Zero motel, oder besser ¿pyov
péper (wie bei Soph. Ai. 866: novog "oun rovov pépet).
Men. mon. 666: Co aloypov ois Env Zoäougoen y
tuyn. Der zum Leben nothwendigen Mittel ermangeln
ist nicht schimpflich, sondern hart. Statt atoypow ist
somit vielmehr dsıvov erforderlich. Die Verwechslung
dieser Wörter ist keineswegs unerhört. Vgl. Eur. fr.
757, 9. Trag. adesp. fr. 61. Eben dahinsdúrfte ge-
hóren Men. Com. 4 p. 183 bei Stob. Flor. 96, 21:
aloypov vevéoSat TTOYOY LOTE S. dpa.
Protagoras bei Plut. Mor. p. 118 F: ras yap rte
py ópéoy cà Eaurou TÉVICA dopo évoc qéoovca, peya-
hóppova te xal avdpnov Eddxee civar. Statt £opogévoc
ist zu bessern evsxnpovos. Dieselbe Verschreibung
habe ich früher nachgewiesen in Men. mon. 151:
dveyxe Aur xai Qnm» Eppopevos,
wofür die ursprüngliche Lesart gewahrt ist in Men.
Com 4. p. 242: éveyx aruylav xal Bhafnv evoympovag.
Vgl. Aristot. Eth. Nic. 1, 11 p. 1101 a 1: taç tuyas
eücymuóvoc pepew. Iulian. p. 256 B: el pèv evoynuc-
35) Derartige Parallelstellen werden in Meinekes Fragm. Com.
ófters vermisst, was im Detail nachzuweisen sich kaum lohnt. Wich-
tig jedoch für das Verstándniss des Textes scheint mir was bei Plato
2:
apkomar ix BoAßoto, tedeurnow à ¿mi SUvvov,
bisher meines Wissens übersehen worden ist, dass in diesem Verse
ein von Libanius Epist. 65 erhaltenes Sprichwort parodirt wird,
apkomar EE ayadoio, reheurnow ð’ Ze xpetvoy.
Tome XXII.
vos ¿pepov, Gonep ovv Adysrar, TRY im, p. 257 A:
taç do Drop BOTAS maSanso TVEÑILATOS uerg
eüc ympóvos pépew. Porphyr. ad Marc. c. 3: ¿factaca
de Tas érifouAdc eueyvpcvoc.
Flor. Monac. 36 bei Meineke Stob. Flor. 4 p. 269,
26: vouo dAnSéotator ol Stxoraro. Sehr richtig
wird p. XL VII anSeorarcı als corruptum bezeichnet.
Es sollte heissen vóp.ot dopadéctaro:.
Flor. Mon. 184 p. 281, 19: 6 aurog (Demosthenes)
Qv» aSAntnv xaxöç Adnvaloug lampeuovra eren eupez
686» AC ne rohhoùds xaraßadeis. Nothwendig ist es hier
xaxov zu schreiben: seine Gegner niederzuwerfen
war dem Athleten früher nicht gelungen, weil er eben
ein schlechter Athlet war; ein sichereres Mittel zur
Erreichung des gleichen Zweckes bot ihm der neue
Beruf. Zweifeln kann man ob AS«vaíouc in nino ir
zu ándern sei.
Flor. Mon. 262 p. 289, 9: Xovarrneç DESEN
«Sa TÍ AMTOG et Eyov ypnpara roda;» exe «tò péh-
hoy oùx eldos, va day o yémta, pg Gevitop at.»
Diese Anekdote leidet an zwei unpassenden Ausdriicken;
in der Frage ist zu schreiben Aa ti yAloypos el, in
der Antwort iva — pg davettopat.
Aelian V. H. 12, 33. Kineas, Leibarzt des Pyrrhus,
macht den Rómern das Anerbieten für eine Geldsumme
ihren Feind durch Gift umzubringen; die Rómer aber
weisen diese Infamie mit Entrüstung zurück: A ape-
ris yap icacı "Popaicı [dyasol cewa], où phy ta té-
mme xai navoupylas xoà érBouAns xarayovícac3a: toùs
éySocuc. Es bedarf keines Nachweises dass die in der
jetzigen Verbindung höchst unpassenden Worte æyaSoi
elvat von einem Interpolator herrühren.
Aleiphr. I, 6, 4: Y témavoo tij; ayepuylas xal tou
Ange sõ xal Sopas [aróoyov], Ñ ez pe mapa
oy natépa oiynoouévnv. Sollte nicht dooten ein spä-
terer Zusatz sein? Entbehrlich ist sicherlich dies Ver-
bum und, wie mir scheint, nicht einmal passend. Ei-
nem ähnlichen, aber bei weitem störenderen Zusatz
begegnen wir III, 39, 3: xahèv Ara avspwrerg dvu-
rootohkos ópudeiv, ug nxora òè [dvayxatoy] To Tpos
ie olesious aXneoSou. Der Begriff dvayxaiow ist
hier unmóglich; tilgen wir dieses Emblem, so bekom-
men wir den erforderlichen Sinn, x4Auctoy è To pos
TOUS otxetous Oasen,
1,7: 6 yap rooysipos xal Sappada E sine
Ge Zewen xotyd. [rpèç tods pious xai] Ta tv poy
7
Bulletin de l'Académie Impériale
[£yetv] iyouevos. Erst durch Ausscheidung der einge-
klammerten Worte kommt Sinn in die Stelle: «wer
zuversichtlich seine Freunde bittet, zeigt dass er zu
dem Spruch xowa t tõv pwy sich bekennt, d. h.
auch seinerseits zum Geben geneigt ist».
I, 10 ist überschrieben KégeAoc Hovrio. Da der
Brief vom stürmischen Meer und den Gefahren des-
selben handelt, so dürfen wir vielleicht "Epados Iov-
tí vermuthen.
I, 29, 2: oc yap tr oócaw muiv Erarpiav TEÒ
adas. Die richtige Form étarpsia» ist hier in & wie
II, 2, 7 in allen Handschriften erhalten.
IL, 2, 4: Tipapyov zéi xaA6v otoda toy Knot sev.
eu, dea) TOÔS TOY veaviaxov. OXELOG Eye dx 0A 00
‚ (Tpos o£ pot TAANST Min eixóc, Aayœ), xa TN ToO-
Tnv appositny ¿pa oy mag autod cysBow ovTog yap pe
adiemapSévevasy Ex yertóvov olxovcav. Hercher sagt
p. XVI: «Delenda verba xal mv ër appoodérny
dozou rap gien aut transponenda post olxoucay.»
Hier kann ich nicht umhin ein Versehen vorauszu-
setzen. Es scheint mir unzweifelhaft dass in den Wor-
ten cücog yde pe derapSévevcsy eine plumpe Umschrei-
bung enthalten ist für die gewähltere Wendung mv
Tour» appodityy časov rap astov. Deshalb und aus
anderen Gründen bleibe ich bei meinem von Hercher
stillschweigend verworfenen Vorschlage, xai nv Too-
m» appoöitmy ¿paso rap autoú, cysBO» Ex yertovoy
otxovoa. Nur würde ich statt ¿uaSov vorziehen ¿p uý-
Syy nach Stellen wie Heliod. 1, 7 p. 22, 25: EouSprav
yap Zen To peipaxıov doct TOY Appoditng puoupevoy.
Achilles Tat. 5, 15, 6: pun3op.ev cov ta Tis Aopodérns
puornpta. Plat. Symp. 209f.: taŭta py oùv a ggo-
mxa coc, © Zoxpares, xav où punSeóns. Vgl. Lobeck
Agl. p. 651.
III, 66, 3 erzühlt der Briefsteller, ein theils bos-
hafter theils ungeschickter Barbier habe ihm den Bart
nur stellenweise rasirt: oec ya oAergSTya por TOAAA-
10% pi» Saceiay moda god di Aslav tiy aımyova. Bes-
ser 1AAa 09 pèv Sacctay d\Xayoù 35 Aslav.
Procopius Gaz. Epist. 139 p. 588 Herch.: éogrn
dé cou Aaron. KENG mou xal Badıop.a cofagoy xai
Puppe Tide xaxeice YEopEvov, xal mayo got Ta
dra, xa seo o Midas, el roi xt oSéEnuo maen mv
on oxnvnv Exrintrönevev. Das Wort og wird in
der Lateinischen Uebersetzung durch «habitus scenicus»
wiedergegeben, und allerdings ist der Begriff habitus
nach dem Zusammenhang zu erwarten, d. h. mv om
oxnvyv ist aus ty» on» axeunv entstanden.
Clem. Alex. Protr. p. 12 Pott.: où yap pe ó Kurgtog
6 vnotoras Kıyupas rapaneloaı TOT Av, TA rep vi
Apoodirny paxhovra Zeng dx vuxtòs (pg. napaðoğvar
rohunous, Piorıpoupsvog "Zetgegt Topy Tohitida.
So las bereits Eusebius PE. II p. 63 A. Gleichwohl
halte ich zé rokMnida für fehlerhaft und schreibe
dafür ropvnv terodítida, Das Wort proöitız wird ei-
gentlich von der auf Dreiwegen verehrten Hekate ge-
braucht, dann übertragen auf gemeine Dirnen, vgl.
Bulletin XVII p. 228 oder Mélanges Gréco- Rom. III
p. 276 f. Dass HOAITIAA aus TPIOAITIAA leicht
entstehen konnte, ist klar.
Clem. Alex. Protr. p. 24: rócot di xai og Archdo-
vec; avapiäpımror Svnrol xal ¿mixovpol tives AvIporol
eto ci Taparincios Tols Tpostonp.évo:s Exetvotc XEXAN-
évo. «Sterbliche Menschen sind von den alten Grie-
chen vergóttert worden», dies ist der hier ausgespro-
chene Grundgedanke einer umständlichen und detail-
lirten Erórterung, in welcher Clemens über die heid-
nischen Götter handelt. Als ungehórig erscheint èri-
,
xovar, zu emendiren aus p. 26: avipono TYÈ Toute
TO At0xo0o0 Emi noo Eyeweosyv.
Tzetzes Exeg. Il. p. 128, 5 (Schol. Lips. in Il. ed.
Bachm. p. 827, 3): tadra To. «00 avöpos xop.ropa-
xeAcgptip.ovg An axouécocay (so ist das überlie-
ferte axou...cav zu ergänzen) Goo tO» Suoceßov
xal TO Mons TO PENTI xal TTEPO xal xAdÉGEL ÒM-
xTUAOY dl TOY papuyya RE epouvtoy. YO de où Bouho-
pat caca, geeiert: od yap old Eros eege equ. Statt
Goo zu 9uccsQóv fordert der Zusammenhang Cou toy
dvusepoy. Auf der gangbaren Verwechslung von 8 und
v. beruht vielleicht auch der bei Iohannes Sicel. Rhet.
VI p. 229, 23 vorliegende Fehler: Adttavov tivos Ev
t$ Tepl Bom fu Tepovoías youpovros dal ti dAndeinc
guer? xal Zpuevatos HoAég.ovoc, ol BaSrateiaac
roheıs Aéqouct auyyopsusw tais povoar. Ein ovyxo-
pevety tais poucas konnte beigelegt werden den für
Bildung sich interessirenden Städten, die Iohannes Si-
cel. ua S 7106006 roe; genannt zu haben scheint.
Der Hauptzweck der vorstehenden Bemerkungen,
die ieh hiermit nicht sowohl schliesse als abbreche,
war dieser, die Berechtigung und Nothwendigkeit phi-
lologischer Kritik darzuthun, d. h. zu zeigen dass wir
weder den alten Grammatikern noch den Schreibern
EN
101
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
der auf uns gekommenen Codices absonderliche Ver-
ehrung schuldig sind. Für diesen Zweck dürfte es
nicht überflüssig sein noch einige Worte beizufügen.
Ein bekannter iambischer Trimeter lautet bei Stob.
Flor. 5, H:
7 X>ev dot AYÍpOTOS av AYÍPOTOS Y.
Derselbe Vers kehrt auch sonst wieder, zum Theil in
wunderbaren Entstellungen. Adennüder Rhet. VIII
p. 480, 3 (Speng.. vol. 3 p. 37, 18): xapıdv dor’ àv3oo-
os Oct dySooToc d. Phoeben. Rhet. VIII p. 517,
3 (Speng. 3 p. 56, 11): xaotév dct» duëourgee ¿ray dy-
SpoTog 1. „Aeneas Gaz. p. 26: yapev aySporos Era»
ES 1. Clemens Alex. Strom. VII p. 916: óc
xapgóns Eoriv AVSQOTOS, ¿OT ay avSgures N. Men. mon.
562: de yaptaıg doriv aySpwrog, otav vlog À 7. Galen.
vol. IX p. 815 (nachgewiesen von Cobet im Aöyıos
‘Epps Ip. 456): xal oravov ¿or avSporos Zei dich
Toç. Choerob. Epim. in Psalm. p. 43, 6: de xaptev T
av3poros ay3pórorot. Gramm. Herm. p. 465: ôç ya-
Gi To dySpomtyov aySoorototy. Etym. M. p. 824, 41:
de yapícorr (Yo. xov V) dySporos avipancıer. Da-
nach wolle man den Werth unserer Griechischen Hand-
schriften beurtheilen, an deren Strichen und Pünktchen
vorzugsweise diejenigen sklavisch hüngen welche nie
eine Griechische Handschrift gemauer kennen gelernt
haben.
Aber auch die Grammatiker sind äusserst unzuver-
lässige Gewährsmänner, denen man nicht blindlings
glauben darf. Zur Erläuterung diene das Lexikon des
Suidas, der zwar einer sehr späten Zeit angehört, aber
das Richtige wie das Falsche das er bietet, fast durch-
gängig älteren Quellen verdankt, den daher für die
meisten bei ihm auftretenden Irrthümer eine Verant-
wortliehkeit nur insofern trifft, als er mit unverant-
wortlicher Kritiklosigkeit die ihm vorliegenden Quel-
len mechanisch ausgeschrieben hat. In seine Kenntniss
der Verbalformen gewinnnen wir einen Einblick aus
folgenden Proben. «zt amnoyeto, aveyopet. elw to
, r , y I, M
- Topevopat, duce: diw, Mov LES, Nixa NUL niew, xat Ev
cuySéce, dmwmfet», xal dv cuvarpécsl geng, — Tito
üraoyéco' «Tyco "| ðóķa xuplou eis touc alovag». TalTov
TPOTOTÓY égtt TOOUTAKTIHOV, ATÒ Tod e(l TO TAPLO
Y petoxm elg dvtos, TO npootaxtınov ¿di Erw, ÈTEXTACEL
TO, xal engen tod Y éco. y ATÒ x00 £o To degen
deu Yes Te, xal TO npooraxtınay če déco, xal xpaosı TOY
duo E eis H fco. — |o c1» éxadétovro, duixos' Aptoro-
pavas Opvo: a 9) «TO à oux de Zecgun, me A8 da
tool! ion, ayı zoo Yöscav, cudlv dado idegay À ? òa-
XVELY. — Gud TO WEG. — ATÉCOUTO ENTE. TEUVO TÒ
Geng, xal ouw, AG où TÒ güm, Aen tò Zoouro. — Für
die Kenntniss der Pronomina ist belehrend: TARA
copo: Top aurais. mapa color à Sa toù I nao
autos. — Vielfach werden fehlerhafte Glossen regi-
strirt. atatoí (vgl. Aristoph. Byz. p. 137) et ovyyap-
Boo. also yos (statt alcaxos) à Tis Sans xa dos,
vapBopos © KT (nach Eur. Hec. 421: nues 3%
TEVINKOVTO, Y Guukopot Kegel debynoas (statt Ae:
eAınoas Od. e 599) OELANS TOUTO TOLNOAS. eynyaptos
(ertyapros?) ó Enıyapns. Écxatey (statt Eouxatev, vgl.
Hercher Berl. Monatsb. 1875 p. 8) &vedotaev, aupé-
BaAAew. xépxoupos — xal Tapouyuia eg Age (viel-
mehr xopxopos) Ev Aayavog». TALOAN (statt Arm) —
Tapa To amaroheiv. méos (statt améoz) tè Orga, —
Besonders aber bezeichnend für Kritik und Erklürung
sind als Seitenstücke zu der oben Anm. 24 besproche-
nen Glosse yupins folgende Stellen. xaratrouon: xa-
Tapuyn. «AAR Zeg où vào fr xararpupnv», avt! toù
anoquynv Too ji sérei (vgl. Soph. Oed. C. 218). 2úya
Gxocetyd ` «epav yap ol exa, lord Tapa xooxatot de
Avya rupoç» (Anth. Pal. 6, 266. wo Ruhnken de adya
Tupos hergestellt hat). ünalpaxe BtpSetoev «od oe
xuvôv yévos etA, Evprridn, MR Aldng xol yipas ral-
paxev» (vgl. Anth. Pal. 7, 51: aM Alys xal gege
úral Maxéry à Apesovoy xeiow). Diese Blüthenlese
kann mit Leichtigkeit erheblich vermehrt werden. Wir
aber entnehmen aus der Betrachtung derartiger Irr-
thümer, wie sie auch bei den namhaftesten Gramma-
tikern vorkommen, eine Warnung vor dem trügen
Autoritätsglauben. Es ist ein altes Wort und kann
doch kaum oft genug gesagt werden: sapere aude.
Ueber die Absorption der Kohlensáure durch Schwe-
felsáure und deren Gemische mit Wasser. Von
J. Setschenow. (Lu le 24 février 1876.)
In meiner Abhandlung über die Absorption der
Kohlensiure durch Salzlósungen habe ich zu zeigen
gesucht, dass die Absorptionsgróssen dieses Gases von
der Dissociirbarkeit der Salze, so wie von dem gege-
benen Grade ihrer Dissociation, direct abhüngig sind.
Nun bin ich in Besitz solcher Thatsachen gekommen,
welche diesen Gedanken nicht nur weiter zu bekräf-
T7*
Bulletin de l'Académie Impériale
)
104
tigen, sondern auch einiges Licht auf den Vorgang der
Kohlensiureabsorption zu werfen im Stande sind. Es
sind nämlich absorptiometrische Versuche mit SH,O,
und deren Gemischen mit Wasser.
Solange man mit Salzlósungen zu thun hat, gilt jedes
Zusetzen von Wasser zu einer gegebenen Flüssigkeit
nur als weiteres Dissociiren der Substanz, und insofern
findet man bei Versuchen mit Salzen gar keine Ge-
legenheit, denjenigen Fall absorptiometrisch zu prüfen,
wo das Zusetzen des Wassers einer Hydratation der
Flüssigkeit entspricht. Einen solchen Fall bietet da-
gegen bekanntlich SH;O,, und zwar vorzugsweise bei
ihrem Übergange in das zweite Hydrat (SH,0,+H,0).
Aber auch das weitere Verdünnen der Säure ist inso-
fern interessant, als man an der nämlichen Substanz
den entgegengesetzten Einfluss einer fortschreitenden
Dissociation zu sehen bekommt. |
Der Absorptiometer erlitt für diese Versuche klein
Umänderungen nur in zwei Punkten: das Saugrohr
zum Einführen der Flüssigkeit in den Recipienten be-
stand durchweg aus Glas; der Stahleylinder im
Holze des Recipienten wurde gegen die Einwirkung
der Schwefelsäure durch eine Schicht Paraffin geschützt.
Die Füllung des Apparates geschah natürlich stets
mit vollkommen trockener CO;. Bezüglich des Ent-
gasens der Schwefelsäure habe ich folgende wichtige
Bemerkung zu machen: im unverdünnten Zustande
so wie in concentrirteren Gemischen mit Wasser ent-
lüsst die Flüssigkeit die darin aufgelóste Luft so schwer,
dass man sie unbedingt bei 100°C. und unter star-
kem Schütteln auspumpen muss, sonst bekommt
man die Gase nie vollkommen weg. Was endlich die
Proportionen der Mischungen anbelangt, so entsprechen
sie den in der Tabelle angegebenen Formeln und Zahlen
natürlich nur annähernd, da man durch die Natur der
Versuche selbst gezwungen ist, manche Operationen
mit SH,O,, dieser in so hohem Grade hygroscopischen
Flüssigkeit, an der freien Luft auszuführen.
In der nun folgenden Tabelle bezeichnet V Volumina
der Flüssigkeit, A die totalen Absorptionsgróssen; die
vorletzte Spalte dient zur Verification, ob die Absorp-
tion nach dem Dalton'schen Gesetze geschehen ist;
endlich unter a sind die Lósungscoefficienten im Bun-
| sen'schen Sinne angegeben.
Ne Concentr. NV $
1 SH,O, 358,25 | 17?
2 22 23 29
92 gr. SH,O,
3 qe | 33 ?3
3 gr. H,O
92 gr. SH,O,
4 | - 22 29
8 gr. H,O
SHO, :
5 : Se ” »
1 (H,0) |
SH,0, | |
6 + KE | $
| 2 (H,0) |
| SH,0, |
7 | - » »
| 58 (H,0) |
ASE,
|
|
sl Au, Ba
Dr. | A B | a
656,39 | 219,25 0,932 .
774,56 | 258,60 | 258,72 | 0,932
644,20 | 214,38 0,929
797,77 | 267,67 | 265,49 | 0,936
658,51 |. 200,97 ` 0,851.
708,26 | 216,42 | 216,15 | 0,852
917,47 | 280,61 | 280,35 |. 0,852
| | =
680,67 | 175,56 | 0,719
862,15 | 221,82 | 222,36 | 0,718
| 699,33 | 166,56 0,665
752,67 | 179,75 | 179,27 | 0,666
971,05 | 232,30 | 231,28 | 0,667
686,46 | 173,63 | | 0,706
750,77 | 189,15 | 189,89 | 0,703
953,59 | 241,06 | 241,20 | 0,705
670,76 | 206,00 | 0,857
815,35 | 250,73 | 250,30 | 0,857
105
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
106
Die erste durch die Zahlen der Tabelle angegebene '
Thatsache bezieht sich auf die Lósungscoefficienten
der unverdünnten SH,0, (in Vers. 1 und 2). Sie
liegen der entsprechenden Grósse für's Wasser so nahe,
(nach Bunsen beträgt dieselbe für 17°C. 0,9519), dass
an ihrer Gleichheit kaum zu zweifeln ist, besonders in
Anbetracht des zweiten Ergebnisses dieser Tabelle,
námlich des Sinkens der Absorptionsgróssen, in Folge
der Verdünnung von SH,O, mit Wasser. Diese als
allgemeiner Erfolg der Verdünnung sich ergebende
Abnahme der Lósungsgróssen geht jedoch nicht regel-
mássig von Statten, indem die Absorptionscoefficienten
anfangs sehr rasch an Grósse abnehmen, bei der Con-
centration des Gemisches SH,O, + H,O ihren niedrig-
sten Werth erreichen, um von hier an ganz langsam
in die Hóhe zu steigen.
Der beschriebene Gang der Erscheinung lässt sich
durch die beigegebene Absorptionscurve ABC ver-
sinnlichen, in welcher die Ordinaten den Lósungscoef-
fieienten verschiedener Gemische entsprechen.
B
|
SHl;
re
SHO>H,0 SADA I0
Die Frage über die höchst wahrscheinliche Gleich-
heit der Lösungscoefficienten von CO, in H,O und
SH,0, kann einstweilen nicht discutirt werden, weil
diese Thatsache bis jetzt nur für eine einzige Tempe-
ratur gefunden worden ist; das Abnehmen der Lösungs-
grössen in Folge der Verdünnung von SH,0, mit HA
lässt sich dagegen theoretisch deuten, und zwar folgen-
dermassen :
Der Gang der Absorptionscurve ABC würde
denbekannten calorisehen Erscheinungen beim
Mischen von SH,0, mit H,O ganz genau ent-
sprechen, hátte man die Einwirkung des letz-
teren auf SH,O, als in einer Hydratation und
Dissociation (zu gleicher Zeit) bestehend auf-
fassen und den beiden Vorgüngen einen ent-
gegengesetzten Einfluss auf die Absorptions-
srössen der Kohlensäure zuschreiben können.
SH,0, bei 17° unterliegt kaum einem Zweifel,
Dann würde sich in der That sowohl der stetige
steile Abfall des Curvenstückes AB (und zwar durch
das Anwachsen der in SH,0,+ H,O sich umwan-
delnden Menge von SH,0,), als das Zusammenfallen
der Maxima für Würmeentwickelung und das Sinken
der Absorptionsgróssen in B, so wie endlich das nach-
herige langsame Anwachsen der Absorptionsgróssen,
erklüren lassen. Somit hat man nur nóthig zuzusehen,
ob der oben ausgesprochene Satz etwas Unbewiesenes
enthült und dieses dann zu beweisen. >
Die doppelsinnige Einwirkung des Wassers auf
da
SH,O, + H,O bei dieser Temperatur als eine in ihrem
Krystallwasser geschmolzene Substanz betrachtet wer-
den muss; andererseits ist das Anwachsen der Ab-
sorptionsgróssen in Folge einer fortschreitenden Dis-
sociation von mir schon früher bewiesen worden. Hier-
mit bleibt als unerwiesen nur die Annahme zurück,
dass dem Vorgange der Hydratation von SH,O, eine
Abnahme ihrer Lósungsfihigkeit für CO, entsprechen
muss.
Dieses lisst sich glücklicherweise sehr leicht be-
weisen, und zwar für den am meisten charakteristi-
schen Fall der Umwandlung des ersten Schwefelsüure-
hydrat in das zweite.
Die Abnahme der Absorptionsgrósse kann in diesem
Falle a priori auf zweifache Weise erklürt werden:
entweder dadurch, dass das Wasser nur volumündernd
wirkt, ohne sich selbst an der Absorption zu betheili-
gen (indem es in die Bildung eines neuen Kórpers ein-
geht) und ohne die Absorptionsfühigkeit der Schwefel-
säure für CO, zu ändern; oder dass es nicht bloss
volumándernd wirkt, sondern auch die Absorptions-
fühigkeit afficirt. Zur Entscheidung zwischen diesen
zwei Möglichkeiten braucht man nur den Lósungs-
coefficienten der unveründerten SH,O, so wie die Vo-
lumánderung beim Mischen derselben im Verhältnisse
von 1(H,0) auf SH,O, bei 17” zu kennen. — Die
erste Grüsse betrügt nach meinen Versuchen 0,932;
das resultirende Volumen beim Mischen ton 49 gr.
SH,0,, oder 26,6 Cem., mit 9 Cem. Wasser beträgt
bei 17° 33,3 Ccm. Wäre demnach die erste von un-
seren Vor&ussetvdngen die richtige gewesen, so müssten
33,3 Cem. SH,O, + H,O ebensoviel CO, absorbiren,
wie die in dieser Mischung enthaltenen 26,6 Cem.
SH,0,, oder 26,6 X 0,932 — 24,7912 Cem. CO,.
107
Bulletin de l'Académie Impériale
Hieraus würde sich im Versuche 5 als Lósungscoeffi-
cient die Zahl HF Ze ee = 0,744 ergeben; wir bekamen
aber eine viel arigera Zahl 0,666.
Somit entspricht der Hydratation der Schwefelsäure
in der That eine Erniedrigung, deren Lösungsfähigkeit
für CO,, woraus zu schliessen ist, dass die Vorgánge
der Hydratation und der CO,- Absorption einander
gleichwerthig sind.
Odessa, den 15. (27.) Februar 1876.
Parerga archaeologica. Von Ludolf Stephani. (Lu le
27 avril 1876.)
XXIX.
Ein von mir besonders hoch geachteter Gelehrter
hat es mir als zweckmässig bezeichnet, dass ich mich
über zwei einzelne Fragen meiner Untersuchung über
den Westgiebel des Parthenon!) um der Schwachen
willen noch etwas ausführlicher ausspreche: über die
von Pheidias in seiner Composition zugelassene Ver-
einigung von zwei ein wenig aus einander liegenden
Zeit-Momenten?) und über die Berechtigung der Les-
art «ferum» bei Ovid”), soweit sich dieselbe schon vom
rein-philologischen Standpunkt aus ohne Berücksich-
tigung der in den Kunstwerken liegenden Beweise er-
giebt.
Zwar habe ich bei der Ausführung dieser Unter-
suchung, wie auch sonst, vorzugsweise eine aufgeklär-
tere Zukunft im Auge gehabt‘), für welche natürlich
Elementar-Begriffe der philologisch-archaeologischen
Wissenschaft, wie die, um welche es sich bei den beiden
genannten Fragen handelt, nicht erst einer ausführli-
cheren Besprechung bedürfen werden. Doch entspreche
ich gern auch jener Aufforderung, zumal da ich be-
fúrchte, dass die erhoffte Aufklárung nicht eher wird
eintreten können, als nachdem die von Welcker und
. Jahn in rohester Gestalt in Umlauf gesetzten Schlag-
würter vóllig abgenutzt sein werden und die Wissen-
schaft dadurch wieder in den Stand gesetzt sein wird, zu
x 1) Compté-senda de la comm. arch. pour l'ann. 1872. p. 5—142.
221—224. 1873. p. 242—244.
2) Compte-rendu de la comm. arch. pour Pann. PUN p. 116.
3) Metam. VI, 76. e vulnere s
4) Compte-rendu de la comm, arch. pour l'ann. 1872. p. 64.
wirklich freier und selbststándiger Forschung zurück-
zukehren. Bis dahin wird sich meines Erachtens der
gegenwärtige Zustand nicht wesentlich ändern können,
ein Zustand, dessen Entstehung sich leicht dadurch
erklärt, dass die beiden genannten Gelehrten den ihnen
eigenthümlichen, allbekannten Mangel an Logik und
Schärfe des Gedankens so wie an Einsicht in das Wesen
der Kunst und des künstlerischen Gedanken-Processes
natürlich auf andere Weise, Jahn namentlich durch
pikante Eleganz der Darstellung, in der er in der
That Meister war, zu ersetzen suchten, während so
viele Andere es passender fanden, unter der Aegide
dieser beiden Gelehrten das von ihnen Überlieferte
zu wiederholen und weiter auszuführen, als auf eigene
Gefahr und mit eigener Kraft wirklich neue und rich-
tigere Anschauungen aufzusuchen und mit methodi-
scher Strenge zu begründen.
Um so mehr habe ich es für meine Pflicht gehalten,
bei Gelegenheit meiner Behandlung der ehemals im
Westgiebel des Parthenon vorhandenen Sculpturen in
eben so maasvollen als freimüthigen Ausdrücken an
einem so schlagenden Beispiel zu zeigen, wie wenig
jene gegenwärtig weit überwiegende Art, die Archaeo-
logie zu betreiben, selbst da, wo schon seit langer Zeit
alle nöthigen Hülfsmittel in reichstem Maase zu Ge-
bote stehen, geeignet ist, die Erkenntniss des Wahren
zu vermitteln, und ich freue mich um so lebhafter, dies
gethan zu haben, da mir unmittelbar darauf von einer .
nicht geringen Zahl der urtheilfähigsten und ausge-
zeichnetsten Männer, welche natürlich dem gegenwär-
tig an so vielen Orten fast alle Lebensverhältnisse ver-
giftenden Parteitreiben vollkommen fremd sind, nicht
nur die vollständigste Zustimmung zu meinem wissen-
schaftlichen Resultat, sondern namentlich auch die
Überzeugung ausgesprochen wurde, dass eben jener
Nachweis, wenn auch erst nach langer Zeit, doch nicht
ohne Nutzen für die Wissenschaft bleiben werde).
So naiv aber war ich natürlich nicht, dass ich nicht
vorausgesehen hätte, dass ich mir den Zorn und Hass .
aller Derjenigen, deren Interessen dadurch verletzt
wurden, in um so hóherem Grade zuziehen würde, je
zwingender meine Deductionen waren; allein ich konnte
keinen Augenblick daran zweifeln, dass ich mich zum
5) Mit Vergnügen verweise ich in ersterer Beziehung auch auf
die mir so eben zugehende Abhandlung von De Witte: Mon. Gr.
publ. par l'ass. pour l'encour. des ét. gr. Nr. 4. 1875. p. 13 — 22.
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
Besten der Wissenschaft dieser Unannehmlichkeit zu
unterziehen hatte. Ich habe daher auch gegen einen
vor Kurzem erfolgten Angriff, welcher Sachkenntniss
und logische Kraft der Gedanken durch Redewendun-
gen ersetzen zu kónnen hofft, welche gebildeten Krei-
sen unbekannt sind, Nichts zu erinnern, sondern kann
nur meine volle Befriedigung darüber aussprechen,
dass ein solcher Versuch, den durch meine Untersu-
chung der Wissenschaft geleisteten Dienst herabzu-
setzen, genóthigt war, sich auf die Anwendung von
Waffen der eben genannten Art zu beschránken. Um
so leichter wird einer spáteren Generation das Urtheil
werden. Nur das befürchte ich, dass ich dem Un-
ternehmen doch noch eine zu grosse Aufmerksamkeit
erweise, wenn ich hier wenigstens zu allgemeiner Cha-
rakteristik eine der besonders bezeichnenden Stellen
hervorhebe. ; |
Unter Anderem nümlich habe ich in jener Unter-
suchung?) darauf hingewiesen, dass der Ausdruck
«scopulus Mavorlis» bei Ovid’), da es natürlich Nie-
mandem einfallen kann, den Areopag genannten Hügel
auf die Akropolis gestellt zu denken, gar Nichts mit
jenem Hügel zu thun haben kann, sondern offenbar
ausschliesslich «den Verein der Zwölfgötter selbst in
«seiner Eigenschaft als Gericht» bezeichnet. Da ich
jedoch nicht für Gymnasien zu schreiben pflege , so
habe ich es natürlich als ganz überflüssig angesehen,
auch noch die sich aus dieser Erklärung und den bei-
gefügten Belegstellen ganz von selbst ergebende Über-
setzung hinzuzufügen, welche demnach lauten würde:
«Stein des Anstosses für Mars» oder «Klippe für
«Mars», wobei der Dichter natürlich im Sinne hatte,
dass Mars ein Mal vor dem als Gericht versammelten
Verein der Zwölfgötter als Angeklagter hatte erschei-
nen müssen und dass demnach eben dieser Götterver-
ein für ihn zu jener Zeit ganz ebenso ein «scopulus»
d. h. ein Stein des Anstosses, eine gefährliche Klippe
gewesen war, wie L. Cassius für alle vor seinem Tri-
bunal verhandelnden Parteien ein «scopulus» zu sein
pflegte.
Hingegen unterliess ich nicht, in einer für Jeden,
der überhaupt ein Recht hat, über,Dinge dieser Art
6) Compte-rendu de la comm. arch. pour lann. 1872. p. 78.
: 7) Metam. VI, 70
Cecropia Pallas scopulum Mavortis in arce
Pingit et antiquam de terrae nomine litem.
mitzusprechen, vollkommen genügenden Weise drei
Stellen nachzuweisen; welche uns deutlich erken-
nen lassen, wie gewóhnlich die Anwendung des Wor-
tes «scopulus» in eben diesem Sinne war: zunächst
die Worte des Valerius Maximus"), welche uns aus-
drücklich berichten, dass man das Tribunal des L. Cas-
sius allgemein als «scopulus reorum» d.h. als «Stein
«des Anstosses für die vor demselben verhandelnden Par-
«teien» zu bezeichnen pflegte’). Da jedoch hier nicht,
wie bei Ovid, direct die richtende Person selbst, son-
dern in etwas erweiterter Fassung des Gedankens das
Tribunal derselben «scopulus» genannt ist, so fügte
ich auch noch zwei andere Stellen hinzu, in denen die
betreffenden Personen selbst, wenn auch nicht gerade
als Richter, jedoch in wesentlich gleichem Sinn «scopuli»
genannt sind, nämlich eine Stelle des Petronius),
in welcher Pompejus mit Rücksicht auf die Rolle,
welche er im Seeräuber-Krieg spielte, «scopulus pira-
«tarum» d. h. «Stein des Anstosses für die Seerüuber»
genannt ist, und die Worte des Florus"): «nondum
«tamen ad. pacis stabilitatem profecerat Caesar, quum
«scopulus et nodus et mora publicae securitatis superes-
«set Antonius», welche den Antonius als Stein des An-
stosses, als Schlinge und als Hinderniss für die öffent-
liche Sicherheit bezeichnen ?).
In Bezug hierauf also liest man in dem erwähnten
Schriftstück: «Stephani fasst Mavortis scopulum nicht
«etwa als Übersetzung von ‘Aperos Tayos, so dass es die
«Gerichtsstätte mit Richtern, Streitenden u. s. w. be-
8) Exempl. III, 7, 9. «apud L. Cassium Praetorem , cujus tri-
«bunal propter nimiam severitatem scopulus reorum dicebatur.»
9) Reus heisst bekanntlich Jeder, dessen Sache vor Gericht ver-
handelt wird, sowohl der Klàger als auch der Angeklagte, mag er
schliesslich verurtheilt, oder, wie Mars, freigesprochen werden. Cic.:
De orat. II, 43, 183. „Reos autem appello non eos modo, qui arguuntur,
«sed omnes, quorum de re disceptatur.» Festus: De verb. sign. p. 3.
«ed. Müll. „Reus est, qui cum altero litem contestatam habet, sive is
«egit, sive cum eo actum est.» Das Tribunal des L. Cassius war also
für Alle, welche davor zu erscheinen hatten, ein Stein des Anstos-
ses, oder eine gefährliche Klippe, konnte aber natürlich, wie jede
Klippe des Meeres und wie namentlich auch eben das von Valerius
Maximus ausführlich erzählte Beispiel beweist, von den Einen
glücklich umschifft werden, während Andere daran scheiterten.
10) Poet. sat. 123, 240. :
Pompejus) gemino cum consule Magnus
Ille tremor Ponti, saevique repressor Hydaspis
Et piratarum scopulus.
11) Epit. VI, 9. Pa
12) Ich trage hier noch die Worte nach, welche Cicero: Or. in
Pis. 18, 41. in Bezug auf Piso und Gabinius gebraucht: 0 dii im-
«mortales! tune etiam, atque adeo vos, geminae voragines scopurque
«reipublicae, vos meam fortunam deprimitis? » d. h. Strudel und
Steine des Anstosses oder Klippen für die Republik.
Bulletin de l’Académie Impériale
«deutete, was noch angehen könnte, sondern als Über-
«setzung von 1, dy Apelo rayo BouAn, also eine doppelte
«Metapher , erst den Ort für die Menschen , zweitens
«die Menschen für ein Góttergericht. Gedankenlos
«setzt er drei Belegstellen hinzu, in denen scopulus in
«von unserer Stelle völlig verschiedener Verbindung und
«Bedeutung vorkommt, nämlich Val. Max. III, 7, 9. sc.
«reorum und Petron. 123, 240. sc. piratarum ist sc.
«der Fels, an dem Schuldige und Räuber zerschellen,
«Florus cp. 4, 9. sc. reipublicae der felsenfeste
«Grund des Staates. Was von beidem soll der
«scopulus wohl für Mavors sein?»
Jedoch ich komme zu der von Pheidias in der Com-
position, mit weleher er den Westgiebel des Parthenon
schmückte, angewendeten Zusammenziehung von zwei
nicht genau zusammen fallenden Zeit-Momenten, wenn-
gleich hier natürlich nicht im Entferntesten davon die
Rede sein kann, diese in den alten Kunstwerken in
weitestem Umfang hervortretende Eigenthümlichkeit
in irgendwie erschöpfender Weise zu besprechen, da
die Lösung dieser Aufgabe wohl allein ein Gelehrten-
Leben ziemlich auszufüllen geeignet sein dürfte. Denn
es ist eben eine der überaus zahlreichen Formen, in
denen die zwar als Phrase unzählige Male angerufene,
in Wirklichkeit jedoch noch gar nicht verstandene
«ideale Richtung» der alten Kunst zur Erscheinung
gelangt und in scharf markirten Gegensatz zu der
von der realistischen Richtung beherrschten moder-
nen Kunst tritt, dass die zuerst genannte Kunst
es auch in so fern verschmäht, die Wirklichkeit zum
Muster zu nehmen, als sie sich ganz gewöhnlich er-
laubt, mehr oder weniger weit aus einander liegende
Zeit-Momente und, wenn auch wesentlich seltener, selbst
aus einander liegende Orte in Eins zusammenzuziehen.
Man begreift daher leicht, dass in der, wie wir doch
hoffen dürfen, einst zu erwartenden wissenschaft-
lichen Archaeologie, die natürlich ein vollstándiges
Verstándniss der alten Kunstwerke, so lange nicht
wenigstens die wichtigsten von der alten Kunst aner-
kannten Gesetze der Formenlehre und der Syntax
methodisch untersucht und festgestellt sein werden,
für eben so unmöglich halten wird, wie die Philologie
das Verstündniss der alten Dichter ohne eine durch-
gebildete sprachliche Formenlehre und Syntax ©), die
13) Vergleiche Compte-rendu de la commiss. arch. pour l'ann. 1863.
p. 15
Lehre von dem Zusammenziehen aus einander liegen-
der Zeiten und Orte eine hervorragende Stelle ein-
nehmen wird. Gegenwártig kann ich nur auf einen
kleinen Anfang zur Behandlung dieser überaus um-
fassenden Frage verweisen, den ich vor Kurzem ge-
macht habe, indem ich eine einzelne Classe der Bild-
werke, in denen Nike in proleptischem Sinn auftritt'^),
so wie einige andere näher erörtert habe, in denen
nicht nur aus einander liegende Zeiten, sondern auch
Orte in ein Bild zusammengefasst sind ©). Auch wird
die Verwendung der Sieges- Taenie in proleptischem `
Sinn, welcher sich zuweilen geradezu zu einem pro-
phetischen verstürkt, in einem neuen Compte - rendu,
welcher seiner Vollendung nahe ist, bald zu náherer
Erörterung gelangen. Hier muss ich mich begnügen,
vorlàufig nur einige Kunstwerke in Erinnerung zu
bringen, welche der einst im Westgiebel des Parthenon
vorhandenen Composition in Bezug auf den Inhalt der
Handlung, deren aus einander liegende Zeit-Momente
in einen zusammengezogen sind, besonders nahe stehen.
Vor Allem erinnere ich also, wie schon Schulze'”)
gethan hat, an die allbekannte Selinuntische Metope,
welche den Moment darstellt, in dem Perseus das
Schwert eben erst an die Kehle der Meduse setzt.
Dennoch sieht man den kleinen Pegasos, welcher der
Sage gemáss erst, nachdem der Kopf der Meduse vom
Rumpfe getrennt war, aus dem letzteren hervorge-
sprungen sein sollte, nicht nur bereits in voller Ge-
stalt gegenwürtig, sondern sogar mit den Hinterbeinen
neben seiner Mutter auf dem Erdboden stehend, wäh-
rend diese seinen Vordertheil mit den Armen um-
schlingt, so dass zugleich der pragmatische Zusam-
menhang der einzelnen Elemente der Composition we-
sentlich verdunkelt ist.
Noch näher steht der Composition des Pheidias ein
Vasengemülde mit rothen Figuren, welches uns Aeas
in dem Moment vorführt, in welchem er seinem Leben
durch Selbstmord ein Ende zu machen beschlossen
hat"). Noch steht er, das Haupt schwermüthig sen-
14) Compte-rendu de la comm. arch. pour l'ann. 1873. p. 188—
227. 251. So eben hat auch G. Kieseritzky in seiner zu den besten
Hoffnungen berechtigenden Promotions-Schrift: Nike in der Vasen-
malerei, 1876. die proleptische Bedeutung der Nike in einer Reihe `
von Vasengemälden richtig erkannt.
15) Compte-rendu de la comm. arch. pour l'ann. 1873. p. 119. 136.
Vergleighe auch meine Abhandlung: Der ausruhende Herakles p. 24.
16) Russische Revue Th. VI. 1875. p. 504.
17) Compte-rendu de la comm. arch. pour l'ann. 1861. p. 139.
rM
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
114
kend, in ruhiger Haltung und hált in der einen Hand
eine Lanze, in der anderen das zwar aus der Scheide
gezogene, jedoch noch gar nicht zur Anwendung ge-
brachte Schwert, wihrend Tekmessa noch bemüht ist,
ihn durch Mun dichos Zureden von seinem Entschluss
abzubringen. Dennoch. ist die Blume, welche erst
nach seinem Tode aus seinem Blute entspriessen soll,
bereits neben ihm vorhanden und sogar schon mit der
Inschrift seines Namens ausgestattet.
Sehr ähnlich verhält es sich mit der an einem schö-
nen Silbergefáss der kaiserlichen Ermitage!5) ange-
brachten Darstellung der Daphne - Sage, welche wir
sonst von der Kunst in der Regel ebenso, wie die
Aktaeon- und die Kyparissos-Sage, die Sagen von der
Verwandlung der Gefáhrten des Odysseus, sowie der
Seeráuber u.s. w., mit Beobachtung der Einheit der
Zeit behandelt finden, indem Momente zur Darstellung
gewählt sind, in welchen die Verwandlung des mensch-
lichen Kórpers in andere Formen eben vor sich geht,
so dass Theile von beiden Formen zu sehen sind. Jenes
Silbergefáss jedoch zeigt uns Daphne vielmehr noch
in vollstándig menschlicher Gestalt und deutet die be-
vorstehende Verwandlung nur dadurch an, dass sowohl
Apollon als auch die der Scene beiwohnende Quell-
Nymphe grosse Zweige des Lorbeerbaums in den
Hánden halten; weleher erst durch Verwandlung der
Daphne entstehen soll 171.
Amwichtigsten und merkwürdigsten aber sind die uns
in so überaus grosser Zahl erhaltenen Darstellungen der
Sage von dem Ringkampf des Peleus und der Thetis ??),
von denen nicht wenige aus der Zeit der höchsten Blüthe
der alten Kunst stammen und mit vollendeter Meister-
schaft ausgeführt sind. Denn bekanntlich sollte sich
18) Ant. du Bosphore Cimm. Pl. 39.
19) Genau dasselbe findet in einem etwas verwischten Wandge-
málde Statt, welches die Kyparissos-Sage darstellt (Helbig: Wand-
gem. No. 219.), wenn da Kyparissos, wie es sehr wahrscheinlich ist
ursprünglich einen Cypressen-Zweig in der Hand hielt. Hingegen
kann in drei Wandgemálden, welche die Daphne-Sage darstellen
(Helbig: Wandgemálde No. 206. 208. 209.), der beigegebene voll-
stándige und áusserlich in keine Beziehung zu Daphne gesetzte
dem Apoll überhaupt pp
>
«LR RE
zwei entschieden getrennte Momente zur Anschauung, indem da die
Füsse der Daphne sich eben in den allerdings bereits vollständig
vorhandenen Lorbeerbaum pme
20) Compte-rendu de la c arch. pour l’ann. 1867. p. 8. 25.
29. 209. 1869. p. 181. Mit der nue noch anderer, inzwischen
bekannt gewordener Bilder derselben Art will ich mich hier nicht
aufhalten.
Tome XXII.
Thetis bei dieser Gelegenheit in verschiedene gewalt-
thätige Thiere so wie in Feuer und Wasser verwandelt
haben, und wenn auch der kurze dichterische Ausdruck
ein paar Mal die Entstehung dieser Thiere durch Ver-
wandlung nicht besonders betont, so ist doch dieser
Glaube übrigens so vielfach und in so nachdrücklicher
Weise bezeugt, dass man allgemein und mit vollstem
Recht auch jene abgekürzten dichterischen Erwähnun-
gen, so wie alle Kunstdarstellungen in eben diesem
Sinn aufgefasst hat. Hieraus aber ergiebt sich auf den
ersten Blick, dass von denjenigen der erwähnten Bil-
der, welche die Verwandlungen überhaupt mit berück-
sichtigen, nur einige wenige der ältesten Vasengemälde
mit schwarzen Figuren”) die Einheit der Zeit fest-
halten, indem sie den Moment des Übergangs des
menschlichen Körpers der Thetis in den eines Löwen
dadurch darstellen, dass man einen Löwenkopf aus
einer ihrer Schultern hervorwachsen sieht. Alle übri-
gen in so ausserordentlich grosser Zahl vorhandenen
Bilder der in Rede stehenden Art hingegen ziehen
zwei, drei und selbst noch mehrere vollkommen scharf
von einander getrennte Zeit-Momente in einen zusam-
men, indem sie neben dem vollständig menschlichen
Körper der Thetis vollständige Löwen oder Panther,
vollständige Schlangen oder Drachen und selbst beide
Arten von Thieren gleichzeitig, als ob es ganz selbst-
ständige und von einander völlig unabhändige Wesen
wären, dem Beschauer in eine Scene zusammengefasst
vorführen, obgleich diese verschiedenen Wesen in die-
ser Vollständigkeit doch nur in mehreren auf einander
folgenden und scharf von einander getrennten Zeit-
Momenten sichtbar sein können, nachdem der Körper
der Thetis eben eine dieser Formen angenommen hat.
Ich denke, dies wird vorläufig zur Rechtfertigung
des Pheidias genügen, wenngleich es sich von selbst
versteht, dass das hier Bemerkte eben nur als ein
kleiner Anfang zur Würdigung dieser besonderen Art
von Prolepsis angesehen werden darf.
. Ich wende mich also der Rechtfertigung der Lesart
«ferum» in der berühmten Stelle Ovid's”) zu, indem
21) Siehe Hawkins: Vases gr. of the brit. Mus. Nr. 509.;
Roulez: Choix de peint. de vas. Pl. 12.; Catal. del Mus. Cam-
pana IV, 326
22) Metam. VI, 75.
Stare deum pelagi longoque ferire tridente
Aspera saxa facit medioque e vulnere saxi
Exiluisse ferum. ;
115
Bulletin de l'Académie Impériale
116
ich jedoch die sich aus der Vergleichung der Kunst-
werke ergebenden Beweise hier ganz unberücksichtigt
lasse, und verweise vor Allem in Betreff der diploma-
tischen Beglaubigung auf die verdienstvolle und allge-
mein anerkannte Ausgabe von Merkel, die nicht nur
die einzige ist, welche in Übereinstimmung mit den
gegenwürtig von Niemandem mehr bestrittenen Ge-
setzen der Kritik bearbeitet ist, sondern auch genaue
Auskunft über den Werth der überhaupt zur Kritik
verwendbaren Handschriften der Metamorphosen giebt.
Denn eben auf dieser Grundlage hat diegenannte Aus-
gabe endlich das lange Zeit hindurch von anderen unkri-
tischen Ausgaben verschmähte «ferum» wieder in sein
Recht eingesetzt und in den Text aufgenommen, da es
nur in wenigen der spátesten und werthlosesten Hand-
schriften durch eine sinnlose Conjectur ersetzt ist. Dazu
kommt jedoch noch, dass wir die Lesart «ferum» mit
vollkommener Sicherheit bis in das vierte Jahrhun-
dert n. Chr. zurück als in den Handschriften der Me-
tamorphosen vorhanden nachweisen können, da Ser-
vius”), der sogenannte Lactantius?) und die Vati-
eanisehen Mythographen”) nicht nur überhaupt noto-
risch ihr meistes mythologisches Wissen aus Ovid ge-
schópft haben, sondern namentlich auch von diesem
Pferd auf gar keinem anderen Wege, als aus der in
Rede stehenden Stelle Ovid's, Kenntniss erlangt ha-
ben konnten. Wenn daher Probus*), obgleich er
übrigens ebenfalls aus Ovid schópfte, doch das Pferd
durch die allgemein bekannte Salzquelle der Volkssage
ersetzt hat, so folgt natürlich für Jeden, dessen Lo-
gik noch nicht vóllig Schiffbruch gelitten hat, daraus
nicht im Entferntesten, dass in der von diesem Gram-
matiker benutzten Handschrift statt «ferwm» ein an-
deres Wort gestanden habe, sondern nur, dass er in
diesem Wort einen Irrthum O vid's sah, den er, da es
ihm ja gar nicht darauf ankam, anzugeben, was dieser
Dichter gesagt habe, durch die ihm auf hundert an-
deren Wegen zugängliche Überlieferung der Volkssage
verbessern zu müssen glaubte.
Man kann also nur fragen, ob etwa der nach den
x 23) Congue -rendu de la comm. arch. pour l'ann. 1872. p. 72.
o. 57 —
24) Compte- -rendu de la comm. arch. pour Pann. 1872. p. 72.
No. 52.
25) Compte-rendu de la.comm. arch. pour lann. 1872. p. 73.
No. 62
26) Compte-rendu de la comm, arch. pour Tam, 1872. p. 73. |
No. 61.
Gesetzen der diplomatischen Kritik allein zulässigen
Lesart «ferum», nachdem von mir das ihr entgegen-
stehende mythologische Bedenken, welches allein im
späten Mittelalter die Conjeetur «fretum» veranlasst
hat, vollständig beseitigt worden ist, doch ausserdem
noch ein sprachliches Bedenken im Wege stehe, und
ob, wenn dies wirklich der Fall sein sollte, es über-
haupt für möglich gehalten werden könnte, dass jene
Conjectur der spätesten Abschreiber das treffe, was
Ovid geschrieben hatte.
Zur Beantwortung der ersteren Frage würde es viel-
leicht ausreichen, daraufhi eisen, dass bisher über-
haupt Niemand ein sprachliches Bedenken gegen
«ferum» gehabt hatte, und dass wir sogar die Äusse-
rung Bentley's”), jenes Heros philologischer Kritik,
von dem man zu behaupten pflegt, dass er einige
Kenntniss vom Sprachgebrauch der römischen Dichter
gehabt habe, besitzen: «Quippe alia plane fabulae
«hujus RER apud Romanos praesertim, invaluit,
«non fontem scilicet, sed equum prosiluisse, cum Nep-
«tunus terram percuteret; unde Ovidius: Met. VI, 75.
« Stare deum pelagi longoque ferire tridente
«Aspera saxa facit medioque e vulnere saxi
« Exsiluisse ferum».
Denn in der That entsteht schon hierdurch der Ver-
dacht, dass das erst jetzt so plótzlich aufgetauchte
sprachliche Bedenken nur zu dem Zweck erfunden
worden sei, um die von der Scholastik erlittene Nie-
derlage in ein etwas milderes Licht zu versetzen. Al-
lein ich will um der guten Sache willen selbst hier ein
Übriges thun und erinnere daher zunüchst daran, dass
Cicero?) däs Pferd im Allgemeinen, nicht etwa nur
das im strengsten Sinn wilde, zum Verkehr mit dem
Menschen gar nicht geeignete Pferd”), zu den «ferae»
rechnet, und dass Horaz?) und Prudentius?) dem
27) Horat.: Od. I, 7
28) De offic. I, 16, 50. pose ulla re longius absumus a natura
« ferarum, in quibus inesse fortitudinem saepe dicimus, ut in equis,
«in leonibus ; justitiam, —€ bonitatem non dicimus; sunt enim
«rationis et orationis expertes.)
29) Plin.: Hist. nat. XXVII, 159. «De equiferis non scripserunt
« Graeci, quoniam terrae illae
«nia eadem quam in equis intellegi debent.» Plin.: Hist. nat. VIII, 39.
« panis fert et equorum greges ferorum, sicut asinorum Asia
« Africa.»
30) Sat. I, 5, ss
Ab his majoribus ort
m venere; Austen ënger: equi te
Ess qe Pen
31) Peristeph. XI, 87.
P
d
Se,
n7
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
us
Pferd in demselben Sinn das Beiwort: «ferus» geben. |
Ferner ist in Erinnerung zu bringen, dass die rú-
mischen Dichter gewisse Thiere, denen sie einen grós-
seren oder geringeren Grad von «feritas» zuschreiben
wollten und bei deren Nennung man in überwiegender
Weise das männliche Geschlecht zu berücksichtigen
pflegte, auch substantivisch «feri» nannten, z. B. den |
Löwen ?), den Eber ®), die Schlange**), den Hirsch *),
ja Ovid?) selbst die Rinderherde des Geryon, und
dass zu diesen Thieren vor allen anderen das Pferd
gehórte, wie uns ausser Ovid auch Virgil”), Petro-
nius *), Ausonius *), Prudentius #) und Arno-
bius) lehren.
Ergo sit Hippolytus , quatiat turbetque jugales
Intereatque ye dilaceratus equis.
32) Phaedrus: Fab. I std
ut vidit ferum
- Impune laedi, pe frontem extudit.
33) Phaedrus: Fab. IV, 4
Hinc orta lis est. Sonipes iratus fero
Ait petiit e quem dorso levans
ad hostem.
ien VI, 267.
mitata cohors certatim spicula dex dex
peperit alternasque ferum diducit in >
Donec murali ballista coercuit ictu.
35) Virg.: Aen, VII, 487.
suetum imperiis soror omni ege cura
Molins intexens ornabat corn
atque Pia puroque in Fonte lavabat.
Tab L1
Redit
34) Sil. doch?
Pecte
Phaedrus:
ug tum excepit adag
In qua retentis inpeditus corn
Lacerari coepit morsibus saevis canum.
36) Fast. I, 550.
Traxerat aversos Cacus in antra feros. `
Tine Preller: Griech. Myth. Th. II. p. 202— -216.
37) , 50
Sic fatus, validis ingentem vi viribus hasta
In latus, inque feri curvam conpagibus shop
Contorsit.
Aen. V, 817.
Jungit equos auro genitor spumantiaque addit
Frena feris manibusque omnis effundit habenas.
Aen. XI, 571.
Armentalis equae mammis et lacte ferino
utribat.
Ovid: Fast. III, 53. nennt 2e Milch der Wólfin «lac ferinum ».
38) Satyr. 89, 12. hoc titulus fer
Intus, haec ad fata compositus Sinon
Firmabat et mendacium in damnum potens.
39) Epist. ter 16.
Hoc tam mite jugum docili cervice subirent
posue equi stabuloque feri Diomedis abacti,
Et qui mutatis ignoti Solis habenis
a Pado mersere jugales.
Th. IL p
Weiteres über diese Rosse siehe bei Preller: Griech. Myth. |
. 2
Endlich wird es nicht überflüssig sein, darauf hin-
zuweisen, dass die lateinischen Dichter ganz gewóhn-
lich nicht nur andere Halbthiere, sondern namentlich
auch Cheiron *) und die übrigen Kentauren *) bald in
substantivischer bald in adjectivischer Bedeutung «se-
«miferi» zu nennen pflegten. `
Natürlich kann die Berechtigung der an den einzel-
nen eben angeführten Stellen in den Text der aner-
kannt besten Ausgaben aufgenommenen Lesarten hier
nicht nüher beleuchtet werden und dies würde auch
um so überflüssiger sein, da auf jeden Fall so viel
ausser Zweifel steht, dass dabei nicht etwa eine Vor-
liebe für meineWiederherstellung der Parthenon-Sculp-
turen mit im Spiel gewesen sein kann. Worin aber
soll nun wohl diesen Zeugnissen gegenüber das sprach-
liche Bedenken bestehen, welches der Lesart «ferum»
an der in Rede stehenden Stelle Ovid's im Wege
stehen kónnte? Doch nicht etwa darin, dass der rein
substantivische Gebrauch des Wortes «ferus» in Be-
zug auf verschiedene Thiere und namentlich auch auf
das Pferd nicht hinreichend bezeugt sei? In der Stelle
des Arnobius ist ganz eben so, wie bei Ovid, vorher
E AS — satis instruxere paratu
Martyri paenam age vincla, feros,
en subitis clamoribus at
Iliaque infestis perfodiunt sinl,
41) Adv. gent. TY, 26. «Numquid senex Saturnus jam dudum
«obsitus canis atque annorum vetustate jam frigidus nostris carmi-
«nibus indicatur ab uzxore in adulterio comprehensus induisse
«feri et sub pecoris specie hinnitibus evolavisse jactatis?» Auch mé
"wird der fragliche Ausdruck wohl aus den Gedichten entlehnt se
deren Arnobius gedenkt, Über das hier in Rede stehende Pferd
siehe Apoll. Rhod.: Argon. II, 1231—1241. nebst dem Schol.,
Hygin: Fab. 138. und Phylarg. ad Virg.: Georg. III, 93.
42) Ovid: Metam. II, 633.
Semifer interea, divinae stirpis alumno
aetus mixtoque oneri gaudebat honore.
Claudian: De III. consul. imc 60.
non ocius hausit Achilles
Semiferi praecepta senis seu cuspidis artes.
43) Ovid: Metam. XII, 405
Abstulit Hylonome, qua nulla decentior inter
Semiferos ut E femina siwis
Seneca: poc Oet. 9
ö Nesse filas atque semiferi doli!
Seneca: tiet Oet. 1
Cruore te pe palla semiferi, ee
Ne u. nunc has exigit poenas sibi
Stat.: Theb. IX, 22
Semifer aeria p Centaurus ab Ossa
Desilit in valles, ipsum nemora alta tremiscunt,
Campus equum. ; ;
Lucan: Pharsal. VI, 3
Illic semi
01.
40) Peristoph. XI, 105.
ifero os Ixionidas Centa
Foeta Pethroniis nubes qi à in Réide
8*
119 : Bulletin de
l'Académie Empériale
mit keiner Sylbe von einem Pferd, auf welches «ferus»
als Adjectiv zurückbezogen werden kónnte, die Rede
gewesen. In der Stelle der Ausonius, welche von
den Pferden des Diomedes spricht, so wie in den Wor-
ten Ovid's, welche sich auf die Rinder des Geryon be-
ziehen, ist die rein substantivische Bedeutung von « fe-
«rus» dadurch vollkommen sicher gestellt, dass ihm je
ein Participium subordinirt ist; in der einen Stelle
des Prudentius dadurch, dass «ferus» anderen, aus-
schliesslich substantivisch gebrauchten Worten coor-
dinirt ist; in den meisten der angeführten Stellen endlich
auch dadurch, dass die vorhergehende nähere Bezeich-
nung des Thieres, von welchem die Rede ist, durch so
viele andere Substantiva und selbst ganze Sátze von
dem Wort «ferus» getrennt ist, dass eine grammatische
Beziehung desselben als Adjectiv zu jenem Substantiv
. gar nicht müglich ist.
Oder soll etwa die Schwierigkeit darin liegen, dass,
da das Substantiv «ferus» nicht nur zur Bezeichnung
des Pferds, sondern auch vieler anderen Thiere ge-
braucht wurde, Ovid dem Leser nicht deutlich genug
ausgesprochen habe, was er gerade hier zu denken habe?
Kennt denn nicht jeder Schulknabe, um von der Stelle
des Arnobius zu schweigen, Dutzende von vollkom-
men entsprechenden Redewendungen der Dichter und
namentlich auch die Worte, mit denen O vid selbst die
dritte Elegie des vierten Buchs der Tristien beginnt:
Magna minorque ferae, quarum regis altera Grajas,
Altera Sidonias, utraque sicca, rates!
ohne den Leser auch nur nachtrüglich irgendwie dar-
über aufzukláren, dass die «ferae», von denen er spricht,
gerade dem Bärengeschlecht angehören? Ja, hier mu-
thet der Dichter dem Leser sogar noch mehr zu, als
an der in Rede stehenden Stelle durch das einfache
«ferum». Denn wenn er auch da die Form «ferae»,
nicht «feri», nicht nur des Metrum's wegen, sondern
auch darum angewendet haben mag, weil es sich um
weibliche Báren handelt, so kann doch der Leser dies
aus seinem Ausdruck nicht ersehen, da auch jedes
männliche Wild «fera» genannt wurde. Ausserdem aber
verlieh die alte Astronomie bekanntlich dem Himmels-
gewülbe ausser der grossen und der kleinen Bárin auch
ein grosses und ein kleines Pferd, so wie einen gros-
sen und einen kleinen Hund, während die alte Mytho-
logie ausser dem Pferd kein zweites Thier kannte,
| druck xõpa Ness in den a
welches Poseidon durch einen Schlag seines Dreizacks
einem Felsen entlockt haben sollte.
Übrigens verhàlt es sich mit hundert anderen Ad-
jectiven ganz eben so, wie mit «ferus», ohne dass ir-
gend Jemand den geringsten Anstoss daran genommen
hätte. Allein eben darin besteht einer der Grundfehler
der W elcker-Jahn'schen Methode, dass sie nie wirklich
objectiv, sondern stets mehr oder weniger tendenziós zu
Werke geht, indem sie sich, von Rücksichten verschie-
dener Art geleitet, im Voraus ein Ziel festsetzt, wel-
ches sie selbst dadurch zu erreichen sucht, dass sie
dieselben Gesetze, die sie selbst sonst als vollgültig
anzuerkennen pflegt, je nach Bedürfniss auch wieder
als ungültig oder doch unsicher darzustellen sich be-
üht.
Somit bleibt nur noch übrig, auch zu zeigen, dass,
selbst wenn gegen «ferum» an der in Rede stehenden
Stelle Ovid's irgend ein Bedenken erhoben werden
kónnte, wenigstens die mittelalterliche Conjectur « fre-
«tum» völlig sinnlos sein würde und niemals das treffen
kónnte, was Ovid geschrieben hatte. Hierbei aber
muss ich vor Allem mein lebhaftes Bedauern darüber
aussprechen, dass selbst mein verehrter Lehrer M.
Haupt sich zu dem Glauben hat verleiten lassen,
jene Conjectur in seiner Schulausgabe der Meta-
morphosen dadurch rechtfertigen zu kónnen, dass die
Griechen die Salzquelle auf der Akropolis in Athen
auch SaAacca zu nennen pflegten ^). Denn diese Be-
E
| nennung war doch, wie auch schon von Ross 55) ganz
richtig hervorgehoben worden ist, nur dadurch móg-
lich, dass SaXacca nicht nur das Meer, sondern ganz
gewühnlich auch das Meerwasser oder Salzwasser be-
deutete “).
44) Siehe Compte-rendu de la comm. arch. pour l'ann. 1872.
p. 64. No. 1. p. 65. No. 7. p. 67. No. 25. Der Ausdruck 08«p Jalas-
otov bezeichnet die Quelle in der im Compte - rendu de la comm.
arch. pour l'ann. 1872. p. 66. ld 12. d Stelle; der Aus-
4. No. 4. und p. 66. 6. No. 14.
nachgewiesenen Stellen, und das coito Wort s geg in den Erwáh-
nungen der Alten, welche a. a. O. p. 67. No. 18. 19. 20. 23. 24. und
p. 131. Note 1. zusammengestellt sind.
45) Archaeol. Aufs. Th.
46) Eurip.: Iphig. Te) 1191.
I. &yvotc xadapyots para yty "ider KOR
e. Aya VO Ty 7 Jahacota 8pó09;
I. $4Aa0ca xAofet tavta DEEN XARA.
mern Tzetzes ad Lycophr. 135.
Polyb.: Hist. XVI, 5, 4. &v $ xata Ocopthioxo:, Bonsnoas pera
MID ho Head T^» pé» vady oO Adv osoa, OL To ninoy Ja-
MATTNG eiva
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
In derselben Bedeutung gebrauchten bekanntlich
die Römer das Wort «mare» *'), niemals aber, so weit
wir sehen kónnen, das Wort «fretum» oder «fretus». Ja
esist geradezu unglaublich, dass auch dieses Wort jemals
jene Bedeutung habe annehmen können. Denn seine
Grundbedeutung ist bekanntlich die «der Meerenge»,
die sich dann auch in die «des Meeres» erweiterte, und
allen metaphorischen Anwendungen von «frétum» oder
«fretus» liegt entweder der eine oder der andere Begriff
zu Grunde, indem man dabei entweder von der weiten
Ausdehnung des Meeres*), oder von der Vorstellung
des durch eine Meerenge vermittelten Übergangs aus
einem Meer in das andere ausging und das Wort auf
den Übergang aus einem Lebensalter, aus einer Zeit,
aus einem Zustand in den anderen übertrug “).
Wenn aber die Griechen die Quelle der Akropolis
zuweilen auch als x3p« bezeichneten, so betonten sie
dadureh nur die Bewegung, das Fliessen ihres Was-
The : De caus. plant. VI, 7, 6. xa droxaSioracÿat Ta:
abe ib sde: oravias di sal polos Stay 7 SaAattoS 1, 7
émi tfj; rou d oTQoU EAM TAPAXYNON.
Theophr, Fragm. 17 1. ed. Wimm. SECH OOE 6 ëeioe xal
‚Erep para, púas: p. Dën SCH are xà xal ën. Sahara | SExopEva
xat avapvoðvta mpóg THY 1pelon, gu AUPITEP& Too Try TOU KA QUE
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Athen. I, 31, F. mept ds KA 109 dySocuíou otvou oxevacías Da-
vías O "Epéctóc pot rade: ena rapayeirar émi LOS TEVTNXOVTE eig
Sahacons, xat yivetar aySocu
At . I, 32, D. ot 9” EH ‘reSahatrwuévor olvor axpaire-
Aot té elot xal xo Auouatv.
n. I, 82, E. Denge de xai ô Kog (oívos) tedaAdrrurat. xo
o “Podros ai Udtrovos pes XEXOLVOVNXE Salaconc, ó ó de aide auto
aypeios dor:
: Athen. 1,121, D. 59
pos yivetat.
Hesych.: Alyatoıs 3aAaccóv meprayvifouarv ER xa dato).
ex. Bee ENópLEv e Tapıyog YAUXUTE-
Plin.: n aliis autem gentibus simili modo
«factum» (vinum) « rel vocant, thalasiten autem vasis
«musti dejectis in mare»
r.: Sat. II, 8,1
a vina A Alcon Chium maris Art
Dazu bemerkt der Scholiast: «id est sine aqua m
Plin.: Hist. nat. XIV, 73. «Nune gratia nio omnia est Clazo-
«mento, postquam din mari condiunt. Lesbium sponte naturae
«suae mare sapit. »
Plin.: Hist. nat. XIV, 75. «nam Mesogiten capitis dolores ps
«conpertum est nec Ephesium salubre esse, quoniam mari et defrut
«condiatur ».
Plin.: Hist. nat. XIV, 120. cederet argilla aut marmore aut
«sole aut mari lenitatem » (vini) « ex
Hist. t XXXI, 68. (enen et en vocant thalas-
«someli aequis port
p Ennius bei "Non. 205, 29.
49) Cic.: Verr. II, 5, 66, 169. Lucret.: De e IV, 1027. VI,
364. Florus: Epit. T, 26. Gellius: Noct. Att. X, 3
sers, was wiederum im Lateinischen nicht durch «fre- `
«tum», sondern nur durch «unda» hätte wiedergegeben
werden können. Hätte also Ovid wirklich «fretum» ge-
schrieben, so würde er damit nur haben sagen kón-
nen, dass Athena in ihrem Gewebe Poseidon dar-
gestellt hatte, wie er durch einen Schlag seines Drei-
zacks bewirkte, dass eine Meerenge oder ein Meer aus
einer Felsspalte hervorsprang, was doch wohl nicht
ganz wahrscheinlich sein dürfte.
Die Lesart «ferum» also hat an der in Rede ste-
henden Stelle Ovid’s die vollständigste Gewissheit für
sich, welche überhaupt einem Wort eines alten Schrift-
stellers zukommen kann, und dieselbe unbedingte Ge-
wissheit wird durch das Zusammentreffen dieser Lesart
mit dem, was uns die erhaltenen Fragmente von den
Sculpturen des Westgiebels des Parthenon, die Zeich-
nungen Carrey's und das von mir veróffentlichte Va-
sengemälde lehren, auch dem in diesem Giebel ehe-
mals dem Poseidon beigegebenen Pferde zu Theil.
Dem Sturmlaufe der aus süsser Selbstzufriedenheit
aufgestórten Gegner aber wird auch dieses Pferd den-
selben ruhigen Widerstand entgegenzusetzen wissen,
durch welchen der von mir vor 34 Jahren entdeckte
Ölbaum den Bannstrahl Herrn Welcker's bereits
überwunden hat.
Es wird sich ja Niemand darüber wundern, dass
sich die, welche sich seit so langen Jahren vergeblich
um die Lósung einer Frage ersten Rangs bemüht ha-
ben, wenn ihnen gezeigt wird, dass alle dazu nóthigen
Hülfsmittel fast seit einem Jahrhundert vorhanden
waren und dass nur ihre eigene, von ihnen selbst so
oft und so laut als Stein der Weisen angepriesene Me-
thode die Lósung verhindert hat, nicht besonders hier-
über freuen. Allein anderer Seits scheint mir doch
auch, dass sie, wenn sie der nun gewonnenen Lósung
gar noch künstliche, in Wirklichkeit gar nicht vorhan-
dene Schwierigkeiten in den Weg zu legen suchen,
dadurch ihre Stellung in den Augen der unparteiischen
Nachwelt nicht eben verbessern werden. In dieser
Weise aufgewirbelter Staub pflegt keine dauerhafte
? | Deckung zu gewähren. Bisher hat noch immer schliess-
lich die Wahrheit den Sieg davon getragen. |
Bulletin de l'Académie Imperiale
124
Indische Erzáhlungen. Von A. Schiefner. (Lu le 27
avril 1876.) IV
Der stumme Krippel.
Benfey hat in seiner leider ohne Fortsetzung blei-
benden Zeitschrift Orient und Occident, imdritten Jahr-
gang auf Seite177, als nächste Grundlage der «sieben
weisen Meister» die zuerst von Burnouf, Introduc-
tion à l'histoire du Buddhisme indien S. 406 aus dem
Avadána-cataka mitgetheilte Erzáhlung vom Prinzen
Kunála angesehen und besonderes Gewicht darauf ge-
legt, dass die Stiefmutter Tishjarakshità sich die Gunst
auserbeten hatte, sieben Tage lang die Herrschaft
ausüben zu dürfen. Es dürfte jedoch von Interesse
sein, ebenfalls aus buddhistischer Quelle, aus dem
sechsten Bande des Kandjur Blatt 89— 99, eine Er-
zühlung zu vergleichen, die zwar nichts von den sie-
ben Tagen und den sieben weisen Meistern darbietet,
allein auf eine weit einfachere Weise das Schweigen
des Prinzen motivirt. _
In längst vergangener Zeit lebte in der Stadt Várá-
nasi der Kónig Brahmadatta. Seine Gattin hiess Brah-
mavati und denselben Namen trug auch ein Teich.
Der Kónig war aber kinderlos und sehnte sich nach
einem Sohne. Deshalb flehte er zu den Góttern der
verschiedensten Art. Endlich wird sein Flehen erhört
und es bezieht aus der Hólle ausscheidend ein Wesen
von festem Entschlusse den Mutterleib der Kónigin.
Auf ihren Wunsch lüsst der Kónig an allen Thoren
der Stadt Gaben spenden; ferner musste er mit ihr in
den Büsserwald ziehen, drittens mit ihr ein Schiff be-
steigen, das in dem obengenannten Teiche auf ihren
Wunsch erbaut war. Dort gebarsie einen schónen Kna-
ben, der mit Erinnerung an seine früheren Existenzen
begabt war. Weil er auf dem Wasser geboren war, wurde
ihm der Name Dshaladsha D (Wassergeboren) gegeben.
Als er unter der Pflege der Ammen und Wärterinnen
- schnell heranwuchs, [9 bedachte er, dass, wenn er in die
Herrschaft eingesetzt würde, dies nicht gutwáre, weil er
durch eine sechszigjährige Herrschaft, welche er frü-
her ausgeübt hatte, in der Hólle wiedergeboren war
und nun Gefahr laufe, wiederum in die Hölle zu gera-
then. Er beschloss also sich durch eine List der Herr-
1) E
schaft zu entziehen, und stellte sich als Krüppel. Als
die mit ihm gleichzeitig geborenen 500 Ministersóhne,
die seine Gespielen waren, Sprung- und Laufübungen
vornahmen, bedachte Kónig Brahmadatta, dass sein
Sohn, wenn er kein Krüppel wáre, an denselben Theil
nehmen kónnte. Dennoch beschloss er, obwohl er ein
Krüppel war, ihn in die Herrschaft einzusetzen. Als
der Prinz Dshaladsha dies hórte, fand er es von sei-
nem Vater sehr unfreundlich, dass er ihn so schádige
[91*] und beschloss sich stumm zu stellen. Da wurde
er allgemein der stumme Krüppel genannt. Der Vater
gerieth, als er die 500 Ministersöhne sprechen hörte,
sein Sohn aber stumm blieb, in grosse Sorge. Als die
Minister ihn so in Sorgen sahen, erklärte er ihnen,
dass es die Stummheit seines Sohnes sei, die ihn be-
unruhige. Die Minister befragten den Arzt und dieser
erklärte, dass der Prinz völlig gesund sei und durch-
aus kein Leiden habe, dass man durch Drohung auf
ihn wirken müsse. Der König Brahmadatta liess die
Henker herbeirufen und gab ihnen im Geheimen die
Weisung, den Prinzen, obwohl er ihnen denselben in
Gegenwart einer grossen Menschenmenge überliefern
würde, dennoch nicht zu tödten. Dem Befehl des Kö-
nies gemäss setzten die Henker den Prinzen auf den
Wagen und führten ihn zur Stadt hinaus. Als der.
Prinz [92] den Reichthum und die Ausdehnung Várá-
nasi’s gesehen hatte, fragte er: «Ist diese Stadt Várá-
nasi leer oder ist. sie bewohnt?» Die Henker führten
den Prinzen zum Vater zurück und meldeten ihm die
von ihm ausgesprochenen Worte. Kónig Brahmadatta
schloss den Sohn in seine Arme und fragte ihn: «O
Jüngling, wen soll man tódten? Wen soll man tódten
lassen? Wem soll das Leben genommen werden? Wem
soll man eine Gabe und welche verleihen?» Auf diese
Fragen gab der Sohn keine Antwort und verharrte in
der Stummheit. Der König Brahmadatta sprach wie-
derum zu den Henkern: «Ich überliefere euch diesen .
Prinzen, ihr aber führet ihn fort!» Die Henker setzten
ihn, dem Befehl des Kónigs gemáss, wiederum auf den
Wagen und führten ihn zur Stadt hinaus. Der Prinz
sah vier Männer einen Leichnam tragen und fragte:
«Ist dieser Leichnam der Leichnam eines Todten oder
eines Lebenden?» Wiederum führten die Henker den
Prinzen zum Vater zurück und meldeten die von ihm
gesprochenen Worte. Der Kónig Brahmadatta schloss
den Sohn in seine Arme und fragte wie früher, allein
125
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
wiederum antwortete der Sohn nicht und verharrte
bei seinem Schweigen. Abermals hiess der Kónig die
Henker den Prinzen abführen. Als sie ihn auf den Wa-
gen gesetzt und ihn zur Stadt hinausgeführt hatten,
erblickte der Prinz einen grossen Getreidehaufen, und
sagte: «Würde dieser Getreidehaufen nicht von Anfang
an in seiner Grundlage verzehrt werden, so würde er
gross werden.» Abermals führten die Henker den Prin-
zen zum Kónige zurück und meldeten die von ihm ge-
sprochenen Worte. [92*] Der König wiederholte noch-
mals die früheren Fragen, welche der Sohn jedoch un-
beantwortet liess. Da sprach der Kónig Brahmadatta
zu den Henkern: «Ich überliefere euch den Prinzen;
gehet, stecket ihn im Walde in eine Grube.» Dem
Befehle des Königs gemäss, setzten die Henker den
Prinzen auf den Wagen, führten ihn in den Wald und
machten sich daran eine Grube zu graben. Da sprach
der Prinz folgenden Cloka: «Weshalb, Wagenführer
du, gräbst mit Vorbedacht die Grube? Weshalb grabt
die Grube ihr? Gebt Antwort auf die Frage, rasch!»
Der Wagenführer antwortete: «Weil des Königs Sohn
nicht spricht, stumm und krüppelhaft geboren, soll
derselbe rasch im Walde in die Grube, auf Befehl!»
Da erschrack der Prinz bei dem Gedanken, dass die
grausamen, rothhändigen, an’s Schlagen und Todt-
schlagen gewöhnten, Leben vernichtenden Henker,
welehe durch die Hinrichtungen Schrecken zufügen,
nun auch an seine Tödtung gehen würden und sagte:
«Wenn der König mir Gewährung eines Wunsches zu-
sagt, werde ich sowohl zu Fuss in die Stadt gehen, als
auch sprechen.» Die Henker begaben sich zum König
. und meldeten alles ausführlich. Der Kónig sprach:
«Wenn der Prinz die Herrschaft will, werde ich ihm
auch diese abtreten.» Erfreut befahl er den Ministern
die Stadt schleunigst von den Steinen zu reinigen und
Räucherwerk, [93] duftende Pulver, Fahnen, Standar-
ten und Blumen verschiedener Art herbeizuschaffen.
Die Minister vollführten den Befehl des Kónigs und
viele hunderttausende von Menschen strómten zusam-
men um den Einzug des Prinzen zu sehen und ihn
sprechen zu hóren. Der Prinz ging zu Fuss in die
Stadt und als er zum Kónig gelangt war, bezeigte er
ihm seine Verehrung und sprach in Qloka’s: Nicht
bin ich stumm, nicht Krüppel, nicht bin ich dumm,
nicht sinnlos, vermag’s mit klaren Worten wohl zu
sprechen, Männerfürst. Nicht bin ich stumm, nicht
Krüppel, nicht bin ich dumm, nicht sinnlos, unversehrt
ist mir der Sinn, klar und hell, o Männerfürst.» Auf
die Frage des Königs, weshalb er nicht gesprochen
und weshalb er nicht gegangen sei, antwortete er: «O
König, höre mich an. In einem früherem Leben habe
ich 60 Jahre als König geherrscht und dann 60 tau-
send Jahre in der Hölle unendliche Qualen gelitten;
dieser schrecklichen Qualen eingedenk, wünsche ich
nicht wiederum zu herrschen und deshalb bitte ich, o
Vater, mir zu gestatten, dass ich der Welt entsage!»
Der Vater entgegnete: «O Sohn, es ist doch der Herr-
schaft wegen, dass die Rshis sich Büssungen unter-
werfen und Opfer darbringen. Weshalb willst du, o
Sohn, dasjenige, was du in der Hand hast, aufgeben
und der Welt entsagen?» Der Prinz entgegnete, dass
er nicht in der Lust, die Kampf und Zwietracht her-
vorrufe, leben wolle und das Büsserleben vorziehe; je-
nes ähnele der Kimpáka- Frucht, dieses habe den
Amrta-Geschmack. Der König bemerkte, dass das Kö-
nigthum den Genuss jeglichen Gutes gewähre und fragte
ihn, weshalb er, die Herrschaft aufgebend, das Büsser-
leben ergreifen wolle. Der Sohn entgegnete, man
müsse das für wahre Lust erachten, woraus Schmerz
hervorgehe und ebenso den Schmerz, aus dem Lust
hervorgehe. Der Vater solle ihm gestatten in den Büs-
serwald zu ziehen. Der König führte ihm sämmtliche
Bequemlichkeiten des Lebens im Palaste mit dem
Räucherwerke, denduftenden Pulvern und Blumen, dem
Ruhen auf weichem Lager, ohne alle Gefahren, das
Erwachen unter den Tönen der Musik, die geschmeidige
Kleidung, die wohlschmeckenden Speisen und Getränke
vor und dagegen das Büsserleben im Walde, das Ru*
hen unter einem Baume auf ausgebreitetem Laub mit
allen Gefahren sammt den wilden Gazellen und das Er-
wachen bei dem Geheul des Schakals, die Kleidung
mit Baumrinde, die Ernährung mit Wurzeln und Früch-
ten und das warme, getrübte Wasser. Der Sohn ent-
gegnete: Im Walde mit der Kleidung aus Baumrinde,
mit der Nahrung von Wurzeln und Früchten, mit dem
Zusammenwohnen mit wilden Gazellen zu leben, sei
besser; der Weise ziehe dies der mit Gefahr für das
jenseitige Leben verbundenen Herrschaft vor, welcher
Tödten, Binden und Schlagen eigenthümlich sei; des-
halb solle der Vater es ihm gestatten, in den Büsser-
wald zu ziehen. Der König sagte: «O Sohn, löse mir
noch diese drei Zweifel; dann magst du der Welt ent-
127
Bulletin de l'Académie Impériale
sagen. Als du den Reichthum und die Ausdehnung.
der Stadt Váránasi sahst, fragtest du: Ist Váránasi
leer oder ist die Stadt bewohnt? Aus welchem Grunde
hast du diesgesagt?»— Höre, o König, weshalb? Des-
halb habeich es gesagt, weil, als du mich ohne Ursache |
zum Tode verurtheilt hattest, keiner es gewagt hat
die gerechte Frage zu thun, weshalb dies geschehe.—
«O Sohn, du hattest nicht Unrecht. Als du einen Leich-
nam tragen sahst, fragtest du, ob es der Leichnam
eines Todten oder eines Lebenden sei. Aus welchem
Grunde hast du dies gesagt?» — Hóre, o Kónig, wes-
halb: Ich habe es deshalb gesagt, weil der Leichnam
dessen, der eine Missethat begangen hat, der Leich-
nam eines Todten ist, der Leichnam aber dessen, der
eine gute That vollführt hat, der Leichnam eines Le-
benden. — «O Sohn, du hattest nicht unrecht. Als du
den Getreidehaufen erblicktest, sagtest du: Wenn die-
ser Getreidehaufen nicht von Anfang an von der Grund-
lage verzehrt würde, würde er gross werden; weshalb
hast du dies gesagt?»— Hóre, o Kónig, weshalb! Des-
halb habe ich es gesagt, weil die Ackerleute, nachdem
sie Getreide geliehen, und dasselbe verzehrt haben,
nach der Feldarbeit, [24] sobald das Getreide gereift
ist, einen grossen Getreidehaufen den Gláubigern ge-
ben müssen, deshalb verzehren sie ihn von der Grund-
lage aus. Ebenso wenn der Mensch auf den Weg der
zehn Tugendwerke gelangt ist, denselben nicht weiter
betritt, wird die Wurzel seiner früheren Tugend zer-
schnitten und ist diese zerschnitten, so gerüth er von
dem Pfade der Seligkeit in's Verderben. Aus diesem
Grunde habe ich so gesprochen. Als der Kónig diese
“Worte seines Sohnes vernommen hatte, erfasste er mit
thränenden Augen seinen Sohn, hiess ihn nicht allein
seinem Wunsche gemäss handeln, sondern veranlasste
auch seine Altersgenossen mit ihm in den Wald zu
ziehen. Dort erhielt er, den man bisher den stummen
Krüppel genannt hatte, den Namen des stummen Leh-
rers. Als der Rshi, bei dem er sein Gelübde abgelegt
hatte, gestorben war, tritt er in seine Rechte ein und
versteht es so einzurichten, dass seine Schüler, welche
eine zugrosse Anzahl von Matten, Gewändern und Ge-
räthschaften haben, endlich seinem Beispiele folgend,
es sich an dem Nothwendigsten genügen lassen.
E
Der Schakal als Verláumder.
Benfey hat in den Nachtrágen zum ersten Theil
deiner Pantschatantra-Übersetzung S. 528 fol. bereits
auf die im Siddhi-kür befindliche Erzáhlung von dem
Schakal, der den Lówen und den Stier entzweit und
beide in's Verderben stürzt, aufmerksam gemacht.
Es liegt diese Erzühlung jetzt in B. Jülg's Mongoli-
scher Márchen-Sammlung. Jnnsbruck 1868 S. 171—
176 als 20ste Erzáhlung vor. Um so interessanter
dürfte es nun auch sein, die in Kandjur B. VI Blatt 239
— 241 befindliche tibetische Übersetzung, die offenbar
eine áltere Recension darbietet, zu vergleichen. Eben-
daselbst B. VI, Blatt 241—243 befindet sich auch
die von Benfey a. a. O. 8. 529 aus dem Werke von
Stanislas Julien Les Avadánas T. I, p. 109—114
angeführte Nebenform, die ich ebenfalls hier mit-
theile. 4
In längstvergangener Zeit lebte in einem Walde
eine trächtige Löwin. [82%] Nun ist es die Art der
Löwinnen, dass sie zu der Zeit, wo sie werfen sollen, .
Fleischvorráthe ansammeln. Die Lówin, welche einer
Rinderheerde folgte, traf eine Kuh, welche gekalbt
hatte und ihr Kalb hütend der Heerde nachging. Sie
tódtete die Kuh und schleppte dieselbe auf ihr Lager.
Das Kalb, welches an der Mutterbrust saugen wollte,
folgte ihr nach. Die Lówin wollte anfangs auch das
Kalb tódten , bedachte sich aber, da das Kalb ihrem
Jungen, sobald sie es geworfen haben würde, ein Ge-
spiele sein werde. Sie warf ein mánnliches Junge und
sáugte dieses sammt dem Kalbe. Als beide herange-
wachsen waren, erkrankte die Lówin und sprach vor
ihrem Tode also: «O Kinder, da ihr beide dieselbe
Brust gesogen habet, seid ihr Brüder; die Welt ist
voll von bösen Verläumdern; hütet euch, wenn ich
gestorben sein werde, solchen euer Ohr zu leihen.» Der
Lówe, der sich an dem trefflichen Fleisch der
Gazellen, die er erlegte, nührte und ihr Blut in Fülle
trank, wurde gross und ebenso der Stier, welcher das
treffliche, vom Lówen geschützte Gras frass und das.
reine Wasser genoss. [240] Dem Löwen, als Könige der
Thiere, folgte ein alter, sehr gieriger, die Ueberbleib-
sel verzehrender Schakal nach. Wenn der Lówe treff-
liche Gazellen getódtet, ihr treffliches Fleisch verzehrt
ee | 130
und ihr treffliches Blut geschlürft haste und furchtlos hin ist mein Gras- Löwe gegangen! da seine Mutter
dasass, wagte es keines der andern kleineren Thiere | meine Mutter getódtet hat, werde ich seinen Bauch auf-
ihm zu nahen; nur der alte Schakal kam dann heran, ` schlitzen.»» Der Lówe sagte: «O Oheim, zu uns beiden
um die Überbleibsel des trefflichen Fleisches und | hat die Mutter, ehe sie starb, also gesprochen: ««Da
Bluts zu geniessen, wodurch sein Fell, sein Fleisch | ihr beide dieselbe Brust gesogen habet, seid ihr Brü-
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
und sein Blut gediehen. Als der Löwe ein anderes
Mal das treffliche Fleisch der Gazellen verzehrt und |
das treffliche Blut geschlürft hatte, begab er sich
eiligst nach seinem Lager, woselbst er mit dem Stiere
spielte; unterdessen aber verzehrten die kleineren
Thiere die Überbleibsel. Der Schakal dachte: Ich
will zuerst nachsehen, wohin der Lówe gegangen ist.
Als er ihm nachgegangen war, sah er, wie er mit dem
Stier spielte und meinte, dass dieser Stier der Wider-
sacher seines Magens sei und er deshalb jene beide
entzweien müsse. Mit hängenden Ohren trat er vor
den Stier. Der Stier fragte: «Oheim, hat sich etwa
heisser Wind erhoben?» — Der Schakal entgeg-
nete: «O Neffe, ein sehr glühender Wind hat
sich erhoben.» — Was ist denn geschehen? —
«Der Lówe hat gefragt: ««Wohin ist denn der zu
meinem Fleischvorrath gehórige Stier hingegangen?
` Wenn ich kein anderes Fleisch finde, dann werde ich
diesen Stier verzehren.»» — Der Stier entgegnete:
«O Oheim, uns beiden hat die Mutter, als sie starb, ge-
sagt: ««O Kinder, da ihr beide dieselbe Brust gesogen
habet, seid ihr Brüder; die Welt ist voll von bösen
Verliumdern, hütet euch nach meinem Tode einem
derselben euer Ohr zu leihen.»» Da. sie ein solches
Vermichtniss hinterlassen hat, so sprich du nicht
also!» — Der Schakal sagte: «O Neffe, da du nun meine
wohlgemeinten Worte nicht hórest, wirst du in's Ver-
derben rennen,» [24%] Der Stier fragte: «O Oheim,
wie wird denn der Verlauf sein?» Der Schakal ent-
gegnete: «O Neffe, der Lówe wird aus seinem Lager
hervorkommen, sich ausrecken und nachdem er sich
ausgereckt, wird er gáhnen und nachdem er gegähnt
hat, nach allen vier Seiten blicken und, nachdem er
nach allen vier Seiten geblickt hat, dreimal brüllen
und, nachdem er vor dich getreten ist, denken: Dieser
wird mich tödten; wisse dies.» Darauf begab sich der
Schakal mit herabhängenden Ohren zum Löwen. Der
Löwe fragte: «Oheim, hat sich etwa heisser Wind er-
hoben?» Der Schakal entgegnete: «O Neffe, es hat
sich ein sehr glühender Wind erhoben!» — Was ist
denn geschehen?» — «Dieser Stier hat gesagt: ««Wo-
Tome XXII.
der; die Welt ist voll von bösen Verläumdern, hütet
euch nach meinem Tode einem derselben euer Ohr zu
leihen.»» Da sie ein solches Vermächtniss hinter-
lassen hat, so sprich du nicht also.» Der Fuchs ent-
gegnete: «O Neffe, wenn du jetzt meine wohlgemein-
ten Worte nicht hórst, wirst du in's Verderben ren-
nen.» — Der Löwe fragte: «O Oheim, wie wird der
Verlauf sein?» — Der Schakal antwortste: «O Neffe,
der Stier wird aus der Hürde hervorkommen und wird
sich recken; nachdem er sich gereckt hat, wird er
brüllen, nachdem er gebrüllt hat, die Erde aufwühlen
und nachdem er die Erde aufgewühlt hat, schnaufend
vor dich treten und denken: Dieser wird mich tödten;
wisse dies.» — Obwohl beide bestándig nach ihrer
Natur dies zu thun pflegten, hatten sie dies nie be-
achtet. Als darauf ein anderes Mal der Lówe, der
Kónig der Thiere, aus seinem Lager hervorgekommen,
sich gereckt, gegähnt, nach allen vier Seiten geblickt
und dreimal gebrüllt hatte, trat er vor den Stier.
Auch der Stier kam aus der Hürde hervor, reckte
sich, brüllte, [241] wühlte die Erde auf und nachdem
er geschnauft hatte, trat er vor den Lówen. Obwohl
beide nach ihrer Natur solches stets zu thun gewohnt
waren, hatten sie es nie beachtet; als aber der Same
der Zwietracht gestreut war, beachteten sie es. Der
Stier dachte: Dieser will mich tódten, und der Lówe
dachte dasselbe. Der Lówe packte die Brust des
Stiers mit seinen Klauen, der Stier schlitzte mit sei-
nen Hórnern den Bauch des Lówen auf, so dass beide
umkamen. Eine Gottheit sprach folgenden Vers:
«Menschen; welche auf das Gute Rücksicht nehmen,
sollen nicht mit schlechten Menschen verkehren; sehet,
wie der Schakal den Löwen und Stier, die Freunde
waren, entzweit hat.»
B.
In längstvergangener Zeit lebte in einem Walde
eine Löwin mit ihrem Jungen und eine Tigerin mit
ihrem Jungen. Als die Löwin fortgegangen und ihr
Junges umherschweifend in die Nähe der Tigerin ge-
langt war, wollte die Tigerin dasselbe, als sie es er-
9
Bulletin de l'Académie Impériale
132
blickt hatte, tódten, bedachte sich aber eines besseren,
da der junge Lówe Gespiele ihres Jungen werden
kónnte, und fing an dasselbe zu süugen. Als die Lówin
von ihrem Ausgang zurückgekehrt war und ihr Jun-
ges nichs vorfand. fing sie an dasselbe zu suchen und
sah, wie die Tigerin ihr Junges sáugte. Als die Tige-
rin die Lówin erblickte, ersehrak sie und fing an
davon zu laufen. Die Lówin sprach zur Tigerin: «O
Schwester?), laufe nicht davon, lass uns zusammen
wohnen, auf dass, wenn ich fortgehe, du für méin
Junges [241] sorgest, wenn du aber fortgehst, ich für
dein Junges Sorge trage.» Als beide nun zusammen
zu wohnen anfingen, nannten beide das Lówen - Junge
Sudamshthra?), das Tiger-Junge Subáhu*). Diese bei-
den wuchsen heran. Zu einer andern Zeit erkrankten
die Lówin und die Tigerin und sprachen zur Zeit ihres
Hinscheidens also zu den beiden Jungen: «O Kinder,
da ihr beide an derselben Brust gesogen habet, seid
ihr Brüder. Die Welt ist voll von bósen Verlüumdern;
hütet euch nach unserem Tode einem derselben euer
Ohr zu leihen.» Der Lówe pflegte treffliche Gazellen
zu tódten, ihr treffliches Fleisch zu verzehren und ihr
treffliches Blut zu schlürfen, und, nachdem er solches
gethan hatte, sich eiligst nach seinem Lager zu be-
geben. Der Tiger aber, wenn er ausging, tódtete mit
grosser Mühe Gazellen, verzehrte ihr Fleisch, schlürfte
ihr Blut und kehrte erst nach langer Zeit zurück.
Ein anderes Mal verzehrte der Tiger Überbleibsel, die
er verborgen hatte, und kehrte rasch nach Hause zu-
rück. Da fragte der Löwe: «Wie kommt es, dass du, der
du früher immer nach langer Weile zurückgekehrt bist,
heute so bald zurückgekommen bist?» Der Tiger ant-
wortete: «Ich habe die Vorräthe, welche ich verbor-
gen hatte, verzehrt.» Der Löwe fragte: «Hast du Vor-
räthe aufbewahrt?» Der Tiger bejahte es. Der Löwe
sagte: «Ich pflege, wenn ich die trefflichen Gazellen
getódtet, ihr treffliches Fleisch verzehrt und ihr treff-
liches Blut geschlürft habe, ohne Sorge fortzugehen.»
Der Tiger entgegnete: «Du bist stark, ich (242] kann
es nicht also thun.» Der Lówe sagte: «Wollen wir
zusammen gehen!» Es fingen beide an zusammen aus-
2) Im Tib. D jüngere Schwester.
3) ABER
4) ATIS RS
zugehen. Diesen Löwen, dem Könige der Thiere,
pflegte ein alter, sehr böser, Überbleibsel verzehrender
Schakal nachzufolgen. Dieser meinte, dass der Tiger
der Widersacher seines Magens sei und er deshalb
beide entzweien müsse. Er trat vor den Löwen mit
herabhängenden Ohren. Der Löwe fragte: «O Oheim,
hat sich etwa heisser Wind erhoben?» Der Schakal
antwortete: «O Neffe, es hat sich ein sehr glühender
Wind erhoben.» — «Was ist denn geschehen?» —
«Der Tiger hier hat gesagt: ««Wohin ist mein Gras-
Löwe gegangen? Da er mich Überbleibsel verzehren
lässt, werde ich ihn sicherlich tödten.»» Der Löwe
entgegnete: «O Oheim, uns beiden haben unsere
beiden Mütter vor ihrem Tode gesagt: ««O Kin-
der, da ihr beide dieselbe Brust gesogen habet,
seid ihr Brüder; die Welt ist voll von bösen
Verláumdern, hütet euch, wenn wir beide gestorben
sein werden, irgend einem derselben euer Ohr zu
leihen.»» Da sie ein solches Vermächtniss hinterlassen
haben, so sprich nieht also.» Der Schakal sagte: «Da
du jetzt meine wohlgemeinten Worte nicht hóren
willst, wirst du in's Verderben rennen.» Der Lówe
fragte: «O Oheim, wie wird der Verlauf sein?» Der
Schakal entgegnete: «O Neffe, der Tiger wird aus
seinem Lager hervorkommen und sich recken, nach-
dem er sich gereckt hat, wird er gáhnen, nachdem er
gegähnt hat, wird er nach allen vier Seiten blicken,
nachdem er nach allen vier Seiten geblickt hat, wird
er dreimal brüllend vor dich treten und denken: Die-
ser wird mich tódten. Wisse dies.» Darauf trat er
mit herabhüngenden Ohren vor den Tiger. Der Tiger
fragte: «O Oheim, hat sich etwa ein heisser Wind er-
hoben?» Der Schakal entgegnete: «O Neffe, es hat
sich ein sehr glühender Wind erhoben.» — «Was ist
denn geschehen?» — «Dieser Lówe hier hat gesagt:
««Wohin ist mein Gras- Tiger gegangen? Ich werde
ih sicherlich tódten.» Der Tiger sagte: «O Oheim,
zu uns beiden haben unsere beiden Mütter vor ihrem
Hinscheiden also gesprochen: ««O Kinder, da ihr
beide dieselbe Brust gesogen [242*] habet, so seid ihr
Brüder. Die Welt ist voll von bósen Verlüumdern;
hütet euch einem derselben euer Ohr zu leihen.»» Da
sie uns dieses Vermächtniss hinterlassen haben, so
sprich nicht also!» Der Schakal entgegnete: «O Neffe,
da du jetzt meine wohlgemeinten Worte nicht hóren
willst, wirst du in's Verderben rennen.» — «O Oheim,
133
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
wie wird denn der Verlauf sein?» — Der Schakal ent-
gegnete: «O Neffe, dieser Lówe wird aus seinem Lager
hervorkommen, wird sich recken, nachdem er sich ge-
reckt, wird er gähnen, nachdem er gegähnt hat, wird
er nach allen vier Seiten blicken, nachdem er nach
allen vier Seiten geblickt haben wird, wird er dreimal
brüllend vor dich treten uud denken: dieser wird mich
tódten. Wisse dies.» Obwohl beide ihrer Natur ge-
mäss dies beständig zu thun pflegten, hatten sie es nie be-
achtet. Zueinerandern Zeit kam der Kónig der Thiere,
der Lówe, aus seinem Lager hervor, reckte sich,
gähnte, blickte nach allen vier Seiten, und nachdem
er dreimal gebrüllt hatte, trat er vor den Tiger. Auch
der Tiger kam aus seinem Lager hervor, reckte sich,
gühnte, blickte nach allen vier Seiten, brüllte dreimal
und trat vor den Lówen. Obwohl beide es stets so zu
thun gewohnt waren, hatten sie es nie beachtet, als
aber der Same der Zwietracht gesäet war, beachteten
sie es; sowohl der Lówe dachte, dass der Tiger ihn
tódten wolle, als auch der Tiger, dass der Lówe ihn
tödten wolle. Dann aber bedachte der Löwe dies:
Ich bin stark, der Tiger ist es nicht, da er nun meiner
nicht Herr werden kann, will ich früher nachforschen.
Es sprach diesen Cloka: «Mit dem vollendete Treff-
lichkeit, Gewandtheit und Kraft besitzenden Sudamsh-
thra zu streiten, o Subáhu, ist nicht recht.» Der Tiger
antwortete ebenfalls mit einem Cloka: «Mit dem vol-
lendete Trefflichkeit, Gewandheit und Kraft besitzen-
den Subáhu zu streiten, o Sudamshthra, ist nicht retht.»
Der Löwe fragte: [245] «Wer hat es dir gesagt?» Der
Tiger antwortete: «Dieser Schakal.» Der Tiger fragte:
«Wer hat es dir gesagt?» Der Löwe antwortete:
«Dieser Schakal.» Der Lówe dachte: Dieser wollte
uns beide entzweien, und schlug den Schakal durch
eine Maulschelle todt. Eine Gottheit sprach diese
Cloka's: «Man soll auf das Wort anderer hin Freunde
nieht aufgeben, sondern die Worte anderer prüfen;
man soll Verliumdern, welche Gelegenheit zur Ent-
zweiung suchen, nicht Glauben schenken; sehet, wie
der Sohn des Schakals, der durch Lügen Freunde zu
entzweien suchte, als Verliumder getódtet wurde, die
Freunde aber durch die Lust erfreut wurden.»
VI.
Ochsen als Zeugen.
(Kandjur VI, Blatt 228 — 231.)
[228*] In einer Gebirgsgegend lebte ein Hausbesitzer,
dem, als er geheirathet hatte, eine Tochter geboren
wurde. Da er Ackerbauer war, pflügte er selbst seine
Felder. Als der elternlose Sohn eines Hausbesitzers
an einem Tage mit einer Tracht Holz aus dem Walde
in die Nähe jenes Feldes gelangt war, legte [229 er
das Holz ab, erholte sich ein wenig und fragte: «O
Oheim, weshalb ackerst du selbst? es ist doch sicher,
dass du im Dorfe Dorfangelegenheiten zu besorgen
hast; weshalb treibst du im Walde Sachen des Waldes?»
— «O Neffe, ich habe weder Sóhne noch Brüder.»
— «O Oheim, gieb mir den Pflug, ich werde für dich
ackern, du aber ruhe!» Mit diesen Worten fing er
an zu pflügen. Der Hausbesitzer kam mit Reisbrei
herbei und forderte ihn auf zu essen. Nachdem beide
das Mahl beendigt hatten, sagte der Hausbesitzerssohn:
«O Oheim, ich kenne dein Haus nicht, geh du nun,
ich werde pflügen; am Abend aber komm mir ent-
gegen.» Der Hausbesitzer ging, der Hausbesitzers-
sohn pflügte eine Weile und liess dann die beiden
Ochsen neben dem Felde weiden. Am Abende nahm
er eine Tracht Gras und machte sich auf um nach dem
Gebirgsdörf zu gehen. Der Hausbesitzer kam ihm
entgegen und führte ihn in sein Haus. Der Hausbe-
sitzerssohn führte die Ochsen in den Stall, breitete
Streu aus, räucherte und setzte ihnen Gras vor. Der
Hausbesitzer bedachte, dass der Jüngling ihm Gutes
thue und er ihm seine Tochter zur Frau geben wolle.
Er sagte ihm: «O Neffe, thu’ Alles zur Zufriedenheit
und ich werde dir meine Tochter zur Frau geben.»
Er fing dort an ein Haus zu bauen und als ein Ochse
ihm auf das Reisfeld lief und er ihn®nicht von dort
fortscheuchen konnte, schalt er ihn, warf ein Holz-
scheit nach ihm, wodurch ein Horn abbrach, weshalb
der Ochse Hornbruch*) genannt wurde. Als ein an-
deres Mal der Ochse wiederum aufs Feld gelau-
fen war und erihn nicht zurückscheuchen konnte,
schalt er ihn, warf eine Sichel nach ihm, wodurch ihm
der Schwanz abgeschnitten wurde, weshalb er den
5) YET
Bulletin de l'Académie Imperiale
Namen «Stumpfschwanz»*) erhielt. Beide Namen ver-
kürzte man dann zu «Bruchstumpf»?) Zu einer an-
dern Zeit sagte der Jüngling zum Hausbesitzer: «O
Oheim, erfülle das, was du versprochen hast.» Der
Hausbesitzer sagte zu seiner Frau: «O Gute, bereite
[229*] alles zur Hochzeit; ich will die Tochter verhei-
rathen.» Die Frau sagte: «O Herr, da die Tochter
keinem versprochen ist, wie soll sie verheirathet wer-
den?» Er antwortete: «Ich werde sie verheirathen.»
— An wen? — «An diesen Hausbesitzerssohn.» Die
Frau sagte: «Soll ich etwa die Tochter diesem Unbe-
mittelten, der wie weisser Pfeffer gewachsen ist, zur
Frau geben? Ich werde sie dahin verheirathen, wo
ich Kleidung und Nahrung finde.» Der Mann entgeg-
nete: «O Gute, da mir der Jüngling Gutes erweist,
werde ich, wenn er fortgeht, selbst das Feld pflügen
müssen.» Die Frau antwortete: «Ich kann diesem
armen Schlucker meine Tochter nicht geben.» Da
dachte der Hausbesitzer: Wenn ich dem Jüngling sage,
dass ich ihm die Tochter nicht gebe, wird er bereits
. heute fortgehen und ich werde in Noth gerathen. Er
wollte ihn also hinhalten. Der Jüngling forderte ihn
nochmals auf, sein Versprechen zu erfüllen. Er ent-
gegnete: «O Neffe, da ich für einen grossen Kreis von
Verwandten Reisbrei bereiten muss, so bringe zuvor die
Reisernte zu Stande. Er that dies und forderte ihn
dann auf die Hochzeit zu feiern. Der Hausbesitzer
antwortete: «O Neffe, da Zuckerrohr nothwendig ist,
so bringe zuvor die Zuckerrohrernte zu Stande.» Der
Jüngling that dies und erneuerte seine Forderung.
Der Hausbesitzer sagte: «O Neffe, da Brote nothwen-
dig sind, so bringe zuvor: die Weizenernte zu Stande.»
Der Jüngling that dies und verlangte Erfüllung des
Versprechens. Der Hausbesitzer sagte: «Da der frü-
here Reis zu Ende ist, so veranstalte noch eine Ernte.»
Der Jüngling dachte: Da diese Dinge sich nicht zu
derselben Zeit machen lassen, er mich aber hinhilt,
will ich in eine grosse Versammlung von Menschen
treten und ihn zur Antwort nóthigen; giebt er mir die
Tochter nicht, so werde ich es veranstalten, dass sie
mir aus dem Palast des Kónigs in Güte gegeben werde.
Er trat in eine grosse Versammlung von Menschen
6) AZTEA
7) STZA
und sprach: «O Oheim, veranstalte die Hochzeit.»
Der Hausbesitzer schalt ihn [280] und sprach: O Freunde,
diesem Manne, der bei mir als Tagelöhner arbeitet,
werde ich doch meine Tochter nicht geben!» Der
Jüngling dachte: «Da ich weder Geld noch die Toch-
ter von ihm erhalten habe, werde ich ihm einen klei-
nen Schaden zufügen und fortgehen.» Nachdem er
den Tag über mit den Ochsen geackert hatte, schlug
er sie mit der Gerte, band sie in der Sonne an einen
dürren Baum und ging davon. Durch die Natur der
Dinge konnten nicht lange nach Erschaffung der Welt
auch die Thiere sprechen und so sprachen die beiden
Ochsen zu ihm: «O Mann, du bist fortwährend gegen
uns wie Vater und Mutter gewesen, hast uns bestän-
dig mit Güte behandelt; weshalb hast du jetzt , nach-
dem du den Tag über gepflügt, uns mit der Gerte ge-
schlagen und gehst du fort, nachdem du uns in der
Sonne an einen dürren Baum gebunden? O Mann,
haben wir dir irgend ein Unrecht gethan?» — «Ihr
habet mir nicht das geringste Unrecht gethan, euer
Herr aber hat mir Unrecht gethan.» — «Auf welche
Weise?» — «Er hatte mir seine Tochter versprochen,
sie aber mir nicht gegeben.» — «Weshalb gehst du
nicht in den Palast des Kónigs?» — «Ich habe keine
Zeugen.» — «Geh nur, wir werden Zeugen sein.» —
«Werdet ihr mit menschlicher Sprache reden?» —
«Nein, du sollst aber deine Betheuerung also einrich-
ten: Uns musst du sieben Tage lang im Stall anbinden,
uns weder Gras noch Wasser geben, am siebenten
Tage an einer Stelle loslassen, wo Gras und Wasser
in Fülle vorhanden sind, dann tritt vor den Kónig und
und sage ihm: Wenn ich die Wahrheit rede, sollen
diese Ochsen weder das Gras fressen noch das Wasser
trinken.» Der Hausbesitzerssohn ging in den Palast
des Königs und sprach: «O König, jener Hausbesitzer
hat mir seine Tochter versprochen, sie mir aber den-
noch nicht zur Frau gegeben.» Der König fragte:
«Hast du irgend welche Zeugen?» — «Ja, o König!»
— «Sind es Menschen oder nicht?» — «Nein, es sind
keine Menschen, sondern Ochsen.» — «Können sie
menschliche Sprache 23%] reden?» — «Nein, allein
meine Worte werden also als wahr befunden werden:
ich werde diese Ochsen sieben Tage lang im Stall an-
binden, ohne Gras und ohne Wasser lassen, am sie-
benten Tage aber sie an einer Stelle loslassen, wo Gras
‘und Wasser in Fülle vorhanden sind. Dann werden
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
138
die Ochsen, um die Wahrheit meiner Worte darzu-
thun, so lange als der Kónig mir nicht Glauben schenkt,
weder das Gras verzehren noch Wasser trinken.» Der
König sprach zu den Ministern: «Verehrte, richtet die
Sache so ein.» Die Minister liessen die Ochsen im
Stall anbinden. Bruchstumpf fragte: «Geht die Sonne
im Westen auf? weshalb lásst man uns nicht los?» Die
Andern sagten: «Wir haben es dem Sohn des Haus-
besitzers versprochen, dass, wenn er uns sieben Tage
im Stall angebunden ohne uns Gras und Wasser zu
geben und uns am siebenten Tag an einer gras- und
wasserreichen Stelle loslásst und er vor dem Könige
betheuert, dass wenn er die Wahrheit spricht, diese
Ochsen weder Gras fressen, noch Wasser trinken wer-
den, wir, so lange der Kónig es nicht glaubt, weder
Gras fressen, noch Wasser trinken werden.» Bruch-
stumpf sagte: «Wenn man mich freilässt, esse ich auch
Steine, von Gras schon gar nicht zu reden.» — Die
Ochsensagten: «Der Hausbesitzerssohn hat sich gegen
uns fortwährend wie ein Vater und eine Mutter be-
nommen; also handle nicht also.» Bruchstumpf sagte:
Freilich ist es wahr, dass er uns wie ein Vater und
eine Mutter behandelt hat, allein da er mich Bruch-
stumpf genannt hat, will ich es nicht thun, sondern
wünsche vielmehr, dass sein Bauch platze.» [231] Der
Hausbesitzerssohn ging von Zeit zu Zeit zu den Och-
sen und fragte: «O. Ochsen, wie geht es euch?» Sie
antworteten: «Uns geht es gut, dir aber nicht.» —
«Weshalb?» — «Bruchstumpf hier hat gesagt, dass
er, wenn man ihn freiliesse, sogar Steine verzehren
würde, von Gras gar nicht zu reden.» — «Soll ich
also entweichen?» — Thu’ das nicht, sondern durch-
lóchere die Nase von Bruchstumpf; wenn er Gras fres-
sen oder Wasser trinken wollen wird, werden wir mit
. den Hórnern seine Nase packen und in die Hóhe
heben. Zu dieser Zeit musst du sagen: Diese weisen
auf die Sonne, weil sie andeuten wollen, dass die Sonne
als fünfter Welthüter Zeuge sei» Der Jüngling fing
an ihm die-Nase zu durchbohren. Der Ochse sagte:
«Verehrte, schauet her, wie er mich verunglimpft.»
Sie antworteten: «Schweig still, er will dich ausschmük-
ken.» Am siebenten Tage liess der König, nachdem
er seine Minister versammelt hatte, diese Ochsen auf
eine gras- und wasserreiche Stelle führen und Bruch-
stumpf war im Begriff ein Mundvoll Gras zu nehmen.
Die andern Ochsen aber packten ihn mit den Hörnern
an der Nase und schauten zur Sonne. Der König
fragte die Minister: «O Verehrte, weshalb schauen
diese Ochsen gegen die Sonne?» Da sprach ein Mi-
nister: «Es geschieht deshalb, weil sie andeuten wol-
len, dass nicht sie allein Zeugen sind, sondern auch
der fünfte Welthüter, die Sonne, ebenfalls Zeuge ist.»
Der König staunte und sprach zu den Ministern: «O
Verehrte, da die Thiere sogar Zeugniss abgelegt
haben, so sorget dafür, dass der Hausbesitzer diesem
Jünglinge die Tochter gebe.» Der Hausbesitzer gab,
vom Hausbesitzerssohn besiegt, letzterem die Tochter.
Sur l'acide tartronamique. Par N. Menschutkin.
(Lu le 24 février 1876.)
L'acide tartronamique est un des produits de la dé-
composition du dialurate de sodium sous l'influence de
l'eau.
On fait bouillir avec Peau le dialurate de sodium
fraichement préparé et non desséché; on prend approxi-
mativement pour 30 grammes de sel (compté comme
sel sec) 500 grammes d'eau. L'opération se fait dans
une fiole, munie d'un réfrigérant, pour que l'eau con-
densée retombe dans la fiole. De temps à autre on
prend quelques gouttes de la liqueur et on l'essaie
par le nitrate d'argent: la présence du dialurate se
trahit par la réduction d'argent à froid; quand cette
réaction n'a plus lieu, l'opération est terminée. Pour
les quantités précitées, il n'en faut pas moins de 20
heures, soit 2 journées de travail. La décomposition
du dialurate par l'eau est accompagnée par le déga-
gement de l'acide carbonique et de l'ammoniaque, le
tube du réfrigérant se trouve tapissé par des cristaux
de carbonate d'ammoniaque. Pour amortir les chocs,
qui accompagnent l'ébullition du liquide, le dialurate
n'étant pas soluble dans la quantité d'eau, prise pour
la réaction, on chauffe la fiole dans un bain d'asbeste.
La décomposition du dialurate de soude étant effec-
tuée, on évapore le liquide sans retard, jusqu'au poids
de 125 grammes à peu prés, et ayant pris quelques
grammes, on détermine la quantité de sodium contenu
dans le liquide, pour le neutraliser complètement par
l'acide sulfurique et ne pas introduire d’excès de ce
dernier acide. Ayant ajouté au liquide refroidi la
quantité voulue d'acide sulfurique monohydraté, on
Bulletin de l'Académie Empériale
140
l'abandonne à la cristallisation. Il se forme des aiguilles
ou des cristaux prismatiques de l'acide tartronamique.
Les 30 grammes du dialurate de sodium donnent à peu
prés 10 grammes de cet acide. Le dernier est ordi-
nairement un peu jaunátre, mais se laisse aisément pu-
rifier par des cristallisations de l'eau. Les gros cris-
taux contiennent ordinairement de l'eau mére, par
conséquent on a fait l'analyse avec un échantillon cris-
talisé un peu vite et offrant de petites aiguilles: on
Pa séché sous une cloche sur de l'acide sulfurique.
La composition des cristaux correspond à la formule
C, H; NO, |
0,3345 gr. ont donné 0,1295 gr. H,O et 0,372 gr. CO,
0,327gr. » » 34cc.d'azote a 21; 5 et 744mm.
Théorie: Expérience:
C, 36 30,95 30,33
H, 5 04,90 4,30
N 14 11,76 11,54
O, 64 53,79 Ges
119 100,00.
Obtenu par la cristallisation d'une dissolution faite
à chaud, l'acide tartronamique se présente sous la forme
de grands cristaux mats, irrégulièrement formés,
comme de grosses aiguilles ou prismes. C'est un corps
cristallisant bien facilement, et avec des dissolutions
ne contenant que quelques grammes, on obtient des
cristaux d'une longueur de deux centimétres. Une fois,
l'acide tartronamique était obtenu sous la forme de
gros prismes transparents et formés trés régulière-
ment, mais les conditions de leur formation ne purent
être retrouvées, la cristallisation d'une faible disso-
lution de l'acide tartronamique donne de petits eris-
taux prismatiques. L'acide se dissout dans l'eau un
peu difficilement à la température ordinaire, à la tem-
pérature de l'ébullition l'eau le dissout aisément. Pen-
dant le refroidissement, à peu près les Y, de l'acide
se déposent sous la forme de cristaux, c'est à peine
si ^, d'acide reste dissout à la température ordinaire.
L'acide tartronamique se dissout dans l'aleool et dans
l'éther, dans le dernier fort difficilement. La tempé-
rature de fusion est en méme temps la température de
la décomposition de ce corps, ce qui a lieu environ à
160°.
Ayant désigné le nouveau acide comme acide tar-
tronamique, il faut prouver que sa nature correspond
à ce nom. Or, pour la formule C,H,NO,, déduite de
l'analyse, il y a deux cas d'isomérie. Le composé pour-.
rait étre l'acide amidomalonique, CH (NH,) (CO,H),,
que M. A. Baeyer”) obtint par la réduction de l'acide
nitrosomalonique — ou bien l'acide tartronamique,
CH (HO) wes tede acide qui a été inconnu jusqu'à
à
présent, et dont la formation, à partir de l'acide tar-
tronique, présente des obstacles presque insurmontables.
Lequel de ces deux acides, différents de basicité, on
a obtenu du dialurate de sodium, pourrait étre dé-
montré par l'étude des sels. C'est pour la monobasicité
de l'acide, donc pour l'acide tartronamique, que la
question se résout. L'étude des sels est facilitée, par
leur grande aptitude de cristalliser.
Commencons par les sels les plus caractéristiques.
Tartronamate d'argent C,H,Ag NO,. En précipitant
uné forte dissolution d'un tartronamate alcalin par le
nitrate d'argent, on obtient un précipité blanc, deve-
nant bientöt eristallin. Le tartronamate d'argent étant
soluble dans l'eau, il faut le préparer par l'action de
l'oxyde d'argent sur une dissolution tiéde de l'acide
tartronamique. La premiére cristallisation donne le
sel parfaitement pur. L'analyse est faite avec un sel
séché sous une cloche sur de l'acide sulfurique.
0,347 gr. ont donné 0,057 gr. H,O et 0,202 gr. CO,
0,234gr. » » 0,112 gr. d'argent.
Theorie: Expérience:
€, 36 15,92 15,87
IE Ur DT 1,82
Ag 108 47,78 47,86
N CM 818 =
0, 64 28,34 —
226 100,00.
Le tartronamate d'argent se présente sous la forme
de petits prismes, formés trés réguliérement: avec une
loupe on distingue aisément leur forme. Une cristalli-
sation précipitée donne des aiguilles entrelacées. C'est
sous cette forme qu'on obtient parfois le sel en ajou-
tant du nitrate d'argent aux dissolutions des tartrona-
mates, si ces dernières ne sont pas assez concentrées.
Le sel d'argent est difficilement soluble à la tempéra-
ture ordinaire: l'eau chaude le dissout aisément.
1) A. Baeyer. Ann. Chem. Pharm. T. 131 p. 295.
141
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
142
Tartronamate de plomb, (C¿H,NO,),Pb + 1 H,O.
C'est le plus caractéristique des sels de l'acide tartro-
namique. Le meilleur procédé pour l'obtenir c'est de
neutraliser l'acide par l'oxyde de plomb; ce dernier
se dissout aisément au commencement, mais bientót
tout le liquide se remplit des cristaux du sel plom-
bique. On l'obtient pur du premier coup. Il fut des-
séché pour l'analyse sous une cloche au- dessus de l'a-
cide sulfurique.
0,5065 gr. ont donné 0,3385 gr. Pb SO,
0,347 gr. » .» 0,23225 gr. PbSO,.
Theorie: Expérience:
. 1:
20,H,NO,+1H,0 245 54,13 — Bi
Pb 207 45,87 45,65 45,72
452 100,00
Le tartronamate de plomb cristallise en belles aiguilles
d’un grand éclat. Le sel est facilement soluble dans
l'eau bouillante, et se dépose en plus grande partie
par le refroidissement. La formation de ce sel peut
servir comme réaction qualitative de l'acide tartro-
namique: dans ce but, on fait l'expérience comme
il a été décrit plus haut, ou bien on ajoute du ni-
trate de plomb au tartronamate alcolin., Les aiguilles
du sel plombique se forment bientót. — Il est impos-
sible de déterminer l'eau de cristallisation. A 100° le
sel plombique n'est pas modifié: à 120^ on a observé
une perte, qui correspondait au poids de l'eau de cris-
. tallisation, mais comme la température indiquée est
bien proche de la température de décomposition du
sel, je ne sais si l'essai de détermination de l'eau de |:
cristallisation peut étre probant. De 125? — 130° le
sel se décompose complétement.
Tartronamate de baryum, (C,H, NO,), Ba + H, O.
Obtenu par neutralisation de l'acide soit par le Sache
nate de baryum, soit par la baryte, ce sel doit étre
évaporé à la température ambiante, car en chauffant
la dissolution de ce sel, le dernier se décompose. Le
sel sec est stable à la température de 1005 à laquelle
s'effectue la perte de l'eau.
0, geg se ont donné 0,01875 gr. H,O.
Expérience:
(C,H, NO) Ba. 373 95,40 — oo
H,O. 18. 4,60
4,50
391 100,00. |
On a analysé les deux échantillons dont la préparation
était citée plus haut.
1) 0,34675 gr. ont donné 0,2165 gr. Ba SO, °)
2) 0,31025 gr. » » 0,19275 gr. Ba S0,
Théorie: Expérience:
20,H,NO, 236 63,26 Se E-
Ba 137 36,74 36,69 36,66
373 100,00
Le sel de baryum est soluble dans l'eau, la dissolution
fournit des cristaux prismatiques, dont la forme n'est
pas bien nette.
Tartronamate de potassium, C,H,KNO, + H,O. Ce
sel cristallise en prismes striés trés caractéristiques.
0,37425 gr. ont donné 0,2065 gr. K,SO,
Théorie: Expérience: |
\, H, NO, HA 136 77,67 E
391 22,33 22,09
175,1 100,00
Le dosage direct de l'eau n'a pas réussi, comme c'était
le cas pour le sel de plomb. Le tartronamate de po-
tasse chauffé méme jusqu'a 150° n'éprouve aucune
perte, chauffé plus haut, il se décompose. Ayant pensé,
que ce fait pourrait avoir une analogie, par exemple,
avec les glyoxylates, lesquels sont presque tous hy-
dratés, j'ai fait quelques essais: avec le tartromate de
potasse, les sels de plomb et d'argent, formés par
double décomposition, sont identiques à ceux décrits
plus haut. |
L'étude des sels démontre la monobasicité de l'a-
cide tartronamique, mais ce fait ne peut pas établir
définitivement la différence de cet acide et de l'acide
amidomalonique de M. A. Baeyer, car, à en juger par
les recherches fort incomplétes, le dernier serait aussi
monobasique par rapport à la formation des sels et
présenterait beaucoup de ressemblances avec l'acide
en Les deux acides donnent des cristaux -
tiques, tous les deux sont d'un goüt agréable-
iem ie, tous les deux se décomposent soit en
chauffant les acides secs, soit leurs dissolutions aqueuses.
L'acide tartronamique caiff avec de Peau à 100° se
2) Le dosage de baryum était effectué par la précipitütion d de la
dissolution avec de l'acide sulfurique, le sel sec se boursoufflant trop
fortement à la calcination.
143
Bulletin de l'Académie Empériale
144
décompose avec production d'acide carbonique. Plus
loin les analogies cessent, l'acide tartronamique donne
de l'acide glycollique, tandis que l'acide amidomalo-
nique donne le glycocolle.
Game" mu - CH,(HO)CO,H + NH,+ C0,
acide tartronamique. acide glycolique.
CH (NH, ) (C0,H), = CH, (N H,). C0,H + CO,
acide amidomalonique. glycocolle.
Dailleurs, d'aprés les recherches de M. Baeyer l'a-
cide amidomalonique donne de l'acide mesoxalique par
l'action de Piode:
acide mesoxalique.
tandis que la dissolution de l’iode dans Piodure de po-
tassium ne réagit pas sur l'acide tartronamique.
Les différences mentionnés sont suffisantes pour.
conclure la non-identité des deux acides; il s'agit main-
tenant de démontrer que l'acide nommé tartronamique
appartient à l'acide tartronique et en est l'acide amidé.
H n'est pas bien facile d'obtenir directement des
dérivés de l'acide tartronique, mais on obtient ses pro-
duits de décomposition, les mémes que ceux décrits
par M. Dessaignes?). Ce
En agissant sur l'acide tartronamique par l'acide
azoteux dans les conditions indiquées par M. Piria
(en présence de l'acide azotique), il s'établit une vive
réaction. Le liquide s'échauffe, l'acide carbonique et
- l'azote se dégagent. La réaction étant finie, on a neutra-
lisé l'acide, et ajouté du nitrate d'argent. Il se forma
bientót un précipité d'un beau sel d'argent, formé par
des paillettes offrant sous le microscope l'aspect des
lamelles réctangulaires. C'est le glycollate d'argent.
0,2075 gr. ont donné 0,122 gr. d'argent
0,344gr. » » 0,053 gr. H,O et 0,1625 gr. CO,
Théorie: Expérience:
C, 24 13,31 12,88
H, 3 1,63 UN.
Ag 108 59,01 58,79
O, ^48. 3525 i
183 100,00
3) Dessaignes. Ann. Chem. Pharm. T. 89 p. 339.
L'acide glycollique était la seule substance formée par
la réaction, qui est trés nette. 1 gr. d'acide tartrona-
mique traité de la manière décrite a fourni 0,6 gr. du
glycollate d'argent, quantité qui était suffisante pour
l'analyse complete ci-dessus mentionnée. La réaction
de l'acide nitreux consiste non -seulement dans la
transformation de celui-ci en acide tartronique, mais
est aecompagnée par la décomposition de ce dernier
en acide glycollique et en acide carbonique.
CH (HO)(CO,H), = CH, (HO). CO,H + CO,
M. Dessaignes a décrit une réaction pareille pour
| Pacide tartronique ainsi que pour le tartronate d’am-
CH (NH) (COH), + H,0--J, —CO (CO,H),+HJ--NH,J |
moniaque.
La transformation de l'acide tartronamique en acide
tartronique sous l'influence de bases est accompagnée
aussi de la formation de l'acide glycollique. Une so-
lution de baryte, à la température ambiante, ne forme
que le sel barytique, mais n'opére pas la production
de l'acide tartronique. Si l'on chauffe le liquide, il y a
non-seulement émission de gaz ammoniaque, mais il se
forme un précipité de carbonate de baryum, formé
par l'acide carbonique provenant de la transformation
de l'acide tartronique en acide glycollique. Pour ne
pas décomposer toute la quantité de l'acide tartronique
formé on a mis fin à la réaction avant que le dégage-
ment d'ammoniaque ait cessé. Ayant pris 2 grammes
de l'aeide tartronamique, on a continué la réaction
pendant une heure et demie. L'excés de baryte fut sé-
paré par l'acide carbonique, la liqueur évaporée jus-
qu'à consistance siropeuse est dissoute de nouveau dans
un peú d'eau. Traitée par le nitrate d'argent il se
forma un précipité blanc d'un sel d'argent, qui devint
bientót cristallin. Ce précipité fut vite filtré, la liqueur
obtenue quelques heures aprés déposa de beaux cristaux
prismatiques d'un autre sel d'argent. Le premier sel
fut obtenu relativement en petite quantité, il avait les
caracteres du tartronate d'argent, mais le dosage
d'argent a donné 2%, de plus qu'il ne fallait pour la
formule du tartronate. La petite quantité n'a pas per-
mis d'appliquer les procédés de purification.
Le deuxième sel est du glycollate d'argent. Il est
à remarquer, qu'il fut obtenu un.sel différent du gly-
collate d'argent décrit plus haut, celui-ci contracte
par la teneur d'une demi-molécule d'eau de cristalli-
sation. C'est le sel C,H,AgO, + ! H,O obtenu aussi
145 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 146
par M. Dessaignes de l'acide tartronique, en passant
par le glycollide.
0,150 gr. ont donné 0,08375 gr. d'argent
0,222 gr., chauffés à 1005 ont donné 0,011 gr. H,O
Théorie: Expérience:
040,75 54007 -
Ag 108 - 56,25 55,83
1H,0 9 4,68 4,95
192 1000,00
L’action de la baryte sur l'acide tartronamique est
trés nette, je le conclus de ce que les recherches in-
diquées ont été faites avec 2 grammes d'acide tartro-
namique et on a obtenu presque 1 gramme de sels
d'argent.
Ainsi la constitution de l'acide tartronamique est
établie. La stabilité relative de ses sels explique sa
formation par l'action de l'eau sur les dialurates. C'est
pour la premiére fois que ces derniers donnent un
dérivé de l'acide tartronique, fait d'une grande impor-
tance pour juger de la constitution de la série dialurique.
Sur l'éthyl- et le méthylsuccinimide. Par M. N. Men-
schutkin. (Lu le 24 février 1876.)
L'élhyisuccmade se forme par la distillation du
É ine,ou bien, plussimplement,
d'une solution de l'acide succinique dans l'eau, à demi
saturée par Péthylanime. L'éthylsuccinimide passe
dans les parties bouillant vers 220? — 240°; en frac-
tionnant on obtient le corps qui bout à 234^.
0,456 gr. ont donné 0,954 gr. CO, et 0,29 gr. H,O
0,712 gr. décomposés par la potasse dans un ap-
pareil distillatoire etc. ont donné 1,343 gr.
2 [(C,H,) H,N. HC1] DO,
La pureté de chloroplatinate d'éthylamine est démon-
trée par l'analyse suivante: 0,35 gr. ont donné 0,139gr.
de platine, soit 39,7 Pt, tandis que la formule indique
39,5 (dosage de M. Popoff).
Théorie: ' Expérience:
C, 72 56,70 57,12
H 9. 7,09 7,06
N 14 11,02 10,55
O, 32 25,19 —
127 100,00
Tome XXII.
L'éthylsuccinimide fond à 26 ° ') et montre le phéno-
mène de la surfusion; il reste parfois des semaines à
l’état liquide. Le refroidissement suivi de secousses
ou bien un petit cristal du même composé mis en con-
tact avec le liquide, font cristalliser la masse entière. Le
point d'ébullition est à 234° (le thermomètre depuis
150° hors de l'appareil distillatoire), de sorte que la
différence entre le point du succinimide (p. d'ébul. à
287^) montre une différence de 54° en moins. L'éthyl
succinimide est aisément soluble dans l'eau, l'alcool et
léther. Ses métamorphoses sont analogues à celles
du succinimide. La potasse le dédouble en éthylamine
et en acide succinique. L'eau de baryte le transforme
aisément en éthylsuccinamate de baryte,
[C,H,0, (C,H; . HN) 0],Ba,
aisément soluble dans l'eau et cristallisant sous la cloche
de la machine pneumatique. Le dosage de baryum
répond à la formule donnée.
0,306 gr. ont donné 0,172 gr. Ba SO,.
Théorie: Expérience:
2(0,H,NO,) 288 67,77 nd
Ba 137 32,23 33,04
495 100,00
La formule moléculaire des imides n'était pas,
jusqu'à présent, controlée par la densité de vapeur de
ces corps. L'éthylsuccinimide, présentant une sub-
stance maniable, j'ai prié MT O. Roukavischnikoff
d'en faire la détermination de la densité de vapeur.
Voici les données de cette expérience:
Poids du ballon ges 18,2653 gr.
Ballon avec la vapeur — 18,5288
Température = 266°
Capacité du ballon +147, 0rL,
Température de la balance — 1554
Barométre = 755 m: m. (à 05.
On déduit de ces données pour la densité de l’éthyl-
succinimide le chiffre 4,61: or la densité théorique
pour la formule C,H,O, (C,H;) N est 4,41.
Méthylsuccinimide. Ce composé s'obtient comme le
précédent en distillant une solution aqueuse de l'acide
succinique à demi saturée par le méthylamine. En
1) Température de solidification d'une assez grande quantité
d'éthylsuccinimide fondu.
10
147
Bulletin de l’Académie Impériale
148
fractionnant le produit, on obtient la méthylsuccini-
mide bouillant à 234°.
0,271 gr. ont donné 0,5258 gr. CO, et 0,1621 gr. H,O.
Théorie: Expérience:
C, 60 53,09 52,91
H 7: 6,10 6,64
N 14 12,39 +
O, 32 28,42
113 100,00
Le méthylsuccinimide bout à 234; il fond à 667,5
(le point de fusion était déterminé comme il a été dit
pour l’éthylsuccinimide). Le corps fondu se concrète
en de belles lamelles; il est très soluble dans l'eau et
dans l'aleool. D'une solution alcoolique il cristallise
en lamelles.
Les imides substitués, dont la description vient d'étre
faite, étaient préparés pour essayer l'action des éthers
isocyaniques?). Il n'y a pas d'action entre ces composés.
Je profite de l'occasion pour décrire un composé
appartenant à la série du succinimide — le sel double du
succinimide mercurique avec le cyanure de mercure,
. (€,H,0,N) Hg. Hg. (CN). Ce composé est analo-
gue au sel double du dérivé mercurique avec le chlo-
rure de mercure, que j'ai décrit ailleurs, et se forme
dans les mémes circonstances, en ajoutant le cyanure
de mercure au succinimide, les deux composés étant en
solution assez concentrée. L'analyse confirme la for-
mule donnée plus haut.
0.3353 gr. ont donné 0,2246 gr. CO, et 0,0437 H,O
0,2796 gr. ,, „ 20,5 c.c. d'azote à 10° et
758,94 m. m.
0,4827 gr. „ on 30,8435 Hg S
y Théorie: Expérience:
C, 120 18,52 18,27
3H, B 1,223 1,44
N 56 8,64 ‚8,75
Hg, 400 61,72 61,34
O 64 9,99 —
648 100,00
Le sel cristallise en paillettes, présentant sous le
microscope des rhombes et des parallelogrammes. T
est difficilement soluble dans l'eau froide, ainsi que
dansl'aleool bouillant. Les essais pour obtenir le cyan-
succinimide étaient restés sans résultat.
2) Bull. T. IX p. 309.
Über das geologische Alter der nordkaukasischen
Jura-Kohlensandsteine und über in denselben vor-
kommenden natürlichen Salpeter im Kubanthale.
Von H. Abich. (Lu le 23 mars 1876.)
Schon lange bevor die Unterwerfung der Bergvólker
im nordwestlichen Kaukasus Thatsache geworden,
hatte der Ruf in dem breiten Raume der sich zwischen
der hohen, vielfach von Querthälern unterbrochenen
jurasischen Vorkette und dem centralen krystal-
linischen Gebirge ausdehnt, Örtlichkeiten hin verlegt,
woselbst von den feindlichen Bewohnern der höheren
Thäler eine, natürlichen Salpeter einschliessende Erde
gegraben wird. Eine dieser Örtlichkeiten, die sich im
Kubanthale befindet, ist in neuester Zeit Gegenstand
aufmerksamer Beachtung und Untersuchung geworden,
welche in Bezug auf technische Verwerthung dieses
Naturproduktes zu aufmunternden Resultaten geführt
| haben. Ein lange von mir beabsichtigter Besuch dieser
Ortlichkeit mit dem Zwecke, ein auf eigene Anschau-
ung gestütztes Urtheil über ihren Werth zu gewinnen,
kam während meines Kuraufenthaltes in Kislovodsk
1874 bei Gelegenheit einer Reise durch das Kuban-
thal aufwürts nach Karatschai und der Gletscherregion
des Elburuz zur Ausführung und verschaffte mir die -
Wahrnehmungen und Anschauungen, deren Darlegung
der Gegenstand der folgenden Mittheilung ist.
In meinen Bemerkungen über die nordkaukasische
Steinkohlenformation, die den Mittheilungen «Geo-
gnostische Beobachtungen auf Reisen im Kaukasus im
Jahre 1873*)» angehóren, habe ich auf die bedeuten-
den Niveauverschiedenheiten hingewiesen, welchen das
Zutagetreten der Steinkohlen einschliessenden Sand-
steinbänke des unteren braunen Jura, in ihrer Er-
streckung von OSO nach WNW, zwischen den Meri-
dianen des Conguti Choch (Adai-Choch) und des
Elburuz unterliegt. — In allgemeiner Abhüngigkeit
von der Reliefgestaltung der krystallinischen Central-
systeme, die sich zwischen den Quellengebieten des
Terek und Kuban in der mittleren Riehtung der kau-
kasischen Gebirgsachse an einander reihen, steigen
Kohlenspuren einschliessende Sandsteine der Dogger-
formation zu absoluten Höhen von 8623 bis 10,520
Fuss am Gebirge empor. Zusammenhängende Stein-
1) Bulletin de la Société Impériale des Naturalistes de Moscou
année 1874 N 2 pg. 304.
149
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
5 > 1
` D
kohlenschichten von einigermassen bauwiirdiger Mách-
tigkeit sind erst in tieferen Niveaus von 6074 bis
5830' Meereshóhe erkannt worden. In ihrer schwachen
Neigung gegen Norden gehóren die Schichten dieser
siimmtlichen Fundstellen dem geognostischen Bildungs-
ganzen jener flachen Gewülbform an, in welcher der
nordwestliche Abhang des Kaukasusgebirges sich im
Norden des Elburuz und zwar in entschiedener Ab-
hüngigkeit von einer meridianen Längenerhebung
ausprügt, deren Scheitellinie, vom Gipfel jenes er-
loschenen Vulkans beginnend, sich als Wassertheiler
noch weit über das Stavropolsche Hochland forter-
streckt?). Die gesammte Westseite dieser meridianen
Erhebung aus junger geologischer Zeit zeigt eine, von
ihrer Ostseite physikalisch - geographisch sehr ab-
weichende Gestaltung. In Folge einer ursprünglichen
stärkeren Neigung des westlichen Abhanges und einer
wahrscheinlich damit in Verbindung getretenen allge-
meinen Bodensenküng gegen Nordwest, erhielt der
Kuban seinen anfünglich nórdlichen Lauf, zugleich mit
der grösseren Höhe und Steilheit seiner rechten Ufer-
seite, die in 160 Werst nördlicher Entfernung von der
Centralkette, im Plateau von Temnolesk, noch zu
2400 F. absoluter Höhe aufsteigt. Ein anderer, diesen
Grundverhältnissen sich anschliessender wichtiger Zug
der orographischen Ausbildung der Westseite der
flachen Längenwölbung ist die, vom Meridian des El-
buruz an, immer stärker hervortretende Umbiegung des
Südrandes des plateauförmigen Gebirgsabhanges nach
Nordwest, der von Kislovodsk ab, glacisartig mit dem
schwachen Neigungswinkel von 4 Grad zu der cul-
minirenden Höhe des Contreforts von Bermamut an-
steigt. Durch die Divergenz dieser, die Grenze zwischen
weissem und braunem Jura bezeichnenden Kammlinie,
mit der ihre westn heRichtung beibehaltenden
krystallinischen Centralkette, gewinnt die Zone der
kohlenführenden Sandsteine der Doggerformation
eine solche Breite, dass sie mit einer Spannung von
zwanzig Werst, das sanft gegen den Elburuz anstei-
gende Hochland von Betschassin bildend, sich von
dort aus absoluter Höhe von 7700 F. zu dem mehr als
4000 F. tieferen Niveau der Kuban-Thalsohle hinab-
senkt.
Diesen Verhältnissen und vorzüglich der Gleich-
2) Prodromus einer Geologie der Kaukasus- Länder v. H. Abich
Mémoires de l'Acad. Imp. des sciences, Série VI, Tome VH.
förmigkeit zu Folge, womit die Doggersandsteine durch
ihr geringes nordwestliches Einfallen begünstigt, mit
den concordant ihnen aufgelagerten Kalken und ca-
vernösen Dolomiten der Malmformation thalabwärts
noch lange sichtbar bleiben, werden dieselben Stein-
kohlenlager, deren Ausgehendes zuerst in den Thal-
einschnitten des Hochlandes Betschassin erkannt wor-
den ist, auf der Thalebene des Kuban und in ih-
ren Nebenschluchten in sehr geringer Tiefe unter
Tage angetroffen. Das Constantbleiben der wenig ge-
stórten, beinahe sóhligen Lagerung, die dem Abbau
der Kohle förderlich ist, so wie die absolute Grösse
der im Kuban-Gebiet zu Tage tretenden Areale der
kohlenführenden Doggersandsteine, sind geognostische
Umstände, die mit Rücksicht auf das gegenwärtige
Kohlenbedürfniss der Eisenbahnen im Norden des
Gebirges wohl dazu rathen dürften, das gesammte
Steinkohlen-Revier am Kuban, dessen Ausdehnung
mindestens bis zur Laba vorauszusetzen ist, in Bezug
auf seinen technischen Werth einer genaueren Unter-
suchung mit Anwendung des Bohrers zu unterwerfen.
Die Steinkohlensandsteine befinden sich am nordwest-
lichen Abhange des oft genannten Hochlandes von
Betschassin in ihrem Übergange zu den ebenen Stufen
‚des Kubanthales in folgereich logischer Abhángig-
keit von einer sehr mächtigen, das Thal quer durch-
setzenden Zone von melaphyrartigem Hornblende-An-
desit. Die in colossalen Dimensionen entwickelten
Massen dieser plutonischen Gesteine trennen auf der
oberen Thalstufe des Eschkakon den ursprünglichen
Zusammenhang der durch den oberen Malm gebildeten
Seheitelhöhe des Südrandes des vorher näher bezeich-
neten nördlichen Gebirgsabhanges; in anhaltender
Richtung von SO nach NW wirken sie, die orographische
bildung des ganzen Gebiet wesentlich beeinflussend,
abwärts und erreichen innerhalb der Vereinigungs-
region des Kuban und Teberdathales ein ausser-
ordentliches Maas ihres eruptiven Verhaltens.
Der terrassenfórmige Bau der beinahe wagerecht
geschichteten Sandsteine ist hier von stehenden und
liegenden Gängen des Eruptivgesteins von den grösse-
sten bis zu den kleinsten Dimensionen, auf sehr weite
Entfernungen hin durchsetzt. Die baldige Nähe der
Steinkohle unter Tage verräth sich durch das saal-
bandartige Erscheinen anthrazitartiger Kohlensubstanz
auf den geschwärzten, durch starke Friktionswirkung
o o
43° ab
=
A
T
151
Bulletin de l'Académie Impériale
152
eigenthümlich bezeichneten Contaktszonen häufiger
Gänge des Melaphyr mit dem Sandsteine. In etwa
drei Werst nördlicher Entfernung von der Brücke,
welche bei dem Festungsthurme in 2960 F. Meeres-
höhe die ersten Catarakte des Kuban überschreitet,
die ein mehrere Faden breiter, quer durch den Fluss
setzender Melaphyrgang veranlasst, sieht man am
steil abfallenden Flussufer ein oberstes Kohlenflötz
streckenweis im Niveau der Wasserlinie fortlaufen.
Der Abbau dieses Kohlenflótzes von ?/, Arschin Mäch-
tigkeit, durch das Verhältniss einer nahe dieselbe
bleibenden Tiefe unter Tage begünstigt, fand längere
Zeit auf der rechten Kubanseite, am Ausgange der
östlich in das Hauptthal einmündenden Querschluchten
statt. Im Jahre 1860 wurde der Abbau desselben
Flötzes in weiterer Entfernung, 8 Werst von der
Kumara- Brücke, thalabwürts auf die linke Kuban-
Seite in das kleine Seitenthal von Arakent verlegt.
In 4 Werst Entfernung vom Kuban, etwa 150 F. über
dem Spiegel desselben tritt hier, unter dem Einflusse
schwacher von Süd nach Nord gerichieler Verwerfun-
gen, eine Steinkohlenschicht von 12 Werschock Mäch-
tigkeit zu Tage, die zweifelsohne dem Lagerungs-
ganzen des früher im Grunde des Hauptthales abge-
bauten Kohlenflötzes angehört. Das Einfallen der
Sandsteine nach NNO. von 3° bis 5° folgt dem
Streichen der Schichten von OSO.—WNW. In Über-
einstimmung mit den Voraussetzungen, welche die
Erwägung der geognostischen Grundverhältnisse der
entsprechenden Thalstufe des Kuban an die Hand
geben, hat der seit nunmehr 15 Jahren im Betriebe
gewesene Kohlenbergbau von Arakent gezeigt, dass
die Lagerungsverhältnisse der Steinkohle, mit nörd-
licher Entfernung von der Zone der Melaphyr-Durch-
brüche immer günstiger werden, indem die selten,
mehr als ein bis anderthalb Faden betragenden Ver-
werfungen und sonstigen Anomalien des stratigraphi-
schen Verhaltens allmählich verschwinden. Allen that-
sächlich gebotenen Schlussfolgerungen gemäss, sind
Bohrungsversuche auf das Auffinden eines Steinkohlen-
lagers von möglicher Weise grösserer Mächtigkeit als
12 Werschock, bisnach der Nikolajevskschen Stanitza,
mit Aussicht auf Erfolg und zwar ausdrücklich mit
der Zugabe, das Liegende der Doggersandsteine zu
erreichen, sehr anzuempfehlen. Neben ihrem zunächst
liegenden praktischen Werthe für die Zukunft der
kubanischen Steinkohle, hat eine derartige Unter-
suchung noch eine andere wissenschaftliche Bedeutung,
die mit gewissen geognostischen Wahrnehmungen in
Verbindung steht, von denen später die Rede sein
wird.
In meinen Bemerkungen über die nordkaukasische
Jura - Steinkohlenformation und ihre Verbreitung,
welche in den bereits eitirten «Beobachtungen auf
Reisen im Kaukasus im Jahre 1873», den zweiten Ab-
schnitt von Seite 27—65 des Separatabdrucks ein-
nehmen, habe ich mich auf den Nachweis beschränkt,
dass die Steinkohle des nordwestlichen Kaukasus- Ab-
hanges in die Bildungsperiode der untersten Schichten
des Dogger zu verlegen ist, und dass ihre Bildungs-
zeit sich unmittelbar an diejenige einer Conglomerat-
ablagerung anschliesst, die aus eckigen und abgerun-
deten Fragmenten polygener, krystallinischer, vorwal-
tend geschichteter Gesteine besteht, deren Lagerungs-
Complex das Liegende der Kohlen-Sandsteine bildet.
Von den deutlichsten Belegen hierzu in den Thálern
des Tissilssu und des Uruch, habe ich pg. 53 und 64
l. c. Andeutungen gegeben.
Das mir nur an wenigen Stellen des Kaukasus be-
kannt gewordene Vorkommen von thierischen Lias-
fossilien, wovon dasjenige im oberen Niveau jener
Conglomerate in den Thälern von Balkarien das ent-
scheidenste ist, hat mich zu der Ansicht geführt, dass
die Liasformation auch in diesen Kaukasustheilen über-
haupt nicht zu einer normalen E twickelung gelangt ist.
Eine wesentliche Erweiterung meiner Anschauungen
in dieser wichtigen Beziehung verdanke ich der kürz-
lich gewonnenen näheren Einsicht in das Verhalten
der fossilen Pflanzenreste der die Steinkohlen ein-
schliessenden Schichten an dem jetzigen Fórderungs-
orte von Arakent, den ich erst 1874 zum ersten Male
besuchte.
Etwas abweichend von der Facies der jurassischen
Steinkohlenformation und ihrer Pflanzen auf der kau-
kasischen Südseite, hat sich diejenige der Kuban-
Region, soweit sie aus den bisherigen spárlichen . Fun-
den und deren Bekanntwerden zu beurtheilen war, als
nüher verwandt mit der dagestanischen erwiesen, die
nach dem Urtheile des verehrten Collegen Goeppert
über die, von mir vor Jahren ihm zugesendeten Ab-
drücke, den Lias-Charakter kund giebt. Durch Man-
gel an Schichtung und Fehlen der sogenannten mine-
153
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
-
154
ralischen Holz- oder Faserkohle ist diese Liaskohle
von der alten Steinkohle wesentlich unterschieden.
Taeniopteris vittata . T. crassipes; Aethiopteres Whit-
biensis; Equisetes columnaris; Cycadeen aus der Gat-
tung Nilsonia, Paenopteris, und Friichte aus dem gros-
sen Geschlechte Carpolites sind die wesentlichsten von
Goeppert erkannten Pflanzenabdrücke aus der Stein-
kohlenformation von Dagestan. Die Wiederaufnahme
meiner frühern Nachforschüngen in Betreff der fossi-
len Pflanzenreste der Kuban-Steinkohlenformation an
dem Orte der Gruben von Arakent, bestätigte im All-
gemeinen die Kürglichkeit, womit die Arten einiger we-
nigen daselbst vorkommenden Pflanzengattungen ver-
treten sind und befestigte mich in der Ansicht, dass
Equiseten neben schmalblüttrigen Pterophyllen und,
als wahrscheinlich den Coniferen zuzuzühlende undeut-
liche Pflanzenreste den typischen Charakter der fossi-
len Flora der kubanischen Steinkohle bilden. Diese
. Equiseten, anscheinend ein und derselben zweifel-
haften Species angehórig, finden sich in grossen
Mengen nur im Liegenden der Steinkohlenschicht in
einem dunklen, grauen kalkig thonigen Schiefermergel,
in platt gedrückten, über einander gehäuften Stengeln
von 4—6 Millimeter im Durchmesser, spärlich ge-
mengt mit mehr oder minder in der angedeuteten
Beziehung deutungsfähigen lanzetfórmigen Blättern
und vorerst noch zweifelhaft gebliebenen Frucht-
organen. An der Identitüt dieser Equisetes mit E.
columnaris zweifelnd, zog ich es bei dem Mangel
nóthiger Bestimmungsmittel und mit Rücksicht auf
die Wichtigkeit des Gegenstandes vor, gute Photo-
eraphien gewáhlter Handstücke mit wohl erhaltenen
Pflanzenformen anfertigen zu lassen und erbat mir
das Urtheil Goeppert's über dieselben. Um das
mit der gewohnten liberalen Bereitwilligkeit abgege-
bene Urtheil des Genannten nicht etwa durch Ab-
kürzung zu beeintrüchtigen, gebe ich dasselbe verbo
tenus wieder.
«Die Calamiten nach den beiden Photographien
sind sehr schwer zu bestimmen. Ob bilaterale lässt
sieh nicht entscheiden, da die strahlig sternfórmigen
Narben der abgefallenen Zapfen fehlen und auch nur an
ein paar Stellen die ungewöhnlich langen Glieder oder
richtiger die Grenzen derselben zum Vorschein kom-
men. In diesem Zustande gleicht derselbe auf ein Haar
dem Calamites Gümbeli Schek: der rüthisehen For-
mation (dessen Flora der Grenzscheide des Keupers
und des Lias Frankens. Wiesbaden 1867. Tab. 1.
Fig. 8), welcher zugleich mit den Equisetes Münsteri
vorkommt in den Lettenschichten der rüthischen For-
mation, und wieder einem von mir im schlesischen
Keuper gefundenen, Calamites Lehmannus genann-
ten, sehr nahe steht. Inzwischen bemerkte ich in der
mir zuletzt geschickten Photographie und zwar am
oberen Rande derselben, wenn ich nicht irre, eine
Fruchtühre, welche, wenn es sich so verhielte, der von
E. Münsteri sehr nahe steht, und dann als sehr
interessant zu betrachten würe. Es würde dieses Vor-
kommen nur als ein neuer Beweis von der grossen
Verwandtschaft der Lias-, Oolith- und der Wealden-
Flora mit der der rüthischen Formation sein, wie sich
dies auch aus dem Folgenden noch weiter ergiebt.»
Durch diese neue, auf das schon oft vermuthete
Vorhandensein des Infralias oder der rüthischen Stufe
auf der kaukasischen Nordseite deutende Thatsache,
so wie durch die jetzt gewonnene Erfahrung, dass die
Equiseten führenden Steinkohlensandsteine mit ihren
unteren Conglomeraten auf der Thalstufe der steinernen
Brücke von Kumara, nur durch die geringe Tiefe von
3 — 4 Faden von den krystallinischen Schiefer- und:
granitischen Massengesteinen getrennt sind, wird zu-
nächst die pg. 35 l. c. von mir vertretene Ansicht von
der Wahrscheinlichkeit einer oberen und einer unteren
Abtheilung der nordkaukasichen Steinkohlenformation
berichtigt. Insbesondere aber wird die versuchte Paral-
lelisirung des am Kuban jetzt im Abbau befindlichen
Steinkohlenflötzes mit den Verhältnissen von Yorkshire
und Bora abgewiesen. Diese Parallele hatte in dem,
als ein sehr interessantes geologisches Problem fort-
bestehenden Auflagerungs - Verhültnisse der vielfach
zerrütteten Malmformation auf die, Steinkohlenlager
einschliessenden hellen Sandsteine im Kubanniveau,
zwischen der Kumara - Brücke und der Stanitza Ni-
kolajef, ihre Hauptstütze gefunden. Dagegen schliesst
sich die neue Wahrnehmung von Equiseten der räthi-
schen Stufe mit endgültiger Beweiskraft den Schluss-
folgerungen an, die aus den petrographischen und
stratigraphischen Verhältnissen des Kubanthales, von
dem Vereinigungspunkte mit der Teberda aufwärts aus-
gehend, unter vergleichender Miterwägung der ent-
sprechenden Umstünde in andern Thülern der Nord-
seite des Gebirges, zu Gunsten eines jedenfalls höheren
Bulletin de l'Académie Impériale
156
155
z. Th. paläozoischen Alters der sogenannten meta-
morphischen Schiefer des Kaukasus von mir seit lan-
gem gezogen worden sind. Dieselben blieben bisher
deshalb unausgesprochen, weil alle wiederholten Be-
mühungen, paläontologische Beweise für diesen Satz
aufzufinden, erfolglos blieben, so wenig ich auch das
Gewicht der Gründe verkannte, die den verewigten
Murehison veranlasst hatten, jene Ansicht carto-
graphisch zu vertreten.
- Meine erste Bekanntschaft mit den erwühnten geo-
logischen Verhältnissen beginnt im Jahre 1849; sie
knüpft sich an eine militürische Expedition, welche
unter Führung des Fürsten Eristaf die Beantwortung
der Frage bezweckte, ob es unverbürgten Gerüchten
zu Folge móglich sei, eine fahrbare Strasse durch
das Kubanthal aufwärts über die kaukasische Pass-
hóhe am Nachor-Kamme nach der Zebelda und ab-
würts nach Suchum Kalé herzustellen. Auf dieser
Expedition, welche auf der pontischen Seite nur bis
zur unteren Stufe des Gletscherthal-Cireus Tourlar
Kourgan in absoluter Hóhe von 7045 F. vordringen
"konnte und den Rückweg über den weiter westlich
` gelegenen Pass Kluchorsky von 9617 F. Meereshöhe,
"bei dem Gletschersee der Teberda vorüber durch das
Thal dieses Namens abwärts nahm, war die Möglich-
keit eingehende geologische Beobachtungen anzustellen,
für mich eine sehr beschrünkte. Aus den Notirumgen
meines Journals aus jener Zeit entnehme ich hier nur
einige Bemerkungen, die das geologische Verhalten
bis zur Teberda-Mündung ganz im Allgemeinen an-
deuten sollen.
Von der Kammregion beginnend, betonen diesel-
ben den daselbst in zackig emporstrebenden Fels-
kämmen entwickelten Alpengranit mit zollgrossen dem
Adular ähnlichen Feldspathkrystallen, neben vorherr-
schenden protogynartigen Granit, der gelben und
grünlichen talkig chloritischen Glimmer und mitunter
unvollkommen krystallinischen Grossular einschliesst.
Andere Granite sind durch ein inniges kleinkórniges
Gemenge von Orthoklas und Oligoklas und wieder
andere durch Fett- und Milchquarz mit chloritischem
Glimmer ausgezeichnet, neben solchen die als Schrift-
granite zu bezeichnen wären. Der petrographische
Charakter in dem Hochthale Tourlar-Kourgan auf der
zebeldinischen Seite, aus dem der Klitsehfluss sein
Wasser dem 15 Werst entfernten Kodjori zuführt,
kommen in der Zone des Übergangs aus granitischen
Massengesteinen in die Schieferzone, bald gneissartige,
bald Talk und Glimmerschiefer darstellende Gesteins-
modificationen zum Ausdruck, in welchen als Ein-
schlüsse Smaragdit, grünlicher edler Serpentin mit
silberweissem Glimmer und derber Corund vorkom-
men. Auf der Nordseite der Kammregion, innerhalb
welcher dunkler porphyrischer Diorit, mit grossen
weissen, für Labrador genommenen Feldspäthen, gang-
fórmig alle genannten Gesteine in SO. nach NW. durch-
bricht, ist die Grenze, wo die massig krystallinischen
Gesteine der Granitfamilie aufhóren und die umfang-
reiche Zone der metamorphischen Schiefer beginnt,
orographisch durch den Eintritt weniger schroffer,
mitunter flach abgerundeter Bergrücken bezeichnet.
Meine Notirungen ‚geben hier einen dunkelgrauen,
von Kalkspathadern durchzogenen, anscheinend ver-
steinerungsleeren nieht bituminósen Kalk an, der mit
schiefrigen Felsarten mannigfaltiger Art wechsella-
gert.
Bald auf diesen Kalk folgt eine äusserst mächtige `
nach Norden geneigte flótzartige Ablagerung von pud-
dingsteinartigen Conglomeraten, an deren Zusammen-
setzung Rollstücke aller Gróssen von Milchquarz vor-
herrschenden Antheil neben Bruchstücken von dunk-
len aphanitühnlichen harten, dem Kiéselschiefer nahe
stehenden Gesteinen nehmen. Mein Tagebuch legt
einen Nachdruck auf die Wahrnehmung, dass diese
in einen üusserst festen conglomeratartigen Sandstein
übergehende klastische Bildung das Fundament der `
grossen kohlgnführenden Sandsteinformation darstellt,
die sich nunmehr mit róthlich braunen, sehr mäch-
tigen, vielfach dislocirten Schichtenbauen thalabwárts `
entwickelt und deren Anfang von dem höchsten im `
'Thale vorkommen Aul, in einer Meereshóhe von etwa
5600 F., angenommen werden kann.
Den vorstehenden Andeutungen von dem geologi-
schen Baue jener weiten Gebirgsregion entsprechend,
welehe zwischen den Flussthälern des Kuban und der
Teberda grade ein Gebiet umfasst, dessen tiefe, fast
rechtwinklich auf das Streichen der gesehiehteten
Formation gerichteten Thaleinsehnitte den vollstän-
digsten Einblick in die, einer- früheren Bildungszeit
als die des Jura angehörigen Gebirgstheile gestatten, `
war die rothbraune, schon damals durch ihr strati-
eraphisches Verhalten mir sehr auffällige Formation,
-
D
157
des Sciences de Saint -Pétersbourg.
r
158
der Hauptgegenstand meiner Beachtung, zumal in den
weitgeöffneten Karatschai - Thálern von Karajourt,
Churdzuk und Ütschkulan. Das Vorherrschen klasti-
scher, durch thonig-eisenreiches Bindemittel verkitte-
ter Felsarten, in unverkennbarer genetischer Abhängig-
keit von quarzreichen porphyrischen Ganggesteinen,
massigen Quarziten und krystallinischen Schiefern,
verleiht der geognostischen Massenentwickelung die-
ser ganzen Region ein au specifisches, an die Bil-
dungen aus den Zeiten der Dyas oder der Trias, d.h.
des alten Rothensandsteins oder des Buntensandsteins in
den Ostalpen erinnerndes Gepráge, dass ich nur aus
Mangel an fossilen, in diesem róthlich-braunen, thonigen
Schichtencomplexe aufzufindenden organischen Resten
Anstand nahm, dieselben einer jener Bildungszeiten
unterzuordnen. | |
Fast unabweisbar steigert sich die Vorstellung von
vormesozoischen Bildungen, wenn man von der Ku-
mara-Brücke an, das Kubanthal aufwirts. nach Kara-
jourt und Ütschkulan durehwandernd, jenseits der
Region, welche die grossartigen orographisch domi-
nirenden Durchbruchsphaenomene der hornblende-
reichen Melaphyre des Gók-Tau durch die Kohlen-
sandsteine vorführt die Thalenge betritt, welche die
breite Zone der álteren metamorphischen Schiefer mit
dem ganzen Anschluss solcher Gesteine in bogenfórmig
nach Ost gerichteter Krümmung durchsetzt, die seitens
ihres abnormen histologischen und stratigraphischen
Verhaltens, befriedigend nur als klastisch eruptiv
zu deuten sind. In denselben realisirt sich der Inbe-
griff fast sämmtlicher, theils schiefriger, theils massig
krystallinischer Steinarten, welche geognostisch die
Gruppe des Verrucano darstellen, wie sie in den
piemontesischen, den Sehweizer- und den Ost-Alpen
verstanden wird.
Mit stratigraphischer Beziehung auf eine durch-
-gángig hervortretende, von OSO. nach WNW. gerich-
tete mediane Dislocationsachse dieser Verrucano-
Zone herrschen in ihr thalaufwárts, zunächst unvoll-
kommen krystallinische Gesteine in wilden und ver-
worrenen Lagerungsformen vor, in welchen eine
` zwischen Chlorit und Talkschiefer schwankende Grund-
masse fleischrothen Feldspath nach Art stehender und
liegender Gänge neben derben Quarzschnüren ein-
schliesst. Mitunter erscheint der Quarz dergestalt
mit dem Feldspath gemengt, dass nur der Hinzutritt
des dritten Elements fehlt, um Granit darzustellen.
Talkgneis und talkige Quarzite, im Verein mit kiesel-
schieferähnlichen, von Quarz- und Feldspath-Adern
netzfórmig durchwebten Massen, denen wirkliche
Talkschiefer mit grünen Talkausscheidungen sich. an-
schliessen, vermitteln einen Übergang in ausgezeich-
net schóne smaragdgrüne, mit silberhellem Glimmer
und rothem Granat erfüllte Talkschiefer, deren colos-
sale plattenförmige Absonderungen mit 45—50°
Neigung ein westnordwestliches Streichen besitzen.
In der Mitte des immer enger werdenden Defilös, wo
mehrfache Stromschnellen des Kuban eintreten, be-
ginnen, von grünen jaspisgleichenden Kieselschiefern
begleitet, rothe Porphyr-Conglomerate in eruptiven
Formen hervorzudringen, die mit Zwischenbildungen
von Quarzporphyr und Gabbro wohl mehr als andert-
halb Werst anhaltend an Conglomeraten von enormer
Mächtigkeit absetzen, in denen sich auf das vollstän-
digste der lithologische Charakter der Puddinge von
Valorsine und des Verrucano von Glarus und Wallen-
see ausdrückt. Weiter hinauf machen diese pracht-
vollen Gesteine wieder mannigfach modificirten grün-
lich grauen Schiefern Platz. Sie werden durchfahren
von massig auftretenden dunkelgrauen Quarzpor-
phyren, quarzführenden felsitischen Breccien und
polygenen Conglomeraten, in welchen Trümmer von
silieiösen jaspisartigen Schiefern, Quarzmandeln führen-
den Amygdaloiden, dichten grobsplittrigen lichtgrauen
Kalkstein, kiesligen Serpentin und Diorit, durch ein
thonig-kiesliges Caement zu einer Felsart von ausser-
ordentlicher Zähigkeit verbunden sind. An diese
klastischen Gebilde von grobem Korn schliessen sich
dergleichen feinkórnige Quarzitsandsteine im zahl-
reichen Wechsel mit schwürzlichbraunen halberdigen
Schiefern, die in stänglich polyedrische Bruchstücke
zerfallen. Zwei Werst nördlich von Karajourt sieht
man die normalen gelblichen Kohlensandsteine von
Betschassin in übergreifender Lagerung auf den zu-
vor geschilderten Formationsgruppen, von den öst-
lichen Höhen der rechten Kuban-Thalseite, noch ein-
mal sich bis zur Sohle des Thales hinabsenken. — ——
In dem petrographischen Uberblick der angegebenen
Gesteinsfolgen im Kubanthale, von der Kumara-Brücke
bis Ütschkulan im Innern von Karatschai an, sind fast
alle Gesteine der metamorphischen Schieferzone ver-
treten, welche im engsten petrographischen Anschlusse
*
159
Rulletin de l'Académie Impériale
an die wirklichen Granite, Granitgneisse, Protogyn-
granite und Diorite der Centralkette mit ihren krystal-
linischen Centralmassen nórdlich vorliegt.
In dieser, an Gesteinswechsel so überaus reichen
Zone kommen Äquivalente der grauen und grünen
Schiefer der Alpengeologie, überhaupt solche dem In-
begriffe dieser Gruppe entsprechende Felsarten zur
selbständigen Lokalausbildung, die als Grünsteine (pie-
tre verde der italienischen Geologen), als Diorite,
Serpentine, Gabbro und Euphotide in den Alpenge-
birgen eine so wichtige Rolle spielen und welche in be-
zug auf ihre wahre Stellung zu der chronologischen
Reihenfolge der Formationen daselbst, meist so schwie-
rig zu deuten sind.
Im Allgemeinen ist der krystallinische Gesteins-
charakter in dieser metamorphischen Schieferzone vom
Kubanthale an, in óstlicher Richtung, nur bis dahin
ein dauernder, wo die Gesteine der Granitfamilie auf-
hóren, an dem Aufbaue der Centralkette überhaupt
Theil zu nehmen; denn schon óstlich von dem Systeme
der Terekquellen und dem der Assa, findet ein voll-
ständiges Aufgehen der krystallinischen Gesteine des
Hauptkammes und derer der metamorphischen Schie-
ferzone des nórdlichen Nebenkammes in die eigentli-
chen álteren kaukasischen Thonschiefer statt, wie sie
in ihrer reinsten und typischen Entwickelung, insbeson-
dere im dagestanischen Centralgebirge zu Tage treten.
Es ist bemerkenswerth, dass solche krystallinische
Reprüsentanten der. metamorphischen Zone, deren in-
nere Ausbildungsweisen und lokale Lagerungsformen
ihre eruptive Natur ausser Zweifel stellen, vom Meridian
des Kasbek ausgehend, in nordwestlicher Richtung
zunehmen und mit Annáherung an die Centralerhebung
des Elburuz das Maximum ihrer Entwickelung zeigen.
Am vollendesten ist dieser eruptive Charakter mor-
phologisch in den rostbraunen und schwarzgrünen
kiesel- und mandelsteinreichen felsitischen Felsarten
ausgeprügt, welche die dunkle, zackig emporstarrende
Kette des Taschly-Syrt bilden, die in südlicher Begren-
zung des Hochgebietes von Betschassin, normal- grani-
tischen Gesteinen angelagert und gleichsam mit ihnen
verschmolzen, dicht am Nordfusse des Elburuz vorüber-
zieht und mit den südlichen Ausláufern ihrer, im
Tschütschgur- Arschat mit 11,380 F. culminirenden
Centralpartie die Eisbedeckung des letzteren theilt.
Grade solche Felsarten sind es aber, die in der anti-
klinalen Achsenregion der, in der nahen Kuban-Enge
8000 F. tiefer aufgeschlossenen Schieferzone zum
Überblick kommen. In weiterer nordwestlicher Rich-
tung jenseits des Kuban fortsetzend, tritt die gross-
artigste Bedeutung der krystallinischen Schieferzone
fiir die Orographie und Geologie des Kaukasus erst
in den umfangreichen Gebirgssysteme des Tschyluk
und Nakur hervor, welches jenseits der Querthäler
des Aksau und Maruch in 100 Werst nordwestlicher
Entfernung von Elburuz, und wie dieser durch ein
18 Werst langes Querjoch mit dem Hauptkamme an
der Schachmaruka orographisch verbunden, von den
hóchsten Quellenarmen des Selendschuk und der Laba
umfasst wird ?).
Die Frage über die wahre Altersstellung der stein-
kohlenführenden Sandsteine kritisch weiter verfolgend,
kónnte man geneigt sein, aus dem bisher Vorgetrage-
nen die wissenschaftliche Berechtigung für die
Schlussfolge abzuleiten, dass das paläozoische Alter
der, mit dem Verrucano verbundenen metamorphischen
Schiefer, hier so gut wie bewiesen zu betrachten sei.
Wenn man indessen der eigenthümlichen Verháltnisse
des Verrucano in den Glarner Gebirgen, sowie der spár-
lichen Theilnahme paläozoischer versteinerungs-
führender Schichten an der Zusammensetzung des
Alpengebirges überhaupt gedenkt und erwágt, dass im
Kaukasus, soweit derselbe bis jetzt erforscht ist, die
Betheiligung solcher alten, biologisch als Silur, Devon
oder Bergkalk gekennzeichneten Ablagerungen, an dem
Baue des Gebirges noch nicht nachgewiesen worden
sind, wenn man ferner sich daran erinnert, dass,
lithologisch mit dem als wirklich paläozoisch er-
kannten Verrucano vóllig übereinstimmende erup-
tive Conglomerate háufig in den West- und Ostalpen
3) Während meines Aufenthaltes in Kislovodsk im Sommer 1874
wurde mir von einem jungenMilitair, Felizin, der sich die Aufgabe ge-
stellt und glücklich gelöst hatte,dengrösseren Theil der vorgenannten
Thäler bis zu ihren höheren Stufen aus geographischem Interesse
zu durchwandern, deren Unsicherheit ihren Besuch noch immer sehr
erschwert, eine Sammlung von Gesteinfragmenten übergeben, die
von ihm mit der Absicht für eine spätere Bestimmung aufgelesen
worden waren. Meine gespannte Erwartung vielleicht Felsarten pa-
läozoischen Alters, durch fossile er angedeutet zu finden, erfüllte
sich nicht. Dagegen fand ich die Sammlung, mit Ausnahme einer
Anzahl von belanglosen ein mesozoisches Alter verrathenden Kalk-,
Dolomit- und Sandsteinschieferfragmenten, aus Repräsentanten der
metamorphischen Schieferzone bestehend, die eben so gut auch in
den Karatschai-Thälern hätten gesammelt sein können, mithin für
eine Fortsetzung der dortigen geognostischen Verhältnisse nach
NW. sprachen.
160 `
Bd x Ee
(094
PMA
161
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
vorkommen, die bei näherer Prüfung fast durchgängig
als Glieder des bunten Sandsteins erkannt und somit
der mesozoischen Formation als älteste Glieder ange-
reiht worden sind, so erscheint es jedenfalls gerathener,
aus den im Kubanthale zu beobachtenden geognosti-
schen Thatsachen vorerst nur die Gegenwart der
Trias zu deduciren. Es würde dann der Verrucano der
Kuban-Enge, nebst einem Theile seiner ihn begleiten-
den den Urthonschieferbildungen zum Verwechseln
ähnlichen Gesteinen, als unteres Glied des Bunten-
sandsteins, die höher vorkommenden, Kohlenspuren
enthaltenden Conglomerate und die ihnen unmittelbar
auflagernden, Steinkohlenlager einschliessenden Sand-
steine von Kumara aber, als Infralias oder Räth auf-
zufassen sein.
Der Nachweis einer Equiseten-Species, welche für
die Räthische Formation charakteristisch, nur im
Liegenden der Kubankohle vorkommt, ist dieser
Vorstellung entschieden günstig; noch mehr wird sie
durch das Vorkommen einer Vielzahl von Muscheln
kleiner Zweischaler unterstützt, die ich im Herbst
1874 in dunkelbraunen, thonig-schiefrigen Sandsteinen
gefunden habe, welche dem Tiefsten der Doggerbil-
dungen von Betschassin im oberen Tissilsuthale ange-
hören. Wenn ich auch die für den oberen Keuper so
bezeichnende Avicula contorta darunter nicht erkennen
konnte, so hindert mich nur der Mangel an ausrei-
chenden literarischen und direkt vergleichungsfähigen
Objekten an der definitiven Bestätigung meiner Ver-
muthung, dass in kleinen runden glatten Pecten nebst
schaarenweis auf den Absonderungsflächen der schief-
rigen Sandsteine hervortretenden, Posidonia, Avicula,
Mytilus etc. angehörigen Arten, solche, dem alpinen
Räth zukommende vorliegen.
In befriedigender Weise eg für die Zulässig-
keit dieser, auf das Vorhandensein der Trias gerich-
teten Schlussfolgen noch andere geologische That-
sachen, die der Doggerformation, so weit sie in dem
Raume zwischen der metamorphischen Schieferkette
und der oberjurassischen Vorkette im Norden des
Elburuz, vom Baksan bis zum Kuban mit zunehmender
Breite sich entwickelt, schr eigenthümliche und be-
langreiche Züge verleihen. Es ist hiermit auf zahl-
reiche kalte salinische Sauerwasser von complicirter
Zusammensetzung, aber einheitlichen chemischen Cha-
rakter hingewiesen, die sich über den angedeuteten
Tome XXII.
Raum, theils aus dem Doggersandstein, theils aus
tieferen quarzreichen Conglomeraten hervortretend,
zerstreut finden.
Die enge geognostische Beziehung, in der sich grade
die stürksten und copiósesten dieser, Chlornatrium in un-
gleichen Mengen enthaltenden Quellen, welche auf dem
rechten Kubanufer, wenige Fuss über dem Fluss-
niveau, aus eisenschüssigen Sandstein aufsteigen,
einige Werst unterhalb der Stanitza Nikolajevska, mit
alabasterartigen Gyps, Dolomit und Rauchwacke ver-
bunden finden, führt den Versuch einer genetischen
Deutung dieser Mineralquellen fast unabweisbar der-
selben Schlussfolge zu, die aus den zuvor geschilder-
ten stratigraphischen und lithologischen Gründen zur
fast unbedingten Annahme der Trias, in diesem
Theile des Kaukasus-Gebirges nóthigt.
Mit der Absicht, auf diesen wichtigen Gegenstand
mit seiner praktischen Nutzanwendung, gestützt auf
die Resultate vergleichender Analysen der von mir
mitgebrachten Mineralwasser - Proben, durch welche
Professor C. Schmidt in Dorpat der Wissenschaft
einen überaus dankenswerthen Dienst geleistet hat,
bald umstándlich zurückzukommen, beschránke ich
mich für jetzt nur auf die Andeutung obiger That-
sachen.
Aus gleichem Grunde entsage ich einer náhe-
ren Erörterung über Wesen ‘und chemische Natur
eines, hauptsüchlich aus schwefelsauren alkalischen
und erdigen Verbindungen bestehenden Salzgemenges,
welches in sehr verbreiteter Weise auf Klüften und
Höhlungen wie auf Gesteinsflüchen, die von den at-
mosphürischen Niederschlágen nicht erreicht werden,
sowohl in der Doggersandsteinformation und deren
Conglomeraten, sowie ganz besonders in den einem
ülteren Niveau angehórigen Talk- und Glimmerschie-
fern, in sehr bedeutenden Mengen auswitternd gefun-
den wird.
Dagegen wende ich mich noch zu dem Vorkommen
natürlichen Salpeters in dem Doggersandsteine des
Kubanthales, als dem Gegenstande, dessen Erórterung
ich als einen der Zwecke dieser Mittheilungen am
Eingange derselben bezeichnet habe.
Die Örtlichkeit, wo die salpeterhaltende Erde ge-
funden wird, liegt in 6 Werst nórdlicher Entfernung
von der Steinkohlengrube im Thale von Arakent, in
einem kleinen, mit dem letzteren gleiche Richtung
11
LA
163
Bulletin de l'Académie Imperiale
D
ech WSW. befolgenden Seitenthale des Kuban. | angegeben, dass in der vorgenannten Hóhlung in der
Mein Begleiter dorthin war der Dirigent der Stein-
kohlenfórderung, Herr Outjakof, dessen umsichtiger
Thätigkeit das nähere Bekanntwerden des Salpeter-
vorkommens im Kubanthale zu danken ist. Alle nach-
folgenden Angaben, soweit sie nicht das Resultat mei-
ner eigenen Wahrnehmungen sind, finden in dem Ge-
nannten ihren, wie ich vollen Grund vorauszusetzen
habe, sicheren Gewährsmann.
Das zuvor angedeutete kleine Thalist, wie das ihm
. südlich benachbarte von Arakent, ein Erosionsthal
von mássiger, nach seinem, vom Kubanthale etwa 10
Werst entfernten Ende zu, allmáhlich abnehmender
Breite und Tiefe. Es wird zu beiden Seiten. von nahe
horizontal gelagerten starken Sandsteinbünken von
1—2 Faden Mächtigkeit eingeschlossen, die thalein-
würts meistens steil abfallen und in ihrer Überlage-
rung mitunter ein stufenfórmiges Hervorrücken der
untersten Bänke zeigen. Dieselben reichen aber nicht
bis zum Niveau des Thalweges hinab, sondern bleiben
durch Schutthalden von wechselnder Breite und Hóhe
von demselben getrennt. Das ganze Thal zeichnet sich.
durch seltene Üppigkeit seiner aus Gramineen und
einjährigen Staudenpflanzen bestehenden Vegetation
“aus, von welcher das Hauptthal des Kuban in seiner
| ganzen Ausdehnung in dieser Weise kaum eine Wieder-
holung zeigt. Nur die Tüchtigkeit der Pferde ermög-
lichte in dem Dickicht mannshoher Vegetation das
einigermassen rasche Fortkommen mit der gewöhn-
liehen Pavoske. In 6 Werst Entfernung vom Kuban
tritt eine Gabelung des Thales ein, und schon aus der
Ferne sieht man in der Mitte der Doppelthalweitung
die von zwei Seiten isolirten Sandsteinbänke zu einer
bastionartig steil abgestuften Höhe emporragen, die
vom Thalgrunde ab etwa 80—90 F. betragen mag.
Über einer mit Sandsteinblöcken bedeckten Trümmer-
halde von 50—60 F. Höhe erhebt sich eine minde-
. stens 2 Faden mächtige Sandsteinbank als steile
Wand, die sich durch corrodirte und stark cavernóse
Oberfläche, wie durch eine flache nischenförmige Aus-
weitung in der Höhe auszeichnet; Umstände, welche
sich mit Rücksicht auf die Exposition der Wand nach
der Wetterseite, als Wirkungen der atmosphärischen
Angriffe wohl erklären liessen, so wenig auch der-
gleichen Erscheinungen an andern, ähnlich disponirten
Wänden dieses Sandsteingebiets häufig sind. Es wurde
Höhe, die übrigens tief genug ist um in der oberen
Hälfte von dem anschlagenden Regen kaum erreicht
zu werden, der abwitternde Sand Salpeter enthalte
und mitunter ein zarter Anflug von weissem Salze an
den Wänden zu bemerken sei. Vielleicht war es eine
Folge der äusserst regnerisch gewesenen vorangegan-
genen Wochen, dass es mir nicht gelang, mich an
Ort und Stelle von der Richtigkeit dieser Aussagen zu
überzeugen.
Der Sandstein der Höhlenoberfläche zeigte sich
vollkommen normal, als eine Varietät, welche in einer
mässig festen, bräunlich-gelben Grundmasse, die aus
einem innigen Gemenge von feinem Quarzsand, Feld-
spathpartikeln und thonigem Bindemittel besteht, viele
rinden- und geodenförmige Concretionen von Braun-
eisenstein einschliesst, die keinerlei Zusammenhang un-
ter sich haben und regellos in der Massse vertheilt
sind. Die Oberfläche der höhlenartigen Ausweitung
war fest, und in dem schwer abzuschabenden Sande
hätte vielleicht die chemische Untersuchung Spuren
von Salpeter nachweisen können, die dem Geschmacke
nicht erkennbar waren. Nachdem die, der Aussage
Outjakof's zu Folge, als salpeterführender Sandstein
in Anspruch zu nehmende Felspartie äusserlich noch an
einigen wenigen zugänglichen Stellen untersucht wor-
den, ohne ein befriedigendes Resultat gegeben zu
haben, wurde der etwas schwierige Besuch einer, mit
vertikalen Spaltungen communicirenden Hóblung aus-
geführt, die sich auf der Westseite, dem Hauptthale zu-
gewendet findet und allgemein als die hauptsüchliche
Fundortsstelle der reichhaltigen Salpetererde be-
trachtet wird.
Ich muss gestehen, dass ich mit dem nahe liegen-
den Vorurtheile zu dem Besuche des Salpetererde-
Fundortes geschritten war, es werde sich daselbst nur
um einen der von mir im Kaukasus schon mehrfach
beobachteten Fälle handeln, wo die Salpeterbildung
als eine sekundäre, in Folge der Beschäftigungsart
und der Gewohnheiten, nomadisirend mit ihren Schaf-
und Ziegenheerden umherziehenden und jede nur
irgend zugängliche Höhle zur Bergung des Viehs be-
nutzenden Gebirgsbewohner, sich herausstellen. In- `
dessen gelangte ich durch den Besuch des bezeich-
neten, mir neue Thatsachen vorführenden Felsinneren
zu einer abweichenden Vorstellung.
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
Nach mühsamem Hindurchwinden auf engen Ab-
sonderungsklüften durch Absinken getrennter Partien
derSandsteinbünke, wurde in rutschender und kriechen-
der Lage eine niedrige hóhlenartige Weitung erreicht,
deren ráumliche Verháltnisse sich am besten mit denen
vergleichen lassen, wie sie etwa die kurze abgebaute
Strecke eines Kohlenflótzes von einem Meter Mäch-
tigkeit darbieten würde. Die, nur eine stark gebückte
Stellung zulassende Weitung mochte anderthalb Faden
in der Lánge und die Breite einen Faden betragen.
Im Dache war der Raum'durch eine ebene, der
Sandsteinschichtung entsprechende Fläche abgeschlos-
sen. Die Sohle des Liegenden ging auf der einen
Seite mit unregelmássig steigenden Abstufungen in
das stark zerklüftete Wandgestein über; auf der anderen
Seite war das Absetzen des Sohlgesteins an der glatten
Flüche der festen, nicht zerklüfteten Sandsteinbank
durch Anlagerung eines sandigen Terrains verhüllt,
welches den Bodenraum der ganzen' Hóhle einige Zoll
hoch bedeckte. Bei dem Scheine der angezündeten
Lichter war nun zu erkennen, dass der am Boden lie-
gende Sand durch Zerfallen des Sandsteins der Decke
wie der glatten Seitenwand herbeigeführt wird, denn
es waren mit der Hammerschürfe sandige Theile so-
wohl im Dache wie seitlich leicht abzulösen. Diese,
sowie der den Boden bedeckende Sand liessen durch
den Geschmäck sogleich eine starke Beimengung von
Salpeter erkennen, worauf spáter zurückzukommen
sein wird. :
Von besonderem Interesse war aber die, für gene-
tische Deutung des Salpeters in diesem Sandsteine
entscheidende Wahrnehmung; dass ein weisslicher,
auf den sandigen Ablósungsstellen der Decke und Wünde
der Hóhlung zu bemerkender Schimmer sich auf der
glatten Fläche der seitlichen, dem Thale zugewende-
ten Hóhlenwand in verstárkter Weise auf einer deut-
lich hervortretenden etwa einen Fuss breiten Lüngen-
zone concentrirte, die den Schichtungsflächen des Sand-
steins conform, in der Mitte der Wand aufsetzt. Dieser
Wahrnehmung entsprechend, war die Abwitterung der
Gesteinsoberfläche auf dieser Zone am stärksten.
Fast unabweisbar führte dies zu der Vorstellung, es
sei der Salpeter hier als eine mit der Entstehung des
Sandsteins gleichzeitige, mithin ursprüngliche Bil-
dung zu betrachten, die sich in einer, die Sandsteinbank
horizontal durchsetzenden Zone gewissermassen lokal
concentrirt befinde. Das Befremdende der Erscheinung
forderte zu einer besonders aufmerksamen Forschung
nach solchen physikalischen, im Innern der Hóhle etwa
vorhandenen Umstünden auf, die der aprioristischen
Ansicht von der Salpeterbildung in ähnlichen Höhlen,
durch das sekundäre oder künstliche Hinzutreten
stickstoffhaltiger Verbindungen vielleicht günstig sein
könnten. Indessen konnte ich, ohnerachtet noch immer
schwer zu unterdrückenden Unglaubens an eine pri-
märe Salpeterentstehung, keinen, auf einen solchen,
früher oder später stattgehabten Einfluss mit nur eini-
ger Wahrscheinlichkeit deutenden Umstand, inner- -
oder ausserhalb der Höhle ausfindig machen. Die ge-
ringen Dimensionen der Höhle, wie ihre schwierige
Zugänglichkeit; das absolute Fehlen jedes Zeichens
einer früheren Benutzung derselben für Hirtenzwecke;
die Abwesenheit aller Spuren etwaniger Bewohnung
derselben durch Nachtvögel, Fledermäuse oder andere
Thiere, sowie auch die, aus dem stratigraphischen
und geotektonischen Verhalten der vorgebirgsartigen
Felspartie resultirende Unzulässigkeit der Annahme,
auf möglichem Infiltrationswege, etwa von oben her-
beigeführter stickstoffhaltiger Verbindungen, sind
Umstände, die schon allein den Werth peremptorisch
abweisender Gründe gegen die Annahme thierischer
-Mitwirkung an dem Salpetererzeugungs - Process an
diesem Orte haben. Die ganze physikalische Beschaffen-
heit des Inneren, wie die versteckte Lage der Höhle
machen es sehr wahrscheinlich, dass sie durch Ver-
mittelung der Gebirgsbewohner die den Salpeter auf-
suchten, wenn nicht etwa entstanden, aber doch zu
ihren jetzigen Dimensionen erweitert worden ist. Die
Art, wie sich innerhalb der zuvor geschilderten band-
artigen Auswitterungszone der Ablagerungs-Process `
der Sandsteinbildung deutlich in den horizontalen
Linien reflectirt, denen die Efflorescenzen zu folgen
scheinen, spricht fir die Vorstellung, dass der Sal-
peter wirklich fertig gebildet in dem Sandstein vor- `
handen und somit als ein natürliches Mineralprodukt
in demselben zu betrachten sei. Von dieser Folgerung
ausgehend hat Herr Outjakof, dem Gegenstande ein
verdientes praktisches Interesse schon seit lingerer
Zeit zuwendend, Auslaugungsversuche des Salpeter
haltenden Sandsteins im Grossen mit Quantitüten von
10—12 Pud angestellt, die theils aus dem Innern der
Hóhle, theils in seitlicher Nühe und zwar in demselben
11*
ER e
Bulletin de l'Académie Imperiale
Niveau der vorbemerkten Zone von ihm gebrochen wur-
den. Der durch diese Versuche herausgestellte Salpeter-
gehalt des Sandsteins hat sich der Aussage des Ge-
nannten zu Folge als genügend erwiesen, um eine
Salpetergewinnung auf dieses lokale Vorkommen
basiren zu kónnen.
Ich beschrünke mich auf die gegebenen Mittheilungen
meiner eignen Wahrnehmungen, mit Übergehung weite-
ren spekulirenden Eingehens auf die interessante Frage
über die Entstehung des hier als fossil vorauszu-
setzenden Salpeters in dem Doggersandsteine des
Kubanthales und wende mich nunmehr zu einer Dar-
legung der analytischen Resultate, welche die Unter-
suchung ergeben hat, die Herr Professor Carl Sehmidt
in Dorpat mit der von mir ihm zugesendeten Salpeter-
erde anzustellen die Freundlichkeit gehabt hat.
Ich führe diese Resultate vollständig in der Anord-
nung an, wie sie von ihrem Urheber mir mitgetheilt
worden sind.
Zerlegung der Salpetererde aus dem Kubanthale.
50 grm lufttrockene Erde mit Wasser ausgelaugt
und gekocht. Aus der Wasserlósung durch Silber-
nitrat erhalten: 0,3812 grm. Ag. Cl.—0,1885"/ Chlor.
Durch Baryumhyd. = 2,7631 BaSO, = 1,8973 » SO,
0,3890Ca0 =0,7780 » CaO
0,4393Mg50,=0,2929 » MgO
2,3716 KCl + 2 Rb Cl, woraus:
4,5190 AgCl = 0,0779 Rubidium.
' = 2,4305 Kalium.
0,1138 NaCl = 0,0897 Y, Natrium.
In 100 Theilen lufttrockener Salpetererde:
A. In Wasser lósliche Salze.
VEO NONEM Cl 0,1885 2,003
ele ER ond SO, 1,8973 20,165
Be eure RR N,0, 3,0558 32,478
auerstoffaequivalente
der SO, und N, 0, do Ut 8846
Habia. "m 0,0779 0,828
KERUM enee K 2,4305 25,832
NEU A Na 0,0897 0,953
Cálciuig REA Ca 0,5557 5,906
Magnesium ........ Mg 0,1757 1,867
In Wasser lósliche Salze 9,3034 98,878
Hydratwasser....... H,O 0,1056 1,122
Bei 100° Trockne, in
Wasser lösliche Salze 9,4090 100,000
Gruppirung der Elemente im löslichen Salz-
gemenge 4. .
0,0779 Rb
0,0073 O
= 0,1345 Rubidiumnitrat RbN,O,
0,0493 N,0, |
2,1790K y
0,4493 0 !— 5,5310 Kaliumnitrat KN,O,
3.0065 N,0,J
MEME
du o | — 0,1062 Ohlorkalium KCl
dem P | = 0,2277 Chlornatrium Na Cl
0,1958 K . |
0,0400 0 t — 0,4359 Kaliumsulfat Ka,SO,
0,200180, f
0,5557 Ca
0,2223 0 = 1,8894 Calciumsulfat Ca SO,
1,1114 SO, P
0,1757 Mg |
0,1172 O = 0, 8787 Magnesiumsulfat Mg SO,
0,5858 SO, f
Wasserfreie Salze = 9,3034
Hydratwasser = 0,1056
Bei 100? Trockne, in
Wasser lósliche Salze 9,4090, wobei enthalten sind:
Salpeter 5,6310%
B. DerSilicatrückstand in 100 Th. lufttrockner
Salpetererde enthält bei 100° getrocknet:
Sauerstoffverhältniss.
Kieselsáure.... SiO, 41,416 22,088
Thonerde ..... ALO, 10,232 4,768
Eisenoxyd Fe,0; 2,120 0,636
Magnesia ..... Mg0 0,779 0,312
Kalb CaO 0,212 0,061
Natro EN Na,0 1,563 0,404
EST run 0) 1,744 0,296
Rubidium .... Rb,0 0,022 0,002
Wasserfreie Silicate 58,088
Bei 100° nicht entweichendes
Hydratwasser der Silicate 2,718
Quarzsand in FH unlóslich.. 28.360
In Wasser unlóslicher bei }
100? trockner Quarz- u. ! 89,166
Silicat-Rückstand ..... f
Hygrosiopisches Wasser . 1,425
bei 100° trockne lösliche Salze 9,409
Salpetererde luftrockne 100,000
des Sciences de Saint. Pétersbourg.
170
Sauerstoffverhültniss von B.
RO BO SiO,
1,075 5,404 22,088
0,597 3 12,262
Analytische Daten zum Silikat-Rückstand B.
8,9166 grm. bei 100° Trockne geglüht — 8,6448
in Wasser unlósliches Silicat + Quarzsand-Rückstand
B, mit Fluorwasserstoffsáure aufgeschlossen, gaben:
2,836 grm. in FH unlóslichen weissen Rückstand.
Die Fluorwasserstoff-Lósung gab:
1,0232 grm. Thonerde.
0,2120 » Eisenoxyd.
0,0212 » Kalk durch Weissglühen des Oxalats.
0,2336 » MgSO, = 0,0779 MgO.
0,2788 » RbCI + KaCl, woraus durch Silbernitrat:
0,5339 » Chlorsilber E Nero: Er E
0,0220 Rb,0
1,7438 K, 0
0,2946 » Chlornatrium = 1,5634 Y, Na,0.
Es ist unverkennbar, dass die Resultate der vor-
stehenden Analyse zu Schlüssen führen, die der Ansicht
von einem ursprünglichen Zusammenhange der Sal-
petererzeugung mit der chemischen Constitution des
Sandsteins vom Kuban insofern günstig sind, als der
Silicatrückstand des ausgelaugten Sandsteins ein
- inniges Gemenge von 28,7 Quarzsand mit thoniger
Substanz darstellt, in welcher eine für die Salpeter-
bildung von 5,6%, hinreichende Menge von 1,77%,
Kali vorhanden ist. Unter den überhaupt nur seltenen
Salpetervorkommnissen ähnlicher Art, bietet das auf
der Insel Ceylon den nächsten Vergleich mit dem am
Kuban dar“). Der Salpeter kommt daselbst in Höhlen
eines feuchten porósen Gesteins von 25% kohlen-
sauren Kalk und 60,77, Feldspath vor. John Davy,
der keine thierische stickstoffhaltige Substanz in dem
Gesteine nachweisen konnte, fand darin 2,4%, Salpeter
und war geneigt, die Bildung der Salpetersäure in
diesem Gesteine vorzugsweise auf Kosten des atmosphä-
rischen Stickstoffes und. Sauerstolles anzunehmen. In
einem anderen sal bilde aus Bengalen,
ANA UYU
4) Lehrbuch der chemischen und physikalischeu Geologie von
G. Bischof, Theil L pg. 632.
worin er nur eine Spur von thierischer Materie nach-
weisen konnte, fand Davy dagegen 8,3%, Salpeter. Nach
Bischof's Annahme war in diesem Falle die ursprüng-
lich. vorhandene thierische Materie schon gróssten-
theils zur Salpeterbildung verbraucht worden. Insofern
nun die Auswitterung des Salpeters als eine gleich- `
zeitige Funktion der Capillaritit und der chemischen
Afünitàt zu betrachten ist, die unter dem Einflusse
der atmosphirischen Luft und ihrer Feuchtigkeit
successiv in Wirksamkeit tritt, stellt sich das aller-
dings bis jetzt nur durch die Angabe Outjakof's
verbürgte Durchdrungensein des Sandsteins inner-
halb einer im festen Gesteine horizontal verbreite-
ten Zone als ein vorerst noch ungelóstes Problem
dar. Der nächste Schritt, seiner Ermittelung näher zu
treten, wáre natürlich eine genaue chemische Unter-
suchung des Sandsteins der Salpeter erzeugenden Ört-
lichkeit selbst und zwar aus verschiedenen Niveaus
der denselben auswitternden Bank. Lokal verstürkte
Ansammlung und Absonderung zersetzter thierischer
Materie, aus der Niederschlagsperiode des Gesteins
undein davon abhángender grósserer Ammoniakgehalt
in demselben als er sonst wohl in Sedimentgesteinen
vorzukommen pflegt, sind Umstünde, deren Annahme
erlaubt wáre, aber sie müssen nachgewiesen werden.
Sur l'acide diéthyl - méthylacétique, nouvelle variété
isomérique de l'acide oenanthylique. Par M. E.
Jdanow. (Lu le 20 avril 1876.)
On a connu jusqu'à présent deux acides renfermant
un radical alcoolique tertiaire, l'acide triméthylacéti-
que de M. Boutlerow C,H,,0, et l'acide diméthyl-
acétique de M. Wischnegradsky C¿H,¿0,. Je viens
de préparer un troisième acide analogue C,H,,0,. Cette
préparation a été effectuée d'aprés le procédé de M.
Boutlerow, en partant du diéthyl-méthylcarbinol ob-
tenu par l'action de chlorure d'acéthyle sur le zinc-
éthyle. On a fait agir l'iodure de cet alcool tertiaire
sur le sel double Hg (CN),, 2 KCN; le cyanure brut
obtenu ainsi a été traité avec de l'acide chlorhydri-
que fumant, en chauffant à 120°— 140? le mélange
de ces deux corps dans des tubes scellés pendamt 6 à
8 jours. Aprés avoir distillé le produit de ce traite-
ment, on l'a agité avec de la lessive caustique de po-
<
Bulletin de l’Académie Impériale
172
tasse pour extraire l’acide formé. La solution alcaline
aqueuse a été évaporée à siccité et le résidu traité
avec de l'aleool qui dissout le sel organique. Le sel,
obtenu par l'évaparation de la solution alcoolique, a
été décomposé par l’acide sulfurique dilué d’une cer-
taine quantité d'eau. On a obtenu ainsi un acide hui-
leux, coloré par des traces d' iode, qu'on a éloigné
par l'agitation avec de l'argent moléculaire. L’acide
étant desséché d'abord par du sulfate de sodium an-
hydre et ensuite par de l'anhydride phosphorique a été
soumis à la distillation. Toute la quantité du produit
a passé à la température de 207?— 208°. Les ana-
lyses des sels d'argent et de baryte décrites plus bas
assignent à l'acide que j'ai préparé la formule C;H,,O,
et son mode de formation lui fait attribuer la formule
rationelle C,H,
C ^ OH;
a TCB;
CO,HO
et le nom d'acide diéthyl-méthylacétique.
L'acide diéthyl-méthylacétique est un liquide hui-
leux incolore presque insoluble dans l'eau; son odeur
faible n'est pas désagréable; il ne se solidifie pas à
— 20°. Son point d'ébullition est moins élevé que
celui des deux autres variétés isomériques connues:
l'acide diéthyl- méthylacétique bout à 207°— 208°
sous la pression de 753 m. m., tandis que le point d'ébul-
lition de l'acide oenanthylique est situé à 223? — 224°,
et celui de l'acide isoenanthylique — à 210°— 213°.
Parmi les sels de l'acide diéthyl-méthylacétique on
a préparé ceux de potassium, d'argent, de zinc et de
barium.
En ajoutant peu à peu une solution de carbonate
de potasse à l'acide nouveau on n'observe le dégage-
ment de l'acide carbonique que lorsqu'on chauffe
le mélange et il arrive un moment oü le liquide,
étant refroidi, se prend en une masse de fines
aiguilles groupées en étoiles du composé salin acide.
La solution a la capacité de se troubler par l'additíon
de l'eau. Le sel neutre de potasse est trés soluble
et n'a pas été obtenu à l'état cristallisé.
Le sel d'argent a été préparé en mélangeant les
solutions du nitrate d'argent et du sel potassique
neutré. C'est un précipité blanc volumineux, soluble à
un certain degré dans l'eau bouillante. Par le re-
froidissement de cette dissolution le sel se dépose sous
la forme de petites aiguilles réunies en faisceaux. Le
sel cristallisé ne contient pas d'eau et brunit assez
vite à la lumière.
0,1560 gr. du sel argentique cristallisé desséché à
la température ordinaire au-dessus de l’acide sulfuri-
que, ont fourni à la combustion 0,2015 d'acide car-
bonique et 0,0760 gr. d’eau, en laissant 0,0710 gr.
d'argent métallique.
Ceci donne en centiémes:
Expérience: Théorie pour:
m C,H ,AgO,
C = 35,26 35,44
H — 5,38 5,49
Ag — 45,51 45,57
Le sel de zinc s'obtient par double décomposition
comme un précipité blanc. Il est peu soluble dans
l'eau; sa solution préparée à froid se trouble cepen-
dant un peu, lorsqu'on la chauffe.
Le sel de barium (C;H,,0,), Ba+ 5 H,0 a été pré-
paré en saturant l'acide par de l'eau de baryte, et en
éloignant l'excés de l'aleali par un courant d'acide
carbonique. Ce sel se dissout aisément dans l'eau,
mais ne se mouille que difficilement ; il est trés apte à for-
mer des solutions sursaturées. Étant chauffée la so-
lution se décompose un peu et se trouble par la for-
mation du carbonate de baryte. Une solution concentrée
et chaude se prend, lorsqu'on la refroidit rapidement,
en une masse d'aiguilles aplaties, groupées en étoiles.
En laissant cristalliser lentement une solution moins
concentrée, on obtient des primes plats. Les cristaux
s'effleurissent facilement à l'air, et perdent comple-
tement leur eau de cristallisation, lorsqu'on les laisse sé-
journer sous une cloche au-dessus de l'acide sulfurique.
I. 0,1310 gr. de sel récemment cristallisé et ex-
primé entre des doubles de papier buvard ont perdu à
la dessiccation 0,0245 de leur poids.
II. 0,1045 gr. ont perdu 0,0195 gr. d’eau.
IIT. 0,1210 gr. de sel anhydre ne perdant plus de
son poids au-dessus de l'acide sulfurique ont Qu"
0,0705 gr. de sulfate de barium.
En centiémes:
Expériences: Théorie:
I. H. HL pour(C;H,,0,,Ba-4-5 HO
H,O = 18,70 18,66 — 18,55
pour (C,H ,0,),Ba
Ba = '— — 34,30 34,68
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
174
*
Le cyanure brut, dont il a été question plus haut,
parait renfermer une certaine quantité de carbylamine
correspondante; son traitement par l'acide chlorhydri-
que conduit toujours à la formation d'une certaine
quantité d'un aleali huileux volatil qui n'est certaine-
ment autre chose que l'hexylamine renfermant le ra-
dical du diéthyl-méthylearbinol. Le point d'ébulli-
tion de cet alcali est situé vers 108^ —110*.
Ce travail a été exécuté au laboratoire de M. le
prof. A. Boutlerow.
St-.Pétersbourg, le 2 (14) avril 1876.
L'Institut de droit international de 1873 à 1876. Par
M. WI, Besobrasof. (Lu le 25 mai 1876.)
L'année dernière j'eus l'honneur d'annoncer à PA-
cadémie mon projet de me rendre à La Haye pour y
assister à la session annuelle de l'Institut de Droit In-
ternational. Les travaux de l’Institut pendant cette
session n'ayant été publiés que tout récemment, je
n'ai pu en rendre compte plus tót.
Trois années se sont écoulées depuis la fondation
de l'Institut; cette. période suffit pour pouvoir juger
de la portée et de la vitalité de cette institution,
dont les débuts donnèrent lieu à toute sorte de doutes
et d'appréhensions. Il est donc utile de faire main-
tenant une esquisse générale de l'activité déployée
par l'Institut dans cette période triennale; ce dernier
s’est déjà acquis une place importante dans la littéra-
ture du droit des gens, et a pris part au mouvement
de quelques questions pratiques qui préoccupent le
monde politique contemporain. |
Le but que se sont posé les fondateurs de l'Institut,
est suffisamment connu aujourd'hui, ayant été beau-
coup discuté et méme contesté dans le monde savant
à cause de sa nouveauté ?).
1) V. notre article «L'Institut de droit international, St.-Pétersb.
1874». Cet article, inséré dans la Revue du ministere de l'instruction
publique, contient une esquisse historique de la fondation de l'In-
stitut, et une explication des objets qu'il a en vue, ainsi que de son
organisation, et de toutes les questions écloses à sa fondation. Les
statuts et le programme de l'Institut y sont joints. V. aussi le rap-
. Lucas, membre de l'Institut des sciences morales et
politiques en France «Quelques mots sur le concours de l'action
L'objet essentiel qu'on eut en vue à la fondation
de l'Institut, consista à faire entrer dans le dévelop-
pement du droit des gens un nouvel élément, inconnu
jusque là, l'action scientifique collective d'une corpo-
ration de savants °). Cette force doit accélerer le
progrés dans ce domaine important du droit, qui ne
s'est développé jusqu'ici que sous l'influence exclu-
sive de deux éléments, — de la diplomatie pratique et
des travaux individuels des savants. Une telle activité
collective ou corporative de la part des représentants
actuels du droit des gens dans le monde civilisé, qui
viendrait s'ajouter aux efforts personnels d'hommes
d'État éclairés et de savants, pourrait accroitre con-
sidérablement les moyens d'action des uns et des
autres en vue d'améliorer la vie internationale des
États et de la mettre en accord avec les exigences du
droit, de l'humanité et de la civilisation. Une cor-
poration pareille, dont les membres appartiennent
par leur nationalité à tous les pays civilisés, qui est
neutralisée relativement à chaque nation par son or-
ganisation internationale et qui est en méme temps
completement indépendante des gouvernements par
son caractère privé, pourrait devenir l'organe de
la conscience juridique du monde civilisé ?). La voix :
de cette conscience dans laquelle le sentiment in-
stinetif de l'équité et de l'humanité est éclairé par
l'analyse raisonnée de la science, se fait déjà écouter
par tous les gouvernements, cherchant à établir leurs
relations internationales, ou à résoudre leurs différents
et leurs malentendus mutuels.
C'est dans cet ordre d'idées que fut fondé l'Institut.
Pour réaliser ces idées il fallut vaincre les difficultés
qui se trouvaient dans l'essence méme de la tàche
qu'on s'était posée et qui soulevaient les plus graves.
objections. C'était justement la collectivité du travail
scientifique qui semblait la plus difficile à réaliser et
que beaucoup de voix rejetaient absolument comme
contraire à la science. Ensuite, une institution, de-
mandant une communion incessante entre des per-
sonnes, séparées par d'énormes distances et parsemées
sur toute la surface de deux parties du monde (de
collective de la science pour le progrés du droit des gens et de
l'arbitrage international; Paris, 1873». i
2) V. la préface ou le programme de l'Institut, joints à ses
statuts. '
3) V. le $ I des statuts de l'Institut.
175
Bulletin de l'Académie Impériale
l'Europe et de l'Amérique), réunissant périodiquement
ses membres à des époques fixes et leur imposant,
en dépit de son caractère privé, le devoir de travailler
en sa faveur, et agissant comme un organe régulier,
— une institution pareille paraissait bien difficile à
fonder, surtout parce que la plus grande partie de ses
membres, étant surchargés de travail et ne disposant
pas de grands moyens pécuniaires, n'ont que peu de
loisir à consacrer à des voyages. -
Le poids de toutes ces sérieuses difficultés ne man-
qua pas de peser sur l'Institut, mais son activité trien-
nale démontra qu'elles n'ont pas été msurmontables.
La táche qu'il s'est posée s’accomplit petit à petit, si
ce n'est avec rapidité et dans les proportions qu'on
eut pu souhaiter. Il faut observer toutefois, que la
quantité des travaux exécutés par l'Institut, ainsi que
des services déjà rendus par lui, surpasse de beaucoup
ce qu'en sait la masse du publie européen; son carac-
tere sévere et l'appareil modeste de ses travaux sous-
traits à la bruyante publicité entourant les congrés
internationaux de nos jours, sa spécialité et le peu de
durée de son existence, ont été cause de ce que cette
institution est encore si peu connue jusqu'à présent.
Le personnel de l'Institut se compose des repré-
sentants les plus célébres de droit international (en
partie aussi de ceux du droit public et des sciences
politiques en général) en Europe et en Amérique 5);
toutes les nations civilisées formant des Minis séparés,
y ont leurs représentants *).
4) Le maximum ES membres de l'Institut, marqué dans ses
statuts au chiffre 50, a été cause de ce que des savants, dont le
mérite est universellement reconnu, n bet. pu étre admis à titre de
membres e
5) Le gege de ien ied par États, dont les membres
sont sujets, se présente ainsi
Aut : membres effectifs MM. Neumann et Stein.
La république Argentine: membre "presb M. Carlos Calvo.
' Belgique: membres effectifs: MM. veleye, Laurent et
Rolin- ense yns; associés: MM. Rivier et Rolin
ande Bretagne: membres effectifs: MM. Mounta ague Ber-
nard, Westlake, era et Travers Twiss; associés: Hall
et Holland.
lema, membres effectifs: MM. von Bar, Bluntschli,
ESTO Goldschmidt, ng Marquardsen; asso-
ci essnér, Loening et Meye
Hollande: membre effectif: M. Pies associé: Den Beer Por-
tugael.
Danemark: associé: M. Petersen.
Espagne: membre effectif: M. Landa.
Italie: membres effectifs: MM. Vidari, Esperson, Fiore,
Mancini, Mamiani, Pierantoni, Comte Sclopis; associé: Norsa.
`
Un personnel pareil donne à l'Institut l'autorité
scientifique nécessaire à cette institution, qui ne
peut manquer d'étre universellement reconnue tant
dans les sphéres scientifiques que gouvernementales.
Il unit à ce personnel, qui représente le monde civi-
lisé en entier. un caractere completement interna-
tional, sans lequel l'autorité scientifique de ses mem-
bres eut été insuffisante à inspirer à l'opinion publique
de la confiance en son impartialité. Le chiffre re-
latif des sujets de chaque État qui sont membres
de l’Institut est en rapport naturel avec celui des
représentants actuels du droit des gens dans chaque
pays, et de la somme générale des forces scientifiques
de chacun d'eux*). D'aprés le nombre de ses mem-
bres, aucune nation ne domine sur les autres, et ne
peut faire notablement pencher la balance en sa faveur.
L'Italie y a aujourd'hui le plus de représentants ;.
cette nation, la plus faible parmi les grandes puis-
sances de l'Europe, s'est toujours distinguée par lé-
laboration de la théorie du droit des gens. Tous les
membres de l'Institut sont loin de toujours assister à
ses sessions, mais à chacune des trois sessions ayant
eu lieu jusqu'ici, les grandes nations ont eu leurs re-
présentants. Il n'est pas arrivé encore, qu'aucune de
ces nations ait imprimé sa couleur particulière aux
séances de l'Institut, tant par la force quantitative
que qualificative de ses représentants, et ait altéré son
caractère international et neutre en faveur de quelque
nationalité que ce füt. La force de l'autorité et des
Russie: membres effectifs: Ac? W. Besobrasof, Bulmering,
A. Martens; associé: C. Komer
États Unis: up effectifs: SE Wharton, Wool-
sey, Dudley Field, Lawrence.
France: membres effectifs: MM. Drouyn de Ee pee
Esquirou de Parieu; associés: Clunel, Le Touzé, Montlu
uede ` membres effet MM, Aschehoug, Kaumaon, Oli-
vecrona.
Suisse: membres effectifs: MM. Brocher et Moynier; asso-
$ im membres, sujets d'un
méme État; leur chiffre ne doit point excéder un cinquième de
GUI des membres. Cette limite est loin d'étre atteinte encore par
aucune nation. Le nombre le plus considérable de représentants
est acquis aux États suivants: l'Italie en a 7, PAllemagne — 6,
a France — 5, Les États Unis — 5, la Grande Bretagne — 4,
Ge Russie Bn la Suéde — 3 et la Belgique — 3.
le plus considérable de membres effectifs et d'associés, (ayant seule-
aprés viennent l'Italie, la Grande
gique et la Russie (le nombre des ODE russes s'acroitra cette
année
‘ mières années: M. Mac
177
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
arguments scientifiques dans chaque question débattue,
étouffait toute espece de considérations étroites et na-
tionales, et éloignait les froissements de l'amour pro-
pre et de l'antagonisme national, si aptes à se pro-
duire dans les affaires internationales, méme dans les
milieux les plus éclairés.
Le développement de cet esprit de la science et
d'équité dans la vie de l’Institut”), exemple de tous pré-
jugés nationaux et de penchants de race, a été ex-
cessivement favorisé par le personnel. de son bureau >
ses membres qui sont avant tout les premiéres auto-
rités de la science moderne, appartiennent en méme.
temps aux nationalités les plus diverses, y compris à
celles qui étaient dans ces dernières années le plus
désunies et aigries mutuellement sur le terrain po-
litique; d'un autre cóté, le bureau compte aussi dans
son sein les sujets des petites puissances, neutra-
lisées dans le systéme politique del’Europe, et cette
circonstance accroît encore le caractère d'impar-
tialité nationale, dont l’Institut est revêtu. En
raison des conditions particulières dans lesquelles il
est placé par les distances qui séparent ses membres,
le bureau de l’Institut joue un rôle exceptionnel; ses
pleins-pouvoirs sont très larges, en vue de parer à l'in-
convénient mentionné plus haut; c'est son activité
qui entretient la vie de l'Institut dans les intervalles
entre les sessions annuelles, à titre d'organe perma-
nent et régulier. L'action du buréau est facilitée en ce
sens par la position centrale des pays, auxquels ap-
partiennent ses membres et de leur voisinage relatif,
qui admet, en cas extrémes, des dispositions assez ra-
pides ét énergiques, prises d'accord, ainsi que cela
s'est déjà vu. Enfin, toute l'activité de l'Institut est
personnifiée et concentrée dans son Secrétaire général,
élu pour six ans et habitant le point le plus central
(Gand). La fixité du secrétariat, pouvant satisfaire à
toutes les exigences courantes et prendre des mesures
extraordinires en cas d'urgence, compléte son carac-
tére d'institution scientifique permanente et réguliere,
7) Une preuve éclatante de cet esprit est fournie par les déci-
sions de l'Institut relatives à la conférence de Bruxelles sur lés
règles et coutumes de la guerre (v. plus loin).
8) Le Président, élu annuellement, a été pendant les deux pre-
cini (Italien) ; les Vice-Présidents. MM.
tschli, et les Vice -
. dents: MM. Esquirou de Parieu et Asser (Hollandais); le Secré-
taire général, élu pour six ans: M. Rolin Jaequemyns (Belge).
Tome XXII.
et détruit jusqu'à l'ombre de la vie nomade que lui
prétent ses sessions annuelles, lesquelles en vue de
faciliter et d'égaliser les voyages des membres, se
transportant dans différents lieux, choisis principale-
ment parmi les points centraux et les pays neutres. 11
faut croire que le zéle et l'activité des membres du
bureau, qui comptent tous parmi les fondateurs de
l'Institut et y ont attaché l'honneur de leur nom, sau-
ront surmonter les difficultés créées par les particula-
rités de son organisation.
Un des côtés les plus faibles de l’Institut ce
sont ses moyens pécuniaires, qui ne se composent
que des cotisations de ses membres effectifs, appelés
en outre à lui consacrer leurs travaux, et auxquels
on ne peut demander davantage en toute justice (vu
surtout la fortune restreinte de la plupart d'eux). Les
moyens à employer pour donner plus de solidité à la
partie financière ont été discutés plus d'une fois au
sein de l'Institut. La question de l'opportunité de de-
mander des secours matériels aux États, comme di-
rectement intéressés à J’avenir de l’Institut, reste
ouverte, et attend sa solution dans les sessions sui-
vantes. En méme tems, c'est de Paccroissement de
ses ressources financiéres que dépendra le plus le de-
véloppement de ses moyens d'action °).
En ce qui concerne le premier et le plus sé-
rieux obstacle au succes des travaux de l'Institut,
c’est-à-dire la difficulté du travail scientifique collectif,
il a été complétement surmonté au moyen d'une orga-
nisation, où le travail individuel est combiné avec le
travail collectif et corporatif. C'est dans ce but que
l'Institut a adopté l'ordre suivant pour ses travaux:
les questions mises à l'étude et devant étre débattues
sont fixées un an d'avance dans ses assemblées plé-
nières, et chacune de ces questions est confiée aux soins
d'une commission spéciale, composée des membres, de
la spécialité desquels elle se rapproche le plus. La
commission choisit dans son sein un, ou méme plu-
sieurs rapporteurs, qui étudient la question tout-à-fait
librement et en proposent ensuite la solution. Ces so-
lutions sont débattues dans les commissions ou bien
verbalement avant chaque session, ou par correspon-
ek ve rang de gd; — est conféré a chaque donateur,
qui verse 3000 fr., mais cette source de revenus n'a pas été abon-
dan ie jme ici ; l'Institat ne dije encore qu un seul membre
honora
12
”
——
Bulletin de l'Académie Impériale
‚180
dance entre leurs membres dans le courant de l'année.
Aprés quoi, les décisions adoptées par les commissions,
de méme que les motions personnelles de ses membres
sont discutées dans les assemblées pléniéres de l'In-
stitut. Outre les travaux des rapporteurs, ayant le
caractére d'investigations scientifiques et d'opinions
personelles, d'autres recherches et d'autres motions
sont présentées, tant par les membres des commissions,
que pas ceux qui n'en font pas partie. L'Institut, les
publie et táche de les distribuer aux membres avant
le commencement de chaque session, durant laquelle
lassemblée générale les débat, et les vote définiti-
vement àla majorité des voix. Il ne faut pas oublier,
que la plupart de ces questions, conformément à Pes-
sence du droit des gens, sont des questions pratiques,
oü il s'agit d'appliquer les principes généraux du droit
à tels ou tels autres rapports de la vie internationale
moderne. L'Institut ne choisit que les questions in-
diquées naturellement par le mouvement et les inté-
réts de cette vie, et attendant leur solution de la part
des gouvernements; il écarte tous les objets n'ayant
pour le moment qu'un intérêt purement abstrait. Les
questions pratiques peuvent étre débattues dans des
assemblées; les conclusions adoptées par l'Institut, si
elles ne sont pas infaillibles, expriment ehaque fois
les vues de la majorité donnée des specialistes et
des savants contemporains, basées sur une étude ap-
profondie du sujet en litige. Cet ordre a déjà été
adopté pour plusieurs questions débattues par l'Institut
dans le courant de deux années et renvoyées d'une
session à l'autre, en vue d'une étude plus approfondie.
La solution de ces questions, qui préoccupent sérieu-
- sement les gouvernements et se décident fréquemment
dans leur sein par des personnes bien moins compé-
tentes, et avec une hâte menant à des erreurs, ne peut
qu'étre prise en considération par les États, comme
leur apportant un secours notable, dans leur action.
La voix d'une corporation savante, telle que l'Institut,
ne manquera pas de se faire entendre tót ou tard dans
les sphéres officielles, quelle que soit leur indifférence
envers la science.
C'est ainsi qu'à l'aide de cette organisation le tra-
vail personnel et le travail collectif gardent chacun la
place qui leur est due et les moyens d'action qui leur
sont propres. L'activité collective de l'Institut fait nai-
tre les recherches personnelles et l'étude des ques-
tions pratiques de droit international, et c'est en se ba-
sant sur ses recherches, que l'Institut formule ses dé-
cisions. Tous ces travaux, ainsi que les motions diverses
présentées par les hommes les plus compétents sur
chaque question débattue, ont considérablement en-
richi la littérature de ce domaine. Quelques-uns de ces
travaux forment des monographies remarquables, qui
resteront dans l'histoire de la science et serviront de
guide précieux dans la solution future de ces pro-
blémes. | :
L'énumération des questions posées par l’Institut
dans la période triennale de son existence, et des tra-
Vaux les plus importants de ses membres, confirmera
ce que nous avons énoncé à propos de son activité.
La premiére question, débattue en 1874 à la ses-
sion de Genéve, concernait un Projet de reglement pour
les arbitrages internationaux. -
L'Institut a eu pleinement raison en mettant sur le
premier plan cette question, dont l'importance était `
démontrée par les besoins les plus urgents de notre
temps et les aspirations des hommes d'État et des pen-
seurs les plus éclairés, surtout aprés l'arbitrage de
Genéve de 1871, concernant l'affaire Alabama. Ici
encore, il resta fidéle à la tendance adoptée et ne se
laissa pas entrainer par des espérances exagérées et
utopiques, auxquelles cette question est si apte à don-
ner lieu. Dés sa fondation, l'Institut élimina de son pro-
gramme toute discussion sur la paix éternelle et la
possibilité d'abolir la guerre dans l'état actuel des
rapports internationaux. Les réveries et les conseils
de ce genre qué les philanthropes adresserent maintes
fois aux gouvernements, ne servirent qu'à embarrasser
les tentatives humanitaires ayant pour objet l'amélio-
ration de la vie internationale, en inspirant de la mé-
fiance aux hommes d'État pratiques. C'est pourquoi
l'Institut envisagea l'arbitrage international sans opti-
misme exagéré et sans se créer l'ilusion, qu'il püt
dés aujourd'hui remplacer la solution armée de toutes
les questions en litige entre les Etats; en même temps,
il considéra comme inopportun d'imposer aux gouver-
nements des conseils infructueux à ce sujet. Toutefois,
il se peut que la coutume de recourir à l'arbitrage
dans les contestations internationales se développe gra-
duellement et parvienne à s'affermir, en remplacant
peu à peu la force brutale, ainsi que l'expérience des
derniéres années l'a prouvé. Cette institution est en-
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
Se
core de date si récente que les formes de la juridic-
tion internationale ne sont encore établies ni par la
science, ni par la pratique; ce manque de fixité qui
donne lieu à bien des incertitudes, peut empécher les
gouvernements de recourir à l'arbitrage et se montrer
défavorable aux moyens d'action et aux décisions de
ces tribunaux.
En vue de toutes ces considérations on s'arréta,
comme à la mesure la plus pratique, à la formation
de régles modéles, basées sur la théorie et la pratique,
pouvant servir de guide aux tribunaux .d'arbitrage
dans l'avenir. Ce travail fut confié à une commission
composée de: MM. Dudley Field, Goldschmidt,
de Laveleye et Pierantoni. Le rapporteur, M.
Goldschmidt, jurisconsulte allemand trés connu,
membre de la cour supréme de commerce à Leipzig,
fit à ce sujet un grand travail*), où il examina soigneu-
sement toutes les questions de droit, se rapportant à
l'arbitrage international et fit l'énumération de toutes
les sources pratiques et littéraires de l'arbitrage, tant
dans le domaine du droit civil privé, que du droit
des gens. Le travail de M. Goldschmidt, qui peut
étre considéré comme ayant épuisé ce sujet, a servi
de base à ce projet du réglement pour l'arbitrage in-
ternational. Ce projet embrasse tous les cótés et tous
les éléments de l’arbitrage international: la conclu-
sion des compromis, la formation du tribunal arbi-
tral, la procédure devant ce tribunal; la sentence
arbitrale; le recours contre la sentence. Ce projet a
été examiné deux fois par l'assemblée pléniére de
l'Institut, dans sa session de Genéve en 1874 et dans
celle de la Haye en 1875. Chaque paragraphe en a
été rigoureusement débattu en présence du rappor-
teur, qui offrit des explications sur chaque point et
conformément aux observations de l’Institut, il fut
révisé encore une fois par le rapporteur et la com-
mission, aprés quoi il recut la sanction de l'Institut
sous la forme définitive de 27 paragraphes. On peut
étre sür, que ce projet, qui forme le produit le plus
már de la science et de l'expérience dans le domaine de
l'arbitrage international, servira de guide aux tribu-
10) Ce travail est fait sous forme de nofes, jointes au projet de
règlement de l'arbitrage international, composé par l'auteur. V. les
Communications relatives à l'Institut de droit international, IV
Fascicule, Gand, 1874 (les travaux préliminaires de la session de
Genéve). 2
naux arbitraux qui auraient à siéger dans un avenir
prochain. Les gouvernements sont maintenant en pos-
session d'un code complet sur ce sujet, code qui peut
étre appliqué dans son entier ou en partie; chaque
article en est soigneusement motivé dans le travail de
M. Goldschmidt et dans les discussions de l'Institut.
Si quelque article de ce réglement était reconnu
comme ne pouvant pas étre appliqué dans un cas
donné, les gouvernements et les membres du tribunal
trouveraient dans les commentaires joints au projet
et dans les jugements énoncés par les membres de
l'Institut, toutes les indications nécessaires concernant
la question en litige. Les matériaux si riches, rassem-
blés par l'Institut dans toutes les branches de l'arbi-
trage international, faciliteraient beaucoup l'amende-
ment des articles du projet, en cas que cet amende-
ment fut jugé nécessaire. On peut affirmer sans exa-
gération, que le travail de l'Institut a fourni une base
solide à l'arbitrage international, qui en manquait jus-
qu'ici. On s'en convaincra incontestabl t au premier
cas d'arbitrage qui se présentera. Les rögles fixées par
l’Institut sont précédées par les paroles suivantes :
«L'Institut désirant que le recours à l'arbitrage, pour
la solution des conflits internationaux soit de plus en
plus pratiqué par les peuples civilisés, espère con-
courir utilement à la réalisation de ce progrés, en
proposant pour le fonctionnement des tribunaux arbi-
traux, le réglement éventuel suivant».
Une autre táche des plus graves proposée à la ses-
sion de Genéve et accomplie seulement l'année der-
niére à celle de la Haye, fut l'examen des trois rögles
du traité de Washington, conclu le 8 mai 1871 entre
la Grande-Bretagne et les États-Unis, concernant
l'affaire Alabama. Ces trois régles servirent de base à
la sentence prononcée par le tribunal d'arbitrage de
Genéve au sujet de ce conflit, et elles ont une signifi-
cation importante dans l'histoire du droit interna-
tional, en qualité de formule moderne des droits et
des devoirs des neutres dans les guerres maritimes. .
En méme temps ces rögles donnérent lieu à des inter-
prétations fort diverses dans le monde politique et
savant, et la sentence du tribunal de Genéve mécon-
tenta également la Grande-Bretagne et les États-
Unis.
L'étude de cette question fut confiée à une com-
mission, composée de: MM. Asser, Bluntschli (rap-
12*
Bulletin de PAcadémie Impériale
184
porteur), Westlake, Calvo, Mancini, Neumann,
Hautefeuille et Rolin-Jaequemyns; en qualité de
membres consultants y furent adjoints: M. Lorimer
(pour la Grande-Bretagne) et M. Woolsey (pour les
États-Unis "). :
Le traité de Washington avec les questions de droit
maritime qu'il souleva, furent soigneusement exami-
nés par l'Institut. Toute une série de travaux, con-
sacrés à l'élaboration de ces sujets fut publiée. Tel
est le vaste mémoire de M. Calvo, renfermant l’his-
toire et la littérature compléte du sujet, de méme que
l'analyse de toutes les opinions émises. Tels sont
aussi les notices et les comptes-rendus présentés par
MM. Lorimer, Woolsey, Rolin-Jaequemyns,
Beech Làwrence, Montague Bernard, Neumann
et Westlake. La multiplicité de ces opinions diverses
sur les questions soulevées par le traité de Washington
a été d'une grande utilité, ces questions étant fort
contestées, et considérées diversement par les gouver-
nements. Apres une double discussion de ces travaux
dans deux sessions consécutives, l'Institut adopta en
1875 à la Haye la rédaction définitive des trois régles
du traité de Washington, qu'il proposa d'admettre dans
le droit international en vigueur, comme étant le plus
en accord avec les exigences de notre temps et prétant
le moins à l'incertitude, dans tout ce qui concerne les
droits et les devoirs des neutres pendant la guerre
maritime.
La troisième question qui arréta spécialement Vat-
„tention de l'Institut, est l'utilité de rendre obliga-
toire pour tous les États, sous la forme d'un ou de
plusieurs traités internationaux, un certain nombre de
régles générales du droit international privé, pour
assurér la décision uniforme des conflits entre les
différentes legislations civiles et criminelles. Le dé-
veloppement que prennent journellement les rapports
civils et économiques entre les sujets de tous les États
civilisés, l'accroissement rapide du chiffre des voyageurs
* et des étrangers ayant élu domicile dans chaque pays,
les particularités de la direction que suit actuelle-
ment la vie des peuples historiques, oü les rapports
internationaux gagnent constamment du terrain, toutes
ces conditions réunies donnent une grande importance
à la question citée plus haut. Le pouvoir judiciaire
dans toute l'Europe rencontre des embarras sérieux,
lorsqu'il s'agit de sentences à prononcer dans des af-
faires où sont mélés les sujets d'autres États, ne sa-
chant sur quel code les baser.
L'étude de cette question aussi vaste que compli-
quée fut entreprise par une commission composée
de: MM. Asser et Mancini, rapporteurs, Bar, Beech
Lawrence, Brocher, Massé, Westlake, Esper-
son, Fiore, e£ Laurent. MM. Asser et Mancini
présentèrent chacun un mémoire séparé à ce sujet à
la session de Genève; pendant cette session, les prin- -
cipes généraux du droit international privé furent
adoptés conformément aux propositions des rappor-
teurs, de méme que le programme, d'aprés lequel cet
objet devait étre étudié ultérieurement dans ses dé-
tails (dans ses quatre branches principales: le droit et
la juridiction civils, le droit et la juridiction crimi-
nels et le droit commercial).
A la session dernière, à la Haye, l'Institut adopta
plusieurs points des propositions de M. Asser, con-
cernant la compétence des tribunaux et décida de
poursuivre l'élaboration de cette question. M. Asser
continue à y travailler avec zéle, il rassemble et pu-
blie, dans les matériaux de l’Institut, des données
comparatives fort intéressantes sur la législation en.
vigueur dans les États européens, concernant les
branches les plus importantes du droit civil privé.
Tel est son mémoire présenté à la session derniére et
récemment publté, sur la procédure civile ?). En con-
sidération du vaste domaine à explorer, on décida à
la session derniére, que la commission poursuivrait
ses travaux, élaborerait consécutivement une branche
du droit international privé aprés l'autre et présente-
rait ses conclusions à l'Institut.
Outre la continuation et l'achévement des travaux `
mentionnés, l'Institut discuta quelques nouvelles ques-
tions à sa derniére session de la Haye.
Pendant la discussion du traité de. Washington en
1874, on reconnut déjà l'utilité d'étudier spéciale-
ment le principe de l'inviolabilité de la propriété privée
dans la guerre maritime; cette question ne peut “plus
étre envisagée sous le point de vue d'autrefois, com-
12) V. Bulletin de l'Institut de droit international, Session de la
Haye, 1875. Gand 1876. .
185
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
196
plétement en désaccord, tant avec les idées actuelles
sur la guerre qu'avec les conditions du commerce in-
ternational, et cependant, elle est. encore à attendre
sa solution, malgré toutes les: négociations des gou-
vernements sur la matiére. Dans ce but, il se forma une
commission composée de: MM. Bulmerincq, Calvo,
Cauchy, Hautefeuille, C. Sclopis, Vidari, West-
lake, Woolsey et des rapporteurs de Laveleye,
Pierantoni et A. Rolin. La commission traca un
programme pour ses travaux qui embrasse toutes les
branches: la propriété privée de l'ennemi, la propriété
` privée neutre, la contrebande militaire, le blocus, la
course maritime, le dfoit de visite et les tribunaux de
prise. Un questionnaire détaillé fut joint à ce pro-
gramme, en réponse auquel chaque membre de la com-
mission présenta ses observations et son opinion, fondues
toutes dans un rapport présenté à l'Institut par M.
Alberie Rolin?). La haute autorité scientifique des
membres mentionnés de la commission ne peut man-
quer de préter un grand intérét à cet ensemble de leurs
opinions. En outre M. de Laveleye présenta un tra-
vail”), où la situation des questions relatives à la pro-
priété privée en temps de guerre maritime, ainsi que
toute la littérature de cette branche sont passées en
revue. Un travail de méme genre, où prédomine l'étude
de la littérature italienne, a été fait par le troisième
rapporteur, M. Pierantoni "). Sur tous ces travaux,
l'Institut formula l'année dernière quelques conclusions
générales devant exprimer la norme du droit interifa-
tional concernant la propriété privée sur mer. Ces con-
clusions, adoptées presque à l'unanimité '^), sont si im-
portantes au point de vue pratique, que nous ne pou-
vons les omettre ici: I. Le principe de l'inviolabilité
de la propriété privée ennemie, naviguant sous pavillon
neutre, doit étre considéré dés à présent comme entré
dans le domaine du droit des gens positif. II. Il est à
désirer, que le principe de l'inviolabilité de la pro-
priété privée ennemie, naviguant sous pavillon ennemi
soit universellement accepté dans les termes suivants,
13) V. Bulletin de l’Institut de droit international, Session de
La Haye, Gand. 1876
) V. idem.
15) V. idem
16) Les quatre ces appartenant à la ed Bretagne qui
assistérent à la session de la Haye, MM.Bernrd, Lorimer,
Travers Twiss e “Westlake, présentèrent des es re
par rapport au second point de ces résolutions.
empruntés aux déclarations de la Prusse, de l'Au-
triche et de l'Italie en 1866, et sous la réserve ci-
aprés, sub III: «Les navires marchands tt leurs car-
gaisons ne pourront étre capturés que s'ils portent de
la contrebande de guerre, ou s'ils essaient de violer
un blocus effectif et déclaré». III. Il est entendu que
conformément aux principes généraux qui doivent ré-
gler la guerre sur mer aussi bien que sur terre, la
disposition précédente n'est pas applicable aux navires
marchands qui, directement ou indirectement, prennent
part ou sont destinés à prendre part aux hostilités.
Les travaux de cette commission ont été continués
durant l'année courante et l'examen de la question
suivante lui est spécialement confié: «Quelles seraient,
eu égard aux nécessités de la guerre maritime, les
restrictions à apporter au principe de l'inviolabilité
de la propriété privée ennemie, en concordance avec
ce que s'est fait, sous ce rapport, dans la guerre
sur terre, pour les chemins de fer et autres moyens de
transport militaire?»
La dernière session débattit encore la question de
l'applieabilité du droit des gens européen aux nations
orientales, question dont les événements récents re-
haussent encore la signification. C'est dans ce but que
fut nommé à Genéve, dés 1875, une commission compo-
sée de: MM. Asser, Dudley Field, Holtzendorff,
Lorimer, Martens, Rivier et Travers Twiss
(rapporteur) La commission ne termina pas son tra-
vail pour la session passée, pendant laquelle elle fixa
le programme des questions, à propos desquels elle
demanda des renseignements aux personnes résidant
dans les États orientaux. Ces matériaux serviront de
base au travail de la commission, dont le mandat a `
été continué pour cette année encore. En outre, il a
été présenté à l'Institut par M. Dudley Field un
mémoire sur «La possibilité d'appliquer le droit in-
ternational européen aux nations orientales.»
L'intérêt principal de la dernière session de lIn-
stitut s'est concentré sur le projet de la Conférence
de Bruxelles, concernant les lois et coutumes de la
guerre. Ce sujet est d'autant plus intéressant pour la
Russie, que c'est par son initiative que s'assembla la
Conférence de Bruxelles, et que le gouvernement
russe se préoccupe toujours de cette affaire, malgré
les obstacles qu'il a rencontrés dans le monde poli-
tique de l’Europe.
Bulletin de l'Académie Impériale
A la session de Genéve en 1874, les membres de
l'Institut, MM. Bluntschli et Martens, qui étaient
en méme temps membres de la Conférence de Bruxelles,
communiquerent à l'Institut le résultat des travaux de
cette Conférence. L'Institut choisit une commission
pour l'étude du projet de Bruxelles. Ce travail pro-
mettait d’être particulièrement utile, vu que le projet
de la Conférence de Bruxelles, tout humanitaire qu'il
füt, avait été élaboré exclusivement dans la sphére
bureaucratique; la science n'y avait eu que peu de
représentants, malgré le caractére abstrait de bien
des questions qui y furent discutées, et qui exigeaient
une élaboration scientifique "). Cette lacune dans les
travaux de la Conférence qui dut y mettre beaucoup
de háte fut comblée avec succés par ceux de l'Institut.
Dans ce but fut instituée une commission de: MM.
Bluntschli, Bernard, Besobrasof, Dudley Field,
Martens, Moynier, Neumann, de Parieu, Rolin-
Jaequemyns, Den Beer Portugael, Travers Twiss
et Holland. En méme temps, l'Institut composa un
programme détaillé des six questions générales et des
trente-huit questions spéciales de droit international,
que le projet de Bruxelles avait soulevées, et il en
exigea la réponse de chacun de ses membres. Des
mémoires plus ou moins détaillés furent présentés en
conséquence, et publiés par l'Institut, venant de:
MM. Moynier, Esquirou de Parieu, M. Bernard,
Beech Lawrence et Besobrasof'®). Les jugements
émis par plusieurs membres sur la Conférence de
Bruxelles parurent en outre dans d'autres publica-
tions. Toutes ces opinions diverses, venant de repré-
sentants de toutes les natioris civilisées sans exception,
furent réunies par le secrétaire général de l'Institut
. Sous forme de rapport présenté à la session de 1875.
Ce travail de M. Rolin-Jaequemyns est d’un haut
intérêt; on peut dire que toutes les opinions existantes
dans le monde civilisé sur la Conférence de Bruxelles
y sont exposées, le travail acquiert d'autant plus d'im-
portance, que le projet de la Conférence n'a pas ob-
tenu l'unanimité méme dans les spheres politiques de
l'Europe (les obstacles venant surtout de l’ Angleterre).
17) V. M. W. Besobrasof, «La Conférence de Bruxelles» (ce
mémoire a été publié en langue francaise dans le Bulletin de l'In-
stitut de la langue russe dans le II T. du Recueil sciences poli-
tiques).
18) V. Bulletin de l'institut de droit international, Session de la
Haye.
Aprés une étude consciencieuse, l'Institut dans son
assemblée plénière du 30 août 1875, adopta presque
à l'unanimité les résolutions suivantes °):
20) «T, — Il est désirable que les lois et coutumes de
la guerre soient réglementées par voie de convention,
de déclaration ou d'accord quelconque entre les dif-
férents États civilisés.
II. — Une semblable réglementation ne saurait sans
doute avoir pour effet la suppression compléte des
maux et des dangers que la guerre entraíne, mais elle
peut les atténuer dans une mesure considérable, soit
en déterminant les limites que la conscience juridique
des peuples civilisés impose à l'emploi de la force,
soit en mettant le faible sous la protection d'un droit
positif. NP
III. — Le projet de déclaration arrêté à Bruxelles,
sur l'initiative généreuse de S. M. l'Empereur de Rus-
sie, tout en ayant beaucoup d'analogie avec les instruc-
tions américaines du président Lincoln, a sur elles le
double avantage d'étendre aux relations internatio-
nales un réglement fait pour un seul État, et de con-
tenir des prescriptions nouvelles, conçues dans un es-
prit à la fois pratique, humain et progressif.
IV. — Mis en regard du droit de la guerre, tel
qu'on le trouve exposé dans les ouvrages les plus ré-
cents, le projet de Bruxelles est, pour toutes les ma-
tiéres qu'il embrasse et quant au fond, à la hauteur
de la science actuelle. — Sans doute l’élasticité ou
le'vague de certaines expressions peut donner prise,
au point de vue juridique, à une critique rigoureuse,
mais cet inconvénient doit étre regardé comme une
conséquence inévitable de la nécessité d'obtenir, avant
tout, une entente entre les divers États, et d'assurer
cette entente par des concessions mutuelles. Rien
n'empéchera, d'ailleurs, de réviser la déclaration, lors-
qu'on se trouvera d'accord sur des améliorations à $
introduire, lorsqu'une théorie et une pratique nou-
velles auront dissipé les doutes, résolu les controverses,
rendu possible le développement de principes dont un
accord conclu aujourd'hui ne saurait contenir que le
germe.
19) Deux membres seulement MM. Bernard et Twiss firent
leurs réserves sur quelques points.
20) Ces conclusions n'ont pas été adoptées à l'unanimité. M.
ountague Bernard et Sir Travers Twiss ont formulé leurs
réserves sur certains points dans des notes qui sont reproduites en
annexe au procès-verbal] de la séance du 30 août:
189 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 190
. V. — Si Pon examine la manière dont la guerre a
été pratiquée jusqu'ici, le projet de déclaration ouvre
la perspective de progrès importants, dont les résul-
. tats semblent devoir étre d'autant plus durables que
l'on s'abstiendra davantage de formuler des vœux uto-
piques, et d'imposer aux armées, au nom d'une phi-
lanthropie mal entendue, des exigences incompatibles
avec leur sécurité et avec la poursuite des opérations
militaires.
VI. — Les dispositions du projet de déclaration re-
latives à l'occupation du territoire ennemi sont l'ap-
plication de ce principe vrai: que le fait seul de Poe-
cupation ne confere aucun droit de souveraineté, mais
que la cessation de la résistance locale et la retraite
du gouvernement national, d'une part, la présence de
l'armée envahissante, de l'autre, créent pour celle-ci
et pour le gouvernement qu'elle représente un en-
semble d'obligations et de droits essentiellement pro-
visoires. Le projet tend surtout, dans cet ordre d'i-
dées, à tracer les limites de ces droits et à détermi-
ner ces obligations, dictées par la nécessité de main-
tenir l'ordre social et de protéger la sécurité indivi-
duelle et la propriété privée, en l'absenee momentanée
de tout gouvernement régulier. Les régles tracées à
cet égard sont sans doute susceptibles d'améliorations
de détail, mais dés à présent elles sont au fond plus
favorables aux citoyens paisibles et aux propriétés
publiques et privées du pays occupé, que la pratique
suivie jusqu'ici et que la doctrine de la plupart des
auteurs.
VII — Le projet de déclaration implique une dis-
tinction fondée entre trois catégories de personnes,
savoir: les combattans réguliers, qu'il faut traiter
comme tels, — les habitants paisibles, qu'il faut pro-
téger dans leurs personnes et dans leurs propriétés, —
et les combattants irréguliers qui, méconnaissant les
lois de la guerre, ne méritent point d'etre traités
comme des ennemis loyaux. Cette distinction est fon-
dée sur la maniére actuelle d'envisager la guerre, qui
se fait entre les États et non entre les particuliers.
Elle n'entrave en rien la défense nationale la plus
énergique par la masse de la population armée. Elle
ajoute méme à l'efficacité éventuelle de cette défense,
en la soumettant à des conditions d'ordre et d'orga-
nisation, seules compatibles avec la conduite d'une
guerre réguliére entre nations civilisées. — Il est né-
cessaire, dans ce but, d'exiger pour les combattants
réguliers, sauf l'exception prévue par l'art. 10, un
signe distinctif, fixe, reconnaissable à distance et d'ail-
leurs aisé à se procurer, afin que les armées en marche
puissent reconnaitre, si elles ont devant elles des ha-
bitans paisibles qu'il faut protéger, ou des ennemis
qu'il faut combattre. —
VIII. — Les dispositions eoncernant les contribu-
| tions et réquisitions sont également en progrés sur la
pratique généralement admise dans les guerres anté-
rieures. L'art. 42 en partieulier, en exigeant que,
pour toute réquisition, il soit accordé une indemnité
ou délivré un recu, formule un prineipe dont l'avenir
et une expérience plus humaiue développeront les
conséquences. ;
IX. — Les représailles sont une exception doulou-
reuse, mais inévitable dans certains cas, au principe
général d'équité d'aprés lequel un innocent ne doit
pas souffrir pour un coupable. Du moment oú l'on ne
peut les prohiber complètement, il serait à désirer
que, conformément au projet russe primitif, on le com-
prit dans la déclaration, pour avoir l'oecasion de les
limiter d'aprés les principes suivants:
1”. leur mode d'exercice et leur étendue ne de-
vraient pas dépasser le degré de l'infraction commise
par l'ennemi;
2". elles seraient formellement interdites dans le
cas où l'infraetion dont on a lieu de se plaindre aurait
été réparée;
3°. elles ne pourraient s'exereer qu'avec l'autori-
sation du commandant en chef;
4”. elles respecteraient dans tous les cas les lois de
l'humanité et de la morale. :
X. — L’institut, sans vouloir entrer dans l'examen
détaillé de tous les articles de la déclaration, croit
pouvoir recommander à l'attention des gouvernements
et de leurs délégués, appelés à réviser et à compléter
l'euvre de la Conférence de Bruxelles, les observations
et propositions présentées individuellement par divers
membres de la commission, entre autres:
a. les divers projets de définition de l'occupation
guerriére, notamment la définition suivante: «un ter-
«ritoire est considéré comme occupé du moment, aussi
«longtemps, et aussi complètement que l'État dont il
«reléve est empéché, par la cessation de la résistance
191
Bulletin de l'Académie Imperiale
«locale, d'y exercer publiquement son autorité sou-
` «veraine ;»
b. la proposition de dire qu'il est du devoir de Pau-
torité militaire de notifier le plus tót possible, aux ha-
bitants d'un territoire occupé, que l'occupation est
établie;
c. la proposition d'appliquer le principe général de
la restitution ou des indemnités aux dépóts d'armes
et de munitions appartenant à des particuliers du pays
occupé, comme à toute autre propriété privée ennemie;
d. la proposition d'ajouter à l'énumération des
moyens de guerre interdits, la destruction ou le ra-
vage, par voie d'inondation, d'incendie, etc., dans un
but momentané de guerre, d'une partie considérable
du territoire ou des produits durables du sol ennemi;
e. la proposition de prendre des mesures pour as-
surer le caractère sérieux et régulier de quittances
ou reçus délivrés aux habitants du pays occupé, dont
on exige des prestations ou services, des contributions
ou des réquisitions;
f. le vœu que les différentes Puissances fassent en-
trer les règles du droit international dans l'instruction
de leurs armées.»
Les derniers événements politiques ont fait oublier
pour le moment la Conférénce de Bruxelles. Sans ces
événements notre gouvernement eut sans aucun doute
continué son entreprise avec le même zèle. La démon-
stration de l’Institut de droit international, en faveur
de cette entreprise qui fit naitre tant de malentendus
sur le terrain diplomatique et dans la presse, est d’un
secours important pour son succès et pour sa popula-
rité dans le public et dans le monde officiel. La sym-
pathie unanime témoignée par l'Institut à l'idée gé-
néreuse de notre Empereur comptera comme un fait
notable dans l'histoire de la réalisation de cette idée,
car la voix de l'Institut est celle des représentants
éclairés de toutes les nations civilisées et des repré-
sentants autorisés de la science. Leur opinion ne peut
manquer de préparer le sol pour la croissance future
de cette idée, qui marquera un progrés dans l'histoire
des guerres et de la civilisation européenne.
Dans ce moment, les commissions suivantes sont
occupées de travaux qu'elles doivent présenter à l'In-
stitut à la session prochaine, qui aura probablement
lieu à Zurich au mois de septembre:
I. — Le droit international privé, les membres en
per MM. Asser, Bluntschli, Brocher, Clunet,
de Montluc, d'Olivécrona, Esperson, Pasquale
| Fiore, Goldschmidt, Erskine Holland, Koenig,
| Beech Lawrence, Laurent, Mancini, Masse,
| Neumann, Norsa, Bar, Westlake et Wharton.
| Les rapporteurs: pour le droit civil — M. Mancini;
| pour la procédure civile, — M. Asser; pour le droit
commercial — M. Goldschmidt; pour le droit pénal
— M. Brocher.
i
II. — Le traitement de la propriété privée dans '
les guerres maritimes. Membres: MM. Besobrasof,
Bulmerineq, Calvo, Cauchy, de Laveleye, Ges-
sner, Martens, Marquardsen, Meyer, Pieran-
toni, A. Rolin, C. Sclopis, Vidari, Westlake et
Woolsey. Rapporteur: M. de Laveleye.
IIT. — L'organisation d'un tribunal international
de prises maritimes. Membres: Mss. Asser, Moun-
tague Bernard, Bulmerineq, Esperson, D. Field,
Massé, Marquardsen et Westlake. Rapporteur:
M. Westlake. E
IV. — Applicabilité du droit des gens coutumier
de l'Europe aux peuples orientaux. Membres: MM.
Ashehoug, Asser, Dudley Field, de Holtzen-
dorff, Lorimer, Martens, Neumann, Petersen, -
Rivier, et Sir Travers Twiss.
Travers Twiss.
V. — (Éventuellement) Progrés de la réglemen-
tation des lois et usages de la guerre. Membres: MM.
Bluntschli, M. Bernard, Besobrasof, Den Beer
Portugael, D. Field, Landa, Lucas, Mancini,
Martens, Moynier, Neumann, de Parieu, Ro-
lin-Jaequemyns. Le rapporteur sera désigné suivant
les circonstances et le lieu, oü se produiront les faits
qui nécessitéront un nouvel examen de la commission.
Outre tous ces travaux, les membres de l'Institut
font constamment des communications concernant le
mouvement de la littérature du droit international et
les questions soulevées dans ce domaine dans leurs
pays respectifs. L'Institut publie ses travaux, ses ma-
tériaux et ses protocoles dans un Recueil spécial (Bul-
letin) paraissant à Gand sous la rédaction du secrétaire
général. A l'aide de cette publication on peut suivre
non-seulement tous les travaux de l'Institut, mais en-
core le développement du droit international dans le
monde civilisé. :
Rapporteur: Sir
Vm
es
o M E
d Zu EE
RE E
ES E E, SE à
Sa
e
à
ER:
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
194
Il ressort clairement, à ce qu'il nous semble, de
l'esquisse sommaire que nous venons de tracer de l'ac-
tivité de l'Institut de Droit International, qu'il est
déjà d'une grande utilité tant pour la vie politique
de l'Europe, que pour les progrès de la science..
Dans les travaux déjà accomplis se voit le germe de
son développement futur, si le méme esprit élevé de
la science et des idées humanitaires, dont ila fait
preuve des sa fondation, continue à y régner dans l'ave-
nir. Comme on à pu s'en apercevoir, l'Institut res-
treint le plus possible sa táche pour apporter le plus
de forces à son élaboration et atteindre la perfection,
dans les limites du possible et en accord avec la situa-
tion actuelle de la science. Tous les membres de 1'In-
stitut sans exception envisagent son activité et les
mandats qui leur sont confiés: avec le sérieux et la
conscience striete du devoir, que le public n'est habi-
tué à voir que dans les travaux des hommes d'État.
Un trait des plus importants de la vie de l'Institut est
sürement l'absence totale de tout antagonisme natio-
nal dans son sein, condition nécessaire de son activité.
Rien de pareil à cet antagonisme ne s'est fait sentir
jusqu'à présent au milieu des discussions les plus vives
et des opinions les plus tranchées, rien qui appro-
chat du groupement par nationalités ou de la formation
de partis nationaux, incompatibles avec l'esprit de
cette institution. Malgré le patriotisme avéré de tous
les membres, répudiant les idées de cosmopolitisme et
d'indifférentisme national, ils s'efforcent tous de dis-
cuter les questions internationales du point de vue
élevé de l'équité générale et de l'impartialité scien-
tifique.
L'Institut présente un exemple rare et presque
unique d'une institution scientifique de ce genre;
quoique sa sphére d'action soit encore assez bornée,
il fonctionne cependant à titre d'organe fixe et per-
manent dans la vie internationale des nations civilisées,
et ne peut manquer d'exercer de l'influence sur le mou-
vement de la théorie et des questions pratiques. Et ce-
pendant cette institution a été fondée par des hommes
privés, pour la plupart par de simples adeptes de la
science, et elle est maintenue exclusivement par leurs
efforts et leurs BE Se
Tome XXII.
Hofmeister.
Über Knospenbildung bei Equiseten. Von Prof, A. Fa-
mintzin. (Lu le 20 avril 1876.)
(Avec une planche.)
Alle Forscher, welche sich mit der Knospenbildung
der Equiseten beschäftigt haben, stimmen darin über-
ein, dass, die Gipfelknospe ausgenommen, alle übri igen
endogenen Ursprungs sind, indem sie sich aus den
Zellen des Innengewebes entwickeln sollen. Von den
neuern Beobachtern erwähnt ihrer Bildung zuerst
Auf Seite 94 seiner «Vergleichenden
Untersuchungen» giebt er über die Knospenbildung
der Equiseten Folgendes an: «Niemals verzweigt sich
die Endknospe des Schafthalmstengels. Es dürfte
kaum eine andere Pflanzengruppe mit so ausschliess-
lichem, scharf ausgeprägtem Spitzenwachsthum geben.
Die Verästelung erfolgt ausschliesslich durch Ad-
ventivknospen. Diese entstehen an bestimmt vor-
gezeichneten Stellen: in der ringförmigen Insertion
des scheidigen Blatts, je eine Adventivknospe mit
seltenen Ausnahmen genau unter dem Winkel zwischen
je zwei Blattzipfeln. Die Anlage zur Adventivknospe
erfolgt in der Regel schon sehr lange vor der zu den
Gefässbündeln des We enden Stengelglieds. Eine
Zelle der bezeicl ber Blattbasis aus der zwei-
ten oder dritten Schicht unter der Blattoberfläche, an
den im Herbst sich bildenden, zur Entfaltung im Früh-
jahr bestimmten Sprossen des Equisetum pratense, oft
schon im dritt- bis viertjüngsten Blatte zeichnet sich
durch Grössenzunahme, noch mehr durch farblosen
dickschleimigen Inhalt vor den jetzt oft schon Chlo-
rophyll führenden Nachbarzellen aus, hinter denen sie
bald in der Längsdehnung zurückbleibt, wobei sie aus
dem Zusammenhang mit den seitlich und von oben sie
umgebenden Zellen tritt. Bald beginnt in ihr eine in
rascher Folge in der Endzelle sich wiederholende
Theilung durch wechselnd der Achse des Stengels zu-
und abgeneigte Wände, womit eine Zellenvermehrung.
eingeleitet wird, die in allen Stücken der in der Schei-
telzelle der Terminalknospe vor sich gehenden ent-
spricht. Die Stellung der in der Scheitelzelle der
Adventivknospe entstehenden Wände ist fast aus-
nahmslos senkrecht zu einer durch die Achse des
Hauptsprosses gelegten Ebene. Bald wird das Da-
sein der Adventivknospe durch eine Auftreibung der
, Aussenflüche des Stengels dicht unter der Ansatz-
13
| 395
Bulletin de l'Académie Imperiale
stelle des Blatts merklich. Endlich, bei weiterem
Längenwachsthum , bricht sie aus der Unterseite des
scheidenfórmigen Blatts hervor.»
| Eine dieser ganz entsprechende Schilderung der
Entwickelung der Knospen der Equiseten finden wir
bei Duval Joure in seinem Werke: Histoire na-
turelle des Equisetum de France. «La tige des Equi-
setum», schreibt er Seite 13, «est rigoureusement
simple et ne se bifurque nine se divise jamais (sauf les
cas de mutilation) en axes secondaires; mais dans la
plupart des espéces elle est pourvue de rameaux la-
téraux disposés en verticilles. Ces rameaux naissent
de bourgeons adventifs situés à la base des gaines,
entre les cótes, dans la prolongation du sillon com-
missural des lobes; de sorte qu'ils alternent avec
les divisions des gaines.» «En rompant ou en tor-
dant la tige d'un Equisetum adulte, surtout vers
larriére-saison, on remarque, qu’elle se sépare,
. comme les rhizomes, en déux cylindres, l'un externe
ou cortical, l'autre interne.» «Le cylindre interne
est composé de tissu cellulaire incolore et de faisceaux
fibro-vasculaires; il présente constamment la grande
cavité centrale qui parcourt toute l'étendue de l'entre-
noeud, et autour d'elle la série circulaire des lacunes
essentielles. Le cylindre cortical, entièrement depourvu
de faisceaux fibro-vasculaires, présente, vers l'intérieur,
du tissu cellulaire incolore, dans lequel sont creusées
les grandes lacunes extérieures en alternance avec les
. lacunes essentielles.» «Les verticilles (p. 65) des bour-
geons à rameaux sont situés un peu en dessous du
diaphragme. Ces bourgeons prennent naissance à la
surface du cylindre interne, vis-à-vis d'un sillon, c'est-
à-dire entre deux divisions de la gaine et dans un
plan vertical, qui passerait par le milieu des grandes
lacunes eorticales. Mais ils se montrent bien avant
l'apparition des lacunes, et quand plus tard ils s'avan-
cent vers l'extérieur, il reste entre eux et la lacune
une couche de deux ou trois rangs de cellules qu'ils
repoussent en saillie rentrante au sommet et sur la
ligne médiane de la lacune.» «L'apparition du rudi-
ment d'un bourgeon a lieu de trés bonne heure; elle
est à peu prés contemporaine de celle des vaisseaux
dans la jeune tige. M. Hofmeister la dit méme de
beaucoup antérieure; je n'ai pu constater cette grande
différence sur les espéces oü j'ai suivi cette apparition.
Au point désigné plus haut, sur la ligne de division
de deux lobes ou un peu au-dessous de leur base,
dans la couche la plus externe des cellules devant con-
stituer le cylindre interne, une cellule se distingue des
autres par son contenu incolore et plus mucilagineux,
et surtout par ses plus grandes dimensions, sa forme
ovoide transversale et non allongée de bas en haut.
Au lieu de suivre les autres dans leur extension longi-
tudinale, cette cellule s'accroit en rayonnant vers Pex-
térieur et fait saillie en dehors d'elles. Elle ne tarde
pas à se dédoubler par une cloison perpendiculaire à
son axe de production. Des deux cellules; qui résul-
tent de cette division, la cellule non terminale se mul-
tiplie en deux cellules latérales au moyen d'une divi-
sion médiane verticale; bientót aprés, sinon simulta-
nément, une multiplication par division horizontale
double ces deux cellules, et en fait un petit verticille
de quatre cellules rectangulaires à leur ligne com-
mune de contact. Par suite d’une nouvelle division
qui, presque paralléle à la surface extérieure de ce
bourgeon naissant, s'opére dans chacune de ces cellu-
les, leur nombre est doublé, les nouvelles cellules in-
térieures sont les cellules génératrices du tissu médul-
laire du rameau; les plus extérieures donneront nais-
sance aux gaines et aux tissus interne et cortical.
Enfin il s’opere dans ces dernières d'abord une divi-
sion longitudinale et rayonnante, puis une division
transversale paralléle à la division initiale. C'est à ce
degré, ou au degré précédent, que le bourgeon s'arréte
et demeure à l'état expectant sous les cellules corti-
cales des tiges spicefères des E. maximum et arvense.»
Endlich sind nach Sachs*) die Equiseten die einzige
Pflanzenklasse, deren Verzweigung ausschliesslich auf
der Bildung endogener Seitenknospen beruht.
Sie entstehen im Gewebe der jüngsten Blattwülste,
schon lange vor der Differenzirung der Fibrovasal-
stránge an den Stellen, welche senkrecht unter dem
Winkel zwischen je zwei Scheidenzähnen liegen, mit
diesen also alternirend. Der morphologische Ort ihrer
Entstehung ist noch nicht genau präcisirt: wahr- -
scheinlich ist es eine Zelle derjenigen Schicht,
welche auch den Fibrovasalsträngen ihren Ur-
sprung giebt, aus welcher sich eine Knospe
entwickelt. . Hofmeister zeigte zuerst, dass jede
Knospe aus einer Zelle des inneren Gewebes hervor-
*) Lehrbuch der Botanik. Aufl. 4. S. 396.
~
H
192
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
198
geht, und wenn ich selbst auch keine einzelligen Zu-
stánde gesehen habe, so fand ich doch Zweiganlagen,
die erst aus zwei bis vier Zellen bestanden; sie zeigten,
dass schon die ersten drei Theilungen der Zweigmutter-
zelle nach drei Richtungen so geneigt sind, dass da-
durch sofort eine dreiseitig pyramidale Scheitelzelle
zu Stande kommt; die ersten drei Theilungen bilden
also die ersten drei Segmente.» Ein Equisetenspross
mit den sich entwickelnden Seitenknospen ist von
Sachs auf der Seite 397 des Lehrbuchs abgebildet.
Obgleich die hier angeführten Forscher in der
Schilderung der Entwickelung der Equiseten - Seiten-
knospen in mehreren wesentlichen Punkten auseinan-
dergehen, so stimmen sie doch alle darin überein, dass
letztere endogenen Ursprungs sind und darin von
den Zweigknospen aller übrigen Pflanzenformen eine
Ausnahme bilden. Dieser einstimmigen Angabe aber
ungeachtet will ich hier doch zu beweisen versuchen,
dass sie unrichtig ist und dass die Seitenknospen der
Equiseten keine Adventivknospen, sondern echte
Zweigknospen, allen übrigen vollkommen analoge, exo-
gene Bildungen sind. Es ist mir gelungen, auf Lüngs-
schnitten von Equisetum arvense ihre Bildung Schritt
für Schritt zu verfolgen und bestimmt nachzuweisen,
dass die Scheitelzelle der Seitenknospe bei Equiseten
einer der oberflüchlichen Zellen des Stengels ihren
Ursprung verdankt.
Wenn ein Längsschnitt zufälliger Weise eine eben
angelegte Seitenknospe trifft, so lässt sich sehr deut-
lich beobachten, dass die junge Zelle, welche später-
hin zu ihrer Scheitelzelle wird, dicht über der ring-
förmigen Blattanlage gelegen erscheint (Fig. 1 a). Sie
wird mit der Zeit durch eine Längswand halbirt;
die obere dieser Zellen verändert wenig ihre frühern
Dimensionen; die untere der neu entstandenen Zellen
dagegen schwillt mächtig an, indem sie auf ihrer
Unterseite bauchartig aufgetrieben wird. (Fig. La,
Fig. 3, 4a.) Bald darauf erscheinen in letzterer zu
einander geneigte Wände, welche vollkommen denen
der dreiseitigen Scheitelzelle der Gipfelknospe ihrer
Lage nach entsprechen (Fig. 2a.), wie es schon Hof-
meister und Sachs ganz richtig angegeben haben.
Die neu gebildete Scheitelzelle der Seitenknospe er-
scheint horizontal gelegen und ist mit ihrer freien
Oberfläche der Blattscheide zugekehrt. In diesem
Stadium ist: es ausserordentlich leicht, durch den
Längsschnitt, den zur Scheitelzelle der Seitenknospe
führenden Kanal (Fig. 2b, 3b, 4b.), welcher zwischen
dem Stengel und der KSC Blattscheide vor-
handen ist, bloszulegen und. von der exogenen Lage
der Seitenknospe sich zu überzeugen (Fig. 2, 3, 4.).
Die anschwellende Seitenknospe drückt immer stürker
gegen das Gewebe der Blattscheide, stülpt es mit der
Zeit ein, reisst es endlich allmáhlich auf und wüchst in
das Innere der Blattscheide hinein. Je weiter eine
Seitenknospe in ihrer Entwickelung fortgeschritten ist,
desto schwerer wird es, den zu ihr führenden Kanal zu
entdecken; demungeachtet bin ich doch im Stande ge-
wesen, auch bei ziemlich entwickelten Seitenknospen
ihn nachzuweisen. Das erste Entwickelungsstadium
der Seitenknospe von Equisetum, welches meiner Fig. 3
vollkommen entspricht, ist für Equisetum limosum von
Hofmeister auf Taf. XIX Fig. 1 seiner vergleichen-
den Untersuchungen ganz getreu abgebildet, von ihm
aber falsch gedeutet. Er hált diese Zellen für ge-
wóhnliche Epidermiszellen, die nach ihm in keiner Be-
ziehung zur Seitenknospenbildung stehen. — Die hier
angeführten Beobachtungen sind aber, wie ich hoffe,
im Stande die endogene Natur der Seitenknospen
von Equiseten zu widerlegen und die Verzweigung
der Equiseten als eine allen übrigen Pflanzenklassen
ganz gleiche erkennen zu lassen.
Erklärung der Abbildungen. Equisetum arvense.
. Fig. 1, Lángsschnitt durch die Gipfelknospe. a, die
zur Seitenknospe sich umbildende Zelle; a', dieselbe
durch eine Lángswand getheilt.
Fig. 2, 3, 4, Làngsschnitte durch in Entwickelung
begriffene Seitenknospen a. — 5, der zu einer Seiten-
knospe führende Kanal der durch den Stengel und
die Blattscheide gebildete Zwischenraum.
Observations faites à l'Observatoire astronomique de
l'Académie des sciences à St.-Pétersbourg. Par
A. Sawitch, (Lu le 20 avril 1876.)
Le temps a été défavorable aux observations pen-
dant l'automne de l'an 1875 et l'hiver suivant. Sou- `
vent le ciel était serein au soir et se couvrait de nuages
vers le minuit, quand il fallait observer les planétes
aux époques de leurs oppositions.
13*
Bulletin de l'Académie Impériale
Les données suivantes sont relatives aux temps des
passages des planètes par le méridien de St. - Péters-
bourg; elles sont corrigées de la réfraction et de la
parallaxe. L'azimut de la lunette a été chaque soir
vérifié par l'observation du passage de l'étoile a ou
^Ursae minoris. Sous le titre «Corr.» sont donnés les
nombres de secondes qu'il faut appliquer aux positions
des planétes, telles que l'on trouve dans le Nautical
Almanae anglais pour avoir les positions conformes à
nos observations.
Opposition de la planéte Neptune en 1875.
Les étoiles de comparaison étaient: e, y et y Piscium;
E Ceti d’après le Nautical Almanac pour l'an 1875.
Date. Asc. droite RE ^ bs — CaL
1875. app. Obs. — Call Deel app.
Oct. 2 | 2% 2”49563 | —os39 |+10°33/422 | +03
18 1 11,97 | — 0,40 24892 | --11
20 | 2, 0 59,39 0,26 : — Li
Nov. 1 | 1'59"42576 | —ohi I XN I 50
Moyenne...... — 0529 Moyenne... — 1/25
Opposition d'Uranus en 1876,
Étoiles de comparaison: y, x et 83 Cancri d'aprés
le Nautical Almanac pour l'an 1876.
Asc. droite Déclinaison
1876. app. observée. Corr app. observée. Corr
Févr. 9 9/29" 9570 | — 9:68 |+16°12 6/2 | + 312
10 21 52,81 | — 9,69 12 55,6 | + 392,4
14 21 11,11 | — 9,59 16 60 | = 30,8
16 | 21 0,70 | — 9,74 16 57,7. 35,0
16 | 9 20 50,41 | — 9,81 |+16 17 9,9 | +301
Moyenne. ..... — 9,702 Moyenne. .... + 31/9
Opposition de la planète Vesta en 1876,
Étoiles de comparaison: B Leonis, y Virginis d’après
le Nautical Almanac pour Van 187 6; 20 Virginis
d'aprés le «Greenwich Catalogue of 2670 Stars for
1864,0.»
Date.
1876.
€ Tn Obs, — ca Décl. app. s. — Cal.
Mars 26 | 19"53"56:94 | ossi |... eg 688 | ap
28 | ,52, 8,91 | +0,82 | + 8 13 297 79
Avr. 7 ‚1243 0,60 | +0,41 | + 9°11 154 | +0,4
A AS O
Moyenne...... + 0568 Moyemne....—477,
ie
BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
L'Académie a recu dans ses derniéres séances les
ouvrages dont voici les titres:
The transactions of the Linnean society of London. Vol.
XXIX part. III. Vol. XXX part. II — III. London :
1874—75. 4.
Second series. Botany. Vol. 1. p. 1. Zoology. Vol.I. p.1.
London 1875. 8. ;
The Journal of the Linnean Society. Botany. Vol. XIV.
N 77—80. Zoology. Vol. XII. X 58—59. London
1874—75. 8.
Linnean society. Proceedings of the session 1873—74 and
obituary notices. London 1874. 8. ;
Additions to the library of the Linnean society. Revised
from June 20. 1873 to June 19. 1874. 8.
Jahrbuch des ungarischen Karpathen-Vereines. I—II Jahr-
gang 1874—75. Kassa (Késmark) 1874—75. 8.
Notiser ur sällskapets pro Fauna et Flora Fennica fór-
handlingar. Fjortonde Häftet. Ny serie. Elfte Hat
tet. Helsingfors 1875. 8,
Bulletin de la société Impériale des naturalistes de Mos-
cou. Année 1875. JV 3. Moscou 1875. 8.
Proceedings of the Academy of Natural Sciences of Phi-
ladelphia. Part. I—III. Philadelphia 1874— 75. 8.
Bulletin of the Buffalo society of natural sciences. Buffalo
75. 8
La naturaleza. Periodico cientifico de la Sociedad mexican
de historia natural. T. IL MN 6, 9-—15. Mexico
1874 — 75. 4. i
Informe rendido por el primer secretario de la sociedad
mexicana de historia natural en la junta general del
dia 18 de Enero de 1875. Mexico 1875. 4.
Anales del museo público de Buenos Aires. Entrega duo-
decima. Buenos Aires 1870—74. 4.
Buletin de la Academia nacional de ciencias exactas exi-
stente en la universidad de Cordova. Buenos Aires
1874—75. 8.
Nature. A weekly illustrated journal of sciences. € 315—
327. 329—332. London. 4.
Die Fortschritte der Physik im Jahre 1870. Dargestellt `
von der physikal. Gesellschaft zu Berlin. XX VI Jahr-
gang. Red. von Prof Dr. B. Schwalbe. Abth. BEDS
Berlin 1875. 8
— — — — im Jahre 1871. XXVII Jahrgang. Abtheil. 1.
Berlin 1875. 8.
| Chevreul, E. Explication de nombreux phénomènes qui
sont une conséquence dela vieillesse. Troisième mé-
moire. (Extrait du T. XXXIX de l'Acad. des scien-
ces. 12”” partie.) Paris 1875. 4.
— VEnseignement devant l'étude de la vision, la loi du
contraste simultané des couleurs. Deuxiéme mémoire.
"E E E e D Le
A ae EE SÉ ro ng
3 RN eM momo VEN TOR x
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
(Extrait du t. XXXIX de l'Acad. des sciences. II. par-
tie) Paris 1875. 4.
Chevreul, E. Études des procédés de l'esprit humain dans
la recherche de l'inconnu à l'aide de l'observation et
de l'expérience et du moyen de savoir s'ila trouvé
l'erreur ou la vérité. (Extrait du T. XXXIX de l'Acad.
des sciences. II partie.) Paris 1874. 4.
~ — D'une erreur de raisonnement très-fréquente dans les
sciences du ressort de la philosophie naturelle qui
concernent le coneret expliquée par les derniers écrits.
Extrait du T. XXXIX 11^ partie de l'Académie des
Sciences. Paris 1871. 4. 2
Vinchon-Thiesset, Artus. La cause des effets. Saint-
Quentin 1875. 4.
Weinberg, J. Anwendung des mechanischen Wärme-
áquivalents auf Molecularkräfte, Moleculargrösse und
Moleculardistanz. (Zweiter Theil.) Separatabdruck
aus den Annalen der Physik u. Chemie. Herausgege- |.
' ben von J. C. Poggendorff. Leipzig. 8.
Lavagna, G. Aeronautica, nuovo artificio onde accrescere
o scemare la forza attollente di un globo aerostatico. 8.
Antoine, Charles. De quelques propriétés mécaniques
de différentes vapeurs. (Lithogr.) Brest 1875. 8.
Schónfeld, J. E. Über die magnetischen Krifte der
Materie, nebst einigen eigenen Versuchen. Moskau
1875. 8.
Berichte der deutschen chemischen Gesellschaft zu Berlin.
Achter Jahrg. 1874 N: 1—19. Neunter Jahrg. N 1,
2. Berlin 1876. 8.
The American Chemist. Vol. VI. N: 3, 4, 5. Whole 63—
66. New-York 1875.
Krafft, Friedr. Über die Entwickelung der theoreti-
schen Chemie. Basel 1875. 8.
Lender, Dr. Die oxydirende Kraft der Natur. Berlin
1876. 8.
Anales del instituto y observatorio de marina de San Fer-
nando. Publicados de orden de la superioridad por el
director Dr. Cecilio Pujazon, capitan de navio. Sec-
cion 2. Observaciones meteorologicas año 1874. San
Fernando 1875. 4.
Bolletino meteorologico ed astronomico del regio osserva-
torio della Regia università di Torino anno VII. (1873.)
Torino 1875. 8. ,
Meteorologiska Iakttagelser i Sverige utgifna af kongl.
Svenska Vetenskaps Akademien, anstüllda och bear-
betade under inseende of E. Edlund. XII, XIII, XIV
Bandet 1866—72. Stockholm 1872—74. 8.
Bulletin météorologique mensuel de l'observatoire de Puni-
versité d'Upsal. Upsal 1874—75. 4.
Daily Bulletin of weather-reports, signal-service United
States army, taken at 7. 35 A. M. 4. 35 P. M. and
11 P. M. Washington mean time, with the synopses,
probabilities, and facts, for the month of February,
1873. Washington 1875, 4.
Anuario de la officina central meteorológica de Santiago
de Chile. Años tercero i cuarto. Santiago 1873. 8.
Bulletin de la société géologique de France. 3"* série, `
tome 2™° feuilles 40—46. T. 3"* feuilles 27—36.
1875. Ne 7, 8. Paris 1873 à 1875. 8.
Jahrbuch der kaiserl. kónigl. geologischen Reichsanstalt.
Jahrgang 1875. XXV Band. X 2. 3. Wien. 8 +
Verhandlungen der kaiserl. königl. geologischen Reichsan-
stalt 1875. € 6—13. Wien. 8.
Mojsisovics v. Mojsvár, Edmund. Das Gebirge um
Hallstatt. I Theil. Die Mollusken-Fauna der Zlambach-
und Hallstätter Schichten. 2. Heft. (Abhandlungen
der k. k. geologischen Reichsanstalt. VI Band. 2
Heft. Wien 1875. 4.)
Neumayr, M. und Paul, C. M. Die Congerien- und Pa-
ludinenschichten Slavoniens und deren Faunen. (Ab-
handlungen der k. k. geolog. Reichsanstalt. B. VII.
H. 3.) Wien 1875. 4.
Zeitschrift der deutschen geologischen Gesellschaft. XXVII
Band. 2. Heft. April—Juni. 1875. 3. Heft. Juli bis
Sept. Berlin 1875.
The quarterly Journal of the geological society. Vol.
XXXI, part. 3. Nè 123. August 1875. London 1975.
— — — — Vol. XXXI. p.4. 124. Nov. 1, 1875. London
1875. 8.
List of the geological society of London. Nov. 1 p. 1.
1875. 8.
Transactions of the Manchester geological society. Vol.
XIV. part. 1. London 1875. 8.
Journal of the royal geological society of Ireland. Vol.
XIV. part 2. Vol. IV part 2 (New series). London.
Dublin 1875. 8.
Delaire, Alexis. Le fond des mers. Études lithologo-
giques. (Extrait des Annales du conservatoire.) 8.
Domeyko, Ignacio. Cuarto apendice al reino mineral
de Chile i de las repüblicas vecinas publicado en la
segunda edicion de la mineralogia de Don Ignacio
Domeyko. Santiago de Chile 1874. 8.
Perrey, Al. Sur la fréquence des tremblements de terre
relativement à l’äge de la Lune. Paris. 4.
Dulletin of the United States geological and geographical
survey of the territories. Bulletin N: 2, 3, 5, 6. Se- :
cond series. Washington 1875. 8. š
Departement of the interior. United States geological sur-
vey of the territories. F. V. Hayden, U. $. Geologist
in charge. Miscellaneous Publications. V 5. Descrip-
tive catalogue of the photographs of the United Sta-
tes geological survey of territories, for the years
1869 to 1875, inclusive. Second edition. W. N. Jack-
son, Photographer. Washington 1875. 8. `
Hayden, F. V. Catalogue of the publications of the Uni-
ted States geological survey of the territories. Wa-
shington 1874. 8.
Bulletin de l’Académie Impériale
204
Hutton, F. W. and Ulrich, G. N. F. Report on the ge-
ology and goldfields of Otago. Dunedin 187 5.8.
Bulletin de la société botanique de France. T. XXII. 1875
Janvier (Séances) feuilles 1 — 5. Revue bibliogra-
phique. C. D.
Nederlandsch kruidkundig archief. Tweede serie. 2° deel.
1* stuk. Nijmegen 1875. 8. ij
Treub, Dr. M. Driemaandelijksch botanisch Literatuur-
t overzicht. N: 1, 2. Juli — December 1874.
Hortus botanicus Panormitanus sive Plantae novae vel
criticæ quae in horto botanico Panormitano coluntur
descripte et iconibus illustratæ auctore Augustino To-
daro. Panormi 1875. 8.
Fries, E. Icones selecti Hymenomycetum nondum de-
lineatorum VII—X. 8.
— Icones select: Hymenomycetum Hungariæ II. III. Fol.
Flora oder allgemeine botanische Zeitung. Herausgegeben
von der kónigl. bayerisch. botan. Gesellschaft in Re-
gensburg, redigirt von Dr. J. Singer. Neue Reihe 33.
Jahrgang oder der ganzen Reihe 58. Jahrgang. 1875.
Regensburg. 8.
Transactions of the zoological soci
p. 4. London 1875. 4. |
Proceedings of the scientific meetings of the zoological
society of London for the year 1875 part II. IH.
Mart, April, May and June. London. 8.
Revised list of the vertebrated animals now or lately li-
ving in the gardens of the zoological society of Lon-
don. Supplement, containing additions received in 1872,
— . 1873 and 1874.
Snellen van Vollenhoven, S. C. Pinacographia. Part.
. . 9, Afl. 2. 'SGravenhage 1875. 4.
Tijdschrift der Nederlandsche dierkundige vereeniging,
onder redactie van Prof. H. J. van Ankum, A. A. van
Berumelen en Prof. P. Harting. Deel I. Afi. 1—4.
Jaarg. 1874. 'SGravenhage, Rotterdam. 8.
Coues, Elliott. Abstract of results of a study of the ge-
nera Geomys and Thomomys: with addenda on the
osteology of Geomyidæ, and on the habits of Geomys
Tuza separatly reprinted from the Report of Maj. J.
W. Powell's exploration of the Colorado river of the
West andits tributaries. Explored in 1869, 1870, 1871
and 1872, under the direction of the secretary of the
Smithsonian institution. Chap. XIII p.215 seqq. Wa-
shington 1875. 4.
An account of the various publications relatings
to the travels of Lewis and Clarke, with a com-
mentary on the zoological results of their expedition
(Extract. from Bulletin of the geological and geogra-
phical survey of the territories .\ 6 second series.)
Washington 1876. 8.
Some account of Zapus Hudsonius; and on the
breeding - habits, nest, and eggs of the white- tai-
led Ptarmigan, Lagopus leucurus. (Extr. from the Bull. |
ety of London. Vol. IX.
of the U. St. geol. and geogr. survey of the territo-
ries. Second series Ne 5.) Washington 1875.
Société entomologique de Belgique. Série II. Comptes-
rendus. | 16—21. 8.
Horae societatis entomologicæ Rossicæ. T. XI. N 2, 3.
Petropoli:1875. 8.
Tpyası pyeckaro 3HTOMOAOTH4YECKATO oöımeerBa BB C.-Me-
repöypr&. T. VIII. M1 T. XI X 2. CIIB. 1875.
Leukart, Rud. Die menschlichen Parasiten und die von
ihnen herrührenden Krankheiten. B. II. 3. Lief. Leip-
zig und Heidelberg 1876. 8 |
Mittheilungen der anthropologischen Gesellschaft in Wien.
V. Band. Ne 4—10 1875. Wien. 8.
Mommsen, Théodore. Histoire de la monnaie romaine,
trad. de l'allemand par le duc de Blacas et publiée
par J. de Witte. T. IV. Paris 1874. 8.
Bulletin de la société de géographie. Octobre, Novembre,
Décembre 1875. Paris. 8.
Société de géographie commerciale de Bordeaux. Bulletin
N: 1. Années 1874—75. Bordeaux 1876. 8.
Cosmos di Guido Cora. Vol. II. 1874. X, XI, XII. Vol. III.
1875. II—V. Torino. 8.
Journal of the American geographical society of New
York. MDCCCLXXTIII. Vol. IV. 1874. 8.
Weyprecht, Carl. Vortrag gehalten, vor der 48. Ver-
sammlung deutscher Naturforscher und Aerzte in
Gratz. Grundprincipien der arktischen Forschung.
Rink, Dr. Henry. Tales and traditions of the Eskimo.
' Translated from the Danisch. Edinburgh and London .
L'investigateur. Journal de la société des études histo-
riques. Juillet —Décemb. 1875. Janvier— Février
876. 8.
Urkundensámmlung der Gesellschaft für Schleswig-Hol-
stein-Lauenburgische Geschichte. Vierter Band. Re-
gistrum König Christian des Ersten. Fascikel II.
(Schluss.) Kiel 1875. 8.
Zeitschrift der Gesellschaft für Schleswig-Holstein-Lauen-
burgische Geschichte. Band V. Schluss - Heft. Kiel
5..8.
Quellensammlung. IV. Band. 2. Heft. 4.
Württembergische Jahrbücher für Statistik und Landes-
kunde. Jahrgang 1874. Theil 1, 2. Stuttgart 1875. 8.
Verhandlungen des Vereins für Kunst und Alterthum in
Ulm und Oberschwaben. Neue Reihe. 7. Heft. Ulm
1875. 4.
Engel, Dr. Ernst. Zeitschrift des kónigl. preuss. stati-
tischen Bureaus. Jahrg. XV. 1875. Heft 3. Berlin
1875. 4.
Fünfter Jahresbericht des Landes - Medizinalkollegiums
über das Medizinalwesen im Kónigreich Sachsen auf
die Jahre 1872 und 1873. Dresden 1875. 8.
Fischer, Christ. Friedr. Emanuel und Stuckart,
de, Ge
Sr iecur.
e ies E Ce?
-
205
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
Carl Fried. Zeitgeschichte der Stüdte Schlesiens
mit Abbildungen. Bd. 1, 2. Schweidnitz 1819—21. 4
Annuaire statistique de la Belgique. Sixième année 1875.
Bruxelles 1875. 8.
De vrije Fries. XIII Deel. Derde reeks 1 deel.
te Leeuwarden 1875. 8.
Worsaae, J. J. A. Tale ved det Kgl. nordiske Oldskrift-
selskabs halvtredsindstyveaarige Stiftelsesfest paa
Amalienborg d. 28. Januar 1875. 8.
Vetera monumenta Slavorum meridionalium historiam illu-
strantia maximam partem nondum edita ex tabulariis
Vaticanis deprompta et collecta ab Augustino Theiner.
T. II. Edidit Academia scientiarum et artium Slavorum
meridionalium. Zagrabiae. 1875. 8
Magyar Tórténelmitár. Kiadja a Magyar Tudományos Aka-
démia pie bizottsága. XIX, XX, XXI. Budapest
1874—75.
1 stuk.
` Monumenta SÉ historica. Diplomataria. XVIII—
XXIV. Budapest 1872— 75. 8.
Scriptores XXII, XXVI, XXVII, XXXII. Budapest 1873—
1874. Acta extera LU Budapest 1875. 8
Monumenta comitialia regni Hungaris. I, IL Budapest
1874—75. 8.
- Archivum Rakoczianum. I. 1, 2, 3. Budapest 1873—74. 8.
Tórók-Magyarkori tórténelmi emlékek. Kiadja a Magyar
Tudományos Akadémia tórténelmi bizottsága. Elsó
osztály; Okmánytár. IX kótet. Budapest 1873. 8.
Név-és tárgymutató a Tórók-Magyarkori államokmánytár
I— VII köteteihez. Készitették Sziládi Aron és Szilágyi ^
e E
Sándor. Budapest 1873
nies vente 'des statistischen Déeg der Hauptstadt
` Budape
IX. Die ein Volkssehulen der Stadt Pest in den
Schuljahren 1871—72 u. 1872—73 mit 8 lithogr.
Tafeln. Von Prof. Kórósi. Berlin 1875. 8.
X. Untersuchungen über die Einkommen- und Hauszins-
Steuer der Stadt Pest auf Grund der Ergebnisse für die
Jahre 1871 u. 1872. Von Prof. Kórósi. Pest 1875. 8.
Census of the Bombay Presidency taken. on the 21 Fe-
bruary 1872. Detailled census returns of the Bombay
presidency. Part III. Bombay 1875. 4.
Archæological Survey of India. Report for the year 1872—
1873 by Alexander Cunningham. Vol. V. Calcutta
1875. 8.
Memoria de hacienda, piece al d national de
1874. Santiago de Chile 18
Memoria del interior, iecit SEN congreso national de
1874. Santiago de Chile 1874.
Memoria de relaciones esteriores i de: colonizacion presen-
tada congreso nacional de 1874. Santiago de Chile
1874. 8.
Memoria de justicia, culto ed instruccion publica presentada
al al congreso national de 1874. Santiago de Chile.
1874. 8.
Memoria que el ministro de estado en el departamento de
guerra presenta al geschen national de 1874. San-
tiago de Chile 1874.
Memoria que el ministro de ez en el departamento de
Marina presenta al congreso national de 1874. Val-
paraiso 1874. 8. :
Sesiones de la camara de senadores en 1873. 4.
Sesiones estraordinarias de la camara de senadores en
1873. 4,
Sesiones de la cámara de diputados en 1873. 4.
Sesiones estraordinarias de la cámara de diputados en
873. 4.
Cuenta jeneral de las entradas y gastos fiscales de la re-
pública de Chile en 1873. Santiago de Chile 1874. 4.
Estadística comercial de la república de Chile corr espon-
diente al año de 1873. Valparaiso 1874. 4.
SE estadistico de la república de KE? T. XIV. 1872
873. Santiago de Chile 1874.
uia. de código de mineria. nte de Chile 1874. 8.
Proyecto de lei de organizacion i atribuciones de los tri-
bunales. Santiago 1874. 8.
Rosenberg, C. B. H. von. Reistochten naar de Geel-
vinkbai op poi in de Jaren 1869 en 1870.
'sGravenhage 1875. 4.
Monthly reports of the department of agriculture for the
year 1874. Washington 1875. 8.
Ellero, Pietro. I vincoli dell'umana alleanza. Prolusione
al corso di diplomacia e storia dei trattati dato nell'
università di Bologna. 1876. 8.
ulletin de la société industrielle et agricole d'Angers et
du département de Maine-et-Loire. Angers 1875. 8.
Prosa e poesie italiane della raccolta arborense con un
pensiero di Vincenzo Fiorentino. Napoli 1870. 8.
Sulle carte d'Arborea. Prefazione di Vincenzo Fioren-
.— tino Firenze 1874. 8.
Galland, N. Faits et observations sur la brasserie (suite).
Maltage pneumatique. Juillet 1874. Strasbourg. 8.
The seventy-first report of the British and Foreign Bible
society MDCCCLXXV. London 1875. 8.
Bulletin de l'Académie royale de médecine de Belgique,
Année 1875. Troisième série. T. IX. Ne 8—11. Bru-.
xelles 1875. 8..
Revue scientifique de médecine et de pharmacie de ’Em-
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Schmid, G. Geschichte der Mittelschulen Russlands seit
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. tion, first School District of Pennsylvania comprising
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. pridie K. Quinctiles a. CIOIOCCCLXXV concelebranda
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cule, année 1872.
— Mémoires de la section des lettres. T. V. IV* fascicule,
année 1872.
— de la section de médecine. T. IV. res fasc. années
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Mémoires de la société o RE académique de ener
Cherbourg Caen 1875
Atti dell' Accademia vs de nuovi Lincei, compilati
dal segretario, anno XXIX sessione II del 23 Gennajo
1876, sessione III del 20 Febbrajo 1876. Roma
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kónigl. bayr. Akademie 5 Vii B, XIII.
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B. XII. Abth. 1. München 1875
Sitzungsberichte der philosoph -philol. u. gett Classe
der kónigl. bayr. Akademie der Wissenschaften zu
München 1875 B. IL Heft II. München 1875. 8.
Monatsbericht der kónigl. preuss. Akademie der Wissen-
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Schriften der physikalisch-ökonomischen Gesellschaft zu
Königsberg. Vierzehnter Jahrg. 1873. Abth. 1. 2.
Sprawozdanie z czynności zakładu narodowego imenia Os-
solińskich za rok 1875. We Lwowie 1876. 8.
Oversigt over det Kongelige Danske Videnskabernes Sel-
skabs Forhandlinger og dets Medlemmers Arbejder
i Aaret 1874 M 3. 1875 Ne 1. Kjøbenhavn. 8
Vidensk. Selskabs Skrifter. 5 Række, naturvidenskabelig
og mathematisk Afd. 10 B. VII. VIII. 11 B.I. 12 B. I.
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The Journal of the oa Dublin Society. Ae XLIV — Vol.
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Dorpat 1875. Dorpat 1876. 8.
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Bulletin of the Cornell University ge Vol. I Num-
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Fick, August. Die Göttinger een. Göttingen
75. 4.
Schönbach, Anton. Über die Marienklagen. Ein Beitrag
zur Geschichte der geistlichen Dichtung in Deutsch-
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Archiv für slavische Philulogie Unter Mitwirkung von
M. Leskien und W. Nehring en von V. Jagić.
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Blom, Hans. Russisk osi til praktisk Behov.
Kristiania 1876. 8.
Abhandlungen für die Kunde. des Morgenlandes heraus-
gegeben von der Deutschen Morgenlündischen Gesell-
schaft. VI. Bd. N 1. Chronique de Josué le Stylite,
écrite vers l'an 515, texte et traduction par M. l'abbé
Paulin Martin. Leipzig 1876. 8.
The Journal of the Bombay branch of the royal asiatic
society 1875. N: XXXI Vol. XI. Bombay 1875. 8.
Catalogue of Sanskrit Mss. existing in Oudh. Edited by
Rajendralála Mitra. Fasciculus VI. VII. Calcutta 1875. 8.
A Catalogue of Sanscrit Mss. existing in Oudh, discovered
from the 1** October 1874 to 31° December 1874. 8.
— — — — discovered from the 1% April to 30t* June
1875. 8.
Bombay Sanskrit Series € XIV. Vikramänkadevacharita,
edited with an introduction by Georg Bühler. Bom-
bay 1875. 8.
Nyäyakosa or Dictionary of the technical terms of the
Nyàya Philosophy by Bhimárya Ihalakikar. Bombay
1875. 8.
Paru le 10 juillet 1876.
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Lith.v.Ivanson St Petersburg
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E | (Feuilles 14—20.)
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P age.
3 Us €. J. Maximowiez, Diagnoses plantarum novarum Japoniae et Mandshuriae. Decas XX
a cereo E 209—264
M. Brosset, Rapport sur Porge manuscrit de M. Bakradzé contenant l'exposé des
recherches archéologiques faites dans l'Adchara et dans le Gouria par ordre de
Cul. Som a RUIT a Ur c MONI a ia a cut 264—277
J. Sehmalhausen, Les plantes de l'étage oursien, trouvées dans les galets du fleuve
Ogour, Sibérie orientale (avec 4 planches). ................................ 277—991
2 Examen microscopique des restes de E du eege antiquitatis
£ i seu tichorhinus de la Sibérie. Communication, EE E isa 291—295
pe 9. Struve, Sur le satellite supposé du Procyon................. Re Ud ... 295—303
E M. Brosset, Revue de la littérature historique de B 07 nr 303—312
| 0. Bóhtlingk, Quelques observations concernant les racines de EE slavon avec les
r et 1 formant des syllabes ............. ESS de XR E Nai ME Tut e Kee Ce D
Bulletin a a A E rere N PS 315—320
Ci-joints 2 planches destinées à accompagner la notice de M. Cienkowski sur la morphologie des Ulotrichées,
insérée dans le tome XXI, pag. 529 du Bulletin de l'Académie.
S'abonne: chez MM. eise. & Ci°, J. Issakof et J. Glasounof, irait à St.-Pétersbourg; au Comité Ad-
ministratif de l’Académie ange IIpaszegis Hwneparopckoii Araxemin m N. Kymmel, libraire à Riga,
chez M. Léopold Voss, libraire à Leipzig
Le prix ee par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie,
marks Allemands pour l'étranger.
Imprimé par ordre de l'Académie Impériale des Sciences 7
C. Vessélof ski, Sectbtaise €—
Imprimerie de l'Académie A des sciences.
(Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12.)
Septembre 1876.
BULLETIN
DE L'ACADÉMIE IMPERIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG.
Diagnoses plantarum novarum Japoniae et Mandshu-
riae, Scripsit C. J. Maximowicz. (Lu le 20 avril
1
876.) DECAS VIGESIMA.
(Cum tabula aeri incisa.)
Clematis L.
Species Asiae orientalis.
ct. 1. Flammula.
Sepala praefloratione valvata basi ac medio geet ee
Caudae carpellorum elongatae patentim plumosae. Flores nno-
dirus elongatis, unde florescentia non vernalis, sed aora
1. Pedunculi axillares 1-flori nudi vel bracteati et tunc ex
res axillis passim floriferi 3-flori; infimi ramiformes quidem
passim pluriflori (ex trichotomia iterata), sed tunc flores minime
subcoötanei. Pedunculi nunquam apice ramorum in paniculam ap-
proximati.
Frutices erecti ramosi ramis strictis, petiolis brevissimis non tor-
2.
tis. Sepala patentia.
- Frutices scandentes vel wget 3.
è esa linearia, rami
basi dilatata, rid breves.........
8. geg conniventia. 4.
Sepala patentia (in Cl. caesariata ignota). 6.
Cl. songorica.
Cl. fruticosa.
Ate
t2
4. Folia bis vel ter composita, segmenta pinnat
fida laciniis isses t] Frutex flore favido. . Cl. aethusaefolia.
Folia semel vel bis pinnata, segmenta indivisa `
1 ata m margine serrato vel integro. Flores non
flavi. 5.
5. Sepala brunneo-tomentosa, Segmenta margine
integro...... eee eene on . Jusca.
Sepala alba glabrinsenla. Segmentä serrata... Cl, lasiandra.
6. sperren, foliorum integra.
» serrata vel in isa. 8.
7. Folia bis trisecta, segmenta acuminata, fila-
menta antheris longiora................. Cl. parviloba !).
Folia bis pinnatisecta, en apiculata. An-
therae filamentis ongio EEN Cl. Kirilowi.
8. Pedicelli dE apice garg, folia trisecta, :
planta hirta ...........,.............,.. . caesariata.
Pedicelli immutati, folia cd Ae plantae
arc rulae vel glabra
9. ae KN sepala meng acuminata pa-
SE E Cl. orientalis.
? See glabra, sepala lanceolata reflexa... Cl. Pieroti
1. Ke patentia
a. Frutices erecti dumosi.
1. Cl. fruticosa Turcz. in Bull. Mosc. V. 181. —
Maxim. Ind. Mongol. in Fl. Amur. suppl. 479.
1) Species a me non visa forsan ad sequentem divisionem per-
tinens, ubi quaerenda, hic tamen quoque ob «paniculam foliosam
paucifloram » insert
XXII.
Hab. in Mongolia australiore: secus viam. mercato-
riam sibiricam (Kirilow!) circa lacum salsum Kobur
in arenosis, init. Augusti fl. (Bunge!, Ladyshinski!)
et prope Mogoitu (Bunge, fine Aug.), in terra Ordos,
valle fl. Hoangho in arenosis rara, med. Aug. fl.
(Przewalski!).
2. Cl. songorica Bge. — Ledeb. Fl. Ross. I. 2.
Var. integrifolia Trtv. Enum. pl. Schrenk. in Bull.
Mosc. 1866. X 2. p. 55.
Hab. in Mongoliae borealis regione Urot et Chalcha,
desertis arenoso-lapidosis, med. Aug. fl. frf. (Prze-
walski!).
b. Frutices scandentes.
3. Cl. Kirilowi. Scandens glauca parce pilosius-
cula, caule sulcato; foliis coriaceis pinnatisectis: seg-
mentis 5 trisectis, segmentulis breve petiolulatis ova-
libus v. oblongis obtusis cum mucrone integris basi
trinerviis utrinque elevato-reticulatis; pedunculis axil-
laribus folio brevioribus rigidis 1—5 -floris; flore
erecto; sepalis 4 (5, 6) patentibus oblongis truncato-
emarginatis praeter marginem latum glabriusculis ge-
nitalia vix duplo superantibus; filamentis glabris an-
therà brevioribus et crassioribus linearibus stylos 5—8
adaequantibus; carpellis. . .. — C. Massoniana? Ma-
xim. Ind. Pekin. l. c. 468. |
Hab. in viciniis Pekini Chinae borealis, unde specc.
2 fl. olim attulit Kirilow.
Cl. glaucae W. similis, sed optime videtur diversa
sepalis truncato-emarginatis in sieco violaceis, stamini-
bus glabris, filamento brevi. Segmenta foliorum pri-
maria brevius petiolata, in omnibus foliis visis unicum
basi hine dente auctum, cetera integerrima.
Petiolus communis 11 cent., petioluli laterales
1 cent., ultimi 1— 4 mill. longi, segmenta 1: 3 cent.
circiter magna. Bracteae petiolulatae ovales pedicello
multo breviores. Alabastra globoso-ovoidea acutiuscula
incano-tomentosa. Flos diametro 18 mill. sepalis pa-
tentissimis.
4. Cl. orientalis L. (sensu Hooker et Thoms. Fl.
Ind.) |
14
211 Bulletin de l'Académie _Empériale 212
Var. intricata (Bge. Enum. Chin. n. 3. sp. pr.).—
Cl. intricaía et Cl. glauca, Maxim. Ind. Pekin.
l. c. — Cl. glauca var. Turcz. Anim. herb. in Bull.
-Mosc. XXVII. X 2. p. 272. — Maxim. Ind. Mongol.
l. c. — Cl. glauca 8. angustifolia Ledeb. 1. c. 3.
(quoad specc. microphylla). — Cl. orientalis var. acu-
. lifolia T rtv. l. c. (similia specc.).
Hab. ad sepes et vias fere totius Chinae borealis
(Bunge!): Pekino (Skatschkow!, Ladyshinski!),
montibus boream versus in coemeteriis (Tatarinow!);
in Mongolia australi: locis subarenosis (Kirilow!,
Turez.!), terra Ordos in valle fl. Hoangho , frequens,
et in deserto a jugo Alaschan boream versus extenso
sterilissimo, terrae adpressa et rara, init. Augusti flo-
rens (Przewalski!), nec non in Songoria.
Segmentis angustioribus et minoribus vulgo magis
acuminatis, pedunculis 1 — 3-floris saepissime longio-
ribus a var. acutifolia Hook. et Thoms. distinguenda.
Var.? Wilfordi. Folia bis trisecta, segmenta breve.
petiolulata petiolis. non tortis ovato -lanceolata acu-
minata parce serrata profundeque incisa; pedunculi
axillares 1-flori versus basin foliaceo-bracteati, se-
pala intus araneoso - villosula elliptica ainni
8-linealia, filamenta basi vix dilatata, solito rigidius
et longius ciliata.
Hab. in litore orientali Mandshuriae inter 44 et
45? (Wilford! fl. defi. s. nom. CZ. orient. var. acu-
tifoliae).
Specimen unicum, a var. acutifolia Hook. f. et
Thoms. signis datis nimis, forsan specie, diversum.
Planta intense viridis fere glabra.
Var.? serrata. Ut praecedens, sed segmenta prima-
ria longe (terminale laminá longius), secundaria bre-
viuscule petiolulata, subinaequaliter argute serrata,
petiolo petiolulisque volubilibus, sepala pollicaria ovato-
oblonga in mucronem acuminata.
Hab. in Mandshuria rossica australi, ad fl. Sedemi
prope pagum koreanum Pozilowka, fina Augusti sub-
defl. (Goldenstädt!).
Specimen unicum, quoad frondem CI. lasiandrae si-
millimum, sed flore valde diversum. Planta adpresse
pilosa, herbaceo-viridis, pedunculis 3-pollicaribus.
5. CI. Pieroti Miq. Prol. 189. — Franch. et Sa-
vat. Enum. 1. p. 2.
Hab. in Japonia (Siebold!): Kiusiw, circa Na-
gasaki (Oldham! X 5 frf.) locis graminosis silvae opacae
declivitatis borealis m. Yuwaya sat frequens, init. Sep-
tembris fl., init. Novembris frf., nec non in collibus circa
Inassa in silvis rarius; Tara-take, fine Aug. flor.; prov.
Bungo prope Taga-sake, in pratis maritimis, non fre-
quens, fine Octob. frf. Nippon: jugo Hakone, medio
Octobri frf.
In mentem vocat Cl. orientalem L., sed haec statim
differt foliis pinnatim nec ternatim bis sectis, sepalis
patentibus ovatis nec reflexis oblongis, staminibus quam
styli subbrevioribus nec distinctissime longioribus,
filamentis linearilanceolatis nec linearibus, ciliatis ne-
que glabris, antheris respectu filamenti majoribus, nec
illo decies saltem brevioribus. — Pedunculi in nostra
graciliores ad summum triflori, sepala et antherae
virgineae in vivo lacteae, hae apertae cinereae. Folia
quoad formam variabilia, interdum illis CZ. parvifoliae
Edgew. speciminis macrophylli persimilia.
Haec species, in coll. Oldhàm. cum dubio pro CZ.
biternata D C. Syst. I. 149. habita et a me ipso pri-
mum pro hac sumpta, a planta Candollei et Decais- `
nei (hb. Timor! in Nouv. Ann. Mus. III. 421.) certo
differt, praesertim floribus. De CZ. biternata D C. confer
infra in observatione ad calcem CI. brevicaudatae.
6. CI. caesariata, Hance in Seem. Journ. of bot.
VIII. 71.
Hab. in Chinae prov. Fokien (de Grijs! in hb.
Hancei X 6700).
Fructifera tantum nota, quoad locum igitur dubia.
2. Sepala conniventia.
7. Cl. aethusaefolia Turcz. in Bull. Mose. V. 181.
— Maxim. Ind. Pekin. 468. Ind. Mongol. 479.
Hab. in China boreali, circa Pekin (Kirilow! Ta-
tarinow!), prov. Kansu silvis alpinis rara (Przewals-
ki!); Mongolia australi (Kirilow!): in apricis jugi
In-schan (vel Muni-ula) rara, in jugo Alaschan, in
vallibus et ad pedem in ipso deserto rarius Dire:
walski!).
Specimina e Kansu, foliis ramorum florentium tenui- `
ter, caulinis illos fulcientibus grossius minusque dis-
sectis transitum efficiunt ad
Var. latisectam Maxim. Fl. Amur. 12. — Rgl.
Gartenfl. 1861. tab. 342. (mala quoad sepala erecta),
ibid. 1863. pag. 349. (sepala recte apice revoluta
corriguntur.)
Hab. in Mind secus Amur australem et Usuri
E e, LEA aT ATA e es
ENG — LS A Rar.
+ ba S x à i
CA, K
e
1
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
inferiorem, sat frequens. Petropoli quotannis uberrime
floret e seminibus a d. Maack introductis.
8. QLlasiandra. — Scandens viridis praeter folia
adpresse pilosula glabra; foliis bis (superioribus semel)
trisectis, segmentis petiolulatis ovatis v. ovato-lanceo-
latis acuminatis inaequaliter argute serratis; pedun-
culis axillaribus folio brevioribus versus basin bractea-
tis et hinc 1—3-floris; pedicellis gracilibus flore
7 MF M longioribus; flore nutante; sepalis conniven-
tibus apice revolutis oblongis v. ovato-oblongis acu-
tis v. breve acuminatis margine tomentosis genitalia
erecta parum superantibus; filamentis planis lineari-
bus dorso longe denseque sericeo-pilosis pilis anthe-
ram 4'” breviorem velantibus; ; stylis co stamina aequan-
tibus; capitulo fructifero erecto carpellis co ovato-
lanceolatis acuminatis compressis vix marginatis dense
sericeis longe plumoso-caudatis.
Hab. in Kiusiu: Naga-yama, in valle profunda ad
pedem, silvis vetustis, init. Octobris fl. et frf.
Species peeuliaris, prope Cl. fuscam Turez. po-
nenda, sed toto coelo diversa. Quoad folia simillima
Cl. orientali var. serratae supra descriptae.
Herbacea dicitur. Segmenta foliorum 8:20 usque
30:65 mill. magna. Flos 15 mill. longus, albus, extus
versus basin cinnamomeo suffusus, glabriusculus (mar-
gine sepalorum excepto). Antherae lineares pilis fila-
menti cireumdatae, ipsae glabrae.
9. Cl. fusca Turcz. in Bull. Mosc. 1840. 60. —
Maxim. Fl. Amur. 10. — Rgl. Fl. Ussur. tab. II.
fig. 1. — C. kamtschatica Bong. in Bull. scientif.
VIII. 1841. 339.
Hab. in Mandshuria: secus fl. Amur ab ostio fl.
Komar usque ad sinum Tataricum, ad Burejam infe-
riorem (F. Schmidt), ad undam usque ad Indamo,
ad totum Usuri fl., circa sinum St. Olgae, in jugo li-
torali Sihota , Es sinum Victoriae (Wladiwostok,
Possjet etc.) nec non ad fl. Suifun, in pratis, fruticetis,
lucis frequens et luxurians. In Sibiria mazime orien-
tali: Ajan (Tiling), Kamischatka et Kurilis boreali-
bus, erecta 1— 3-flora, et talis etiam in Mandshuria
boreali alpina, ad fl. Nemilen (Schmidt).
Divi vis. 2. Pedunculi axillares bis saltem divisi, multiflori, minute
bracteati, ad apices ramorum saepius in paniculam divitem appro-
ximati
Sepala patentia. 3.
conniventia, folia ampla.
2. Herba erecta robusta. Flores polygami, ne
culis pedicellisque strictis crassi Cl. tubulosa.
So. .......
214
Debilis tenera. Flores hermaphroditi, _pedun-
culis pedicellisque gracilibus ............. Cl. Tatarinowi.
3. Sepala 5 — 6, he rba a rigida erecta, segmenta fo-
liorum linearia............. EE S LC S Cl. angustifolia.
Sepala 4. — 4. |
4. per: foliorum margine integra. b.
» » inciso-serrata v.ser-
ra. 11.
5, Folia omnia trisecta. 6.
« bis tri- vel pinnat .q.
6. Anthera filamento. "org ek folii basi
obtusa vel cordMa .......... 1242 09 6s . Meyeniana.
—— filamento brevior. Segmenta basi cu-
V oC DER o dO RUE CI. crassifolia.
d Filamenta SE me breviora. Segmenta
foliorum 5 acuminata........,..,,,...... Cl. uneinata.
Filamenta antheris longior. 8.
8. Foliabi d i angusta
acu . Cl. parviloba.
Folia Ray pinnatisecta, segmenta petiolo pro
ima passim trisecta, basi obtusa vel c
ata.
9. Segmenta omnia simplicia, planta sicca nigres-
EE O O EE a AE UE Cl. terniflora.
Segmenta inferiora ge 2—9- loba v. 3-secta,
planta sicca viri Drei
10, Herba petiolis ade ee Cl. recta var. mandshurica.
tex magnus scandens dem . paniculata.
AU iré dli A nada AT . à. apiifolia.
» semel pinnatisecta. 12.
» bis er glebriaséela, vd virge Cl. brevicaudata.
INTACTOS glabreséülá. NT SE Ae Cl. pinnata.
Frutex scandens, folia Subías a rente Cl. grata.
1. Sepala conniventia.
10. Cl. tubulosa Turez. in Bull. Mosc. 1837. X.
Ñ 7. p. 148. — Maxim. Ind. Pekin. 1. c. — Hance,
on N. China plants, in Journ. Linn. soc. XHI. 75.
Hab. in China boreali: prope Pekin (Skatschkow!),
in declivitatibus et faucibus m. In-schan, Junio florens
(Tatarinow!), in montibus a Pekino occidentem ver-
sus sitis (Williams, ex Hance), Ku-pei-kau, secus
vias (idem). Culta olim in horto Petropolitano, nunc -
in horto Parisiensi (s. n. CI. Davidianae).
Planta valde variabilis, caule mox herbaceo graci-
liore, mox basi lignoso suffruticoso in ramos plures
erectos diviso. Flores mox in axillis foliorum fascicu-
lati, sessiles, mox pedunculo communi fulti, alii ses-
siles, alii pedicellati, mox flores sessiles cum pedicel-
latis in axilla eadem intermixti, mox pedunculus elon-
gatus ad intervalla fasciculis pluribus florum onus-
tus. Flores occurrunt vel omnes masculi, vel omnes
feminei, vel saepissime (in individuis robustioribus)
monoici, hermaphroditi nempe cum paucis masculis
mixti, variant etiam quoad magnitudinem ita, ut duplo
14*
215
Bulletin de l'Académie Impériale
minores non rari sint. Planta certe demum suffruti-
cosa, ut e speciminibus nostris numerosis et comple-
tis clarum est, sed floret fortasse jam primo anno, unde
Williams (apud Hance) ait: a coarse vigorous an-
nual with rank smelling purple flowers.
Cl. azurea hort. apud Turcz. Anim. herb. in Bull.
Mosc. 1854. XXVII. X 2. p. 272., ex hortis Tauriae,
etiam forsan non diversa.
Specimina maxima rarissime ferunt folia infima
2-jugo-pinnatisecta (segmenta 5, loco trium ut solito
occurrunt) cum pedunculis elongatis multifloris. An
talis sistit Cl. heracleifoliam DC. Syst. I. 138. inter
Pekin et Jehol a Staunton detectam, sed a nemine
postea visam, descriptione non contradicente, praeter
. caulem scandentem?
Cl. stans S. Z. Fl. Jap. fam. nat. I. n. 302. — Miq.
Prol. 190., quoad specimina hucusque e Japonia al-
lata, a Cl. tubulosa bene diversa videbatur floribus par-
vis, sepalis intus pallide coeruleis nec sordide viola-
ceis, nunc tamen, ubi exempla numerosa e locis di-
versissimis Japoniae attuli, nullas differentias inter
utramque speciem invenire possum. Variat enim pl. ja-
ponica plane eodem modo ac sinensis floribus parvis vel
magnis, pallidis vel intensius coloratis , "sessilibus vel
` pedicellatis, et dantur specimina, quae nequaquam a
chinensibus distinguenda sunt. Videntur tamen in japo-
mica, planta frequentius quam in chinensi, praesertim
in borealibus, occurrere individua fima male evo-
lutis, solito duplo minoribus, vix apertis, nihilominus |
fructus perfectos maturantibus.— Possideo e Japonia:
e Hakodate sat frequentem, e Nippon principatu Nambu,
Idzu, prope Kanasawam et Yokoskam nec non e mon-
tibus Hakone, multis exemplis florentibus et fructiferis
collectam.
11. Cl. Tatarinowii. — Viridis gracilis parce bre-
vissime puberula, caule 6 -sulco debili; foliis bijugo-
pinnatisectis amplis jugo petiolo proximo trisecto v.
trifido ceteris trilobis, segmentis omnibus ovatis v.
rhombeo-ovatis acutis parce mucronato-inciso-serra-
tis; pedunculis axillaribus elongatis folio brevioribus
gracilibus ter trichotomis, pedicellis filiformibus flore
subnutante longioribus; sepalis 4 conniventibus apice
revolutis extus puberulis margine tomentosis oblongis
acutis genitalia duplo superantibus; filamentis glabris
antheram superantibus; stylis quam stamina fere duplo
brevioribus crassiusculis basi plumosis.
Hab. in China boreali, non i procul a Pekino €
tarinow! fl. defl.)
Rami praesto sunt 3 herbacei recti et icon ad vi-
vum colorata pulchra. Folia ad 22 cent. longa, secus
nervos superne in sicco subcinerascentia, ceterum vi-
ridia, membranacea, subpenninervia, fere glabra. Seg-
mentum terminale ad 8: 10 cent. magnum, sequentia
dimidio minora, infima triloba v. incisa v. trisectà
aequimagna vel minora, omnia petiolulata. Flos 15
mill. longus, alabastro oblongo acuto, ochroleucus et
coeruleo suffusus. Antherae lineares.
2. Sepala patentia.
a. Segmenta foliorum inciso-serrata.
pinnatisectis segmentis petiolulatis cordato-ovatis ova-
tisve breve acuminatis inaequaliter inciso-serratis; pe-
dunculis axillaribus strictis firmis folio brevioribus ter
trichotomis superioribus in paniculam multifloram con-
flatis, floribus subcymosis; pedicellis flore erecto bre- `
vioribus; alabastris oblongis acutis; sepalis 4 anguste -
oblongis acutis patentissimis apice revolutis extus to-
mentosis stamina paulo superantibus; filamentis li-
nearibus glabris anthera triplo longioribus; stylis circa
15 quam stamina duplo brevioribus crassiusculis basi
plumosis. — Cl. spec. Maxim. Ind. Pekin. 1. c.
Hab. China boreali: in faucibus montium a Pekino
occidentem versus sitorum, prope templum Schan-ar,
trans flumen Chun-che, inter frutices, Augusto florens
(Tatarinow!).
Praecedentem non parum refert, sed folia peduncu-
flores (ex sieco lactei) vero plane alieni. Folium totum
18 cent. longum, segmentum terminale 4 —6 : 6—10
cent. magnum, interdum leviter trilobum, lateralia — `
aequalia v. majora v. in foliis summis trisectis duplo
minora et angustiora. Bracteae parvae oblongae.
Flos diametro 35 mill. Sepala 17 mill. longa, 2 — "d b
mill. lata. Antherae lineares.
Ol. brevicaudatae proxima videtur, sed ne
macrophylla et semel pinnatisecta, caule, ex specimi-
nibus paucis at completis collectis, herbaceo.
13. 6. pinnata. — Herbacea? suberecta viridis.
adpresse pilosula; caule 6-sulco debili; foliis 2 - jugo--
lique firmiora, segmenta scitis magis regulariter `
et argute serrata, pedicelli magis squarrosi breviores,
13. Cl. brevicaudata DC. Syst. I. 138. — Bge.
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des Sciences de Saint - Pétersbourg.
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Enum. chin. n. 2. — Maxim. Ind. Pekin. et Mongol.
IL ce. — F. Schmidt, Fl. Amg. bur. p. 28.
Hab. in China boreali, Mongolia australi, Mand-
shuria: ad Burejam inferiorem (F. Schmidt), ad litus
Mandshuriae inter 44 et 45° lat. (Wilford! s. n.
«Ol, biternatae?»), circa sinum Guérin, in fruticetis se-
cus rivulos frequens, fine Augusti fl. defl. (ipse).
Planta a Wilford et a me lecta sistit lusum um-
brosum: pedunculis folio triplo brevioribus pluri-nec
multifloris apice ramorum in paniculam non appro-
ximatis.
Huic valde similis est Cl. biternata DC. Syst. I.
149 excl. syn. — Dne Herb. Timor., in Nouv. Ann.
Mus. III. 421., ex insula Timor hucusque tantum nota,
cujus specimen authenticum, a Riedlé collectum; a
: Decaisneo datum, in herb. Acad. Petrop. examinare
contigit. Flores iidem, folia in Cl. biternata autem
ambitu deltoidea petiolis partialibus pollice breviori-
bus (ex Decaisne pollicaribus) segmento terminali
fere semper trisecto, lateralibus in superioribus trilo-
bis, in inferioribus trisectis, ita ut folium rite bis tri-
seetum sit. In Cl. brevicaudata vero folia inferiora
ambitu oblonga, petiolo partiali centrali 2 — 3'” lon-
giore quam laterales, segmenta cauli proxima trisecta,
Sequentia simplicia (3-loba), terminale trisectum petio-
lulo centrali lateralibus iterum multo longiore segmen-
tulo terminali item trisecto, unde folium bis pinnati-
sectum dici potest. — Heholiymich Thunbergii a De
Candolle, nullo specimine authentico examinato, huc
ductum, ad Cl. paniculatam pertinet, unde CZ. biter-
nata D C. e flora japonica excludenda. Synonymon Lou-
. reirii, ob eodem autore huc ductum, mihi ex descrip-
tione florae cochinchinensis potius ad Cl. apiifoliam
spectare videtur.
14. Cl. grata Wall. Pl. as. rar. I. t. 98.
Hab. in China: Formosa (Oldham! n. 2.). India
boreali.
11; CI. ? ? Int „a qua foliis subtus s villosis
. nec glabriusculis jugo infimo passim tantum nec ple-
rumque trisecto distincta, nec non Ol. javanae DC., si
recte huc refero specc. plura javana a collectoribus
Lobb. 226., Zollinger 2928. aliisque pro CZ. grata
habita, sed foliis bis trisectis et segmentis majoribus
obtusius pauciusque serratis et incisis instructa. Cl.
ligusticifolia Nutt. e California, Novo Mexico et Oregon
etiam valde similis est.
15. Cl. apiifolia D C. Syst. I. 149. — Sieb. Zuce.!
Fl. Jap. fam. nat. I. 176. — Miq. Prol. 189. — Cl.
virginica Lour. Fl. Cochinch. ed Willd. 422. (ex descr.)
Hab. in China australi (Loureiro), prope Amoy
(ex Benth. Fl. Hongk. 7.), boreali (Fortune! A. 86).
Kiusiu: circa Nagasaki vulgaris, Augusto, Septembri
fl., Novembri frf. (Oldh.!, ipse); Tara-Take (ipse). .
Nippon media (Tschonoski!), jugo Hakone (ipse),
Yokoska (Savatier!)
A Cl. brevicaudatae ramis cum foliis trisectis tan-
tum collectis caute distinguenda, etiam Cl. gratae si-
millima.
b. Segmenta foliorum integra.
16. Cl. angustifolia Jacq. Enum. 310.—Bge Enum.
Chin. n. 1. — Ledeb. Fl. Ross. I. 2. — Maxim. Fl.
Amur. 9, 468, 479.
Hab. in Dahuria, Mandshuria occidentali et aus-
trali, Mongolia et China boreali. Exemplaria europaea
et altaica nondum vidi.
** Sepala 4.
17. Cl. recta L. var. mandshurica, Rupr. in Pl.
Maack. in Bull. Petersb. XV. 514. (sp. propr.). —
Maxim. 1. c. 10. — Caule herbaceo saepius decum-
bente, petiolis tortis, segmentis foliorum plerumque
ovatis basi cuneatis truncatis vel subcordatis, reticulo `
venarum subtus prominulo; paniculis axillaribus et
terminalibus.
Hab. in Mandshuria: pratis ad Amur meridionalem,
Sungari, Usuri, Dsejam, Suifun fluvios, circa Ba
lacum et usque ad Possjet prope fines Koreae exten-
sis, floret ab initio Julii, fructus fert ab initio gece |
bris.
Occurrit rarius etiam caule erecto, foliorum seg- `
mentis ovato-lanceolatis vel TOP inflorescentia `
subterminali, et talis, ut etiam culta in horto Petro- `
politano, a Cl. recta europaea non distinguenda, prae- — -
ter caudas carpellorum (an semper?) longiores, — dis-
tributionis disjunctae exemplum mirabile! — Qualis
autem in Mandshuria vulgatissime reperitur: latifolia
caule decumbente inflorescentia laterali petiolis tortis,
tam similis est CI. paniculatae Thbg., ut tantum caule
herbaceo, juvenili subglabro apice tantum puberulo,
distingui possit, quum CZ. paniculata frutex fit trunco
pollicem crasso 2-orgyali, ramis innovantibus juveni-
libus fere sericeo-pilosis. An in Japonia boreali Cl.
"
Bulletin de l'Académie Empériale
220
paniculata minor et forsan suffruticosa tantum occur-
rat, eheu! quaerere praetermisi.
Verosimiliter a Cl. chinensi Retz. Obs. II. 18 tab.
2. non differt, et eum hac ad Ol. minorem Lour. Fl.
.18. Cl. paniculata Thbg. in Transact. Linn. soc. | Cochinch. ed. Willd. 423., ex descriptione, praeter
H 337. — Miq. Prol. 189. — Cl. crispa et Cl. virgi-
nica Thbg. Fl. Jap. 239. 240, haee ex synon. Sen-
ninsó Kaempferi Amoen. 885., cujus figuram inedi-
. tam in mus. britann. comparavi.—01.Vitalba e Japonia,
Houtt. Syst., ed. germ. VII. tab. 55. fig. 2. sine de-
script. — Caule fruticoso, petiolis tortis, segmentis fo-
liorum ovatis cordatisve reticulo venarum indistincto;
paniculis axillaribus multifloris. Cetera Cl. rectae L.
Hab. per totam Japoniam vulgaris: Nagasaki in
fruticetis cum Cl. apüfolia, Paederia, Cocculo Thun-
bergii, Dioscoreis cet. valde intricata et vulgatissima.
Simili modo crescit in Yokohama, Yokoska. Habeo e
Nambu et frequentem collegi circa Hakodate, in pra-
tis et fruticetis, medio Augusto florere incipientem, Oc-
tobri fructiferam, multa magis igitur serotinam quam
praecedens.
Truncus et rami lignosi, adsunt tamen pennam
anserinam crassi virides, sed per hiemem jam foliis or-
bati. Innovationes longe tenuiter pilosae, mox gla-
bratae, petiolis foliorum inferiorum basi dilatata con-
fluentibus, ut in praecedente.
In herb. Franchet vidi specimina pauca fructifera,
a D-re Savatier semel prope Yokoska ins. Nippon
ni fallor collecta, quae aut novam speciem aut varie-
tatem insignem sistere videntur: gracilis, segmenta fo-
liorum primaria usque 5, infima et terminale trisecta,
jugi secundi saepius integra vel bis secta partitave,
folium igitur fere bipinnatisectum, petioli valde volu- |
biles, lamina segmentorum ovato-lanceolata integer-
rima parva (1: 3 cent.), carpella ut in CZ. paniculata
pauca, duplo minora. |
19. Cl. terniflora DC, Syst. I. 137. — Ql. tenuiflora
DC. Prodr. I. 3. (sphalmate). — Hance in Trimen's
Journ. of bot. 1874. 259. — C1. ternifolia (sphal-
mate) Benth. Fl. Hongk. 7. — Cl. biternata Sieb.
Zucc.! Fl. Jap. fam. nat. I. 176. — Miq! Prol. 189.
— nec DC. — «Cl. Flammula?» Morr. Dne in Bull.
Brux. III. 173. (ex descript.)
Hab. in China: prov. Canton secus North river
(Hance!), Amoy (Fortune! 94., De Grijs!), prov.
Kiangsi prope Kiu-Kiang (Moellendorff ex Hance) et
alibi in China boreali (Fortune! A. 89.). In Japonia
loco non adnotato (Siebold! herb. et in hb. Lugd. bat.)
flores minores, in hac ut in aliis hujus generis spe-
ciebus magnitudine valde variabiles, non diversam,
amandanda.— A CI. biternata DC., pro qua habuerunt
Zuccarini et Miquel, jam segmentis trinerviis inte-
gerrimis, praeter alias notas, differt. |
20. Cl. parviloba Gardn. et Champ. in Kew. Journ.
bot. I. 241. — Benth. Fl. Hongk. 6.
Hab. in insula Zongkong. — Non vidi.
21. Cl. uncinata Champ. in Kew. Journ. of bot.
III. 255. — Benth. Le: |
Hab. in insula Hongkong. — Non vidi.
Specimina sterilia possideo japonica, a botanico in-
digeno data, et cum illis e provincia Kü, a Keiske
acceptis, pro Cl. longiloba DC. cum dubio declaratis
a Miquel (Prol. 189.), convenientia, quae Cl, unci-
natae affinia videntur, sed quum ab illa, tum a CZ. lon- -
giloba diversa sunt jugo foliorum infimo saepe trisecto, -
a priore praeterea segmentis majoribus (— 3%, poll.,
neque tantum 1/5 — 2-pollicaribus) Nihilominus ex
pedunculis axillaribus in 1 specimine herbarii Lug-
duno-batavi superstitibus et foliorum forma ad hane
affinitatem pertinere videntur. Ceterum CZ. longiloba
DC. species est valde dubia, quum tantum sterilis
nota sit. * ;
22. Cl. crassifolia Benth. 1. c. 7.
Hab. in insula Hongkong. — Mihi ignota.
23. Cl. Meyeniana Walp. in pl. Moyen. 297. —
Benth. l. c. 6. à:
Hab. in China australiore: Canton (Fortune! 51.), -
Hongkong (Hance!, Wright!), prov. Kiangsi prope
Kiu-Kiang (Shearer!), ins. Formosa, prope Tamsuy
(Oldham!), nec non in Zutschu ins. Yakuno-sima, fine
Aprilis flor. leg. Wright!
Sect. 2. Viticella.
Sepala basi attenuata, praefloratione margine involuta. Caudae
carpellorum adpresse pubescentes vel plumosae. Pedunculi nudi
1-flori vel medio bracteati 1-vel (non in nostris) 3-flori. Innovationes
floriferae ex ligno vetusto, breves, unde florescentia vernalis; raris-
sime plantae herbaceae.
TEN Are Cl. brachyura.
.— 2,
2. Folia tri-v. pinnatisecta vel simplicia, sepala coe-
rulea. 3.
Folia biternata, sepala alba
221 e
3. Pedunculus flore brevior, folia subtus sericeo -in-
m NM verentur tic. Cl. lanuginosa.
flore longior, folia concolora gla-
a Cl. patens.
24. Cl. brachyura. Herbacea subsimplex viridis parce
pilosa demum glabrata, caule tereti debili gracili; fo-
liis 2-jugo- v. superne 1-jugo-pinnatisectis petiolo vo-
lubili, segmentis petiolulatis versus apicem petioli
subminoribus ovatis basi cuneatis v. truncatis acutis
utrinque prominenter reticulatis et 3-nerviis; pedun-
culis axillaribus 1-floris folio brevioribus medio minute
bracteatis; flore erecto; sepalis 4 oblongo-obovatis
apiculatis patulis genitalia plus duplo superantibus;
filamentis antherisque brevioribus glabris stylis aequi-
longis; carpellis circiter 4 suborbicularibus planiuscu-
lis in caudam subaequilongam arcuatam pubescentem
subito desinentibus. — CI. paniculata forma? pauci-
flora, Miq. Prol. 189.
Hab. in arehipel. Koreano (Oldham! X 7, nume-
rus a Miquel citatus, v. in hb. Petrop. et Lugd. - bat.)
Cl. cadmiae Ham. subaffinis, sed haec nimis ab-
horret caule scandente, foliis decompositis, bracteis
amplis heteromorphis, capitulo fructifero amplo poly-
carpo, carpellis maximis in caudam rectam acuminatis,
— Cl. daurica Pers. Ench. II. 99., DC. Syst. I. 153.,
ad spec. dauricum a Patrin datum in herb. Jussieu
descripta et nemini alio cognita, ex descriptione sat
similis esset, si ponas ramum fuisse foliis trisectis
tantum instructum, nisi ovaria villis longis albis vestita
et caulis fruticosus (?) scandens dicerentur. Praeterea
silent autores de reticulatione distinctissima foliorum
et de magnitudine partium.
Caulis 2— 3 pedalis. Segmenta foliorum integer-
rima, ad 4 cent. longa, 2 cent. lata. Pedunculi infimi
pauci, potius rami censendi, folia superant, medio ge-
runt folia 2 simplicia v. trisecta minora et flores 3,
pedunculi summi passim nudi. Sepala 8— 10 mill.
longa, 3— 4 mill. lata, ex sicco albida, praeter margi-
nem tomentosum glabra. Carpella 4 mill. , adpresse
pilosa.
25. Cl. florida Thbg. Fl. Jap. 240.— Sieb. Zuce.
Fl. Jap. fam. nat. I. 176. — A. Gray in Perry's
Exped. 305. — Miq. Prol. 190. — Franch. Savat.
Enum. I. 2. — Anemonoides e Japonia. Houtt. Pf.
Syst. VIL. t. 55. Fig. 1.
Hab. per totam Japoniam culta, initio Junii fl., sed
à nemine hucusque Sponte crescens inventa.
HA REC WES d WA 9 bre m 9X au ve à Po PU
—
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
> Marx
> Sat
Ki,
Occurrit saepe staminibus exterioribus petaloideis
(d. plenis. — Caudae a Sieb. Zucc. elongatae plu-
mosae dicuntur, et ita ipse video in herb. Sieboldi,
sed modus crescendi et sepalorum praefloratio Viticel-
larum. x
26. Cl. patens Morr. Dne in Bull. Acad. Brux. 1836.
III. 173. — Cl. coerulea Lindl. Bot. reg. t. 1955.
Hab. in collibus Nippon mediae, forsan sponte
(Tschonoski! fl), colitur Yokohama, medio Majo
florens.
Ludit ut praecedens staminibus extimis petaloideis,
sed petala haec tunc sepalis aequilonga nec breviora,
ut in praecedente, flores fere albi, in Japonia subtripol-
licares, in Europam advecti culti ad 6-pollicares, quae
Cl. Fortunei Moore in Gard. Chron. 1863. 676. c.
fig. et V. Htte Fl. d. serr. XV. tab. 1553. Involu-
crum sub flore e foliis approximatis occurrit et in ja-
ponica, sed non semper.
27. Cl. lanuginosa Lindl. Paxt. Fl. Gard. 94. —
V. Houtte Fl. d. serr. VIII. tab. 411. et XI. tab. 1176.
Hab. in Chinae prov. Tsche -kiang, prope Ningpo,
in declivitatibus lapidosis collium sponte (Fortune!
n. 62.)
Folia simplicia trisectis frequentiora dicuntur.
Sect. 3. Cheiropsis.
Pedunculi 1-flori cum foliis fasciculati, basi squamis obvallati, ex
ligno vetusto prodeuntes, petiolis induratis anni praecedentis stipati;
rarius cum fasciculis floriferis foliigeris obveniunt rami innovantes
elongati basi ex axillis florentes. :
Filamenta dense pubescentia, folia trisecta segmen-
"PME LL CUI edu
2. Folia trisecta segmentis parce incisis. ........... Cl. Williamsi.
» d » tripartitis inciso-serratisque Cl. eriopoda.
28. Cl. japonica Thbg Fl. Jap. 240.—Mig. Prol.
190. — Sieb. Zucc. Fl. jap. fam. nat. I. 176. O
Gray in Perry Exp. 306. — Fr. et Savat. Enum.
2.
Hab. in Japoniae ins. Kiusiu in subalpinis, v. gr. in `
ben
jugo interiore Kundsho-san silvis vetustis, init. Junii
florens, prope Ko-isi-wara, in alpe Higosan prov. Higo,
et Nippon in montibus (Siebold!) partis mediae `
(Tschonoski!) prope Simoda (Yolkin!), Yokoska (Sa--
vatier!), Yokohama, fine Maji flor., fine Septembris -
frf. (ipse). Petropoli culta in frigidario Junio floret. `
Sepala sordide purpurea conniventia apicibus re-
flexis. | :
Cl. japonica.
et
223
Bulletin de l'Académie Empériale
D R 4 x
1 y >
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224 4 NÉE
D
ag. Cl. Williamsi A. Gray in Perry Exped. 306.—
Fr. et Savat. Enum. I. 2.
Hab. rara in Nippon media: Simoda (Williams et
Morrow, teste A. Gray), Yokoska in sepibus (Sa-
vatier!)..
30. CL eriopoda, Adulta glabra, foliis breve petio-
. latis trisectis segmentis ambitu ovatis tripartitis et in-
ciso-serratis, lacinulis divisionum terminalibus lineari-
bus lateralibus ovatis omnibus mucronato-acutis; pe-
dunculis 1-floris sub apice bracteis 2 petiolatis ovato-
lanceolatis serratis pilosulis fultis; pedicello quam flos
erectus duplo breviore incrassato dense incano-tomen-
toso; sepalis 4 patulis ellipticis obtusiusculis extus seri-
ceo-villosis genitalia parum superantibus; filamentis
subulatis glabriusculis antheras multiplo superantibus;
stylis numerosis quam stamina brevioribus ultra stig-
mata brevia nuda longe plumosis.
Hab. in Japonia, unde specimen cultum attulit ex
. itinere primo d. Siebold.
- Species sui juris, Cl. balearicae Rich. subaffinis et
quoad florem similis, foliorum indole O7. aethusaefoliam
in mentem vocans.
Specimen unicum visum sistit ramulum pedalem
foliiferum, a ligno vetusto ita abscissum, ut basis
squamata squamis persistentibus, folia et pedunculus
e gemma hac simul cum illa innovatione elongata pro-
deuntes in conspectum veniant. Innovationes juveniles
pilosae, mox glabrae. Ramus tenuis, subsexsulcatus.
Folia ambitu latissime deltoidea, in sicco nigrescentia,
rigidula, 5 — 7 cent. longa et 6 — 7 cent. lata. Pe-
tiolus communis 15 mill.,
partiales laterales 5 — 6
mill., centralis 10 mill. longi, segmenta 2—2", cent.
longa, 1 — 2 cent. lata, terminale trisectum dicen-
dum segmentulo terminali petiolulato (petiolulo 8 — 5
mill.) tripartito: lacinula terminali trifida vel subin-
tegra, lateralibus hinc bifidis vel bipartitis et serra-
turis 1 — 3 munitis; segmenta primaria lateralia al-
titudine diversa tripartita et laciniae simili modo ter-
minalis tri-, laterales bi-fidae et serratae. Pedun-
culus usque ad involucrum fere 6 cent. longus, brac-
teae 3'5 cent. (petiolo 1 cent.) longae, ultra 1 cent.
latae, basi in petiolum sensim cuneatae, apice ovato
integrae, reliquo margine utrinque serraturis 4 — 5
instructae. Pedicellus 6 mill. Sepala 20 mill. longa,
7 —8 mill. lata, ex sicco albida, angulo semirecto
patula, plana, recta, trinervia et inter nervos luce
translucente reticulato-venosa. Stamina subida
conniventia. Anthera linearis. Folium pedunculum
ipsum fulciens et ex eadem gemma egressum, illo duplo
brevius, e segmento terminali tripartito et laterali
minore (alio deperdito) constans.
Expl. fig. tab. adjectae. 1. Cl. eriopoda spec. florens magn. nat.
2. Stamen et carpellum juvenile ex flore unico Saonah m. ausis
Species exclusa.
Cl. trifoliata Thbg. in Linn. Trans. IL. 337.—DC.
Syst. I. 149. — Scandens foliis ternatis Thbg. Fl.
Jap. 357. Pl. obscurae n. 43. — Ex icone Thunber-
gii inedita in bibliotheca horti Petropolitani servata
est Akebia lobata Dne.
Atragene L.
Petala stamina aequantia Se discoloribus
vulgo duplo breviora obtusissima......... . alpina.
Petala stamina superantia sepala concolora À
saepius subaequantia acuminata.......... A. macropetala.
1. A. alpina L. Cod. 4025. — Maxim. Fl. Amur.
12. — Ledeb. Fl. Ross. I. 4, — F. Schmidt. Fl.
Amg. bur. 28. Fl. Sachal. 101.— A. ochotensis Pall.
Fl. Ross. II. 69. — A. platysepala 'T rtv. i. Fl.
Ochot. 5.
Floribus violaceis.
Hab. in Sibiria, frequentius in parte orientali; ins.
Sachalin; Mandshuria orientali subalpina ab ostio fl.
Amur usque ad fl. Li-Fudin regionis usuriensis, ubi in
silvis acerosis rarius collegi, medio Junio florentem; in `
Chinae borealis montibus Po-hua-shan, a Pekino occi-
dentem versus
ponia: in alpibus altissimis Fudziyama c. fructu, Nikko
florentem legit T schonoski.
Specimina chinensia sepala magis obtusa habet.
Planta japonica ad var. ochotensem Bel, Til. Fl. Ajan.
20. n. 2. ducenda, sed flores occurrunt mox magni,
mox parvi, et sepala saepius tantum acuta sunt. 3
Floribus albis. — A. sibirica L. Cod. 4027.
Hab. in Davuria maxime orientali ad fl. Schilkam
prope Schilkinskoi Sawod, in subalpinis frigidis; in Si-
biria usque in Kamtschatkam, sed in oriente rarior, -
praeterea in Rossia septentrionali, et, rarior quam var.
fl. violaceis, in alpibus Europae mediae. |
2. A.macropetala Ledeb, Fl, Alt. II. 367. in nota.
— Ledeb. Ic. fl. alt. tab. 11. — Ej. Fl. Ross. I. 4.—
Maxim. Ind. Pekin. in Fl, Amur. 468. — ane: Pl,
Radd. I. 10.
(Kirilow!, Bretschneider! in Ja-
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
^
Floribus violaceis. |
Hab. in Davuria versus fines chinenses (Turez!),
ad fl. Schilkam prope Werchnie Kularki in declivitati-
bus montium frequens, ultimo Junio fl.; in Mandshuria
occidentali, ad fl. Amur supra urbem Blagowestschensk,
silvis frondosis (ipse); in Mongolia australi (Kirilow!):
jugo In-schan vel Muni-ula, fruticetis demissis, fine
Junii fl. (Przewalski!); China boreali, non procul a
Pekino (Kirilow! 1843) in montibus occidentalibus
in monte Miao-ar, prope templum ejusdem nominis
(Tatarinow! 1847.).
Floribus albis. D rei LO |
Hab. in Mongoliae australis montibus Alaschan, val-
libus humidis frequens, init. Julii deflorescens (Prze-
walski!). :
Forma typica habet segmenta foliorum grosse in-
ciso-serrata, petala acuminata sepalis distincte breviora,
planta mongolica (Clematis rupestris Turez! in sche-
dis) segmenta similia, sed duplo vel triplo minora, pe-
tala numerosiora sepala fere aequantia, var. albiflora |
flores ut in typo, sed albos vel rarius violaceo suffusos,
segmenta foliorum lanceolata argutius serrata, magni-
tudine ut in typo vel paulo longiora.
Transitus ad praecedentem speciem hucusque non-
. dum observati.
—
Anemone stolonifera, (Sect. Homalocarpus DC.) Sto-
lonibus tenuibus apice radicantibus innovans, foliis
radicalibus trisectis segmentis (terminali longius) pe-
tiolulatis omnibus subrhombeis 2—-3-fidis ad medium
inciso-serratis; involucralibus 3 longiuscule petiolatis
consimilibus; pedicellis geminis elongatis; sepalis 5
ovalibus; carpellis pilosis stylo longiusculo.— A. spec,
incerta legit Keiske, Miq. Cat. hb. Japon. 2. quoad
fragm. tokiwa itschidshi japonice inscriptum. a
2) Cetera fragmenta herbarii Lugduno-Batavi, japonice setsubun
só dicta, numerosiora, novam diversi generis speciem sistere viden-
tur, quam ut collectores in mente habeant, sequentibus describam:
Eranthis pinnatifida: glabra, segmentis foliorum radicalium et in-
—volucralium pinnatifidis; flore pedunculato; sepalis ovatis albis; car-
pellis subsessilibus 2— 3 demum patentibus, stylo rectiusculo brevi.—
ine. Miq. 1. c. p. p.
Adsunt in herb. japon. Lugd.-Bat. cauliculus defloratus cum car-
pellis erectis 2, folia radicalia 3, cum icone rudi a botanico indigeno
u
Ü fere a basi in lacinias lineares
secta, quarum basales in foliis radicalibus palmatisectis iterum par-
titae sunt, species nova videtur, E. uncinatae Turez. (Setsubun só,
Tome XXII.
Hab. in Japonia (Itoo Keiske! ex Miquel): sil-
vis alpinis prov. Nambu, in graminosis secus rivulos
(Tschonoski! fl. frf.). |
Ob caulem folia radicalia parvula duplosuperantem
Ranunculo cuidam albifloro subsimilis, ex affinitate A.
baicalensis Turez. et A. flaccidae F. Schmidt 3), ab
utraque habitu illo ranunculino, stylo carpellorum dis-
tincto nec stigmate subsessili , flore parvo et foliis in-
volucralibus segmentisque radicalium petiolulatis ab-
horrens. Ab A. baicalensi, quacum rhizomate stolonoso
tenui convenit, praeterea foliis involucralibus 3 neque
2 diversa. Ab A. flaccida, quacum numero foliorum
involucralium convenit, praeter signa data radice
stolonifera neque rhizomate crasso aequali distineta.
Adnot. De hujus generis speciebus orientali-asiati-
cis notulas sequentes adducere fas sit:
l. A. nikoönsis m. — Adde synonymon: A. um-
brosa, Miq! Prol. 190, quoad specimen ex insula
Nippon.
2. A. altaica Fisch. — A. umbrosa Miq! 1. c.
quoad pl. e Fezo.— Circa Hakodate communis, occurrit
in Nippon meridionalis monte Haksan, unde vidi in
hb. Franchet. — Typica est planta, neque illa ad A.
nemorosam vergens, quam in fl. amurensi olim de-
scripsi quaeque per totam Mandshuriam sylvestrem
sola et vulgatissima crescit, ab A. altaica sepalis tan-
tum 6 — 8 latioribus et rhizomate aequali, ab A.ne-
morosa sepalis numerosioribus angustioribus tantum
diversa.
3. A. umbrosa C. A. Mey., rarissima species, huc-
usque ex fl. altaiea tantum nota, in Mandshuria orien-
tali australiore secus jugum Sihota-alin a me frequen-
—
ter lecta est, ita ad Usuri superiorem inde ab ostio `
Situcha fluvii, secus fluvios Li-Fudin et Wai-Fudin.— `
Carpella (nondum descripta) in capitulo 12— 15, bre-
vissime stipitulata, subsessilia, ovoidea, pilis rectis `
erectis gilvo-sericea, stylo glabro rectiusculo brevi. ` m
Soo bokf. X. fol. 35.) affinis, sed stylo etiam sub anthesi recto et -
sa
praesertim foliis diversa.
xpl. figur. 3 — 8 tab. adjectae. Fig. 3. cauliculus defloratus
cum carpellis 2 et stamine uno superstite agglutinato, quae in 4.
seorsim et magn. aucta delineata. Fig. 5. 6. folia radicalia. Fig. 7.
planta tota et 8. carpella dehissa cum seminibus. Omnes figg. ex
herbario Lugduno-Batavo, 3—6 ad siccum, 7. et 8. ad adumbrationem
rudem botanici indigeni transcriptae.
3) A. flaccidae synonyma: A. baicalensis S. Z.! et Miquel! Pro). p.
190. et A. parviflora? Miq! ibid. 369. (nec Michx.)
15
~
227
Bulletin de l'Académie Impériale
4. A. Raddeana Rgl. — A. altaica, Miq! Le nec
aliorum, quam e Mandshuria circa sinum Possjet lec-
`- tam possideo, circa Hakodate sat frequens, et imo ad
Fudzi yama crescens, pulcherrima species est, Regelio
imperfecte cognita, quae primo veré vel minuta seg-
mentis foliorum involucralium subintegris vel vix in-
cisis gaudet et a serius vel melius evoluta valde differt,
in hac enim folia involucralia radicalia aemulantur.
Folium radicale biternatisectum, segmentis late rhom-
beis obtusiusculis 2 — 3-fidis antice inciso -serratis
basi cuneatis, folia involucralia semel trisecta.
5. A. debilis Fisch. in litt. apud Turcz. Animadv.
herb. in Bull. Mosc. XXVII. 1854. X 2. p. 274. —
A. gracilis F. Schmidt Fl. Sachal. —, hucusque e
Kamtschatka, Mandshuria boreali-orientali et Sacha-
lino nota, occurrit in alpibus totius Japoniae, habeo
saltem e montibus altis prov. Nambu Nippon borea-
lis, et e cacumine vulcani Wunzen insulae Kiusiu. —
Planta japonica tamen varietatem sistit boreali mino-
rem, foliis involucralibus brevioribus (lanceolatis v.
ellipticis) saepe argutius serratis.
Thalictrum tuberiferum, ( Euthalictrum D C.) radicis fi-
bris fasciculatis tuberoso-incrassatis stipitatis; folio ra-
dicali quam caulis 2—3-love breviore 2— 3-ternato
foliolis ovatis cordato-ovatis v. oblongis obtusis lobato-
crenatis saepe trilobis; caule 2-pedali; foliis caulinis 2
oppositis subsessilibus ceterum similibus; corymbo fo-
liato trifido, floribus paucis in pedicello solitariis pri-
mum densis fructiferis dissitis staminibusque erectis;
filamentis dilatatis anthera obtusa multo latioribus;
carpellis 2—4 stipite paullo longioribus semiellipticis
subteretibus costatis stylo brevissimo recto apiculatis.
. Hab. in Mandshuria orientali: circa aestuarium St.
Olgae ad declivia lapidosa, in silvis acerosis v. frondo-
sis secus fl. Wai-Fudin et alibi, sat frequens, fine Ma-
ji fl., fine Junii frf.; in pratis cirea sinum Possjet, Au-
gusto c. fructib. serotinis. In Japoniae insula Nippon:
in alpe Nikko, in silvis ad pedem secus rivulos in la-
pidosis (Tschonoski! fl., Savatier! X 2274. fl. frf.)
_ Primo aspectu Th. clavato D C. simile, sed jam sec-
tione diversum. |
Proxime affine Th. filamentosum m. differt radice sto-
lonibus repente, caule humili, foliolis amplis cordatis,
carpellis breve stipitatis, sed melius ad Euthalictra
numerandum et descriptioni in fl. Amur. datae adden-
dum: fibrae radicis paucae passim tuberoso-incrassatae
e collo fasciculatae, cum stolonibus longissimis hori-
zontalibus. — Stationibus Th. filamentosi adde: in sil-
vis totius Mandshuriae orientalis, v. gr. secus Usuri
superiorem et medium, ad fl. Li-Fudin et Wai-Fudin,
aestuaria St. Olgae et Wladiwostok.
Draba japonica. (Chrysodraba DC.) stolonifera cau-
liculis numerosis intricatis adscendentibus tenuibus:
foliisque pilis ramosis pubescentibus; foliis cauliculo-
rum sterilium lanceolatis integris, florentium late lan-
ceolatis utrinque 2—3-serratis-pectinatisve; racemo
simplici; petalis obovatis profunde emarginatis luteis ca-
lyce glabro 2", longioribus; siliculis breve racemosis
pedicello brevioribus ellipticis utrinque acutis stylo
brevi superatis oligospermis, valvulis planis 1-nerviis.
Hab. in Nippon boreali prov. Nambu,
(Tschonoski! fl. fr. immat.).
Proxima subsequenti, a qua cauliculis subparallelis
(nec diffusis) duplo tenuioribus, foliis angustioribus,
petalis luteis statim distincta. D. aurea W ahlbg. sto-
lonibus nullis, herba ob pubem copiosam subgrisea,
racemo elongato saepe ramoso, petalis angustis leviter
emarginatis certe differt.
Praeter descriptam duae species Japoniae cives
sunt:
D. borealis DC. var. kurilensis F. Schmidt. Fl.
Sachal. 113. n. 52.— Odontocyclus Kurilensis Turcz.
in Bull. Mose. 1840. 65.—Ledeb. Fl. Ross. I. 756.
Hab. in ins. Yezo circa Hakodate, in rupibus sat
frequens, fine Aprilis flor. incipiens, med. Julio fruc-
tib. maturis. Occurrit haec varietas praeterea in Sa-
chalin australi: prope Tunai (F. Schmidt!) et circa
sinum Aniwa (Mizul!). |
Dissepimentum silieulae maturae interdum medio
perforatum, saepissime tamen integrum.
D. nemorosa L. — Miq! Prol. 6. — D. EE
in alpibus
L. Franch. et Savat. Enum. I. 36. — D. hirta Mig! .
Prol. 369. nec L. — D. muralis Thbg! Fl. Jap. 259.
Var. hebecarpa Ledeb. Fl. Ross. I. 154. — Miq.
Prol. 6
Hab. in Yezo circa Hakodate (Albrecht!), Nippon
prov. Nambu (Tschonoski!), circa Yokohama, medio
Aprili fl. frf. (ipse), in monte Tatte yama (Savatier!) `
Var. leiocarpa Ledeb. 1. c., in tota Mandshuria
frequens, in Japonia hucusque nondum detecta est.
€
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
Loranthus Yadoriki ) Siebold in Sieb. Zucc. F1.
Jap. fam. nat. I. 193. n. 398. (nomen tantum). —
(Sect. Scurrula D C.) ramosissimus 2—4-pedalis, ra-
mis dichotomis alternis vel oppositis, cortice juniore
foliis novellis utrinque adultis subtus pedunculis flori-
busque cupreo-stellato-tomentosis; foliis oppositis petio-
latis late ovatis basi rotundatis apice obtusis coriaceis
penniveniis; pedunculis axillaribus et e nodis ligni ve-
tusti 2—3-floris pedicello aequilongis petiolo triplo
brevioribus; calyce extus bractea ovata parva suffulto
truncato; corollae 4-merae alabastro curvato tenui
limbo ovali sub anthesi hinc fisso lobis late linearibus
apice sublatioribus reflexis tubo bis et semis breviori-
bus; fructu pedicellum superante ovali lutescente to-
mentoso.
Hab. in insula Kiusiu, prov. Simabara (Siebold!)
prope Oyo, in Quercu glauca non rarus, collectus fine
Julii cum alabastris juvenilibus et fructu maturo, fine
Septembris florens, medio Majo c. fructib. a. praeced.;
in insula U-sima, umbrosis montium, in Quercubus,
init. Maji c. fr. immat. (Wright! n. 260).
Japonice audit Yado-riki (i. e. sagittae avium ar-
bor) seu Tori-motsi kadsura (i. e. repens in Ilice) ex
Siebold. Incolis loci: ki-no-doku i. e. arboris vene-
num.
Miquel hane speciem non vidit et pro synonymo
V. Kaempferi habuit (Prol. 297). Proximus videtur Z.
chinensi D C., a me non viso, sed tomento persistente,
petiolis semipollicaribus v. longioribus, foliis basi ro-
tundatis rite ovatis, floribus duplo majoribus satis dis-
tinctus.
Cortex vetustus sublaevis atro-cinereus, rami flori-
feri ultra pedales a medio foliati, saepe a basi flori-
geri. Innovationes pulcherrime aureo-cupreae. Tomen-
tum densum e cellulis planiusculis cinnamomeis in pro-
cessus subviginti cinereos expansis constans. Lamina
foliorum 1'/,—3 poll.: 1— 2 poll. magna, supra lucida
glabra, costis utrinque ad 5. Pedunculi pedicellique li-
neales, ovario basi rotundato paulo longiores. Corolla
ante expansionem 12 lin. longa, sub anthesi basi levi-
ter inflata, extus cuprea, intus glabra, sicca atropur-
purea, structura cetera ut in icone Candollei in
Mem. Loranth. tab. 7. Fructus magnitudine baccae
Vitis Idaeae.
4) Jodoniki ein error typographicus — citati, ut patet ex sche-
dulis Sieboldian
Observavi in hac specie dimorphiam florum sat `
memorabilem. In uno specimine enim adest eymula
deflorata una corollis jam deciduis stylo 1 adhuc per-
sistente normali, ceterae autem omnes flores habent so-
lito duplo breviores (5-lineales) et valde alienos: ca-
lyx a corolla non sejunctus, sed cum illa continuus,
tubus aeque crassus ac in normali, pro ratione floris
igitur multo crassior, triente tantum brevior quam
limbus, cujus lobi erecto-patuli apice conniventes. Sta-
mina et stylus primo aspectu normales, sed flores hi
steriles manserunt.
Ceterae species hujus generis in Asia boreali-orien-
tali inventae sunt:
1. L. chinensis DC. Prodr. IV. 301. — Ej. Mem.
Loranth. tab. 7. — Benth. Fl. Hongk. 141. — L.
Scurrula L. DC. Prodr. 1. c. quoad pl. chinensem.
(opinante Bentham).
Hab. in China (Staunton ex De Candolle): Hong-
kong (Champion fide Bentham). Non vidi.
Descriptio Benthami ab illa Candollei ejusque
icone non parum differt, et ipse Bentham, qui tan-
tum specimina hongkongensia examinavit, de identitate
plantae suae cum Candolleana non certus est. Planta
Championi dicitur habere ramos tenues oppositos,
Stauntoniana crassiusculos alternos, illa tomentum
albidum vel rubens, haec ferrugineum, illa pedunculos
ex nodis caulis vetusti neque axillares, ovarium mini-
mum turbinatum nec rotundatum, corollam 8—9 neque
13 lineas longam, sub anthesi hinc haud fissam, in L.
chinensi fissam. Quae omnia speciem a Candolleana
diversam indigitare videntur, habitu magis ad L.
Sampsoni Hce. accedentem, in quo enim re vera rà- -
mos tenues oppositos observamus, qui autem aliis cha-
racteribus diversissimis abhorret, v. gr. flore semipolli-
cari, petalis liberis aliisque.
2. L. Kaempferi. (Scurrula DC.?) Glaber, ramis
angulato-teretibus ; foliis alternis spathulatis obtusis
in petiolum multo breviorem angustatis 1-nerviis cô- -
riaceis; pedunculis axillaribus 1 —3-floris patulis pe-
tioli cireiter longitudine; bractea orbiculata hinc fissa ` :
sub ovario; calycis dentibus depresso-4-angulis trunca-
tis; alabastro clavato-oblongo, corollae lobis lineari- -
lanceolatis acutissimis reflexis; stylo e tubo exserto;
bacca subglobosa rubra. — Viscum Kaempferi DC.
Prodr. IV. 285. excl. syn. Thbg.—Mig.! Prol. 367.
15*
, 231 Bulletin de l'Acadéiale Impériale 232
n. 520. — Franch. et Savat. Enum, 406. — Ksei
vulgo Jodoriki. Kaempf. Amoen. 785.
Hab. in Japoniae prov. Mikáwa inter pagos Goju
et Akasakka, in lariceto unico, vulgo Gomi Maatz
i. e. Viscum lariceum EC (Kaempfer). Sine
loci indicatione legerunt Itó Keiske in Pino Massoni-
ana (herb. Lugd. Bat.! et Siebold.! sterile), Tanaka
(in herb. Franchet! frf.) et botan. japon. quidam in
herb. Acad. Petrop. fructif. sub nom. Matsu-no-gomi
(i. e. Elaeagnus Pini) v. Matsu-no-yadoriki (scil. Para-
sita Pini).
Ad Loranthwm ducenda species, fide figurae japo-
nicae manupictae plantae florentis in collectione ico-
num Sieboldiana (nunc Acad. Petrop.), sed an co-
rolla latere fissa sit nec ne, ex icone pro certo non
patet, sectio generis igitur dubia manet. Quantum ex
planta fructifera et icone florentis judicare licet, pro-
xime affinis L. cuneato Heyne!, Wight! Fl. Pen.
Ind. or. I. 385., Hook. Compan. Bot. Mag. I. tab. 13.,
quitamen foliis cuneato-obovatis tenuioribus obsolete
venosis, bractea sub ovario ovata acuta, corollae tubo
gracili, ovario ovali, neque globoso bene differt.
. De Candolle I. c. Viscum album Thbg. Fl. Jap.
63. synonymon V. Kaempferi declaravit ob spicas
axillares diagnoseos Thunbergii, sed haec ad verbum
transscripta est ex Linnaei Spec. plant. (Cod. Rich-
ter. n. 7402. sub Visco albo L.), Kaempfer vero de |
spicis nil dicit, sed pedunculos 1-3-floros describit.
Quid planta Thunb ergii sit, «n herbario in urbe
Nagasaki» visa, sed in ejus collectione Upsaliae servata
desiderata, non eruendum, sed vix verosimile, Thun-
bergium plantam nostram toto coelo diversam pro
V. albo habuisse, ita ut magis probabile videatur, syn-
onymon Thunbergii re vera ad V. album in Japonia
commune pertinere. Siebold et Zuccarini Fl. Jap.
fam. nat. n. 397. sub nomine V, Kaempferi D C. enu-
merant V. album L. (v. spec.!). Planta Miqueli, a me
in herbario Lugduno-Batavo visa, certe cum nostra
identica, etsi foliá pollicaria errore quodam 3-4-linea-
lia describuntur.
^ Fruticulus ex icone citata pedalis, ex specim. omni-
bus nostris incompletis vix non duplo altior, Pino |
cuidam insidens, cujus ramum digitum crassum radi-
cibus suis pluribus locis amplectitur. Radices extracor-
— tieales, paucae, elongatae, passim haustoriis crassis
sese ramo affigentes*). Truncus beein in ramos
paucos diffusos, in icone simplices spithamaeos, in spe-
ciminibus ante oculos ultra pedales, ramulis oppositis
munitos, divisus. Rami vetustiores crassitie pennae an-
serinae, cortice lenticellis suberoso-incrassatis crebris
exasperato, juniores pennam corvinam aemulantes, cor-
tice laevi atropurpureo subnitente. Folia ramos fere a
basi obsedentia, pulvinis incrassatis, 15—25 mill.
longa, 3% — 8 mill. lata (petiolo 1 — 2 mill), nervo -
medio subdistineto, venis invisibilibus, ex icone atro-
viridia. Pedunculi ex axillis inferioribus, in specc.
fructiferis aphyllis, pauci (in icone in ramo altero 3,
altero 1, sanguinei), petiolum pedicellosque 1 — 3
aequantes vel superantes, in icone imo passim semi-
pollicares. Flos fide figurae sanguineus, cum ovario
fuscorubro 3 mill. longo 15 mill. longus, tubo 3 mill.
crasso recto, sub anthesi medio subinflato. Limbi la-
ciniae ex icone 6, tubo plus duplo breviores, stylus
parte exserta filiformis laciniis aequilongus. Fructus
in specc. siccis immaturus 3 mill., in delin. hb. Sie-
bold. 5 mill. longus, subglobosus, glaber, bractea ful-
tus parum conspicua, dentibus calycinis coronatus
3. L..Sampsoni Hance in Seem. Journ. of bot. IX
1871. 133.
Hab. in Chinae prov. Canton, secus amnem Loting,
in arboribus (Sampson! commun. Hance).
Visci generis exregionibus nostris innotuere species
res:
1. V. album L. — Miq. Prol. 297. — Maxim. Fl.
Amur. 134. 472. — Oliv. in Journ. Linn. soc. IX.
166. — Thbg Fl. Jap. 63. verosimiliter, exel. syn.
Kaempferi et statione, — V. Kaempferi S. Z. l. c.n.
397. excl. syn.
Hab. per totam Japoniam: Yezo, circa Hakodate,
Yuno-kawa, Nodafu cet. in Quercubus, Sorbo alnifolia
aliisque arboribus minime rarum; Nippon, in alpibus
Niko et Fudzi yama, nec non circa Yokohama sat fre-
quens; Kiusiu, circa Nagasaki in Pino Massoniana,
rarius, in alpibus interioribus Kundsho-san sat fre-
quens. In Mandshuria secus Amur meridionalem et
Usuri medium et inferiorem perfrequens, praesertim
5) Radices similes delineatae sunt in Ruiz et Pavon Fl. Peru
]V. tab. 274—279., dubitante De Candolle Prodr. IV. 277., ee
mante Eichler in Mart. Fl. Brasil. V. 2. p. 6. aliisque locis.
-
233
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
Populum tremulam ita infestans, ut in tota sylvula vix
una arbor illo careat, sed frequenter observavi etiam
‘in Pyro baccata, Populo suaveolente, Ulmo campestri,
Betula alba, rarius in Tilia cordata, semel in Salice
quadam. In subalpinis rarius, sed usque ad fines Ko-
reae visum. In China boreali.
Japonice: Yado-riki i. e. sagittae avium arbor, jap.
sinice: kisei. Fructus mucilaginosus saporis dulcis
edulis dicitur, adhibetur ad collam praeparandam ad
capiendas aves (Siebold). In Nagasaki vulgo: mats'
yadoriki i. e. parasita Pini, in Kundshosan: tobi ts'ta.
Omnino typicum europaeum, variat magis latifo-
lium et angustifolium. Nervi foliorum 3—5 exsicca-
tione bene distinguendi, contra Candolleum, qui fo-
lia enervia dicit. Fructus plantae asiaticae, cujus flores
d europaeis simillimi, 9 hucusque non collecti, maturi
virenti-flavescentes in Japonia, lutescentes in Man-
dshuria visi.
2. V. orientale L. — Benth. Fl. Hongk. 141.
Hab. in China australi: Hongkong (Wright!, alii).
Late diffusum per Indiam orientalem!, Australiam
borealem! et fere ad mare Mediterraneum.
3. V. articulatum Burm. — Bth. 1. c. — Miq. 1. c.
297. — V. moniliforme Bl. DC. Prodr. IV. 284. —
Wight Icon. 1018. 1019. — V. Opuntia Thbg. Fl.
Jap. 64. — V. japonicum Thbg. Fl. Japon. nov. resp.
Wallstróm. 5. et Icon. ined!
Hab. in Kiusiu, circa Nagasaki (Thunberg!) fre-
quens in Eurya japonica, Ligustro japonico, Symploco
japonica, Ilicibus cet., articuli breves et angusti —
V. moniliforme B1.; insula U-sima (W right!), archipel.
Bonin (Small!) —cunm pl. japonica congruum. In China
v. gr. Amoy (de Grijs! — articulis validis magnis),
Hongkong (ex Bentham) et praeterea per archipel.
Malayanum et Indiam!
Japonice: Hizakaki yadoriki i. e. parasita Euryae.
Polygonum suffultum, (Bistorta) Humile, rhizomate
recto, caulibus pluribus simplicibus foliatis; ochreis
modicis bilobis v. bifidis e basi foliigeris; foliis mar-
gine cartilagineo-scaberulis infimis longe petiolatis,
petiolo nudo, cordatis cordato-ovatisve, ceteris simili-
bus vel eordato-oblongis, omnibus obtusis acutis vel
longe acuminatis, summis lata basi amplexicaulibus;
spicis terminalibus et axillaribus subsessilibus densis
ovoideis vel oblongis; pedicellis bractea acuminata flo-
reque brevioribus; staminibus exsertis. — Kurin yuki
fude. Soo bokf. VII. fol. 56.
Hab. in Nippon mediae jugi Hakone altissimis mon-
tibus, fine Maji fl. c. fr. immat., alpe Nikko (Savatier!
N 2919) — utrumque nanum; in Nippon borealis
prov. Nambu, ad rivulos (Tschonoski! fl.) — elatius.
Proximum P. Bistorta, et quidem var. minor M eisn!,
differt ochreis prope apicem foliigeris, spicis longe
exsertis, bracteis truncatis floreque pedicello brevio-
ribus.
Palmare vel pedale. Folia in planta e Nambu (ma-
jore) omnia cordata et eximie acuminata, in planta
hakonensi et nikkoönsi alpina infima obtusa passim
truncata vel leviter cordata, cetera acuta vel breviter
acuminata et spicae in apice interdum solitariae, ita
ut utraque forma habitu valde diversa sit. Flores albi.
Caryopsis triquetra, nitida, ovata, acutata, illi P. Bis-
tortae similis, qualis prostat pallide brunnescens.
Observ. P. paniculatum M eisn. in Miq. Ann. mus.
Lugd. bat. II. 64., ex autopsia herbarii Lugduno-Ba-
tavi eadem est planta ac P. Weyrichü Q8. alpinum
Maxim. in Franchet et Savat. Enum. I. 402. n.
1441. et à planta Blumeana toto coelo diversa;
a typico P. Weyrichii F. Schmidt, e Sachalino et
Yezo differt caule tantum pedali, foliis densioribus, -
minoribus, latioribus, subtus adpresse pilosis nec to-
mentosis.
P. Sieboldi Meisn. a P. sagittato fructu SE
culato distinctum dicitur, occurrit tamen in Japonia
mox puncticulato-impressus, mox tantum opacus laevis,
mox imo nitidulus, nequaquam igitur a P. sagittato L.
specie distinguendum. In Mandshuria finitima cum `
typico crescens collegi.
Speciebus japonicis adde: 1. P. polymorphum L edeb. `
y. lapathifolium Ledeb., s. loco in herb. Siebold!, et
var. japonicam m. : ramosum, foliis breve petiolatis
ovatis ciliolatis, ceterum cauleque glabris, panicula fo-
lia parum superante. — Varietas haec var. ajanensi
Rgl. et Til. similis, sed folia ovata, crescit in alpe
Fudzi yama, unde misit Tschonoski.— 2. P. lanige-
rum R. Br. vidi e Japonia (jugo Hakone), et e China
(Shanghai), utrumque in herb. Siebold! sterile, sed
omnibus punctis in speciem hanc distinctisstmam qua-
drans.
Bulletin de l'Académie Imperiale
236
Urticaceae
Asiae orientalis,
Urtica L.
S secuti Ee YE NE si U. urens.
Perennes. 2
o A O E Ag U. cannabina.
3. Cystolithia foliorum punctiformia. 4.
» » linearia, flores monoici,
E A EP 5 ist . laetevirens.
4, Stipulae connatae in unam interpetiolarem. 5,
» liberae. 6.
5.Spicae masculae inferiores, folia cordato-
ovata simpliciter serrata................ U.dioica platyphylla,
Spicae masculae superiores, folia profunde
cordata, saepissime duplicato-serrata ..... U. Thunbergiana.
6.Spicae masculae petiolo aequilongae, folia
argute multiserrata, planta ramosissima .. U. foliosa.
Spicae masculae petiolum superantes, folia
pauciserrata serraturis maximis, caulis sub-
O AROS ATA E AO U. dioica angustifolia.
1. U. urens L. Cod. 7132. — Wedd. in DC.
Prodr. XVI. 1. p. 40. — Ledeb. F1. Ross. III. 636.—
Hab. rarius in Sibiria orientali et Davuria.
2. U. cannabina L. Cod. 7184. — Wedd. Le
49. — Ledeb. 1. e. 638. — Maxim. Ind. fl. Pekin.
477. et fl. Mongol. 485 in Fl. Amur.
Hab. in Persia, Sibiria ab Altai! orientem versus,
Davuria!: ad Schilkam fl. prope Stretensk, vulgaris,
... Songaria!, Alatau transiliensi!, Mongolia (Kirilow!):
ad Gagza-chuduk secus tractum mercatorium peki-
nensem (id.!), China circa Pekin!
3. U. dioica L: Cod. 7133. —— Wedd. Le 52.
Var. angustifolia Ledeb. 1. e. 637. — Maxim. Fl.
Amur. 246. 477.— U. angustifolia Fisch. Bl. Mus.
Lugd. bat. II. 141. (var. setinervia). — Miq. Prol.
294.
Hab. in Sibiria altaica! et orientali frequens: ad Je-
misei prope Krasnojarsk, circa Irkutzk, in insulis fl.
Kolyma et Anüi. Transbaicalia!, Davuria: Nertschin-
skoi Sawod etc.; tota Mandshuria usque ad fines Ko-
reae vulgaris; China boreali: Pekin (coll. ross!, Da-
. vid ex Wedd.), in montibus Po-hua-shan (Bret-
schneider!), Japoniae ins. Kiusiu: ad radices m. Aso
(Blume! in hb. Lugd. bat.), circa Miadzi, ad rivulos,
fine Maji fl.; insulis Kurilis! — Rarissime obviam facta
est hic in Rossia europaea!, illic in Mexico!
Planta japonica robustior et magis latifolia quam
continentalis. Specc. juvenilia possideo, ad Usuri fl.
circa Guissa, init. Maji a me collecta, insignia foliis
infimis reniformicordatis, sequentibus orbiculatis, ce-
terislate ovatis, omnibus pauci- et inciso-serratis (ser-
raturis utrinque 6—9), quae ducenda sunt ad subva-
rietatem Sibiriae maxime orientali propriam (v. gr.
Transbaicaliae!, Ajan!, Stanowoi!), a planta magis oc-
cidentali serraturis paucioribus diversam, sed adultam
totam angustifoliam.
Var. platyphylla Wedd. 1. c. 51. — U. platyphylla
Wedd. Monogr. 86. in Arch. du Mus. IX
dioica F. Schmidt, Fl. Sachal. 174.
Hab. in Kamtschatka (Seemann ex Weddell;
Sachalin circa Kussunai (Brylkin!), ins. Yezo: Ha-
kodate (Albrecht! frf.).
4. U. foliosa Bl. 1. c. II. 142. — Miq. Prol.
294. — Wedd. in DC. Prodr. 1. c. 58.
Hab. in Japonia (Herb. Lugd. bat.!).
Specimina pauca mascula prostant speciei incom-
plete notae, habitu U. hyperboreae Jacquem. subsi-
milia, sed plerumque valde rámosa et magis steno-
phylla.
5. U. Thunbergiana Sieb. Zucc. Fl. Jap. fam.
nat. II. 214. — Monoica, laetevirens, spicis interrup-
tis simplicibus, © superioribus, d inferioribus elonga-
tis pendulis, caule adpresse reverso-foliisque subtus
ad venas molliter pubescentibus; stipulis parvis conna-
tis; foliis profunde cordatis ovatis cuspidato-acumina-
tis inciso-serratis serraturis saepissime iterum serra-
tis. — Bl. l. c. 144. — Miq. Prol. l. e. — Wedd.
l. c. 55. — U. dioica Thbg. Fl. 69. —
Hab. in Japonia australiore: Kiusiu, circa Nagasaki,
a Martio (Siebold!) ad finem Novembris (ipse) fl. et
fructif.; Nippon: ad Yokoska (Savatier! n. 1120),
Yokohama, frequens (ipse), Yedo (Siebold!) |
6. U. laetevirens. — Perennis, monoica, laeteviridis;
caule reverso-foliisque subtus adpresse molliter pubes-
centibus; stipulis liberis lanceolato-linearibus; foliis in-
ferioribus orbiculatis ceteris late ovatis v. deltoideis
acutis v. rarius acuminatis basi truncatis subcordatis
v. rarius breve cuneatis acute grandeque pauciserratis;
floribus interrupte spicatis, masculis superioribus erec-
tis folio, femineis inferioribus pendulis petiolo brevio-
ribus pauciflorisque; perigonio fructifero hispidulo, ca-
ryopsi scaberulo - punctata; cystolithiis breve linea-
ribus.
Hab. in Fezo, circa Hakodate, ad margines silva-
rum, in fruticetis ruderatisque frequens, fine Augusti
—
.
237
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
florens c. fr. immat., medio Novembri fructifera col-
lecta
Facies, color frondis, textura et pubes foliorum U,
Thunbergianae, cui affinis,- characteres diagnostici,
praeter sexuum situm, fere U. dioicae, a qua tamen
spicis simplicibus paucifloris, foliorum forma, pube
haud aegre, ab omnibus autem, ni fallor, cystolithiis li-
nearibus nec punctiformibus statim distinguenda. Mi-
nus uret quam utraque.
Laportea Gaudich.
Inflorescentiae masculae apud Weddell Monogr.
121. et in Prodr. 77. perperam superiores dicuntur,
nam ipse video in L. canadensi, oleracea , bulbifera
aliisque a me observatis semper inferiores. Obser-
vavi in speciebus a me examinatis (bulbifera, evitata,
canadensi , photiniphylla) sub caryopsi maturescente
torum distinctum concavum circa basin fructus atte-
nuatam, de quo apud autores nulla mentio facta vide-
tur. Semen in omnibus visis acutum funiculo gracili
elongato, chalaza fusca valde (praesertim in ovulo)
convexa et incrassata.
Folia minute denticulata subtus tomentosa .
Folia Se? serrata subtus viridia, axilla
TE
1. L. pterostigma Wedd. in DC. Prodr. 1. c. 87.
Hab. in Formosa austro-occidentali (Swinhoe ex
Weddell).
Stirps, arborea dicta, ex foliis inflorescentiisque
singulis tantum incomplete nota, a me non visa.
2. L. bulbifera Wedd. 1. c. 82. — Urtica bulbifera
Sieb. Zucc. l. c. 214. — Fleurya bulbifera Bl. in
Miq. l. c. 296.
Hab. in Japonia (Siebold!): Kiusiu prov. Simabara,
in fruticetis vulcani Wunzen, fine Augusti flor.; prov.
Higo monte Naga, in ounsortie Pileae peliouanis; initio
Octobris frf.; Nagasaki, ubique sat frequens, init. Julii
fl., Octobri fr; Nippon: Hakone, Yokohama, frequens,
. alpe Nikko (Savatier); prov. Nambu (Tschonoski!);
Yezo: cirea Hakodate ubique sat frequens, fine Au-
gusti flor.; Mohidzi, in subalpinis, medio Octobri frf.
Speciei indicae, L. evitatae W edd. 1. e. 79. (L.ter-
minali Wight Icon. tab. 1972., Urticae evitatae
Wall. Catal. n. 4588) persimilis et primo obtutu tan-
tum axillis Tiers distinguenda, quum vero bulbi
axillares aepe cadant neque semper evoluti
ird pterostigma.
videantur, planta japonica, a Weddell pro L. evitata
declarata, priusquam viderat veram L. bulbiferam (cf.
Monogr. 126) ad nostram, per totam Japoniam com-
munem revocanda videtur. Inter differentias, a Wed-
dell inter utramque speciem adductas, serraturae in
pl. indica seta terminatae revera passim occurrunt et
in japonica et inermes inveniuntur in indica, inflores-
centia L. bulbiferae, subsolitaria terminalis dicta, sae-
pius occurrit aeque dives ac in L. evitata, superest
igitur tantum caryopsis prioris fusco-marmorata, in
. evitata concolor, quam equidem in specimine indico
cum fructu maturo etiam maculis nonnnihil elevatis
fuscis marmoratam video. Nihilominus, praeter bulbos,
differentias invenio: perigonium Z. evitatae stimulife-
rum, L. bulbiferae glabrum, segmenta illius obovata
neque late ovalia, stipes caryopseos prioris crassior,
multo nec tantum triplo brevior quam pars seminifera,
radicula embryonis L. evitatae subcylindrica duplo
longior quam crasse conica L. bulbiferae, pedicellus
dilatatus fructifer prioris stipitato-obcordatus, poste-
rioris obovato-cordatus.
Specimina robustiora bene evoluta L. bulbiferae
monoica sunt, inflorescentiis masculis saepissime multo
serioribus quam femineae, rarius subcoétaneis. Indi-
vidua macra autem (saepe vix pedalia) frequenter
dioica inveniuntur, femineis vulgatioribus.
Sceptrocnide gen. nov.
Urticaceae, Urereae.
Flores monoici fasciculati, fasciculis in inflorescen-
tias unisexuales axillares erectas longissimas digestis,
masculis inferioribus longe praecocioribus, in racemos
elongato-[ latos, femineis superioribus, `
in racemos interruptos secundos simplices strictos,
fructiferos ultra pedales *) dispositis, pedicellis mascu-
lis medio articulatis, femineis continuis. Masculis:
perigonium 5-partitum segmentis aequalibus glabris
ovalibus, alabastro medio depresso. Stamina 5, fila-
menta perigonio ad medium adnata. Pistili rudimen-
tum globosum. Femineis: perigonium 4-partitum,
segmentis interioribus demum multo majoribus ovali-
bus planis costatis glabris, exterioribus in fructu minu-
tissimis deltoideis. Staminum vestigia nulla. Ovarium
sub anthesi rectum basi in stipitem brevem angusta-
6) Unde nomen: urtica sceptrifera.
€
Bulletin de PAcadémie Impériale
240
tum. Ovulum funiculo brevi, chalaza nec convexa nec
incrassata, fusca. Stigma sessile elongato-lineare, longe
villosum, persistens. Caryopsis obliqua rotundata lenti-
cularicompressa, faciebus scaberulo-puncticulatis, basi
abruptissime elongato-attenuata et tori accreti lamini-
formis emarginati angulo insidens et cum illo articu-
lata, perigonii segmentis interioribus obtecta vel hinc,
dum torus magis elongatur, ex illo oblique exserta,
demum caduca perigonio persistente. Semen pericarpio
consimile, acutum, funiculo brevi. Albumen oleoso-car-
nosum sat copiosum periphericum. Embryo cotyledo-
nibus convexis transverse ovalibus utrinque emargina-
tis, radicula brevi cylindrica. — Herba Japonica, flo-
rens bi-, fructifera ad 5-pedalis, perennis, erecta,
subsimplex, stimulis validis adspersa. Folia alterna,
penninervia, subcordato-elliptica acuminata, a basi
grandidentata, dentibus apicem versus increscentibus,
terminali lanceolato cuspidiformi, cystolithiis puncti-
formibus minutis, subtus dense adpresse pubescentia.
Stipulae liberae lateraliaxillares, caducae, parvae.
Flores bracteis minutissimis fulti. Pedicelli fructiferi
immutati.
+ Hab. in Japonia (Siebold! herb. ex itin. primo,
fragmentum femineum florens minutum, a botanico in-
digeno acceptum s. nom. generico ira-kusa, Urtica
Thunbergiana var. ligulata signatum), Nippon: ex alpe
Fudzi-yama florentem, nec non e provincia boreali
Nambu fr. immaturo misit Tschonoski!; Yezo: ad
margines silvarum subalpinarum vallis prope Mohidzi,
frequens, med. Octobri fructifera (ipse).
-Japonice in Yezo: ai. Libro tenacissimo lubenter
utuntur feminae pro filis conficiendis. Planta sat vehe-
menter urens.
Caulis gracilis faretus. Folia eum petiolo 1—3
decim. longa, dente terminali ad 3 centim. longo, pe-
tiolo inferiorum laminam superante, summorum multo
breviore. Paniculae masculae fere spithamaeae cadu-
- cae. Flores feminei sub anthesi masculorum subsessiles,
minutissimi, in spicas 3 cent. longas aggregati, per-
acta masculorum anthesi demum alii breviter, alii peri-
gonio fructifero acereto aeque longe pedicellati. Peri-
gonii feminei . juvenilis segmenta exteriora nonnihil
majora, interiora arcte ovario sessili applicita, ovarium
rectum ovale, stigma illo longius oblongum attenua-
tum. Post fecundationem phylla perigonii interiora exte-
rioribus multo majora fiunt, in fructu chartacea pallida
1
cum costa atroviridi crassiore, omnia extus minute
pubera. Ovarium nunc breve sitio: stigmate li-
neari A" longiore superatum. Tunc paullatim axis flo-
ris lateraliter excrescit in laminam linguaeformem
planam, mox fundo perigonii contiguam et inclusam,
mox ex basi hujus lateraliter protrusam et caryopsin,
quam angulo uno apicali fert, aequantem. Caryopsis
matura 1'/ mill. longa, stipitulo suo lateraliter tori
apici inserta et in illum recumbens, suborbicularis
biconvexa, stigmate nunc lateraliter insidente reflexo
aequilongo. Epicarpium coriaceum.
A proxima Laportea (et ab omnibus aliis Urlicaceis)
differt filamentis ad dimidium perigonium adnatis et
toro fructifero in laminam e perigonio lateraliter pl.
T. protrusam excrescente, nec non habitu: racemis fe-
mineis strictis secundis simplicibus paniculisque mas-
culis longissimis erectis, stipulis liberis: Accedit diffe-
rentia ex fructu a toro soluto, perigonio persistente
cum pedicello non articulato, pedicellis in fructu im-
mutatis.
Expl. figur. 9 — 16 tabulae adjectae. Sceptrocnide macrostachya.
ig. 9. flos masculus. 10. alabastrum ejusdem cum pedicello, bractea
et parte iens 11. flos femineus sessilis bractea fultús, fig. dex-
tra: ov eo cum stigmate. 12. provectior vi C
stamina Geer nulla. 13. Perigonium Panini agen
reflexo segmento antico et caryopsi, n toro reri
manifestus sit. 15. Perigon. frf. aliud Geier simili statu, to-
rus e longioribus. 16. caryopsis longit. secta: semen acutum funiculo
breviusculo, cum albumine et embryone. Omnes figg. magn. auet.
Girardinia Gaudich.
G. cuspidata Wedd. in DC. Prodr. XVI. 1. 103.—
Hance in Journ. linn. soc. XIII. 86. — Urtica n. sp.
Maxim. Ind. Pekin. Le 477.
Hab. in China boreali: in montibus In-schan a Pe-
kino septentrionem versus, locis siccis, Junio fructif.
(Tatarinow! 1847.) et montibus occidentalibus, ad
rivulos (David ex Weddell: «ad rivulos montis Occ»
(sic!), et Hance).
Planta non parum variabilis videtur. Hancei planta,
ab eodem collectore accepta, non perfecte quadrat in
descriptionem auctoris, nec mea melius congruit, nihi-
lominus de identitate omnium vix dubia supersunt. —
Folia superiora passim triloba, sinubus serraturarum
nonnullis enim profundioribus. Stipulae integrae, cu-
jusvis folii in unam axillarem connatae, nec, ut lapsu
calami apud Weddell l. c. 100, in charact. generico:
stipulae utriusque folii in unam axillarem connatae.
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
Nanocnide Bl.
gine nta fl. masculi sub apice crista trans-
versa aucta, folia antice crenato-dentata . N. japonica.
Segmenta fl. masculi Lé bor folia ES
Bead, Cras perio A o el N. lobata.
l. N. japonica Bl. Mus. Lugd. bat. II. 154. tab.
17. — Wedd. Leon — Miq. Prol. 294.
Hab. in Japoniae (Siebold!) ins. Nippon, prope
- Yokoska (Savatier!; Korea (Oldham n. 766 ex
Weddell) circa Port Hamilton (Wilford!); archipe-
lago Lutschu (Wright ex Wedd.); Formosa (Swin-
hoe ex Wéddell)
Glomeruli feminei, contra Weddell, saepe, mas-
culis brevius tamen, pedunculati.
2. N. lobata Wedd. 1. c.
Hab. in archipel. Lutschu (Wright ex Weddell)
A praecedente differre diciturfoliis obtusissimis apice
3—5-lobis v. passim integris, perigonio utriusque
sexus setuloso-hispido, masculo ecristato.
Achudemia Bl.
A. japonica, Glabra, foliis rhombeo-ovatis a medio
pauci-grandiserratis, pedunculis simplicibus folia supe-
rantibus.
Hab. in Kiusiu prov. Higo monte Naga, silvis um-
brosissimis udis, init. Octobris frf.; in Nippon mediae
jugo Hakone, med. Octob. frf.
. Primo aspectu non absimilis Nanocnidi japonicae.
Achudemia javanica Bl., a me non visa, ex descrip-
tione et iconibus differt serraturis foliorum numerosis
parvis, lamina acuminato-ovata, pedunculis trifidis folio
multo longioribus et conformatione florum. (Conf. Bl.
Mus. Lugd. bat. II. 57. tab. XX. et Wedd. Monogr.
tab. IX. A. p. 278. et DC. Prodr. 1. c. 163.)
Palmaris v. fere pedalis, prior radice exili repente,
cauliculo erecto, e basi ramis arcuatis paucis donato,
posterior habet caules basi longe procumbentes et re-
pentes, in ramos plures elongatos caulem aemulantes
ascendentes iterum ramulosos divisos. Folia infima in-
terdum integerrima, 15 mill. longa, 10 mill. lata, ce-
tera caulina internodiis longis, tandem apice florigero
iterum brevibus sejuncta, cujusvis paris parum inae-
quimagna rarius alterno duplo minore, maximorum la-
mina 30 mill. longa, 20 mill. lata, serraturis utrinque
1—4 obtusiusculis, terminali ovato-oblonga triplo ma- |
jore. Petioli laminam aequantes v. breviores, Stipulae
Tome XXII.
axillares breve deltoideae, inferiores deciduae. Pedun-
culi fructiferi in apice caulis et ramorum axillares, so-
litarii vel cum adventitiis nanis 1—2 ex quadam axilla,
summi approximati stipulis aphyllis fulti. Glomeruli
in apice pedunculorum pluriflori, illi ex ramis serius
orti toti feminei, caulinares robustiores et praecocio-
res androgyni, floribus masculis v. potius pedicellis eo-
rum (quum ipsi flores jam caduci) paucissimis, in quo-
vis glomerulo 1— 2 (ut et a Weddell in pl. fructifera
speciei javanicae observati sunt). E reliquis floribus ad-
sunt 1— 2 pedicello aequilongo suffulti et paullo ma-
jores et praecociores, magis aperti, tum ceteri 10—15
brevissime pedicellati vel subsessiles, fere clausi, utri-
que fructiferi, sed structura paullo diversi. In flori-
bus longius pedicellatis enim stamina sterilia ova-
' lia 1-nervia, perigonio duplo tantum breviora, distinc-
tissima, cary opsis paullo major minute granulata, cin-
namomea, semine totam cavitatem arcte explente. Em-
bryo cotyledonibus suborbiculatis a radicula brevi
crasse conica optime distinguendis. In floribus breve
pedicellatis stamina sterilia minuta brevissima (vel
in glomerulis serotinis ramorum subnulla), caryopsis
paullo minor, laevis, pallide ochracea semine cinna-
momeo triplo angustiore lanceolato laxe nidulante, co-
tyledonibus ovalibus vix a radicula distinguendis
multo minoribus. Verum est, fructus florum majorum
jam perfecte maturos ideoque jam deciduos esse, ita
ut flores eorum passim vacui offendantur, minorum
autem fructus adhuc intra perigonia sua bene persistere;
at embryones utriusque perfecti et aequefirmi, ita ut
forma seminum demum certe non amplius mutetur.
Praeter hane fructuum dimorphiam, in altera spe-
cie generis (4. javanica) non observata (vel praeter-
yisa?) etiam partes florales nonnihil diversae: segmenta
perigonii feminei nempe non planiuscula apice ipso pau-
cisetosa, sed concava, dorso percursa crista foliacea
valida in acumen ultra phylli apicem producta ibique
setis paucis instructa.
Pilea Lindl.
Folia rotundata obtusa, crenata v. integra.
» elliptica v. ovata acuminata SSC 3,
2. ien canticis filiformibus, folia inte-
a quam lata cystolithiis piliformi-
ymulae sessiles monoicae... P. peploides.
Caulis solitarius crassus, folia peltata crenata
cystolithiis absconditis, aan er
latae mónoieae 7 NN ur SES a.
16
Bulletin de l'Académie Imperiale
` 244
8. Caulis vitreus fragilis, inflorescentia monoica P. pumda.
» S. 4.
4. Monoica, venae in medias serraturas TONO
immarginatas tendentes
Dioica, venae in sinus abeuntes ibique bifur-
catae in ramos serraturas arcte marginan-
P. petiolaris.
.....<.«......«. e... ...
P. angulata.
1. P. peploides Hook. Arn. Bot. Beech. 96. —
Wedd. 1. c. 109. — Miq. Prol. 294. — Franch. et
Savat. Enum. I. 438.
Hab. in Japonia (Siebold! ex itin. primo, sub
nom. Amarantaceae): Kiusiu, circa Nagasaki (Sie-
bold! hb. itin. secundi); Nippon, in alpe Nikko, locis
udis regionis mediae (Savatier!); archipel. Koreano
(Oldham!); Mandshuria: fissuris rupium umbrosis
humidis cirea sinum Possjet, sat frequens (ipse); in-
sula Formosa (Ol dham!). Innotuit praeterea ex Java,
archipel. Hawaii! et Gallopagos, nec non e regno Bir-
2. P. peltata Hance Advers. 43. in Ann. sc. nat.
5 sér. V. 1866. 202 sq.
Hab. in China australi, prov. Canton, in cavernulis
ad Kai-kun-shek, Julio frf. (Sampson! commun.
- Hance).
Folia sub lente valida subtus pulchre fovi in modum
hexagono-reticulata, interstitiis concavis. Primo obtutu
retieulum e cystolithiis compositum haberes, sed nil
est nisi epidermis hyalina paginae inferioris e cellulis
` hexagonis composita, cystolithia linearia vero sine or-
dine quodam parenchymati ita immersa sunt, ut extus
non visibilia et tantum maceratione vel praeparatione
diutina examinanda. — Flores masculi et feminei et
fructus omnino generis, segmenta prioris 4 apice cu-
cullato incrassata, posterioris 3 caryopsi multo bre-
x uno multo majore.
. P. pumila A. Gray Man. fl. N. U. $. ed. 5.
E — Maxim. Fl. Amur. 246. — Hance in Journ.
linn. soc. XIII. 86. — Wedd. 1. c. 159. et P. mon-
golica N edd. ibid. 135. — Adike pumila Rafin., Rgl.
- Kl Usur. n. 443. — P. petiolaris Franch. Savat.
Enum. I. 438. — non Bl.
Hab. per totam Japoniam: loco non adnotato (Sie-
bold! hb. propr. et Buerger! in hb. Lugd. Bat. sub
P. petiolari), Kiusiu prov. Simabara, fine Septembris
fructif.; Nippon, circa Yokoska (Savatier! in hb.
Franchet), Yedo (Siebold!), Yokohama (ipse);
Yezo, circa Hakodate sat frequens, medio Septem-
bri flor., med. Octobri frf., Todohiki (ipse). Mand-
shuria: in silvis humidis nec non in salicetis densis
insularum secus fl. Amur meridionalem a Dawunda
infra Usuri ostium usque ad Korbekan non procul a
Bureja influente, med. Julio flor., med. Septembri frf. ;
secus Usuri fl. (ipse); ad fl. Suifun (Goldenstädt!),
circa Wladiwostok, in rupibus humidis frequens (ipse).
China boreali: circa She-che (Jehol) in humidis monta-
nis (David ex Weddell et Hance). Praeterea in Ame-
rica boreali-orientali!
Planta chinensis, a W ed dell pro nova specie habita,
procul dubio quia in divisionem suam neogaearum non
inquirerat, ex ipsius autoris descriptione ne una qui-
dem nota ab ejus descriptione P. pumilae distinguen-
da, jam a Hanceo recte ad plantam hanc Americae
et Asiae orientali communem, sed Weddellio ex 4sia
ignotam, relata est.
4. P. angulata Bl. Mus. Lugd. bat. II. 55. — Wedd.
1 c. 131. — Urtica angulata Bl. Bijdr. 494. — P.
stipulosa Miq. in Zoll. Verz. 102. — Urtica stipulosa
Miq. in Pl. Jungh. 28.
Hab. in archipelago Lutschu (Wright ex Dal `
praeterea in Himalaya!, Zeylona! ct Java.
Plantam Wrighti non vidi, indica autem a sat si-
mili P. pumila, quacum venulas in sinus serraturarum `
tendentes ibique bifurcas communes habet, facile dis-
tinguenda caule firmo aequali, stipulis foliaceis, foliis
late ovatis nec ellipticis, inflorescentiis laxioribus dioicis.
5. P. petiolaris Bl. 1. c. IT. 52. tab. 18. — Wedd.
l. c. 131. — Miq.! Prol. 1. c. (excl. pl. Siebold. e
Yedo, quae ad P. pumilam). — Urtica petiolaris Sieb.
Zucc. 1. c. II. 214. — P. strangulata Fr. Savat.
Enum. I. 438.
Hab. in Japonia (Keiske!, Buerger! in hb. Lugd.
bat.): Kiusiu prov. Higo monte Naga, in umbrosissi-
mis ad rivulos, init. Octobris frf. In Nippon verosimi-
liter detexit Tanaka! in hb. Franchet.
Pellionia Gaudich.
Folia D obovata crenata,......,,....,, P. brevifolia.
minata v. acuta basi latiora serra-
ta.
2. Cymae utriusque sexus laxae pedunculatae.. P. Grijsü.
» masculae laxae pedunculatae, femindae
sessiles densae. 8.
3. Suberecta ramosa basi lignosa,
BEEN EE cor SERE
Repens procumbens subsimplex, folia acuta .
folia acu-
. scabra.
P. radicans.
245
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
i D
DL Léi
1. P. brevifolia Bth. Fl. Hongk. 330. — Wedd.
1:6-.161.
Hab. in China australi: Hongkong (Wilford).
2. P. Grijsi Hance in Seem. Journ. of bot. VI.
1868. 49.
Hab. in Chinae prov. Fokien (de Grijs specimen
unum collegit fide Hance).
Affinis dicitur P. heterolobae W edd. et P. scabrae
Benth., huic quoad folia simillima, sed facile inflores-
centia utriusque sexus longe DA EE dichotome
corymbosa dignoscenda.
3. P. scabra Benth. 1. c. — Wedd. L c. 166.
Hab. in China australi:
prov. Canton (Hance!), Formosa prope Tamsuy
(Oldham! n. 518); Japoniae (Buerger! in hb. Lugd.
Bat. sub Elatostemate japonico) ins. Kiusiu, prope Na-
gasaki, ad rupes umbrosissimas inter Tomats et Zidsi-
yama, rara, in consortio Pell. radicantis, init. Maji 9
- nond. florens.
Planta japonica et formosana primo obtutu a sub-
sequente differt caule basi lignescente erecto ramoso
usque bipedali, Hanceana simplicior et debilior,
hongkongensis denique a Bentham describitur ultra-
pedalis basi indurata prostrata: Differentiae tales vero-
similiter a statione pendent, in Japonia v. gr. inveni
ad pedem rupium impendentium omnino absconditam,
non turbatam et non trusam, omni alia vegetatione
exclusa. : ;
4. P.radicans Wedd.1.c. 167. — Fr. Sav. Enum.
I. 439. — Procris radicans Sieb. Zuce. 1. c. II. 218.
n. 764. — Elatostema radicans Wedd. Monogr. 332.
— Miq. Prol. 296.
Hab. in Japoniae (Siebold ex Miq.!, J. Keiske! n.
145. in hb. Lugd. bat.) ins. Kiusiu, prov. Hiuga, lo-
cis aquosis (Buerger! in hb. Lugd. bat.), Nagasaki
(Oldham! sine |), ad viam Himi versus ducentem in
declivio boreali silvarum solo lapidoso umbrosissimo,
fine Februarii nond, fl., in m. Yuwaya, silvis humidis
frequens, fine Aprilis © fl., inter Tomats et Zidsi-yama
ad rupes umbrosas frequens, caespites magnos formans,
init. Maji frf. (ipse). Nippon (Tanaka ex Franchet).
Elatostema Forst.
Species Rue a Pellioniis nostratibus caryopsi laevi facili negotio
digno ae
Folia Segen ad nervos Soe hispida E. densiflorum.
~» pluricostata caulisque glabra
Hongkong (Bentham), .
2. Siecum olivaceum, involueri foliola distincta,
` fasciculi 9 minuti sessiles in axilla solitarii E. LEER
Siccum laetevirens, involucri foliola connata,
fasciculi 9 in axilla 1—3 saepe breve pe-
dunculati, fructiferi piso majores.........
1. E. sessile Forst. €. cuspidatum Wedd. 1.c. 173.
— E. cuspidatum Wight. Icon. 1983.et2091. fig. 1.
Hab. in Kiusiu prov. Higo m. Naga, cum Pilea pe-
tiolari, in silvis umbrosis, init. Octob. fructif., Fezo:
in silvis subalpinis prope Mohidzi, medio Octobri frf.
Distrib. lata per Indiam, Javam, Philippinas et Po-
lynesiam.
A planta himalaica differt quidem serraturis foliorum
paulo minus numerosis stipulisque solito minoribus et
statu fructifero fere omnibus deciduis, ceteris partibus
autem omnino congruum. — Pedale, folia 1/,—15 cent.
longa, 1—5 cent. lata, serraturis quovis latere 6— 8
sursum versis acütiusculis. Stipulae 3—4 mill. longae
subulatae, plurimae delapsae.
In descriptione floris feminei minutissimi apud au-
tores irrepsisse videntur errores nonnulli. Sic Wight
flores © steriles pro d habuit et 9 minus accurate de-
lineavit, Weddell vero bracteolas pro perigonii
segmentis sumpsisse videtur, cf. Monogr. tab. IX. D.
fig. 9. Quam ob causam glomerulum fructiferum denuo
describere liceat.
Glomeruli plantae japonicae in eadem axilla 1—3,
sessiles v. breve pedunculati, fructiferi pisi magnitu-
dine, minoribus intermixtis. Flores feminei in glome-
rulo numerosi, illi fructu maturo longius pedicellati,
intermixti cum breve pedicellatis juvenilibus et non-
nullis (non in quadam inflorescentia tamen) sterilibus,
quarum pedicelli fertilium maturorum triplo longiores.
Quisque flos ad basin pedicelli bractea instructus est
late spathulata 1-nervia hyalina apicem versus longe `
ciliata, et bracteolis 2—3 pedicello pl. minus alte
adnatis subulatis enerviis a medio longe ciliatis, lorem
aequantibus. Pedicellus caryopsi aeque crassus. Pe-
rigonium © saepissime ad annulum subobsoletum
reductum. Rarissime observavi segmentum 1 evolutum
obovatum obtusum erectum, stamini suo sterili fere ad
medium adnatum. Vulgo autem perigonium simulant `
stamina sterilia tria, primo aspectu globosa, revera `
autem involuta ovalia obtusa glabra, caryopsin dimi-
diam si involuta, totam si vi explicata, aequantia, vel
in flore juvenili multo breviora. In floribus sterilibus,
bracteam fere duplo neque paulo superantibus, peri-
16*
247
Bulletin de PAcadémie Impériale
248
gonium annuliforme, stamina sterilia solito saepe tri-
plo ampliora, arcuato-conniventia, apicibus calyptra-
tim cohaerentia, cum vestigio germinis minuto conico
in centro floris. Pars inflorescentiae cum fl. 9 et ste-
rili sat bene delineata est apud Wight l. c. 1983.
c».
2. E. densiflorum Franch. et Savat. Enum. I.
439. (nomen). — ($ 2. A. Wedd. in DC. Prodr XVI.
1. 172.) palmare robustum ramosum, caule crasso re-
trorsum hispido, stipulis nullis v. cito caducis; foliis
in sicco atroviridibus superne cystolithiis crebris sub-
tus ad venas hispidis, sessilibus, oblique ovatis acutis,
latere majore acute 3—6— serratis, subtricostatis
costa infima longiore; floribus masculis....; capitulis 9
globosis amplis sessilibus, bracteis bracteolisque flores
superantibus apice setosis, floribus numerosis subses-
silibus; perigonio annuliformi; staminibus sterilibus
caryopsi ovoidea acuta duplo brevioribus.
Hab. in Nippon, circa Yokohama (Savatier! n.
1124s. pl. 9). ;
. Affine E. obtuso et E. glaucescenti Wedd. I. c. 187.,
. à priore foliis acutis, stipulis caducis v. nullis, floribus
minutis, a secundo foliis item acutis stipulisque nullis
capitulisque 2 magnis dignoscendum. Foliis in mentem
vocat Pellioniam radicantem, caulis tamen haud repens,
sed erectus. Bracteolae anguste spathulatae, flores Y
triente superantes, apice setis duabus parum brevio-
ribus rigidis munitae.
3. E. umbellatum B1. Mus. Lugd. bat. II. t. 19.—
E. japonicum Wedd. Monogr. 315.— Miq. Prol. 296.
excl. J. Keiske n. 145. — Procris umbellata Sieb.
Zucc. l. c. II. 217. n. 768. — Siebold Toelicht.
Vries, 164. n. 245. — Pellionia umbellata W edd. in
DC. Prodr. 1. e. 167.
Hab. in Japonia (Siebold!, J. Keiske! n. 144.
spec. 9 in hb. Lugd. bat.) Kiusiu interioris alpibus
Kundsho-san, ad rivulos silvarum in umbrosissimis ,
medio Junii fl. 2; ins. Tsusima (Wilford! planta d);
Nippon: jugo Hakone (Savatier! n. 1124. d et 9 ju-
venil., Tanaka et Yeutschima! d et Q juvenil);
Yezo (ex Siebold).
8. majus: foliis majoribus oblique ovato-lanceolatis
margine inferiore 5—9-serrato. — E. involucratum
Franch. et Savat. Let 439. (v. s.).
Hab. in Japonia (Itoo Keiske! in hb. Franchet):
Hakone, ad rivulos (Tschonoski! pl. 3); Kamakura,
in fossis umbrosis passim vulgare, fine Maji d et Q fl.
Japonice, ex Itoo Keiske in hb. Lugd. bat., Uwa-
bami só. Ab incolis pro obsonio comeditur.
Est Elatostema, nec Pellionia, ob perigonii et invo-
lucri 9 structuram. Glomeruli floresque 9 apud Blu-
meum optime delineati, à W eddell videntur praeter-
visi. Opinioni Blumeanae, a me in literis expressae,
accesserunt autores enumerationis recentis a me lau-
datae. :
Var. 8., sensim in typum abiens, foliorum forma et
magnitudine convenit.cum E. acuminato Wedd.
(Thwaites! n. 3970), sed serraturae in nostro ma-
'jores acutiores et costae foliorum subaequales, nec
infima elongata.
.. Observ. Quid sit E. nova spec. affinis E. Hookeriano,
e Chinae prov. Kiangsi, apud H ance in Seem. Journ.
of bot. 1874. 261., nescio. ;
Boehmeria J acq.
Species hujus generis difficillime circumscribendae
valdeque polymorphae, ab auctoribus saepissime in
vivo non observatae, sed ad specimina sicca et incom-
pleta descriptae, a Blumeo verosimiliter nimis multi-
plicatae, a Weddell saepe contra naturam coacerva-
tae, observationibus loco ipso adque vivum institutis
quam: maxime egent. De vegetatione enim, an plantae
perennes sint caulibus quotannis e radice v. rhizomate
subterraneo innovatis simplicibus strictis elatis, an
suffrutices caule uno vel pluribus, humilibus, crassis, .
vulgo simplicibus densiusque foliatis, basi lignosa gem-
mascentibus, an.denique frutices trunco crasso lignoso
in ramos ramulosque patentes amplos numerososque
diviso, ramulis e gemmis rite squamatis prodeuntibus,
vulgo tenuibus et gracilibus, apud auctores vix mentio
ulla invenienda, etsi vix crederes possibile, fruticem
in herbam, v. imo hane, elatam et strictam, in suffru-
ticem humilem et crassum transire. Invenimus quidem
frequenter apud Blumeum in descriptionibus verba:
herbacea vel suffruticosa, sed hisce verbis saepissime
nil exprimitur, nisi quod exempla examinata caulem
haud lignosum praebuerunt ideoque, radice non collec-
ta, aut herbae aut suffrutices esse debent. Quomodo
autem signum + apud Weddell intelligendum, docet
v. gr. B. platyphylla var. holosericea, var. japonica et
var. macrophylla ejus, omnes signo t, instructae, prior
suffrutex 1'/ pedalis simplex robustus, seeunda fru-
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
250
- tex orgyalis intricato-ramosissimus trunco pollicari cor-
tice lacero fusco lignoque duro, tertia herba perennis
caulibus gracilibus 4—5—pedalibus strictis et vulgo
simplicibus. Inter varietates exoticas Weddellii imo,
mihi ex herbario tantum notas, invenies clidemioidem,
spicis fructiferis erectis stigmate undique villoso, ma-
crostachyam iisdem spicis pendulis stigmateque unila-
teraliter villoso, loochooensem, potius ad B. densiflo-
ram ducendam, quae omnes veri frutices gemmis
squamatis instructi, cum aliis, v. gr. scabrella, potius ha-
bitum herbaceum vel saltem omnino diversum ostenden-
tibus. Equidem lubenter fateor, clavem diagnosticam
specierum nostratium infra conatam nondum absolu-
tam esse: nonnullas enim species vel formas enumera-
tas ipse vivas non satis observavi vel mihi a collectori-
bus meis japonicis allatas siccatas tantum vidi. Omnes
igitur botanicis in Asia orientali degentibus quam ma-
xime commendo.
Herbae perennes v. suffrutices vix ramosi basi
gemmipari.
Frutices lignosi ramosissimi ms oppositis. 7.
2. Folia alterna
»
3. dom argute multiserrata, 4.
DSLR)
pauci 1
ilis B. japonica. `
4. Monoicae, folia rotundata pl. m. incano-pu- ,
cen
Herba “sr dioica, folia ovato-lanceolata
Ts E A
, b. Suffrutices Anillos crassicaules vulgo ramis
B. Sieboldiana.
ullis
Suffratex elatus caulibus ramisve elongatis ..
B. platyphylla.
6. m indivi h
raque apice acute biloba..........
$ Folia breve rhombeo-ovata pauci- et vet
serrata cum cuspide terminali elongato ..
- Folia lanceolata sensim acuminata argute cre-
nata v. serrata
*.222992599 925299 *2»9*99*9**
1. B. nivea H. A. Bot. Beech. 214. — Wedd. 1. c.
206. — Bl. l. c. 210. — Benth. Fl. Hongk. 331. —
Miq. Prol. 295. — Urtica nivea L. Thbg. Fl. Jap.
71. — Sieb. Zucc. l. c. II. 214. n. 759. — B. te-
. macissima Gaudich. Voy. Uran. 500. (foliis subcon-
coloribus). — Sjiro-o00 Kaempf. Amoen. 891. d sp.
mus. brit.)
Hab. per Kiusiu et Nippon vulgaris, v. gr. circa
Nagasaki (Oldham! n. 770), fine Augusti florens, Ta-
ra-take, eod. temp. et statu; in principatu Hizen
(Buerger); montibus Hakone (Tanaka!), Yokoska
(Savatier); Yokohama, frequens, quum nivea tum con-
color; Yedo (Siebold!). China (Bentham, Hébert!);
praeterea per Indiam! et archipelagos Sunda, Philip-
pinarum, cet.
Japonice: mawo.
2. B. biloba Wedd. 1. c. 208. — Miq. Prol. 296. -
B. bifida Bl. 1. c. 222. — Splitgerberia japonica Miq.,
Sieb. Zuce. 1. c. II. 213. n. 757.
Hab. in Nippon (Miquel!): Simoda (Yolkin!), Yo-
koska, in ruderatis (Savatier!), Yokohama, in mari-
timis, fine Julii flor.; Yezo: circa Hakodate, in rupi-
bus littoreis montibusque sterilibus passim frequens,
a medio Augusto ad finem Octobris frf.
Spithamaea usque bipedalis, basi ipsa, fere e rhizo-
mate, pauciramosa vel saepius simplex, crassicaulis,
Bed et dense foliata. Occurrunt specimina ple-
rumque nana foliis vix non omnibus indivisis, talia a
subsequente foliis non canescentibus , scabriuscúlis nec
molle pubescentibus facile dignoscenda.
3. B. holosericea Bl. 1. c. 221. — Miq. Prol. 295.
— B. platyphylla var. holosericea W edd. 1. c. 212.
Hab. in Japonia (Buerger! in Herb. Lugd.-bat.):
| Kawa-sima, non procul a Nomo-saki ad introitum aes- `
tuarii Nagasaki, medio Augusto fl. d et Y; Yokoska
ins. Nippon, in cultis (Savatier!).
Habitus B. bilobae, sed plerumque subcanescenti-
tomentosa, statio maritima videtur ut in illa. Caules
1—2 pedales robusti, arcuati, basi gemmascentes, ob- `
tuse 4-anguli, simplices, stipulae crassiusculae ovatae
1-nerviae in superiore parte persistentes. Perigonium
fructiferum, ex Blume, turbinatum, membranaceo-
marginatum.
Affinis B. uranthae Miq. e Java, file Blume, ex
Weddell vero B. platyphyllae varietas, ut et ipsa B.
urantha, quae Weddellio var. scabrella. Me judice
valde, nimis forsan, propinqua B. bilobae, quantum e
paucis speciminibus visis judicare licet. Confer etiam
observ. sequentem.
Observ. B. hispidula Bl. 1. c. 223., species siat-
trana a me non visa, a Miquel 1. c. 295. e Japonia
laudatur, sed unicam ramuli partem tantum foliis et
inflorescentiis binis instructam vidit auctora Buerger
lectam, B. holosericeae simillimam quoad folia, sed in-
dumento potius B. bilobae. Tale autem specimen B.
holosericeae, a Savatier collectum, ante oculos habeo,
cum B. holosericea Blumeana herbarü Lugduno-ba-
tavi ceteris partibus omnino identieam. B. hispidula
Bl. igitur melius e flora japonica excludenda videtur.
251 Bulletin de l'Académie Impériale | 252
4. EAR. platyphylla Don. à. Pare? Wedd. Le
211
Hab. in Chinae prov. Canton (Sampson!), praete-
rea vidi e Sikkim!, Khasia!, Assam!
"A Don (Prodr. fl. Nepal. 59.) fruticosa dicitur,
quamobrem B. japonicam ad hanc speciem ducere
non audeo. Habeo tamen specimina hujus, prope Yo-
kohama a me ipso, in prov. Nambu a Tschonoskio
lecta, haee glabriora, quae huic varietati simillima, et
tantum serraturis paucioribus et majoribus, multo
quam in B. japonica tamen numerosioribus et mino-
ribus, recedunt, ita pro forma intermedia haberem,
sed radix nulla collecta est et igitur res adhuc dubia
manet.
5. B. japonica Miq. Prol. 295. — Urtica japonica
L. fil Suppl. 418. (fide Miquel). — Acalypha japo-
nica Houtt. Hist. nat. II. 291. tab. 72. fig. 2. fide
Miquel. — A. australis Houtt. Pfl. Syst. X. 226.
tab. 72. fig. 2. — B. longispica Steud. Flora 1850.
260. 17. — Bl. 1. c. 221. — Fr. Savat. l.c. 440.—
B. macrophylla Sieb. Zuce: l. c. II. 215. excl. syn.
U. spicatae Bl., — non Don. — Urtica macrophylla
Thbg. Fl. deos, 69. et icon ined.! — Boehmeria
spicata var. a. Thbg. Icon. med
Hab. per totam Japoniam vulgatissima, in fossis
siccis, ruderatis, ad vias in ipsis ugbibus, ad sepes, in
fruticetis, Julio, Augusto f., Septembri usque in No-
vembrem fructif. Possideo e Nagasaki, Yokoska, Yo-
kohama, Nambu, Hakodate. ——
. Ultra Japoniam planta typica nondum inventa vi-
detur, nam planta 4557 Griffith. e Himalaya, a
Miquel huc ducta, evidenter fruticosa est et dentes
obtusos maximos habet, cum indumento foliorum brun-
nescente molliore et superne copiosiore.
Japonice: yabu mawo vel yama mawo i. e. mawo
(B. nivea) sylvestris.
Variat quoad indumentum: fere tomentosa et sub-
tus tantum ad reticulum hispida, quoad serraturas: in
una eademque fossa collegi prope Yokohama specimina
typica pauci- et magniserrata et multi-arguteserrata,
jam ad pracedentem vergentia. Dens terminalis sem-
per ceteris conspicue longior, si cuspidis brevioris for-
mam assumit, habemus var. appendiculatam Bl. —
Haec insensibiliter transit in
Var. tricuspidem Hance in Seem. Journ. of bot.
1874. 261. — Folia basi rotundata v. breve cuneata
ceterum grandi-serrata, a medio pl. m. in cuspides
tres lanceolatos acuminatos v. longe caudatos itemque
grandiserratos abeuntia, sinubus inter cuspides acutis,
saepe ad costam ipsam usque protensis, statu sicco
saepe laete viridia; pubes mox. ut in typo vel saepius
folia subtus ad reticulum tantum scabro-pilosa et si-
mul textura multo magis membranacea.
Hab. in Japonia borealiore, quam praecedens magis
sylvestris et subalpina, ad margines sylvarum et fru-
ticetorum, inter gramina elata ad fossas cet., v. gr.
Nippon media (Tschonoski!), Nambu (idem!), Ha-
kodate (ipse). China boreali (Fortune! A. 85.), prov.
Kiangsi (Hance).
Varietas maxime singularis, foliorum forma in men-
tem vocans Plectranthum excisum Maxim.
In Japonia australiore forma typica gradatim abit
in
-—
Var. platanifoliam (Franch. Savat. Enum. I,
440. spec. propr.). — Folia basi truncata subcordata -
v. breve cuneata, latiora quam longa, apice pl. m.
truncata tricuspidata, cuspide terminali non longiore,
omnibus ovatis grandiserratis in serraturas maximas
limbi abeuntibus; pubes typi vel saepius mollior et
praesertim pagina superiore copiosior; folia siccata ni-
grescentia ut in typo.
Hab. in Japonia australiore cum var. £ypica rarius:
locis umbrosis montis Yuwaya prope Nagasaki; jugo ,
Hakone (Savatier! in herb. Franchet), loco incerto
a Siebold s. n. yama mawo lecta admixta prostat B.
japonicae in herb. Lugd.-batavo. In Chinae prov. Kiu
kiang (Shearer!), _
Quae suppetunt omnium a exempla cum
radice lecta semper plantam perennem indigitant, basi
caulis quidem saepe lignescentem, non tamen gemmas-
centem. Omnia praeterea specimina collecta (ultra 80)
ramis carent, ita ut caulis, semper strictus, gracilis et
elatus, vix non semper simplex videatur. Qua nota,
donec contrarium probabitur, a B. platyphylla distincta
videtur. — B. japonicam saepissime totam femineam
observavi, sed nunquam totam masculam. Dum flores
masculi adsunt, supra horum inflorescentias semper
invenimus et spicas femineas.
6. B. Sieboldiana bl. 1. c. 220. — Miq. Prol.
295. — B. platyphylla Don var. Sieboldiana Wedd,
in DC. Prodr. 1. c. 213. — B. longispica B. Sieboldi-
ana Franch. et Savat. Enum, I. 440,
des Sciences de ¿ts dice:
254
Hab. in reet (Buerger! inhb. Lugd.-Bat.), ins.
Kiusiu prope Nagasaki, declivio boreali Yuwaya yama,
locis umbrosis sylvarum rara, init. Septembris frf.;
Nippon australi, prov. Ghochik (Kramer ex Prin
chet et FREE specc. mascula).
Proxima videtur B. Hamiltonianae Wedd., ab au-
tore nuper cum B. platyphylla conjunctae, sed B. Ha-
miltoniana a B. Sieboldiana nimis differt caule fruti-
coso ramoso, monoico, foliis crenulato-serrulatis aliis-
que forsan signis.
Planta tri-quadripedalis, rhizomate elongato lignoso
subhorizontali, caulibus herbaceis, basi non gemmas-
centibus, quam in B. japonica multo debilioribus et
tenuioribus, foliis et in sicco herbaceo-viridibus. Peri-
gonium masculum ex Blumeo 4-partitum laciniis acu-
minatis, stamina 4. Perigonium fructiferum, Blumeo
ignotum, ovoideum, hispidum, parum compressum, se-
mimillimetro longius, Spicae fructiferae interruptae
7 — 8 cent. longae, simplices, breve pedunculatae, gra-
ciles, areuato-erectae.
7. B. spicata Thbg. in Linn. Trans. II. 330. excl.
syn. L. et Houtt. — S. Z. I. c. II. 216. — BLI c.
220. — Miq. Prol. 295. — Urtica spicata Thbg. F1,
jap. 69. et icones ined, var. æ. (sed non var. B., quae ad
B. japonicam). — B. platyphylla var. japonica W edd.
in DC. Prodr. l. c. 213. excl. syn. Linn. f. — Boeh-
meria spec. Maxim. Index fl. Pekin. 477.
- Hab. per totam Japoniam, in australi vulgaris:
Kiusiu, ad Nagasaki (Thunberg! hb. Upsal., Oldham!)
in Yuwaya yama (Siebold!), in monte Tara, fine Au-
gusti fl.; in vuleano Wunzen, fine Julii fl., in m. Ho-
man take (Buerger); Nippon: in littoralibus prope
oppidum Muro, nec non in m. Sato toge (Buerger!),
Simoda (Y olkin! «frutex»), Hakone (Tschonoski!),
Yokoska in incultis (Savatier! n. 1115), Yokohama,
init. Septembris fl., prov. Nambu (Tschonoski!);
Yezo, circa Hakodate variis locis, forma nana ad de-
clivia montis juxta urbem, fine Octobris frf. China
boreali: montibus Inschan a Pekino boream versus,
locis siccis arenosis (Tatarinow! fl.).
Japonice: aka só. —
Frutex in Japonia australi ad 7-pedalis ramosissi-
mus, trunco pollicem usque crasso ramisque teretibus
cortice fusco lacero obtectis, ramulis hornotinis e gem-
mis perulatis ortis tenuibus subquadrangulis. In alpi-
nis Japoniae borealis vero, verosimiliter ad limites
areae ejus septentrionem versus, occurrit 1/,—2 pe-
dalis, nihilominus ramosa et lignosa et ex rhizomate
copiose gemmipara. Folia in hisce omnibus breviora,
minora, magis cuneata et parcius acutiusque serrata
quam in ulla B. Japonica vel B. platyphylla, semper-
que viridia nec unquam dense pubescentia. Adsunt
quidem specimina, ad pedem Fudzi yama secus rivu-
los a Tschonoski florentia collecta, e ramis tenuibus
elongatis constantia, macrophylla, foliis tenuius mem-
branaceis, utrinque subtus ad venas tantum pilis ad-
pressis adspersa, lamina ad 15 cent. longa attamen
petiolo breviore, quae foliorum magnitudine B. japo-
nicae appropinquant, sed huc ducendi sunt, quia iterum
ràmosi occurrunt et quia folia rhombeo-elliptica basi
cuneata dente terminali lineari serraturis paucis mag-
nis acutis subineumbentibus omnino typo similia ;
rami tales fortasse individuis juvenilibus proprii. Spe-
cimina pekinensia etiam similem habitum prae se fe-
runt, sed folia minora firmiora habent.
Praeter habitum diversissimum B. spicata et B. ja-
ponica dignoscuntur etiam floribus masculis. In priore
sistunt spicas simplices graciles longe interruptas fas-
ciculis 1 —4-floris, floribus parvis persistentibus (cum
spica tota deciduis) fere simul manifesteque apertis,
antheris luteis; in unico tantum specimine spicam vidi
basi subramosam. In B. spicata spicae occurrunt qui- `
dem saepe etiam simplices, sed. plerumque distinctis-
sime ramosae, semperque duplo crassiores, minus in-
terruptae, passim subcontinuae, fasciculis plurifloris,
floribus majoribus parum apertis, minime coétaneis, ci-
toque caducis, ita ut spicae diutius persistentes semper
nondum florentes appareant; antherae albidae. Etiam
spicae femineae in B. spicata semper simplices, ma-
gis interruptae, duplo saltem tenuiores sunt quam in
B. spicata.
8. B. densiflora Hook. Arn. Bot. Beech. 271. —
Wedd. 1. c. 215. — B. platyphylla var. loochooensis
Wedd. 1. c. 213.
Hab. in archipelago Lutschu (Wright!), insula
Formosa (Oldham! 519. 520.), Chinae prov. Tsche-
kiang (Staunton ex Wedd.).
Frutex ramosus, habitu, quantum e sicco E
dum, praecedentis, sed riii hornotini floriferi duplo
crassiores et folia angusta. Haec tamen variare viden- `
tur chartacea v. membranacea, serrulata v. serrata,
rugosa v. laeviuscula, plus vel minus pubescentia.
Bulletin de PAcadémie Imperiale
256
255
Pouzolzia Gaudich. Formosa, prope Tamsuy (Oldham! n. end praeterea
LX ica Himalayae!
Folia integerrima .......... een II P. indica. inr egione tropi y
Pro Miete M EEE NEN P. elegans. Frutex ramosus, in Japonia 3 — 4-pedalis, ramis
1. P. indica Gaudich., Wedd. 1. c. 220. subvar.
procumbens Wedd. 1. c. — P. procumbens Wight.
Icon. tab. 2099.
Hab.
Wright!) prov. Canton secus Westriver (Sampson!),
Formosa (Oldham! n. 527.), praeterea in India tro-
pica et insulis adjacentibus.
y. alienata subvar. microphylla W edd. l.c. 221. —
Parietaria cochinchinensis Lour. Fl. Cochinch. p. 654.
(ex Weddell).
ar in Sina (W eddell).
2. P. elegans Wedd. l. c. 230.
£ Hab. in ins. Formosa, ad ripas rivulorum (Wilford)
Memorialis Ham.
Folia omnia consimilia ................... M. hiri
» floralia, saltem superiora, bracteiformia. M. pentandra.
~ 1. M. pentandra Wedd. y. hypericifolia Wedd. 1.
. €. 235°. — Pouzolzia hypericifolia Bl. Mus. Lugd.-
bat. II. 242.
. Hab. in China australiore (ex Weddell), praeterea
in India tropica!, Java, Philippinis.
2. M. hirta Wedd. l. c. 235% — Franch. et
Savat. Enum. 441. — M. hispida Wall. Cat. n.
4601. — Urtica hirta Bl. Bijdr. 495.
Hab. in Japonia (Tanaka! in hb. Franchet);
China centrali: Kiukiang (Shearer!) et australi: prov.
Canton secus fl. Westriver (Sampson!), Hongkong
(Wright!), Tamsuy ins. Formosae (Oldham! n. 523);
praeterea in Java!, Zeylona!, India!
Villebrunea Gaudich.
V. frutescens Bl. Le, 168. t. XVI. b. (mas, fl. tri-
andris). — Wedd. 1. c. 235%, — Oreocnide frutes-
cens Miq. Prol. 295. — Boehmeria frutescens Thbg.
in Trans. Linn. soc. IL. 330. — Urtica frutescens
Thbg! Fl. Japon. 70. — Roxb. Fl. Ind. III. 589. —
Frutex Urticae foliis et facie floribus crystallinis Th bg.
Fl. Jap. 367. pl. obsc. n. 98. ;
Hab. in Japonia australi, cirea Nagasaki, in fos-
sis siccis, ad muros, in scrobibus, vulgaris (Thun-
berg!, Miquel!, Oldham!, ipse) In Chinae ins.
in China australi: Hongkong (Weddell,
vulgo elongatis, parce ramulosis, virgatis, foliis quoad
serraturas majores et minores, acutiores vel obtusiores
in eodem individuo variabilibus, juvenilibus quod sciam
semper, senilibus rarius concoloribus, saepius subtus
albidis, usque in Januarium et ad capitula juvenilia
formata persistentibus, ante frondem novellam et flores
apertos tamen deciduis, initio Aprilis florens vix folia
novella explicans, initio Maji defloratus fronde juvenili
nondum plane perfecta obtectus, médio Martio anni se-
quentis fructus maturans, sed foliis saepissime aut
plane orbatus, aut ad ramorum apices tantum paucis
ornatus. Perigonia fructifera carnosa, alba, dense in
capitulum piso vulgo minus conferta.
Debregeasia Gaudich.
D. edulis Wedd. Monogr. 465. et in DC. Prodr. 1.
c. 235%, — Morocarpus edulis Sieb. Zuce. lac. 218,
excl. pl. mascula. — Bl. 1. c. II. 155. tab. 16. a. —
Miq. Prol. 294. — Boehmeria yanagi itsigo. Sieb. in
Act. Bat. XII. 70.
Hab. in Japonia australiore: locis arenosis apricis
prov. Hizen ins. Kiusiu (Buerger!), collibus umbro-
sis prope Simoda ins. Nippon (Small!) penins. Parry
prov. Idzu (Savatier! n. 1122.), colitur in urbe Yedo,
Majo fl., Julio fructif. (ipse). In Formosa (Oldham!
n.. 525. 526.).
Frutex humilis ramosus ramis virgatis patulis. In-
florescentiae fructiferae piso paulo minores, auran-
tiacae. Fructus edulis, ex Siebold.
. Parietaria.
P. debilis Forst. a. micrantha W edd. in DC. Prodr.
XVI. 1. 235%. — P. micrantha Ledeb. Icon. fl. ross.
I. tab. 22. — Ledeb. Fl. ross. III. 640.
Hab. in Mandshuria: ad Amur superiorem prope
Albasin (Glehn!) et meridionalem, ad rupes umbro-
sas inter Oettu et Dyrki, passim, cum Circaea alpina,
medio Augusto frf., simili loco ad Njungja, non fre-
quens, eodem tempore et statu (ipse), circa sinum
Possjet, in fissuris rupium umbrosissimis frequens,
init. Augusti fructif. (ipse, Schmidt!); praeterea a
Dahuria! occidentem versus per Sibiriam! et ex Wed-
dell in Mongolia, Himalaya usque ad Arabiam, Abys-
257
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
Lë Ec
Pes SESCH en
simiam et insulas Canarienses, Australia, Nova Zelan-
dia et in America australi.
Malaxis (Oberonia) japonica. (Caulescentes, labello 3—
4-fido. Lindl. Fol. Orchid. VIII. 7. — Rehb. £. in
Müll Walp. Ann. VI. 215.) Foliis numerosis am-
plexicaulibus e latiore basi ovato-oblongis acutis; spica
gracili elongata interrupta; bracteis complicatis ova-
tis acuminatis integris longitudine florum; petalis ova-
libus sepalisque ovatis obtuse apiculatis integris, la-
bello concavo trifido lacinia media truncato-obcordata
cum apiculo, lateralibus dimidio brevioribus triangu-
larifaleatis acutissimis. |
Hab. in Kiusiu alpe Aso-san, epiphyta (hb. Sie-
bold! a bot. japonico fl. et fructif. sub nom. yorak’-ran
communicata). Nippon, circa Yokoska, in Cephalotaxo
drupacea (Savatier! n. 3062.).
M. angustifoliae Rchb. f. l. c. 213. e Sikkim et
Khasia, a me non visae, proxime affinis videtur, sed
haec describitur foliis multo longioribus ('/ lin. latis,
8 lin. longis), bracteis ovatis, labello subrotundo ob-
solete 4-lobo lobulis anterioribus oblique truncatis vel
emarginatis; nostra igitur satis diversa videtur.
Plantula florens 4, fructifera 8 cent. alta. Foliorum
paria 5—10, singulis foliis 5—10 mill. longis, 2
mill. latis. Rhachis spicae 20—60 mill. longae tenue
filiformis, a basi bracteis vacuis, sequentibus mox
florigeris instructa, internodiis flores primum aequan-
tibus, dein superantibus. Verticilli 2—3-flori. Flo-
res brevissime, fructus distinctius pedicellati, priores
1'4 mill., posteriores cum pedicello fere 3 mill. longi.
Sepala et petala ex lutescente virescentia, columna
virens, anthera lutea. Sepalum posterius petalis pa-
rum majus, lateralia fere sesquilatiora et distincte lon-
giora, labellum omnibus majus, ambitu fere orbicu-
lare, concavum, basi truncatum, lobo medio ex basi
duplo angustiore latissime subobcordato v. truncato-
emarginato, dente in sinu distinctissimo obtuso. Co-
lumna latior quam alta, petalis duplo saltem bre-
- Vior, anthera fere aequilata apiculata. Pollinia 4 li-
bera, late ovalia, per bina locata. Capsula perigonio
emarcido coronata, breve obovoidea, hexagona.
- Conf. analysin in tab. adjecta, fig. 17 —22. magn. auct. — 17. ala-
.bastrum cum bractea. 18. Flos vi expansus cum labello in situ natu-
rali. 19. Labellum expansum. 20. Columna a dorso, figura inferior
eadem demta anthera. 27. Columna a ventre cum stigmate, fig. su-
perior pollinia. 22. Capsula matura, jam dehiscens. .
Tome XXII.
Index
specierum in decadibus XI—XX descriptarum cum emen-
dationibus, synonymis locisque novis nonnullis.
Editae sunt: Decas XI. in Bulletin de l'Acad. des
sc. de St.-Pétersb. XVII. 1872. 21 Mars. p. 417—
456. — Decas XII. XIII. XIV. ibid. XVIII. 23 Mai.
28 Novemb. 1872. 30 Januar. 1873. p. 35—72.
275—296. 371—402. — Decas XV. XVI. XVII—
XVIIT. ibid. XIX. 28 August., 21 Octob. 1873. 12
Mart. 1874. p. 158—186. 247—287. 475—540.—
Decas XIX. ibid. XX. 10 Decembr. 1874. p. 430—
472. — Decas XX ibid. XXII.
Ex his collectaneis reimpressae sunt in Mélanges
biologiques vol. VIII., ubi quaerendae sunt decades XI
et XII., et vol. IX. ubi inveniuntur decades XIII—XX.
Sigla hujus indicis eadem ac in indice ad calcem de-
cadis X. usitata.
Achudemia japonica. XXII... IX...— Alsineae Asiae
orient. XVIII. 372 — 402. IX. 32 — 57. — An-
cistrocarya japonica. XVII. 443. VIII. 543.; XX.
471. IX. 451.—Andromeda campanulata Miq., cernua
Mig. a. et 8., japonica Thbg. et $. nana. XVIII. 47—
49. VIII. 614—620. — Anemone nikoensis. XVIII.
275. IX. 1. — Anemone stolonifera. XXIL.. IX... —
Angelicae sect. Ostericum synopsis spec. As. or. XIX.
272—278. IX. 249—258. — Angelica Florenti Franch.
Savat., grosse-serrata, hakonensis, Miqueliana. XIX.
l. c. IX. 1. c. — Angelica inaequalis XIX. 184. 278.
IX. 186. 258., Kiusiana XVIII. 284. IX. 14. — A.
japonica A. Gray! quoad pl. fructif.; pl. florens Gray-
ana pertinet ad A. ursinam Rupr. sub Angelophyllo;
polymorpha XIX. 185. 277. IX. 187. 257. — Apios
Fortunei XVIII. 396. IX. 67. — Artemisiae consp.
spec. Asiae orient. XVIII. 428—440. VII: 521—
538. — Artemisia capillaris Thbg. et f., sibirica,
Schmidtiana, Thunbergiana— A. apiacea Hance! XVIII. —
l.c. VIII. 1. c. — Asperula Platygalium. XIX. 284. —
IX. 267. E uds
Dauhiniae sinico-japonicae. XVIII. 400—402. IX.
73—76. — Bauhinia japonica. XVIII. 401. IX 348, —
— Borragineae sinico-japonieae. XVII. 400—456. `
VIIT. 539 — 562. — Bothriospermum chinense Bge,
Kusnetzowii Bge, secundum, tenellum Fisch. Mey. et `
17 |
` «XIX. 475—483. IX. 281—292.
japonica Ldl. var. alpina et pygmaea. XIX. 168.
259
Bulletin de l'Académie Impériale
8. XVII. 454—456. VIII. 559—562. — Buergeria
Miq. confer Cladrastis.
Cacaliae Asiae orient. XIX. 483—487. IX. 292 —
299. (sub Senecione). — Calamintha multicaulis. XX.
- 466. IX. 444. — Calanthe discolor Lindl. f., reflexa,
striata R. Br. a. et ß., Textori Miq. a. et 8. XVIII.
65—68. VIII. 640—645. — Cardamines spec. Asiae
orient. XVIII. 275—281. IX. 2—11. — Cardamine
scutata Thbg! XVIII. 281. IX. 10 — C. hirsuta L.
var. latifolia. 1. e. 279. 7.; C. Tanakae Franch. Savat.,
yezoénsis. XVIII. 277. 280. IX. 5. 8. — Carpesii
. specierum omnium synopsis: abrotanoides L., cernu-
um L., divaricatum Sieb. Zucc., glossophyllum, pubes-
. cens Wall., rosulatum Miq., tracheliifolium Less, triste.
— Chaenomeles
IX. 163. — Chelonopsis moschata Miq. XX. 465. IX.
443. — Chionanthus chinensis XX. 430. IX. 393. =
Ch. retusa Lindl et Paxt. — Chrysosplenium album.
— XVII. 420. VIII. 510. — Cladrastis amurensis Bth.
' €, var. Buergeri. XVIII. 400. IX. 72. — Clematis
- brachyura, eriopoda, Kirilowi, lasiandra, pinnata, Ta-
tarinowii et consp. specierum As. orient. XXII.. IX..—
— Cnicus Buergeri Miq. c. var. B., dipsacolepis, dipsaco-
E lepidi x nipponicus, effusus, japonicus var. a—{, ja-
ponico x suffultus, kamtschaticus $., nipponicus, pecti-
nellus, purpuratus, spicatus, suffultus, yezoénsis, et
consp. specierum As. orient. XIX, 489—511. IX.
301—333. — Crawfurdia Wall. XX. 435. IX. 400.
— Crepis integra Miq., Keiskeana et consp. spec. ja-
pon. XIX. 520—524. IX. 345—352. — Crossoste-
. phium Less. XVII. 427. VIII. 520. — Cynoglossum
. divaricatum Steph, (dele syn. Miq. ad Omphaloden ja-
a ponicam spectans), furcatum Wall., javanicum Thbg.,
micranthum Desf., officinale L. XVII. 450, 451. VIII.
553—556. — Cyrtandraceae sinico-japonicae XIX,
534— 540. IX. 366—374.
Dialysplenium subgen. XVII. 420. VIII. 510.—
Didymocarpus lanuginosus Wall, primuloides. XIX.
535. 536. IX. 368. 369. — Dontostemon hispidus.
XVIII. 282. IX. 11. — Dopatrium junceum Ham.
XX. 441. IX. 409. — D. japonicum Franchet et Sa-
vatier, Enum. 1.345., = Montia fontana Miq. Prol.
352. — Draba japonica XXII. IX..
Edosmia Neurophylum XVIII. 285. IX. 16. —
Carum Neurophyllum Franch, et Savat. 1. c. 180. —
Elatostema dasyanthum Franch. Savat. XXII.. IX.. —
Ericaceae japonicae. XVIII. 39 — 57. VIII. 603 —
628.—Eritrichium brevipes, Guilielmi A. Gray, myo-
sotideum, radicans A. DC. XVII. 446 sq. VIII. 547
sq. — Eutrema Wasabi. XIX. 283. IX. 13.
Fraxinus mandshurica Rupr. var. eer XX.
432. IX. 395.
Galeola septentrionalis Rehb. XVIIT. 70. VIII.
647. — Galium boreale L. japonicum, brachypodion,
paradoxum et consp. specierum As. orient. XIX. 278—
283. IX. 258 — 265. — Gaultheria adenothrix, py-
roloides Hook. f. et Th. XVIII 44. 45. VIII. 610.—
Gentiana japonica. XX. 433. IX. 396. — Gratiola
violacea XX. 400. IX. 407. — Ilysanthes saginoides
Franch. Savat. Enum. I. 346. — Gratioleae Asiae
orient. XX. 436 — 450. IX. 401 — 422.
Hemistepta lyrata Bge XIX. 512 — 513. IX.
333 — 336. — Hesperis lutea. XVIII. 282. IX. 12.
Isanthera discolor. XIX. 538. IX. 372. — Juglan-
daceae Asiae orient. XVIII. 57 — 65. 296. VII.
630 — 640. IX. 30. — Juglans cordiformis, mandshu-
rica, Sieboldiana, stenocarpa = mandshuricae varietas.
XVIII. 58 — 62 c. figg. VIII. 630 sq. c. figg. — Ju-
rinea mongolica XIX. 519. IX. 345.
Keiskea japonica Miq. XX. 464. IX. 442.— Kra-
scheninnikowia heterantha, heterophylla Miq., ru-
pestris Turcz., sylvatica. XVIII. 374 — 377. IX.
35 — 40.
Lactuca denticulata a. et 8., formosana (crescit
etiam in Kiu-Kiang Chinae centralis, Moore in Trim.
Journ. of bot. 1875. August), Oldhami, Raddeana,
squarrosa Miq. triangulata et consp. specierum Asiae
orient. XIX. 374 — 377. IX. 352 — 565. — Lampsana
apogonoides. XVIII. 288. IX. 20.— Lathyrus (Orobus)
Davidii Hance (huc Lathyri sp. incerta habitu maritimi
Miq. Prol. 233., ex sched. hb. Lugd.-bat. a. 1719 e
China introducta, japonice (in Siebold herb.) jebosina
dicta), subrotundus, et species sinico-Japonicae. XVIII.
390—394. IX. 58—65. (Lathyris japonicis adde (an tan- `
tum cultum?) L. pratensem L. = Lathyri sp. incerta
a Keiske sterilis lecta, Miq. Prol. 233., figura optima
in Soo bokf. XIV. 8.) — Leonurus macranthus. XX.
467. IX. 445. — Leucanthemum nipponicum Fran-
chet. XVII. 420. VIIT. 511. — Leucothoé Grayana,
Tschonoskii XVIII. 46. VIII. 613.— Ligusticum acu-
tilobum S. Z., japonicum XIX. 270. 271. IX. 246.— `
DUE
macranthus Franch.
. dellia? japonica Miq. Prol. 50.,
| IX. 69—70.— Photinia Fortuneana (
. cantha Decaisne Mem. Pomac. 183. cur non Fortuneana
potius? — Cotoneaster Fortunei Wenzig), glabra, vil-
des Sciences de e pee.
262
Ligustrina amurensis Rupr, XX. 432. IX. 395. —
Lithospermum japonicum A. Gr. XVII. 442. VIII.
542. = L. Zollingeri A. DC. — Lindernia All. XX.
` 446. IX. 416. — Loranthus jadoriki Siebold, Kaem-
pferi. XXII... IX. . .— Lychnis stellarioides = Silene
. inflata. Miq. Prol. 10., Wilfordi. XVIII 371. IX. 31.—
Lysionotus pauciflorus XIX. 534. IX. 366. (crescit
etiam in China centrali, Kiukiang, ex Moore in Trim.
Journ. of. bot. 1875. August).
` Maackia conf. Cladrastis. — Magnolia compressa
et consp. spec. japonicarum. XVII. 417—419. VIII.
506 — 510. Locus in systemate M. salicifoliae a me
assignatus rectus est: habui postea specc. florifera et
cum fructibus maturis, a Tschonoski in Nippon media
lecta, e quibus proxime affinis M. Kobus, DC., foliis
imprimis diversa.— Malaxis (Oberonia) japonica. XXII..
X..— Mazus rugosus Lour. 8? stolonifer = M. r. f.
Savat. Enum. I. 344., — Van-
stachydifolius, vidi e
China centrali, Kiu-Kiang, a Dr. Shearer lectum, s.
nom. M: rugosi var. acceptum. XX. 437. 438. IX.
404. — Mimulus sessilifolius. XX. 436. IX. 401. huc
verosimiliter fragmentum pessimum Mimuli sp. incert.
Miq. Prol. 48. — Móhringia platysperma XVIII. 373.
IX. 35. — Monotropa uniflora L. XVIII. 55. VIII.
626. -- Mosla dianthera formosana, grosseserrata,
japonica, lanceolata XX. 456 — 463. IX. 430 — 440.
. Myriophyllum ussuriense et species japonicae. XIX.
181. 182. IX. 182 — 184.
Naucleeae sinico-japonicae XIX. 286. IX. 270. —
Nepeta japonica, subsessilis — N. macrantha Franch.
et Savat. Enum. I. 375 exacte!, tenuifolia Benth. XX.
467 — 470. IX. 446 — 450.
Omphalodes japonica, Icumae, sericea, nova species
(= O. Krameri Franch. Savat. Enum. I. 337.) XVII.
452. 453, VIII. 557. 558. — Ophelia diluta Ledeb.
XX. 434. IX. 398.
- Perillula reptans XX. 463. IX. 440.— Phaseoleae
japonico-mandshuricae sponte crescentes. XVIII. 397.
— Osteomeles Pyra- | Y
losa (— Pourthiaea villosa, lucida, coreana, Oldhami,
Thunbergii, Zollingeri, Cotoneaster Decaisnel. c. 147—
149), Wrightiana (— Ph. Maximowiczii Decaisne 1. c.
143.) XIX. 177 — 179. IX. 176 — 181. — Pimpi-
nella calycina, sinica Hance (recte hue akai Miq.
amandavi; nam in ipsius autoris speciminibus dentes ca-
lycini etiam nulli) XIX. 182. IX. 184.—Pirus baccata
L. var. mandshurica, Tschonoskii. XIX. 169. IX. 165.—
Platyosprion, Sophorae subgenus. XVIII. 398. IX.
70. — melius pro genere proprio habendum, nam le-
gumen planum nimis a Sophora diversum. — Platy-
raphe Miq. cf. Pimpinella. XIX. 184. IX. 185. —
Plectranthus glaucocalyx p. japonicus, inflexus Vahl.
B. et y., inconspicuus Miq. (= inflexus Vahl forma vi- `
lior), inconspicuus Maxim. ( = trichocarpus n. sp.),
serra, et species sinico-japonicae. XX. 450 — 456.
IX. 422 — 430.— Pleurogyne rotata Florist. japon.
nec Griseb. XX. 434. IX. 398. — Polygonum sufful-
tum et Adnot. in spec. nonnullas. XXII.. DN —
Pomaceae sinico-japonicae XIX. 168—181.IX. 162—
182. — Potentilla centigrana, Cryptotaeniae, fraga-
rioides L. c. varr. incisa et ternata, fruticosa L. c
varr. mandshurica et mongolica et adnot. in spec.
nonnullas. XIX. 162. sq. IX. 157 sq. — Prenanthes
Tatarinowii. XIX. 533. IX. 365. — Pseudopyxis de-
pressa Miq. XIX. 286. IX. 270. — Pterocarya rhoi-
folia S. Z. XVIII. 63. VIII. 637.—Pteroceltis Ta-
tarinowii c. tab. XVIII. 292. IX. 26. a Dre Piasezky
florens et fructifera in provincia Chinae centralis
Schensi anno praecedente detecta. — Pterostigma Bth.
XX. 439. IX. 405 — Adenosma R. Br. cf. Benth. Fl.
Austral. — Pterygocalyx. XX. 435. IX. 400. —
Pyrethrum Decaisneanum,
& — Y, marginatum Miq., Pailasidiititir seticuspe, si-
nense Sab. c. varr. a — y. XVII. 421 — 428. VIII.
512 — 520. — Pyrola elliptica Nutt. var. minor, re- `
nifolia, rotundifolia L. a. 8. et spec japonicae. XVIII.
52. VIII. 622.
Rehmannia lutea. XIX. 538. IX. 371. — Rhynclio- As
sia volubilis Lour. 8. acuminata. XVIII. 398. IX.
70. — Ribes alpinum L. c. varr. f. y., ambiguum,
Diacantha Pall., fasciculatum S. Z., grossularioides,
japonicum, Meyeri, multiflorum W. Kit. c. varr. 8. et
rubrum L. c. varr. a — à. et `
.; pulchellum Turcz.,
get. Asiae orient. XIX. 247 — 270. IX. 213—246.
— Rubia, adnot. de specieb. mandshuricis et japoni-
cis. XIX. 283. IX. 266.
Sanguisorba alpina Bge, canadensis Torr. et ge,
obtusa ( — tenuifolia a. latifolia Miq. Prol. 226), of.
ficinalis L., tenuifolia Fisch. XIX. 159 — 162. IX.
17*
indicum Cass. e. varr. `
-
Bulletin de l'Académie Impériale
KS
264
150 — 155. — Saussurea gracilis, Tanakae Franch.
Savat. c. var. phyllolepis, triptera et spec. japon. XIX.
513 — 519. IX. 336 — 344. — Saxifraga cortusifo-
lia S. Z. c. varr. 8. y., cuscutiformis Lodd., fusca,
sarmentosa L., sendaica XVIII. 35 — 38. VIII. 597
— 602. — Saxifraga tellimoides XVIII. 39. VIII.
603.—Sceptrocnide macrostachya. XXII . . IX...
. — Scopolia japonica. XVIII. 57. VIII. 629. — Sene-
cio adenostyloides Franch. Savat., bulbiferus, davu-
ricus Schltz. Bip. var. a. et 8., farfaraefolius a — y.,
Zuccarinii et spec. sectionis Cacaliae orientali-asiati-
cae. XIX. 485 sq. IX. 295 sq. — Shortia uniflora
XX. 470. IX. 450. — Sileneae Asiae orient. enumer.
XVIII. 387. IX. 55. in adnot. sub textu. — Sium
Ninsi L., nipponicum, Sisarum L. XVIII. 986. IX.
17. — Smithia japonica XVIII. 389. IX. 57. — So-
phora platycarpa XVIII. 398. IX. 71.— Platyosprion
platycarpum. — Sorbus alnifolia C. Koch.”) (= Aria
. alnifolia et tiliaefolia Dne Mem. Pomac. 166.), ame-
ricana L., Aria var. kamaonensis Wall. (= Aria japo-
mica Dne Le 164), Aucuparia L. et var. japonica,
gracilis C. Koch, sambucifolia Ch. Schtdl. XIX. 173.
174. IX. 170 — 174. — Stellaria diandra, diversi-
. flora, florida Fisch. 8 angustifolia, monosperma Ham.
var. japonica, tomentosa, uliginosa Murr. (— japonica
Miq., quae forma fere submersa hinc inde morsuris
neque punctis pellucidis instructa) et species Asiae
orientalis. XVIII. 379 — 385. IX. 43— 52. ——Swer-
tia perennis L. 3. cuspidata. XX. 434. IX. 398. —
Syneilesis aconitifolia, palmata. XIX. 487. IX. 300.
Thalictrum tuberiferum. XXII ... IX... — Torenia?
inflata Miq. XX. 443. IX. 411 — Mimuli nepalensis
specc. minuta, — Tripterospermum Bl. XX. 435.
IX. 400.
-Ulmus campestris Sm. 3. pumila Ledeb. XVIII.
290. IX. 23. — Ulmaceae Asiae orientalis XVIII.
288 — 296. IX. 21 — 30. — Uncaria rhynchophylla
Miq. XIX. 285. IX. 268.—- Urtica laetevirens. XXII...
IX ...— Urticacae Asiae orientalis. XXII... IX..
Vaccinia japonica. XVIII. 39 — 43. VIII 603 —
609. — Vandellia cymulosa Miq. (=V. angustifolia
Benth. forma ramulosa ramulis floriferis), erecta Bth.
7) Num ad hane forte spectat: ein birkenähnlicher Baum mit Bir-
kenbláttern, der aber wie die Traubelkirsche blüht und festes Holz
.. hat. — In insulis «Kurilensibus Urup. et Etorpu. Conf. Pall. N, nord.
Beitr. IV. 131. 133.
XX. 444. IX. 413. — Vicia venosa W. a — y. et ad-
not. in spec. japon. nonnullás (V. quinquenervia Miq.
= Lathyrus palustris L. y. linearifolius Ser.) XVIII.
394 — 396. IX. 65 —67.— Vitis leeoides XIX. 158.
IX. 148.
Yoania japonica. XVIII. 68. VIII. 645.
Rapport sur l'ouvrage manuscrit de M. Bakradzé,
contenant l'exposé des recherches archéologiques
faites par l'auteur, dans l'Adchara et dans le Gou-
ria, par ordre de l'Académie en 1873. (Lu le 2 mars
1876.) ` | |
La Russie occupe une place digne d’elle dans le
grand mouvement qui, depuis une soixantaine d'années, `
entraine les esprits les plus éminents vers l'étude des
sources de l’histoire, souvenirs du passé, leçons pour `
le présent, guides des peuples vers l'avenir. Quinze
sociétés, commissions, comités et grandes publications,
périodiques ou autres, voués à larchéologie et aux
recherches historiques, y mettent au jour, sans re-
láche, des masses de documents enfouis jusqu'à-présent
dans la poussiére des archives. Dans la classe Histo-
rico-Philologique de l'Académie Impériale des sciences
et dans la section Russe proprement dite, plusieurs de
nos savants collégues consacrent aussi leur vie à l'é-
tude de la partie russe ou asiatico - russe des mont- `
ments du passé; ce n'est pas ici le lieu de nommer les
auteurs ni de mentionner leurs œuvres, que le monde
de l'intelligence sait apprécier.
Le Transcaucase n'est point resté non plus étran-
er à la commune impulsion. Indépendamment des
révélations de la science, tirées des entrailles du sol
caucasien, gráce aux efforts de MM. Bayern, Zeidlitz
et autres, S. A. I. le grand-duc Lieutenant a pris en
1874 un arrété en vue de la réunion, coordination et
mise en lumiére des Mémoires particuliers relatifs à la
guerre qui a amené la soumission des diverses peupla-
des du Daghestan et de la Circassie. S. A. a, depuis
1866, daigné favoriser la vaste entreprise de l'im-
pression des Actes de la Commission archéographique
du Caucase, dont l'actif M. Berger exécute en ce mo-
ment le VII. Vol. in-f” compacte. Il s’est, en outre,
formé à Tiflis une nouvelle Société des amateurs des
Naximowiez: Diagn al am `
H
Bulle dTAvad Imp dsc TRI
Metallographie v. lvanson, St
E Berens. del ad sicc.
e
265
ads Sciences de Mac. Pétcrabourg-
266
tous et de l'histoire du Caucase *), dont quelques
indigènes ont tenu a honneur de faire partie: ce sont
des hommes ayant reçu la forte éducation des Acadé-
mies ecclésiastiques de S.-Pétersbourg, de Moscou et
de Tiflis, doués à divers degrés de talents solides,
parmi lesquels il est juste de citer les noms de MM.
Platon Iosélian et Berzénof, tous deux enlevés malheu-
reusement à la science dans ces derniéres années;
M. Eritsof et M. Bakradzé, l'auteur du travail dont
je dois rendre compte, déposé en ce moment sous les
yeux de l’Académie.
C’est en 1873 que notre voyageur devait exécuter,
sous les auspices de l’Académie, une excursion dans
l’ancien Tao, la Géorgie turque de nos jours, une vraie
mine des plus vieilles antiquités géorgiennes, résidence
de la dynastie Bagratide encore au temps de Constan-
tin Porphyrogénéte, au X". S., parcouru dans les der-
niers temps par le P. mékhithariste Nersès Sargisian
et par l'habile photographe M. Iermakof, de là il de-
vait se porter dans l'Adchara et dans le Gouria. Par
‚suite des circonstances, ce sont ces dernières contrées
seulement qu'il a explorées, de la moitié du mois d'aoüt
à celle d'octobre.
Le voyageur avait déjà montré son zéle et sa capa-
cité arehéologiques dans l'exploration, féconde en ré-
sultats, du Souaneth-Libre, en 1860, et dans son Mé-
moire trés étendu sur les Monuments chrétiens du
Caucase, contenant 286 NN., 321 dans la seconde
édition; t. V des Actes de la Comm. archéogr. 1873,
t. VI des Mém. de la Sect. Cauc. de la soc. géogr.
p. 128, avec carte et une feuille d'inscriptions autogra-
phiées; en 1875, Société des amateurs des antiq. du
Caucase. S'il n'est pas possible d'admettre sans res-
triction tous les déchiffrements et déductions de l'au-
teur, du moins on ne peut lui refuser la connaissance
. approfondie du sujet, l'esprit d'investigation et. d'ana-
lyse, appuyant ses opinions sur une vaste lecture, et
une mémoire imperturbable des plus minutieux détails.
Le Gouria, grâce à la modestie de sa vie sociale et
artistique, n'a pas encore été exploré par un seul
voyageur complétement préparé, i. e. connaissant sa
langue et son histoire. Si l'on excepte M. Dubois de
Montpéreux, fonciérement géologue et accessoirement
archéologue, parfois trop enthousiaste, et quelques
1) La 1* livr. de ses Mémoires vient de paraitre.
Russes, plus ou moins amateurs des sciences histo-
riques, mentionnés dans les riches Index alphabétiques
de la littérature caucasienne, de MM. Doubrovin et
Miansarof, j'avoue ne connaitre aucun traité complet,
concernant spécialement le Gouria ou certaines parties
de cette contrée. Toutefois il y a, en langue anglaise,
cité dans un Compte-Rendu de la reconnaissance de
lAdehara, dont il sera parlé plus tard, un DECH
pratique dé la valeur de ce pays.
En 1848, lors de mon séjour en Mingrélie, le prince
Dimitri Gouriel me fit, il est vrai, l'obligeante propo-
sition de venir parcourir son pays; mais, outre qu'il
me restait alors seulement quelques mois pour achever
mon programme, tracé à l'avance, je n'avais pas fait
entrer le Gouria dans mon plan, parce que le peu de
données fournies par les auteurs géorgiens ne m'inspi-
rait qu'un faible attrait pour une contrée trop peu
connue, dont l'histoire, exclusivement moderne, ne
m’aurait donné, à ce que je pensais, qu'une faible
quantité de renseignements concernant les origines de
la Géorgie. Je fus done obligé de décliner une offre
si bienveillante.
Méme, dans mon idée, en rédigeant l'itinéraire de
M. Bakradzé, en 1873, qui comprenait le Gouria et
la partie méridionale de l'ancien pachalik d'Akhal-
Tzikhé, ou la Géorgie turque, celle-ci avait la prépon-
dérance, et c'est le hazard des circonstances qui a
valu à l’Académie l'excursion dans le Gouria, ainsi
que le beau Compte-Rendu dont je dois m'oceuper.
Le voyageur, M. Bakradzé, qui avait de bonnes re-
lations dans le pays, préféra commencer par le Gou-
ria, car il prévoyait, non sans raison, de nombreuses -
difficultés pour l'exécution de l'autre partie de son
itinéraire.
Quant à l'Adchara, avoisinant au SE. le Gouria,
c'est un tout petit canton, situé sur le cours de la
rivière dite Did- Adcharis- Tsqal, «rivière du Grand-
Adchara,» affluent droit du Dchorokh. Quoiqu'il
n'ait pas d'histoire proprement dite, il est nommé
chez Constantin Porphyrogénéte, parmi les dépen-
dances du Clardjeth et du Tao, où se trouvait au X°. S.
la principale résidence des Bagratides ibériens, d'Adra-
nutzium, ou Artanoudj. Je sais que ce pays a été
visité, pour autre chose que l’archöologie, lors du
traité d'Andrinople, par notre savant correspondant
o
267
Bulletin de l'Académie Impériale
268
M. Khanykof, qui n'en avait pas gardé, à ce qu'il semble,
un trop bon souvenir.
Mais en 1874 une commission russe, sous la con-
duite d'un officier géorgien trés capable, y a exécuté
une reconnaissance, qui, je crois, laisse peu à désirer
au point de vue pratique, et qui fort heureusement
s'est prolongée jusque dans le Chawcheth et le Clar-
- djeth, qui a méme été poussée jusqu'à l'entrée du La-
zistan proprement dit. M. Bakradzé exprime l'opi-
nion, que je crois juste, que le Lazistan appartient à
la nationalité géorgienne; M. Rosen l'a prouvé de facto,
` par le moyen de la linguistique. Le chef de l'expé-
— dition de 1874 n'a point laissé de côté, autant qu'il
lui a été possible, la partie archéologique; il a méme
dessiné de bons croquis de plusieurs antiques églises,
dignes par leur belle architecture de figurer avec hon-
neur au compte des princes Bagratides. Son récit, fort
détaillé et intéressant, figurera, malheureusement ano-
nyme, dans le t. IX des Mémoires de la Section cau-
casienne de la société Géographique. ?)
Si l'on joint à ces deux excursions celles, exécutées
avec autant de bonheur que d'audace, par une per-
| sonne alliée de prés à l'Académie, le naturaliste M.
` Radde, aux sources du Kour et du in de la Tzkhé-
nis-Tsqal et de l'Engour, en 1864, 1865 (t. VII et
I " x mr, D
VIII des mémes Mémoires), l'on aura la somme des
travaux, certes non méprisables, entrepris par des sa-
vants d'un mérite incontesté, pour l'étude approfondie
des antiquités historiques du Transcaucase occidental.
Ces notions préliminaires étant données, je vais
maintenant Kou compte à la classe du aval de
M. Bakradz
Le uot Rendu, passablement volumineux, de
l'excursion, dans le Coura se compose de cinq parties,
dont la 1° et la 2° sont consacrées à l'exploration du
district de Tehourouk-Sou, faisant partie autrefois du
Gouria, ainsi que de Add: partie de l'antique
Samtzkhé, apanage des premiers Bagratides, quand
la ville de Tiflis, centre de la Géorgie, était encore
occupée par les Béni-Djafar. Ces deux districts, pauvres
en antiquités géorgiennes et habités par des tribus
2) Le directeur de l’excursion et l'auteur de l'article: «Trois
mois de voyage dans la Géorgie turque,» dont nous parlons ici, se-
rait le colonel Kazbek; M. D. Tehoubinof en a rendu compte, sous
ce nom, avec les éloges qu'il mérite, dans une séance de la section
ethnographique de la Société de géographie russe, le mercredi 25
février de cette année; CIB. Bhxom. 26 févr.
peu avancées en civilisation, ou retombées dans un
état voisin de la pure nature, n'ont fourni au voyageur
curieux qu'un petit nombre de pages, plus intéres-
santes au point de vue de l'état social et des relations
avec leur entourage, comme aussi des produits du
sol, qu'au point de vue des monuments antiques. Voici
le sommaire du contenu des deux sections.
1) «Départ de Tiflis, le 12 aoüt 1873, par le che-
min de fer de Poti-Tiflis; Kouthais, trouvaille archéo-
logique; Esma l'Adcharienne; route du Gouria; Ozour-
geth, Tchourouk-Sou, renseignements sur Tchourouk-
Sou et Batoum; description; Hassan- Agha Mourad-
Oghli, Laze; monuments anciens aux environs de Ba-
toum, église de Saméba; Lazes, deux documents turk
et géorgien.»
2) «Coup - d'œil sur Batoum et sur l'Adchara, le:
fleuve Dehorokh; grande route conduisant, à travers
la vallée du Dehorokh, à Arthwin; notices sur lhis-
toire et sur la manière de vivre des populations du
Dehorokh; mon voyage se poursuit, en remontant la
riviére d'Adchara; nature du pays, esquisse des vil-
lages de Sagoreth, Kéda, Choua-Khew, Doudalo et de
la vie des Adchariens; anciens ponts; Skhaltha, et son
antique église; Khoula; Hassan-Beg et Ahmed- Agha;
famille des Khimchia - Chwili d'Adchara; coup-d’eil
général sur la topographie et l'histoire du pays; ap-
pendice, document turk.»
Les passages les plus intéréssants de ces deux cha-
pitres sont, à mon sens, premierement le texte géor-
gien d'une description détaillée des territoires du Samtz-
khé dépendant du catholicos de Karthli; à Pénumé-
| ration des familles princiéres reconnaissant la supré-
. H e E FREE à EE
matie du catholicos, est jointe celle des évêchés et `
monastères, dont plusieurs aujourd'hui anéantis, et
de leurs possessions ou dépendances territoriales: ce `
qui fournit au voyageur, outre la critique des divers
manuscrits tombés entre ses mains, l’occasion d’une
fine analyse des chartes et documents officiels dont il
a lu avec intelligence les extraits dans l'Histoire de,
Géorgie. Par-là il reconstitue les apanages de familles
dont plusieurs sont éteintes, et tire un excellent parti |
des indications contenues dans la partie Paléographie
de la Chronique géorgienne.
Ici encore, à propos du langage usité dans le Gou-
ria, le voyageur cite en originaux et transcrit en bon
géorgien deux documents écrits, l'un par une femme,
=
deux églises.
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
270
lautre par un homme, qui, au premier abord res-
semblent plus à d'informes grafiti, à des excentricités
puériles de patois et d'orthographe, qu'à quelque chose
de géorgien. A la longue seulement on finit. par y re-
connaitre l’œuvre de grossiers paysans. L'autenthicité
linguistique de ces gribouillages est confirmée soit, par
comparaison avec la Grammaire laze de M. Rosen,
soit par le texte d'un article inséré dans le journal
eeds «le temps,» 11 février 1876, correspondance
d'un habitant de Kobouleth. Ici, outre une certaine
proportion de mots turks, l'altération des radicaux et
celle des formes grammaticales forment un langage à
part, analogue sinon aux variations du grec moderne,
comparé à l'ancien, du moins à celles du dialecte pe-
tit-russien par rapport au russe du nord. C'est à ce
propos que M. Bakradzé a jugé bon, non sans de justes
motifs, de rédiger un petit vocabulaire comparatif, de
328 mots géorgiens du Karthli et du Cakheth, de
l'Inéreth, du Gouria, de Kobouleth et de l’ Adchara, avec
la traduction en russe: vocabulaire qui prouve que lors
méme que le mot usité dans les trois derniers pays
conserve sa physionomie purement géorgienne au fond,
la forme en est plus ou moins altérée. Par exemple
le mot gourien dogegs «tante,» est bien géorgien,
mais rudement abrégé de badok $e» «l'épouse de
l'oncle;» ailleurs des mots turks ou autres ont remplacé
le radical géorgien dans l'usage habituel: dans le cas
dont il s'agit, le gourien dit encor 945sgo5; l'homme
du Kobouleth et d'Adchara dit en outre zez, deux
formes dont la premiere est d'origine pour moi in-
connue; l'autre semble provenir du sémitique Ær Ss,
pere, dos oncle = dods, comme qui dirait «la femme
parente du pere.»
3) «Départ de Khoula, pour Tchouana; Zémo-Khino
et son église; passage dans le Gouria, à travers la
chaine de Tehokhat; coup-d'ceil général sur le Gouria;
recherches archéologiques à Kakhout, Tsmanieth,
Atchi et Likhaour; monastère de Chémokmed et ses
Celle du Sauveur et celle de la Trans-
figuration, de Zarzma, examen de leurs riches monu-
ments archéologiques; Appendice..»
Je dois me contenter de signaler ici 66 ES
d'inégale grandeur etimportance, mais contenant toutes
quelque fait, nom ou date, qui ne sont point sans va-
leur. Elles ont été recueillies, tant à Chémokmed, la
principale église de l'antique Gouria, qu'à Likhaour
et dans les églises des environs. Le fait le plus inté-
ressant à mentionner, c'est la réunion à l'église du
Sauveur, de celle émigrée de Zarzma, avec son image,
au temps de Wakhtang-Gouriel (1583 — 1587). La
maniere dont je m'exprime à ce sujet est conforme à
lexpression géorgienne, qui, en parlant des images
saintes, les traite comme des personnes, que «l'on fait
prisonnieres,» à qui «l'on donne asyle,» que «l'on ra-
mène» dans ses foyers. La Chronique géorgienne em- -
ploie fréquemment ces tournures au sujet de l'image
vénérée de N.-D. d'Atsqour et d'autres, dont les par-
ties belligérantes se disputaient la possession. Bien
qu'une note ajoutée au texte du document d'émigration
de celle de Zarzma, sous le Gouriel Wakhtang, place
le fait en l'année pascale 260 —1572, il doit y avoir
ici, vu les dates d'avénement et de mort dudit Gou-
riel, une inexactitude, que je signalerai au voyageur.
L'acte dont nous parlons a encore une autre importance.
La Chronique du Gouria, par Wakhoucht, nomme
Wakhtang simplement «parent {e%o,» des Gouriels,
tandis qu'il est démontré par les actes qu'il était fils
de Giorgi II et frére de Mamia II.
A propos de l'église collatérale, de Zarzma et de
son image, qu'il me soit permis de joindre ici quelques
apercus et réflexions de circonstance. Les plus belles
inscriptions géorgiennes que j'ai recueillies dans mon
voyage, sont certainement: celle de Soouk-Sou, men-
tionnant avec les détails les plus exacts la comete de l'an
1066, contemporaine de la conquête de l'Angleterre.
par les Normands; celle d'Oubé, année pascale 361,535
intercalaire de l'Hégyre— 1140 — 1141; enfin celle
de Zarzma, oú est mentionnée l'expédition des Géor-
giens contre Bardas-Phocas (en 976), qui leur procura
un riche butin, ayant servi à la fondation de la Laure
ibérienne du mont Athos. En traitant de l'église de
Zarzma, dans le Gouria, M. Bakradzé saisit l'occasion
de citer les inscriptions que j'ai copiées sur les lieux
et d'y faire d'importantes corrections, dans la lecture
des noms propres de deux personnages: l'un qu'il
nomme avec plus d'exactitude que moi «le seigneur `
Parsman Ud RPbE PURPLE Khourtzidzé, au lieu du
barbare Pansaphia? Khartzadzé?)» Il rectifie égale-
ment de visu, une autre inscription du méme lieu, qui
m’avait échappé, mais dont le Musée asiatique possede
3) Voyage archéol. 2° Rapp. p. 133, 135.
i
: Bulletin de l'Académie Impériale
272
- une copie, communiquée par M® Pexarque Evgéni, et
dont le vrai nom est «L'abbé Gabriel Khourtzidzé. »
Rien ne se perd en fait de détails scientifiques re-
cueillis avec soin. A la fin de la Chron. géorgiemne,
publiée par la Soc. Asiatique de Paris, en 1830, j'ai
ajouté, sous le titre de Paléographie, la traduction du
texte autographié, aussi bien que j'ai pu le faire alors,
des notes manuscrites (npumiexm) d'un vieux Synaxaire
fruste, de la Grande Bibliotheque de Paris, notes qui
font foi que ce M” a appartenu au monastère de Thi-
sel- mob go — sous le vocable de la Mère de Dieu. Ces
notes renferment des agapes, fondées en faveur de plus
de 150 personnages ou familles, Botzo, Diasamidzé
et autres, dans des localités dépendant dudit monas-
tère. M. Bakradzé, dont la mémoire est tenace et l’es-
prit curieux, en lisant ces notes, y a reconnu sur-le-
champ la topographie et des habitants du Samtzkhé.
Il a questionné et bientôt appris que le monastère
d’où provient ledit Synaxaire, que je croyais être Trouso,
dans lOsseth, est situé à quelques verstes à l'E.
d'Atsqour; les anciennes cartes russes le nommaient
Tecexr, c'est la belle carte de 5 verstes au pouce an-
glais qui le nomme exactement Tucexr. Il est ‚bl
quelle quantité de renseignements de détails le voya-
-geur a tirés des notes du Synaxaire dont il s'agit, et
Dieu sait avec quel art il les met en œuvre, par la
‘comparaison avec les lieux et les personnages, souvent
inconnus, mentionnés sur les images du Gouria!
Les inscriptions lapidaires de la Géorgie sont géné-
ralement incisées ou taillées en profondeur, je n'en ai
trouvé en relief, qu'à Ourbnis, à Zakhor et dans une
localité du Somkheth. Les caractéres, composés de
. lignes droites, se prétent parfaitement à une grande
régularité de lignes, et sont d'autant plus beaux qu'ils
sont plus anciens, comme cela se remarque, si je ne
me trompe, dans les inscriptions romaines en lettres
onciales et dans les plus anciens monuments koufiques;
bien que remplies d'abréviations, elles se lisent assez
bien, parce que ces abréviations sont connues et ré-
gulières. Toutefois certaines inscriptions, comme celles
de la porte de la citadelle d’Atsgour — en lettres ci-
viles ou vulgaires— de l'église de Djroudch, en lettres
ecclésiastiques, sont de véritables griffonnages, qui
offrent à la lecture les plus grandes difficultés; il en
est de méme de celle de Nigoith, copiée par M. Ba-
kradzé, oü, avec la plus grande peine, le voyageur et
moi nous avons pu lire assez de mots pour nous con-
vaincre qu'il s'agit de la fondation d'une agape. Le
fait me rappelle une inscription que l'éminent anti-
quaire feu le général Bartholomée a copiée sur une
église à Orbeth, l’ancien Samchwildé. Un inconnu,
qui s'est évertué à la déchiffrer et à la transcrire sur
la pierre méme, en lettres vulgaires, en a perdu la
patience et termine son travail par une exclamation
bien accentuée: 996 vs(5s6o gert, no6epm!»
Quant aux inscriptions tracées sur les images, les
plus modernes sont généralement en lettres vulgaires;
les plus belles de cette catégorie se lisent dans les
églises de la Mingrélie. Pour les anciennes, elles sont `
en lettres ecclésiastiques, fort belles sur les images du
Samtzkhé -Saathabago et de la Mingrélie. Celles du
Gouria sont aussi en lettres ecclésiastiques, avec abré-
viations souvent insolites et trés propres à rendre im-
possible le déchiffrement sûr des noms propres d'hommes
et de lieux; et surtout avec des ligatures où l'œil a
bien de la peine à saisir la suite voulue des lettres.
M. Bakradzé a fait à cet égard de véritables tours de
force pour arriver à la divination des mots et du sens
des phrases, et je dois lui rendre justice, il y a presque
toujours réussi. Je citerai entre autres une magnifique
inscription copiée sur une image de l'église de Djou-
math, «qu'il ne croit pas que personne ait lue avani
lui.»
Je termine ce qui concerne cette partie de son
Compte-Rendu, en mentionnant son énumération des
richesses archéologiques de Chémokmed, divisées en
quatre sections: objets propres à cette église, objets
de Zarzma, puis des dépendances du Samtzkhé, enfin
ceux de diverses contrées qui ont trouvé un refuge
dans le Gouria, grâce à la prospérité dont jouissait
le pays.
Enfin le voyageur a encore examiné ici un livre de
Mémentos provenant du Souaneth, et un Goulani ou
E
recueil d'hymnes liturgiques, suivi d'un cycle pascal
complet, avec des notices historiques, dont j'ai eu
moi-méme l'occasion de faire usage, gráce à une copie
communiquée par M. Trjaskofski, que celle de notre
voyageur servira à contróler.
Le dernier morceau de cette 3* partie du Compte-
Rendu est un acte ayant servi à une ordalie ou épreuve
judiciaire par le fer rouge. Le papier de cet acte porte
l'empreinte du fer, qui y a causé une forte lacune,
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
274
fatale probablement au malheureux qui devait se jus-
tifier d'avoir causé la perte d'une famille chrétienne
vendue aux Turks, et cela en l'année 1811!
4) « Continuation d'excursions et recherches à Gou-
nébis- Car, Gomi, Bakhwi, Wanis-Ked, Baileth, Khidis-
Thaw, Erketh, Khew, Wan, Soureb, Nonéi-Chwili,
Kwémo-Kheth, Gamosatchinéboul, Oudabno, Matz-
khowar, Atzana, Nigoith, Boghleb, Djoumath, Basi-
leth, Tzikhé, Wachnar, Naomar, Bircnal; Appendice.»
Afin d'éviter les répétitions, je dirai seulement ici
que ce chapitre renferme 113 inscriptions, recueillies
surtout à Erketh, à Khew et au couvent considérable
de Djoumath ; une, singulière inscription chronologique,
à Ascana, ne sera pas facilement expliquée dans tous ses
détails. Le voyageur a examiné avec soin plusieurs Gou-
lani ou recueils d'hymnes; il a trouvé à Kwémo-Kheth
une Histoire de Géorgie inédite, copié en divers lieux
des documents nouveaux. Il donne de curieuses notices
sur les jeux qui accompagnent les fétes d'église;
mentionne, ce qui est une grande rareté, un M" géor-
gien en lettres capitales, à Oudabno; énumére, à No-
néis- Chwili jusqu'à 14 espéces de raisins, produisant
autant de sortes de vins, recherchés dans le pays pour
leurs diverses qualités; il fournit l'histoire, la généa-
logie et les apanages des éristhaws du Gouria, qui sont
des Charwachidzé émigrés d'Aphkhazie; s'étend éga-
lement sur les familles aristocratiques des Nacachidzé,
des Motsqobili-Chwili, des Gochadzé; sur les origines,
des Djaqel, ancétres des atabeks du Samtzkhé, et,
par les détails précis contenus dans des documents
authentiques, essaie de démontrer soit la descendance
des Gouriels, d'une famille Wardanidzé, venue du
Souaneth, opinion déjà émise par Wakhoucht, soit l'i-
. dentité, moins susceptible de démonstration, de l'ori-
gine des dadians de la premiere dynastie, et des Gou-
riels: il y a pourtant là quelque chose de trés spécieux,
quoique les belles et antiques images du couvent de
. Khophi se taisent à ce sujet.
Aprés avoir examiné ce qui a été écrit par M. Du-
bois de Montpéreux sur le prétendu Oudjenar, lis.
Wachnar — en géorgien gsdbs60, «pommeraie,» loca-
lité dont il a lui-méme levé un nouveau Plan et ex-
ploré la ruine dans les plus grands détails, notre
voyageur se déclare pour l'opinion que ce ne peut étre
l’antique Pétra, la forteresse qui a joué un si grand
róle dans l'histoife des guerres de la Lazique. Le Ns
Tome XXII.
d'étude. que j'ai fait de cette question de géographie
ancienne ne me permet pas d'avoir une opinion rai-
sonnée à ce sujet; mais en me guidant sur les indi-
cations byzantines, réunies dans les Memoriae popu-
lorum de Stritter, je m'en tiens à ce que j'ai dit dans
une Addition à l'Histoire de Géorgie, celle sur la La-
zique; or Pétra était sur le bord de la mer; ce qui
veut dire sans doute à une petite distance, dans une
vallée resserrée entre deux rochers, sur la gauche du
Phase. Ce dernier trait exclut le Dchorokh, sur la
gauche duquel on ne connait aucune forteresse ni
ruine de forteresse un peu importante, à qui il puisse
convenir. Procope a done voulu dire probablement
«dans le pays à gauche du vrai Phase ou Rion,» et quant
à une place réunissant une partie du moins des autres
conditions, la carte et le texte de Wakhoucht nous in-
diquent Kadjéthis-Tzikhé «la forteresse de Kadjeth,»
peut-étre «des braves,» en admettant l'étymologie ar-
ménienne pwp kadch, et les. cartes modernes portent
en effet, non loin du rivage, à mi-chemin entre Batoum
et Kobouleth, le fort de Tzikhé- ou Tzikhis-Dzir, qui
répond à l'emplacement de Kadjéthis-Tzikhé, peut-étre
la fameuse Kadchtha-Tzikhé, célébre dans le roman -
de l'Homme à la peau de panthére. Quant à l'Oudje-
nar de M. Dubois, n'en déplaise à ce respectable
voyageur, c'est une simple altération du Wachnar,
dont M. Bakradzé nous trace le Plan, et qui est la ré-
sidence actuelle d'un prince Dimitri Weeer ie
l'histoire ancienne n'est pas connue.
5) «Analyse des actes du Gouria; Appendices: fic:
simile des sceaux et signatures des Gouriels, et de
personnages tant ecclésiastiques que séculiers du pays, -
au nombre de 56; instruction donnée en 1777, par
le catholicos Maksimé Madchoutadzé, aux abbés d'Ou-
dabno et d'Erketh; arréts prononcés de 1818 à 1822
par les mdiwan-begs— sortes de chief-justice du Gou- |
ria, en diverses circonstances.»
Au moyen des actes en question, travaillés à nou-
veau — car précédement le voyageur avait déjà traité
le méme sujet — M. Bakradzé essaie de fixer d'une `
manière certaine la succession des Gouriels régnants, .
leurs rapports de parenté, leur descendance, les noms
de leurs épouses et les dates de leur avénement et de
leur mort: le tout est suivi d'uh Tableau généalogique,
qui devra avoir plus d'authenticité que ceux dressés
jusqu'à cette époque. Quant aux arréts des mdiwan-
18
Li
275 5
Bulletin de l'Académie Impériale
276
- begs, comme ils sont tirés de papiers officiels, ils pré-
sentent un état intéressant de la moralité du peuple
et de la justice publique durant les cinq années in-
diquées.
Tel est l'ensemble de la monographie archéologique
du Gouria, fruit de l'excursion de M. Bakradzé.
Quant à sa nouvelle tournée, il serait peu conve-
nable de fatiguer l'attention de l'Académie par une
analyse trop détaillée, par des discussions d'un carac-
tere trop spécial; car c'est pour ainsi dire à la loupe
qu'il a disséqué la contrée, objet de ses recherches. Je
me contenterai done d'un apergu rapide, insistant
seulement sur les détails qui me paraitront avoir plus
d'importance. |
Je dirai d'abord ce que c'est que le Gouria, puis
jexposerai la série des sujets traités dans le Compte-
Rendu soumis à la classe.
Le Gouria, la moins considérable des principautés
indépendantes, de race et de langue géorgienne, est
situé entre la mer Noire à l’O.; la ligne de faite d’où
= découlent les affluents gauches du Rion, au N.; le
Saathabago ou Akhal-Tzikhé, à l'E.; au S., l'Adchara
et le fleuve Dchorokh, limite du Lazistan: environ un
~ degré de latitude, entre les 41° et 42° parallèles, et
presque le double en longitude, avant le traité d'An-
drinople, qui a laissé à la Turquie la partie comprise
entre le Tchourouk-Sou et le Dchorokh, Tel qu'il est
aujourd'hui, au pouvoir de la Russie, le Gouria, ad-
ministrativement district d'Ozourgeth, renferme envi-
ron 60000 habitants. Richement arrosé par de nom-
breux fleuves et riviéres ou ruissaux, entrecoupé de
plaines prodigieusement fertiles, de foréts et de mon-
tagnes, il nourrit un peuple brave et gai, soumis à ses
maitres féodaux, et constitué vers la seconde moitié
du XV* s. en principauté occupant le 4° rang pour
la durée des régnes — 15 ans et 6 mois— dans la série
des états géorgiens, formés alors du demgmbrement
de la monarchie Bagratide.
Situé sur la mer Noire, á l’angle méme oü le ri-
vage de cette mer commence à se porter droit au N.,
le Gouria, si l'on en croit l'historien Abydéne, cité
par Moïse de Khoren, aurait reçu, au VII’ s. avant
J.-C., une partie des captifs hébreux enlevés par Na-
buchodonosor; ce qui n'a rien d'improbable, quand on
voit la nombreuse population juive de la Géorgie oc-
cidentale, et comme les Juifs sont nommés en armé-
nien Hrhéai, en géorgien Houria, il est assez attrayant
de chercher dans ce mot l'origine du nom qui nous
occupe. En tout cas cette étymologie est plus raison-
nable que celle alléguée par Wakhoucht, «Gouria, de
Gouriaoba ¿yéose-ds, tumulte, sédition,» car les Gou-
riens, tout vifs qu'ils sont, ne se distinguent pas par
une humeur querelleuse.
Le principal cours d'eau du Gouria, le Dchorokh,
est connu des anciens sous le nom grec d'Akampsis
«l'inflexible,» sans doute à cause de la rapidité de son
cours, sous celui de Boas ou Téléboas «le retentis-
sant,» chez les Byzantins, qui le font mal à-propos
descendre du N., bien qu'en réalité il tire sa source
des monts Pharangiens, au N. de l'Araxe. Il est re-
marquable que le nom de Dchorokh, insignifiant par
lui-méme, qui parait étre une simple onomatopée, se
retrouve presque lettre pour lettre dans celui du
Tchourouk-Sou, riviére qui arrose le petit district de
ce nom, et dans le Tcholok, l'un des petits affluents
droits du Natanéb, un peu au N. du précédent; or
Tcholok est la transcription littérale de l'arménien
zngsktuk Tchoghokhéli, signifiant «inflexible,» et pa-
rait être originaire ou dérivé de celui de l'Akampsis.
grec, dont le nom a pour ainsi dire une triple appli-
cation.
Quoi qu'il en soit, depuis l'an 1463 le Gouria, sous
22 princes Wardanidzé, d'origine souane et titrés
Gouriels, a fourni 341 ans d'existence, souvent glo-
rieuse, s'est allié aux dadians, aux rois d'Iméreth, aux
maitres d'Akhal-Tzikhé, aux rois de Karthli et de
Cakheth, a donné plusieurs catholicos à l'Aphkazie,
quelques rois à l'Iméreth, sans avoir fait, il est vrai, de
grands pas dans la civilisation, au sens moderne du
mot, mais aussi sans rester indifférent aux progrès de
l'intelligence. Le moment le plus glorieux de son his- `
toire est le VI”. s., quand Khosro- Anouchirwan et
Justinien se disputérent, durant dix ans de guerre, la
possession de la Lazique, dans laquelle le Gouria était
alors compris.
L'importance des nations dans l'histoire de l'huma-
nité ne se mesure point à l'étendue du territoire et au
nombre de la population, mais à la bonne organisation ` `
sociale, à la culture intellectuelle, au goût du bon et
du beau, à la valeur des caractéres. Le Gouria, gráce
à son féodalisme presque paternel, a su maintenir son
repos et son indépendance durant plus de trois siècles
277
des Sciences de Saint - Pétersbourg. _
et immortaliser le souvenir de ses aieux par des mo-
numents et surtout par des séries d'images religieuses,
de style byzantin, qui sont, avec ses nombreuses for-
teresses, les seuls reliques de son passé.
Si, comme j'en ai la confiance, l'Académie est satis-
faite du zèle et de l’habileté de son voyageur, elle
voudra bien, ainsi que je le propose, autoriser son
secrétaire perpétuel à témoigner sa haute approbation
et ses remerciements à M. Bakradzé et le recomman-
der à la bienveillance particulière de ses supérieurs
immédiats. Le Rapporteur lui-méme, aprés le plaisir
qu'il a éprouvé à lire ce beau travail, aura celui de
voir ses efforts couronnés de succés, et la littérature
géorgienne enrichie d'un savant interpréte et d'un bon
livre de plus.
Die Pflanzenreste aus der Ursa-Stufe im Flussge-
schiebe des Ogur in Ost-Sibirien. Von J. Schmal-
hausen. (Lu le 9 mars 1876.)
(Avec 4 planches.)
An die Kaiserl. Akademie der Wissenschaften wurde
Wine Hon Eeer Lopatin eine Sammlung
bdrücken zugeschickt,
welche im Jahre 1873 aus dem Flussgeschiebe des
Ogur, eines Nebenflusses des Jenisei zur Linken, beim
Dorfe Ogur und theilweise im Dorfe selbst, im Kreise
- Atschinsk des Jeniseischen Gouvernements, 18 Werst
` vom Flusse Jenisei entfernt, aufgesammelt waren.
Dank der Freundlichkeit des Herrn Akademikers
Mag. F. Schmidt war mir die Bearbeitung des interes-
santen Materials überlassen worden.
Das Gestein ist ein grober Sandstein, der schon an
sich der Erhaltung von Pflanzenresten nicht günstig
zu sein scheint; ausserdem müssen die Stücke schon
. lange Zeit hindurch den Atmosphaerilien ausgesetzt
gewesen sein. Die Oberflüchen sind abgewaschen; die
auf denselben vorbandenen Pflanzenabdrücke gróssten-
theils undeutlich; alle Spuren organischer Substanz
Sind verschwunden. Nur ein Stück hatte noch eine
Kohlenschicht auf den Farnblattstielen. Sonst waren
. die Abdrücke durch keine besondere Fárbung von dem
Gestein unterschieden, mit Ausnahme des dichotomisch
verzweigten Cyelostigma-Stückes, welches sich durch
eine bláuliche Fárbung vom gelben Sandstein gut ab-
hebt. Dessenungeachtet war es doch móglich, eine
Anzahl von Überresten nüher zu bestimmen.
Der grósste Theil des Materials besteht aus Steinker-
nen von Knorrien-Stämmen, einigen grösseren Stamm- `
stücken und zahlreichen kleineren Bruchstücken. Das
Übrige sind Abdrücke, und zwar:
Von Calamiten sind nur einige Spuren vorhanden,
welche vielleicht auf Bornia radiata hinweisen.
Farne sind inzw ei unbestimmbaren Stammstücken
und zahlreichen Wedelstielen, welche wahrscheinlich.
zum selben Farn gehören, vorhanden.
An Lepidodendren i find: sich: der Erhaltungszustand
Bergeria in zwei von mir neu benannten Formen, Le-
pidodendron Veltheimianum nur als innere Rinde, also
zweifelhaft, L. Wiikianum Hr. in einem Aststück und
endlich ein Fruchtzapfen, den ich neu benennen
musste.
Wurzelfasern von Stigmaria fanden sich nur in ei-
nem Stück vor.
Cyclostigma Kiltorkense, von allen übrigen 'Pflan-
zenresten am charakteristischsten, und auch am schón-
sten erhalten, ist in zahlreichen Stücken vorhanden.
Die Anzahl der Pflanzen, die sich haben genauer
bestimmen lassen, ist also sehr gering. Nur Knorria,
Stigmaria, Lepidodendron Veltheimianum, L. Wiikia-
num und Cyclostigma Kiltorkense konnen zum Ver-
gleich mit den charakteristischen Pflanzen der For-
mationen in Betracht genommen werden.
Die Knorrien-Formen kónnen aber auch zu keinem
sicheren Urtheil, führen. In Westeuropa werden sie
freilich als für das Unter-Carbon charakteristisch an-
gesehen; bei uns geht Knorria aber unzweifelhaft wei-
ter hinauf und ist nicht selten im Kupfersandstein der
Permischen Formation. Stigmaria ficoides geht auch |
durch die ganze Kohlenformation und bis in die Per-
mische hinein. Lepidodendron Veltheimianum ist cha-
rakteristisch für das Unter-Carbon, geht aber auch `
höher in die productiven Schichten hinauf. L. Wii-
kianum ist eine Form, welche unlängst von O. Heer
beschrieben ist und bis jetzt nur auf der Büren-Insel
in der Ursa-Stufe gefunden. Cyclostigma Kiltorkense
ist charakteristisch für die Ursa-Stufe und bisher nur
in diesen Schichten in Irland und auf der Büren-Insel
gefunden.
Das Material scheint wol nicht E E zu sein,
um mit voller Sicherheit über die Formation, aus der
A
.. breitet sind,
; dius
` 4
d & "na d
Rulletin de l’Académie AGIS PRA
3290 —
die Geschiebe stammen, urtheilen zu kónnen. Das Ge-
sammte der vorliandenen Pflanzenüberreste weist auf
` Unter-Carbon. Cyclostigma ist aber ein Genus, das die
gewichtigsten Anhaltspunkte bietet; es ist bis jetzt
nur in den Schichten unter dem Bergkalk gefunden,
"welche von einigen Autoren zum Devon, von anderen
zum Unter-Carbon gerechnet werden und von Oswald
Heer mit dem Namen der Ursa-Stufe bezeichnet sind.
- Da die übrigen Pflanzenreste hiermit gut übereinstim-
men und auch in den Schichten der Ursa-Stufe ver-
so scheint mir die Annahme gesichert,
dass die in Rede stehenden Sandsteingeschiebe des
Flüsschens Ogur aus Schichten der Ursa-Stufe stam-
men. :
: Beschreibung der Formen.
Calamiteae.
Es sind nur einige Stücke vorhanden, an denen
eine calamitenartige Streifung der Oberfläche des Ab-
druckes zu bemerken ist. Sie sind durch parallele,
- aber unterbrochene, Längsrippen (Furchen entspre-
` chend) und durch eine feine Längsstreifung der Zwi-
- schenrüume ausgezeichnet. Es könnten diese Abdrücke
. auch von Knorrienrinde stammen, doch ist hier die
. feine Streifung regelmüssiger. Nach diesen undeutli-
. chen und zweifelhaften Spuren kann man wol das
Vorhandensein etwa von Bornia radiata im Materiale
micht verbürgen.
Filices.
Filieites Ogurensis Schmlh. T. I. Fig. 1 — 4. Fix
~ eaudice tereti, extra petiolorum basibus remotis, secun-
` dum Ela spiraliter dispositis, rugosis striatis, praedito.
. Das schönste Stück, 7 cm. lang und 4 cm. breit,
ist in Fig. 1 abgebildet. Auf der Aussenfläche des
Stückes sind die am Stamm herablaufenden Grund-
theile der Wedelstiele, in 13 Reihen geordnet, zu er-
kennen. Ihre Aussenfläche ist rauh von feineren Längs-
streifen und gróberen quer verlaufenden Strichen und
Gruben. Auf dem Querschliff Fig. 2 erkennt man
ziemlich deutliche klammerfürmige Spuren der. unter-
brochenen Sclerenchymscheide; vom Verhalten der
Gefüssbündel selbst ist leider nichts zu erkennen. Die
Wedelstiele sind schief abgebrochen und lassen keine
Regelmässigkeiten der Bruchstellen bemerken.
Würde das Stück regelmássige Narben der Basen
der Wedelstiele erkennen lassen, so hätte ich es zu
Cyatheopteris Schmp. gebracht. Jetzt lasse ich es unter
dem provisorischen Namen Fülicites, da es nicht un-
móglich ist, dass in der Zukunft auch die zugehórigen
Blattfláchen gefunden werden.
Ein Gesteinstück erwies sich beim Zerspalten von
8—12 mm. breiten Farnwedelstielen durchsetzt. Fig.
3 und 4 sind Abbildungen derselben. Sie sind etwas
geschlüngelt, mit erhabenem rippenartigem Mittelstrei-
fen und zeigen eine Längsstreifung und feine quere
Runzelung, zuweilen aber auch, wie bei dem Fig.3ab- —
gebildeten Stück, eine deutliche quere Streifung. Der `
Abdruck dieser Wedelstiele ist meist mit einer dicken
Kohlenschicht bedeckt. Die Stárke derselben ent-
spricht der Breite der Wedelstiel-Basen am Stamm- :
stück Fig. 1, so dass wol die vorhandenen Farnstámme
und Wedelstiele zur selben Form gehóren mógen.
Selagines.
Lepidodendron. T. II Fig. 1, 2, 3. T. III Fig. 1 b. .
1. Innere Rinde. Mehrere Rindenstücke sind vorhan-
den, welche sehr denen von Lepidodendron Veltheimi-
anum, wie sie von Goeppert (Uebergangsgebirge
1860 T. XXXXII Fig. 1 a und 1852 T. XXI Fig. 1)
und O. Heer (Pl. arctica, Báren-Insel T. VIII Fig. SE:
abgebildet worden, ähnlich sind. Auf einer etwas längs-
streifigen Oberfläche sieht man in regelmässigen Para-
stichen geordnete längliche Narben (Fig. 1, 2). |
Das Fig. 3 abgebildete Stück mag wol auch hier-
her gehören; die Narben sind breiter, fast oval und
mit einer unregelmässig begrenzten Grube versehen.
Diese Narben erinnern, an Sagenaria Bischofü Goepp.
(Römer, Beiträge ete. Palaeontographica III T. XIV
Fig. 7). y
II. Bergeria Presl.
Hierher gehórende Formen sind: |
B. angulata, rhombica et quadrata Presl. in Stern- `
berg, Vers. II 1838 p. 184 T. LXVIII Fig. 17, 18,
i9. :
B. rhombica Peisbmantol, Versteinerungen der
Bóhmischen Kohlengebirgsablagerungen 1874 p. 26.
Lepidodendron rhombicum et quadratum Schmp.
Traité de Palaeontologie végétale II p. 37.
Die Gattung Bergeria wird als provisorische ange- -
sehen und gehórt zu den Erhaltungszustünden der Lepi-
dodendren. Ich führe die 2 Formen als neue Arten auf,
weil ich sie unter den bekannten Bergeria- und Lepi-
Bullet d.TAcad Imp. d.sc T. XXL. | Schmalhausen: Ursa-Stufe Ost-SihiriensTaf. I
Schrisihausen del. Lith.uIvanson St.Petersburg.
Fig.d-4 Filicites Fig. 5. Lepidodendron, Rie. E. Lepidostrobus, Fig. 7-12. Cyclostigma.
EN
Bullet d l'Acad. Imp. dsc. XXI.
Schmaihausen del.
Aal epidodendron, Dn A P Bergeria Fig, 1,8 Knorria. Fig. 9 Stigm aria.
Lith.v. lvanson,St Petersburg.
bibiriens.
^
USt-
UDL
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Lith.v. Ivanson, St. Petersburg.
Schmalhausen del:
Knorria.
Tat IV.
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hausen: Ursa-Stuie
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Acad Imp. dar TAI
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Bullet.
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vanson
Lith.v. |
Schmalhausen del.
retersouré.
Knorria.
—
281 des Sciences de Saint- Pétersbourg. VP De Mi. 282 —
dodendron-Formen nicht unterbringen konnte. Da
beide Formen Rindenabdrücke von ausgewachsenen
Stämmen darzustellen scheinen, so halte ich es, der so
verschiedenartigen Anordnung der Blattpolster wegen,
am passendsten, sie getrennt aufzuführen. "Vielleicht
werden sie sich aber auch, wenn reichlicheres Material
vorliegen wird, als zu einer Art gehórig herausstellen.
Bergeria regularis, Schml. T. II Fig. 4, 5. B. cicatri-
cibus illis B. rhombicae simillimis, sed minoribus in
parastichas regulares dispositis , subquadrato-rhombeis,
angulis lateralibus obtusioribus, cicatricula infra apicem
ovali.
Es sind mehrere Stücke mit dem Abdruck der
Rinde vorhanden ; nur an einem (Fig. 5) ist auch der
Umriss der Blattpolster selbst mit den Narben erhal-
ten; an den übrigen sind nur die in regelmässigen
Bebes stehenden ovalen Narben vorhanden. Der Um-
riss der Blattpolster ist rl'ombisch mit abgerundeten
Seitenecken und spitzlicher vorderer und hinterer Ecke.
Die zwei am stürksten hervortretenden Parastichen
sind geradlinig begrenzt. Ihre Narben stehen in allen
Stücken in fast gleicher Entfernung von einander; in
den einen Parastichen auf 5, in den anderen auf 6 mm.
Das eine Rindenstück ist stark rauh und muss von ei-
. mer längsrissigen Rindenoberfläche stammen, sein obe-
res Ende ist stark verdrückt und wol deshalb ‚sind
die Narben hier weiter von einander abstehend.
Bergeria alternans. Schmlh. Taf. II Fig. 6. B. ci-
catricibus majoribus subquadrato-rotundis in parasti-
chas has regulares, illas irregulares, dispositis, cicatri-
cula infra apicem oblonga.
Das vorhandene Stück (Fig. 6) hat deutlich um-
schriebene Blattpolster. Diese sind bedeutend grósser
als hei der vorhergehenden Form. Die Blattpolster
der linksliufigen Parastichen reihen sich im Zickzack
aneinander, während die rechtsläufigen, am deutlich-
sten hervortretenden, von geraden Linien begrenzt
sind. Ihr Umriss ist fast quadratisch mit abgernnde-
ten Ecken; die Narben befinden sich in der oberen
Hälfte der Blattpolster und sind länglich; sie stehen
in der Entfernung von 10 mm. in den geraden Para-
stichen von einander ab.
IM. Lepidodendron (im engeren Sinne).
Lepidodendron Wiikianum O. Heer, Fl. arctica, Bá-
ren-Insel p. 40 T. VII Fig. 1 c., 2, T. IX Fig. 1.
Es ist nur ein ziemlich schlechtes und verdrücktes
Stück vorhanden (Taf. I Fig. 5), dessen Blattpolster
(im Abdruck) tief ins Gestein eingedrückt sind und
eine unverkennbare Ähnlichkeit mit den eitirten Ab-
bildungen zeigen. Das Stück stammt vielleicht von ei-
nem dünneren Aste; die Blattpolster stehen dichter
und sind etwas kleiner als die von O. Heer abgebil-
deten; auch lässt die grobe Gesteinsmasse keine Strei-
fung der Zwischenräume zwischen den Blattpolstern
erkennen. Letztere haben aber die Form der Blatt-
polster, wie sie O. Heer für L. Wiikianum abgebildet
und beschrieben hat. Sie sind rhombisch verkehrt ei-
förmig, nach unten verschmälert und daselbst undeut-
lich begrenzt; ihr oberer Theil tritt stärker hervor
und ist durch eine deutliche quer verlaufende Linie
abgegrenzt; diese Linie bildet entweder einen nach
vorn geöffneten Bogen oder einen Winkel, so dass. der
ganze vordere Theil der Blattpolster eine mehr weni-
ger rhombische Form hat. An dem bald abgerundeten
bald spitzlichen vorderen Ende der Blattpolster befin-
det sich eine quer ovale oder rundliche Narbe, an der
keine Nürbchen weiter zu erkennen sind. Die Entfer-
nung der Narben von einander beträgt in den deutli-
cher hervortretenden Parastichen 7—-8 mm.
IV. Fruchtzapfen.
Lepidostrobus gracilis Schmlh. Taf. I Fig. 6. L. cy-
lindraceus, millim. 10 crassus, centim. 5 longus, brac- _
teis in discum rhombicum dilatatis apicibus latis folia-
ceis. *
Auf einem Stücke befinden sich zwei Fruchtzapfen. `
Der best erhaltene Fig. 6 scheint das Ende eines Ga-
belastes zu bilden. Der Abdruck ist nicht sehr deut-
lich; am Aste kann man keine charakteristischen Blatt-
polster erkennen. Der Zapfen zeigt die Eindrücke et-
was von einander abstehender, rhombischer, Schilder, :
an denen die queren Diagonalen tiefer ins Gestein ein-
gedrückt sind und also einem Kiele der Zapfenschup-
pen entsprechen. Am äusseren Umriss des Zapfens,
namentlich gegen die Spitze hin, sieht man den un-
deutlichen Abdruck blattartiger Gebilde, welche den
.| Zapfen schuppenartig bekleidet haben mögen und in
die sich die Schuppen über ihren dickeren unteren
Theil fortgesetzt haben. Ein anderer Zapfen befindet
sich auf demselben Stück; er ist aber noch schlechter
erhalten und zeigt nur schmale in schiefen Reihen
— Bulletin de l'Académie Impériale
stehende Eindrücke, welche wol von den Aussenkie-
len der Schilder herrühren. '
- Am meisten erinnert der Zapfen an Lepidostrobus
Brongniarti Goepp. Uebergangsgeb. 1852 Taf, XXXIX
Fig. 2, 3 und an L. attenuatus Goepp. Perm. Form.
Taf. LII Fig. 4—7, Schimper, Palaeontologie II p. 64.
Die Schuppen stehen aber bei diesen Formen dichter
gedrüngt und es wird keine blattartige Verlüngerung
der Zapfenschuppen angegeben. |
Knorria Stbg.
Die Knorrien sind baumfórmige Stämme mit dicho-
tomischer Verzweigung und centraler Gefássachse (nach
Goeppert, vielleicht Holzkórper). Sie sind eylindrisch
UU oder an einigen Stellen rundlich oder spindelfórmig
angeschwollen. Die Aussenflüche ist von mehr oder
weniger dicht beisammen stehenden Blattpolstern be-
i EN deckt, welche am cylindrischen Stamm eiförmig-rhom-
bisch bis länglich und lineal-pfriemenfórmig, an den
angeschwollenen Stellen kiirzer werden und eine fast
runde warzenfórmige Gestalt annehmen. Die Blätter
müssen schuppenfórmig, lanzettlich bis pfriemenför-
. mig gewesen sein und bildeten die unmittelbare Fort-
setzung der Blattpolster. In den meisten Fällen wer-
- den die Blätter sich dachziegelartig gedeckt haben.
. Nach Zerstórung der Blattkissen tritt eine von lineali-
schen Narben lüngsgerippte Rinde zum Vorschein.
SM Unzweifelhaft zu Knorria gehórende Fruchtzapfen sind
noch nicht bekannt. Der untere Theil des Stammes
.geht nach Schimper in eine Stigmarienform über.
. Da lange Synonymenlisten schon vielfach von ver-
‚schiedenen Autoren gegeben worden sind, so móchte
ich dieses übergehen und führe nur die wichtigsten
der Schriften auf, welche mir zur Benutzung vorgele-
gen haben und auf die ich im Nachfolgenden verwei-
sen muss:
Sternberg, Flora der Vorwelt. Versuch I 1820.
- Goeppert, Gattungen fossiler Pflanzen 1841.
» fossile Pflanzen des Uebergangsgebir-
ges in Nova Act. XIV suppl. 1852 und
XIX 1860.
» fossile Pflanzen der Permischen Forma-
tion in Meyer, Palaeontographica Bd.
| XII 1864.
Roemer, Versteinerungen des Harzgebirges 1843.
» Beiträge zur geolog. Kenntniss d. nordw.
Harzgebirges in Dunker und Mey ér,
Palaeontogr. Bd. III 1854.
Kutorga, Beiträge zur Kenntniss d. org. Ueber-
reste des Kupfersandsteins am westl. Ab-
hange d. Ural. 1838. E à
Eichwald, Lethaea rossica. Bd. 1 1854.
Schimper, Traité de palaeontologie végétale T. II =
Lp 45. | |
O. Heer, Flora fossilis arctica, Büren-Insel p.41. —
Aus dieser Litteratur halte ich für nothwendig, noch |
Folgendes kurz vorauszuschicken : !
Schon bei Sternberg finden wir zwei Knorrien
als Arten unterschieden (K. imbricata u. K. Sellonii),
für deren Vereinigung sich später mehrere Autoren
ausgesprochen haben. Darauf wurde von Roemer,
Goeppert, Eichwald eine Reihe neuer Arten auf-
gestellt, welche dann, wenigstens theilweise, von Goep-
pert selbst wieder eingezogen wurden und auch bei `
Schimper grösstentheils unter K. imbricata vereinigt
sind. Während Goeppert Anfangs Knorria mit Coni-
feren verglich, brachte er sie, nachdem dichotomische
Verzweigungen beobachtet und eine centrale Gefüss- —.-
achse (?), von zum Stamm verhältnissmässig geringem `
Umfange, aufgefunden und von Goeppert auch be- 3
schrieben waren, zu den Selagines in die Nachbar-
schaft der Lepidodendren. Aber bald darauf wurde
von ihm auch die Selbstständigkeit der ganzen Gat- -
tung angefochten. Knorria würe nur ein Erhaltungs-
zustand von Lepidodendren (vorzüglich L. Veltheimia-
num); und dieser Ansicht schlossen sich manche For-
scher an. Bei Schimper und O. Heer finden wir ` 3
aber die Gattung Knorria noch als selbstständige be- - 4
stehen, obgleich és von O. Heer zugegeben wird, dass
gewisse Erhaltungszustánde von Lepidodendron Velthei-
mianum Knorrien-ähnlich sein können. Dieser letzte-
ren Ansicht glaube auch ich mich anschliessen zu
müssen.
Es liegen 40 Stück vor, mit einer Mannigfaltigkeit
der Blattpolsterform, wie sie wol schwerlich sonst
irgendwo in einer Sammlung vorhanden sein wird. Es
sind sämmtlich Ausfüllungsproducte, Steinkerne; so P
dass die Stammoberfläche convex und die Blattpolster
darauf erhaben erscheinen; theils über fusslange Stám-
me, theils kleinere Bruchstücke, entweder rundherum
oder nur von einer Seite mit den charakteristischen E.
des Sciences de Saint-Pétersbourg. — — :
Blattpolstern besetzt. Letztere zeigen solch eine Man-
nigfaltigkeit in ihrer Form, dass es mir nicht gelingen
wollte, verschiedene, streng von einander zu unterschei-
dende und unzweifelhaft zu verschiedenen Pflanzen
gehórende, Formen herauszuerkennen. Die Blattpolster
variiren vom Kreisrunden halbkugelig und fast warzen-
fórmig hervorragenden bis zum Pfriemenfórmigen;
und diese extremen Formen sind durch zahlreiche
Zwischenformen verbunden, von denen oft mehrere an
- ein und demselben Stammstück zu beobachten sind.
Es scheint darum am passendsten das Ganze unter
einem Collectivnamen zusammenzufassen.
Knorria imbricata Sternb. (erw.) T. II Fig. 7, 8.
T4H, ds IN,
Zur näheren Besprechung der Eigenthümlichkeiten
des Materials übergehand, bemerke ich, dass nur ei-
nige Stücke ganz abgebildet werden konnten; ausser-
dem habe ich verschiedene Blattpolsterformen von den
besterhaltenen Stücken dargestellt.
Ein Stammbruchstück hat grosse eirundliche Blatt-
polster, von denen T. II Fig. 7 eine Anzahl abgebil-
det ist. Die längliche mittlere Partie der gewölbten
Blattpolster ragt stärker hervor und scheint sich über
dasselbe hinaus in einen Fortsatz zu verlängern, wel-
cher sich nach oben hin verliert. Von abgebrochener
Blattspitze ist nichts zu bemerken. Die mittlere Par-
tie der Blattpolster mit dem Fortsatze könnte wol
der an den Stamm angedrückte Überrest des Blattes
selbst sein. Kleinere, aber den eben besprochenen ähn-
liche, Blattpolster hat das in Fig. 8 abgebildete Stück.
Die Blattpolster sind stärker gewölbt und zeigen lan-
zettliche Spuren der Blattflächen, welche hier deut-
licher hervortreten, als in Fig. 7. Abgebrochene Blatt-
spitzen sind auch hier nicht zu bemerken und schei-
nen die Blätter oder deren Überreste wie dort an
den Stamm angedrückt worden zu sein. Quer breitere
elliptische gewólbte Blattpolster zeigt das Stück, von
dem T. III Fig. 2 einige Blattpolster abgebildet sind;
sie sind klein, stehen dicht beisammen, ihre mittlere
Partie ragt am meisten hervor; am selben Stamm
gehen diese Blattpolster in längliche über. T.III Fig.
3 ist von einem fast Fuss langen Stammstück, wel-
ches in der Mitte kurze quer breitere und oben und
unten lüngere Blattpolster hat, an denen auch eine
elliptische Narbe zu sehen ist. Der Übergang ist ziem-
lich plótzlich, wie in der Zeichnung zu sehen. — Eine
Anzahl von Stammstücken kommt in der Form der
Blattpolster und deren Stellung theils mehr der K.
imbricata, theils mehr der K. princeps Goepp. nahe.
So auch das Stück, von welchem eine Anzahl Blattpol-
ster T. IV Fig. 2 abgebildet sind. Diese zeigen deut-
liche Spuren des Verhaltens der vorhanden gewesenen
und abgebrochenen Blätter an sich. Auf dem Rücken
der Blattpolster bemerkt man je einen ziemlich schar-
fen schmalen Eindruck, welcher von einer etwas hel-
leren Gesteinsmasse ausgefüllt ist. Diese Linien ver-
laufen der Länge nach so, dass sie mit ihrem unteren
Ende auf die Seitenkante eines entsprechenden wei-
ter unten stehenden Blattpolsters hinweisen. Ihr Ur-
sprung mag wol in dem Druck, den die dicht über
einander liegenden Blütter auf die Blattpolster verur-
sacht haben, gesucht werden. Das obere Ende der Blatt-
polster zeigt eine quer-schiefe Bruchfláche; an ande-
ren nicht gezeichneten Stellen desselben Stückes be-
finden sich auch Blattpolster mit spitzlichem Ende,
wie es von Goeppert für K. imbricata gezeichnet `
worden ist. Ein anderes, diesem sonst nahe kommen-
des, Stück hat rhombisch-lüngliche Blattkissen und
stimmt mehr mit K. princeps Goepp. überein. Zuwei-
len stehen die Blattpolster auch weniger gedrängt ;
dann erinnert das Stück mehr an K. Sellonü, wie je-
nes, von. dem die Blattpolster Fig. 3 abgezeichnet `
sind. — T. III Fig. 4 sind Blattpolster abgebildet,
welche der K. apicalis Eichw. T. XII Fig. 1 gleichen.
Es sind lánglich rhombische Blattkissen, welche oben
und unten spitz sind und am oberen Ende eine ellip- `
tische Narbe zeigen. Sie erinnern sehr an Lepidoden-
dron, namentlich L. Veltheimianum; müssen aber, der
vorliegenden Übergünge zur ausgesprochenen Knor-
rienform wegen, hier aufgeführt werden. Man ver-
gleiche nur diese Blattpolster mit denen T. III Fig. 5
dargestellten, welche oben und unten weniger spitz _
sind und nicht so dicht stehen; und dann letztere mit `
Fig. 3. — T. IV Fig. 4 sind Blattpolster einer ziem-
lich häufigen Form; dieselben sind lánglich, oben zu-
gespitzt und verlieren sich am etwas verschmälerten
unteren Ende; sie stehen weit von einander ab und ha- `
ben hie und da an ihrem oberen Ende auch eine läng-
lich-elliptische Narbe. Es ist eine der K. Schrammi-
ana Goepp. (1852 Taf. XXX Fig. 4) am meisten äh-
nelnde Form. An anderen Stücken sind dle Blattpol-
, Ster oben mehr allmählich zugespitzt und unten nicht i
-
287 —
- d
Bulletin de l'Académie Impériale
verschmälert, wie in Fig. 5. Sie entsprechen der K.
acutifolia Goepp. (Palaeontogr. III Taf. XIV Fig. 4).
Einige Stücke haben kleine linealische zugespitzte von
einander abstehende und hie und da an ihrem oberen
Ende eine längliche Narbe zeigende Blattpolster, wel-
che etwas an K. acicularis Goepp. erinnern; T. III
Fig. 6 ist von soleh einem Stück. — T. IV Fig. 6,
7, 8, letztere zwei von demselben Stück, entsprechen
der K. longifolia. Die Blattpolster sind linealisch dicht
stehend, bei Fig. 6 oben zugespitzt und mit länglicher
Narbe, bei Fig. 8 oben schief abgebrochen und in
Fig. 7 lang zugespitzt. Fig. 7 und 8 sind von einem
flachgedrückten Stammstück, welches grósstentheils
die Blattpolster wie Fig. 8 trügt und nur an einer
Stelle nahe der einen Kante die Blattpolster von Fig.
A^ zeigt. Letztere sehen aus, als wären es die unver-
gehrten Blätter selbst; auch ist an ihnen oft weder
Narbe noch Bruchstelle zu erkennen.
Ein interessantes Stammstück konnte auf den Ta-
feln keinen Platz finden. Sein oberer Theil ist rund-
lich angeschwollen. Es ist 15 cm. lang, unten 7 und
oben in der Anschwellung fast 10 cm. breit. Seine
untere Hälfte ist nahezu cylindrisch und hat lángliche
= Spitzliche Blattpolster, an deren oberem Ende hie und
. da eine ovale Narbe zu erkennen ist. Die Anschwel-
lung des Stammes tritt in der Mitte des Stückes plótz-
-lich ein. Wo die Anschwellung beginnt, verändert sich
auch die Form der Dlattpolster, sie nehmen an Lünge
ab und werden breiter, gehen erst ins Rundliche, dann
rasch ins Querelliptische über. Über der Mitte der
. Anschwellung nehmen die Blattpolster wieder an Breite
ab und sind am oberen Theil desselben wieder láng-
lich. Ein anderes interessantes Stück ist T. III Fig. 1.
Dies Stammstück schwillt zur Mitte allmählich spin-
delfórmig an. Es ist über 23 cin. lang, am unteren
Ende 5, am oberen 6'/, und in der Mitte der Anschwel-
lung 9 cm. dick. Die Blattpolster stehen am unteren
Ende des Stammes wenig dicht; sie sind hier länglich-
eifórmig spitzlich, werden aber mit beginnender Brei-
tenzunahme des Stammes kürzer, eirund und zur Mitte
des Stammes rundlich gewólbt, bei c. sogar warzenar-
tig rund mit stárker hervorragender Mitte. Mit ab-
nehmender Anschwellung werden die Blattpolster wie-
der schmáler und lánger; am oberen Ende des Stamm-
.. stückes sind sie lineal-lánglich in steilen Parastichen
dicht gedrängt. Bei b ist der Stamm beschädigt, die äus- |
Pa r p she p 1
sere
Stelle mit weit von einander abstehenden länglich-li-
nealischen Narben zu sehen; wegen der weit abstehen-
den kürzeren Narben kann dies Rindenstück nicht zu
Knorria gehören und muss wol durch die Ausfüllungs-
288 —
‚und eine glatte `
masse zufällig in den Knorrienstamm hineingerathen ` `
sein. Es scheint zu Lepidodendron Veltheimianum zu
gehóren. An diesem Stamm sehen wir die Blattpol-
ster verschiedener Formen: der untere Theil trägt
die Blattpolster von K. polyphylla Roem., der mittlere
die von K. Jugleri und oben haben wir K. imbricata.
Das obere und untere Ende eines anderen Pracht-
stückes der Sammlung ist T. IV Fig. 1 abgebildet.
Der Stamm ist 40 cm. lang, oben 7 und unten 12 em.
breit. Vom breitesten unteren Ende nimmt er allmäh-
lich nach oben hin an Breite ab. Die Blattpolster sind
am ganzen Stamm ziemlich gleichfórmig, dicht stehend,
sie nähern sich denen von K. imbricata Strbg. und ha-
ben eine lánglich-linealische Form mit zugespitztem
oder oben abgebrochenem Ende. Am zugespitzten En-
de kann man hie und da eine längliche Narbe bemer-
ken. Die Blattpolster an der Spitze des Stammstückes
sind stärker gewölbt und ragen mehr über die Stamm- |
oberfläche hervor als die übrigen. Ganz besondes fällt
aber der untere Theil des Stammes in die Augen; die -
Knorrienblattpolster scheinen hier von einer äusseren `
Rindenschicht überlagert zu sein, deren Aussenfläche
von linienfórmigen Narben rauh, fast rissig, aussieht.
Diese Rinde umgiebt den unteren Theil des Stammes ` | |
ganz ebenso auch von der entgegengesetzten, nicht d
gezeichneten, Seite. An der linken Seite des Stammes
ragt die Rindenoberfläche weiter hinauf und ist durch
eine dickereGesteinsschicht von der Knorrienoberfläcke
abgehoben; sie bildet hier einen hervorragenden Kiel.
Rechts wird diese Gesteinsschicht weniger dick und
die Rindenoberfláche ist an der rechten Kante ganz
unterbrochen. Dass das Rindenstück demselben Knor- `
We E
rienstamm angehört ist wol nicht zu bezweifeln, seine
auffallende Lage wird uns aber veranlassen, noch ein-
mal darauf zurückzukommen. Das obere Ende des
Stammes zeigt von der entgegengesetzten Seite eine ;
nach oben sich vertiefende Längsfurche, als bereite `
sich eine dichotomische Verzweigung vor; da aber an
der gezeichneten Seite keine Spur hiervon zu bemer-
| ken ist, so könnte die Furche auf der anderen Seite — .
¡auch zufállig entstanden sein.
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
An einem anderen nicht abgebildeten Stammstück
sind auf der einen Seite Knorrienblattpolster, auf der
anderen eine Rinde wie am unteren Theil des Stam-
mes T. IV Fig. 1 zu sehen. Das Stück ist aber weni-
ger gut erhalten; doch scheint auch hier die Rinden-
oberfläche die Knorrienpolster zu überlagern.
Das obere Ende eines sonst schlecht erhaltenen
Stammstückes mit Knorrien-Blattpolster ist T. III
Fig. 7 abgebildet. Man sieht, dass hier ein Rinden-
stück mit linealischen Narben innerhalb der Aussen-
fláche mit den Knorrien-Blattpolstern liegt; wegen der
zur Lángsachse des Stammes schiefen Lage des Rin-
denstückes kann man nicht urtheilen, ob es demsel-
ben oder einem anderen Stamm angehórt und also zu-
fallig mit dem Ausfüllungsmaterial hineingerathen ist.
Fig. 8 ist das untere Ende eines Stammstückes, wel-
ches auf seiner Oberflüche die gerade nicht schón er-
haltenen Blattpolster von K. imbricata zeigt. Bei b
fehlt die üussere Schicht der Gesteinsmasse, und es
scheint eine tiefere Gewebeschicht des Knorrienstam-
mes, vielleicht die Oberfläche des Holzkórpers, freizu-
liegen. Diese Stelle hat, der, einander parallel verlau-
fenden, geschlängelten Längsfurchen wegen, ein ris-
. siges Aussehen; die Entfernung der Furchen von ein-
ander entspricht der Breite der Blattpolster bei a.
In dem Vorhergehenden habe ich die Mannigfaltig-
keit in der Form der Blattpolster betrachtet, den
Übergang derselben am selbigen Stamm aus dem Lang:
lichen ins Eifórmige und Rundliche warzenfórmige er-
làutert und rundlich-spindelfórmige Anschwellungen
des Stammes, welche vielleicht auf ein periodisches
Wachsthum hinweisen, beschrieben.
Ferner haben-wir unzweifelhaft hierher gehörende
Rindenstücke gesehen und T. III Fig. 8 wahrschein-
lich die Oberfläche des Holzkörpes (wie auch bei
Goeppert, Gatt. foss. Pfi. III T. II Fig. 3). Über das
natürliche Verháltniss der Rinde zur Knorrienober-
fláche konnte ich nach dem mir vorliegenden Mate-
rial nicht ins Klare kommen.
Schliesslich muss ich übrigens auch noch bemerken,
dass ieh keinesfalls davon überzeugt bin, im Vorher-
gehenden nicht Verschiedenartiges zusammengeworfen
zu haben. Ich konnte nur in dem besprochenen Knor-
rienmaterial keine naturgemässe Trennung durchführen
und hielt es deshalb fürs Beste, Alles beisammen zu
lassen. Vielleicht wären die Stämme, welche von un-
Tome XXII.
*
ten nach oben allmáhlich an Dicke abnehmen und ziem-
lich konstante Form der Blattpolster besitzen, von
denen mit Anschwellungen und veránderlichen Blatt-
polstern zu trennen.
Cyelostigma Kiltorkense Haught. T. I Fig. 7—12.
Haughton, Annals and magazine of nat. hist. Vol.
V Series III p. 444.
O. Heer, Flora arctica, Báren-Insel p. 43 T. XI.
Schimper, Traité de Palaeontologie III p. 540.
Es ist eins der häufigeren Fossilien vom Ogur. Ein-
zelne Gesteinsstücke sind von den 6—7 mm. dicken
Steinkernen von Ästen, die wahrscheinlich von die-
ser Pflanze stammen, sch allen Richtungen durch-
setzt. An ihnen ist leider nichts von Blattansatzstel-
len zu erkennen, weder an den Steinkernen (z. B. der
in Fig. 7 abgebildete) noch an den Abdrücken der
Äste. Nur einen Ast gelang es mir freizulegen, an
dem man mit genügender Deutlichkeit die Cyclostig-
ma-Warzen und hie und da auch noch die Basen der
Blütter selbst erkennt. Der gabelspaltige Ast ist in
Fig. 8 abgebildet. Die beiden Gabeläste liegen an ih-
rem Grunde dicht an einander; eine tiefe enge Spalte
trennte sie. Der wohlerhaltene Steinkern des Astes
hat etwas erhabene rundliche Wárzchen, die spiralig
angeordnet sind und um 5—10 mm. von einander ab-
stehen. Die Wärzchen sind 2—3 mm. breit und zei-
gen in ihrer Mitte oder etwas nach oben excentrisch
ein, weniger als 1 mm. breites, rundes Nürbchen. Die
Oberfläche zwischen den Wärzchen zeigt eine feine
Runzelung. An dem Abdruck erscheinen natürlich die
den Warzen entsprechenden Stellen mit dem Nárb-
chen vertieft. An der Seitenumgrenzung des Abdrucks
und, wo der Steinkern noch vorhanden ist, in der ihn
umgebenden Gesteinsmasse, bemerkt man hie und da,
an Stellen, welche in die von Wärzchen gebildeten
Parastichen fallen, deutliche Spuren der Blattbasen.
Wie bei anderen Lycopodiaceen, muss sich auch hier
eine Verzweigung der Áste schon lange vor der ein-
tretenden Dichotomie vorbereitet haben. Es sind ziem-
lich lange Aststücke vorhanden, welche auf einer Seite
eine Längsfurche zeigen, wie Fig. 7.
Abdrücke von Rindenstücken älterer Stämme, wel-
che eine unverkennbare Ähnlichkeit mit O. Heer's
Abbildung T. XI Fig. 3 zeigen, sind in mehreren
Stücken vorhanden. Am in Fig. 9 abgebildeten Stück
19 |
Bulletin de l'Académie Empériale
`
ist die Rindenoberfläche durch wellige Längsfurchen
in unregelmässige (oft länglich-rhombische, in Fig. 11
und 12 vergrósserte) Felderchen getheilt und erscheint
runzlich. Die Wárzchen sind auf diesem Stück nicht
zu bemerken; die Nárbchen, als rundliche Erhaben-
heiten, auch nicht überall deutlich. Sie bilden regel-
mássige Parastichen und stehen um 6—12 mm. von
einander ab in den am deutlichsten hervortretenden
Reihen.
Ein anderes Stück ist Fig. 10 abgebildet. Die Run-
. zeln und Furchen der Rindenöberfläche sind an ihm
mehr gestreckt, sanft geschlängelt; die erhobenen Fel-
derchen linealisch etwas wellig. Hie und da, aber nicht
- überall, kann man die rundlichen Eindrücke der Wárz-
chen und in deren Mitte oder excentrisch ein rnndes
Nárbchen erkennen. Die Würzchen mit den Nürbchen
sind ziemlich undeutlich und fehlen in den Parastichen
theilweise, so dass letztere an manchen Stellen unter-
brochen und nicht ganz regelmässig erscheinen.
Stigmaria ficoides Strnb. Taf. II Fig. 9.
Ein Gesteinsstück ist von cylindrischen federkiel-
dicken Gebilden in verschiedener Richtung durch-
‚setzt, welche sehr mit den Wurzelfasern der Stigma-
ria ficoides übereinstimmen. Die eine Bruchflüche des
Stückes ist in Fig. 9 gezeichnet. Bei a sieht man auch
das centrale Gefässbündel einer Wurzelfaser.
mms
Vorläufiger Bericht über die Resultate mikroskopi-
Scher Untersuchungen der Futterreste eines sibi-
rischen Rhinoceros antiquitatis seu tichorhinus. Von
J. Schmalhausen. (Lu le 9 mars 1876.)
Eine Reihe von Thatsachen über die Bestandtheile
der Futterreste der Rhinoceroten und die daraus ge-
‚zogenen Folgerungen sind bereits vom Herrn Akade-
miker J. F. Brandt mitgetheilt worden. (Monatsbe.
richte der Berliner Akademie 1846 p. 234; Mélanges
biologiques T. VII p. 420, 421 mit Anmerk. 17u. 19,
Vergl. auch p. 425— 436; Monographie der Ticho-
rhinen p. 46, 47). Er selbst hatte Theilchen von Co-
niferen und ein Friichtchen nachgewiesen; C. A. Mever
fand ein Ephedra-Früchtchen; Mereklin bestimmte
Salicineenholz. Die Benutzung der Beobachtungen des
Herrn Akademiker Fr. Schmidt, dass in den Lehm-
und Sandschichten, in welchen die Mammuthreste von
der oberen Gyda am See Jambu gefunden wurden,
auch Zweige und Blütter von Betula nana, Salix glauca
und herbacea und Wurzelstücke von Larix vorhanden
waren, und die Angabe, dass die Baumgrenze in
Sibirien in der neueren geologischen Zeit zurückge-
gangen sei, bestärkten Herrn Akademiker Brandt
in der Annahme, dass die Rhinoceroten und Mammu-
the in Nord-Sibirien an den Orten, wo ihre eingefror-
nen Leichen gefunden werden, lebten und dort sich
von Pflanzen, die noch jetzt in Nord-Sibirien verbreitet
sind, ernährten. Die folgenden Zeilen bringen neue
Belege für diese Ansicht.
MET
S gl
m e E
iv Da
Das Material, welches mir zur Verfügung gestellt `
wurde, ist eine schwarz - braune Krume, die aus den
Hóhlungen der Záhne eines Rhinoceros des Irkutski-
schen Museums herausgeholter Futterreste besteht,
und von den Herren Tscherski und Dybowski
Herrn Akademiker Brandt übersandt wurde.
ausführlichere Behandlung des Gegenstandes für künf-
Eine.
tige Zeit aufschiebend, gebe ich in den folgenden i
Mittheilungen eine kurze Übersicht der bis jetzt aus
diesem Material gewonnenen Thatsachen.
Um von vorn herein etwaiges Misstrauen gegen die
Überreste als Rhinoceros-Futter abzuwehren, bemerke
ich, dass sie das Aussehen und die Beschaffenheit alter, |
längere Zeit hindurch einer Maceration ausgesetzt ge- `
gewesener, vegetabilischer Substanz besitzen.
zarteren parenchymatischen Gewebetheile sind, wenn
nicht vóllig zerstórt, so doch unkenntlich. Nur die
resistenteren verholzten und cuticularisirten Gewebe-
Mit
Kalilauge geben sie eine tief braune Flüssigkeit. Die
theile (Gefässbündel und Cuticulaschicht der Epi- `
dermis) zeigen mehr oder weniger deutliche Struktur.
Die Holzstücke haben meist verdünnte Zellwände; der
Umriss und Bau der Zellen ist oft verschwommen und
undeutlich; bei den Nadelhólzern ist die bekannte spi-
ralige Streifung sehr deutlich und wohl durch Aufló- .
sung eines Theils der Substanz der Zellmembranen
verstärkt. — dies sind Eigenschaften, welche dem
Pflanzenanatomen aus übermacerirten Objecten be-
kannt sind. Kurz, die Futterreste müssen lange Zeit `
hindurch einer Maceration ausgesetzt gewesen sein.
Dies scheint aber die Annahme zu rechtfertigen, dass `
es wirklich Futterreste und nicht zufällig in die Hóh-
lungen der Zähne hineingerathene Pflanzentheile sind.
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
Der grósste Theil der Krumen besteht aus Blatt-
resten, dazwischen hie und da Stengelstücke. In einem
sehr sandigen Stück waren einige Diatomeen. Einen zur
Gattung Hypnum gehórigen Blattfetzen will ich auch
nicht unerwähnt lassen.
Stengelstücke monocotylischer Pflanzen und
Blattstücke derselben, wahrscheinlich von Grami-
neen, sind am häufigsten vorhanden. Ohne auf nä-
here Betrachtung derselben einzugehen, bemerke ich,
dass manches schöne Epidermisstück zum Vorschein
kam mit in die Länge gestreckten Zellen und in Reihen
geordneten Spaltöffnungen, wie es bei Monocotylen der
Fall ist. Einige Epidermisstücke haben wunderschón
geschlüngelte Seitenwandungen ihrer Zellen und stam-
men wohl unzweifelhaft von Gräsern.
Blattreste monocotylischer Pflanzen sind mit denen
dicotylischer in geringerer Menge untermischt.
Ihrer Zartheit wegen sind sie aber schlecht erhalten.
Hie und da fand ich ein Fetzchen, an dem keine Epi-
dermis mit Spaltöffnungen zu erkennen war, dessen
Gefüssbündel aber ein wohl erhaltenes Maschennetz
bilden. Ein Blattstück ist verhältnissmässig dick, hat
einen umgerollten Rand und anastomosirende bogen-
läufige Adern, — es muss von einer Ericacee, am
ehesten von Vaccinium Vitis Idaea stammen.
Coniferen sind in Blattfetzen mit in Reihen ste-
henden Spaltöffnungen und unter der Epidermisober-
fläche liegenden Schliesszellen vorhanden. Wichtiger
aber sind die Holzstücke; — dies sind grösstentheils
Stücke dünner, junger Äste, nur einige Stücke liessen
mehrere, nur eins 10 Jahresringe erkennen.
Picea (obovata?). Harzgänge häufig, in den Jahres-
ringen zerstreut; an einem Aststück fällt deren Menge
auf, indem sie dicht gedrängt ganze concentrische
Ringe bilden (bei P. excelsa sind die Harzgänge lange
nicht. so zahlreich). Auf radialen Schnitten sind die
ziemlich dicht stehenden, mässig kleinen, meist in zwei
Reihen geordneten Tüpfel der Markstrahlen zu be-
achten. Die umhöften Tüpfel der Holzzellen stehen
ziemlich dicht.
Abies (sibirica?). Harzgänge im Holze nicht vor-
handen; an einigen Stücken fand ich horizontal in den
Markstrahlen verlaufende Harzgänge. Das Holz ist
lockerer, besteht grösstentheils aus weiteren Zellele-
menten als bei der vorigen Holzart und ist vom Mace-
rationsprocess stärker verändert. Die Tüpfel der Mark-
strahlen stehen auch in 2 Reihen, sie stehen aber viel -
weiter von einander ab und sind etwas kleiner, als bei
der vorigen.
Larix (sibirica?). Das Holz auf dem Querschnitt
meist weniger regelmissig gebaut als bei den vorigen.
Harzgänge häufig, sie befinden sich aber meist nur im
Herbstholze. Auffallend ist die Menge des Holzparen-
chyms, namentlich im Herbstholze. Die Markstrahl-
zellen sind breiter als bei den vorigen. Ihre Tüpfel
sind grósser (noch etwas grósser als bei Picea) und
stehen dichter, so dass nicht selten drei Tüpfel auf den
kleineren Durchmesser der Markstrahlzelle zu stehen
kommen; der Zwischenraum zwischen den Tüpfeln er-
reicht oft nicht die Breite des Tüpfels. Die umhóften
Tüpfel der Holzzellen stehen dicht. Meist fand ich
letztere nur in einer Lüngsreihe und nur hie und dà
zwei Tüpfel neben einander geordnet (für Larix wer-
den die Tüpfel der Holzzellen in zwei Reihen ange-
ordnet beschrieben, dünnere Áste haben aber, wie ich
mich selbst an desque Material überzeugt habe, ge-
wöhnlich nur eine Tüpfelreihe).
Gnetaceen. Zwei dünne Aststücke wurden ge-
funden, welche den unverkennbaren Bau des Ephe-
draholzes zeigen. An Querschnitten fallen die zwi-
schen den engeren eingestreuten, grösseren, eckigen
Zelllumina auf. Auf Längsschnitten erkennt man die,
verhältnissmässig zu denen der Coniferen, kleineren und
auch an den Aussen- und Innenwänden der Holzzellen
vorhandenen umhöften Tüpfel. Die weiteren gefässarti-
gen Zellen haben an ihren zugespitzten, auf einander
stossenden, Enden meist nur eine Löcherreihe.
CERE ME een. Nur ein Holzstück, verhältniss-
mássig schlecht erhalten, zeigt den Bau des Birken-
holzes. Die Gefässe stehen in Gruppen neben einander;
ihre Seitenwände sind von ganz feinen, punktförmigen
Tüpfeln dicht bedeckt; an den einander zugekehrten
Wänden benachbarter Gefässe sind letztere leiterfór- `
mig durchbrochen. Die Markstrahlen sind 1 — 2rei-
hig. — Unter den Holzarten, welche mir zur Hand
waren, hat es die meiste Ähnlichkeit mit dem strauch-
artigen Birkenformen, namentlich mit dem von B.
fruticosa.
Salicineen, Eine der heulen Holzarten de
Materials. Die Gefässe sind sehr zahlreich im Holze
zerstreut; ihre Seitenwandungen von dicht stehenden
mássig grossen, polygonal-umgrenzten T bedeckt;
295
Bulletin de l'Académie Empériale
die Glieder der Gefüsse an den Enden von einem run-
den Loch durchbrochen. Die Markstrahlen sind ein-
reihig.
Bezweifelt man auch die Móglichkeit, Pflanzen allein
nach dem schlecht erhaltenen Holze und nach dem
Bau der Blattepidermis genau artlich bestimmen zu
kónnen, so scheint doch als unzweifelhaft aus dem
Vorhergehenden zu resultiren, dass sämmtliche Reste,
die bis jetzt aus dem Rhinoceros-Futter zum Vor-
schein gekommen sind, sich auf nordische und sogar
jetzt theilweise noch im hohen Norden verbreitete
Pflanzen ungezwungen zurückführen lassen, ein Re-
sultat, welches mit den oben schon erwühnten An-
gaben vollkommen übereinstimmt.
Über den vermeintlichen Procyonbegleiter. Von
0. Struve. (Lu le 4 mai 1876.)
In X 2080 der Astronomischen Nachrichten ist
durch Admiral Davis Bericht érstattet über die Be-
- mühungen, welche sich die Washingtoner Astronomen
gegeben haben, um, mittelst des dortigen 26-zólligen
Refractors, das Object zu erkennen, welches ich seit
dem Frühjahr 1873 wiederholt als Procyonbegleiter
gemessen habe. Im Herbst 1873 und Frühjahr 1874
sind ihre Bemühungen ganz vergeblich gewesen, da-
gegen wurde im November 1874 die Existenz eines
Begleiters vermuthet, welcher jedoch bei nahezu glei-
cher Distanz vom Hauptsterne, wie ich sie für das von
mir beobachtete Object gefunden hatte, im Positions-
winkel beiläufig um 50^ von letzterem abwich, also
mit demselben nicht identisch sein konnte. Endlich
ist im Januar 1876 an 3 Abenden von einigen Beob-
achtern in Washington mit im Allgemeinen befriedi-
gender Übereinstimmung das im November 1874 ver-
muthete Object wiedererkannt; zugleich aber auch die
Existenz von noch zwei anderen Trabanten, welche bei
nahezu gleicher Distanz unter beilüufig 20? auf beiden
Seiten von dem ersten abstehn sollten, als sehr wahr-
scheinlich bezeichnet. Das von mir gemessene Object
ist, trotz der augenscheinlichen Güte des Washingtoner
Refractors und seiner unzweifelhaft bedeutend grós-
seren Lichtstárke, in all den drei Jahren von keinem
dortigen Beobachter erkannt.
Ob und welche Existenzberechtigung die neuer-
dings in Washington wahrgenommenen Bilder haben,
darüber werden sich die dortigen Astronomen ver-
muthlich selbst noch weiter aussprechen. So wie die _
Beobachtungen vorliegen, geben sie noch allerhand Be-
denken Raum. Dagegen ist das negative Resultat in
Betreff des von mir wahrgenommenen Objects gewiss
von sehr grossem Gewichte. Das Missglücken jedes
Versuchs am Washingtoner Refractor jenes Object zu
erkennen, musste mich von Anfang an zweifeln lassen,
ob dasselbe, trotzdem dass es nach meinen Messungen
von 1873 und 1874 sowohl in Betreff des Orts wie der
Ortsveránderung so vortrefflich der Auwers'schen
Theorie über den die eigene Bewegung des Procyon
stórenden Kórper entsprach, ein wirklicher Satellit
oder nur ein Trugbild sei. Den Wunsch oder vielmehr
das Bedürfniss, meine Beobachtungen durch andere
Beobachter, an andern Orten und an andern Instru-
menten bestätigt zu sehn, sprach ich selbst damals aus,
als im Frühjahr 1874 die merkwürdige Übereinstim-
mung meiner Messungen mit den Forderungen der
Theorie es mir als ein geflissentliches Verläugnen der
Wahrheit hátte erscheinen lassen müssen, wenn ich
nicht meinen Glauben an die Identitát des von mir
beobachteten Objectes mit dem die eigene Bewegung
des Procyon stórenden Kórper bekannt hátte. Ebenso
sehr habe ich aber jetzt Veranlassung, den Zweifeln
Ausdruck zu geben, welche jenen Glauben neuerdings
sehr erschüttert haben, indem, ganz unabhángig von
der Amerikanischen Negation, eigene Beobachtungen
aus den letzten zwei Jahren auffallende Disharmonieen
kundgegeben haben und in den jüngsten Tagen Wahr-
nehmungen hinzugetreten sind, welche sogar Andeu-
tungen bieten über den Ursprung der Täuschungen,
denen meine Beobachtungen oder vielmehr die Schluss- -
folgerungen aus denselben ausgesetzt gewesen sind. Wie
die Sache jetzt steht, bin ich sehr geneigt zuzugeben,
dass ein merkwürdiges Zusammentreffen von Umstán-
den, trotz der Zuverlüssigkeit der Beobachtungen an
sich, mich zu einer Selbsttäuschung geführt hat, auf
welche hinzuweisen um so lehrreicher sein dürfte,
da dieselbe durch Erscheinungen hervorgerufen ist,
denen vielleicht noch nicht eine genügende Beachtung
geschenkt ist.
Trotzdem dass ich im Frühjahr 1875 an die Beob-
achtungen des Procyon mit der zuversichtlichen Erwar-
tung ging, den Begleiter in der nun schon nüherungs-
weise bekannten Richtung zu finden, wollte es mir an
297
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
mehreren Abenden gar nicht glücken, ihn zu erkennen
An 3 Abenden hatte ich jedoch einen hinlünglich
scharfen Eindruck von demselben, um Messungen ver-
suchen zu kónnen, welche mir im Mittel, nach Anbrin-
gung der systematischen Correctionen, für 1875,26
P= 105,2 ergaben, während Herr Lindemann den
Begleiter durchweg viel sicherer zu erkennen glaubte
und mit grosser Übereinstimmung P= 10433 fand.
Deuteten nun zwar diese Richtungen ein Fortschreiten
des Begleiters im erwarteten Sinne an, so glaubte ich
doch den Beobachtungen kein grosses Gewicht beilegen
zu dürfen, weil ich selbst im Tagebuch an allen 3 Aben-
den meine Messungen als unbefriedigend bezeichnet
hatte.
Im laufenden Jahre hatten wir hier im Márz nur
einen einzigen leidlich günstigen Abend und auch an
diesem konnte ich nichts von einem Begleiter wahr-
nehmen. Am 2'" April dagegen zeigte er sich mir
sehr deutlich, und ich erhielt aus drei Sátzen von Mes-
sungen, die mir durchweg als zuverlüssig erschienen,
successive die Positionswinkel 10074, 10750 und
10555, im Mittel also 10453, wozu für die systema-
tischen Correctionen noch 279 hinzukommen müssten.
An demselben Abend fand Herr Lindemann, im
Mittel aus 3 Einstellungen, P — 9022, also um 1451
kleiner als der von mir unmittelbar gemessene, um
17° kleiner als mein corrigirter Positionswinkel. Musste
diese Differenz unserer Messungen schon allein uns
stutzig machen, so erschien das Resultat noch bedenkli-
cher, wenn wir dasselbe mit denen der vergangenen
Jahre verglichen. Nach Auwers's Theorie hátte nám-
lich der Positionswinkel des stórenden Kórpers um bei-
láufig 970 jährlich wachsen müssen. Gehen wir also
von unserem corrigirten Winkel von 1873 aus, so hát-
ten wir successive finden müssen:
1873,26 9022
74,26 99,2
75,26 108,2
76,26 117,2
Beobachtet ist aber von mir Abweichung
1873,26 9022 050
74,26 99,6 + 0,4
75,26 105,2 — 3,0
76,26 107,2 — 10,0
Für Herrn Lindemann's diesjihrige Messung wáre
die Abweichung sogar bis auf — 2770 gestiegen.
Bei der Schwüche des als Begleiter beobachteten
Objects und andrerseits bei dem übermüchtigen Glanze
des Hauptsterns, welcher im nahezu ganz dunklen Felde
die Sicherheit der Einstellungen sehr beeintrüchtigt,
durfte jedoch auch die grosse Abweichung meiner ver-
einzelten Messung aus dem laufenden Jahre nicht als
entscheidend angesehn werden, indem bei entsprechen-
der Vertheilung der Abweichung auf die Beobachtun-
gen der vier Jahre doch noch eine einigermassen zulás-
sige Übereinstimmung derselben mit der Theorie sich
hätte herstellen lassen können. Wollte man aber das
letztere nicht zugeben, so hätte man sagen müssen, wir
haben es hier mit einem Satelliten zu thun, der für
sich allein nicht genügt, die beobachteten Ungleichför-
migkeiten der eigenen Bewegung zu erklüren.
Es musste also auch nach dem 2*” April die Ent-
scheidung der Frage zunüchst ferneren Beobachtun-
gen vorbehalten bleiben. Ehe jedoch wieder günstiges
klares Wetter eintrat, war Procyon bereits zu sehr in
die Dämmerung hineingerückt, um noch in diesem Früh-
jahre beobachtet werden zu kónnen. In unerwarteter
Weise ist mir jedoch seitdem, gewissermassen zufällig,
eine Andeutung über den Ursprung des von mir beob-
achteten Objects und damit eine nicht unwahrschein-
liche Erklirung der auffallenden Widersprüche ge-
worden.
Ich habe häufig helle Sterne betrachtet und in den
letzten Jahren wiederholt niit der Absicht, mich zu
überzeugen, dass nicht etwa die am Procyon bemerkte
Satellitenerscheinung ein Product meines Auges sei
und sich bei allen helleren Sternen wiederhole. Aber
weder o Lyrae noch andere, dem Procyon an Glanz
nahe kommende Sterne hatten mir je etwas Derarti-
ges gezeigt. Unter diesen Umstánden wurde ich über-
rascht, als ich am 17° April, gelegentlich einer mikro-
metrischen Verbindung von Regulus mit seinem be-
kannten entfernten Satelliten, ohne speciell darauf
meine Aufmerksamkeit gerichtet zu haben, neben dem
Hauptstern ein Lichtpünktchen wahrnahm, das, ganz `
ähnlich wie bei Procyon, demselben in beiläufig 10"
Distanz nahezu auf dem Parallele folgte. Da aber mein
Auge bereits durch mehrstündiges ununterbrochenes
Beobachten afficirt war und überdiess die Bilder nicht
hinlänglich ruhig waren, verschob ich die nähere Un-
Bulletin de l'Académie Impériale
tersuchung auf den nüchsten Tag. Am 18'^ April
betrachtete ich nun zunáchst Regulus mit frischem
Auge und hatte denselben Eindruck. Ohne mich
durch Messungen aufzuhalten, richtete ich dann so-
gleich das Fernrohr auf die noch viel hellere Ca-
pella und sah auch hier, nur noch deutlicher, in glei-
cher Distanz (10" — 12") einen Lichtpunkt in nahezu
horizontaler Richtung folgen. Den Positionswinkel
desselben fand ich um 9° 30" im Mittel aus drei Ein-
stellungen — 127,2. Am Arcturus konnte ich densel-
ben Abend nichts mit Sicherheit erkennen, doch war
hierauf kein besonderes Gewicht zu legen, weil der
Wind, der bei dieser Beobachtung mir gerade in's
Gesicht blies, das Sehen beeintrüchtigte. — Nachdem
. darauf wieder durch trübes Wetter eine längere Un-
terbrechung der Beobachtungen eingetreten war, rich-
tete ich am 11" Mai den Refractor von.neuem auf
Arcturus und nahm auch an diesem ein ähnliches
Lichtpúnktchen wahr, für welches ich um 12* 40" den
Positionswinkel 6870 fand. Jetzt rief ich auch Herrn
Lindemann hinzu, dem ich von den vorangegangenen
Wahrnehmungen noch nichts mitgetheilt hatte. Auffal-
lenderweise erkannte er das Object nicht gleich auf den
ersten Blick, während er sonst den Procyonbegleiter im
. Allgemeinen immer viel schärfer als ich gesehen hatte.
Nachdem ich ihm jedoch die Richtung beiläufig angege-
ben hatte, erhielt er einen so weit sichern Eindruck, dass
er ein Paar Einstellungen des Positionswinkels machen
konnte, welche in Mittel 7251 für denselben ergaben.
Nach seiner Meinung wäre aber dieser Eindruck bei wei-
tem nicht so bestimmt gewesen, wie beim Procyon.— Am
folgenden Tage, den 12'" Mai, erhielten wir beide
weder bei a Lyrae noch bei Arcturus ühnliche Licht-
eindrücke, obgleich ich wenigstens mit der vorgefassten
- Meinung, es würden solche wieder auftreten, an die
Beobachtung gegangen war.
Aus diesen Wahrnehmungen müssen wir zunüchst
den Schluss ziehen, dass mein Auge, und vermuthlich
in ähnlicher Weise auch das des Herrn Lindemann,
disponirt ist, unter gewissen Bedingungen schwache
Nebenbilder von sehr hellen Objecten nahezu in ho-
rizontaler Richtung zu erzeugen, und zwar 80, dass sie
immer für das rechte Auge im Fernrohre nach rechts
hin liegen. Versuche mit dem linken Auge sind bis
. jetzt noch nicht gemacht. Die Entfernung des Neben-
bildes würde bei der geschützten Distanz von 10/— 12"
und der angewandten beiláufig 300-maligen Vergrós-
serung einem Gesichtswinkel von ungefáhr einem Grade
entsprechen. |
Hiernach dürfte es nicht unwahrscheinlich erschei-
nen, dass auch das von mir als Procyonbegleiter beob-
achtete Object auf eine physiologisch zu erklürende
Erscheinung zurückzuführen sei. Merkwürdig und viel-
leicht zur näheren Erklärung führend ist die Constanz
der Lage des Nebenbildes in Bezug auf den Haupt-
stern. Durehweg wurde, wie gesagt, die Distanz beiun- _
veränderter Vergrösserung auf 10"— 12" geschätzt. Der
Positionswinkel ist zwar bedeutend verschieden gefun-
den; haben wir es aber hier mit einer physiologischen
Erscheinung zu thun, so hat offenbar die Richtung ge-
gen den Declinationskreis keine Bedeutung. Es ist
vielmehr indicirt, diese Richtung in diejenige zu ver-
wandeln, welche das Nebenbild in Bezug auf den
Scheitelkreis eingenommen hat. Bringen wir dem ent-
sprechend den parallaktischen Winkel an die von mir `
gemessenen Positionswinkel an, so finden wir jene
Richtung: A
. aus Capella o — 8271
aus Arcturus 84,4
Mittel 8372. :
Die in den zwei ersten Jahren wiederholt und sicher
am Procyon angestellten Messungen würden ergeben ` `
haben: e
1873 o — 7920
1874 78,2.
Aus den zwei letzten Jahren würden sich zwar durch
Procyon gróssere Winkel gefunden haben, nämlich
1875: o — 8850
1876 99,1
aber dabei ist daran zu erinnern, dass die drei Mes-
sungen von 1875 durchweg als unbefriedigend be-
zeichnet waren und dass im laufenden Jahre überhaupt
nur an einem einzigen Abende gemessen ist. Ausserdem
will ieh auch nicht in Abrede stellen, dass die Messun-
gen der letzten zwei Jahre vielleicht etwas unter Ein-
fluss einer leicht erklürlichen Praeoccupation gestan-
den haben. Abgesehn von dem grössern Spielraum, ` `
den überhaupt die Messung eines so schwachen Ob-
jects gegen den mächtigen Hauptstern bietet, hätte
ohnehin, wenn der Ursprung des Bildes im Auge lag, eine
kaum merkliche Neigung des Kopfes genügt, um den
. 901
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
erwarteten Positionswinkel zu erzeugen. — Nehmen
wir einfach das Mittel aus allen 4 Jahren, so erhalten
wir o — 8452, bis auf 1? mit dem Mittel aus Capella
und Arcturus übereinstimmend.
Behandeln wir in gleicher Weise Herrn Linde-
mann's Procyon-Messungen, so finden wir:
1873 0 =777%8
1874 78,4
1875 90,1
1876 79,4
Mittel 8174
also sehr nahe denselben Winkel wie für meine Mes-
sungen.
Sollte es nun Spiel des Zufalls sein, dass gerade bei
Herrn Lindemann und mir sich ein solches Neben-
bild in so übereinstimmender Weise erzeugt oder liegt
dem vielleicht eine allgemeine gültige Disposition des
menschlichen Auges zu Grunde? Für das letztere
dürfte der Umstand sprechen, dass jenes Bild im Früh-
jahr 1874 in ganz gleichartiger Weise, ausser von
uns beiden auch von Herrn Ceraski hier in Pul-
kowa und von Herrn Talmage in Leyton deutlich
erkannt ist. Wáre diess der Fall, so müsste jedenfalls
noch angenommen werden, dass die Erzeugung des
Bildes von dem ess blico Zustande der Augen
bedingt sei. Sonst wáre es nicht zu erkláren, weshalb
z. B. 1875 Herr Lindemann das Object sehr deut-
lich sah, während ich nur sehr unsichere Eindrücke
davon erhielt, und umgekehrt im laufenden Frühjahre
das Bild neben Arcturus mir sehr deutlich erschien,
während Herr Lindemann erst speciell darauf auf-
merksam gemacht werden musste, um es überhaupt zu
erkennen; weshalb ferner am 12%" Mai sich für uns
beide keine solche Bilder, weder bei a Lyrae noch bei
Arcturus, erzeugt haben. Um über diese Fragen noch
bestimmtere Thatsachen zu sammeln, dürfte es sich
vielleicht empfehlen, Versuche mit sehr intensiven
künstlichen Lichtquellen anzustellen. Hier in Pulkowa
werden wir aber solehe Versuche erst nach ein Paar
Monaten. vornehmen kónnen, wenn erst wieder des
Abends oder Nachts hinlängliche Dunkelheit sich ein-
gestellt haben wird, um die durch die Erweiterung
der Pupille noires bedingte gróssere Em-
pfindlichkeit derselben zu erzeugen.
Aus dem Gesagten geht deutlich genug Ss dass
ich die Frage noch nicht für vollstándig abgeschlossen
ansehe, sondern weitere Aufklárung über dieselbe
durch fortgesetzte Beobachtungen erwarte. Wie aber
auch die Entscheidung ausfallen móge, so halte ich es
jedenfalls für meine Pflicht, der astronomischen Welt
ohne Verzug mitzutheilen, dass durch die letzten Wahr-
nehmungen mein Glaube an die Realitit des von mir
beobachteten Objects und dessen Identitát mit dem
durch die Theorie der unregelmässigen eigenen Bewe-
gung des Procyon geforderten stórenden Kórper in
hohem Grade erschüttert ist. Selbst nach den neuesten
Wahrnehmungen füllt es indessen schwer, diesem Glau-
ben unbedingt zu entsagen, da derselbe durch eine
Reihe von Thatsachen geboten war, deren merkwür-
diges Zusammenfallen jede Táuschung auszuschliessen
schien. Ich erlaube mir, dieselben hier kurz zu re-
capituliren:
1) Bei besonders günstigen atmosphärischen Bedin-
gungen zeigt sich 1873, ohne dass danach ge-
sucht wird, in nächster Nähe des Procyon ein
früher dort nicht bemerktes sternähnliches Ob-
ject und wird von zwei Beobachtern mehrfach und
übereinstimmend gemessen, wobei nach Móglich-
keit alle optischen Tüuschungen, so weit sie vom
Instrumente herrühren kónnten, ausgeschlossen
waren. |
2) Es findet sich nachträglich, dass die beobachtete
Richtung sehr nahe mit derjenigen übereinstimmt,
welche die Theorie für den stórenden Kürper for-
dert.
3) Die Anderung des Positionswinkels, wie sie die
Beobachtungen von 1873 und 1874 ergeben,
entspricht genau derjenigen, welche die Theorie
der Änderung in der Lage des störenden Kör-
pers für denselben Zeitraum anweist.
Der letzte Punkt erschien als entscheidend, und
doch liegt jetzt eine andere Erklärung nahe. Ist näm-
lich die Lage des Nebenbildes in Bezug auf den Schei- _
telkreis constant, so musste sich die geforderte Ände-
rung im Positionswinkel einfach dadurch ergeben, dass
die Beobachtungen von 1874 durchschnittlich unter c
nem gegen anderthalb Stunden gróssern St
angestellt sind, als die von 1873. Wie vorstehend ge-
zeigt, stimmen die in den beiden genannten Jahren ge-
messenen Richtungen bis auf 078 unter einander
überein, sobald wir sie auf den Seheitelkreis beziehen,
Bulletin de l'Académie Imperiale
e
/
e
Dasselbe Gewicht, welches wir früher der mit
der Theorie übereinstimmenden beobachteten Ände-
rung des Positionswinkels zuschrieben, müssen wir jetzt
dem Umstande beilegen, dass, den Beobachtungen zu-
folge, in den letzten 2 Jahren die Zunahme des Po-
sitionswinkels nicht mehr in gleichem Masse erfolgt
ist, ja sogar nach der letzten Messung von Linde-
mann sich in eine Abnahme verwandelt hat. In der
That sehe ich hierin das stürkste Argument für die
Annahme, dass all unsere betreffenden Messungen nur
das Resultat einer Täuschung physiologischen Ur-
sprungs gewesen sind. Sollte sich das durch die fer-
ner speciell für den Zweck anzustellenden Versuche
noch schürfer herausstellen, so láge auch darin ein
Gewinn für die Wissenschaft. Wenigstens würden wir
dadurch in Zukunft vor einer Quelle von Táuschun-
gen gewarnt, welche bisher noch gar nicht oder nicht
genügend beachtet ist.
Revue de la littérature historique de l'Arménie. Par
M. Brosset. (Lu le 25 mai 1876.)
^ $ I.
Depuis ma revue de l'an 1860, Ruines d'Ani, In-
troduction, la littérature historique de l’ Arménie s'est
enrichie de plusieurs importantes publications: je de-
mande pardon à l'avance si, par malheur, j'en omets
ici quelques-unes.
En 1864 le P. Nersès Sargisian (+ en juin 1866)
faisait imprimer à Venise une Description de la Petite
et de la Grande-Arménie, in-8', renfermant nombre
de plans, de cartes et d'inscriptions arméniennes, géor-
giennes, grecques et cunéiformes, recueillies par lui
durant onze années de voyages, toutes plus intéres-
santes les unes que les autres pour l'histoire de sa
nation et des principaux couvents disséminés dansl'Ar-
ménie septentrionale, ainsi que dans l'Asie- Mineure.
C'est à son obligeance que j'ai dü la communication
des beaux fac-similés des antiques inscriptions géor-
. giennes et grecques insérées au t. VIII des Mémoires
de l'Académie Impériale des se. X. 10.
En 1865 le savant mékhithariste Léonce Alichan
a publié à Venise une nouvelle édition, annotée et
augmentée d'un Appendice, de l'historien Kiracos. Mal-
heureusement il a cru utile d'omettre la lettre si in-
téressante de Nersés-le- Gracieux au prince Alexis
Comnéne, lettre tout à la fois historique et dogma-
tique, qui est un document fondamental en fait de
théologie, telle que l'entendent les Arméniens. C'est
celle dont des extraits, ainsi que d'autres textes du
méme genre, reproduits par Kiracos, ont été traduits
à ma prière, en latin, par M. Petermann, de l'Acadé-
mie royale des sciences, de Berlin; v. mon édition de
Deux historiens, p. 194, sqq.
En 1866, trois habiles orientalistes de Berlin réu-
nissaient leurs efforts pour donner une nouvelle édition,
en langue latine, des Canons chronologiques d'Eusébe,
auquel l'éditeur en chef M. Alfred Schoene fournit `
la surveillance générale, et une Préface, M. le D' H.
Petermann, aujourd'hui correspondant de notre Aca-
démie, une Préface critique et une nouvelle version
latine, revue sur plusieurs bons manuscrits, et y joi-
gnait, par une trés heureuse idée, la traduction revue
de S. Jéróme, offrant parfois avec les textes arménien
et grec de notables différences. Enfin M. Roediger,
également un de nos correspondants, enlevé depuis lors
à la science, enrichissait ce travail de la traduction
d'une curieuse chronique syriaque inédite, tirée des
M'" de Londres. Quant à la 1" Partie de l'ouvrage
de l’évêque de Césarée, si importante pour la critique -
des textes anciens sur lesquels repose sa chronologie,
MM. Schoene et Petermann n'ont pas résisté au désir
de lui consacrer aussi leurs veilles savantes: cette 1"
Partie a paru à Berlin en 1875, in-4”, et les amateurs
de chronologie ancienne peuvent désormais jouir de la
traduction compléte du célébre Chronicon bipartitum.
En 1867 a paru la 2” édition, revue et augmentée
— la 1" m'est inconnue — d'une description d'Ani,
en arménien, à Théodosie. C'est une petite brochure,
de 67 pages avec cartes et plans, contenant la plus
grande partie des inscriptions de l'ancienne capitale
des Bagratides, par le prétre Iohannés Abrahamian.
Maintenant, avec le Voyage du P. Sargis Dchalaliants,
avec les Ruines d’Ani et les copies du P. Nerses Sar-
gisian, dans l'ouvrage cité plus haut, on peut exé-
cuter un beau travail d'ensemble sur les antiquités
d'Ani.
M. Langlois, enlevé à la science dans touté la vi-
gueur de la jeunesse, en mai 1869, avait formé le .
plan d’une collection d’historiens arméniens en cinq
volumes, publiés en traduction francaise et dans l'ordre
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
chronologique. Deux volumes in-8” á deux colonnes
ont paru en 1867 et 1869, le dernier en méme temps
qu'une traduction complete par le méme de l'Histoire
universelle de Michel le Syrien, fin du XIT’ S., précé-
des, en 1863 du Trésor des chartes d'Arménie: il
n'est pas étonnant que des travaux aussi considérables
que ceux-là aient épuisé avant le temps celui que les
fatigues d'un voyage en Cilicie, exécuté en 1853,
avaient déjà fortement éprouvé.
En la méme année 1869 M. Ed. Dulaurier, membre
de l'Académie des Inscriptions et belles-lettres, a mis
au jour un beau volume in-f”, renfermant les textes,
avec traduction francaise, d'extraits des historiens ar-
méniens relatifs aux croisades. S'il réussit à donner
une suite à ce grand travail, il aura bien mérité de
l'Arménie et de la science historique.
Encore dans la méme année notre Académie pu-
bliait dans le t. XIII de ses Mémoires, VIT’ série, l'His-
toire chronologique, ou mieux peut-étre la chronolo-
gie historique de Mkhithar d'Airivank, avec traduction
française et notes critiques, d’après un M” de son
Musée asiatique, plus complet et meilleur que celui
ayant servi à l'édition du texte seul, Moscou, 1860.
Cette fois le texte du M' de l'Académie fut aussi
publié, sauf un passage omis involontairement, avec
une traduction russe, en 1867, 69, in 8”, par M. K.
Patcanof, dans le recueil de la Société archéologique
russe, consacré aux travaux sur l'orient. En 1870,
1871 M. Patcanof a encore mis au jour le texte et
une traduction russe annotée de l'Histoire de la nation
des archers, par Malakia-le-Moine, et, pour achever
la revue de son activité littéraire, mentionnons tout de
suite: en 1870, un Journal du siége d'Ispahan par les
Avghans, d’après Pétros di Sargis, Arménien du Ghi-
lan, témoin oculaire, dont le texte, en mauvais patois
de Djoulfa, avait paru en 1863 dans les NN. de fé-
vrier et de mars du journal arménien Yan%/.. la
Cigogne. Ce texte, de difficile digestion à cause de son
incorrection et d'une quantité de mots russes et ap-
partenant aux diverses langues musulmanes, dont il
est émaillé, a été critiqué et commenté avec soin par
l'éditeur dans les Bannern ou Mémoires en langue russe
de notre Académie, t. XVII. Encore en 1873, le chapitre
LIH? de l'historien Arakel, sur les pierres précieuses,
à fourni à M. Patcanof le sujet d'un travail fort conscien-
cieux, au point devue de la philologie et du contenu, qui a
Tome XXII.
trouvé place dans le t. XVII des Travaux de la section
orientale de la Soc. arch. russe. Enfin en 1874 il a
essayé de compléter les recherches de Klaproth, de
M. Dulaurier et les nótres, sur les invasions des Mon-
gols, d'aprés les historiens arméniens. En 1871, une
curieuse dissertation sur l'origine des noms des mois
arméniens oü, entre autres choses, l'auteur essaie de
trouver dans l’ancien sanscrit l’origine du nom de
Vahagn, donné à l'Hercule arménien. La légende rap-
portée par Moise de Khoren à ce sujet est si incom-
pléte et si obscure, et l'on a tant abusé depuis le sa-
vant Bopp de la faeulté d'établir des étymologies au
moyen des mutations, suppressions et additions de
lettres, qu'il n'est pas étonnant que la thése soutenue
à ce sujet par M. Patcanof ait rencontré un contra-
dieteur, dans la personne de l'Arménien et arméniste
bien connu M. N. O. Emin. Il s'en est suivi une rude
polémique, qui nous a valu 1” une brochure sous le
titre Baxarm- Bmmanakax’ apmancroli wmoodorim ect
Wnuapa-Birpahan Dr Deag, Pét. 1873. 2° Puis une ré-
plique, Pét. 1873, de M. Patcanof aux Remarques de
M. Emin, et 3" Une contre-réplique, Moscou 1874,
de M. Emin. Cette polémique entre deux adversaires
convaincus a certainement son cóté utile; il m'a paru
toutefois qu'il s'y est mélé des considérations acces-
soires, et que la critique était devenue trop acerbe.
Aprés cette digression, si nous revenons sur nos
pas, nous trouvons encore en 1869 la traduction alle-
mande de l'historien Moïse de Khoren, publiée à Re- `
gensburg ou Ratisbone, par le D' M. Lauter, auteur
d'une grammaire arménienne, Vienne 1869.
En 1870 notre Académie a publié la traduction
francaise de deux historiens, Oukhtanès d'Ourha, X°
S., et Kiracos de Gantzac, XIII. S., dont la Préface
contient, outre des notices biographiques sur les au-
teurs, une exposition nouvelle de l'histoire et des régles
du comput chronologique arménien. Si j'ai eu le bon-
heur de rendre quelque service aux lettres arméniennes
et aux savants qui lui ont consacré leurs veilles, je crois
que c'est surtout par ce travail, dont l'idée fonda-
mentale m'a été fournie par un résumé en quelques
lignes, faisant partie du t. II, p. 143, des Useful
tables de Prinsep. Imprimées d'abord dans le t. VI du
Bulletin de notre Académie, puis dans le t. VI des
Mélanges asiatiques, et de là, avec addition des nou-
velles régles, dans la Préface des Deux historiens,
-
307
Bulletin de l'Académie Imperiale
308
mathématiques facilitent singulièrement la conversion
des dates ai i en dates de l’ère vulgaire et
vice versá.
Passons maintenant aux importantes publications
sorties des presses d'Edchmiadzin, et remercions bien
sincèrement Mr Géorg, catholicos actuel des Armé-
niens, du zele éclairé qui lui a fait entreprendre de si
utiles travaux, dont je vais exposer la série.
En 1870 a paru à Edchmiadzin l'Histoire, du diacre
Zakaria, qui, sous le titre de Mémoires historiques
sur les Sofis, est placée en téte du 2" volume de notre
Collection d'historiens arméniens.
La méme année, le curieux Condac ou Cartulaire
du couvent de Iohanna - Vank, ouvrage dont la tra-
duction fait suite au précédent.
Encore la méme année, l'Histoire de Nadir- Chah,
pár le catholicos Abraham, de Crète, témoin oculaire
de l'avénement de ce prince, également traduit ici
par nous.
Encore en 1870, deux petites Histoires d'Arménie,
l'une en vers, du vartabied Siméon, d'Abaran, attaché
au couvent de Medzop, vivant à la fin du XVI' $.
Elle traite spécialement des familles Pahlavide et Ma-
miconienne; l'autre, la réimpression d'une Histoire
d'Arménie et des empereurs romains, sans grande va-
leur, écrite en prose par Minas, d'Amid. On croit
que c'est lui qui, dans les dernières années du XVII?
S., était patriarche de Jérusalem.
L'infatigable bibliophile arménien, M. Miansarof a
su retrouver une édition princeps de ce dernier livre,
imprimé en 1184 arm. (Sam. 19 septembre) = 1734,
à Constantinople.
En 1871, David-Beg, histoire anonyme du soulève-
ment des Arméniens de la Siounie — le Qarabagh —
contre les Osmanlis, en 1721 — 1727, éditée par M.
Abgar Goulamiriants, libraire et bonua de lettres.
La méme année, le texte de l'Histoire d'Arménie,
par l'évéque Oukhtanés, d'Ourha ou de Sébaste, car
les deux opinions ont cours, écrivant vers la ín du
A S. C'est un abrégé d'histoire universelle, suivie du
récit, circonstancié et sur documents, de la séparation
des Géorgiens d'avec les Arméniens, au point de vue
des dogmes et de la hiérarchie, ouvrage dont nous
avons donné la traduction en 1870. Une 3° Partie,
p. LVI, enfin en abrégé, dans le t. XIX des Mémoires | qui contenait l'histoire de la conversion de la peuplade
de notre Académie, X 5, ces règles rationnelles et |
heureusement dans le seul manuscrit, presque contem-
peu connue des Dzads au christianisme, manque mal-
porain de l'auteur, que l'on connaisse, et qui parait
avoir été mutilé par une malveillance préméditée. On
ne sait ce qu'est devenu ce précieux codex.
En 1872, 1873, M. Al. Eritsof, de Tiflis, a publié
en russe huit N’ d'un ouvrage périodique, Kanskaackas
crapnaa «l'Antiquité caucasienne,» un excellent recueil
in-4” avec Planches lithographiées, consacré à l’his-
toire de quelques-uns des principaux couvents de l'Ar-
ménie russe, renfermant aussi des documents inédits,
relatifs à l'histoire moderne. L'entreprise parait mal-
heureusement s'étre arrétée faute de ressources.
Le méme auteur a donné en 1874, sous le titre de
Calendrier familier, en langue arménienne vulgaire,
un travail que l'on peut recommander aux lecteurs,
comme une source abondante de renseignements sta-
tistiques concernant la nation arménienne, en Russie
et dans les pays musulmans, 226 pages format petit
in-4”.
En 1875, il est sorti des presses d'Edchmiadzin, sous
le titre arm. de Dchambr, équivalant à Kamepaasuoe
onucaxie, une description statistique très intéressante
des propriétés d’Edchmiadzin, en 25 chapitres, avec
addition de documents et chartes octroyées audit mo-
nastére par les souverains osmanlis et par les Persans.
C'est l’œuvre du catholicos Siméon, d’Erivan, siégeant
1763 — 1780, remplie de notices historiques rela-
tives aux localités et aux personnes et munie d'un
Index alphabétique, rédigé en 1828.
Encore en 1873 le t. XX du Bulletin de notre Aca-
démie a donné une Notice sur le prétendu masque de
fer arménien, qui n'est autre que le patriarche Avétik
de Constantinople, enlevé par la diplomatie francaise
en 1706 et mort à Paris le 21 juillet 1711. La
question du masque de fer, aprés recrudescence dans
ces dernières années, semble complètement résolue
par l'ouvrage de M. Th. Iung, Paris, 1872. «La vérité
sur le masque de fer,» où il est démontré que l'individu
qui porta durant 30 ans un masque de velours, 1673
— 1703, et mourut à la Bastille en la derniere an-
née ici marquée, n'est autre que le chef d'un complot
contre le roi Louis XIV, complot qui avait de redou-
tables ramifications dans la société du temps.
Mentionnons encore en passant le Registre chrono-
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
logique d'Arakel, inséré aux Mémoires de notre Aca- ! de l'historiographie arménienne :
démie, t. XIX X 5, où sont sévèrement critiquées les
dates formant la charpente de la chronologie du var-
tabied de Tauriz.
En la même année je dois une mention à la De-
scription du couvent de Géghard ou Airivank, impri-
mée par le vartabied Stéphannos Mkhithariants, ou-
vrage orné de quelques gravures et contenant l'histoire
compléte du monument, ainsi que les inscriptions tra-
cées sur ses murs. Je crois qu'il en manque quelques-
unes, notamment celle que Dubois, t. III, p. 389 de
son Voyage, dit étre la plus grande inscription armé-
nienne qu'il ait vue, et dont le contenu n'a pas encore
été livré à la curiosité des lecteurs.
Il n'est pas permis de terminer cette longue énu-
mération, sans donner aussi une mention trés hono-
rable à une dissertation doctorale, formant un bon
volume in-8', de M. Troitzki, sous le titre de « Expo-
sition de la foi de l'église arménienne, tracée par le
catholicos arménien Nersés, à la demande de l'empe-
reur grec Manuel,» dissertation historico-dogmatique
‚se reliant à la question de la réunion de l'église ar-
ménienne à l'orthodoxie; St.-Pétersbourg, 1875, en
russe. C'est un ouvrage trés savant, trés logique, mo-
déré dans la forme, mais trés rigoureux au point de
vue du dogme, où l'auteur soutient que, quoi qu'ils
en disent, les Arméniens sont monophysites. Il serait
possible que le grand travail de M. Troitzki füt suivi
d'une réplique catégorique, par un Arménien trés au
fait des questions théologiques, M. Emin, qui me pa-
rait avoir mis la raison et la science de son cóté,
dans la polémique dont j'ai parlé plus haut contre
M. Patcanof. Je ne mentionne du reste qu'en pas-
sant, comme n'étant pas du domaine de l’histoire,
divers articles du méme auteur, parus dans ces der-
nieres années, et consacrés à des sujets religieux-
légendaires et à des livres apocryphes.
Il a encore paru en 1875, à Moscou, une «Histoire
des catholicos d' Edehmiadzin, depuis Siméon, jusqu'à
Jean VIII, 1763 — 1831,» par Mser-Magistros Msé-
riants, de Smyrne, joli volume 8”, en langue littérale
arménienne. Les lecteurs y trouveront beaucoup de
détails intimes sur les catholicos Siméon, Loucas, Iosif
Arghouthinski-Dolgorouki, Daniel et David, Ephrem,
Jean et un certain nombre de documents intéressants.
Il me reste à exprimer en terminant les desiderata
une bonne édition
du texte de Matthieu d'Édesse, au moyen des manu-
scrits de Paris et de Russie; celle du texte de la Chro-
nique de Michel le Syrien; enfin une bonne traduction
de l'ouvrage de Jean-catholicos, d'aprés la collation
des textes.
$ II.
Le second volume de la Collection d'historiens ar-
méniens, traduits en francais”), renferme les Mémoires
sur les Sofis et le Cartulaire du couvent de Iohanna-
Vank, par le diacre Zakaria; l'Histoire d'Aghovanie,
par le catholicos Hasan- Dchalaliants; celle de David-
Beg; enfin celle de Nadir-Chah, par le catholicos Abra-
ham, de Crète: c’est donc, avec l’œuvre d’Arakel et
celle de Jean de Dzar, de notre 1” volume, le récit
continu, sinon complet, des événements de 136 an-
nées, 1600 — 1736, tracé par des contemporains, té-
moins oculaires et parfois acteurs, récit intéressant
l'Arménie, la Perse et la Turquie.
Quant à l'Histoire d'Aghovanie, p. 193 — 220 de
ce volume; à celle de David-Beg, p. 221— 255, et à
celle de Nadir-Chah, p. 257 — 355, on trouvera au
commencement de chaque ouvrage le peu de notices
qu'il m'a été possible de me procurer sur leurs auteurs.
Ici je dois réclamer une grande indulgence. La
plus sérieuse difficulté que j'aie rencontrée dans l'in-
terprétation des textes que j'offre au lecteur studieux
est la multiplicité des mots non arméniens dont ils
fourmillent. Chez Arakel, environ 140, non compris
les 250 employés dans les 19 pages du ch. LIII, sur
les pierres précieuses; chez Zakaria, plus de 300;
enfin, dans l'Histoire de Nadir-Chah, un nombre tel-
lement considérable, que non content des équivalents
donnés parfois par l'auteur lui-méme, dans son texte,
l'éditeur en explique et commente quelques-uns au
bas des pages, et qu'à la fin du livre il a joint un vo-
cabulaire de 334 mots; j'ai moi-méme recueilli par
milliers les expressions empruntées par les &erivains
géorgiens et arméniens aux langues musulmanes, et
fatigué mes amis de questions à ce sujet. Le Dastoul-
amal, ou Règlement pour les fonctionnaires de la cour
des rois de Géorgie, est pour ainsi dire à moitié seu-
lement géorgien. Or, dans l'Histoire de Nadir-Chah,
outre les mots et locutions isolés, il se trouve des
*) L'impression est achevée, et ce volume paraitra sous peu.
20*
311-
Bulletin de l'Académie Empériale
phrases complétes, des discours de plusieurs lignes,
en turk et en persan, simplement transcrits en carac-
téres arméniens. Pour les mots et pour certaines
petites phrases, j'ai pu avec assez de certitude les
traduire, au moyen des Dictionnaires turk-francais de
Bianchi et persan en lettres arméniennes, de Douz-
Oghlou, et n'ai cité au bas des pages de ma traduction
que les mots les moins usités, ou qui me laissaient
quelque doute. Quant aux phrases plus longues et aux
discours, j'ai dü recourir à une personne connaissant
la langue turque. J'ai donc retranscrit de l'arménien
en lettres latines les textes de cette espéce et les ai
soumis à M. Smirnof, professeur de langue turque à
l'Université Impériale de S.-Pétersbourg, qui a bien
voulu en essayer la restitution en lettres turques et
l'interprétation. On comprend aisément ce qui peut
résulter d'une double transcription: Persans, Turks,
Tatars, Arméniens, prononcent chacun à sa maniére
les mots arabes; consonnes et voyelles surtout sont
représentées par des lettres différentes chez les Ar-
méniens et surtout chez les occidentaux qui s'occupent
de Porient, de manière à devenir presque méconnais-
sables. A dire le vrai, je ne crois pas que les phrases
dont il s'agit renferment autre chose que des banalités
de couversation, sans valeur historique, pour l'ordi-
naire, mais pourtant j'ai vite compris qu'il valait mieux
exclure complétement les passages rentrant dans cette
catégorie jusqu'à succés satisfaisant de la double ma-
nœuvre indiquée.
Voici, du reste, l'indication des endroits scabreux
de l’œuvre du catholicos polyglotte.
P. 268 de ce 2” volume, aprés «Comment te por-
tes-tu,» ajoutez: «Te portes-tu bien?»
P. 269 lis.: «La faute n'en est à personne, mais à
mol.»
P. 276 lis.: «Tu es vieux et impotent. »
P. 281, rien á changer.
P. 285 lis.: «A cause des froids de l'hiver et des
embarras. »
Plus bas, ibid.: «J'ai vu ta majesté bien disposée
et resplendissante.» Cette traduction doit remplacer
l'essai d'interprétation, conservé là.
P. 305, passages omis et vers persans; P. 307 ;
‚313, 330 id.
J’ai l’espoir qu’il sera possible de restituer intégra-
lement ces malheureuses omissions.
En ce qui concerne Samouel le Prétre ou Samouel
d’Ani, les PP. Somal, dans son Quadro della St. let-
ter. di Armenia, et Garégin, dans le t. 1” de son
Hist. de la littér. arménienne, en arm. vulgaire, nous
disent seulement qu'il écrivait, vers la fin du XIT’ S.,
à la priere du catholicos Grégoire III, dit Pahlavouni
ou Pahlavide, sa compilation historique, atteignant
l'an 1179 de J.-C. et continuée par un anonyme. Cet
ouvrage, qui n'est dans la 1" Partie qu'un abrégé
trés suceinet, sans critique ni commentaire nouveau,
de celle du Canon d'Eusébe, a été publié en latin, à
Milan, en 1818, par le docteur Zohrab, avec la coo-
pération du cardinal Angelo Mai, puis à Rome, en
1839: je n'ai jamais vu cette derniére édition, dont
parle le P. Garégin, 1. c. p. 550.
Pour les Notions complétes sur Zakaria le diacre et
sur Samouel d'Ani, afin d'éviter des répétitions inu-
tiles, je prends la liberté de renvoyer le lecteur au
t. XIX de notre Bulletin, p. 320 — 333, et t. XVIII,
p. 402—442; Mél. asiat. t. VII, p. 93, t. VI p. 741 sqq.
J'ajoute, que M. A. Gutschmid, aujourd'hui professeur
à l'Université de Iéna, a fait paraitre en 1868 une
intéressante dissertation «De temporum notis, quibus
Eusebius utitur in Chronicis canonibus. Kiliæ» 28 p.
in-4”.
Ein Paar Worte gegen die altslavischen Wurzeln mit
silbenbildenden 7 und /. Von 0. Bühtlingk. (Lu le
25 mai 1876.)
In der Vorrede zu dem vor Kurzem erschienenen
2" Bande der vergleichenden Grammatik der slavi-
schen Sprachen bricht Fr. Miklosich von Neuem
eine wuchtige Lanze für das silbenbildende r und /;
insbesondere ist es ihm darum zu thun, dieselben in
den Wurzeln des Altslavischen einzubürgern. Ich be-
absichtige nicht den ausführlichen Erórterungen des
berühmten Slavisten auf Schritt und Tritt zu folgen,
erlaube mir aber in den nachfolgenden Zeilen einige,
wie es mir scheint, nicht ganz unerhebliche Bedenken
gegen seine Theorie zur Sprache zu bringen und sei-
ner Erwügung anheimzustellen.
Zuvórderst müssen wir uns aber über den Begriff
«Wurzel» zu verständigen suchen. Von Wurzeln im
eigentlichen Sinne des Wortes, d. i. von einfachen,
nicht weiter zerlegbaren bedeutsamen Lautcomplexen,
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
314
aus denen der ganze spütere Wortschatz einer Sprache
aufgebaut wird, kann, wenn man von diesem ganz ab-
sieht, in keiner indogermanischen Sprache die Rede
sein, da die Wurzel als solche hier kein selbststündiges
Leben mehr hat. Wenn wir von Wurzeln im Sanskrit
oder im Slavischen reden, so verstehen wir darunter
jene einfachen Lautcomplexe mit dem Begriff einer
Thätigkeit, die der Inder oder Slave in bestimmten
Gruppen von schon vorhandenen Wortformen als die-
sen zu Grunde liegend fühlt und nach denen er greift,
wenn er selbst eine neue Wortform bildet. Die Wurzel
der indischen und slavischen Grammatiker ist der aus
der Zerlegung der von ihnen für verwandt angesehe-
nen Wörter mit Bewusstsein erschlossene Lautcomplex
mit dem Begriff einer Thätigkeit. Die vom Volke
bloss gefühlte und die vom Grammatiker erschlossene
Wurzel brauchen nicht immer zusammenzufallen. Es
ist gar wohl denkbar, dass dem Inder bei der Bildung
von Wörtern AT und fAT auf ganz gleicher Stufe stan-
den, während der Grammatiker geneigt ist, AT für die
ursprüngliche Wurzel zu halten und fq auf dieses
Az zurückzuführen.
So verhält es sich mit allen Wurzeln, die die indi-
schen Grammatiker mit E schreiben. Die Wurzel, die
begrifflich unserm « thun, machen» entspricht, er-
scheint als RT, %, Pq, WI: und eh; die für unser
«schneiden» als quj, qq und qq. Die einheimischen
Grammatiker nehmen hier & als urspünglichen Vocal
an und erklären 9 für eine Steigerung dieses Vocals,
die der Steigerung des 3 zu € und des 3 zu At ent-
sprechen soll. Hierdurch vereinfachen sie die Regeln
der Grammatik, indem die für Wurzeln mit i und 3
geltenden Regeln auch auf die mit 8 angewandt wer-
den künnen. Der Umstand, dass AT phonetisch sich
zu ® ganz anders verhält als 7 zu 3 und 8T zu 3, konnte
ihnen ganz gleichgiltig sein. Unser Bestreben aber
muss dahin gehen, diejenige Form der Wurzel zu
Grunde zu legen, aus der alle übrigen am leichtesten
sich ableiten lassen und dieses ist ohne allen Zwei-
fel AT und at, mq ist die einfache Verlängerung von
TI, 9 eine Verkürzung desselben vor Vocalen, % eine
die Aussprache erleichternde Modification dieses d
. Vor Consonanten und in FT sehen wir wie auch in
andern Fällen ein 4 in 3 übergehen.
Ganz anders gestaltet sich das Verhültniss bei den-
jenigen Wurzeln, denen .die indischen Grammatiker
ein R zuerkennen. Die Wurzel, die sie q schreiben,
erscheint als Ag, 414, feq; AT, AT, nie aber als q. Wie
aber die indischen Grammatiker darauf gekommen sind
derartige Wurzeln aufzustellen, ist schon an einem
andern Orte auseinandergesetzt worden, mag aber hier
wiederholt werden. Es kam ihnen darauf an, die Wur-
zeln mit 47, die auf dreierlei Weise flectirt werden,
schon im Wurzelverzeichniss zu sondern, um sich da-
durch die Aufzühlung derselben in der Grammatik zu
ersparen. Diejenigen Wurzeln, die in der Flexion ihr
" überall bewahren, wurden im Wurzelverzeichniss
mit A] geschrieben; diejenigen, die in der Flexion #
zeigen, erhielten schon im Wurzelverzeichniss ein E;
diejenigen endlich, die in der Flexion mit ZT U. 8. w.
erscheinen, treten als Wurzeln mit 37 auf.
Wenn ein europüischer Grammatiker im Sanskrit
von Wurzeln mit E redet, so wird er in seinem Arsenal
vielleicht noch Waffen zur Vertheidigung derselben
finden; spricht er aber von Wurzeln mit E, das in der
Sprache überhaupt nur im Gen. und Ace. der Nomi-
nalstámme auf 97 erscheint, dann mag er sein Schwert
ruhig in die Scheide stecken und erkliren, dass ihm
diese Märe von seiner Amme überliefert worden sei
und dass er sie dieser getreu nacherzihle.
Giebt man aber zu, dass ein Grammatiker, dem die
Theorie über die Praxis geht, kein Recht hat Sanskrit-
Wurzeln mit 37 aufzustellen, so ist damit auch der
Stab über die slavischen Wurzeln mit silbenbildenden
r und / gebrochen. Das Altslavische kennt r und 4
nur als ächte Consonanten: es giebt kein einziges alt-
slavisches Wort, in dem r oder / ohne einen nach-
folgenden Vocal eine Silbe bildete, es sei denn, dass
man z und » nieht für Vocale hielte. Dass diese aber
bei der Einführung der Schrift Vocale waren, hat
kein urtheilsfühiger Slavist, am wenigsten Miklo-
sich selbst, je in Abrede gestellt. Nun will ich
gern zugeben, dass diese Vocale sehr bald ganz ver-
stummten und dass neuere slavische Dialecte ein sil-
benbildendes r und / in der That besitzen. Erhalte
ich aber dadurch schon ein Recht, einen entschieden
jüngern Laut in eine Wurzel, die mir ältere Formen
der Sprache erklären soll, ohne Weiteres einzuschwär-
zen? Aber ich gehe noch weiter und behaupte, dass
auch das auf r und / folgende z oder » nicht als Wur-
zelvocal gelten könne, da, wie die Sprachvergleichung
uns lehrt, diese Vocale nichts weiter als im Verfall
y
>
315
Bulletin de l'Académie Impériale
begriffene ältere vollere Vocale darstellen. Und diese | Palletin, d
a
volleren Vocale haben sich nicht selten in Wortformen
erhalten, die ich auf eine solche verkriippelte Wurzel
zurückführen soll! Nur die Schwierigkeit diesen vol-
leren Vocal mit Sicherheit zu bestimmen, konnte, wie
ich annehme, Miklosich auf die Idee bringen, den
gordischen Knoten auf die Weise zu lósen, dass er
den Vocal einfach ausschnitt und die Consonanten r
und / auf die ungerechteste Weise vor der Zeit degra-
dirte.
Zum Schluss erlaube ich mir noch den Leser auf die
' sorgfältigen Untersuchungen von Eduard Sievers *)
über die Doppelnatur nicht nur von > und /, sondern
auch von m, n und s aufmerksam zu machen. Wenn
diese Laute silbenbildend sind, unterscheiden sie sich
der Intensität und Quantität nach von den entsprechen-
den Lauten mit consonantischer Function. Fallen sie
aber mit diesen in der Aussprache nicht zusammen,
so müssen sie auch in der Schrift unterschieden wer-
den. Man bezeichne demnach in den neuern slavischen
Dialecten das silbenbildende r und / etwa durch r (7)
und / und gedenke dabei der Inder, die zu demselben
Endzweck die Zeichen 8, # und 4 erfanden. Die
Sprachgeschichte wird überall im Stande sein nach-
zuweisen, dass die oben erwühnten Zwitterlaute, wenn
sie für sich allein silbenbildend sind, an Stelle einer
ülteren volleren Silbe stehen. |
KENT AE
BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
L'Académie a recu dans ses dernières séances les
ouvrages dont voici les titres:
Firdusii liber regum qui inscribitur Schahname, editio-
nem Parisiensem diligenter recognitam et emenda-
tam lectionibus variis et additamentis editionis Cal-
cuttensis auxit, notis maximam partem criticis illu-
stravit Joannes. Augustus Vullers. Tomi primi fascicu-
lus primus. Lugd. Bat. 1879. 8.
Le epigrafi arabiche di Sicilia, trascritte, tradotte e illu-
strate da Michele Amari. Parte prima. Iscrizioni
edili. Palermo 1875. 4.
Dulletin de la Société mathématique de France, publié
par les secrétaires. T. IV, Mars, N 3. Paris 1876. 8.
*) Grundzüge der Lautphysiologie, $ 5 und 22,
elle scienze matematiche e fisiche, pubblicato
B. Boncompagni. Tomo VIII. Settembre, Ottobre,
Novembre, Dicembre 1875. Roma 1875. 4.
Archiv für Mathematik und Physik. Gegründet von J. A.
Grunert, fortgesetzt von R. Hoppe. Th. LVIII Heft 4.
Th. LIX Heft 1. Leipzig 1876. 8.
Monthly notices of the Royal Astronomical Society. An- `
nual report of the Council. Vol. XXXVI N 4. Fe-
bruary 1876. 8.
Memorie della società degli spettroscopisti italiani rac-
colte e pubblicate per cura del Prof. P. 172 2
1876. Dispensa 1. 2. 3. 4. Palermo 1876.
Calloud, Francesco. Scioglimento del disi della
quadratura del circolo. Parma 1876
Annuaire pour l'an 1876, publié par le bureau des longi-
tudes. Paris. 12.
Connaissance des temps ou des mouvements célestes à
l'usage des astronomes et des navigateurs pour l'an
1877, publié par le bureau des longitudes. Paris
1875. 8.
Berliner astronomisches Jahrbuch für 1878 mit Epheme-
riden der Planeten @ — (422 für 1876. Berlin 1876. 8.
Results of astronomical and meteorological observations
made at the Radcliffe Observatory, Oxford, in the
year 1873, under the superintendence of the Rev.
Robert Main. Oxford 1875. 8.
Astronomical and meteorological Observations made du-
ring the year 1872, at the U. S. Naval Observatory.
Washington 1874. 4.
Tacchini, P. Il passaggio di Venere sul sole dell' 8 — 9
Dicembre 1874 osservato a Muddapur nel Bengalia.
Palermo 1875. 4.
Stockwell, John N. Theory of the moon's motion. Phila-
delphia 1875. 4.
Conférence diplomatique du métre. 1875. Fol.
Comité international des poids et mesures. Procès-verbaux
des séances de 1875—1876. Paris 1875. 8.
Bollettino della Società Adriatica di Scienze naturali in
Trieste. | 7. Dicembre 1875. Trieste. 8.
Verhandlungen des naturhistorisch-medicinischen Vereins
zu Heidelberg. Neue Folge. Erster Band. Drittes
Heft. Heidelberg 1876. 8.
Sitzungsberichte der physikalisch -medicinischen Societät
zu Erlangen. 7'^ Heft. November 1874 bis August
1875. Erlangen 1875. 8.
Jenaische Zeitschrift für Naturwissenschaft. Ba. X. oHe
pen N III Heft 1. sen dien 8.
CH. 4 P 11 P A
zu Berlin. Jahrg. 1875. Berlin 1875. 8.
Videnskabelige Meddelelser fra den naturhistoriske Fore-
ning i Kjobenhavn for Aaret 1874. Kjebenhavn. 8.
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Année 1875. Nè 4. Moscou 1876. 8.
Freunde
317
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
318
Transactions of the American Philosophical Society, held
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Memoirs of the Boston Society of Natural History. Vol.
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XVI part III—IV. Vol. XVII part I. IL. Boston 1874—
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Nature. A weekly illustrated journal of science. Ne 333—
Christiani, Arthur. Beiträge zur Electrieitätslehre. Über
irreciproke Leitung electrischer Ströme, nebst einem
Excurse das Potential zweier Spiralen. Berlin 1876.
8. und 15 Tafeln Fol.
Orsoni, Francesco. Ricerche elettro-dinamiche sulle ro-
tazioni paleogeniche assiali ed equatoriali dei decli-
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Phénomène inconnu pour la première fois observé et
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Bulletin de la Société géologique de France. Troisiéme
série. T. III. 1875 N 9. Feuilles 37—41 (21 à 28 juin
1875). T. IV. (Feuilles 1—4. Mars 1876.) M 1. Paris
1875 à 1876. 8.
Zeitschrift der Deutschen geologischen Gesellschaft. XXVII.
Dand. 4. Heft. October bis December 1875. Berlin
1875. 8.
Transactions of the Manchester Geological Society. Vol.
XIV part 1I. Session 1875—1876. 8.
À Magyar kir. füldtani intézet évkónyve. IV. kótet. III.
füzet. Fazekasboda- Morágyi hegyláni (Baranyame-
gye) eruptiv kózetei Roth Samutól. Budapest 1876.
Mittheilungen aus dem Jahrbuche der kón. ungarischen
geologischen Anstalt. IV. Bd. 2. Heft. Die eruptiven
Gesteine des Fazekasboda - Morágyer - Gebirgszuges
(Baranyaer Comitat) Von Samuel Roth. Budapest
1876.
Der Silber- und Blei-Bergbau zu Pribram (Böhmen). Zur
Feier der im Adalbert-Schacht erreichten Saigerteufe
von 1000 Meter. Herausg. von der k. k. Berg-Direction
zu Pribram. Wien 1875. 4.
Geologische Karte der Schweiz. Blatt 9. Fol.
Terrenos paleozoicos de Portugal. Sobre a existencia do
terreno siluriano no baixo Alemtejo. Memoria apre-
sentada à academia real das sciencias de Lisboa por
J. F. N. Delgado. Lisboa 1876. 4.
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Inseln. (Aus dem LXXI. Bde der Sitzb. der k. Akad.
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Leipzig | S
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und phylogenetischem Gesichtspunkt. Dorpat 1875. 4.
hlagintweit-Sakünlünski. Über das Genus Rosa in
VU 13
lagintweit
Hochasien, und über Rosenwasser und Rosenól. Mün-
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U. 5. Centennial Exhibition 1876. Catalogue to illustrate
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Bulletin of the Museum of comparative Zoology at Har-
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Cambridge March 27, 1876. 8.
Annual report of the trustees of the Museum of compara-
tive zoology, at Harvard College, in Cambridge; to-
gether with the report of the curator to the commit-
tee on the Museum for 1875. Boston 1876. 8.
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Bulletin de l'Académie Impériale des Sciences de Saint- Pétersbourg.
Preudhomme de Borre. La possibilité de la naturali-
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Ebner, Victor Ritter v. Die acinósen Drüsen der Zunge
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The journal of the anthropological institute of Great-Bri-
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public health. A. Some defects in the immigration
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by John M. Woodworth. B. Sailors as propagators
of disease by Heber Smith. Cambridge 1875. 8.
Evsebi Chronicorum libri duo. Vol. I. Evsebi Chronico-
rum liber prior. Edidit Alfred Schoene. Berolini 1875. 4.
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Mittheilungen der k. k. máhrisch-schlesischen Gesellschaft
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deskunde in Brünn. 1874 (54° Jahrg). 1875 (55***
Jahrg.) Brünn. 4.
Luschin, Arnold. Die Entstehungszeit des österreichi-
schen Landesrechts. Eine krit. Studie. Graz 1872. 4.
Korrespondenzblatt des Vereins für Kunst und Alterthum
in Ulm und Oberschwaben. Jahrgang I J 1. 2. 3. 4.
Ulm 1876. 4.
Archiv für hessische Geschichte und
Bd. XIV Heft 1. Darmstadt 1875.
Zeitschrift des k. sächsischen statistischen Bureau's. Redi-
girt von dessen Director Dr. Victor Bóhmert. XXI.
Jahrg. 1875. Heft III und IV. Dresden. 4.
Mittheilungen des statistischen Bureaus der Stadt Dresden.
Herausgegeben von Jannasch. Heft III. Dresden.
Mittheilungen des Vereins für Chemnitzer Geschichte. I.
Jahresbericht für 1874— 75. Chemnitz 1876. 8.
Zeitschrift der kónigl. preuss. statistischen Bureaus. XIV.
Jahrgang. Berlin 1875. 8.
Budapest fóváros statistikai hivatalának kózleményi né-
met forditás. Publicationen des statistischen Bureaus
der Hauptstadt Budapest XI. Die Sterblichkeit in der
Stadt Pest in den Jahren 1872—73 und deren Ur-
sachen. Von Josef Kórósi. Berlin 1876. 8
XII. Die Bauthátigkeit Budapest's in den Jahren 1873 u.
1874. Von Josef Kórósi. Berlin 1876. 8
Alterthumskunde.
8.
Schlagintweit-Sakünlünski. H. V. Angaben zur Cha-
rakteristik der Kru-Neger. München 1875. 8.
Putnam, F. W. Archaeological Researches in Kentucky
and Indiana 1874. (From Proceedings of the Boston
Society of Natural History. Vol. XVII. 1873.) 8.
Eighth annual report of the trustees of the Peabody Mu-
seum of American Archaeology and Ethnology, Cam-
bridge 1875. 8.
First annual report of the Commissioners of State Parks
of the State of New York. Albany 1874. 8.
Report of the secretary of the treasury onthe state of the
finances for the year 1875. Washington 1875. 8.
Schade, Louis. The United States of North America and
the immigration since 1790. A statistical essay.
1 feuille.
Bulletin de la société industrielle et agricole d'Angers et
du département de Maine-et-Loire. XLVI. année. —
XVI" de la 3 série. — 1875. 1” trimestre. Angers
1875. 8. :
Iron. The Journal of sciences, metals and manufactures.
X 155—172. London. 8.
Gazette archéologique, recueil de monuments pour servir
à la connaissance et à l'histoire de l'art antique pu-
blié par les soins de J. de Witte et Francois Le--
normant. Premiere année 1874. Paris. 4.
Compte-rendu de la commission Impériale archéologique
pour l'année 1873. St.-Pétersbourg 1876. 4.
Atlas. Fol. ;
Schoebel, Charles. Le mythe de la femme et du serpent.
Etude sur les origines d'une évolution psychologique
primordiale. Paris 1876. 8.
Das neue Fermühtnis Aus dem Grihischen, der, im
kloster am Sinai fon Tischendorf aufgefundenen, Ur- .
kunde u. s. w. Mattäus. Johannes. Leipzig 1875. 8.
Bulletin de l'Académie royale de médecine de Belgique.
Année 1876. III ser. T. X. X 1—4. Bruxelles 1876. 8.
Mémoires couronnés et autres mémoires publiés par
l'Académie royale de médecine de Belgique. Collec-
tion in 8°. T. III. 4. fascicule. Bruxelles 1876.
Jahresbericht über die Verwaltung des Medicinalwesens,
die Krankenanstalten und die öffentlichen Gesund-
heitsverhültnisse der Stadt Frankfurt am M. XVIII.
Jahrg. 1874. Frankfurt am M. 1875. 8.
Revue de médecine et de pharmacie de l'Empire ottoman
1876. X 7, 8, 9. Constantinople. 4.
Annual report of the supervising surgeon of the Marine-
Hospital service of the United States for the Fiscal
year 1873—74. Washington 1873— 74. 8.
The Cholera epidemic of 1873 in the United States. Wa-
shington 1875. 8. i
Paru le 1 septembre 1876,
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T. XXII, N^ 3.
BULLETIN
DE L'ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PÉTERSBOURG.
TOME XXII.
(Feuilles 21—31.)
CONTENT.
Page.
N. Géleznow, Recherches sur la quantité et la répartition de l'eau dans la tige des
CI A a o. E au ur et ous 321—358
V. Bouniakowsky, Sur quelques propositions nouvelles relatives au systeme de Le-
gendre 2) o ex o EE 358—377
M. Avenarius, Sur les causes qui déterminent la température critique (avec 1 planche) . 378—389
F. W. Woldstedt, Sur une collection d’Ichneumonides de Silésie. ............. ia aA 390—402
L, fosa Parerga Ee EE EE 402—409
ee A Iu bre 0 440—454
M. Brosset, De la Chronologie technique géorgienne, ecclésiastique et civile.......... 455—488
G. Lawrinowitsch, Sur le pinacone et le pinacoline qui se forment du méthylæthylketon 488 —492
Bulletin amens cec A DR Me E T T 492—496
>
On s'abonne: chez MN. Eggers € Ci°, J. Issakof et J. Glasounof, libraires à St.-Pétersbourg; au Comité Ad-
: ministratif = l'Académie (Kowwrert IIpaszenis Ummeparoperofi Axaxemin Hayks); N. Kymmel, libraire à Riga,
et chez M. Léopold. Voss, libraire à Leipzig.
Le prix d'abonnement, par volume composé de 36 feuilles, est de 3 rbl. arg. pour la Russie,
9 marks Allemands ROUE l'étranger.
Imprimé par ordre de 1 cdi Impérial e des sci jences
Décembre 1876. o C. Vessélofski, Serbii perpétuel.
Imprimerie de l’Académie Impériale des sciences.
(Vass.-Ostr., 9° ligne, X 12)
PU
| BULLETIN
DE L'ACADEMIE IMPÉRIALE DES SCIENCES DE ST.-PETERSBOURG.
Recherches sur la quantité et la répartition de l'eau
. dans la tige des plantes ligneuses. Par N. Gelez-
now. (Lu le 19 décembre 1872.)
L'eau joue un róle si important dans la vie des
plantes, que l'étude détaillée de la distribution de ce
liquide dans les différents organes, et aux différentes
époques de la végétation, mérite pleinement l'attention
des physiologistes.
Une circonstance particulière m'a déterminé à
entreprendre cette étude. Il y a bien des années (1854
ou 1855) qu'un fait curieux a attiré mon attention.
J'ai remarqué, pendant un hiver froid, aux environs
de St.-Pétersbourg, que les branches inférieures d'un
tilleul touchaient le sol par leur extrémité, tandis que
par un temps plus doux, en été, ces mémes branches
étaient relevées de maniére, qu'on pouvait facilement
‚se tenir debout sous leur ombrage.
Ce fait remarquable a été signalé pour la premiere
fois par M. Rogers. L'hiver de l'année 1833 était
trés rigoureux en Angleterre et a fait périr ou a en-
dommagé beaucoup de plantes. Le célébre Lindley,
rassemblant de toutes parts les notions concernant cetto
dévastation, publia la remarque de M. Rogers*). Ce
propriétaire du duché de Kent remarqua que, pendant
un matin trés froid les branches des tilleuls plantés
dans son jardin penchaient vers la terre et obstruaient
le passage. Il avait déjà l'intention de les couper,
lorsque, dans la journée devenue plus chaude, le phé-
noméne disparut, c'est-à-dire que les branches se re-
levérent de nouveau.
. En 1865 et en 1866 M. le professeur Caspary
a étudié le méme phénomène à Königsberg avec un
plus grand soin et sur plusieurs espèces d'arbres. Cet
illustre savant attribuait l'abaissement et le reléve-
ment des branches, comme M. Rogers, à l'action du
froid, sans donner d'explication sur ce fait. ")
Lands 1867 parut à Bäle un petit mémoire de
*) Les citations ERTS seront communiquées après.
1) Uber die Veränderungen der Richtung der Äste holziger
Gewächse bewirkt durch niedrige Wärmegrade. Extrait du: Report
of the international Exhibition et botanical Congress. London, 1866.
Tome XXII.
M. Beyer*). H y était question des branches de sapin
séchées nat Let dépourvues d'écorce, qu'on em-
ploie généralement en Suisse, en les humectant, comme
de véritables hygrométres et méme assez sensibles.
J'ai observé souvent des branches séches recou-
vertes d'écorce, attachées à l'arbre, chez un Pinus
Strobus, aussi bien que séparées et je me suis assuré
qu'elles jouaient beaucoup moins que les branches |
fraiches. Je les ai employées, celles du tilleul princi-
palement, non comme hygrométres, mais comme ther-
mométres. En fixant horizontalement par sa base une
branche droite et en tracant vers son extrémité, sur
une planche verticale, un arc divisé en degrés, j'ai pu
observer de loin l'intensité du froid, indiqué par le
sommet de la branche, plus ou moins inclinée. Je n'ai
pas, d'ailleurs, l'intention de réfuter ici l'assertion de
M. Beyer. Il est évident que le bois, comme substance
hygroscopique, est sujet à l'influence de l'humidité at-
mosphérique. Je remarquerai seulement, que M. Beyer
rigen du bois sec et dépourvu d'écorce, tandis que
J ai expérimenté avec le bois frais et recouvert d'écorce.
Je me suis assuré par une longue série d'obser-
vations, faites en 1864 et 1865, que la position excen-
trique de la moelle influait sur le phénomène. On sait,
par la remarque du feu M. Schimper de Manheim?),
que le canal médullaire est loin de se trouver toujours
exactement au centre de la branche. Dans quelques
espéces il est placé constamment au-dessus du centre
géometrique, comme dans les coniferes; dans une foule
d'autres epéces il est placé au-dessous etc. Or pour
prouver que cette position excentrique exerce une in-
fluence prédominante dans l'abaissement des branches
par le froid, j'ai fixé la base de plusieurs branches de
tilleul, de bouleau, d'orme et autres, dans la position
naturelle, c'est-à-dire le canal médullaire se trouvant
plus prés de la terre. D'autres branches de méme
espéce, de dimensions trés approximativement les
mémes, étaient renversées, le canal médullaire se trou-
vant au-dessus du centre géometrique. L'expérience
2) Amtlicher Bericht über die 31. Versammlung vp Se
turforscher und Ärzte in Göttingen. 1854. a 1860, p. 8
323
Bulletin de l'Académie Impériale
D
était préparée pendant le dégel. Les branches se trou-
vaient droites et leurs sommets sur le 0? au milieu de
Pare; mais par le froid survenu, les branches se sont
courbées en sens opposé. Ceci prouverait que c'est
- la position de la moelle qui détermine leur direction.
D'où vient cependant que les branches de pin, tout en
ayant une position inverse de la moelle, s'inclinent par
le froid pourtant dans le méme sens que le tilleul,
tandis qu'elles devraient se relever.
Cette circonstance m'a engagé à entreprendre, en
1865 — 1867, une étude des propriétés du bois frais
dans différentes parties des branches, au-dessus et au-
dessous de la moelle et à différentes époques de l'an-
née. Il me semblait que l'humidité, répartie inégale-
ment plus haut ou plus bas du canal médullaire, pou-
. wait produire et expliquer le phénomène de l'abaisse-
— `, ment et du relèvement.
J'ai choisi pour cela quelques espéces qui se trou-
vaient dans différentes parties du pare de l'Académie
agricole et forestiére de Pierre le Grand prés de Mos-
cou, en exemplaires de grandes dimensions, dont quatre
conifères savoir: le pin ordinaire, le sapin, le mélèze
et le pin Lord; de méme que le bouleau, le chene, l'é-
rable, Porme et l'ormeau.
Quelques résultats de ces rechefches, que j'ai l'in-
tention de publier séparément, pourront étre placés
utilement dans ce mémoire: 1) A commencer de la
base de chaque branche l'eau augmente successive-
ment vers son sommet. 2) L'écorce du mélèze, à toutes
les époques de l'année, est plus humide que le bois.
3) Dans les coniféres le bois de la partie supérieure
de la branche, qui se trouve au-dessus du canal mé-
dullaire, est toujours plus chargée d'eau que la par-
tie inférieure. 4) Dans plusieurs autres arbres c'est
la partie inférieure qui est plus aqueuse, comme dans
le bouleau.
. Il parait donc que le bois des conifères et celui des
autres arbres dicotylédonnés possedent des propriétés
opposées sous le rapport de l'humidité. De là il y a cer-
tainement loin à une explication suffisante du phéno-
mene de l'abaissement des branches par le froid, mais
. au moins voit-on- clairement que c'est dans cette di-
` rection qu'il faut chercher la vérité.
Pour obtenir des résultats concluants j'ai opéré sur
un seul arbre de chaque espéce, qui avait assez de
branches pour pouvoir les couper tous les mois une à
dm
une pendant toute une année. Mais comme les branches
devaient être prises à des hauteurs différentes, je dou-
tais que la quantité d’eau fût partout la même. 11 fallut
donc entreprendre une nouvelle série de recherches
pour pouvoir faire des corrections convenables.
C'est justement cette série d'observations qui fait le
sujet de ma présente communication. C'est dans la
suite, quand je serai parvenu à rassembler assez de
faits pour un mémoire général sur la distribution de
l'eau dans les plantes, que je me propose d'exposer la
littérature de cette matière. Pour le moment je n'ex-
pose que mes propres observations.
Voici comment j'ai opéré: J'ai choisi dans le parc
de l'Académie trois groupes d'arbres, qui contenaient
un assez grand nombre de sujets de la méme esptce,
à peu prés du méme áge et des mémes dimensions.
Ils provenaient du semis naturel dans le temps que le
parc était complétement délaissé. Le groupe le plus
éloigné était composé de pins et se trouvait, en hiver,
à 10 minutes de chemin de mon habitation; le groupe
intermédiaire qui était le plus grand contenait des bou-
leaux, des trembles et quelques autres plantes. Enfin les
érables végétaient tout prés, dans mon jardin parti-
culier, au milieu des grands érables, leurs progéniteurs.
Les arbres étaient àgés de 11 à 36 ans, mais les sujets
de la méme espéces ne différaient en áge que de 4 à
12 ans. Ils avaient la hauteur de 4 à 9 m. et un dia- _
métre de 4 à 10 cm. prés du sol.
Les observations ont duré toute une année, depuis
le mois de mars de l'année 1868 jusqu'à celui de
l'année 1869. Chaque mois, et au jour indiqué, aussi
régulièrement que le permettaient mes occupations
principales, je coupais avec une scie un arbre de chaque.
espece. Pour la coupe je choisissais toujours un temps
sec; à cause de cela j'étais obligé de la remettre
quelquefois pour plusieurs heures et méme pour plu-
sieurs jours. Je coupais l'arbre à fleur de terre ou à
une hauteur qui ne dépassait pas 60 cm. (quand la
neige entourant la base de l'arbre, entrait dans les
fissures de Pécorce et empéchait de la bien essuyer, ou
quand quelques autres circonstances ne permettaient
pas de couper plus bas). Lorsque l'arbre abattu était
transporté dans la chambre et divisé en cinq par- zi
ties presque égales, on détachait d'abord de sa base
une pièce de la longueur de 5 cm. environ. Cette —
opération se faisait au froid et en été du moins dans —
£
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
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: 1
un endroit frais, pour éviter, autant que possible, la | mois pour donner une idée approximative des météores
perte de l'eau pendant la préparation et les pesées. | de cette année, qui influent le plus sur la végétation.
La surface inférieure et supérieure de la pièce étant
très vite égalisées par un instrument tranchant, on la
pesait dans un verre couvert. Ensuite on détachait
l'écorce et pesait le bois seul. La méme chose se ré-
pétait successivement avec les autres quatre pièces.
Elles étaient toutes conservées dans un endroit sec
dans des capsules en papier. La dessication définitive
se faisait à 120? C. :
Les résultats de toutes ces opérations sont con-
signées dans les tableaux suivants. Je sais bien qu'il
n'est pas d'usage d'imprimer les chiffres, dont on ob-
tient les pour cents d'eau; j'espére néanmoins qu'on
me passera cette exactitude superflue pour des consi-
dérations que je compte expliquer un jour.
Pour ne pas augmenter le nombre déjà assez grand
des chiffres, j'aurais pu omettre aussi les dimensions,
exactement mesurées des piéces de bois pesées et les
intervalles non pesés, qui se trouvent dans la dernière
et l'avant derniére colonnes des tableaux; mais j'aime
mieux les voir imprimés ici, pour donner une idée plus
claire des arbres sur lesquels j'ai opéré et pour pou-
voir, peut étre ensuite, en faire quelque usage utile,
que je laisse maintenant sans considération. |
Je n'avais pas assez de temps pouf suivre constam-
ment et assez en détail tous les phénoménes aériens,
qui peuvent influer sur la quantité d'eau dans les plantes.
L’observatoire météorologiques projeté de l'Académie
ne fonctionnait pas encore. J'ai du donc me con-
tenter de quelques remarques, par exemple sur la
température de l'air au moment de la coupe de chaque
arbre, etc. que je place ici telles que je les ai notées
dans mon journal. Je me propose dans la suite de
faire une étude spéciale de l’influence des phénomènes
météorologiques sur le contenu de l'eau dans les plantes;
cependant, maintenant, pour donner une idée sur la
marche du temps dans mes recherches, j'ai consulté
les tables des observations météorologiques, qui se pub-
- lient dans les Annales de l'observatoire physique cen-
tral de Russie, et qui se font entre autre à Moscou à
l'institut des arpenteurs à la distance en ligne droite
d'environ 10 kilomètres au SO de l'Académie.
Il suffit, je crois, de reproduire ici la température,
l'humidité relative et surtout la quantité de pluie par
Température Humidité relative Pluie et neige
0 mm
Mois
Janvier 1868 — 11788C 0,96
e 20,4
Février — 12,19 0,96 26,1
Mars — 4,36 0,86 12,1
| Avril -- 2,40 0,74 22,0
Mai + 11,63 0,64 36,1
Juin + 15,06 0,67 22,2,
Juillet + 19,09 0,70 36,3
Aoút + 18,00 0,71 15,2
Septembre -+ 11,58 0,77 67,6
Octobre + 7,64 0,80 13,3
Novembre — 3,89 0,92 90,3.
Décembre — 4,89 0,93 47,2
Janvier 1869 — 12,71 0,98 24,2
Février — 3,36 0,94 38,4
En examinant ces trois colonnes on s'assure que l'an-
née 1868 était une année assez exceptionelle; sous le
rapport de la température elle était moyenne. Il n’y
avait que cinq jours de grand froid, de —26 à — 39°C.
qui durait le matin. Il n'y avait pas de chaleurs du
tout. Le maximum de + 24^ ne s'est montré qu'un
jour, le 20 juillet, et la moyenne de + 19? se pro-
longeait une semaine.
L'air était saturé aux mois de janvier et de février
seulement pendant 12 et 14 jours; au mois de no-
vembre et de décembre pendant 8 et 2 jours. Au `
mois d'avril, mai, juin et juillet il y avait 22 jours où
l'humidité relative descendait de 50 à 60%. C'était
une année trés séche. Il est tombé un tiers de l'eau en
comparaison des années précédente et suivante. Au
mois d'avril il y avait seulement 4 jours de pluie ou `
de neige. Au mois d'aoüt et d'octobre 5 jours. En
comparant les moyennes des trois années subséquentes
on jugera mieux du caractere de l'année 1868.
1867 +256C 0,834, 699,9""
1868 +4304 . (0,80 249,50
1869 — 5,78 0,83 ` 647,5 .
Je n'ai pas comparé les jours de pluie avec mes jours.
d'observations, parce que l'eau tombait chaque fois à si
petites quantités que je n'espérais pas pouvoir remar- -
quer son influence sur les arbres. Une forte pluie tomba `
le 27 juillet, de 18,4"". Les deux autres le 15 sept.
et le 10 oct. de 21,1 et de 20””; pendant la plupart
des autres jours il tombait moins de 0,25"" d'eau.
21*
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A
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P 3| 75,34 27,27| 48,0763,80/10,97 4,93 .6,04,55,06| 86,81| 32,20, 54,1162,69| 6 [4,555,283 3077
2 (4113690 4847| 87.73 6441|19.20 10,37 8,53.45,99/155,40| 58,84 96,5662,14| 9 |5,925,23 2350
7 151206,30 76,25 130,05 63,04[38,75 24,15 14,00 37,68 245,05 100,40 144,65/59,03/16 |6,785,64 "757
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450,50 163,08 287,42/63,80/76,93 42,16 34,17/44,77/526,83 205,24 321,59 61,04 | 7413,80
É 1| 402 140 2,626517 1,62] 0,60) 1,02,62,35 5,64. 200 3,64/64,54| 2 |L045,23| 2725| L'bumiditó dans Vécorce
$ |2| 24,15 8,52 15,6364,72| 5,02| 1,56| 3,46,68,92| 29,17, 10,08) 19,0965,44| 4 (2,515,131, 23 kennas aa ph
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S 141110.25| 4400! 66,25 60,09118,57| 7,1711,40,6140/128,82| 51,17| 77,65/60,28| 9 [5,415,49| eg gollégère indorescenes de ya.
3 (5|248,37| 80,45 167,92/67,61|36,95|19, 20 17,754 8,04,285,32 99,65/185,67/65,07/15 |6,99 5,89 5 Og|Peurs se forme sur les pa-
| | | ere c
| 452,92/160,72 292,20 64,51174,41 33,11 4130 55,50 527,33/198,65/333,68 63,28 | 42032 :
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Cm.
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| 400 p. dub an
j 43 8 Bed,
9212 0,94 1,1855,66| 1,16| 0,56 0,60 51,72 3,28| 1,50 1,78 54,27 4 10,794,70 27 ta = c
21,15! 7,52, 13,63/64,44| 5,29| 2,24 3.05/57,66 26,44| 9,76 16,68 63,09 8 [1,36 4,90 :
21,25| 38,66/64,53[11,91| 5,09 6,82,57,26| 71,82 26,34 45,48 63, 32| 11 [2,39
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| 72,99 t= — 198.
650! 2,47! 4,0362,00| 2,40 0,87 1,5363,75| 8,90 3,34 5,5662,47) 2 1,80,5,19 87 70) L'arbre, à la hauteur de
98.61 10,53) 18,0863,19| 4,40 1,86. 2,5457,77| 33,51| 12,39) 21,1263,03| 5 2,675,001, 79
68,18 25,07| 42,51,62,35|10,78| 3,97 6,8163,17| 78,96, 29,64 49,32 62,40) 10 3,20 5,00 155 y g branche la plus robuste, à
103.79) 40,40| 63,39 61,08115,90 6,49 9,4159,12/119,69| 46,89 72,80 60,82) 14 5,54 5,111, 09991 Par. Quote ont
184,74 82,311102,43 55,45[28,99 15,83 13,16/45,39/213,73 98,141115,59,54,08) 17 6,86 5,64 iid Bola, tais. tan molle,
H H H | | 61, 49 u mais étant molle,
: - elle se laisse facilement ra-
Le 23 décembre.
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391,82/161,38 230,44 58,81 62,47 29,02 33,45 53,55l454, 79.190,40 264,39 58,13 | 601,54 p
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4| 54,71) 20,26 34,45 62,97I10,80| 4,02 6,7862,78| 65,51 24,28 41 ‚23 62,94 — 18,99/5,08. nos pn m a
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1869.
Le 21 janvier.
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35,24 13,03 22,21/63,02| 6,18 236 3,92 63,43| 41,42| 15,29 96.13. 63,09| 7 [3,00 5,00
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62,19, 24,71) 37,48,60,27 9,51) 4,48 5,0352,89| 71,70 29,19 42,5159,29| 9 4,04 5,13
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Le 18 février.
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1868.
Le 22 mars.
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48,03
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28,53.
2.96
16,77
27,00
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11,76
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43,79
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1,42
5,95
7,25
38,55
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45,00
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11,24
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4,79
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53,52
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19,49
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2,745
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176,55
132,47
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44,25 23,97
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353,27
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sépare pas du bois; il
couper. Aprés "les
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Le 19 avril.
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88,01
126,51
250,71
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27,65
47,60
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132,00
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40,41
57,71
118,71
41,21
46,11
45,92
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14,29
17,25
24,64
1,17
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12,90
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51,29
1,24
1102,30
11,85
59,87
0143,76
11,74 47,65
275,35
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55,24
78,46
144,90
5,13
43,29
28,05
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46,00
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130,45
47,38
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3,63
4,70
5,50
7,8415.
t = + 898.
La neige est à moitié dis-
281,60
244,38
46,46
67,15
35,54
31,6147,04
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275,99
46,53
corce il y a de l'humidité.
Cx © D —
Le 13 mai.
325, 99
175,72
2.89
2
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11,55
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78,04
40,50
45,58
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18,49
150,20
46,08
30,28
0,96
2.45
5,81
9,26
15,51
1,16
2,72
5,84
9,23
54,72
52,61
50,13
49,92
9,34
33,69
97,00
180,64
14,77 48,78
356,20
5,29
19,42
52,26
93,37
191,23
4,05
14,27
44,74
87,27
164,97
43,36
42,36
46,12
48,31
46,31
1,47
2,72
4,72
6,25 |
130,81
147,82
144,00
130,30
8,64
609,16
327,58
281,58
67,718:
33,72 49,80
46,22
676,87
361,57 315,30
46,58
t = + 1871.
p
6,34
36,90
107,49
3,80
22,15
64,99
Le 13 juin.
CD He © D
|
168,30
389,51
96,35
198,60
2,54
14,75
42,50
71,95
190,91
40,06
39,97
39,54
42,75
49,01
2,03
6,70
17,21
21,59
33,95
18,22
8,37
1,2 3
3,80
8,95
60,59
56,72
52,00
43,60
124,70
10,29 47,66
189,89
4,60
25,05
73,25
107,65
216,82
15,73 46,33
708,54
385,89
322,65
41,48
E
45,54
423,46
3,77
18,55
51,45
82,24
206,64
45,04
42,55
41,26
43,31
48,80
1321
7 H
2,87
5,18
6,53
9,17
4,80
t = + 2494,
es feuilles se sont com-
raten développées,mais
Ce sont — tendres et
qm peu
l'opération. grins se dé-
tache parfaitement. Le bois
e
81,48
40,00 49,09
790,02
497,37:
362,65
45,90
788,60
st humide. Condensation
de vapeur sur le verre,
*214NO0QS1339 4 - JUICE 9p SIDUILOS SIP
II. Acer platanoides L.
j'ai inscrit 6,85 au lieu de 1
$ A. Bois. B. Écorce. c. Total. | ig. Dimensions.
5 Nel Matière | Matière | fau Eau | Matière | Matière | E Eau | Matière on Ban Eau | An- | Pièces posées. non posés. Remarques.
S fraiche. | séche. ; pour | fraîche. | sèche. dii pour | fraiche. | séch - pour | nées. 7 TE
3 en 100 p. gm, | gm. |400p.| gm. | £ gm. |1400 p. Diam. | Tong. | Tone
| BR 87 apo
4 1| 4,38 2,49 1,8943,15| 1,60 | 0,59 1,01/63,13[ 5,98 3,08 2.90 48 49, 8 |1,67/5.00 1 3288 Fia ales sche
= 2| 41,98 25,50 16,48 39,26) 8,80 | 3,85 4,95 56,25] 50,78| 29, 35| 21,43 42,20) 14 3,58 4,83 190,5olgrandes et robustes Le bois
= al 97,77 54,70, 43,07 44,05116,85*) 8,06 8,79/52,17[114,62 62,76 51,86 45, 28 19 [5115,19 20. do [eH hands Tae abo-
= 4111301 76,60 36,41/32,2230,05 [11,0119,0463,36/143,06| 87,01, 55,45,38,76| 24 [6,22 4,701] 99/7y|peurs sur le verre. Le nou-
3 5[285,72159,49.126,2344,18,32,46 [10,71/21,75/67,01[318,18/170,20/147, 98 46, 51| 30 [8.18 5.16. DU C E
! l | = "—ldötache nettement,maisavec | &
542,86/318,78 224,08 41,28]89,76 134,22 55,54 61,88 632,62 353,00 279,02 44,20 7934,68 [tort 3
1 f f D
„| 410 225 1854512 1,44 | 0,50| 0,94165,28 554| 2,75 27950,36| 2,5/1,195,16 t = + 2090. S
# 2| 40.25 23,10 17,1542,61| 7,46 | 3,32 4,14/55,50| 47,71 26,42 21,2944,69| 9,5 3,56 5,16 Le nouveau bois forme
#13) 75,34 49,75 32,59 43,26/12,94 | 6,21| 6,73152,011 88,28 48,96| 39,932 44,54/16,514,70/5,05 meen EA heat S..
3 4| 97,83 60,00, 37,83,38,67/15,74 7.67 80751.27/113,57 67,67| 45,90 40,42/19,5/5,59 4,88 qu'en partie. -
5179, 15 110,55 68,60/38,29|26,80 (13,06 13,74,51,27 205,95 123,61| 82,34 39,98/26,0/7,24 3,73 >
SE 5 "n | S
sos 238.65 158,02/39,84l64,38 [30,76 33,62/52,22|161,05/269,41 191,64 .41,57 S
a| 420 250 1704048| 1,75 5,95 5 114596 11591 t = +15%0, S
S 2| 28,60| 17,70| 10,9038,11| 6,71 95,91 11 12,84 50315748 Une légère condensation | P
=. 3| 54,52 33,80 20,72 38,00/10,93 65, | 17 13,785 45157 en E
2 4| 85,04 54,65| 30,39/35,74114,98 | 7,71, 7,2748,53/100,02| 62,36 37,66 37,65| 20 |4805, 16115443 s
3 5[184,78/117,05| 67,73 36,65125,15 [13,61 11,54 45,881209,93 130,66 79,27/37,76| 34 be 19508 E
IA 1 a_l n
357,14/225,70131,44/36,80 | | | | | | 76451
i| 362 210 1,524199| 140 | 0,60 0,8057,14| 5,02| 2,70 9,3246,29 4 |1,17 6185251 Les. feuilles ont jauni e
$ 2| 21,76| 13, 30 8,4638,88| 4,85 | 2,25 2,60/53,61| 26,61| 15,55 11,06 41, 56| 8 [2,59 5,00 y 31 gglbdes.L’öcorce ne se détache
8 5| 37,96 23,85 14,11 37,17 7,96 4,04 3,0249,25| 45,92 27,89 18,03 39,26] 12 [3,38 Ris Ee y
© 4| 6461| 40,75 23,86 36,93|11,80 | 6,46, 5,3445,25| 76,41] 47, 21 29 2038, 21| 18 14,32 5,05 1 99/87|une condensation annuaire
35 159,54102,10 57,44 36,0023,67 13,11 10,56 44,611183,21 115,21 68,00 37,12] 24 [6,35 5,881" ^ Rai le fond du verte, an
PESAN ACA | | | = Lo Les. de la surface de la
| [287,49|182,10/105,39136,60/19,68 26,46/23,22,40,74 | 619,07 [eoupe.
ns mon journal la matière fraiche était notée comme ayant 6,85 gr. Mais y éent E ques de la matière sèche est plus grand, 8,06 gr., il est évident que E SS i
dans le premier cas il y avait une erreur. J'ai donc supposé que j
Le
o
s II. Acer platanoides I.
2
Si 294| 1,80) 1,1438,78| 1,21 | 0,45 0,7662,81| 415 225 1904578 5 10251 18216 T
&|2| 23,15| 14,40 8,75/37,80| 5,26 | 2,45 2,81/53,42| 28,41| 16,85| 11,56/40,69| 10 2,675,337 1,
S 3| 65,44 40,74| 24,7037,7412,96 | 6,64| 6,3248,77| 78,40| 47,38| 31,02/39,57| 16 [4,24 AE REEN
a 4|11021 72,22 37,99/34,47/17,14 | 9,50 7,6444,57]127,35| 81,72| 45,63|35,83| 23 |5,445,64 130%]
3 5213,72122,40 91,3242,72/23,82 [13,21 10,61/44,54/237,54|135,61/101,93|42,91| 36 |7,095,51| 75,
415,46251,56 163,90/39,45160,39 (32,25/28,14 46,60(475,85 283,811192,04140,36 "718,98
F |
Su 446 2,65 1,8140, 58| 1,66 | 0,771 0,8953,611 6,12 3,42 2704412 6 114498] 7022 = — 590.
S 2| 20,20 12,50 7,7038,12| 5,58 | 2,83. 2,7549,28| 25,78| 15,33. 10,45/40,54[ 17 12,51 5,00 96.01 |e 3° trouvant sous un autro
$ 3| 37,01| 22,70 14,31/38,67| 8,96 | 4,84| 4,1245,98| 45,97| 27,54| 18,43 40,09| 22 |3,28 5,18 9601 érable plus, grand nu
œ |4| 63,58, 41,80| 21,78,34,26113,09 | 7,15| 5,94145,38| 76,67, 48,95 27,72/36,15| 23 |4,27/5,13 93,7 3 deviation — à er
um | TTA ,/ Oln'est pas "humidi
q 5/2607, 78,30 47,7737,89/22,51 12,53 9,9844,34148,58 90,83| 57,7538,87| 26 [5,38 5,51 11 A parat asia, x
— ger o endant il n'y a e con-
251,321157,95 93,37 37,15 51,80 28,12 23,68 45,71/303,12186,07 117,05 38,62] - 586,08 densation sur le verre.
- j |
&|1| 19,96 12,73| 7,23 36,22| 451 | 2,28 2,2349,45| 24,47 15,01 9,4638,60| 9 2.394,95 Pe] tese.
© 2| 41,21) 26,50! 14,7135,70 7,40 | 3,58 3,8251,62| 48,61 30,08) 18,53/38,12) 13 [3,63 4,78, 3°, | Le bois est gelé. Il n'y a
= [3] 98,60) 60,21| 38,3938,94[13,95 | 6,74 7,21/51,68112,55| 66,95! 45,60 40,52| 16 |5,23/5,21 (ës jore emere a t
"d 176,95/1109,26| 67,69 38,25/24,37 |13,21/11,16/45,79/201,32/122,47| 78,85/39,17| 24 |7,11)4,88 16619 niére couche annuelle est
S [5 [349,75/224,00 125,75 35,95/35,48 |20,68/14,80141,711385,23/244,68 140,55 /36,48| 33 (9,35 5,56 279 als. muss “ello: est de
686,47 432,70 253,77 36,97/85,71 |46,49/39,22/45 76|772,18 479,19 292,99 37,94 883,65
| -| 62,23
&|1| 3,35 | 2,20 1,15/34,83| 1,44 | 0,55 0,8961,80| 4,79 2,75| 2,0442,59| 5 [1,14 5051, 4478 t = — 6295.
E jal 9741 1820 92123.60| 601 2,90 3,1151,75| 33,42 21,10) 12,32/36,86| 10 [3,10/5,21|, 5072|, Le suc sortait des sur-
= |3| 64,42 40,95| 23,47/36,43113,64 | 7,09| 6,55/48,09| 78,06 48,04| 30,02/38,46| 16 |4,42 5,10 150.72 ness coupées Le jung bo
= 4|112,99| 68,80 44,19,39,11]18,32 |10,16| 8,1644,541131,31| 78,96| 52,35 39,87| 20 5,51/5,88 , 531 g|et 2 laissent une condensa-
3 [5[217,67/135,00 82,6737,98/23,00 12,71110,29 44,74/240,67/147,71| 92,96 38,63] 26 |6,58 5,59 7", [Mon sur le verre.
D 425,84 265,15160,69,37,71162,41 33,41 29,00 46,47 488,25 298,56 189,69 38,85 772499
ee -JUUS DP SIDUIOS sop
III Betula alba I.
Jours A. Bois. B. Écorce. C. Total. ijs : Dimensions:
et Ne Matière Matiére Eau. | Eau Matière | Matière Eau. wa? Matiere Matiére Eau. | Eau An- Pièces pesées. | Intervalle Remarques.
mois Ga séche pa Be fraiche.| sèche. gn. Am Ene pon gm. E, nées. Diam. | Low. Long.
"EUR EET T 9,09
ll 1,18! 0,64| 0,5445,76| 0,73, Dän 0,38/52,05| 1,91 0,99 0,9248,17| 1 [1,02/5,00, 99 ol. Température au moment
lol 1415| 7,552 6,6346,86| 447, 2,37| 2,10/46,98| 18,62] 9,89) 8,73,46,89 3 (2,13/5,18/ 97 15] la coupe, t=0%0 C.
S 813) 47,95| 23,62 24,3350,74 9,76. 5,15 4,6147,23| 57,71 28,77, 28,9450,11| 5 [3,69 5231341]
"alt 8274| 43,65| 39,09/47,24/14,75| 9,39| 5,85,36,34| 97,49 53,04 44,4545,59| 8 [4,89 5,16 13970
5|120,36| 64,00) 56,36 46,83|28,01118,02) 9,99/35,67 148,37 82,02 66,35 44,72] 12 [5,84 5,2 | 47,2 A|Souche.
966,33/139,43/126,95 47,66|57,72 35,28 22,44 38,88|324,10,174,71/149,39, 46,09 674,04 |Hauteur de l'arbre.
lı] 440) 2,34 2,0646,82| 1,56| 0,75| 0,81,51,92| 5,96 3,09 2,8748,15| 2 1,23/5,0 Me t —- — 2%,
E l9| 22,11| 11,82 10,79,48,80| 4,93) 2,96 1,97 40,00 97.04 14,28 12,7647,19| 4 2,6015,13 39 15) La neige est profonde,
5 |3| 38,09| 19,30| 18,7949,33| 6,58 3,80| 2,7842,34| 44,67 23,10 21,5748,29| 5 [5,98 BOE SE an Md forme na alan
7 4| 8107, 37,66, 43,41/53,55[13,95| 7,82 6,1343,94| 95,02| 45,48 49,5452,14| 9 |4,694,88 | 5 gajement-
3 [5113219 62,07, 70,1253,40/36,45 21,46 14,99 41,12168,64| 83,53 85,1150,47 14 [5,86 5,28 7692
977,86/132,69/145,17/52,25(63,47/36,79 206,68 42,04|341,33 169,48/171,8550,35 7650,98
HE EE EE dal 129) 10061 1187 510 6775709) 155498] 2927] enr
, , , , , , , , , , , , 3/03 5/91 140,271, L’herbe pousse; les Scilla
; cernua, lutea, Gagea, Cory-
1
2| 39,59 15,97 23,62,59,66| 6,40| 3,62 2,7843,44| 45,99) 19,59 26,40 57,40] 6 149 adem lute
3 68,81 27.80 41,01,59,60]10,08| 4,53 5,55/55,06| 78,89 32,33 46,56 59,02 r WA ander, À Ficaria & few
; 5
Le 9 mai.
115,35 46,75 68,60 59,4712,81| 7,38 5,43 42,391128,16, 54,13, 74 03 57, 76 SR Jin des e a
7015.1 3 , bouleau sont verts, mais ne
: j IS mom pes épanouis. L'écorce
192,79 86,50/106,29 55,13|34,07 19,56 14,51/42,59 226,86 106,06 120, 8053, 25| 1
E 34 e détache aisément des N.N
71509 la base d
125,92 180,83 245,09 57,54]05,85/36,38 29,47 44,75 191,77 217,21274,56 55,83 745,02 [Parure ele a du être coupé.
. 2
223| 1,03) 1,2053,81| 0,94| 0,34| 0,60/63,83| 3,17| 1,37, 1,80/56,78 0,76/5,16 5700 t = 1590.
20,72 11,22| 9,5045,85| 4,40 1,99 2,4154,77| 25,12 13,21 11,9147,41 Les feuilles se sont épa-
VQ.
1 9
9 6
d, 25,971120,99/82,33| 6,98 2,27| 4,7167,48[153,94 28,24 125,70 81,66 : 3,764,931 3985 ire Dude e aiant n
eur
5 6
Le 7 juin.
176,18| 38,601137,58,78,09]10,42| 4,80| 5,62/53,93]186,60| 43,40/143,2076,74| 1 166 46 |t", grandeur habituelle
'écorce se
236,34| 73,33 163,01168,97\33,65117,46.16,19]48,111269,99 90,791179,20/66,37| 16 16,12:,26 g’3g mené La EE
582,43/150,15 432,28 74,22/56,39 26,86 29,53,52,37]638,82,177,01,461,81,72,29 7721,66
?
e e opmugpeoy,J op UNIIMA
III. Betula alba I.
Le 1 aoút.
= 248 1,15 1,3353,63| 1,12 0,45 0,67/59,82| 13,60 1,60 2005556 3 084541) 1255 t = 2898.
= 2| 12,08| Gan 5,8045,74| 3,83| 1,77 2,06/53,79| 16,51 8,65| 7,9647,61| 4 2.015,23 15494), e jui (UL Aids
a 8| 3298 1895 14134284 7,45 3,81 3,6448,86| 4043 22,66 17,7743,95| 6 3,855,085. Kë Gen Vichten
T 4| 57,01 32,07) 24,94.43,75112,39| 6,51, 5,8847,46| 69,40 38,58] 30,82 44,41| 8 |4095,03| 407 o létache du bois nettement,
3 5111495, 68,20) 46,75/40,67/59,20/35,84 23,36/39,461174,15 104,04 70,11 40,26] 16 |5,54/5,23 FE nl
220,10127,15| 92,95 42,23/83,99 48,38 35,61|42,40|304,09 175,53 128,56 42,28 673,68
| 88,90]. t = 290.
2,50 1,15| 1,3554,00| 1,05| 0,35| 0,70/66,67| 3,55 1,50| 2,0557,75| 2 |0,81/5,21
15,16 8,60 6,5643,27| 3,40 1,67| 1,73/50,88| 18,56| 10,271 8,29 44,67 5,08 EE pine: La da de ul ille
étai 1
9
5
33,51| 20,05| 13,46,40,17| 6,50| 3,33| 3,1748,77| 40,01| 23,38| 16,63 41,561 8 |3,304,95 ggg q tit froide et plavien
51,81 27,90 23,9146,15| 8,33 4,21 4,1249,46| 60,14 32,11| 28,0346,61| 11 5285.03 109 ja KS
95,91| 56,90! 39,01140,67130,60 15,66 14,94148,82|126,51 72,56, 53,9542,64| 16 [5,28 5,05 "2^2, [fcilement Au X en
—— ¡quelques galeries ovales et
198,89114,60| 84,29 42,38149,88 25,22 24,66 49,44 248,77 139,82 108,95 43,80 | 57157 faites par des chenilles du
raies foncées, interrompues
provenant delaméme cause?
x66
| Le-11-octobre.
| OU o D =
B 1| 290 150 1404828| 1,59 4,49 0,86 5,26 201 t = 1858.
3 2| 14,75 8,40) 6,9543,05| 4,55 - | 19,30 5 12,06 5,13 4056
= 3| 37,25 29,48) 14,77,39,65| 8,63 45,88 7 13,3215,17|39'38
2 al 65,15| 36,37| 28,78 44,17]11,07 76,22 9 115231122
(11276 69,37| 43,39 38,48132,55 145,31 18 (5,865,331 >>
3 3 3 H 3 H 3 | 11,43
232,81138,12| 94,69,40,67/58,39 291,20 | 690,92
| | | |
348| 1,90 1,584540| 1,40 0,77 0,6345,00| Aen 2,67) 22145,0| 4 |0,154,391 10% t= 659.
| | 9
18,59 9,55) 9,0448,63 4,22) 222 2,0047,39| 22,81 11,77 11,044840| 0945,16 346 3l, Les feuilles ont jaunies et
33,42 18,24 15,1845,42| 5,91| 2,26! 8,65/61,74| 39,33| 20,50 18,83 47,88 | pour la plupart tom-
46,03| 24,85 21,18/46,01| 8,93| 5,31| 3,6240,54| 54,96| 30,16 24,8045,12
78,72| 46,20 32,52 41,31|27,10/16,61/10,49/38,71[105,82| 62,81 43,0140,64] 1 rar en
4,78/5,23| 11", {ment au boi
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1180,24 100,74 79,50/44,10147,56/27,17/20,39/42,87|227,80/127,91| 99,89 43,85 | 621,72
Imt
:B110Q$13)9 4 -JUIES op SIDUILDS SIP
III. Betula alba L.
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P A. Bois. EB. Écorce. | €. Total. > Dimensions.
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B ol 20,57 1056! 10,0148,66| 5,61| 3,12) 2,4944,39| 26,18 13,68 12,50.47,75| 5 0,955,05 | UT Tego mde e MS
È 3| 4247| 21,40 21,0749,61 8,46| 4,96| 3,50,41,37| 50,93, 26,56 24.5748,24| 6 3.585,08 145 5 [peus se produit sur es pa
5 1| 7310 38,25| 34,5 47,07]12,49| 7,26 5,2841,87| 85,59 45,51| 40,08,46,83| 10 EN Ce, du verre
A |5|199,25| 72,75 56,50 43,71|50,83/30,54/20,29 39 '921180.08103.29 76,7942,64| 16 [6,12/5,33| 1 g 4 L'écorce se détache très dit
— | e ent du bois. Le p
Ces Eë BE | st recouve ert de 0,2%
268,47 144,46 124,01/46,19|78,05 46,38 32,27 41,031347,1 2190,84. 7669,27 [neige
É ll 257 147 1,104280| 1,10 0,47| 0,63157,27| 3,07. 194 1,7347,14 8091 rie = — 80.
E | 1587 898 6,942,49| 3,18 1,67 1,5147,48| 19,05 10,65 8,4044,09| 5 2,185,18,59
E 139,70
3 la| 37.96 21,70 16,2642,83| 6,70| 3,76 2,9443,88| 44,66 25,46 19,2042,99 7 |8,30/5,28 33°69
= 4| 51,11 2957, 21,54,42,14| 9,89 6,06) 3,8338,73| 61,00| 35,63 25,3741,59 8 |3,99 2 d nd
3 5| 9271) 55,07 37.64 40.60134.20 19,23 14,97 43,48|126,91 74,30 52,1 4142 12 [4045 SE
| |200,22 116,79| 83,43 41,67 755,07 31,19 23,88 43,36 255,29 147, op 3142, 03 7A
shl 480) 269 2,1143,96| 1,76| 0,70 10660,23| 6,56 3,39 SC 39| 4 |1,19/5,05 Nich, t= — 1590.
„22| 26,43 1402 124146,95| 6,02| 3,22 28046511 32,45 17,24 15,2146,87| 6 2,74 6,6811 ^ 4 78
S Sal 4496| 23,99 20,97 46,64| 7,60 4,08. 3,5246,32| 52,56 2807 244946,59| 9 |3,71 19014046
2:24 6890 37,90 31,0044,99]10,06| 5,51) 4,5545,23| 78,96| 43,41 35,55 45,02| 14 4,7505 16494]
3 5|108,41| 62,75 45,66,42,12124,27 13,44 10,83 44,62/132,68 76,19, 56,49 42,58| 16 [6,745, n Ge?
253,50 141,351112,15 44,24 49,71/26,95 22,76 45,79 303,21/168,30/134,91 44,49 M 781,94
|
s 1| 285| 173 1,48151,93| 1,12 og 0544821 397 195 2025088| 2 |0,9714,83 5075 t = 090.
É ləl 1856 960 8964828| 4,45 2,52| 1,9343,37| 23,01| 12,12 10,89/47,33| 4 [1,395,281 31 57
É |a| 5,75 19,75 16,0044,76 EA 93,36 18,7444,51| 8 |3,355,18 164
^ al 6123| 33.57 27,6645,21110,42| 6,11| 4,3141,36| 71,65| 39,68 31,97 44,621 11 (4,425,031 25 91
3 5| 9403! 5297| 41,06 43,67/21,55,19,59| 8,9641,58/115,58 65,56 50,0243,28| 15 5385,28. 5519
| pi242117,26 95,6 44,042,89 25,41 1648 42, 1]o56,11142,67 1126444]. | | 69212
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| 1102,87
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, S 21,00, 9,18 ,82/56,29| 6,29 54,051 27,29, 12,07, 15,2255,77 5,03 : 4 Le bois est gelé. Le Bus,
S 73| 77,44 31,98 5870/1424 56,11| 91,68 38,23, 53,45 58,30 54,95 14 | posées sortant des
==!41122,41| 50,59 58,67117,74 52,991140,15 58,93| 81,2257,95 5,1 138 gaie, papier sur lequel les
S 5[164,51| 69,76 5,57,60/24,93 52,671189,44 81,56107,88 56.95 5 23 5,72 Ben
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388,01 162,76 225,22 64,86 53,751452,87 192,76/260,11157,44 75173
128.27 t = + 8975.
= 247| 1,221 550,61 1,36 ,80:58,82| 3,83| 1,78| 2,0553,52 5,08 11684 La neige fond visiblement
E 35,97| 15,66 56,46 8,50 4,8356,82| 44,47, 19,33) 25,14 56,53 Se 113,70 ei dnte Jo P
o |3| 66,03, 28,55 56,76/12,34 55,83] 78,37 34,00 44,37 56,62 AGBS Not net pas: geld Autour
T 41112,69| 48,68 56,80/18,01 53,861130,70| 56,99| 73,71/56,40 5,23 103 95 de In moelle du N 5 on voit
e 173,07| 84,87 50,96147,78 47,531220,85 109,94 110,91/50,22 5,49 15 24 sages S qiii La
2 ase de chaque pièce laisse
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| 390,23 178,98 5154,13|87,99 51,06|478,22/222,04 256,18/53,57 TETI Ketter Age
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E la 84,86 34,34 50,52 59,53 17,90 54,81 102,76 42,42 60,34 58,72 5,05 149.94 MN presque à l'état hiver-
e E 145,35| 60,79| 84,56,58,18/23,99 54,361169,34| 71,74| 97,60/57,64 4,89 134,62|allongés et devenus plus
s 4214,29 90,70123,59 57,67\29,52 52,981243,811104,58 139,23 57,11 5,0311 39 vc. Le bois parait sec;
= 151329,62 145,90 183,72 55,74159,84 46,96/389,46177,64/211,82 54,39 ESAS AS EE su
zu |corce se détache facilement
793,73 340,54 57,10/138,14 50,82,931,87 408,48 523,39 56,17 eg
| et 7 les couches de bois ont
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123,19 = o
$ 5,87, 3,09 47,36| 3,69 60,98) 9,56) 4,53) 5,0352,02 9,00 156,21] Les get Ye wi dé-
3 20,62, 11,80 42,77| 7,76 61,601 28,38| 14,78, 13,6047,92 5,16 144.7 8|veloppées Co CHE
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S 52,87, 29,92 ,95,43,41/15,90 3162,45| 68,77! 35,89, 32,8847,81 5,11 127.00 Es er SO ee
2 78.65| 42.76 45,63/19,98 59,36| 98,63| 50,88| 47,7548,41 5,26 150.37 n m E ette .. et ne
3 H ? T , t
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du bois. Sur la surface in
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316,12 171,02 145,10 45,90/97,86 55,311413,98 214,75 199,23 48,13 755,98 - basch ee
| | surface de endommagée par
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IV. Populus tremula I.
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= al 69,00, 38,15| 30,85144,71119,39| 8,13/11,26,58,07| 88,39] 46,28 42,11 47,64 S51 425.210 10 bla peros le JR de deux gar
= 4|115,22 59,27, 55,9548,56 25,75 11,95/14,40 55,92 140,97 70,62, 70,35 49,90 10,51,6815,38) 18: ANE
3 5/216,96113,401103,56/47,73/60,50.28,11/32,39/53,54277,46 141,51 135,95 49,00 15,5 Mn ol Qgjmdemendant ^ "E"
| [423,61/222,52/200,79 47,4011529 51,47 63,28 55,36/538,90 274,29 264,61 49,10 817,86
. 1| 321] Lan 1,6651,71| 294 1,10 1,8462,59 6,15 2,05 3,50 56, 91| 1 [0,89 4,95 Se long de 1a moelle du
€ 2|1991 10,20) 9,7148,77| 7,00 248 4,52,64,57| 26,911 12,68 14,23 52,88 2 12,51 5,33 N 5 un cossus a percé une
© |3| 46,44 25,50 20,9445,09]11,98| 4,54 7,4462,10| 58,42 30,04| 28,3848,58| 5 4,14 5,13 galerie. La moitié de a eir-
5 |
+ 4| 74,69 39,50 35,1947,11115,50 5,99 9,5161,35| 90,19] 45,49 447049,56| 7 |5,05 5,2899 jg [entre rouge. Cela se re-
5|130,78| 71,25| 59,5345,52/33,49 15,74 17,75 53,00/164,27 86,99 77,28 47,04 12 [6,93 4,98 11.431, 3,4 La nouvelle couche
! ? annuelle est peu pres de
275,03 148,00 127,03,46,19/70,91 29,85 41,06 57,901345,94 177,85 168,09 48,59 | ran mean
| oe rip] de
| vapeurs ensées. Li
| din se eres du bot
| nettement et sans peine.
ei | | 83]
É 1| 257 124 1,3351,75| 1,88 0,67 1,2164,36| 445 191 2,5457,08| 3 | pte = + 1020,
5 2) 10,72 5,49! 5,2348,79) 5,61| 2,45 3,1656,83| 16,83 7,94) 68,3951,38) 4 AA
= 3| 23,46 12,55, 10,9146,50| 7,80 3,24 4,56,58,46| 31,26. 15,79 154749,9| 7 feles:
a 4| 42,50 22,07| 20,43/48,07]11,65| 5,16| 6,4955,71| 54,15 27.23| 26,92 49,71| 10 Hyves
p 5| 67,96| 36,20| 31,76 46,73/19,49| 9,70) 9,79,50,23| 87,45| 45,90 41,55 47,51 13 | "e
147,21) 77,55| 69,66l47,32la6,a3l21,22]25,21|54,30|193,64| 98,74| 94,87|48,99 | 681,99
£ 1| 312 187 1750609 195 077 1186051| 5,07 214 2,93/57,79) 2|09749811]22| rer
S 2| 15,51] 640 9,1584 5,68 2,64 3,04/53,52| 21,19 9,04 12,15,57,34| 4 |2,11 5,0811557
8 al 3547) 15,27 20,2056,95110,08 4,74 5,3452,98| 45,55| 20,01 25,54 56,07| 6 3,27 15,085 deg
& 4| 6243 29,05| 33,38 53,47/14,60 S 8,07 55,27 77,03, 35,58 41,4553,81| 8 |4,45 5,38 135 64
3 (5[119,41| 59,25, 60,16,50,38/35,96 19,42 16,54 46,001155,37| 78,67 76,70 49,37 12 15,94 5,23 es
| i | ?
| |235,94|111,34|124,6052,81]68,27|34,1034,17|50,00|304,21[145,44/158,77]52,19 673,25
D
əv dwg >ywppesy,T op UPAMA
SES
IV, Populus tremula I.
É ü| 3,77 177 2,005305| 2,30 0,91| 1396043 6,07 268 3,395585] 2 1,145,49 E t — 1858,
5 2| 17,28 7,60 9,6856,02| 6,06 2,95 3,1151,32 23,34| 10,55 12,79 54,80| 4 l2.36 A ect
S |3| 34,75 15,50, 19,2555,40| 8,50! 4,24 4,2650,12| 43,25| 19,74 23515436) 5 3,3315,34 12...
& (4) 53,09 23,60) 29,4955,55/11,51 6,03] 5,4847.61| 64,60 29,63] 3497 54,13| 8 |a,11 5,2313665
2 5| 75,01 34,90) 40,11153,4718,6610,06| 8,6046,09| 93,67, 44,96 48,7152,00) 11 4925,16 "799,
183,90 83,37100,53/54,67|47,03 24,19 22,84 48,56|230,93 107,561123,37 53,42 701,76
É 1| 179 087 0925140 1,62 0,67 0,95 58,64| 341 1,54 1875484 9 0,7615,11 5205 TN
5 2| 11,49 5,05 6,4456,05| 4,11 2,22 1,89 45,99 15,60 7,27 8,9353,40| 4 1,935,001 03/63
Š 3| 26,56 11,87 14,6955,10) 7,73 3,66 4,07 52,65| 34,29 15,53 18,7654,71| 7 3,104,80 103/63
a 4| 43,90 20,12 23,78 54,17110,99 5,46 5,53 50,32 54,89 25, 58 29,3153,40| 9 [3,89 5,05 95.00
& [5| 67,87. 32,28 35 5952441725 8,86 8,39 48,64 85,12 4114 43985167] 14 4675,11 5590
151,61| 70,19 81,42 59017090, 20,9 00,0]1031] YT 2552,89 | 539.69
ail 230| 127 103 44,78 159 0,77 0,8251,57 3,89 204 1,8547,56| 2 |0,76/5,26 t— — 1891.
& 22) 2013| 970 10435181| 5,57 2,67 2905206 25,70 12,7 13,33151,87\ 4 Banz
33 | 39,03| 18,79 20,2451,86| 7,92) 4,01 3,9149,37| 46,95 22,80 24,15 5144| 8 |3,244,55
“2 4| 69,60 33,09 365152,46/10,68 543 52549.16| 80.28 38,52 41,7652,02| 11 |467/5,13
3 5112,80 61,30) 51,50/45,66/25,78 14,80 10,98 42,59138,58 76,10 62,48 45,09 16 5495,44. 1...
. | ,
243,86 124,15 119,71449,09]51,54/27,08 23,86/46,29|295,40 151,83 143,57 48,00 |
-
8 || 126 0,65 0,14841| 1,06 0,47 0,59155,66| 232 1112 1,2051,79| 2 0,565,18| 2013 t= 198.
E 2| 2054 9,30 11,2454,72| 5,87 2,75 3125315 26,1 1205 14365437| 4|2,39/5210 1 53| Le bois parait humide,
= 3| 76,28 35,20 41,0853,83/15,86 7/03 8/8355.67| 92,14 42,23| 49,9154,25| 7 4,70/5,28 aal rent
= [176,03 78,00, 98,03 55,69/26,37 12,61.13,76.52.18 202.40 90.611111.79 55.23) 11 [7.14 5,38 | 8/15 Pondensation sur le verre.
S [5281,30 | | 63,25 35,14 28,1144,44 344,55 16 |8,7915,54 37°99
OS à 3
555,41 | | 112 4158, 00/54,41/48,40[667,82 84447
GFE
*24NO0QSADJIA IVS 9p SIIUIAPG SIP
oct
351
Bulletin de l'Académie Impériale
352
Ce qui se fait remarquer en premier lieu quand on
compare entre eux les cinq hauteurs, les cing numé-
ros, de chaque arbre, bois et écorce ensemble, est,
que la quantité d'eau, qui est indiquée dans la qua-
trième colonne du compartiment C, augmente en gé-
néral de la base de l'arbre à son sommet. Cependant
il est assez rare que cette augmentation paraisse dans
toute sa régularité. On la voit par exemple dans le pin
(Ile 3 aoút 1868, le 21 janvier 1869, C.), dans Pé-
rable (II le 5 aoút, le 10 octobre), dans le bouleau
(III le 20 décembre, le 16 janvier 1869), dans le
tremble (IV le 26 octobre, le 25 novembre). L'élé-
gance de ce fait est souvent troublée par certaines
anomalies, que je dois mentionner spécialement. D'a-
bord.on trouve quelquefois, que deux, trois et méme
tous les numéros de suite ont presque la méme valeur
(I le 13 juillet 1, 2, C.; III le 12 juillet 3, 4; le 24
novembre 2, 3; le 15 février 1869 3, 4; IV le 11
juin 2, 3, 4, 5; le 12 septembre 3, 4), ce qui prouve
que l'augmentation ne se fait pas toujours avec la
méme conséquence; tantót elle se ralentit, tantót elle
s'aecélere. Quand on remarque des cas où la diffé-
rence ne dépasse pas les dixiémes ou les centiemes
de Y,, (I le 9 juin 2, 3; le 26 novembre 2, 3; II le
92 mars 2,3, 4; III le 12 juillet 3, 4; le 24 no-
vembre 2,-3; le 15 février 3, 4; le 12 septembre
3, 4, C), on est tenté de croire que ce sont des er-
reurs d'observations et que les deux ou trois nombres
sont égaux. D'autre fois, quand les différences sont,
de 1 ou de plusieurs /,; (IV le 22 décembre 2, 3, C),
on est obligé de les considérer comme réels et on
doit en chercher la solution dans les circonstances
extérieures, qui influent sur le mouvement des li-
quides dans les plantes, ou bien encore dans des
circonstances inconnues. On remarque méme quelque-
fois suivant la hauteur de l'arbre une certaine in-
termittence de sorte que, des cinq numéros, trois seu-
lement indiquent, alternativement ou non, une aug-
mentation d'eau vers la cime. (II, le 17 juillet, C;
le 14 février 1869). Celle-ci est le plus souvent de
quelques pour Y, moins humide que les numéros pré-
cédents. (I, le 10 mai, 1; le 10 octobre; le 27 no-
vembre, le 18 février 1869, C; II, le 19 avril; III,
le 11 octobre; IV, le 18 avril, le 12 mai, le 19 jan-
vier 1869). Quelquefois cette diminution de l'humi-
dité vers le sommet se fait voir sur les deux numéros,
1 et 2 (III, le 9 mai, le 7 juin; IV, le 17 mars, €).
On pourrait croire que cette circonstance provient
de l'évaporation de l'eau que perdent les branches
fines pendant la préparation et les pesées, qui duraient
à peu prés deux heures. Il m'est arrivé une ou deux
fois de remarquer que les feuilles et méme les branches
commencaient à faner vers la fin de l'opération. Mais
comment expliquer, que l'eau du bois diminuait, tan-
dis que l'écorce qui le recouvre et qui devrait se des-
sécher la premiere, continuait à augmenter d'humi-
dité? Je pense donc que cette diminution de la quan-
tité d'eau vers la cime peut provenir de la consom-
mation des feuilles.
Une autre irrégularité s'observe souvent à la base
de arbre, € 5 et même 4, qui ont plus d'eau que
les numéros qui se trouvent au-dessus d'eux (I, le 10 .
octobre 5; II, le 19 avril, le 19 décembre, C). On
rencontre méme des cas où l'eau diminue jusqu'au
N 3, mais de là elle commence à augmenter jusqu'au
sommet (II, le 13 juin, C).
Quand on compare les quatriémes colonnes des
compartiments A et B, qui expriment l'humidité du
bois et de l'écorce, on trouve exactement les mémes
variations, que je viens de décrire plus haut dans la
totalité de l'arbre, seulement la marche des change:
ments ne s'accorde pas souvent dans les deux organes.
Tandisque dans l'écorce l'humidité augmente vers la
cime, le 1 du bois est plus sec. (1, le 13 sep-
tembre, le 18 février 1869. A, B). L'inverse a égale-
ment lieu (I, le 10 octobre, A, B). Dans l'érable
cette discordance est encore plus grande. Le 13 juin
l'eau dans l'écorce augmente vers la cime, tandis que
le bois présente un phénoméne contraire. Le bouleau
présente des cas pareils (III, 9 mars, le 16 janvier); le
tremble aussi (IV, le 18 avril, le 25 novembre A, B). Je
n'ai remarqué qu'une seule fois que ce fait, la dimi-
nution de la quantité d'eau vers la cime, ce soit exprimé
dans la totalité de l'arbre (IV, le 16 février, €); ces
disco dances s'éffacent un peu, il est vrai, dans la
colonne C, mais comme le bois a plus de poids que
l'écorce, son influence prédomine presque toujours.
Pour comparer la marche de l'humidité suivant les
saisons il est plus commode d'examiner chaque arbre
séparément: -
353
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
4
I. Pinus sylvestris L,
L'humidité dans le pin est plus regulierement dis-
tribuée et la plus constante des quatre espéces. On
peut s'en convaincre par les moyennes de chaque mois
de la table suivante, oü les fractions sont omises.
Mois. Bois. Écorce. Taux.
Eau p.100. Eaup.100. Eau p.100.
Mars 1868 63 53 62
Avril 61 44 58
Mai 61 50 60
Juin 54 47 53
Juillet 61 54 61
Août 58 47 56
Septembre 64 45 61
Octobre 65 56 63
Novembre 63 48 60
Décembre 59 54 58
Janvier 1869 63 59 63
Février 60 92 59
61 50 59
Entre le maximum de la 3° colonne, 63, et le
minimum, 53, il y a en tout 10 p. 100; mais entre les
nombres intermédiaires il y a si peu de différence, ils
sont reparties si irrégulièrement qu'on voit à peine que
pendant le printemps et l'été l'humidité de l'arbre
est moindre qu'en automne et en hiver. On est
pourtant frappé, qu'aux mois oü la végétation est
en pleine vigueur on trouve dans le pin moins d'eau
que dans les autres saisons. Le bois en contient un
peu d'avantage et presque aux mémes époques. Le
maximum en septembre, 64, le minimum au mois de
juin 54 p. 100. Il faut done ranger le pin parmi les ar-
bres à bois trés humide et plus humide en automne
et en hiver qu'au printemps et en été. Ce fait a été
déjà remarqué par M. Hartig’).
L'écorce du pin est en toutes saisons plus séche
que le bois de 11 p. 100. Son humidité n'est pas en rap-
port avec celle du bois. Elle est la plus seche en avril,
44, etla plus humide en janvier, 59, et varie ainsi de
15 p. 100. Au mois de septembre elle est presqu'à son
minimum, quand le bois est au maximum. Au mois
de janvier c'est l'inverse qui a lieu. On aurait pu
croire, que la sécheresse de l'écorce serait le cas le
1) Über die Bewegung des Saftes in den uen Bot. Zeit.
von Mohl und Schlechtendahl 1858, X 44
Tome XXII.
plus naturel. Elle recouvre le bois et ayant plus de
surface, elle est plus exposée que celui-ci à l'évapora-
tion; mais il n'en est pas ainsi toujours, comme nous
allons le voir.
Bien que la méthode que j'ai suivie pour la déter-
mination de l'eau dans les arbres ait été différente de
celle de M. Hartig °’), j'ai obtenu quelques résultats
semblables. Le bois du pin est plus aqueux que les
autres; son humidité est répartie assez uniformément
pendant toute l'année. En hiver, pourtant, il contient
plus d'eau qu'au printemps.
II. Acer platanoides L.
Sous quelques rapports l'érable est l'opposé au pin,
comme on le voit par le tableau qui suit:
Mois. Bois. Écorce. Taux.
Mars 43 46 43
Avril 46 47 47
Mai 46 50 47
Juin 46 49 46
Juillet 41 62 44
Aoüt 40 52 42
Septembre 37 49*) 38*)
Octobre 37 47 38
Novembre 39 47 40
Décembre 7 46 39
Janvier 31 46 38
Fevrier 38 46 39
à 41 49 42
C’est donc un arbre très sec. Bien que son humi-
dité ne varie que de 9, de 47 à 38 p. 100, elle est
répartie régulièrement et partage l’année en deux
moitiés ; pendant l’une, de mars en août, l'arbre contient
en somme 45 p. 100 d’eau; pendant l’autre, de sep-
tembre jusqu’au février, 39. Le bois suit exactement la
même marche; pendant six mois — moitié humide,
maximum 46; pendant six mois — moitié sèche, mi-
nimum 37 p. 100.
2) L.c
*) Quoiqu'un accident fächeux m'ait privé des 3 numéros eh ré-
corce de ce mois, et les moyennes exactes de l'écorce et du ta
pouvaient pas étre obtenus, cependant on remarque Eee en
examinant les tableaux que les moyennes de l'humidité de chaque
mois, bois et écorce, aussi bien que l'arbre entier, coincident trés
approximativement avec le X 4, ou varie plus rarement entre le X 3
et le5. M. Hartig dans son ouvrage, 1. c. a done justement choisi la
better de 4 pieds pour déterminer la quantité d'eau contenue dans
tout l'arbre, hauteur qui correspond à peu prés à mon
$
355
Bulletin de l'Académie Emperiale
L'écorce est toujours plus humide que le bois, ayant 8
d'eau de plus. Elle a un minimum de 46 p. 100, qui
correspond presqu'au minimum du bois et un maximum
de 62, qui au mois de juillet se trouve avec le bois
de moyenne humidité. La plus grande humidité ne
dure que 4 mois, de mai en septembre. Durant cette
période elle varie de 13. Les autres huit mois elle
conserve à peu prés la méme quantité d'eau, ne va-
riant que de 3 p. 100.
II. Betula alba L,
Cet arbre par son humidité moyenne de 48 p. 100
doit étre placé entre les deux précédents. Mais il se
distingue par une différence énorme de 30 p. 100 entre
le maximum, 72, et le minimum 42 de humidité.
Mois. Bois Écorce. Taux
Mars 1868 48 39 46
Ayril 52 42 50
Mai 58 45 56
Juin 74 52 72
Juillet 42 49 42
Aoút 42 49+ 44
Septembre 41
.. Octobre 44 43 44
Novembre 46 41 45
Décembre 42 43-1- 42
Janvier 1869 44 46-+- 44
Février | 45 42 44
48 44 48
Pendant sept à huit mois, depuis la fin de l'été jus-
qu'au printemps, l'humidité moyenne du bouleau est
assez invariable, elle est à peu prés de 44 et change seu-
lement de 1 à 3 p. 100, mais au mois de mars il survient
une époque d'effervescence. C'est surtout au mois de
juin que l'humidité est la plus grande, 72. Le bois suit
la méme marche, il est plus humide de 1 ou 2 p. 100
que l'arbre entier. Je regrette de n'avoir pas eu le
temps d'examiner le bouleau à l'époque de la plus
forte ascension des sucs, qui doit avoir eu lieu quelques
jours auparavant. On s'en assure en comparant les diffé-
rentes hauteurs de l'arbre au mois de juin. On trouve
à son milieu (IIT, 7 juin A, 3) jusqu'à 82 p. 100 d'eau,
qui diminue vers le bas et vers le haut. `
L'écorce est en général plus séche que le bois, au
mois de juin la différence est méme de 22, mais au
mois d'aoút, de décembre et de janvier elle en est plus
humide de 1 à 7 p. 100. On doit s'attendre à une tran-
sition où Pécorce et le bois ont le méme dégrés d’hu-
midité et en effet le mois de juillet présente ce fait,
la colonne B ne contient de plus que la colonne A que
0,17%. Au mois d'octobre il y a 1%, de différence; on
peut présumer que ce n'est pas chaque année, qu'il en
est toujours ainsi, ou que d'autres mois peuvent avoir
l'écorce plus humide que le bois. Il faut rappeler ici
que ces manques de concordance entre ces deux par-
ties ne sont pas rares suivant la hauteur de l'arbre.
(III 20 décembre, 9 mars, 16 avril A. B.)
Populus tremula L.
Le tremble appartient à la méme catégorie que
le bouleau, bien qu'il s'en distingue nettement par
quelques propriétés opposées.
. Mois. Bois. Écorce Taux.
Mars 1868 58 54 57
Ayril 54 51 54
Mai 57 51 56
Juin 46 55- 48
Juillet 47 55+- 49
Août 46 58+ 49
Septembre 47 54+ 49
Octobre 53 50 52
Novembre 55 49 53
Décembre 54 50 53
Janvier 1869 49 46 49
Février ant 48 5579
52 52 52
Bien que la différence de l'arbre à l'état ]e plus
humide, mars, 59, et à l'état le plus sec, juin, 48,
ne soit que de 9 p. 100, les mois se groupent clai-
rement en deux parties inégales; pendant les huit mois,
du printemps, de l'automne et de l'hiver, le tremble est
plus humide que pendant les 4 mois de l'été et du com-
mencement de l'automne. Bien que les taux de l'humi-
dité du bois et de l'écorce soient semblables, ce fait est
probablement accidentel. Le bois est un peu plus hu-
**) C'est encore une fois que je prends le X4 pour moyenne de
Parbre, bois et taux, n'ayant pas le X 5 pour former la moyenne
exacte.
357
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
358
mide que dans le taux pendant les huit mois et un peu
plus sec pendant les quatre autres. Dans l'écorce le
phénoméne est inverse. J”ai noté par le signe + les
mois où l'écorce est plus humide de 54 à 58 p. 100
afin de faire mieux ressortir cette époque, elle coin-
cide exactement avec celle op le bois est le plus sec.
On m’excusera, je l'espére, de mon intention de vou-
loir introduire dans la science quelques expressions
qui désignent le phénoméne assez curieux — les relations
de l'humidité du bois et de l'écorce. Je désigne par
hygroxylés (dyecËvhos) ou mieux par xerophlés (Énpo-
photos) les arbres dont le bois est trés humide et pen-
dant toute l'année plus humide que l'écorce, comme le
pin; par zerozylés (Enoc&vXoc) ou hygrophlés (Uygophotos)
les arbres à bois sec et pendant toute l'année plus sec
que l'écorce, comme dans l'érable. L'humidité du bois
et la sécheresse de l'écorce sont deux faits qui vont
ordinairement de paire et peuvent étre exprimés par
le méme mot, et réciproquement. Cependant le melèze
a le bois trés humide et l'écorce plus humide encore,
c'est pourquoi j'aurais préféré l'expression de hygro-
xylés, qui en désignant l'humidité de Pécorce ne
rapelle pas la sécheresse du bois. La troisiéme caté-
gorie — les amoebaeoxylés (apoBaróķuhos), contient les
arbres, comme le bouleau et le tremble, dont le bois
pendant une partie de l'année est plus humide et pen-
dant une autre plus sec que l'écorce. On trouvera peut-
étre prématuré de vouloir instituer des catégories,
quand on n'a à classer dans chacune d'elles qu'une ou
deux espèces de plantes, catégories, qui peuvent même
varier d'une année à l’autre, mais ce ne sont pas
moins des faits distincts et j'espère avoir bientôt à
prouver que les recherches ultérieures montreront, que
tous les arbres pourront étre classés dans l'une des
divisions précédemment nommées et méme dans quel-
ques autres qui ne sont pas encore suffisameut consta-
tées. Du reste les expressions que je propose se rap-
portent tout aussi bien aux catégories constantes
qu'aux faits isolés. Un arbre peut changer son humi-
dité trés souvent et irrégulièrement, il n'en sera pas
pour cela moins hygrophlé ou xerophlé, selon que son
écorce sera plus ou moins humide que son bois.
Il paraît pourtant que ces caractères sont propres
aux especes. J'en ai examiné quatre, douze exemplaires
de chacune. Le pin et l'érable restaient fidelement
attachés aux catégories de xerophlés et hygrophlés.
Quand à celle d'amoebaexylés, le bouleau par exemple
et beaucoup d'autres arbres étaient depuis longtemps
connus comme ayant le bois plus humide au printemps
que dans les autres saisons.
Sur quelques propositions nouvelles, relatives au sym-
bole de Legendre (7). Par V. Bouniakowsky.
(Lu le 21 septembre 1876.)
Dans un Mémoire présenté à l'Académie en 1869?)
j'ai établi le théoréme suivant:
Théorème. Soient a et r deux entiers impairs pre-
miers entr'eux, dont le second r est compris entre les
limites 1 et 2a — 1 inclusivement. En désignant par
p un nombre premier (différent de 2) mis sous la forme
p= 2an +r,
on aura
p>:
— 1
re
a
a * -(—i) ? (mod. p),
ou bien, en faisant usage du symbole de Legendre,
1
—— N HM
=» ?
m étant indépendant de n. Quant á la valeur de cet
exposant m, elle est égale au nombre des solutions de
l'inégalité
Ar r—1
R (5) et =-
dans laquelle À admet successivement toutes les va-
leurs 1, 2,3....* EN désigne, à l'ordi-
naire, le reste de la division de Ar par a.
Dans un autre opuscule: Sur le symbole de
Legendre (2); paru en 1870 à la suite du Mémoire
sus-mentionné, et contenu dans le méme tome du Bulle-
tin de l'Académie (page 549), j'ai donné l'expression
de cet exposant m en fonction de a et de r, et j'en ai
1) Sur un théoréme relatif à la théorie des résidus et de son
application à la démonstration de la loi de réciprocité de deux
bres premiers (Bulletin de l'Académie Impériale des Sciences de
St.-Pétersbourg; T. XIV).
99*
359 `
déduit, entr’ autres, plusieurs nouvelles propositions
relatives aux racines primitives des nombres premiers.
Je commencerai par rappeler les formules qui déter-
minent l'exposant m, telles qu'elles ont été données
dans mon article de 1870.
Les valeurs de r, comparées à celles de a, dans
l'expression p = 2an + Y donnent lieu à deux cas
possibles: r peut étre plus grand ou plus petit que a;
d'ailleurs, comme r et a sont tous deux impairs, ils ne
peuvent différer entr'eux que d'un nombre pair. On
aura donc à considérer les deux cas suivants: 1* cas:
r — a+ 2k et 94 eas: r' — a — 2k, k étant un nom-
bre entier, premier à a, et qui ne surpasse pas — 5
puisque la valeur de r et de 1 est comprise entre les
limites 1 et 2a — 1 inclusivement.
Cela posé, on aura dans le premier cas: p — dan + Y
et r = a + 2k
2847
+ E - 3k +.
dE (2)
2k
-E (5-26) HE)
et dans le second: p = 2an +r et r =a — 9k
r—1
+
2k
r—1
à KS
CTA D
(5) = pu) z ' J Sg 3 (3)
Pexposant m étant identiquement le méme que le
précédent, c'est-à-dire déterminé par la méme for-
mule (2). Nous entendons par là que la valeur,
attribuée à r’ dans le second cas, doit être, comme
dans le premier, r —a-+ 2k, et non 7! = a — 2%.
Le but que nous nous proposons dans cet article est
d'indiquer un cas particulier pour lequel l'expression
de l'exposant m se simplifie de telle sorte, qu'il
devient possible de se débarrasser de toutes les
fonetions numériques E qui entrent dans la formule
(2). La simplification dont il s'agit devient évidente
en donnant à cette formule la forme suivante:
Bulletin de l'Académie Impériale 360
LE sn ` OU
(5) ee]
en
Lal) ` Je
eier. dE et a eL E 9 A €
en?
(k-1)a-1 - 2 , f(k—1) a1
* E ( "a a E ep |
Cette valeur de l'exposant m, comme nous venons
de le dire, étant commune aux cas
p -—2an--a-4-9k et p = 2aw +a — 2k,
nous pourrons traiter simultanément tous les deux,
sauf à tenir compte des deux premières parties des
exposants de — 1, nommément des termes
a —1
2
ai
— y et
(n' +- 1)
dans les formules (1) et (3).
Cela posé, il est visible que lorsque
a+ 1
A —
r--1
2
+ k
—
—
est divisible par 2%, on pourra de suite se débarrasser
des fonctions E qui entrent dans la formule (4). En
effet, en supposant
e e 6 9 9» «V, *
y étant un entier, la différence
( er
la—1 2 la—1
B aet ES — HE),
qu'on peut prendre pour terme général de la formule
(4), se réduira simplement à œ; de plus, comme le
nombre de ces différences est k — 1, leur somme sera
égale à (k — 1) p, et l'on aura
GE
2
m= E 3E
Enfin, observant que
r--1
2 1
D aA —— i)
361
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
362
on obtiendra définitivement
—8 : 1 /a=8
m = bp ln = (F +k)... (6)
L'identité (5), mise sous la forme
er] 2D) hy dado a (7)
montre que la De des fonctions Æ exige que —— +
soit un multiple impair de k. Cette condition See
on aura, en vertu des formules (1) et (6), pour un
nombre premier p = 2an + a + 2k
a—1 1 /a—3
DM UE her T xen:
(are) = 0 ) pe
Pour p' = 2an' + gs 2k, l'exposant de — 1 dans
la formule (3) sera
m PA, —3
"e D «0-307 +) =
et par suite
—l vy
GHEET
)=(-1) el a (9)
Reprenons. l'égalité de condition (7); observons
d'abord que p ne peut pas être égal à l’unité, car on
aurait dans ce cas
a—1 7 1/a+1
AAA
sum o8
2an'--a—9E
1
==,
ce qui est inadmissible, vu que 2% doit étre inférieur
à a. Quant aux valeurs p = 2, 3, 4... jusqu'à leur
limite =S, elles ne présentent aucún signe d'impos-
sibilité: en effet, en supposant p. — 2, on aura déjà
< 4;
à plus forte raison la condition 24 < a se trouvera
_ satisfaite pour des valeurs de p supérieures à 2.
La même égalité (7) montre que pour des valeurs
de la base a de la forme 4e + 1, k devra être impair,
et pour celles de la forme a = 4e + 3, k sera néces-
sairement pair. Voici, pour le cas de a = 4e + 1,
les valeurs correspondantes de k, de y. et de 24 — 1:
3k eT d'où =
KEN
8
Val. de a: Val. de k: Val, de y: Val. de 2p — 1:
Days coss sisi. dE A did 3
S ade v 1 e, PAPE 5
tI E I... tl E uar 7
JE. ES EC nt 13 11
Ms iir... RARE S. 13.
Pour ce qui concerne la valeur omise a — 17, elle
conduit aux deux systémes
Val. de k: Val. de p: Val. de äu — 1:
e D O 9.9 En wi »
La valeur a — 29 qui suit immédiatement celle de
a — 25, donne lieu aux trois systémes suivants:
Val. de k: Val. de p: Val. de äu — 1:
f Bien e ` Kë 15
VER ER RSS Dust se 5
| Dv. USE Dia TT 3
Voyons actuellement á quoi se réduisent les for-
mules (8) et (9), quand a — 4e =- 1; puisque dans ce
cas I est pair, il n’y aura lieu de considérer que
les exposants
+k) et (2).
1 fa —8
2 ( 2
Or, il est facile de voir que ces deux expressions,
sous le rapport de leur parité ou non-parité, sont
identiques. Pour cela il n'y a qu'à mettre la seconde
sous la forme
1 fa--1 1 fa—3
2 aee prek ) PS ( 2
égalité qui, en vertu de k impair, vérifie la congruence
iC —k) ides 5 ( 3 +k) (mod. 2).
+k) —k + 1,
Ainsi, lorsque p = 2an--a--2k et pP = 2an +0—2k
seront tous deux des nombres premiers à base
a = 4e +- 1, et que Ti sera divisible par k, 2k étant
inférieur à a, on aura cette expression trés simple,
commune aux deux symboles (5) et (5):
=j). ap
a a
(aa) ze [os Ld
Soient donnés, par exemple, les deux nombres
premiers ;
109 = 2.412-41—2.7 et 137 = 2.41 +41 4-2.7
à base commune a — 41; comme la valeur k= 7
divise le nombre => =21, on en conclut que la pro-
position (10) subsiste pour le cas actuel. Ainsi Pon
| aura
Bulletin de l'Académie Impériale
41 41 > E ie 7) T
(5) = (5) =D =(-1)=-1.
Appliquons encore la formule (10) au cas de a—29,
rapporté plus haut; nous avons vu que cette base
comporte les trois valeurs suivantes de k:
k=1, k=3 et k=5.
Voici un exemple pour chacune de ces valeurs; en
vertu de la formule (10) on trouvera:
Pour k — 1, p = 2.29 + 29 + 2.1 —89
1/30
(> —1
- 2 RE
(3) = on I=-1
Pour k= 3, p = 2.29.2 + 29 + 2.3 — 151
90
oi. >
Pour k— 5, p= 2.29 +29+25=97
ec» a
Considérons actuellement le cas de a = 4e + 3,
pour lequel l'égalité (7) se réduisant à
271.9 (e+ 1) Qu — DE,
montre que k doit étre pair, comme nous l'avons déjà
observé plus haut. Du nombre des valeurs successives
de a, nommément
a: a+ 1:
B. ce E =2
yd um 8 = 2
IL ESS 12 = 23
TOSS E? 16=2*
DS. 20 = 25
285 ors 94 — 9?3
EN 28 = 2?7
Di... à 32 = 2
Coup Beier, oa 9 tus
nous commencerons par exclure celles pour lesquelles
a+ 1 est une puissance de 2: telles sont
a= 3, 7,15, 31... En effet, si l'on suppose
a+1=2",
la condition (7) donne
(2p. — 1) k= 27,
et par suite
kernel, 2=2 =a+1;
or, ce dernier résultat est évidemment impossible vu
que 2k doit étre inférieur à a. Toute autre valeur
de a conduira à un ou à plusieurs systémes de valeurs
correspondantes de k et de p, compatibles avec la
condition 2k 4a — 1. En voici des exemples:
Val. de a: Val. de k: Val. de p: Val. de 2p — 1:
Ilo PN UN EE M csuesco EAM 3
BR DM Suida. a 0 5
DS EE EDT SO Lo M oiu. iE DUE 3
ZR EE X oki. c9 Lise 7
Mead EQ rs D. lies ue 9
dO are
B. oot ducc 6s 9
QUEM QA X pr V. (Woo o wow «ce AA FONTE OR. UNUM
Revenons au symbole (5) pour a — 4e+ 3; puisque
dans cette hypothèse k est pair, la valeur de m, donnée
par l'expression (6), se réduira simplement à — 1, de
sorte que les formules (1) et (3) deviendront
E=
PE kal
et pourront étre remplacées par les suivantes, trés
H n 1 D .
simples, en observant que == est un nombre impair:
(==) =(1)
a um ai
(zara) = (—1)
Exemples. Soit a — 19 la base commune aux deux
nombres premiers
61-2.19--19--2.2 et 53=2.19+ 19 — 2.2,
(Dr
a—1 DH
Se o (n + 1) + e
mid E
=
9an-3-a--2k] o
in MI E
Dan! + a — 2k
n—1
par rapport auxquels la condition (7) est satisfaite;
en observant qu'on a dans ce cas » — a — 1, les for-
mules (11) et (12) donneront
E = (1) +1, (5) —(—1)2-—1
Les deux formules (11) et (12) conduisent à la
| Proposition suivante:
305
des Sciences de Saint- Pétersbourg. 366
Lorsque l'on a deux nombres premiers on a "t égalités
p=2an +a-+2k et p'— 2an +a—2k, - = (4) =+1 (5) = (i) ==1
dont la base a — 4e + 3, satisfait à la condition (7), | et pour
on aura
BIEN = — ] ou +1
selon que n sera congru ou incongru à m suivant le
module 2.
Ainsi, comme dans les deux exemples précédents on a
n =w =l = 1 (mod. 2),
* .. 9 $9 59
a
la formule (13) donnera
eo i
Soient encore les deux nombres premiers
47=35+2.6 et 233 — 2.35.3 + 35 — 2.6
à base commune a = 35; puisque dans ce cas la con-
dition (7) est satisfaite, et que les deux nombres
— 0=0 (mod. 2), »'— 3 = 1 (mod. 2)
sont incongrus entr'eux suivant le module 2, on devra
avoir
EVERTI
an) Vel. eg,
ce qui en effet est exact, car on a
(5) 5 —1. e (a) =—1-
Il est facile de voir que la dernière Proposition
peut étre généralisée en sorte, qu'il ne soit pas néces-
saire que les deux nombres premiers considérés aient
une base commune a; il suffit que chacune d'elles
soit de la forme 4e-- 3. De plus, le nombre pair k
peut étre différent pour chacun des nombres premiers
donnés, pourvu que la condition de la divisibilité par
2k de la base choir me de l'unité soit satisfaite, et
que Pon ait k <==. Pour justifier notre assertion
il suffit de er que les exposants de —1, nom-
mément n— 1 et si, dans les formules (11) et (1 9) sont
indépendants de a et de k. Voici quelques exemples
numériques de cette généralisation: en observant que
pour les nombres premiers
37=2.11+11-+2.2, 61— 2.19 + 19 + 2.2,
47 — 35 + 2.6, 139 = 2.27.2 4- 27 + 2.2
en
A
53 = 2.19 + 19 — 2.2, 61 — 2.23 + 23 — 2.4,
107— 2.23.2- 28 — 2.4, 233 = 2.35.3 4-35 — 2.6,
les suivantes:
9-8 D ne (8) E
on en conclura
(5) (51) = (51) (ass) 7 (or) (io) = ete. = — 1,
(r) (107) = (s) (o) = (o) (as) = ete. = +1,
conformément à l'énoncé de notre Proposition.
Toutes les formules concernant le symbole (5),
rapportées plus haut, sont relatives aux nombres pre-
miers considérés sous la forme
p= 2an +r = 2an + a E 2k,
le reste r étant supposé positif; le cas de v négatif
se ramene de suite à celui-ci en observant que
p = 2an — r = 2a(n — 1) + 2a — r,
ou bien
2an — r = 2a (n — 1) + (az 2k)
à cause de r =a + 2k. Il suffira donc, pour avoir la
valeur du symbole ` `
(s ep
de remplacer dans toutes les formules précédentes le
coefficient n de 2a par n— 1 et —» par 2a — (a + 2k)
= + (a 2k), de sorte qu'aux deux formes
2an — (a E 2k)
corresponderont les deux formes primitives suivantes:
2a (n — 1) + (a + 2k),
la condition de a 4-1 divisible par 2k restant la
méme pour les deux cas.
Soient, par exemple, les deux nombres premiers
151 — 2.29.3 — 23 = 3.29.3 —(29—2.3)
et 233 = 2.35.4 — 47 = 2.35.4 — (85 + 2.6),
. 807
Bulletin de l'Académie Impériale
comen
alli nn inner
la base de 151 étant 29, de la forme 4e+ 1, et celle
de 233, 35, de la forme 4e + 3. Ces deux nombres,
ramenés à la forme primitive, nommément
151 — 2.29.2 + (29 + 2.3)
et 233 = 2.35.3 + (35 — 2.6),
satisfont tous deux à la condition (7); on aura donc,
comme du reste on Pa déjà vu plus haut,
(2) ar)
Sei — +1 .(par la form. (10))
(ass) eg Lon LÉI eL es (par la form. (12)).
233
Les formules précédentes conduisent tres simple-
ment à diverses propositions particulieres; nous allons
en rapporter quelques-unes.
Pour tirer des conséquences des résultats trouvés
plus haut, il faut considérer les nombres premiers
comme dépendants de la base, à laquelle on les rap-
. porte, et qui peut être de l'une des deux formes 4e + 1
ou 4e-a- 3. Rappelons qu'en supposant la condition
(7) satisfaite, l'expression
lud
1°‘ * 7. du symbole (5) [form. (10)],
dans les cas de
a=4e+1 et p= 2an-r a 2k,
est indépendante de n.
Dans le second cas, c.-à-d. quand a — 4e =+ 3,
l'expression du symbole (5) ne dépend que de la parité
ou non-parité du facteur n, et ne dépend nullement
des nombres a et k, comme on le voit par les for-
mules (11) et (12). :
De la formule (10) découle immédiatement la Pro-
position suivante: d
Étant donné un nombre premier 2an + a+ 2,
on aura i
amey] = + ] ou — 1
suivant que la base a sera de la forme 8e+ 1
ou Be + 5.
En effet, puisque la valeur de % pour un nombre
premier présenté sous la forme Zon rat 2.1 est
égale à Punité, la condition (7) se trouvera néces-
sairement satisfaite. De plus, en substituant à « les
deux nombres 8e-- 1 et 8e-+ 5, nous aurons pour
H 1 /a-+ 1
Pexposant ; Ze —
(E — 1) = 2 et lucem
dont la premiere est paire, et la seconde impaire,
comme exige l'énoncé de notre Proposition.
Plus généralement, on peut se proposer la question
suivante:
Le nombre k étant donné, quelle doit être la forme
plus particulière de la base a = 4e + ] pour avoir à
volonté
) les deux valeurs
VE seems rues 2
(za) | ou =l:
Pour résoudre cette question substituons dans l'ex-
pression Pos
A zo k)
de l'exposant — 1 dans la formule (10) 4e + 1 à la
place de a et 25 2-1 à la place de k, ce dernier
nombre devant étre impair. Cela posé, l'exposant en
question deviendra simplement
1/a+1 ,
(E —1) ek. SEET (14)
Voyons maintenant quelle doit étre la forme de e
dans la valeur de a = 4e +1 pour que a + 1 =
2 (2e + 1) soit divisible par 2% = 2 (2 + 1), c.-à-d.
pour que la condition (7) soit remplie. En représen-
: a 2-1
tant par A le quotient —:—, on aura
a+1 2e+ 1
9k Mal —— 4,
ou bien
(DR +1) 4—2e — 1.
Or, les valeurs générales de e et de A qui satisfont à `
cette équation indéterminée sont
e=k (DN A De A=1+%,
ou bien
k—1 r
Qo tke,
d étant un entier quelconque. On aura donc
a = Ake + 2k — 1
Si Pon observe que
e—k =ke =e' (mod. 2),
on conclura de suite des formules (14) et (15) que `
pour un nombre premier
369 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 370
p= 2an + a + 2k formules (11) et (12) conduisent de suite à la consé-
à base quence suivante:
a= Ake' + 2k— 1,
le symbole (5) se réduit simplement à
(eV
c.-à-d. que l'on a
D a PR ERA
(5) = 1 ou +—1
suivant que d est impair ou pair.
Exemples: soient les deux nombres premiers
23=17+2.3 et 11 = 17 — 2.3
à base commune a — 17 = 4.3 + 2.3 — 1, qui satis-
fait aux conditions (7) et (15), car on a n = o, k=3,
e — 1; or, puisque d est impair, nous aurons
(s) 7 (8) 7 —1-
Supposons encore
p=83=69 + 2.7, o= 69 = 4.7.2 -- 2.7 — 1,
et par conséquent n — 0, k = 7, € = 2; comme dans
ce cas d est égal au nombre pair 2, on trouvera en
vertu de la formule (16)
Ww Dr
Faisons encore voir en passant que pour une base
égale à un nombre carré b°, le symbole (2) en vertu
de la formule (10), se réduit a +1, comme cela en |^
effet doit avoir lieu. Nous nous référons à cette for-
mule, parce que le carré d'un nombre impair rentre
dans la forme Ae 1. Tout se réduit donc à montrer
que l'exposant
1 /0? 4- 1
E!)
est un nombre pair. Pour cela observons que le nombre
impair k, premier à b°, devant diviser la somme b’+-1
de deux carrés, sera né irement de la forme 444-1;
quant au carré 2?, il aura la forme 85’ + 1. En sub-
stituant ces valeurs dans l'expression de l'exposant,
on obtiendra en effet
1 b? 4-1 D 1
== in k)= 3 (j. — Kk).
Passons actuellement au cas de a = 4e+ 3. Les
Tome XXII.
Étant donné un nombre premier 2an + a + 2.2,
dont la base a est de la forme 4e + 3, différente de
2'— 1, on aura
tore =+] où —1
et (
5) — 1 ou +1,
suivant que n sera impair ou pair.
En effet, comme a — 4e+ 3 et k — 2, la somme
a + 1 = 4e + 4 sera divisible par 24 = 4; par con-
séquent la condition (7) se trouvera satisfaite.
Il est d'ailleurs visible que ce Corollaire subsiste
pour toute base a de la forme
a = 2ke' — 1
k étant pair et d désignant un entier quelconque,
supérieur à 1.
Exemples: pour le trois nombres premiers
29 =2.11+11 — 2.2, 6122.19 + 19 + 2.2,
101 = 2.21.2 + 21 — 2.2
on aura
11 19 21
(5) = — l, Met Lëck + li
Voici un autre Corollaire des mêmes formules (11)
et (12):
Soit p un nombre premier, ient au double de
la base a — 4e — 3 à laquelle on le rapporte. Si ce
ombre p augmenté de l'unité est divisible par sa
différence à la base, c.-à-d. si
pi X dk
on aura
suivant que p sera supérieur ou inférieur à a.
Pour s'en convaincre il n’y a qu'à observer que le
nombre premier p, dans le cas actuel, est de la forme
p =a + 2k;
on aura done n= 0, n'= 0 et 2k 35, on aura (n) =- i,
23 — 35, on aura (5) =(5) => 1.
Nous terminerons cet article par quelques remarques
détachées concernant le symbole UC
Et d'abord observons que tout ce qui a été exposé
plus haut relativement à la détermination de (5) pour
une base impaire a, peut être immédiatement étendu
au cas d'une base paire a = Ya. En effet, en vertu
de la relation connue
pol
, Dit ` A E
on aura ls T (2s) i (2) (5) zs A (5)
et par suite
zit
yo e,
Ainsi, par exemple, pour la base à == 40 = 2°.5,
pour laquelle on a a=5, y= 3, et le nombre premier
p= 67 = 10.6 + 5 + 2.1, on obtiendra d'abord
(2) a (2)
et ensuite, par la formule (10),
(5) == UA
Outre l'égalité
p1
er
er e)
nous avons trouvé, dans le Mémoire qui vient d'étre
cité, des formules analogues pour les bases 3, 5 et 6;
voiei ces formules:
————
*) Sur les congruences binomes exponentielles à base 3, et sur plu-
sieurs nouveaux théorèmes relatifs aux résidus et aux racines primi-
tives (Bull. de l'Acad. T. XIV).
GER Sr j=- Ela
Exposons maintenant quelques considérations sur
la question d'assigner, pour un nombre premier donné
p= 2an + a = 2k, les valeurs de la base a propres
pour la déterminatión du symbole (5) par nos formules.
En d'autres termes, il s'agit de trouver, en vertu de
la condition (7), les valeurs de a qui satisfont à l'é-
quation
+1
p 2an + a+ 2 D(F),
. Cette question,
2 2
considérée dans toute sa généralité, n'est pas suscep-
tible d’une solution entièrement exempte de quelque
tatonnement. :
En supposant
D (>) désignant un diviseur de — -
PE =P, = A, et par suite a—24—1 (19) '
l'équation précédente prendra la forme plus simple
P a- n — (2n 2- 1) A c- D(A),
ou bien TEN
Pœ n — A' [(2n +1) 41] (20)
en posant
D(4) — A' et A=4 A". (31)
Pour traiter l'équation (20) il faut avoir en vue les
-remarques suivantes: avant tout il est à observer que
A! désignant le nombre précédemment représenté par
k, doit étre impair ou pair suivant que a affectera la
forme 4e 4-1 ou 4e4- 3. De plus, la valeur de A’ ne
doit pas étre supérieure à o. :
Nous remarquerons encore que si, pour une certaine
valeur de n, la somme P + n est impaire, et n’a au-
cun sous-diviseur de la forme
(2n + 1).4" +1,
on devra avoir, soit |
A'—1, Pæn= (2n + 1) A1,
soit
A'=P-+n, (2n 2-1) A" 21 —1, d'où n=0, A'— 2,
Let par suite a = 4(P-- ») — 1. Comme dans chacun
373
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
374
de ces deux cas, á cause de 4” pair, la base a est de
la forme 4e-+ 3, et que le nombre A’ est impair, le
symbole (5) ne pourra pas étre déterminé par nos
formules.
Il pourra aussi arriver que l'équation (20) soit im-
possible. Par exemple, si, pour p — 29, on prend
n — 2, cette équation se réduira à l'égalité
e 17 = A' (5.A" + 1).
qui ne peut avoir lieu.
Le méme nombre premier 29, pour n= 1, donne
l'équation
$ 16=4'(34"+1),
qui fournit les résultats suivants:
A'—1.. 4=5...4=.9..,29=18.1+ 9--2.1
A=2.,.4=3 ..4=11...29-22.1+ 11—2.2
A—4...2'=1...a= 7...29=14.1+ 7+2.4
38... A =i EB}. 298011728.
Les deux premières solutions, nommément 4= 1,
a = 9 et 4'— 2, a — 11 rentrent dans nos formules,
comme on le voit par les indications suivantes:
ues
tata
E
2
a— 9=42+1, 4=1,
a=11=42+3, 4=2, 2<
on aura donc
| (as) ==] [par la form. (10)]
29
(5)= — 1 [par la form. (12)].
Quant aux deux solutions restantes 4=4, a = 7 et
A'=8, a= 15, elles ne satisfont pas à la condition
As =>, par suite de quoi nos formules ne leur sont
pas applicables.
Considérons en particulier le nombre premier
p = 2an + a + 24
sous sa forme la plus simple
phat 2A,
le premier terme 2a» s'annulant par la supposition
n — 0; l'équation (20) se réduira alors à
| P= A (A"& 1),
P, A' et A" étant définis par les formules (19)
et (21). . |
Dans cette supposition il faudra décomposer le
nombre P en ses facteurs, et soumettre à l’examen
chaque double produit 4'(4” + 1). Commençons par
indiquer les formes par rapport au module 4 que
doivent affecter A’ ou k et p — a= 2k dans chacune
des deux hypothèses a=4e+1 et a=4e+w 3;
on trouvera facilement que ces formes sont:
cd k=2k+1, p—4l--3
vier E ar pis doe
[uat EE EE AE e»
xcd t = 2-1, p
a dee T oy. p — 4l a- 3.
Le premier et le dernier de ces quatre cas sont rela-
tifs à la forme p — 4/+3, et rentrent dans nos for-
mules; quant au second et au troisieme, qui se
rapportent à la supposition p = 4/ + 1, ils échappent
à ces formules, car elles exigent que k soit impair pour
la base a = 4e +1 et pair pour la base a = 4e +3.
Soit, par exemple, le nombre premier p — 47 de
la forme 4/ + 3; l'équation (22) donnera
TE ee 24 — 2, 8 — d (4 EI);
cette égalité conduit aux systèmes suivants des
valeurs pour A. A" et a:
A A" a=244"—1
1.55.98, 95. 04 bj 49
D, 45815... 49,01
9... 45,295 541,09
j à 55. T; ML M
B... De D. do, B0
8. ^n 01,069
ii. b 5. AXI
dE... d o, 95.
Comme toutes les valeurs de la base a pour A’ pair
sont de la forme 4e 3, et pour A’ impair de la
forme 4e- 1, il s'en suit que nos formules sont
applicables à toutes celles des valeurs trouvées de A
qui satisfont á la condition
eh!
PA redd
Or, sur les 15 valeurs de a, il n’y en a qu'une
seule, nommément a — 23 qui, pour Æ = 12, ne
remplit pas cette derniere condition; on aura donc en
vertu de la formule (18)
24*
op (247+1) —
(= Eco
et par la formule (10)
Bulletin de l'Académie Impériale
376
Lorsque le nombre premier p est de la forme
po 1",
on trouve de suite toutes les valeurs de la base a aux-
quelles nos formules sont applicables. En effet, puis-
que dans ce cas
y
Sally 7-4)
7) = (7)= =h (2) CH = = + 1. on aura les décompositions suivantes:
A A" a = 24' A" —1
1 get RP ege AE rl
2 ter. eye, 92(2°?+1)— 1
2 gr 3 ee —1)-1, CRL ën 1)
2° yan Ba net 2 (27 21) 4, 2 (2 +1) —1
de. 2! — 1, 9 ue lo ave: à yop) 2. (2-+1)—1
Beeren A QE E ura Eres y l.
Observons d'abord que les valeurs de la base a; qui
correspondent à A = 1, sont toutes deux de la forme
4e+ 1, et que celles qui se rapportent aux valeurs
paires 2, 29.29... 27" de A’, sont de la forme de+3;
par conséquent, dans le cas actuel, nos formules
peuvent étre appliquées à toutes les valeurs de A’ qui
satisfont à la condition
Or, sur les » valeurs de A', il n'y à qu'une seule,
nommément Æ = 2" ?, qui ne vérifie pas cette
derniére condition; pour s'en assurer il suffit de
montrer que l'inégalité
PEN ar deem
> gran],
" giri (——1 —1)-2
—€—
relative au premier système des valeurs de a, subsiste
pour toutes les valeurs entières de à, inférieuresày— 2;
cela se voit immédiatement en donnant à la derniere
inégalité la forme
ge gu]
ce 3
d’où l'on déduit
À 1 ) pour un nombre premier p
quelconque (5 excepté). Des deux formules
== de Ci) et (5) es (— 1D) EZ)
rapportées plus haut, il résulte que |
(oco, CETT) a
Supposons actuellement que le nombre p a été mis
sous la forme
E (2
p= 40n + 20 +7,
r étant impair, non divisible par 5, et inférieur à 20.
| Les 8 valeurs de r seront visiblement les suivantes: d
BA A O)
Or, puisque le premier terme 40n de l'expression
de p, divisé par chacun des deux nombres 4 et 5,
donne un quotient pair, nommément 10» dans le pre-
mier cas et 8n dans le second, la formule (24) se ré-
duira simplement à
20-2 r +1
10V 7 E ( 1
GE
En substituant à r dans les deux termes de cet expo-
sant les nombres (25), on obtiendra le résultat final
prse
(PE)
. Suivant :
SÉ +1 pour Lio 11, 17,19)
p —1 pour p= 40n+ 20 + (1, 3, 9, 13).
On remarquera en passant, qu'à chaque valeur de
r de la premiere forme de p correspond une valeur
. . 20—r dans la seconde, comme on le voit par les
3) | égalités
= 74:183 — 112-9 — 17 + 3 — 19 + 1 = 20.
Über die Ursachen, welche die kritische Temperatur
bedingen. Von M. Avenarius. (Lu le 31 aoút 1876.)
Mit einer Tafel.
Das Factum der Verflüchtigung jeder Flüssigkeit
bei der ihr entsprechenden kritischen Temperatur,
hat obgleich dasselbe den bestehenden Begriffen von `
der Abhängigkeit des Siedepunktes vom Drucke wi-
derspricht, bis jetzt die Aufmerksamkeit der Phy-
siker beinahe gar nicht auf sich gezogen. — Auch
die vollständigsten Handbücher der Experimental-
physik erwähnen desselben nur in dem Sinne, dass
bei hohen Temperaturen die Ausdehnung der Flüs-
sigkeiten so gross wird, dass die Dichtigkeit derselben
bis zur Dichtigkeit der Dämpfe herabsinkt.
Nach den ersten Versuchen von Cagniard de la
Tour?) die von mehreren Physikern wiederholt wor-
den sind, war es zuerst Andrews?), welcher diese Frage
gründlichen Untersuchungen unterwarf. Seine Ver-
suche haben gezeigt, dass Kohlensäure bei Tempera-
turen, welehe 3151 übersteigen, bei Erhóhung des
Druckes bis zu 400 Atmosphüren nicht mehr in
flüssigen Zustand gebracht werden kann, was ihn zu
em Schlusse führte, dass bei Temperaturen über
3191 die Kohlensäure ein permanentes Gas vorstelle?).
Da aber der Druck auch 400 Atmosphären über-
steigen kann, so ist man berechtigt zu fragen, ob nicht
vielleicht bei hóherem Drucke die dampffórmige Koh-
lensäure doch noch in flüssige übergehe? — Freilich
zeigen die von Andrews gegebenen Curven, welche
die Abhängigkeit des Volumens der Kohlensäure vom
Drucke, bei verschiedenen Temperaturen, nachwei-
den, dass der von Andrews gemachte Schluss viel
Wahrscheinlichkeit für sich habe. Jeder Zweifel wird
jedoch nicht gehoben. |
Würde man auch die Versuche von Andrews auf
andere Flüssigkeiten ausdehnen, so könnte dennoch der
Frage nicht genügt werden. Je grösser der Druck wäre,
welchem die untersuchte Flüssigkeit, bei ihrer vollstän-
digen Verflüchtigung, unterworfen würde, um so grös-
ser wäre auch die Wahrscheinlichkeit, dass das Ver-
dampfen der Flüssigkeit nicht mehr verhindert werden
könne. Von der Wahrscheinlichkeit der Existenz der
1) DG de la Tour. Ann. de chim. Ser. II. T. ga et XXIL
3) Th. Andrews. Pogg. Ann. Ergzsbd. V.p
3) Ibid. p. 86.
379
Bulletin de l'Académie Imperiale
380
kritischen Temperatur bis zur Gewissheit wáre aber
auf diesem Wege schwerlich zu gelangen.
Es muss die Frage anders gestellt werden.
Giebt es in Wirklichkeit eine Temperatur, bei wel-
cher, unabhängig vom Drucke, die Flüssigkeit immer
verdampft, so muss die Cohásion der Flüssigkeitsmo-
leküle — bei dieser Temperatur — der Cohäsion der
(relativ freien) Dampfmoleküle gleich werden. Da aber
das Maass der Differenz dieser zwei Arten der Cohä-
“sion durch die innere latente Wärme gegeben wird, so
muss — wenn unter o die innere latente Wärme ver-
standen wird — Gleichung (1)
geo (1).
die Bedingung darstellen, welcher die kritische Tem-
| peratur genügt.
Auf Grund der von Regnault gegebenen Versuchs-
resultate, wurden für 4 Flüssigkeiten Gleichungen von
der Form (1) gebildet, und da die aus diesen Glei-
chungen bestimmten kritischen Temperaturen mit
denjenigen, welche der Versuch gab vollständig über-
einstimmten, so wird wohl das Factum von der Exi-
stenz der kritischen Temperatur als bewiesen zu be-
trachten sein‘).
Anders steht es mit der Frage um die das genannte
Factum bedingenden Ursachen.
Bei Besprechung des Übergangs einer Flüssigkeit
in gesättigten Dampf und des letztern in überhitzten,
wird das Volumen des Körpers — gewöhnlich—als Funk-
tion der Temperatur betrachtet, wobei man zwei Cur-
. ven erhült, durch welche die 3 verschiedenen Zustünde
des Körpers — in bestimmte Flächenräume gefasst —
begrenzt werden. Die eine dieser Curven, welche wir
Flüssigkeitseurve nennen wollen, drückt das Gesetz
der Abhängigkeit des Volumens der Flüssigkeit von
der Temperatur aus (bei der Bedingung: die Füssig-
keit stehe immer unter dem Drucke der eigenen
Dümpfe), die andere, welche Dampfcurve heissen móge,
das Gesetz der Abhängigkeit des Volumens der gesät-
tigten Dämpfe von der Temperatur.
Wird ein Körper bis zu seiner kritischen Tempera-
tur erwärmt, so geht derselbe aus dem flüssigen in
den dampfförmigen Zustand über; bei dieser Tempera-
tur?) kann man mit gleichem Rechte ihn für flüssig
4) M. Avenarius. Pogg. Ann. Bd. CLI p. 308.
5) C. Neumann. Mechanische Theorie der Wárme. 1875. p. 139.
oder dampffórmig halten; die oben génannten Curven
müssen folglich bei dieser Temperatur sich kreuzen.
Mit anderen Worten: die Handbücher der mecha-
nischen Wärmetheorie, so wie diejenigen der Experi-
mentalphysik, bedingen die kritische Temperatur ei-
nes Kórpers durch die Gleichheit der Dichtigkeit des-
selben im flüssigen und dampffórmigen Zustande.
Die Annahme dieser Gleichheit erklärt das Factum `
der vollstindigen Verflüchtigung einer Flüssigkeit. Ist
aber diese Annahme nothwendig? widerspricht sie nicht
vielleicht der Erfahrung?
Eine unmittelbare Folge dieser Annahme wird eine
andere: eine Flüssigkeit, welche bei der kritischen
Temperatur verdampft, leistet keine äussere Arbeit, .
woher denn auch die ganze — sogenannte — latente
Wärme gleich O sein muss. :
Setzt man aber in Wirklichkeit die für die 4 oben
genannten Flüssigkeiten gefundenen Ausdrücke von
äusserer Arbeit und latenter Arbeit gleich 0, so er-
hált man Gleichungen, welche nicht die kritischen Tem-
peraturen ergeben, die so übereinstimmend aus den
für innere latente Würme gegebenen Ausdrücken und
dem unmittelbaren Versuche gefunden wurden.
Freilich sind diese Gleichungen aus empirischen
Formeln gebildet, woher denn das Ausbleiben der zu
erwartenden Übereinstimmung noch keinen strengen
Beweis für die Ungültigkeit der zu besprechenden An-
nahme liefert; ein starker Zweifel an ihrer Richtigkeit
wird aber gewiss erregt. |
Die Auffindung von möglichen Bedingungen, wel-
che das Erklären des Factums erleichtere, kann nicht
zur Lösung führen; dieselbe muss von nothwendigen `
Bedingungen ausgehen.
Wie oben gezeigt, führt die kritische Temperatur
die Gleichung (1) nothwendig nach sich. Wir wenden
uns daher zu dieser Gleichung. 7
Bezeichnen wir durch .4 das Wärmeäquivalent der
Arbeitseinheit, durch w die Differenz der specifi-
schen Volumina von Flüssigkeit und Dampf, durch T
die absolute Temperatur und durch p die dieser Tem-
peratur entsprechende Dampfspannung, so besteht be-
kanntlich die Gleichung‘) E
em)... (2)
6) G. Zenner. Mechanische Wärmetheorie. 1866. p. 275.
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
Unter Berücksichtigung der Gleichung (1) erhalten
wir also für die kritische Temperatur
Apu (7 5b, au 1) 07. ¿30 TM (3)
Diese Gleichung zerfállt aber in zwei andere:
und
Und wird einer der Gleichungen (4) oder (5) genügt,
so wird auch die für die kritische Temperatur noth-
wendige Bedingung (3) oder (1) erfüllt.
Gleichung (4) spricht die bis jetzt allein in Rück-
sicht genommene Bedingung von der Gleichheit der
specifischen Volumina von Flüssigkeit und Dampf aus.
Bei den hier vorliegenden Untersuchungen stellte
ich mir die Aufgabe: durch experimentelle Bestim-
mungen der oben genannten Grenzeurven die Frage
zu lósen, ob diese Curven sich kreuzen oder nicht, und
demnach zu entscheiden, welche von den zwei Glei-
chungen (4) oder (5) die kritische Temperatur bedinge.
Denken wir uns einen hermetisch geschlossenen
Raum v, welcher nach Belieben vergróssert und ver-
kleinert werden kann und in diesem Raume die Ge-
wichtseinheit das zu untersuchenden Körpers (Flüs-
sigkeit und Dampf) enthalten. Steht es in unserer
Macht, die Temperatur t des Körpers, nach Belieben,
zu ändern und. besitzen wir die Mittel — für jeden
Moment — diese Temperatur und das ihr entsprechende
Volumen des Kórpers zu bestimmen, so ist auch die
Lósung unserer Frage ermóglicht.
Befindet sich unser Kórper in dem Zustande, wel-
chem ein Punkt zwischen den zwei Grenzcurven ent-
spricht, so haben wir— bei der dem Kórper eigenen
Temperatur 4 (Ordinate) — den Raum v (Abscisse)
von Flüssigkeit und Dampf gefüllt.
Náhert sich unser Punkt der Flüssigkeitscurve, so
geht ein Theil des Dampfes in Flüssigkeit über und
im Moment der Überschreitung der Flüssigkeitscurve
erfüllt sich der ganze Raum v mit Flüssigkeit. Über-
schreitet man die Curve in entgegengesetzter Richtung,
so sieht man die Flüssigkeit im Raume v sinken und
derselbe erfüllt sich mehr und mehr mit Dampf; im
Moment der Überschreitung der Dampfeurve ist die
Flüssigkeit vollstándig verdampft. Überschreitet man
diese Curve in entgegengesetzter Richtung, so ent-
spricht dem Momente dieser Überschreitung die erste
Condensation des Dampfes, der untere Theil des Rau-
mes v füllt sich mit Flüssigkeit, welche mit der Ent-
fernung von der Dampfcurve zunimmt.
Mehr oder weniger rasches Sieden der Flüssigkeit
oder Condensation des Dampfes kann dabei eine Trü-
bung veranlassen. So lange man es aber mit Flüssig-
keit und Dampf im gewóhnlichen Sinne des Wortes
(d. h. unter der kritischen Temperatur) zu thun hat,
kann die Erscheinung beim Übergange der Grenzcur-
ven sich nicht anders als eben beschrieben gestalten.
Für den Versuch ist es zweckmässig, einen der Fac-
toren v oder t constant zu halten und durch Ánde-
rung des anderen die Curve zu überschreiten. Zuver-
lässige Resultate können jedoch nur bei der Constanz
von ¢ erhalten werden, da, bei den relativ hohen
Temperaturen, mit welchem man es hier zu thun hat,
Schwankungen derselben grosse Unterschiede in der
Temperatur der Flüssigkeit und den Angaben des
diese Temperatur bestimmenden Thermometers nach
sich ziehen kónnen.
Der Druck, unter welchem eine Flüssigkeit bei die-
sen Versuchen steht, ist im allgemeinen sehr gross,
woher Maassregeln getroffen werden mussten: 1) da-
mit der Theil des Apparats, welcher die Veründerun-
gen des Volumens v bewirkte, immer luftdicht hielte
(was mit Schrauben und Muttern wohl schwerlich zu
erreichen würe), 2) damit beim Springen der die Flüs-
sigkeit enthaltenden Róhre keine Gefahr dem Experi-
mentator drohte.
Es gelang, diesen Forderungen durch folgende Con-
struction des Apparates zu genügen: derselbe bestand
aus einer, an beiden Enden zugelótheten, dickwandi-
gen Glasróhre, welcher die in der Zeichnung darge-
stellte Form gegeben wurde. !
Bulletin de l'Académie Impériale
383 o nn
Das eine aus 4 Schenkeln bestehende Ende abcde
enthielt Áther, das andere fgh, welches sorgfältig ka-
librirt war, die untersuchte Flüssigkeit (in der Zeich-
nung stellt fg die Flüssigkeit und gh den Dampf vor);
` beide Flüssigkeiten wurden durch die Quecksilbersáule
ef von einander getrennt.
Jedes Ende hatte sein eigenes Erwármungsbad. Das
Ende abede wurde bei den ersten Versuchen in einem
Wasserbade, bei den spáteren — in einem Luftbade
A erwürmt, welches letztere aus einem geschlossenen
blechernen Kasten bestand, dessen Erwármung durch
einen untergestellten Gasbrenner geschah. — Das Ende
fh wurde bei allen Versuchen in einem Luftbade er-
. würmt, welches, aus 4 concentrischen blechernen Ge-
füssen bestehend, beinahe genau das Luftbad von
Magnus”) vorstellte, das derselbe bei seinen Ver-
' guchen über Dampfspannungen gebraucht hatte. Nur
blieb bei den hier zu beschreibenden Versuchen das
Luftthermometer aus, indem die Kasten nur eine seit-
liche Öffnung für das erwähnte Glasrohr und zwei
Öffnungen im Deckel für die Quecksilberthermometer
besassen. — Da Vorversuche gezeigt hatten, dass die
Angaben eines Thermometers in solch einem Luftbade
“von seiner Lage, d. h. von der Entfernung des Ther-
. mometers von den Wänden nicht abhing, so wurden
die meisten Versuche mit einem einzigen, sorgfáltig
kalibrirten (in der Zeichnung durch ik angezeigten)
Thermometer vollführt. ; :
Der Verlanf des Versuchs war im allgemeinen fol-
gender: Nachdem das Gas unter dem Luftbade B an-
gezündet, wartete man die Zeit ab (wobei immer ei-
nige Stunden vergingen), bis die Temperatur des Luft-
bades constant geworden, dann erst begann man die
Erwärmung des Bades A. Der sich ausdehnende Äther
abede schob die Quecksilbersáule ef vor sich her, wo-
durch der Raum fh (v) sich verringerte. Enthielt der-
selbe so viel Flüssigkeit, dass sie auch bei der nie-
drigsten Temperatur—bei welcher experimentirt wurde
— im Raume fh (bei der niedrigsten Stellung des
Quecksilbers) vollständig verdampfte, so hatte man es
zuerst mit überhitztem Dampfe zu thun. — Bei einer
bestimmten Stellung der Quecksilbersäule, (welche dem
Sättigungspunkte der im Raume v enthaltenen Dämpfe
entsprach) wurde der Dampfniederschlag bemerkbar;
7) G. Magnus. Pogg. Ann. Bd. LXI.
man notirte diese Stellung und las die Temperatur des
Bades B ab. Durch Schwächung des Gaszutritts zum
Brenner des Bades A wurde dasselbe erkaltet, der
Raum v nahm zu, die Flüssigkeit in ihm verdampfte
und, bei einer bestimmten Stellung der Quecksilber-
säule, hatte man in v wieder nur Dampf; diese Stel-
lung, so wie die Angabe des Thermometers wurden
auch hier notirt.
Die Prozedur wurde im allgemeinen 4 Mal wieder-
holt, so dass jeder Punkt der zu bestimmenden Curve
ein Mittel von 8 Ablesungen vorstellt. — Kamen Tem- .
peraturschwankungen im Bade B vor, welche im Ver-
laufe von einer Versuchsreihe (die, wie gesagt, aus 8
einzelnen Beobachtungen bestand) 2° überstiegen, so
wurde die ganze Versuchsreihe verworfen.
Nachdem ein Punkt der Dampfcurve erhalten war,
verstärkte man den Gaszutritt zum Brenner A. Der
Raum fh nahm ab, der Dampf ging allmählich in Flüs-
sigkeit über und, bei einer bestimmten Stellung der
Quecksilbersáule, war der ganze Raum v mit Flüssig-
keit gefüllt. Im Moment, wo die Flüssigkeit das obere
Ende der Röhre fh berührte, wurde die Stellung der
Quecksilbersüule (dieselbe steigt bei weiterer Erwär-
mung des Äthers noch bedeutend, was von der gros-
sen Zusammendrückbarkeit der Flüssigkeiten bei ho- - .
hen Temperaturen abhängt) und die Angabe des Ther-
mometers notirt. Darnach schwüchte man den Gaszu-
tritt zum Brenner A, die Quecksilbersáule in fh sah
man sinken und bei einer bestimmten Stellung dersel-
ben, wenn über der Flüssigkeit ein leerer Raum zu
entstehen schien, notirte man wieder die Stellung der
Quecksilbersáule und die Angabe des Thermometers
in B. — Auch für die Flüssigkeitscurve sind die mei-
sten Punkte aus 8 einzelnen Beobachtungen berech-
net.
Für jeden neuen Punkt musste erstens dem Hahn,
welcher das Gas zum Brenner des Bades B. führte,
eine andere Stellung gegeben, dann die Zeit abgewar-
tet werden, bis die Temperatur in B keine Schwankun-
gen mehr zeigte, endlich die eben beschriebenen Ver-
suche ganz von neuem durchgeführt werden. en
Obgleich, wie oben gesagt, nur bei constantem t
zuverlässige Resultate zu erwarten sind, war man in
einigen Fällen gezwungen, » constant zu halten und £
sich ändern zu lassen. Bei Temperaturen, welche nahe
der kritischen liegen, entspricht einer verhältnissmäs-
P
+ Lou
CERE ITUR L E CIE CREER IRE OA OV SIS Ne M REL Sie SE
OM? FESCH T emere Wes
385
. des Sciences de Saint- Pétersbourg.
386
sig schwachen Temperaturánderung eine bedeutende
Veränderung von v. — Da man aber keine willkür-
lichen Temperaturen constant halten konnte, sondern
immer nur diejenigen, welche sich nach Stunden lan-
gem Warten fest stellten, so mussten sich Lücken in
den Curven zeigen und das namentlich in der Nähe
der kritischen Temperatur. Um diese Lücken zu fül-
len, wurde der eben genannte zweite Weg eingeschlagen.
Bis jetzt ist nur eine Flüssigkeit diesen Versuchen
unterworfen worden, nämlich chemisch-reiner Äther.
— Die ersten hiefür erhaltenen Resultate sind in der
folgenden Tabelle enthalten, wo Columne ¿ die (nach
Anbringung aller Korrektionen) in Luftthermometer
Graden ausgedrückten Temperaturen der untersuchten
Flüssigkeit angiebt und v das beobachtete Volumen von
Flüssigkeit und Dampf, ausgedrückt in willkürlichen
Einheiten, nämlich in Theilungen des Glasrohrs fgh.
Flüssigkeitscurve Dampfcurve
t v t v
20,4 7,48 170,4 55,38
140,2 10,07 177,5 46,81
146,1 10,38 181,9 41,00
176,7 12,38 185,7 34,93
178,0 12,43 186,3 33,38
181,5 12,63 188,2 30,74
183,7 12,96 189,9 27,56
186,9 13,88 190,8 25,78
188,8 14,54 191,0 24,78
189,9 15,28
191,1 18,88
sa” 28098
q. 10%
191,3 20,98 :
Die Erscheinungen, welche das Uberschreiten der
Flüssigkeitscurve charakterisiren, konnten nur bis zum
Volumen 20,98 beobachtet werden. Beim weiteren
Wachsen des Volumens, von 21,13 angefangen, füllte
sich dasselbe mit homogener Flüssigkeit unter Beglei-
tung neuer Erscheinungen: wurde die Flüssigkeit er-
würmt, so dehnte sie sich — bei einer bestimmten
Temperatur, welche wir + nennen wollen, (unter im-
mer vorhandener Trübung) rasch aus und erfüllte bald
den ganzen Raum fA (die Erscheinung entsprach hier
dem Überschreiten der Flüssigkeitscurve). Beim Er-
kalten bis zur Temperatur + Ure die Trübung beson-
Tome XXII.
ders stark zum Vorschein kam) sah man nicht die
Flüssigkeit sinken, sondern dieselbe zeigte sich zuerst
am unteren Ende der Róhre; die Dümpfe schienen sich
niederzuschlagen, wie es bei Überschreitung der Dampf-
curve zu geschehen pflegt. — Dasselbe wurde bis zum
Volumen 24,73 beobachtet.
Die Temperatur 7, bei welcher das rasche Steigen
oder das Hervortreten der Flüssigkeit am Boden der
Róhre bemerkbar wurde, stellt — ohne Zweifel — die
kritische Temperatur dar °).
.Vom Volumen 24,78 bis 55,38 hatte man die Er-
scheinungen, welche das Übérsclirbitón der Dampfcurve
charakterisiren.
Man erhielt also eigentlich drei Curven: die Flüs-
sigkeitscurve, die Dampfeurve und eine zwischen ihnen
liegende, welche wir mittlere Curve nennen wollen.
Der Kreuzungspunkt der Flüssigkeitscurve und der
mittleren liegt zwischen den Volumina 20,98 und
21,13; mag ihm v — 20,06 entsprechen. Der Kreu-
zungspunkt der mittleren und der Dampfeurve liegt
zwischen 24,73 und 24,78; mag hier v — 24,76 sein.
Beim langen Experimentiren in der Nähe der kri-
tischen Temperatur, gelang es einmal eine sehr con-
stante Temperatur von 191,1 zu erhalten. Der ganze
Raum über dem Quecksilber f war mit homogener
Masse gefüllt, wobei die Grösse desselben, d.h. v gleich
24,7 war. — Durch Erwármen des Bades A verrin-
gerte man dieses Volumen bis auf 13,6 und die Masse
blieb homogen; eine Erscheinung, welche nur über
der kritischen Temperatur möglich ist. -
Ein anderes Mal hatte man eine constante Tempe-
ratur 191,0 erhalten, bei welcher es beide Curven zu
überschreiten gelang: man hatte im Raume fh einmal
nur Flüssigkeit, dann Flüssigkeit und Dampf, nur
Dampf, wieder Flüssigkeit und Dampf; welche Er-
scheinungen nur unter der kritischen Temperatur móg-
lich sind.
` Wir glauben daher, dass unsere Annahme — die `
mittlere Curve bilde eine horizontale Gerade, deren
Abscisse (die kritische Temperatur) gleich 191,05 zu
setzen ist — als gerechtfertigt angesehen werden kann;
folglich stellt 21,06 das Volumen der Flüssigkeit und
8) Bei der Bestimmung der kritischen Temperatnr muss man sich
durch die hier entstehende Trübung nicht irre leiten lassen, da eine
Trübung auch weit von dieser Temperatur sich zeigen kann, im
das Überschreiten der Grenzcurven rasch vor sich geht.
26
f
Bulletin de l'Académie Impériale
| 24,76 das Volumen des Dampfes bei dieser kritischen
Temperatur dar, welche Volumina nicht als gleich anzu-
nehmen sind. Wir glauben daher zu dem Schlusse be-
rechtigt zu sein, dass die specifischen Volumina
von Flüssigkeit und Dampf bei der kritischen
Temperatur nicht durchaus als gleich zu be-
trachten sind, woher denn auch die Bedingung,
welche die kritische Temperatur bestimmt (was Áther
wenigstens anbelangt), durch (5) und nicht durch (4)
dargestellt wird.
Nachdem die in der Tabelle gegebenen Zahlen er-
halten waren, mussten die Untersuchungen unter-
brochen werden, da die Glasróhre abcdefgh einen Riss
bekam. — Obgleich nun die Hauptfrage über die die
kritische Temperatur bedingende Gleichung als gelóst
zu betrachten war, so hatte man doch für die zwei
Grenzcurven, besonders für die Dampfcurve, zu wenig
Zahlen erhalten, um sich einen klaren Begriff von dem
Verlaufe der Curven machen zu kónnen. — Das grosse
Interesse, welches für sich diese Curven darbieten,
bewog mich, die oben beschriebenen Versuche mit ei-
` pem neuen Glasrohr wieder aufzunehmen. Erstens wur-
den die früheren Versuche wiederholt, dann ein Theil
des Áthers, durch Neigung der Glasróhre, von f nach
€ übergeführt und die Bestimmung der Punkte der
Dampfcurve fortgesetzt.
. Durch Vergleichung der in beiden Fällen erhalte-
nen — gleichen Temperaturen entsprechenden — o,
- konnten die letzten Zahlenwerthe auf die ersten zu-
rückgeführt werden. Begreiflicherweise musste die Ge-
nauigkeit der auf diese Weise bestimmten Punkte der
Dampfcurve mit dem Wachsen von v abnehmen.
Das grósste Volumen, bei welchem die Flüssigkeits-
curve überschritten wurde, war 65,9, das kleinste —
für die Dampfcurve 74,5, das grósste und kleinste
der Volumina, bei welchen die Erscheinungen der kriti-
schen Temperatur beobachtet wurden — 66,6 und
74,2. Wir nehmen daher als Kreuzungspunkt der Flüs-
sigkeitscurve und mittleren Curve — 66,25 und als
. Kreuzungspunkt der mittleren Curve und Dampfcurve
— 74,35. — Zwischen diesen 66,25 und 74,35 war
bei 10 verschiedenen Volumina die kritische Tempe-
ratur beobachtet, und die mittlere hier bestimmte
Grósse 189,5 entspricht der Ordinate der mittleren
Curve, welche wir — wie früher — für eine gerade
- halten.
Da das Volumen einer Theilung der Glasróhre
(0,002544 Cub. Cent.), so wie das Gewicht der ein-
geführten Flüssigkeit (0,04302 Gr.) bekannt war, so.
war es ein Leichtes, die erhaltenen Resultate auf spe-
cifisches Volumen des Äthers überzuführen. — Neh-
men wir als Einheit des Gewichtes ein Kilogramm,
als Einheit des Volumens einen Cubikmeter, so müssen
die von uns erhaltenen Volumina mit 0,0000596 mul-
tiplicirt werden, um der Gewichtseinheit unserer Flüs-
sigkeit zu entsprechen ?).
In der hier folgenden Tabelle sind unter v die in
Theilungen des Glasrohrs ausgedrückten Volumina des
Äthers, unter w die mit 10* multiplicirten specifischen
Volumina und unter ¢ die ihnen entsprechenden Tem-
peraturen gegeben.
Flüssigkeitscurve Dampfcurve
v w i v w i
93,4 13,9 18,0 320,2 190,9 140,9
294 175 1298 308,8 184,0 143,2
29,9 17,8. 133,1 278,9 166,2 147,2
30,4 18,1 137,1 268,4 160,0 149,5
31,9 19,0 1504 251,1 149,7 152,0
33,3 19,9 155,3 246,7 147,1 153,9
368 219 1720 2305 137,3. 1505
37,6 22,3 173,0 2142 127,7 159,2
394 23,5 179, 209,7 125,0 160,2
40,1 23,9 180,8 201,1 119,9 162,3
43,7 26,1 185,9 196,3. 117,0 163,0
44,9 26,8 186,5 189,8 113,1 164,8
45,4 27,1 186,7 187,3 111,7 ‚1659
50,5 30,1 188,6 178,8 106,6 166,9
53,8 32,1 189,0 163,8 97,6 171,0
55,0 32,8" 189,2 148,3 88,4 174,4
61,9 36,9 189,5* 138,1 82,3 176,8
65,9 39,8 189,5* 130,7 77,9 178,6
129,2 77,0 179,0
124,7 74,4 179,7,
116,9 69,6 1818.
9) In meinen frúheren Bestimmungen der kritischen Tempera-
tur des Áthers hatte ich die Temperatur 196,6 gefunden und bei
den hier beschriebenen einmal 191,05, dann 189,5. — Dieser Unter-
schied kann nur dadurch erklärt werden, dass bei allen diesen Ver-
suchen verschiedener Äther gebraucht wurde. Die ersten Versuche
wurden mit käuflichem — so genanntem — chemisch reinem Äther
angestellt; bei den hier beschriebenen — wurde derselbe allen nö-
thigen Manipulationen unterworfen, um ihn wirklich rein zu erhal-
: 4
Temperatur 191,05, der diesjáhrige 189,5.
ten. Der im vorigen Jahre so präparirte Äther gab für die kritisch e
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M Avenarias, Ueber die Ursachen, welche die kritische Temperatur bedingen.
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Bulletin de TAkad. Imp. d. sc. T. XXII
Melanges physiques et chimiques T IX.
det.
A do d M
389 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 390
v
115,4
111,5
107,4
106,2
103,8
94,6
88,1
86,1
80,1
75,6
75,1
| 74,5
Dampfcurve
w
68,8 1824
66,5 183,6
64,0 184,4
63,9 184,8
61,9 185,2
56,4 186,7
52,5 188,
51,3 188,6
47,7 189,0
45,1 189,5*
44,8 189,5*
444 189,5*"
)
Die erhaltenen Resultate werden durch die Curven
aß und By der beiliegenden Tafel veranschaulicht.
Diese Curven bekräftigen das früher Gesagte: die
kritische Temperatur wird nicht durch die Gleichheit
der specifischen Volumina von Flüssigkeit und Dampf,
sondern durch Gleichung (5) bedingt.
Was aber diese Gleichung anbelangt, so glauben
wir — bis auf Weiteres,— in ihre physikalische Bedeu-
tung nicht eingehen zu kónnen. Erstens müssen auch
andere Flüssigkeiten — in der von uns für Áther be-
sprochenen Weise — untersucht werden; ausserdem
ist aber diese Frage so fest mit derjenigen über Span-
nung der Dämpfe bei hohen Temperaturen (besonders
in der Nähe der kritischen) verknüpft, dass wir durch-
aus die Veróffentlichung der vor kurzem in dieser
Hinsicht im Kiewschen Laboratorium erhaltenen Re-
sultate abwarten müssen.
Unsere Flüssigkeitscurve und Dampfeurve geben
die ersten bis jetzt erhaltenen experimentellen Data,
durch welche das Gesetz der Abhüngigkeit der Dich-
tigkeit einer Flüssigkeit und derjenigen ihres Dam-
pfes von der Temperatur, in den Grenzen der mögli-
chen Existenz von Flüssigkeit und Dampf (d. h. bis
zur kritischen Temperatur) ausgedrückt wird.
Ungeachtet des Interesses, welches die Betrachtung
des Verlaufes dieser Curven bietet, sind wir auch hier
— und das aus denselben Gründen — gezwungen, die
Veröffentlichung der oben genannten Untersuchungen
abwarten zu müssen.
Kiew. August, 1876.
10) Die mit einem * bezeichneten Temperaturen sind bei con-
stantem Volumen bestimmt.
Über eine Sammlung schlesischer Ichneumoniden. Von
F. W. Woldstedt. (Lu le 21 septembre 1876.)
Obgleich wir schon durch Gravenhorst, der wäh-
rend einer langen Reihe von Jahren als Lehrer an der
Hochschule in Breslau thätig war, über die schlesische
Ichneumonidenfauna ziemlich genau unterrichtet wor-
den sind, so ist doch noch Manches zu erforschen
übrig geblieben. Eine Sammlung, die früher dem nun-
mehr verstorbenen Lieutenant Müller gehörte, von
der jetzt aber ein Theil im Museum der Universität
zu Königsberg sich befindet und ein anderer vor eini-
gen Jahren für das Entomologicum der hiesigen Aka-
demie der Wissenschaften angekauft wurde, beweist
dieses ganz augenscheinlich. Zwar habe ich nur Gele-
genheit gehabt die hier in Petersburg vorhandenen
Arten zu untersuchen, aber auch unter ihnen befinden
sich manche, die, so viel ich weiss, entweder noch gar
nicht als in Schlesien vorkommend bekannt sind, oder
auch bis jetzt nur in einem oder wenigen Exemplaren
dort gefunden worden sind. Besonders interessant sind
solche Arten, die noch nicht in die von Holmgren
aufgestellten neuen Gattungen untergebracht worden
sind, da man in den meisten Fällen ziemlich sicher
sein kann dieselben vor sich zu haben, wie Graven-
horst, als er seine Ichneumonologia Europaea schrieb.
Es sind deshalb einige schon bekannte Arten von mir
nochmals beschrieben und dabei die Skulptur mehr
berücksichtigt worden, als dieses früher geschehen ist.
Gern hätte ich das neue System von Förster mehr in
Anwendung gebracht, aber ein Jeder, der sich mit
demselben eingehender beschäftigt hat, wird zugeben,
dass es oft sehr schwer ist sich darin zurechtzufinden.
Nur in einem Paar Fällen habe ich seine neuen Gattun-
gen angenommen, in anderen sie in Klammern hinzu-
gefügt, in den meisten aber sie unberücksichtigt ge-
lassen.
Ausser den neuen Arten und Varietäten, die weiter
unten beschrieben werden sollen, wären folgende Ar-
ten, die in der Sammlung vorhanden sind, noch. be-
sonders hervorzuheben: Habronyx heros Wesm.; Hete-
ropelma calcator Wesm.; Anomalon bellicosum Wesm.,
| cerinops Grav., procerum Grav., nigricorne Wesm.;
Paniscus cephalotes Holmgr.; Ophion marginatus Jur.
Grav.; Campoplex carinifrons Holmgr., nitidulator
Holmgr., subaequalis Först. Holmgr.; leptogaster
25*
Bulletin de l'Académie Impériale
neng ., faleator Thunb., obliteratus Holmgr., oxya-
canthae Boie, xenobampins Foerst. Holmgr.; Cymo-
dusa antennator Holmgr.; Casinaria orbitalis Grav.,
varians Tschek; Limneria geniculata Grav. et var. 1
Holmgr., mutabilis Holmgr., erucator Zett., vivida
Holmgr., unicincta Grav., transfuga Grav.; Exetastes
aethiops Grav., flavitarsus Grav.; Exochus alpinus
Zett.; Bassus ruficornis Holmgr., B. (Syrphoctonus)
exsultans Grav.; Ephialtes tenuiventris Holmgr. (geni-
culatus Brischke): Teleutaea striata Grav.; Pimpla
(Epiurus) calobata Grav., ovivora Bohem.; Lycorina
triangulifera Holmgr.; Glypta consimilis Holmgr.; pic-
tipes Taschenb., resinanae Hart. Ratz.; Lissonota cu-
liciformis Grav., parallela Grav. var. 1 Taschenb., la-
teralis Grav., dakeiser Grav., conflagrata Grav., lineata
Grav., emisie Holmgr., altipes Holmgr.; cicho-
rus strenuus Holmgr., anomalus Holmgr.; Aptesis mi-
croptera Grav.; Hemiteles pulchellus Grav.; Phygadeuon
aberrans Taschenb.; Mesostenus annulatus Brischke
(Xylonomus); Cryptus rufipes Grav., leucopsis Grav.,
hostilis Grav. et var. 1 Woldst., rufiventris Grav.
Tschek., adustus Grav. var. 1 Taschenb.; Platylabus
tenuicornis Grav. et var. 1 Holmgr , dolorosus Grav.;
` Amblyteles pseudonymus Wesm., inspector Wesm., re-
pentinus Grav. var. 1 Grav., EE Grav.; Ich-
` neumon multicinctus Grav. var. 1 Wesm., castaniven-
tris Grav., bucculentus Wesm., sicarius Grat, dume-
ticola Grav., bilunulatus Grav., vestigator Han,
pachymerus Hart. Hatz. ` Apaeleticus mesostietus Grav.
Wesm.; Centeterus major Wesm.; Phaeogenes callopus
. Wesm., fuscicornis Wesm. var. 1 Wesm.; Cteniscus
(Mieropleetron) erosus Holmgr.; Eumesius crassicornis
Grav.; Polyblastus palaemon Schiódte; Perilissus pal-
lidus Grav.; Oedemopsis scabricula Grav. (Tryphon);
Euryproctus nigriceps Grav. (Mesoleptus praetermis-
sus Woldst.); Tryphon ephippium Holmgr., Tr. (Otito-
chilus) trochanteratus Holmgr. var. 1 Brischke; Me-
solius rufolabris Zett. Holmgr., hamulus Grav., viduus
Holmgr., nigricollis Grav. Brischke, leucostomus Grav.
Es folgen nun die
Beschreibungen.
1. Casinaria moesta Grav. Parum nitida, nigra;
apice palporum et basi tibiarum albidis; medio abdo-
minis subcompressi anticorumque pedum femoribus
apice, tibiis et tarsis rufescentibus.
Campoplex moestus? Grav. III. 599. 99.
Long. 6 — 8 millim.
d. Caput pone oculos angustatum, genis et tempo-
ribus angustis; facie et fronte scabriculis. * Antennae
corpore breviores, apice subattenuatae. Thorax altitu-
dine longior, scabriculus; metathorace medio longitu- `
dinaliter impresso. Abdomen angustum, subclavatum,
teretiusculum; segmento primo posticorum pedum co-
xis cum trochanteribus longiore, nigro; secundo lati-
tudine plus duplo longiore, nigro, fascia rufa ante api-
cem; tertio latitudine paulo longiore, quarto et quinto
transversis, rufis, hoc apice nigro; sequentibus trans-
versis, nigris; spiraculis segmentorum omnium distine-
tis, punctiformibus. Alae fere hyalinae, stigmate et
squamula fuscis; areola petiolata, nervum recurrentem
pone medium excipiente, nervis discoido-cubitali et
transverso anali haud vel vix fractis. Pedes mediocres, _
maxima ex parte nigri, calearibus tibiarum albidis;
intermediorum femoribus apice, tibiis et tarsis inter-
dum fusco-testaceis. >
2. C. punctiventris n. sp. Parum nitida, punctulata,
nigra; palpis apice fusco-ferrugineis; abdominis medio,
femoribus anticis totis, intermediis apice, anteriorum
pedum tibiis et tarsis tibiarumque posticarum medio
rufescentibus; abdomine supra punctis nonnullis majo-
ribus instructo, apice subcompresso; alis fere has
stigmate pallido, squamula fusca.
Long. 5 — 6 millim.
O. Caput pone oculos valde angustatum, fronte su- -
pra antennas nonnihil impressa, medio carinulata. An-
tennae corpore paululum breviores. Thorax robustus,
altitudine longior, confertim punctatus; metathorace
medio longitudinaliter impresso. Segmentum abdomi- -
nis primum altitudine latius, apicem versus parum di-
latatum, posticorum pedum coxis cum trochanteribus
longius, nitidum, nigrum, postpetiolo obsoletius cana-
liculato; secundum latitudine paulo longius, rufum,
basi nigra; tertium et quartum transversa, rufa; se-
quentia nigra; terebra breviter exserta. Areola alarum
petiolata, nervum recurrentem pone medium excipiens; ` `
nervus discoido-cubitalis arcuatus, transversus analis
vix, nisi longe infra medinm obsoletissime fractus
: | Pedes mediocres.
3. Limneria caedator Grav. Parum nitida, griseo-
pubescens, nigra; ore, squamulis alarum, trochanteri-
bus anterioribus apiceque trochanterum posticoruM
"deier di
TA ERR NE TEM
393 des Sciences de Saint- Pétersbourg.
flavidis; segmento abdominis secundo apice et sequen-
tibus fere totis pedibusque rufocastaneis, posticorum
coxis, basi trochanterum, basi apiceque tibiarum et
tarsis nigricantibus, coxis anterioribus basi fuscis; ca-
pite pone oculos valde angustato; areis metathoracis
scabriculi superioribus quinque subdistinctis, quarum
superomedia fere hexagona, latitudine non longiore,
area posteromedia planiuscula; segmento abdominis
secundo latitudine nonnihil longiore; terebra brevissi-
ma; areola alarum petiolata.
Campoplex caedator Grav. III. 561. 75.
Long. 5 millim.
9. Antennae filiformes, corpore paulo breviores.
Thorax capite nonnihil angustior. Abdomen capite
cum thorace paulo longius, segmento primo curvato,
posticorum pedum coxis cum trochanteribus haud bre-
viore, postpetiolo tumidiusculo, tertio quadrato. Alae
subfumato-hyalinae, stigmate piceo, -areola cubitali
intermedia nervum recurrentem fere in medio exci-
piente, nervo transverso anali rectiusculo. Pedes me-
diocres.
4. L. crassiuscula Grav. Parum nitida, pubescens,
nigra; ore, scapo antennarum subtus, squamulis ala-
rum, trochanteribus et medio tibiarum posticarum
flavis; margine apicali segmenti abdominis secundi
pedibusque rufescentibus, posticorum coxis, basi tro-
chanterum, geniculis, apice et basi tibiarum apiceque
tarsorum nigris; capite pone oculos angustato; areis
superioribus metathoracis subtiliter alutacei subdis-
tinctis, quarum superomedia fere triangulari, cum
posteromedia plana confluente; segmento abdominis
subcompressi secundo latitudine vix longiore; alis sub-
fumato-hyalinis, stigmate piceo, areola minuta, petio-
lata.
Campoplex crassiusculus? Grav. IIT. 531. 54.
Long. 5 — 6 millim.
d. Antennae corpore breviores, apice subattenuatae.
Thorax capite paululum angustior. Segmentum abdo-
minis primum posticorum pedum coxis eum trochan-
teribus paulo longius, postpetiolo lateribus rotundato,
petiolo plus duplo latiore. Alae vix infumatae, areola
nervum recurrentem pone medium excipiente, nervis
discoido-cubitali et transverso anali non fractis. Pedes
mediocres; coxis anterioribus interdum basi fuscis.
5. L. nigritarsa Grav. Parum nitida, griseo-pubes-
cens, nigra; ore, articulo primo antennarum subtus,
squamulis alarum anteriorumque pedum coxis et tro-
chanteribus flavidis; pedibus rufis, posticorum coxis,
basi trochanterum, apice tibiarum et tarsis nigrican-
tibus; capite pone oculos parum angustato; areis me-
tathoracis scabriculi superioribus quinque distinctis,
quarum superomedia fere pentagona, latitudine haud
longiore; area posteromedia parum impressa, trans-
versim rugulosa; segmento abdominis secundo latitu-
dine nonnihil longiore; areola alarum petiolata, nervo
discoido-cubitali fracto.
Campoplex nigritarsus Grav. III. 506. 35.
Long. 5 — 6 millim.
d. Antennae apicem versus subattenuatae, longitu-
dine corporis. Mesonotum punctulatum, opacum. Ab-
domen thorace angustius, longitudine capitis eum tho-
race; segmento primo posticorum pedum coxis cum
trochanteribus vix breviore, spiraculis prominulis,
postpetiolo latitudine longiore, petiolo vix duplo la-
tiore. Alae hyalinae, stigmato pallido, areola nervum
recurrentem pone medium excipiente, ramello divi-
dente subdistincto, nervo transverso anali infra me-
dium fracto. Pedes mediocres.
6. L. robusta n. sp. Parum nitida, punctulata, nigra;
ore squamulisque alarum flavis; plica ventrali strami-
nea, fusco-maculata; pedibus rufis, coxis et basi tro-
chanterum nigris; facie fronte paulo angustiore; meta-
thorace brevi, postice abrupte declivi, areis obsoletis;
segmento abdominis secundo latitudine distincte 3, vel
vix longiore 9, terebra longitudine dimidii abdominis;
alis hyalinis, stigmate piceo, areola sessili, nervum re-
currentem pone medium excipiente, nervo transverso
anali longe infra medium, interdum obsoletissime,
fracto.
^ A Long. 6 millim.
d9. Caput griseo- pubescens, pone oculos angusta-
tum. Oculi oblongi, juxta radicem antennarum leviter
emarginati. Antennae crassiusculae, apice vix attenua-
tae, dimidio corpore longiores. Thorax robustus, alti-
tudine paulo longior. Abdomen capite cum thorace
paulo longius, breviter griseo-pubescens, segmento
primo posticorum pedum coxis cum trochanteribus
longiore. Nervus alarum discoido- cubitalis e,
Pedes mediocres.
7. L.spreta n. sp. Parum nitida, nigra; weh squa-
mulis alarum flavidis; cingulo apicali segmenti abdo-
minis secundi, macula laterali segmenti tertii pedi-
A
Bulletin de l'Académie Impériale
busque rufescentibus, basi coxarum anteriorum posti-
corumque pedum coxis et trochanteribus nigris; capite
pone oculos angustato, temporibus nonnihil tumidis ;
metathorace scabriculo, medio longitudinaliter subim-
presso, areis superioribus utrinque duabus; abdomine
compresso, thorace multo angustiore, segmento se-
- eundo latitudine duplo longiore; alis hyalinis, stigmate
fulvo, areola minuta, petiolata, nervum recurrentem
paullulum pone medium excipiente, nervo transverso
anali haud fracto.
Long. 5 — 6 millim.
d. Facies griseo-pubescens. Antennae corpore bre-
viores, apicem versus nonnihil attenuatae. Mesopleu-
rae aciculatae. Segmentum primum abdominis posti-
corum pedum coxis cum trochanteribus paulo longius,
postpetiolo nonnihil latiore quam petiolus, latitudine
longiore, lateribus subrotundatis; tertium latitudine
longius. Nervus alarum radialis externus apice paul-
lulum ineurvatus, discoido-cubitalis arcuatus. Pedes
mediocres.
8. L. unicincta Grav. RN Q: Terebra vix ex-
serta; cetera sicut in mare. 89:
9. Erochus consimilis Holmgr. Var. 1 d: puncto
utrimque verticis et macula apicali scutelli flavis; pe-
dibus rufis, coxis posticis basi fuscis.
- 10. Ex. mitratus Grav. Nitidus, punctulatus, pu-
bescens, niger; fascia arcuata infra antennas, puncto
ad orbitas verticis, linea longa ante alas, squamulis
alarum, limbo scutelli, apice postscutelli et marginibus
summis apicalibus segmentorum ultimorum abdominis
flavidis; pedibus rufis, coxis et trochanteribus nigris,
summa basi tibiarum posticarum albida; fronte antice
utrinque foveolatim impressa, elevatione media trian-
gulari haud determinata; areis metanoti supero-exter-
nis et dentiparis costa elevata discretis; segmento ab-
dominis secundo in medio subtiliter punctulato.
Exochus mitratus Grav. II. 350. 224.
Long. 8 milim. ` `
Q. Caput pone oculos sat angustatum. Antennae
apice paulo attenuatae, longitudine dimidii corporis.
Thorax capite nonnihil latior, spiraculis metathoracis
fere linearibus. Abdomen capite cum thorace longius,
segmento primo latitudine parum longiore, carinulis
ad medium extensis. Alae subfumato-hyalinae, stig-
mate piceo, radice et squamula albo-flavis, hae puncto
fusco; areola nulla, nervo radiali interno segmento
costae tertio fere dimidia parte breviore, nervo trans-
verso ordinario pone originem nervi basalis terminato,
transverso anali infra medium fracto. Pedes validi.
11. Ex. pumilus Holmgr. Var. 1: mesothorace rufo-
maculato.
12. Ex. tardigradus Grav. Vor. 1: apice genarum
summo, punctis ad orbitas verticis et ante alas apice-
que scutelli et postscutelli flavidis.
13. Bassus scabriculus Holmgr. Var. 1 d: maculis
ante et infra alas pectorisque flavis; scutello nigro.
14. Ephialtes tenuiventris Holmgr. Var. 1 $: scapo
antennarum toto nigro.
15. Troctocerus n. g. Pimplinorum. Caput transver-
sum, parum buccatum, pone oculos subangustatum.
Frons supra antennas impressa. Facies fere quadrata,
fronte nonnihil angustior. Clypeus discretus, apice de-
presso. Antennae porrectae, filiformes, articulis fla-
geli 2 — 4 extus erosis. Thorax latitudine longior;
mesonoto antice trilobo; area metathoracis superome-
dia angusta. Abdomen subdepressum, thorace plus
duplo longius; segmentis 1 — 7 latitudine longioribus,
marginibus apicalibus laevibus, tuberculis lateralibus
vix distinctis, ventre plica longitudinali elevata in-
structo. Alae modice latae; areola quadrangulari, sub-
petiolata, nervum recurrentem pone medium exci-
piente; nervo transverso anali infra medium leviter
fraeto. Pedes graciles; tibiis anticis nonnihil curvatis;
unguiculis tarsorum simplicibus, horum Deier ar-
ticulo ultimo penultimo plus duplo longiore.
Tr. elegans n. sp. Nitidulus, niger; palpis albidis;
facie sericeo-hirta; antennarum basi subtus testacea;
thorace maxima ex parte rufo; pedibus anterioribus
pallide stramineis, postieis rufescentibus, tibiis albidis,
basi apiceque infuscatis, tarsis fuscis, basi articulorum ` `
albida; alis fere hyalinis, stigmate testaceo, radice et
squamula pallide stramineis.
Long. 6'/, millim.
Femina ignota. |
16. Glypta mensurator Fabr. Var. 1 3: abdomine
magna ex parte et scutello rufis.
17. Polysphincta Taschenbergi n. sp. Nigra, nitida;
palpis pallidis; flagello antennarum subtus fusco-ferru-
gineo; mesothorace maxima ex parte rufo; alis fere
hyalinis, stigmate testaceo, radice et squamula albidis;
cellula radiali lanceolata, nervo transverso anali infra
medium fracto, nervum e fractura distinctum emit-
Leg ER
e
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
tente; pedibus rufo-fulvescentibus, tibiis posticis exal-
bidis, apice et macula ante basin fuscis; terebra seg-
mento primo circiter duplo longiore.
Long. 7'/, millim.
Q. Caput pone oculos sat angustatum. Mesothorax
rufo-sanguineus, macula antica mesonoti mesosterno-
que nigro-fuscis. Metanoti area superomedia vix dis-
tincta, angusta, apice aperta. Segmentum primum ab-
dominis coxis posticis vix brevius, in medio elevatum,
carinulis distinctis; sequentia tuberculis lateralibus
majusculis instructa. Pedes mediocres, articulo ultimo
tarsorum majusculo; trochanteribus posticis et apice
articulorum tarsorum posticorum infuscatis.
18. Lissonota carbonaria Holmgr. Var. 1 Q: puncto
ante alas stramineo; stigmate alarum pallide testaceo.
19. L. lateralis Grav. Tasch. d: Nigra; ore, clypeo,
genis, facie, orbitis frontis et verticis, articulo anten-
narum primo subtus, margine prothoracis, macula
subhamata ante alas, lineis mesonoti, scutello, post-
scutello, squamulis alarum, lineola infra alas et maculis
pleurarum flavis; flagello antennarum basin versus
subtus, lateribus thoracis, marginibus apicalibus seg-
mentorum 1 — 4 abdominis pedibusque rufescentibus.
20. L. segmentator Fabr. Var. 1 9: masaia hume-
rali flava.
21. Phygadeuon Brischkii n. sp. Nitidulus, breviter
pubescens, niger; abdominis medio, femoribus ante-
rioribus apice, tibiis anterioribus et tarsis anticis
rufis; annulo tarsorum posteriorum albo; clypeo vix
discreto, apice marginato, subtruncato; metathorace
parum declivi, ruguloso, subbidenticulato, area supero-
media valde obsoleta, postice aperta, spiraculis ova-
libus; segmento primo abdominis posticorum pedum
coxis cum trochanteribus vix breviore, parum cur-
vato, apicem versus paulo dilatato, altitudine latiore,
laevi, nitido, carinulis nullis, spiraculis prominulis;
alis subfumato-hyalinis, areola lateribus fere parallelis,
nervum recurrentem in medio excipiente, ramulo nervi
dividentis punctiformi, nervo transverso ordinario
paulo ante originem nervi basalis terminato, transverso
anali infra medium fracto.
Long. 7 millim.
d. Caput haud buccatum, pone oculos subangu-
Statum, vertice angusto, facie rugulosa, in medio parum
elevata. Antennae dimidio corpore nonnihil longiores,
crassae, setaceae, articulo primo flagelli latitudine cir-
citer duplo longiore. Thorax robustus, mesonoto con-
fertim punctato, pleuris rugulosis. Segmentum abdo-
minis primum apice, 2 — 4 tota rufa, haec transversa.
Pedes validiusculi. Dës
22. Mesostenus niveatus rá Var. 13: macula'
genarum, lineola humerali et altera infra alas apiceque
scutelli albis; segmento abdominis quarto basi rufo.
23. Cryptus avidus n. sp. Subopacus, confertim
punctulatus, niger; palpis, lineola tenuissima ad orbitas
faciales, annulo antennarum, radice alarum, macula
scutelli et margine apicali segmentorum abdominis
ultimorum albidis; anteriorum pedum femoribus apice,
tibiis et tarsis, geniculis posticis et incisuris 1 — 3
abdominis castaneo-rufis; clypeo apice depresso, sub-
truncato; metathorace bidenticulato, scabro, areis
superioribus quinque, quarum superomedia brevi, sub-
hexagona, spiraculis ovalibus; segmento abdominis pri-
mo nonnihil curvato, nitidulo, aciculato-punctato, cari-
nulis postpetioli subdistinctis, terebra abdomine paulo
longiore; areola alarum costam versus sat angustatä,
nervum recurrentem pone medium excipiente, ramello
cellulae cubitalis primae distincto, nervo transverso
ordinario fere interstitiali, transverso anali infra
medium fracto,
Long. 8 — 9 millim.
Q. Caput pone oculos valde angustatum, fronte
canaliculata, supra antennas nonnihil impressa, tuber-
culo faciali distincto. Antennae dimidio corpore paulo
longiores, apice parum attenuatae, articulo primo
flagelli latitudine fere quadruplo longiore. Mesono-
tum trilobum. Sulcus medius mesosterni postice
dilatatus. Segmentum primum abdominis posticorum
pedum coxis cum trochanteribus vix longius, post-
petiolo lateribus parallelis, petiolo duplo circiter
latiore; secundum apicem versus sat dilatatum, lateri-
bus rotundatum, confertissime punctatum, opacum,
latitudine vix longius; tertium transversum, pun-
ctatum , opacum; sequentia laeviora. Alae subfumato-
hyalinae, stigmate et squamula piceis. Pedes medio-
cres; posticorum femoribus et tarsis interdum ex
"— castaneis.
. Cr. scrutator n. sp. Subnitidus, niger; gies
Sg geng orbitis internis, annulo antennarum
et margine supero colli albis; abdomine, lateribus
petioli exceptis, pedibusque rufis, coxis et trochanteri-
bus nigris, posticorum femoribus basi; tibiis apice et
Bulletin de l'Académie Impériale
tarsis paululum infuscatis; clypeo apice anguste de-
presso, subtruncato; fronte impressa, rugulosa; meta-
horace scabriculo, bidenticulato, area superomedia
subdistincta, pentagona, spiraculis elongatis; segmento
“ abdominis primo posticorum pedum coxis eum trochan-
teribus non longiore, carinulis postpetioli subdistinctis,
terebra Y, abdominis longitudine; areola alarum co-
stam versus angustata, nervum recurrentem paulo pone
medium excipiente, ramello cellulae cubitalis primae
distincto, nervo transverso ordinario paulo ante origi-
nem nervi basalis terminato, transverso anali infra
medium fracto.
Long. 8. millim.
Q. Caput pone oculos distincte angustatum, tuber-
eulo faciali distineto. Antennae filiformes, dimidio
corpore nonnihil longiores, articulo primo flagelli
latitudine quadruplo saltem longiore. Mesonotum tri-
lobum, punctulatum. Pleurae rugulosae. Segmentum
abdominis primum curvatum, apicem versus sat dila-
tatum, lateribus postpetioli fere parallelis. Alae
fumato-hyalinae, stigmate et squamula fuscis, nervo
radiali externo basi apiceque paullulum curvato. Pedes
mediocres, tibiis anticis inflatis, basi angusta.
25. Ichneumon bucculentus Wesm. Var. 19: macula
segmenti quarti alba.
26. Ichn. pachymerus Hart. Ratz. Var. 1 Q
(Phygadeuon Piniperdae Hart. Ratz.): lineola infra
alas, apice scutelli maculaque segmenti sexti abdomi-
nis albis; segmento abdominis quarto castaneo. .
27. Ichn. xanthorius Forst. Var. 1 3: sicut var.
2 Wesm., sed lateribus segmentorum abdominis ulti-
morum flavidis femoribusque postieis fere totis nigris.
Var. 2 8: sicut var. 2 Wesm., sed lineolis ad orbitas
oculorum externas et marginibus apicalibus segmen-
torum abdominis ultimorum flavidis; femoribus posti-
cis fere totis nigris.
28. Polyblastus rixator n. sp. Parum nitidus, punctu-
latus, niger; palpis, scapo antennarum subtus et squa-
mulis alarum albidis; medio mandibularum pedibus-
que rufis, coxis, apice tibiarum postiearum tarsisque
posticis nigricantibus; clypeo vix discreto, apice
subrotundato; areis metathoracis bidenticulati superi-
oribus quinque valde distinctis, quarum superomedia
longitudine latiore, subhexagona; area posteromedia
abrupte declivi; segmento abdominis primo coxis
posticis distincte longiore, marginato, scabriculo,
carinulis ultra medium extensis; secundo et tertio
tranversis, scabriculis; alis infumato-hyalinis, stig-
mate piceo, areola nulla.
Long. 5 — 6 millim.
d. Caput opacum, pone oculos paulo angustatum,
facie nonnihil pubescente. Antennae subsetaceae,
dimidio corpore paulo longiores. Mesopleurae punctu-
latae, nitidae. Nervus alarum tranversus analis infra
medium fractus, nervum e fractura distinctnm emit-
tens. Pedes mediocres, unguiculis tarsorum basi tan-
tum subpectinatis.
29. Perilissus Foersteri n. sp. Parum nitidus, niger;
ore, clypeo, apice genarum, facie, macula ad orbitas
verticis, scapo antennarum pedibusque rufescentibus,
basi coxarum et tarsis infuscatis; clypeo vix discreto;
areis metathoracis superioribus quinque, quarum
superomedia elongata; segmento abdominis primo
coxis posticis parum longiore, carinulis nullis; alis
hyalinis, stigmate et squamula pallidis, areola sub-
petiolata, nervum recurrentem fere in ipso apice exci-
piente, nervo transverso anali in medio fracto.
Long. 4 — 5 millim
d. Caput pone oculos non angustatum. Antennae -
| eorpore haud longiores, articulis flagelli 1 et 2 aequa-
libus. Abdomen nigrum, incisuris mediis subcastaneis;
segmentum secundum transversum. Pedes graciles;
caleare interno tibiarum posticarum articulo secundo
tarsorum paulo breviore.
30. Euryproctus aberrans n. sp. Parum nitidus,
confertim punctatus, niger; ore, antennis, abdominis
medio pedibusque rufescentibus, coxis et basi trochan-
terum nigris; areis metathoracis superioribus tribus,
quarum superomedia elongata, apicem versus paulo
dilatata; segmento abdominis secundo latitudine paulo
longiore, tertio subquadrato; alis parum infumatis,
stigmate brunneo, radice et squamula flavis, -
macula fusca notata.
Asymmictus mundus Foerst. in sched.
Long. 9. millim.
Q. Caput pone oculos paulo angustatum, fronte et
facie rugulosis Antennae corpore parum breviores,
rufae, scapo supra nigro. Thorax rugulosus; dorsulo
et scutello confertim punctatis, hoc carinulis duabus
elevatis, parallelis, obsoletissimis apice instructo;
spiraculis metathoracis ovatis. Segmentum abdominis
primum apice late, secundum, tertium et quartum
-
MES.
E
| 401
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
rufa. Areola alarum irregulariter triangularis, nervum
recurrentem pone medium excipiens; nervus trans-
versus analis supra medium fractus. Pedes mediocres.
31. Mesolius decipiens m. sp. Vix nitidus, niger;
ore, antennis basin versus subtus, abdominis medio
pedibusque rufescentibus, coxis et trochanteribus
nigris, posticorum femoribus et tibiis apice tarsisque
infuscatis; clypeo apice subtruncato; areis meta-
thoracis superomedia elongata et posteromedia sat
declivi distinctissimis; segmento abdominis primo
coxis posticis nonnihil longiore, marginato, scabriculo,
carinulis fere ad apicem extensis; secundo et tertio
transversis, subscabriculis; alis infumato-hyalinis, stig-
mate fulvo-testaceo, basi albida, radice et squamula
flavis, areola nulla.
ong. 5 millim.
d. Caput pone oculos subangustatum, fronte et facie
opacis. Antennae filiformes, corpore vix breviores,
articulis flagelli apice paululum incrassatis. Mesono-
tum elevatum, metathorace brevi multo altius. Seg-
mentum primum abdominis apice saltem duplo latius
quam basi, nigrum, apice rufo; 2— 4 rufa, hoc
lateribus fuscis. Nervus alarum transversus analis in-
fra medium fractus. Pedes mediocres.
32. M. infidus n. sp. Subnitidus, niger; palpis
et basi tibiarum posticarum albescentibus; mandibu-
lis et clypeo rufo-piceis; squamulis alarum et apice
trochanterum. flavis; abdominis medio pedibusque
rufis, coxis, basi trochanterum posticorumque pedum
geniculis, apice tibiarum et tarsis nigricantibus;
clypeo apice depresso, subtruncato; areis metathora-
cis superomedia latitudine longiore, apicem versus
dilatata et posteromedia distinctis; segmento abdomi-
nis primo latitudine vix duplo longiore, apicem versus
dilatato, alutaceo, carinulis ultra medium extensis,
spiraculis subprominulis; alarum nervo transverso
anali paulo infra medium fractó, areola irregulari,
petiolata, nervum recurrentem in ipso apice exci-
piente.
Long. 6 — 7 millim.
d. Caput pone oculos paulo angustatum. Antennae
corpore vix longiores, apicem versus parum angustatae.
Mesothorax nitidulus. Segmenta abdominis 2 — 4
transversa, rufa, 2 et 4 leviter fusco-maculata. Stigma
alarum piceum, basi anguste pallida. Pedes medio-
cres.
Tome XXII.
-33. M. punctulatus n. sp. Subnitidus, punctulatus,
niger; ore, scapo antennarum subtus, puncto ante
alas, squamulis alarum, apice coxarum anteriorum et
trochanteribus flavis; pedibus rufis, coxis anteriori-
bus basi, posticis fere totis nigricantibus; clypeo
apice late rotundato, haud marginato; facie albido-
pubescente; area methathoracis superomedia obso-
letissima; segmento primo abdominis posticorum
pedum coxis cum trochanteribus haud breviore, cari-
nulis vix ad medium extensis, tertio latinis paulo
breviore; areola alarum irr egulari, subsessili, nervum
recurrentem in ipso apice excipiente, nervo discoido-
cubitali valde arcuato, subfracto, stigmate majusculo,
piceo.
Long. 6 — 7 millim.
d. Caput pone oculos vix angustatum, temporibus
latiusculis. Antennae filiformes, corpore breviores.
Mesonotum antice trilobum. Plica ventralis pallida.
Nervus alarum transvérsus analis infra medium fra-
ctus. Pedes mediocres; tarsis posticis parum infu-
scatis.
Parerga archaeologica. Von Ludolf Stephani. (Lu
le 12 octobre 1876.)
XXX.
Vor Kurzem gelangte ein kleiner Aufsatz Brunn's:
«Die Petersburger Poseidonvase»!), welcher meine Wie-
derherstellung der ehemals im Westgiebel des Par-
thenon vorhandenen Sculpturen °) zu widerlegen sucht,
in meine Hände. Es wird sich wohl Niemand wun-
dern, wenn ich ein Verfahren von der in diesem Auf-
satz vorliegenden Art durchaus nicht für geeignet
halten kann, irgend Etwas zur Lósung dieser oder
einer anderen Frage beizutragen. Zur Begründung die-
ser Ansicht wird es daher genügen, wenn ich ein paar
der besonders charakteristischen Stellen hervorhebe.
Den ersten Platz unter denselben nimmt ohne Zwei-
fel die gewiss von Niemandem erwartete Belehrung ?)
l)Sitz.-Ber. der phil. A Classe der k. Akad, der Wise; zu
München 1876. Th. I. p. 477 —490.
2) Compte-rendu de i a comm. arch. pour l'ann. 1872. D icit.
221—224. 1878. is 242—244. Bull. de ee. des sc. To XXII.
107—122. — Mél. gréco-rom. To. IV. p. 237—260.
3) Sitz.-Ber. der hist.-phil. Classe der k. Akad. der Wiss. zu
München 1876. Th, I. p. 483.
w
26
Bulletin de l'Académie Imperiale
ein, dass die Athena des von mir veröffentlichten
- berühmten Vasengemäldes der Kaiserlichen Ermitage‘),
obgleich sie nicht nur ihren ganzen Körper bereits
energisch nach der rechten Seite hin bewegt, sondern
auch die rechte Hand mit der gegen den Erdboden
hin gerichteten Lanze schon so hoch als möglich
empor gehoben hat, doch durchaus nicht die Absicht
hat, ihre Waffe nach dem Erdboden hin zu stossen,
sondern diese nur für die Dauer eines Augenblicks
naturgemässe und daher jede Möglichkeit eines noch
irgendwie unentschiedenen Abwartens völlig ausschlies-
sende Haltung gerade nur zu dem Zweck angenommen
hat, um über die peinliche Frage, was sie eigentlich
- thun solle, noch weiter nachzudenken, und daher nur
vorläufig «ihre Lanze zur Vertheidigung erhebt, sofern
«es einer solchen bedürfen sollte, aber noch ungewiss
«über den Punkt, auf den sie die Spitze derselben zu
S = «richten hat». Ja, dies wird behauptet, obgleich, um
SÉ . von der Athena des Parthenon-Giebels selbst und von
dem Zeugnisse Ovid's zu schweigen, sogar schon die
von mir nachgewiesene grosse Zahl vollkommen ent-
sprechender Darstellungen der Athena Tryaytohérerpa.”)
über die allgemeine Bedeutung des Motivs für einen
noch einigermaassen gesunden Sinn auch nicht die
. entfernteste Ungewissheit übrig lassen kann, und ob-
- .. gleich ich auch den besonderen Umstand hinreichend
- 4 - aufgeklärt habe, welcher den Vasenmaler gegen seinen
- ` Willen nöthigte, die Richtung der Lanzenspitze, wenn
D er sie auch im Wesentlichen fest hielt, doch von dem
genauen Zielpuncte ein wenig abzulenken’). Dies wird
behauptet, obgleich Brunn von dem in der Haupt-
sache ganz entsprechenden Dreizackstoss des in dem-
selben Gemälde auftretenden Poseidon selbst einräumt,
- dass er «gegen den Erdboden» gerichtet sei, und mithin
auch Athena gar keinen Grund hat, einen beyorste-
henden Angriff und eine Nothwendigkeit der Verthei-
digung zu befürchten.
Unmittelbar hieran aber schliesst sich die gewiss
nicht weniger werthvolle Bemerkung, dass dieser Po-
seidon in dem dargestellten Moment eben «vom Ufer-
«rande aus das Land betritt», allein trotzdem schon
«unmittelbar vorher gegen das Meer zugewendet war»,
also sich doch nicht nur schon früher auf dem Land
4) een de la comm, arch. pour Pann. 1872, Pl. 1.
5) Compte-rendu dé la comm. arch. pour l'ann. 1872, p. 86.
6) Compte-rendu de la comm. arch. pour l’ann, 1872. p. 128.
befand, sondern auch nach dem Meere hin eilte, so — —
dass das ihn begleitende Pferd selbst noch in dem dar. —
gestellten Moment nach dieser Richtung hin galoppirt, ^
während der Gott bereits wieder «landeinwárts stürmb, —.—
als ob er mit seinem Thier nur ein bekanntes Kinder: ——
spiel treiben wolle. Denn aus welchem anderen Grunde +
kónnte er wohl zuerst, unmittelbar vor diesem «land- :
«einwürts Stürmen», nach dem Meere hin gestürmt
sein und erst dann «plötzlich sich wieder rückwärts |
«gewendet» haben? Aus welchem anderen Grunde
könnte der Maler durch die der gegenwärtigen Rich-
tung des Gottes gerade entgegengesetzte Richtung `
des Pferdes auch dieses frühere Stürmen nach dem ` —
Meere hin so nachdrücklich betont haben? Aus wel- -
chem anderen Grunde könnte überhaupt Poseidon ganz —
gegen seine sonstige Gewohnheit bei so aufopfernder ` ie
Anstrengung seiner eigenen Beine doch auch noch sein f
Pferd völlig nutzlos neben sich her gezogen haben?
Auch was Brunn an einer anderen Stelle?) von dem
in demselben Gemälde als Richter gegenwärtigen ` —
Kekrops sagt: «Es ist indessen eine starke Zumuthung, ` z.
«dass wir in jenem Manne Kekrops als Richter bei dem `
«Streite anerkennen sollen. Denn wo dreht der Richter
«den Parteien, über die er urtheilen soll, den Rücken ` `
«zu und wendet nur das Gesicht nach ain um, wie —
«jemand, dessen Aufmerksamkeit nur durch einen
«unerwarteten Zwischenfall nach rückwärts gelenkt i /
«wird?» kann gewiss nur eine nicht weniger erheiternde `
Wirkung hervorbringen, besonders wenn man z. B. À
ein anderes Vasengemälde®) vergleicht, in welchem
die Muse Kalliope dem Streite zwischen Kore und.
Aphrodite als Richterin beiwohnt und ganz genau
mit derselben Körper-Wendung dargestellt ist, wie der -
Kekrops unseres Gemäldes, oder ein drittes », in wel-
chem der Wettstreit des Apollon mit Marsyas darge- 0
stellt ist und von den als Richterinnen gegenwärtigen |
Musen nicht weniger als drei sich in jener den Rich-
tern in München so streng untersagten Stellung sehen P
lassen, wührend zwei andere der ie ee den `
Rücken gar vollständig zukehren. : E
Mit solchen Resultaten der von Brunn aus nur zu = E
VE e
Ab D'A bei ET o gt GE
i
7) Sitz.-Ber. ei eg -phil. Classe der k. Akad. der Wiss. ado
München 1876. Th. 481. l
8) Bull. Napol. rai M To. VIL Tav. 9. Stephani: As E
dell” Inst. arch. To. XXII. p. 3 EAE.
9) Archaeol. Zeit. 1869. Tat 18. j
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
leicht verstándlichem Grund zum Wahlspruch erkorenen
© «Erklárung der Kunstwerke aus sich selbst» können frei-
: lich die der inductiven Methode nicht verglichen wer-
den. Allein ich denke auch gar nicht daran, durch
“ eine nähere Analyse der einzelnen Behauptungen und
Folgerungen dieses Aufsatzes die Zeit zu verschwen-
den, zumal da dieselben doch wohl auch ohne mein
Zuthun-den von Brunn schon durch seinen früheren
Aufsatz: «Die Bildwerke des Parthenon»'?) erzielten
glinzenden Erfolg nur noch erhóhen kónnen.
Mir kommt es nur darauf an, eine der auf die Pro-
lepsis der alten Kunstwerke bezüglichen Aeusserungen
nicht ganz ohne náhere Beleuchtung zu lassen, da
ich auf die wichtige, von der Kunst-Exegese jedoch
ebenso wie fast alle anderen feineren Gesetze antiker
Compositions- Weise bisher noch in hohem Grade ver-
nachlässigte Eigenthümlichkeit, welche wir mit jenem
von der Rhetorik und Grammatik entlehnten Namen zu
bezeichnen pflegen, wahrscheinlich noch oft werde zu-
rückkommen müssen.
Zunüchst also muss ich daran erinnern, dass ich zur
Rechtfertigung der besonderen, von Pheidias in seiner
berühmten Composition angewendeten Art von Prolep-
sis mich ganz vorzugsweise auf die meisten der uns in
so überaus grosser Anzahl erhaltenen Darstellungen
des Ringkampfs des Peleus mit Thetis berufen habe"),
Denn nicht nur gehóren nicht wenige derselben der
Zeit der höchsten Kunst-Blüthe an und sind mit
wahrer Meisterschaft ausgeführt, sondern sie fassen
auch handgreiflich mehrere in Wirklichkeit scharf von
einander geschiedene Zeit-Momente in ein Bild zu-
sammen, in so weit sie uns nicht nur die durch Ver-
= wandlung des menschlichen Körpers der Thetis ent-
— Standenen wilden Thiere: Löwen, Panther, Schlangen,
Drachen u. s. w., sondern zugleich auch die mensch-
lichen Formen der góttlichen Jungfrau selbst in
unveränderter Vollständigkeit sehen lassen, obgleich
dies natürlich nur in scharf von einander getrennten
.. Zeit-Momenten, nie zu gleicher Zeit möglich war.
= . Hierüber also sagt Brunn") Folgendes: «Allein,
2 à «die welche ihm« ee phani) «am wichtigsten und merk-
TE
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23 10) Sitz.- Ber. e? hist. "ed Classe der k. Akad. der Wiss. zu
München 1874. Th. T
.11) Bull. de vem, jc se. To. XXII p.113. = Mél. gréco-
rom. To. IV. p. 246.
- 12)Sitz.-Ber. der voir Se Classe der k. Akad. der Wiss. zu
E München 1876. Th. 1. p
«würdigsten sind, die Darstellungen des Peleus und der
«Thetis, gehören nicht hierher. Denn wenn bei dem
«Ringen Löwen, Panther, Schlangen betheiligt sind, so
«handelt es sich hier keineswegs um eine Prolepsis,
«sondern um eine künstlerische Ausdrucksweise,
«welche der Künstler der poetischen Schilde-
«rung der Verwandlungen súbstituirt. In einem
«Jünglinge, der mit einem Panther, einem Löwen ringt,
«würden wir Peleus nicht wohl erkennen. Der poetische
«Gedanke dagegen, dass sich Peleus durch solche
«Truggestalten von seinem Ziele, der Thetis sich zu
«bemächtigen, nicht ablenken lässt, tritt uns in der von
«den Künstlern gewählten Auffassung verständlich ent-
«gegen. Eine Zeitfolge der verschiedenen Ver-
«wandlungen kommt hierbei gar nicht in Be-
«tracht».
Also Brunn begreift nicht, dass alle Prolepsis gas
niehts Anderes ist, als eine bestimmte «künstlerische
«Ausdrucksweise» , welche sich gewisse Abweichungen
von der Wirklichkeit oder von der dieselbe vertretenden
Sage gestattet? Er weiss nicht, dass das Eigenthüm-
liche, welches diese «künstlerische Ausdrucksweise »
von jeder anderen unterscheidet, gerade darin besteht,
dass sie «eine Zeitfolge gar nicht in Betracht» zieht, son-
dern gewisse durch die Wirklichkeit oder Sage ver-
schiedenen Zeit-Momenten zugewiesene Elemente in
ein Bild vereinigt und somit als gleichzeitig erscheinen
lässt? Er bemerkt nicht, dass er sogar schon, indem.
er selbst eingesteht, dass auch in den fraglichen Dar-
stellungen des Ringkampfes des Peleus mit Thetis
eine «künstlerische Ausdrucksweise» angewendet ist,
welche von der Erzählung der Sage abweicht oder,
wie er sich ausdrückt, derselben «substituirt» ist, wider
Willen alles von mir Gesagte eingeräumt hat und dies
sich und seinen Lesern nur dadurch zu verbergen
sucht, dass er nicht, wie es seine Pflicht war, die Art
und Natur der von ihm selbst zugestandenen Abwei- `
chung näher bezeichnet? Denn der erste Blick auf ` `
jene Kunstwerke lehrt, dass sie, von hier gar nicht
in Frage kommenden Einzelheiten abgesehen, in nichts
Anderem von der Sage abweichen, als darin, dass sie
"
die verschiedenen Kórper-Formen, CSC die Sage der :
Thetis bei ihrem Kampf mit Peleus nur für verschie-
dene, durch Übergangs-Zustände scharf von einander `
getrennte Zeit-Momente zuschreibt, in ein Bild zu-
sammen fassen und dadurch als gleichzeitig erscheinen
| a
407
Bulletin de l'Académie Impériale
lassen. Auch die Sage legt der mit Peleus ringender
Thetis einen vollständig menschlichen Körper bei;
auch sie verleiht ihr die Formen eines vollständigen
Löwen, eines vollständigen Panthers, einer vollständi-
gen Schlange u. s. w., aber nur für scharf von ein-
ander getrennte Zeit-Momente, nicht für dieselbe Zeit,
und eben die «künstlerische Ausdrucksweise», welche
Dis
-—
«eine Zeitfolge gar nicht in Betracht» zieht, sondern
verschiedenen Zeit-Momenten entlehnte Elemente in
ein Bild vereinigt und somit als gleichzeitig behan-
delt, nennt man, meine ich, Prolepsis.
Der hochverdiente und berühmte Gelehrte also, der
es mir als zweckmässig bezeichnete, «dass ich mich um
«der Schwachen willen über die von Pheidias in seiner
« Composition zugelassene Vereinigung von. zwei ein we-
«nig aus einander liegenden Zeit- Momenten noch etwas
«ausführlicher ausspräche» ©), hat mir offenbar doch
nichts Überflüssiges angerathen.
Allein es ist auch leicht zu begreifen, warum bei
weitem die meisten und besten Künstler wührend der
- Blüthe-Zeit der alten Kunst bei der Darstellung des
Ringkampfs des Peleus mit Thetis von der Prolepsis
-— Gebrauch gemacht haben. Denn wenn sie dabei die
Einheit der Zeit festhalten wollten, so standen ihnen
— zwar drei andere Wege offen; allein diese litten sämmt-
lich an ganz wesentlichen Mángeln,
Sie konnten zunüchst einen Moment des ies
zur Darstellung wählen, in welchem Thetis ihre Ver-
wandluugen noch gar nid begonnen hat, und dem-
nach den Beschauer gar Nichts von den verschiedenen
Thieren oder Thierformen sehen lassen; und dies hat
bekanntlich ein verhältnissmässig nicht unbedeutender
. Theil der Künstler wirklich gethan. Allein dadurch
wird gerade die wichtigste und am meisten charakte-
ristische Eigenthümliehkeit dieses Ringkampfes dem
Beschauer gar nicht in das Bewusstsein gerufen.
Die Künstler konnten ferner einen Moment vor-
führen, in welehem gerade eine der Verwandlungen
vor sich geht, und auch dies haben in der That einige
wenige der ältesten Vasenmaler gethan, indem sie
einen aus der Schulter der Thetis hervorwachsenden
= Lówenkopf hinzugefügt haben. Allein hiermit waren
.. die schönen Körperformen der göttlichen Jungfrau
durch einen Zusatz thierischer Formen entstellt, den
13) Bull. de Zeg des sc. To. XXIL p. 107. — Mél. gréco-
rom. To. IV. p. 2
die Vertreter der ausgebildeten Kunsti in diesem Falle um
zu vermeiden wünschten.
Sie konnten endlich einen Moment des Kain
wühlen, in welchem der Kórper der Jungfrau eben
eine ue Thierformen vollstándig angenommen hatte,
und mithin dem Beschauer Nichts, als einen vollstän- t
digen Lówen, eine vollstándige Schlange u. s. w. sehen
lassen. Allein dann waren diese durch Verwandlung
entstandenen Thiere von gewóhnlichen Thieren der-
selben Art gar nicht zu unterscheiden und der Be-
schauer wurde in keiner Weise darüber belehrt, dass
er in jenen Thieren vielmehr die verwandelte Thetis
zu sehen hatte. Auch hat sich desshalb kein Künstler,
so weit wir sehen kónnen, dazu entschlossen, diesen
Ausweg zu betreten.
. Vielmehr haben es, EE mit Rücksicht auf die v
eben entwickelten Gründe, bei weitem die meisten und
besten Künstler bei der Behandlung dieses Vorwurfs
für geboten erachtet, «eine Zeitfolge der einzelnen Ver-
«wandlungen gar nicht im Betracht» zu ziehen und in
ihrea Compositionen Elemente zu vereinen, welche in
Wirklichkeit nur ganz verschiedenen Momenten des
Kampfs, dem ersten und dem dritten, zukommen, d.h.
die von der alten Kunst stets für erlaubt gehaltene
Prolepsis in Anwendung zu bringen, und ganz eben so . -
verhált es sich mit der Composition, mit welcher Phei-
dias den Westgiebel des Parthenon geschmückt hatte.
Auch dieser grosse Meister konnte die Einheit der
Zeit in zwei verschiedenen Weisen vollkommen wahren; `
allein in beiden Fällen nur zum grössten Nachtheil
seiner Composition.
Er konnte ebenso, wie er wirklich gothai hat, den
Moment vorführen, in welchem die beiden Gottheiten ^
den Lanzen-Stoss und den Dreizack-Schlag eben erst
ausführén, aber noch nicht vollendet haben, und im
Einklang hiermit sowohl den Ölbaum als auch das
Pferd ganz weglassen. Dann würde er allerdings die
Einheit der Zeit vollkommen gewahrt, aber auch den `
Beschauer jeder Móglichkeit beraubt haben, zu er-
kennen, was jener Lanzen- und dieser Dreizack-Stoss `
zu ET eg haben.
Ausserdem jedoch stand es ihm auch frei, den Mo- S 3
ment zu bilden, in welchem die beiden Gottheiten den …
Stoss der Lanze und des Dreizacks eben ganz zu Ende
geführt haben, so dass die Spitzen beider Waffen den
| Erdboden bereits berühren, Dann konnte er, ohne die —
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des Sciences de Sainí- Pétersbourg.
410
Einheit der Zeit zu verletzen, durch Hinzufügung des
Olbaums und des Pferds die Bedeutung dieses Lanzen-
und Dreizack-Stosses vollkommen verstündlich machen.
Allein selbst der klüglichste Steinmetz weiss, dass, um
der Darstellung einer mit einer kräftigen Kórperbe-
wegung verbundenen Handlung Leben, Kraft und
Wahrheit zu geben, stets Alles darauf ankommt, dass
der Künstler auf keinen Fall den Moment der voll-
ständigen Beendigung dieser Körperbewegung, sondern
im Gegentheil einen der «xp.y derselben möglichst nahe
liegenden Moment zur Darstellung wählt. Darum sehen
wir unter Anderem auch in dem bei weitem gróssten
Theil der zahllosen uns erhaltenen Kampf^Scenen die
Waffen der Kümpfenden die Kórper der angegriffenen
Gegner noch nicht berühren, und wo dies doch der
Fall ist, haben die besseren Künstler in den man-
nigfachsten anderen Weisen dafür Sorge zu tragen
gewusst, dass bei dem Beschauer doch der Eindruck
einer vóllig abgeschlossenen Bewegung wenigstens
nicht zu überwiegender Geltung gelangt.
Für Pheidias aber lag hierin ein mehr als ausrei-
chender Grund, weshalb er auch von diesem Ausweg,
die Einheit der Zeit zu wahren, keinen Gebrauch ma-
chen konnte, sondern es vorzog, die von der alten
. Kunst stets als zulässig betrachtete Prolepsis in An-
wendung zu bringen, indem er zwei Momente, welche
. um eine oder zwei Secunden auseinander liegen, in
Eins zusammenzog.
Über einen von M. H. von Jacobi construirten Queck-
silber-Rheostaten. Von 0. Chwolson. (Lu le 21
septembre 1876.)
; (Avec 2 planches.)
Einleitung.
Unter den von H. v. Jacobi kurz vor seinem Tode
construirten physikalischen Apparaten befindet sich
, em neuer, von Herrn Akademiker Wild, am Ende
der «Gedächtnissrede auf M. H. v. Jacobi» erwühnter
| Quecksilber-Rheostat, welchen selbst genauer zu stu-
diren und zu irgend einer Untersuchung zu verwen-
den dem Erfinder nicht mehr beschieden war. Im
Auftrage des Herrn Akademikers Wild unternahm ich
im physikalischen Cabinete der Akademie eine Prü-
4
fung des Rheostaten, deren Resultate ich hiemit der
Öffentlichkeit übergebe.
Ich theile die Arbeit in 7 $$. Im $ 1 gebe ich einen
Abriss der Geschichte des Rheostaten; $ 2 enthält die
Beschreibung des neuen Rheostaten; $ 3 einige ein-
leitende Versuche mit demselben; $ 4 die Calibri-
rung; $ 5 einige mit ihm ausgeführte Vergleiche ;
$ 6 eine Untersuchung des Einflusses der Temperatur
und endlich $ 7 eine zur Probe ausgeführte Unter-
suchung der Widerstandsveränderungen eines Eisen-
drahtes, welche beim Magnetisiren desselben sich be-
merklich machen. Die Resultate dieser Untersuchung,
die ausserordentliche und leicht zu erreichende Ge-
nauigkeit, beweisen, dass der neue Rheostat in jeder
Hinsicht,alle früheren weit hinter sich lässt, und man
kann kühn behaupten, dass derselbe, oder wenigstens
das ihm zu Grunde liegénde Prineip berufen ist, eine
hervorragende Rolle zu spielen in den zukünftigen
galvanometrischen Untersuchungen, deren sich so oft
widersprechende Resultate in vielen Fällen eine Folge
der bedeutenden Mängel aller bisherigen Rheostaten
sein mögen. Ich bin glücklich, dass mir die Ehre zu
Theil ward, diesen Apparat der wissenschaftlichen -
Welt vorführen zu dürfen. Móge meine Arbeit be-
trachtet werden als ein Blatt zu dem Lorbeerkranze,
den die dankbare Mitwelt dem erfindungsreichen Gei- `
ste M. H. von Jacobi's darbringt!
8 1.
Als das Erfindungsjahr des Rheostaten ist das Jahr
1840 zu bezeichnen. Um diese Zeit wurden fast gleich-
zeitig von Wheatstone, Jacobi und Poggendorff
Apparate zum bequemen Ein- und Ausschalten von
Widerstinden angegeben. Die Bedeutung derartiger
| Apparate für galvanometrische Messungen zuerst klar
ausgesprochen zu haben, ist ein Verdienst Wheat-
stone's. Es ist leicht nachzuweisen, dass Jacobi
seine ersten Regulatoren gleichzeitig und unabhängig -
von Wheatstone construirt hat. Jacobi sah nämlich
den Apparat von Wheatstone bei einem Besuche in
England im August 1840. Er selbst veróffentlichte
nun zwar eine Beschreibung seiner Apparate erst
1841, bemerkte aber bei derselben — Pogg. Ann.
Bd. LIV 1841, p. 339 — er habe seine Apparate
schon vor der Reise nach England der Akademie vor-
gezeigt. Eine nühere Angabe des Zeitpunktes, wann
Bulletin de l'Académie Imperiale
dies geschehen, findet sich a. a. O. nicht und doch
` schien es historisch vielleicht nicht uninteressant, die-
sen Zeitpunkt zu fixiren. Es stellt sich nun heraus,
dass diese nähere Angabe in dem erwähnten Abdruck
in Pogg. Ann. sonderbarerweise weggelassen ist. Im
Originalartikel — Bulletin scientifique de UA, Impér.
des Sciences de St.-Pétersb. T. IX ist p. 182 aus-
drücklich hinzugefügt, dass die Apparate vorgezeigt
wurden in der Sitzung der. Akademie vom 24. April
(6. Mai) 1840 — also vor der englischen Reise. Der
gütigen Hülfe des Herrn Akademikers Schiefner ver-
danke ich die Auffindung eines Protokolls jener, von
Jacobi erwühnten Sitzung ; dasselbe befindet sich im
Bulletin scientifique de l'Ac. ete. T. VII p. 96 (ge-
druckt 1840) und ist in ihm ausdrücklich erwühnt,
dass Jacobi jene Apparate vorgezeigt habe. Somit
ist bewiesen, dass Jacobi zum Mindesten gleichzeitig
mit Wheatstone und von ihm unabhängig seine zwei
Apparate erfunden hat, welche er zwar Regulatoren
nannte, die aber durch die Möglichkeit einer relativen
Messung der aus- und eingeschaltenen Widerstánde
‚offenbar als Rheostaten dienen konnten. Der erste (Pog-
gend. Ann. Bd. LIV Taf. II. Fig. 7) bestand aus zwei
E $ Er Kupferplatten in einem mit Kupfervitriollósung ge-
— fülten Kasten, der durch eine Thonplatte in zwei
Abschnitte getheilt war. Von den beiden, einander
TY parallelen Platten war die eine unbeweglich, die an-
dere, an eine oberhalb befindliche Schraube befe-
Stigt, konnte sich selbst parallel verschoben werden.
Die, zwischen den Platten befindliche Flüssigkeits-
sáule bildete den veränderlichen Widerstand. Der
- zweite Apparat (ib. Fig. S) bestand aus zwei Cylindern
mit gemeinschaftlicher Axe, aus Marmor und Messing
mit entgegensetzt geschnittenen Schraubengángen, in
welche ein Draht (Messing oder Neusilber) eingelegt
war, der zwischen den beiden Cylindern durch ein
rollendes Gewicht gespannt, herabhing. Durch Dre-
hen der Cylinder wurde der Draht von dem einen
auf den andern Cylinder hinübergewunden und so der
Gesammtwiderstand veründert. Die Anzahl der Um-
drehungen konnte gemessen und bis auf 0,001 bequem
. abgeschätzt werden. Bei mehrfachen Messungen fan-
den sich Differenzen bis zu 3,75 Linien Neusilber-
draht von 0,2 Linien Durchmesser.
. Etwas später beschrieb Jacobi seinen Voltago-
meter, der als Jacobi's Agometer allgemein bekannt
ist — Bull. se. de PAc. de St.-Pétersb. T. X. 1849, M
p. 285 und Pogg. Ann. Bd. LIX 1843 p. 145 (Taf. T,
Fig. 1, 2 und 3). Der Apparat enthielt einen Platin-
draht von 80' Lünge und 0,0219 Zoll. engl. Durch-
messer. |
Wheatstone's bekannte Apparate, die im August
1840 bereits fertig gewesen sind, finden sich Pogg.
Ann. LXII, p. 509 beschrieben. Für Ketten mit grossen
Widerstünden benutzte er (1. c. Taf. II, Fig. 12) zwei
parallele Cylinder von -6 Zoll Länge und 1,5 Zoll.
Durchmesser und Messingdraht von 0,01 Zoll Darch- `
messer. Für Ketten mit geringem Widerstande be- `
nutzte Whéatstone einen Apparat, der (ib. Fig. 13) :
mit dem Jacobischen Agometer geradezu identisch
war: ein Holz-Cylinder von 10,5 Zoll Länge und
3,25 Zoll Durchmesser mit darauf gewundenen 108
Umgängen Kupferdraht von '/, Zoll Dicke; darüber
ein Metallstab mit auf den Draht drückenden, glei-
tenden Schlitten etc. St
Im Jahre 1856 gab Pierre eine Modification des —
ersten Wheatstone'schen Rheostaten an, indem er
mit dem Draht ein, mit Theilung versehenes, isoli-
rendes Band laufen liess.
Poggendorff beschrieb seinen ersten Apparat im
Jahre 1841 (Pogg. Aun. LII, p. 511, Taf. IIL, Fig. 1).
Ein verticales Holzbrett, 3' hoch, 4" breit, 1,5" dick —
iit 4 darauf festgezogenen Neusilberdrähten von
0,166 Par. Linien Dicke. Je zwei Drähte konnten -
durch zwei verschiebbare, metallische Klammern an
beliebiger Stelle verbunden werden, wodurch die ein- >
geschaltene Drahtlänge beliebig variirt und durch ` —
eine auf das Brett geklebte Scala gemessen werden
konnte. Ein zweites horizontales Instrument enthielt
im Ganzen 50 Par. Fuss. Neusilberdraht von 0,166
Par. Lin. Dicke. In veränderter Form (unter dem Na- `
men Rheochord bekannt) ist dieser Apparat vielfach ` —
benutzt worden, z. B. von Beetz bei verschiedenen —
Arbeiten (P. A. CXVII, p. 5; CXXVIII, p. 202 ete. a
eine weitere Modification gab Du Bois Reymond
an, Abhandl. der Berl. Akad. 1862, p. 123.
Zu feineren Versuchen wohl kaum brauchbar ist `
der 1853 von Page angegebene Rheostat, Dinglers —
Journal CXXIX p. 53, Taf. II, Fig. 2. Ein Neusilber- `
streifen ist in den Spiralausschnitt eines runden Vers 3
tikalen Holzbrettes eingelegt, welches um seine hori-
zontale Axe rotirt. Daneben ein isolirter vertikaler —
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413
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
Metallstab mit beweglichem Schlitten, von dem ein
den Silberstreifen fassender Arm ausgeht. Der Strom
tritt durch die Axe der Holzscheibe ein; beim Drehen
derselben bewegt sich der Schlitten lüngs des mit
Theilung versehenen Metallstabes.
Zum ersten Male bei derartigen Apparaten be-
nutzte Jacobi das Quecksilber in seinem Quecksilber-
voltagometer (Pogg. Ann. 1849, LXXVIII, p. 173,
Taf. I, Fig. 17 und 18.) In zwei, neben einander
stehende vertikale, mit Quecksilber gefüllte Becher
taucht ein gebogener langer Platindraht von 0/0355
Dicke, der durch eine Schraubenvorrichtung bis zu
verschiedenen Hóhen herausgezogen werden konnte.
Die erreichbare Genauigkeit sollte 0/01 des Drahtes
betragen. Es ist wohl zu beachten, dass in diesem
Instrument das Quecksilber nur gleichsam als Hülfs-
mittel diente — der veränderliche Widerstand ist die
Lünge des ausserhalb des Quecksilbers befindlichen
Platindrahtes. Der Erste, der eine Quecksilbersiule
von messbar veránderlicher Lánge benutzte, war
Müller in Wesel (Programm des Gymnasiums zu
Wesel 1856). Sein Apparat erinnert im Princip an
den neuen, im náchsten $ zu beschreibenden Rheo-
Staten; eine Abbildung findet sich bei Wiedemann,
Galv. I, zweite Aufl. (Methoden der Widerstandsmes-
sung). In den letzten Jahren sind noch zwei Rheostaten
angegeben worden, bei welchen das Quecksilber in
Anwendung gekommen ist: F. C. G. Müller (Pogg.
Aun, CL, 1873, p. 100, Taf. II, Fig. 3) wendet ein
vertikales Glasgefäss an, in welchem, parallel der Axe,
zwei Platindráhte ausgespannt sind, welche durch den
Deckel hindurch gehen, Dieser letztere ist auch im
Centrum durchbohrt, um eine cylindrische Stange hin-
- . Qurchzulassen. Am unteren Ende trägt die Stange ein
mit Quecksilber gefülltes Gefäss, durch dessen Mes-
singboden zwei, die beiden Platindráhte hindurchlas-
sende Lócher gebohrt sind; der Strom wird zu den
.. beiden, aus dem Deckel herausragenden Drahtenden
geführt. Durch Heben und Senken der mit Theilung
- versehenen Stange (mitsammt dem Quecksilbergefäss)
- werden verschiedene Lángen des Drahtes in den Strom
. eingeführt. Das ganze Gefäss kann mit Wasser gefüllt
. Werden, das keine Nebenleitung erzeugen und die
- Temperatur constant erhalten soll. Ganz ähnlich ist
der Rheostat von Crova (Journal d'Almeida T. 3,
1874, p. 124 — 127 und Journal der physik. Ge-
sellsch. an der Petersb. Univ. T. VII, p. 44). Auch
dieser besteht aus einer vertikalen Glasróhre mit zwei,
der Axe parallelen Platindrähten. Die Röhre ist aber
unten offen und durch einen Kautschukschlauch mit
einer grossen Glaskugel verbunden, die, mit Queck-
silber gefüllt, an einer vertikalen Holzsüule verscho-
ben werden kann. Durch Heben und Senken der Ku-
gel, hebt und senkt sich das Quecksilber auch in der
Glasróhre, wodurch die Lünge des über demselben
frei bleibenden Drahtes veründert wird.
Damit würe die Liste der feineren Apparate er-
schópft, und nur kurz will ich eine andere Reihe von
Instrumenten erwühnen, die zu genaueren Unter-
suchungen wohl kaum brauchbar sein dürften. Ohne
mich bei dem sonderbaren Regulator von Gore (Phi-
losoph. Mag. (4), vol. VI, p. 309) — eine Säule, ge-
schichtet aus Goldbronze, Graphit und Steinpulver mit
Schellacklósung zu Brei gerührt und getrocknet — und
dem Rheostat von P h. Carl (Carl's Repertorium Bd. III,
1867, p. 379, Taf. XXII, Fig. 4—6) — ein Brett
mit eigenthümlich construirtem Zickzackdraht — auf-
zuhalten, will ich noch einige Rheostaten mit Flüssig-
keitssäulen von veränderlicher Länge erwähnen. Einen
solchen construirten 1859 Gallois (P. A. CVI p. 139,
Taf. III, Fig. 14 und 14”) und spáter Pierre (Prager
Sitzungsber. 1861). In beiden haben wir eine hori-
zontale mit einem Flüssigkeitsreservoir verbundene
und mit Scala versehene Glasróhre, in welcher eine
Metallplatte unbeweglich befestigt, eine zweite durch
einen Kolben hin- und hergeschoben werden kann, wo-
durch die Lànge der zwischen den beiden Platten
befindlichen Flüssigkeitssäule verändert wird; der
Strom geht zu den beiden Platten. Etwas anders ist
der Rheostat von Crova (Ann. de Chimie et de Phys.
(4). T. IV, 1865, p. 31). Zwei vertikale, beiderseits
offene Glasróhren stehen in einem mit Ag NO? Lósung
gefüllten Gefässe. In ihnen können zwei horizontale
Silberplatten, die durch Drähte an einem oberen, hori-
zontalen Stab befestigt sind, durch Heben und Senken
dieses letzteren hin- und herbewegt werden, wodurch
die durch den Strom zu durchlaufende Flüssigkeits-
schicht veründert wird. Praktischer mag der Rheostat
von Bequerel sein; er besteht (Annales du conserv.
des arts et métiers 1861, p. 733) aus einer unten
geschlossenen Glasróhre, durch deren oberen Deckel `
ein Capilarrohr und ein bis nach unten gehender
415
Rulletin de l'Académie Imperiale
416
Draht gesteckt sind. In dem, mit Scala versehenen
Capilarrohr steckt ein zweiter, steifer Draht, der mit
der Hand hin und hergezogen werden kann. Die Glas-
rühre, also auch das Capilarrohr bis zu diesem Draht,
ist mit Cu SO* Lósung gefüllt. Der veránderliche Wi-
derstand besteht aus der Flüssigkeitssäule innerhalb
der Capilarróhre, vom unteren Ende derselben bis zu
dem unteren Ende des inneren, beweglichen Drahtes.
Für sehr grosse Widerstánde, wo es auf Feinheit
der Messung nicht ankommt, haben Siemens (Ding-
ler's Journal CLXXXVII, 1868, p. 302, Tab. V, Fig. 6),
Regnard (Fortschr. d. Ph. 1858, p. 441) und Ber-
geat (Brix. Z. Jahrg. IV, p. 272) Apparate erfunden.
Bei dem Letzteren ist als Widerstandseinheit ein Mes-
- singdraht von 140”” Länge und 8,88 Gramm Gewicht
angenommen; er zeigt nicht mehr als 0,1 dieser Ein-
heit noch genau an.
Wir wollen nun betrachten, in wieweit die ange-
führten Apparate den nothwendigen Bedingungen ge-
nügen, um bei feinen Messungen angewandt werden zu
kónnen. Bei der Einfachheit der Frage kónnen wir
uns kurz fassen. Ein guter Rheostat, der im Stande
würe geringen Variationen einer gegebenen
Widerstandsmasse genau und sicher zu folgen,
müsste folgenden drei Hauptbedingungen genügen :
1) Bei gleicher Einstellung muss der eingeschaltene
Widerstand immer wieder genau denselben Werth
haben oder, wie man sagen kónnte: die Einstel-
lung muss eine vóllig sichere sein.
2) Der Rheostat muss die Möglichkeit gewähren kleine,
absolute Widerstandsgróssen noch anzuzeigen, d.h.
die, der kleinsten messbaren Veránderung in der
Einstellung des Instrumentes entsprechende Ver-
. änderung des Widerstandes muss eine möglichst
kleine Grósse sein.
3) Der absolute Widerstandswerth der einzelnen Theile
des Rheostaten muss móglichst wenig von Zeit und
Temperatur abhángig sein.
Es lassen sich nun aber alle die Rheostaten in 5
Gruppen theilen :
I. Draht-Rheostaten mit einfachem Metallcontact —
Poggendorff, Carl, Jacobi (Agometer), Wheat-
stone, Page.
II. Draht- Rheostaten mit innigem Metallcontact —
Wheatstone's und Jacobi's erste Rheostaten.
III. Draht-Rheostaten mit Quecksilbercontact —Rheo-
chord von Poggendorff, Jacobi's Quecksilber-
voltagometer, F. C. G. Müller und Crova.
IV. Rheostaten mit Flüssigkeitssäulen — Jacobi, Gal--
lois, Crova, Bequerel und Pierre.
V. Reiner Quecksilberrheostat — Müller in Wesel
und der, im nächsten $ zu besprechende. neue
Rheostat von Jacobi.
Keine der ersten vier Gruppen erfüllt die oben er-
wühnten drei Bedingungen. Die erste Gruppe erfüllt
nicht die erste jener Bedingungen; der ungenügende
Contact, das kleinste zwischen Draht und Rolle gera-
thende Stáubchen veründern oft sehr bedeutend den
eingeschaltenen Widerstand. In der zweiten Gruppe
ist nun zwar dieser Übelstand vermieden, dafür aber
die dritte Bedingung nicht erfüllt: die vielen Span-
nungen und Biegungen der Dráhte verándern den
Widerstandswerth derselben in hohem Grade. Als die
besten erwiesen sich bisher noch die Rheostaten der
dritten Gruppe und doch hinderten die Veránderlich-
keit des Drahtes, nicht ganz sicher anzugebende Grenze `
des Quecksilbers, leichte Erwärmung des Drahtes etc.
etc., den Beobachtungen diejenige Sicherheit und
Schärfe zu verleihen, welche allgemein bei galvano-
metrischen Versuchen, besonders aber beim Studium
der Ursachen, welche eine Veründerung des Wider-
standes hervorrufen, wünschenswerth sein müssen. Bei `
der vierten Gruppe ist, abgesehen von stórender Po- `
larisation, die zweite Bedingung meist entfernt nicht
erfüllt. Es bleibt der, im Princip gewiss vortreffliche
Quecksilberrheostat von Müller in Wesel, dessen Ge- -
sammteinrichtung aber kaum zu einer in der Feinheit
sehr weit gehenden Messung geeignet ist. Auch ist es
mir nicht bekannt, dass derselbe je durch eine grós-
sere galvanometrische Untersuchung geprüft worden
wäre.
Eine vollständige Erfüllung der obigen drei Bedin-
gungen finden wir in dem neuen Quecksilberrheostaten
von M. H. v. Jacobi.
§ 2.
Der neue Rheostat und seine verschiedenen Theile ` :
sind abgebildet Taf. I und II Fig. 1 — 8. Fig. !
ist die Vorderansicht, Fig. 3 ein gewisser horizon ` `
taler Durchschnitt, Fig. 4, 7 und 8 Seitenansichten Ce
einzelner Theile etc. In allen Zeichnungen sind die
417
gleichen, entsprechenden Theile mit den gleichen Buch-
staben bezeichnet. Der Apparat besteht aus einem
auf 4 Füssen stehenden Tische von 1,06" Höhe, etwas
über 1” Länge und 0,47” Breite. Behufs leichterer
Orientirung dürfte es empfehlenswerth sein, diejenigen
Theile des Apparates, welche in der Ebene des Tisches
sich befinden, mit kleinen einfachen, die unterhalb
dieser Ebene befindlichen ebenfalls mit kleinen, aber
mit Indices versehenen Buchstaben, ferner diejenigen
Theile, welche gleichsam die oberste Etage bilden, mit
grossen und endlich die zwischen der letzteren und
der Ebene des Tisches liegenden Theile auch mit
grossen, aber mit Indices versehenen Buchstaben zu
bezeichnen. Ehe ich zu einer detaillirten Beschreibung
übergehe, will ich kurz das Princip des Rheostaten
darlegen. Durch die Tischplatte gehen 4 mit Queck-
silber gefüllte, von unten festgehaltene Glassgefässe
aa’, von denen je zwei zusammengehören — s. Fig.1,
Fig. 3 (welche die Oberfläche des Tisches darstellt)
und eine Seitenansicht des oberen, erweiterten Theiles
der Gefässe auf Fig. 8. In je ein Paar solcher Ge-
fisse taucht eine dünne, mit Quecksilber gefüllte, un-
bewegliche Glasróhre b BCe (Fig. 1), die bei b und c
ins Quecksilber taucht und bei BC festgehalten wird;
der obere Theil BC ist auch in Fig. 5 und in Fig. 3
(wo er der einzige, nicht in der Ebene des Tisches
liegende Theil ist) abgebildet; von der Seite sieht
man die Röhre b B auch auf Fig. 7. Jeder der beiden
Theile dieser dünnen Róhre ist von einer dickeren
beweglichen Röhre d’D’ lose umschlossen — s. Fig. 1,
wo der Buchstabe d' bei den ersten zwei Róhren links
fehlt, und Fig. 7. — Je ein Paar solcher Róhren kann
nun hinauf- und herunterbewegt werden, wobei letz-
tere, über die dünneren Röhren AN und cc’ gleitend,
mehr oder weniger tief in die Quecksilbergefässe tau-
chen. Der zu den Gefássen aa’ seitwürts (Fig. 8 und
Fig. 3) eingeführte Strom durchláuft nun den Weg
gd BCd'a (s. die rechte Hälfte von Fig. 1), von wel-
chem der innerhalb der dünneren Róhre liegende
Theil unveránderlich ist, wihrend der in der weiteren
Róhre liegende Theil durch Heben und Senken der-
selben beliebig verändert werden kann. Der verán-
derliche Widerstand des Rheostaten ist also der Wi-
derstand einer Quecksilbersäule, die sich innerhalb der
dickeren Röhre d D' in der Tiefe des Quecksilbers aa!
befindet und aus diesem bei der Bewegung der Róhre
Tome XXII.
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
418
gleichsam herausgeschnitten wird. Der Widerstands-
werth des veránderlichen Stückes oder die Grüsse
seiner Ánderung kann mit grosser Genauigkeit ge-
messen werden. Direkt liess sich 0,00001 Siemen-
scher Einheit messen; wie ich zeigen werde, liess sich
die Genauigkeit der Messung noch weiter treiben. Ich
gehe nun zur Detailbeschreibung über. Zur Befesti-
gung der verschiedenen Theile des Apparates ist in
die Tischfläche cc... (Fig. 1 und 3) eine Schiefer-
platte von 0,5" Lünge, 0,237" Breite und 25"" Dicke
eingelassen — dddd — Fig. 1 und 3, welche an etwa
15 Stellen durchbohrt ist. An dem vorderen Rande
(unteren nach Fig. 3) sind 4 grosse Ausschnitte ge-
macht von der Form aefg — Fig 3. Durch diese Aus-
schnitte geht der oberste, erweiterte Theil der bereits
erwähnten Quecksilbergefässe aa. Von der Seite sind
die Ausschnitte durch eine Kupferplatte hh geschlos-
sen, die durch 6 Schrauben ««.... (Fig. 1 und Fig. 3)
an die Schieferplatte befestigt ist. Zwischen die Glas-
gefásse a und das Kupfer hh sind die Holzfutter fe
eingelegt (Fig. 3). Die Glasgefässe aa’ haben 0,5"
Länge und etwa 40"" Diameter; sie werden von der
starken Kupferplatte HN (Fig. 1) getragen. Diese
wird wiederum von drei starken Metallstüben gehal-
ten: vorn zwei starke Eisenstäbe ib’ von 16"" Dia-
meter und 0,56" Länge, welche mit Messingröh-
ren überzogen sind (die Enden i sieht man auch auf
Fig. 3) und mehr nach hinten ein Messingstab ck
von 8”” Dicke, der durch die Schieferplatte hindurch-
geht und bei k durch einen Schraubenkopf festgehal-
ten wird, welcher letztere auch in Fig. 3 zu sehen
ist. Auf der Kupferplatte H N stehen zuerst zwei pa-
rallelepipedische Stücke aus einer schwarzen Masse
(Guttapercha-Stearin- Wachs, zu galvanoplastischen
Abdrücken gebräuchlich), von 55"" Höhe, welche in
ihrer oberen Flüche je zwei halbkugelfórmige Vertie-
fungen haben, in welchen erst die Quecksilbergefüsse
aa’ stehen. Jedes dieser letzteren ist mit einem Deckel
versehen, der aus zwei Theilen besteht und zwei Aus-
schnitte hat: einen mittleren und einen seitlichen y
(Fig. 3); durch den mittleren gehen die beiden Róh-
ren b B (oder c C) und d D hindurch. Zur Befestigung
dieser Róhren dient der gusseiserne Rahmen mn DE
ED nn und die Messingsáulen oE (Fig. 1, 3, 4, 5, 7).
Der gusseiserne Rahmen besteht zunächst aus zwei
vertikalen Stativen, von denen eins in Fig. 4 besonders
27
419
Bulletin de l'Académie Impériale
420
DO A ee
dargestellt ist. Der untere Theil mm (Fig. 3) dersel-
ben ist an die Schieferplatte befestigt; an diesen un-
teren Theil ist auch der Eisenstab ib' (Fig. 1) durch
die Schraube (Fig. 1, 9, 4) festgeschraubt. Die obe-
ren Enden der beiden Stative sind durch eine grat-
fórmige Stange verbunden, die bei D festgeschraubt
ist und bei Æ sich rundlich erweitert — s. die Seiten-
ansicht in Fig. 1, den Querschnitt in Fig. 4 und die
Oberansicht in Fig. 5. Die Messingsáulen, 0,5" lang
und 22"" dick, gehen mit den oberen Zapfen E durch
die erweiterten Stellen jener Querstange und sind
vermittelst der Messingplatten op (Fig. 3 und Fig. 1)
mit je drei Schrauben an die Schieferplatte befestigt.
Die unbewegliche Röhre bBCe wird nur von der obe-
ren Querstange getragen und zwar so, dass an diese
zwei horizontale Messingplatten FB und GC (Fig. 5
und 7) geschraubt sind, welche an ihren Enden zwei
kurze röhrenförmige Ansätze B tragen (Fig. 1 und 7);
durch diese geht die dünne Röhre hindurch und wird
auf diese Weise festgehalten. Sie hat zwei Mal 560^"
vertikale Länge bei 5”” äusserem Diameter, der
obere horizontale Theil BC (Fig. 1, 3 und 5) hat
100"" Länge bei 7"" äusserem Diameter (auf der
Fig. 1 ist diese Röhre viel zu dünn angegeben!). Jede
der beiden Messingsäulen ist von einer beweglichen
Messingröhre AR — s. Fig. 1, 2 und Fig. 7 um-
geben. Auf der vorderen Seite (Fig. 1, rechts in
Fig. 7) trägt die Säule eine Zahnstange, in welche
die mit Zahnrad versehene Schraube H eingreift.
Es ist klar, dass durch Drehen dieser Schraube die
Messingröhre A D an der Säule oE hinauf- und
hinunterbewegt werden kann. Auf der anderen Seite
(hinten auf Fig. 1, links auf Fig. 7) ist in die Säule
eine Millimeterscala eingelassen (Fig. 2), welche man
durch einen länglichen Ausschnitt in der Messing-
röhre A'B'C'E' (Fig. 2 und 7) sehen kann; an die-
sen Ausschnitt ist auch der. Nonius K’ (Fig. 2) an-
gebracht. An ihrem unteren Ende trägt die Mes-
singröhre A B' eine kreisrunde Messingplatte F (Fig. 1,
2, 6 und 7), an welche mit zwei Schrauben (Fig. 6)
eine gebogene Messingplatte G H P befestigt ist;
Fig. 6 zeigt diese Platte von oben, Fig. 7 von der
Seite. An den Enden Z befindet sich zum Festhalten
der beweglichen Röhren D'd' (Fig. 1, rechte Seite)
eine Vorrichtung D', die aus Fig. 1, 6 und 7 wohl
ohne jede weitere Erklärung klar sein wird. Ausser-
dem trägt die Kreisplatte F” F’ noch eine Lupe Z
(Fig. 7) dem Ausschnitt C' E (Fig. 2 u. 7) gegenüber
zum genaueren Ablesen von Scala und Nonius. Auf
Fig. 9 sind alle an die Kreisplatte F’ EI befestigten
Theile weggelassen.
Hiermit ist die Beschreibung des eigentlichen Rheo-
staten beendigt, und dürfte die Art seines Gebrauches
wohl ohne Weiteres klar sein: durch Hin- und Her-
drehen der Schraube 8’ hebt oder senkt sich die Mes-
singröhre A’ B' und mit ihr die umschliessenden Róh-
ren D'd', wodurch eine Quecksilbersäule aus- oder
eingeschlossen wird, deren Lánge auf das Genaueste
durch Ablesungen an dem Nonius Æ (Fig. 2) mit
Zuhülfenahme der Lupe Z/ (Fig. 7) bestimmt werden
kann. Die Scale geht von 0”” bis 400^", doch ist es
fast unmöglich, über den 350sten Scalentheil hinaus
zu beobachten; die O befindet sich oben, die 400 ganz
unten. n
Ich gehe nun über zur Beschreibung der von Hrn.
v. Jacobi getroffenen Einrichtung zur Benutzung und
Einschaltung des Apparates. Zur praktischen Ver-
wendung des Rheostaten und auch zur Untersuchung
desselben construirte Herr v. Jacobi eine Leiter-
combination, deren Gesammtheit der bekannten Wheat-
stone’schen Brücke entspricht. Zu diesem Zwecke
sind in der Schieferplatte noch vier runde Öffnungen
ausgeschnitten, in welchen vier, halb mit Quecksilber
gefüllte Glasgefässe r (Fig. 3 u. 8) von 45”” Höhe
und 45"" Durchmesser stehen. Diese Gefässe sind
durch gebogene und mit Quecksilber gefüllte Glas-
rühren sg mit den Gefässen aa’ (Fig. 1 u. 3) ver-
bunden. Auf Fig. 8 ist diese Combination von der
Seite dargestellt; der in der Mitte der Röhren sg
aufgesetzte Theil y (Fig. 8) dient dazu eine, beim ,
Füllen etwa in der Röhre gebliebene Luftblase in
sich aufzunehmen. Die Gefásse r sind mit Deckeln
versehen, deren jeder an zwei Stellen durchbohrt ist;
durch die eine Durchbohrung gehen die Röhren 98,
durch die andere vernickelte Kupferbügel: der Bügel
xy, der die beiden mittleren Gefässe 7 mit dem Strom-
schliesser y verbindet und die beiden Bügel wv, die
die seitlichen Gefásse r mit den Glasgefüssen vw ver-
binden. Der Stromschliesser y besteht aus einem klei-
nen cylindrischen Holzgefáss von etwa 15"" Höhe,
auf dessen Boden eine Kupferscheibe gelegt ist; auf
dieser liegt eine an 2— 3 Stellen durchbohrte Holz-
e
421
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
422
scheibe, die nicht ganz bis an den Rand des Holz-
cylinders reicht und durch eine feste, diesen Rand
durchbohrende Quernadel gehalten wird. Die Óffnun-
gen in der Holzscheibe werden mit Quecksilber voll-
gegossen, welches mit der darunter befindlichen Kup-
ferscheibe einen ausgezeichnet sicheren Contact liefert.
Die mit Quecksilber gefüllten, aus zwei, durch eine
Róhre verbundenen weiteren Cylindern bestehenden
Glasgefüsse vw ruhen in besonderen Betten aus der
oben erwähnten Guttapercha- Stearin-Wachs-Masse.
An den Ecken des Tisches sind zwei Holzstücke 2
festgeschraubt, in welche zwei cylindrische Vertie-
fungen 8 und y gebohrt sind, die unter einander und
mit w durch vernickelte Kupferbügel verbunden sind.
In 8 tauchen die starken Kupferdrähte fba, die bei
a an einen Jacobischen Agometer festgeschraubt sind,
dessen Draht mit den beiden Seiten der metallischen
Axe in Verbindung steht. Dieser Theil der Combina-
tion war ursprünglich anders eingerichtet. Herr von
Jacobi hatte die Absicht gehabt, alle Verbindungs-
theile aus Hg herzustellen; zu diesem Zwecke befand
sich auf der Strecke ff statt des Agometers und der
beiden Kupferdrähte eine aus der obigen Masse ver-
fertigte, mit Hg gefüllte Rinne, in welche ein Stift
tauchte, der sich längs der mit Scala versehenen
Rinne verschieben liess und durch welche der Haupt-
strom eintrat. Einige, noch bei Lebzeiten des Erfin-
ders von Herrn Akademiker Wild unternommenen
Versuche hatten jedoch gezeigt, dass es dieser Com-
bination an der nothwendigen Stabilität fehlte, was
eine Folge von Niveauveränderungen und Strömungen
in der Quecksilberrinne sein mochte., Herr Akade-
miker Wild ersetzte daher die Rinne durch den Ago
meter. Der bei + eintretende Strom verzweigt sich im
Punkte ò, die beiden Zweige 88 hatten einen unver-
änderlichen Widerstand. Der ungenügende Contact
im Punkte 3 kann wohl auf die Stärke des Haupt-
stromes, nicht aber auf das Vertheilungsverhältniss
der Ströme in der Brückencombination von Einfluss
‚sein. Bei x kommen die beiden Zweige wieder zusam-
men, so dass der Strom bei zyo wieder austritt. Bei
8 tauchen ausserdem auch noch die Drähte der Brücke
ein, in welche das Galvanometer eingeschlossen ist.
Es entsprechen somit die mit 7, à, B, 7, 9 bezeich-
neten Punkte den gleichnamigen Punkten des Sche-
mas Fig. 9. Die wichtigsten Theile des Apparates,
vor Allem die beiden Scalen, sind von Hrn. Brauer,
verfertigt. Als Galvanometer diente ein grossartig
ausgeführter, neuer, zu absoluten Messungen einge-
richteter Apparat mit Spiegel und Scala, auf dessen
nähere Beschreibung ich hier nicht einzugehen habe.
Als Batterie, deren Drähte bei y und + endigten, ge-
brauchte ich zwei Daniell'sche Elemente von 125""
Dieke und 170"" Hóhe der Flüssigkeit; das Kupfer
befand sich innerhalb der Thongefässe. Überblickt
man noch einmal die ganze Construction, so sieht
man, dass der Apparat eigentlich aus zwei von ein-
ander unabhüngigen Rheostaten besteht, die in zwei
entsprechende Zweige der Brückencombination ein-
geschalten sind. Wir werden weiterhin die beiden
Rheostaten mit I und II bezeichnen (s. Fig. 1 und 3).
Der Kürze wegen wollen wir unter «Einstellung»
eines Rheostaten eine solehe Einstellung desselben
verstehen, bei weleher der Strom in der Brücke Null
ist. Die Widerstände der beiden constanten Brücken-
zweige 98 wollen wir stets mit P und Q bezeichnen.
Es war bei fast allen Versuchen sehr nahe P gleich Q.
$ 3.
Die Untersuchung des Rheostaten begann ich mit
Feststellung, ob und in wie weit derselbe den im $ 1
angeführten Bedingungen genüge. Was die erreich-
bare Genauigkeit der Einstellung betrifft, so erhielt
ich — allerdings mit Hülfe des oben erwähnten vor-
trefflichen Galvanometers — das Resultat, dass, wenn
bei einer gewissen Lage des Rheostaten noch ein deut-
licher Ausschlag des Galvanometers bemerklich war,
eine Veränderung der Einstellung um einen Theilstrich
des Nonius (0,1””) genügte, um bereits wieder einen
deutlichen Ausschlag (2— 3 Scalentheile im Fernrohr)
nach der umgekehrten Seite zu erhalten. Die Veránde-
rung des Widerstandes betrug dabei nur etwa 0,00001
Siemenscher Einheit (zwei Quecksilbersäulen von 0,1%”
Länge und 5"" Dicke!). Damit ist die grosse Genauig-
keit der Einstellung bewiesen. Wohl zu unterscheiden
von der Genauigkeit ist die Sicherheit der Ein-
stellung, welche verlangt, dass bei mehrfacher Mes-
sung immer wieder derselbe Scalenwerth gefunden
werde. Zur Erreichung einer völlig sicheren Einstellung
hat man zwei Umstände in Betracht zu ziehen. Erstens
erleidet die feste Röhre bBCe (Fig. 1) beim Heben
und Senken der dieselbe umschliessenden beweglichen
27*
423
Bulletin de l'Académie Impériale
424
Róhren D'd' kleine Verschiebungen,. wodurch der
Widerstandswerth des Rheostaten oft um mehrere
Zehntel und sogar einen halben Scalentheil verándert
wird. Erst als ich die obere Róhre BC mit einem
starken Bindfaden an die Metallplatten GC und FB
(Fig. 1, 5 u. 7) anband, wurde dieser Übelstand völ-
lig vermieden.
Zweitens werden bei der Bewegung der vielleicht
nieht ganz vertikalen Róhren D'd' leicht die Deckel
ag (Fig. 3) und dadurch die Röhren sg (Fig. 3 und 8)
ein wenig verschoben, wodurch wieder eine Veründe-
rung des Widerstandes um mehrere Zehntel der Sca-
leneinheit hervorgerufen werden kann, wie ich mich
direkt durch eine leichte Bewegung der Róhren sg
überzeugt habe. Es ist daher nothwendig wáhrend des
Versuches die Deckel ag abzunehmen. Dass die Ein-
stellungen alle von derselben Seite her (von oben) zu
geschehen haben, versteht sich von selbst. Bei Beach-
tung aller dieser Vorsichtsmassregeln wird die Ein-
stellung eine so vóllig sichere, dass ich nach viel-
fachem Hinauf- und Herunterschrauben der beweg-
lichen Theile immer wieder genau bei denselben beiden
am Nonius abgelesenen Zehnteln Scalenwerth zwei
schwache Ausschläge nach entgegengesetzten Rich-
tungen erhielt. Überlegt man sich aber auch die Sache
genau, so findet man, dass alle die Gründe, welche
‚bei andern Rheostaten die Unsicherheit der Einstel-
lung hervorrufen, bei diesem neuen in Wegfall kom-
men. Temperaturveränderungen haben auch nur ge-
ringe Wirkung auf die Einstellung, da die Verän-
derung auf die beiden Rheostaten I u. II meistentheils
die gleiche sein muss, wodurch sich diese Wirkung
aufhebt. Die zweite Bedingung, welcher ein guter
Rheostat zu genügen hat, besteht in der Möglichkeit,
möglichst kleine Widerstandsgrössen noch zu messen.
Diese Bedingung ist, wie im letzten $ an einem Bei-
spiel auch praktisch gezeigt werden wird, in hohem
Grade erfüllt. Ein Zehntel Scalentheil, das mit Hülfe
von Nonius und Lupe bequem abgelesen werden kann,
entspricht etwa 0,00001 Siemenscher Einheit, Bei
der Vorzüglichkeit des von mir angewendeten Galva-
nometers überzeugte ich mich, dass sich die Genauig-
keit noch weiter treiben lasse. Wie bereits erwähnt,
geben zwei um ein Zehntel Scalentheil unterschiedene
Einstellungen fast in allen Fällen Ausschläge nach
entgegengesetzten Richtungen. Vergleicht man die
Stärke dieser Ausschläge bei möglichst gleichartigem
momentanem Stromschluss, so gelangt man bei einiger
Übung leicht dahin, den Punkt der absolut richtigen
Einstellung noch genauer zu fixiren und die Genauig-
keit bis etwa 0,000003 S. E. (drei Milliontelstel) zu
treiben. Selbstverständlich hat man dabei wohl zu
überlegen, ob nicht anderweitige störende Einflüsse
mit einwirken, durch welche Fehler erzeugt werden,
viel grösser als jene kleinen Werthe, welche in diesem
Falle überhaupt in Betracht zu ziehen keinen Sinn
hätte. Die weiter unten vorkommenden zweiten Deci-
malstellen der Scalenablesungen sind auf die eben er-
wähnte Weise bestimmt worden.
Die dritte Bedingung war möglichst geringe Ab-
hängigkeit der veränderlichen und der constanten
Widerstandswerthe von Zeit und Temperatur. Keine
dem Biegen, oder verschieden starken Spannen der
Drähte entsprechenden Störungen können hier vor-
kommen; durch Füllen mit reinem Quecksilber und
Reinhalten desselben wird der Apparat gewiss von
der Zeit in hohem Grade unabhängig. Die Abhän-
gigkeit von der Temperatur werden wir später be-
sprechen.
g 4.
Vor Anfang aller Versuche hatte ich den Apparat
in allen Theilen auseinandergenommen und alle Glas-
rühren und Glasgefüsse mit Salpetersáure gewaschen,
durch anhaltenden Wasserstrom gereinigt und dann
durch einen heissen Luftstrom getrocknet. Das Queck-
silber wurde im physikalischen Centralobservatorium
mit dem bekannten Weinhold'schen Apparate destillirt,
worauf erst die Füllung vorgenommen wurde. Nach den
im vorigen $ erwähnten vorgängigen Versuchen ging ich
nun zur Calibrirung des Rheostaten übér. Diese sollte
nach dem Plane des Erfinders auf die Weise vor sich
gehen, dass jeder der Rheostaten in gleiche Wider-
standswerthe zertheilt werden sollte, deren jeder
gleich dem Widerstandswerthe der Quecksilbersáulen
vw sein sollte. Wir wollen diese Letzteren mit A, und
A, bezeichnen (s. Fig. 3). Durch Hinüberlegen der
Kupferbügel von yw nach yv konnten die Säulen A
oder A, beliebig ein- oder ausgeschalten werden. Die
Calibrirung hatte nun nach folgendem Schema zu ge-
schehen:
425
1) à, und à, eingeschalten; I wird eingestellt, während
II auf dem Anfangspunkt der Calibrirung steht.
2) ^, wird ausgeschalten und II eingestellt — dies giebt
das erste der gesuchten gleichen Stücke, in welche
der ganze im Rheostaten II enthaltene Widerstand
getheilt werden soll, und deren jedes gleich À ist.
.3) X und A, ausgeschalten und I eingestellt — giebt
den ersten der gleichen Stücke, in welche I ge-
theilt werden soll und deren jedes gleich A, ist.
4) A, und à, ausgeschalten und derjenige Rheostat
(I oder IT) eingestellt, welcher dabei zurückge-
schraubt werden musste. Da P ziemlich gleich Q und
^, gleich X, war, so ging diese Zurückschraubung
nicht über 1—2 Scalentheile.
Nun wurden durch Ausschalten von ^,, Einstellen
von IL, Ausschalten von »,, Einstellen von I wieder
zwei den vorherigen gleiche Widerstandsstüke auf II
und I aufgefunden, worauf wieder ^, und A, ausge-
schalten und wie oben der eine der beiden Rheostaten
eingestellt wurden u. s. f. Durch fortgesetzte Wieder-
holung vou 2, 3 und 4 konnten die beiden Rheosta-
ten vollständig in Reihen gleicher Widerstandsstücke
getheilt werden, wobei man aber nicht ausser Acht las-
sen durfte, dass auf dem einen Rheostaten jeder fol-
gende Theil etwas vor dem Ende des vorhergehenden
anfing. Für A, und à, fanden sich Röhren von den
X allerverschiedensten Dicken vor; ich benutzte ein Paar,
von denen jedes einen Widerstand hatte, etwa gleich
30 Scalentheilen der Rheostaten oder etwa 0,003
Siem. Einheit.
An dem Apparat hüngte ich vier Thermometer auf,
die 0,1 anzeigten; zwei hingen zwischen den Róhren
bB und Ce (Fig. 1), während die Kugeln der beiden
andern in das Quecksilber bei v (Fig. 3) tauchten.
Ich theile nun die Resultate einer von mir nach
M. v. Jacobi's Plane ausgeführten Calibrirung mit.
Das Herüber- und Hinüberlegen der Bügel yw zwisehen
den Stellungen yw und yv geschah mit der gróssten
Sorgfalt und möglichstem Bestreben, den Bügel im-
mer wieder genau in die frühere Stellung zurückzule-
sen, um immer wieder die gleichen Widerstände à,
und A, aus- und einzuschalten. Ich erhielt folgende Re-
sultate:
+ April 1876.
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
426
Tabelle A,
I II
27,7—0,0 =| 27,7 30,8—0,6 =| 30,2
54,9—27,8 | 27,1 58,8—29,1 | 29,7
82,2—55,0 | 27,2 87,1—57,2 | 29,9
109,6—82,3 | 27,3 | 115,4—85,3 | 30,1
137,0—109,6 | 27,4 | 143,4—113,4 | 30,0
164,3—137,0 | 27,3 | 171,2—141,6 | 29,6
191,6 —164,4 | 27,2 | 199,7—169,8 | 29,9
219,0—191,7 | 27,8 | 228,4—198,3 | 30,1
264,1—219,0 | 27,1 | 256,7—226,6 | 30,1
273,1—246,1 | 27,0 | 285,2—255,0 | 30,2
300,0—273,1 | 26,9 | 313,6—283,4 | 30,2
327,1—300,1 | 27,0 | 342,2—312,0 | 30,2
In der ersten Colonne stehen diejenigen Scalenab-
schnitte, welche auf dem Rheostat I gleich ^, sind, in
der zweiten Colonne die Lüngen dieser Abschnitte (in
Scalentheilen); dieselbe Bedeutung haben die nüchsten
zwei Colonnen für den Rheostaten II. Bei der Discu-
tirung der Resultate sind die ersten Zahlen (27,7 und
30,2) entschieden ausser Acht zu lassen, da ich nicht
sicher bin, ob damals die beweglichen Róhren an den
unteren Enden, wie durchaus nothwendig, über die un-
beweglichen hinüberragten, als sie bis ganz nach oben
gebracht waren, d. h. der Nonius nahe beim Anfangs-
punkt der Scala sich befand. Betrachtet man die übri-
gen Zahlen, so sieht man, dass sie verhältnissmässig
äusserst wenig von einander abweichen, da die grössten
Abweichungen kaum 2%, betragen — dass daher die
beweglichen Röhren in hohem Grade cylindrisch sein
müssen und als solche vermuthlich auch vom Erfinder
ausgesucht worden sind. Die Differenzen der in Co-
lonne 2 und 4 enthaltenen Zahlen (die man annähernd
als die relativen Leitungsfähigkeiten gleicher Scalen-
abschnitte ansehen kann) betragen nur wenige Zehntel
Scalentheil, also nur wenige Hunderttausendstel Siem.
Einheit. Temperatur 20?C. Es entstand die wichtige
Frage, ob den gefundenen Zahlen auch nur die ge-
ringste Bedeutung zuzumessen sei, ob die gefundenen
kleinen Differenzen den wirklich vorhandenen ent-
sprechen, oder in Wirklichkeit vielleicht kleinere oder
auch ebenso grosse, aber ganz andere Werthe haben,
die durch störende Einflüsse oder Mängel der Methode
427
Bulletin de l'Académie Impériale
428
vollständig verändert werden, — in diesem Falle wa-
ren die gefundenen Zahlen natürlich völlig bedeu-
tungslos. Es war leicht, diese Frage zu beantworten.
Directer störender Einfluss konnte die, im Laufe des
Versuches eintretende Temperaturänderung sein —
sie betrug 1,5—2% und ihr Einfluss konnte daher,
wie leicht zu berechnen, keine ganze Einheit in der
ersten Decimalstelle der oben gefundenen Zahlen aus-
machen. Er verschwindet im Vergleich mit dem Ein-
fluss, den die Mángel der Methode auf die erhaltenen
Grüssen ausüben. Ein solcher Mangel bestand nun in
der offenbaren Unmöglichkeit, die Bügel yw mathema-
tisch genau immer wieder in dieselbe Lage hin- und
zurückzulegen, in Folge dessen die Widerstände à,
und à, nicht genau constant blieben, sondern von Mes-
sung zu Messung ein wenig variirten und es frug
sich in wie weit diese Unsicherheit stórend mit ein-
wirkte, ob jene Variationen nicht vielleicht Gróssen
seien von derselben Ordnung, wie die Differenzen der
Gróssen Colonne 2 und 4?
Die grosse Unregelmässigkeit in dem Verlauf jener
Grössen warnte auch, denselben einen wirklichen Werth
beizulegen!
Um die Frage zu beantworten, machte ich die fol-
genden Versuche:
1) à, und A, wurden eingeschalten, I auf 1,0 gestellt
und dann II eingestellt — es wurde der Scalen-
werth 0,7 dabei gefunden. Hierauf wurde mit der
Hand das bei w tauchende Ende des Bügels un-
merklich und jedenfalls so wenig bewegt, dass die
Lagenveründerung des Stabes eine so geringe war,
wie sie beim Herausnehmen und Umlegen des Stabes
unmöglich zu vermeiden gewesen war." Sofort er-
schien beim Schliessen in der Brücke ein Strom
und der Rheostat II musste bis auf 0,9 geschraubt
werden — die Ànderung hatte also volle 0,2 Sca-
lentheile — 0,0002 Siem. Einh. — betragen!
2) Bei einem zweiten Versuche wurden beide Bügel
Bw ein wenig bewegt und sofort änderte sich die
Einstellung des einen Rheostaten von 0,8 auf über
1,1, also um fast 0,4 Sealentheile!
3) Beim Herausnehmen und Wiederzurücklegen eines
Bügels zeigten sich Differenzen von verschiedenen
Vorzeichen und Grössen bis 0,3 Scalentheil.
*
Es war somit unzweifelhaft bewiesen, dass durch die
Mängel der Methode Fehler einschlichen von dersel-
ben Ordnung, wie die Differenzen der zu beobachten-
den Gróssen — blieb man bei der Methode und er-
achtete man jene Grössen als vernachlässigungsfähig,
so musste man die Grössen Colonne 1 und 3 als un-
ter einander gleich, alle Theile des Rheostatenwider-
standes als unter einander gleichwerthig d. h. die be-
weglichen Glasröhren als völlig cylindrisch annehmen.
Der neue Rheostat ist somit für die vom Erfinder
projeetirte Calibrirungsmethode zu fein und es er-
schien nothwendig, sich nach einer andern Methode
umzusehen, bei welcher keine so grossen Fehler mit
unterliefen. Die wahren Differenzen (in Scalenthei-
len) der zu findenden gleichwerthigen Widerstands-
abschnitte waren unzweifelhaft sehr klein, — dafür
aber erlaubte auch der Rheostat sehr kleine Grössen
zu messen; es kam also nur darauf an, sich von an-
derweitig störenden Mängeln zu befreien, und das er-
reichte ich auf folgende Weise.
Da es vor Allem erforderlich war, zum successiven
Vergleichen einen constanten Widerstandswerth (statt
x, und %,) zu haben, der sich mit völliger Sicherheit
unverändert ein- und ausschalten liesse, so calibrirte ich
jeden der beiden Rheostaten besonders und benutzte
bei der Calibrirung des einen einen beliebigen Ab-
schnitt aus dem veränderlichen Gesammtwiderstande
des andern als constante Vergleichsgrösse, die sich
ja in der That auf das Genaueste ein- und ausschalten
liess. Ich ging dabei aus von der folgenden Betrach-
tung: es sei P: Q = k das Verhältniss der beiden
Zweige Bab3 (Fig. 3), A der Widerstand des Zweiges,
in welchen der Rheostat I und ebenso B, in welchen
der Rheostat IT eingeschalten waren. Bei jeder Ein-
stellung musste dann offenbar auch
> E
SES
sein. Werden nun beide Rheostaten verändert, aber
so, dass der Strom in der Brücke wieder Null ist,
und ging dabei A in 4+a und Bin B-+b über,
so ist wiederum
429
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
woraus direct
a=kb
folgt. Geht man also von einer beliebigen Einstellung zu
einer andern úber, indem der eine Rheostat um ein
constantes Stück b verándert wird, so ist die zur erneu-
ten Einstellung nothwendige Veränderung a des an-
dern stets dieselbe und unabhängig von der Ausgangs-
stellung (A und B) der beiden Rheostaten.
Auf Grund dieses Satzes führte ich die Calibrirung
auf die folgende Weise aus. `
Die Quecksilbersáulen A, und à, entfernte ich völlig
und verband bei I (Fig. 3 rechts) die Bügel uv und wy
direct durch ein bei v befindliches Gefáss mit Hg.
Den Bügel yw bei II entfernte ich ebenfalls und ver-
band y und ein bei v befindliches Gefáss mit Hg durch
einen dicken Kupferdraht, dessen Lánge auf sehr be-
queme Weise beliebig variirt werden konnte. Um
zuerst I zu calibriren, nahm ich als constante Grösse b
auf II den Widerstandsabschnitt zwischen den Scala-
strichen 5,0 und 35,0 und machte die Messungen
nach folgendem Schema:
a) II wurde auf 5,0 gebracht und I eingestellt, wobei
dem Hülfskupferdraht, den ich mit p bezeichnen
will, eine solche Lánge gegeben wurde, dass die
Einstellung nahe bei 5,0 geschah.
b) II wurde auf 35,0 gebracht und I eingestellt —
dies gab den ersten der gleichwerthigen Wider-
standsabschnitte, in welche I getheilt werden sollte.
a) II auf 5,0 und der Draht p um soviel verlángert,
dass bei der darauf folgenden Einstellung I ein we-
nig zurückgeschraubt werden musste.
b) II auf 35,0 und I eingestellt — giebt den zweiten
der gesuchten gleichwerthigen Abschnitte u. s. w.
Durch fortgesetztes Ausführen von a und b wird
der ganze Rheostat I in solche, unter einander gleiche
Abschnitte zertheilt, die alle in dem Verháltniss 4
stehen zu dem Abschnitt des andern Rheostaten zwi-
schen den Scalatheilen 5,0 und 35,0..— Auf analoge
Weise wurde dann auch II calibrirt und werden fol-
gende Resultate gefunden.
430
Tabelle B.
I II
- 34,31 —5,18= | 29,13 36,02—5,28— | 30,74
61,43—32,37 |29,09 | 66,33—35,53 |30,80
89,22—60,12 |29,10 | 97,90— 66,90 |31,00
117,76—88,64 |29,12 |129,80— 98,80 |31,00
145,44—116,23|29,21 |160,38—129,52| 30,86
174,39 —145,27 29,12 |190,65—159,80 | 30,85
202,41— 173,26 29,15 |219,35—188,48 | 30,87
230,62— 201,57 29,05 |250,30—219,28 | 31,02
258,69—229,73 28,96 |281,74—250,62 | 31,12
286,88—258,00|28,88 |311,18— 279,93 | 31,25
315,18—286,37 28,71 |341,10-—309,63 | 31,47
342,60—313,56 | 29,04(?)
Die so gefundenen Zahlen zeichnen sich bei I durch
ihren regelmássigen Verlauf, bei II durch ihre gerin-
gere Veründerlichkeit aus. — Zieht man die Wurzel
aus dem Product der Mittelwerthe (29,04 und 31,0),
so erhált man 30,02! Bei den Beobachtungen sind
auf die, im vorigen $ erwühnte Weise, die zweiten De-
cimalstellen der Scalentheile mit in Betracht gezogen.
Aus den obigen Zahlen berechnet sich nun die fol-
gende zum Gebrauch bequeme Tabelle. Es sei S, der
Mittelwerth der ersten 28 Scalentheile von I und S, der
Mittelwerth der ersten 30,5 Scalentheile von II. Wir
denken uns nun I in lauter Abschnitte zu 28 und II
in Abschnitte zu 30,5 Scalentheilen zertheilt und be-
rechnen nun, wie vielen S, resp. S, jeder dieser
Abschnitte gleich ist. Wir legen also die Grössen S,
und 5, den Vergleichungen gleichsam als Widerstands-
einheiten zu Grunde. Wir werden spáter sehen, dass
S, sehr nahe gleich S, ist. |
Eine einfache Betrachtung zeigt, dass, um von den
Zahlen (Colonnen 2 und 4) der vorigen Tabelle zu den
|der nachfolgenden zu gelangen, man so zu verfahren
habe: es seien 29,13 + « die Zahlen bei I und 30,74
+ B die Zahlen bei II in der vorigen Tabelle. Dann
sind 28 —0+ e
und 30,5 — 8 + E
die entsprechenden Zahlen der folgenden Tabelle:
= März 1876. — Temperatur 21,0°.
Bulletin de l'Académie Imperiale
432
431
Tabelle C.
I II
= ; Werth | ; Werth
o | Za 30,5 Thee. Demehen
5—33 28,00 5—35,5 30,50
33—61 28,04 | 35,5—66,0 30,44
61—89 28,03 | 66,0—96,5 30,26
89—117 28,01 | 96,5—127,0 | 30,26
117—145 97,92 |127,0—157,5 | 30,38
145—173 28,01 |157,5—188,0 | 30,39
173—201 27,98 |188,0—218,5 | 30,37
201—229 28,08 |218,5—249,0 | 30,22
229— 257 28,16 |249,0—279,5 | 30,12
257—285 98,24 |279,5—310,0 | 29,99
285— 313 28,40 |310,0—340,5 | 29,77
313—341 28,09 |5—340,5(335,5)332,70
5—341 (=336)/336,96
Vermittelst dieser Tabelle ist es nun sehr bequem,
einen beliebigen Abschnitt eines der Rheostaten in $,
oder S, auszudrücken.
85.
Nach ausgeführter Calibrirung kam es nuu darauf
an, die Werthe S, und S, zu vergleichen und den einen
derselben genau in Siemenschen Einheiten auszu-
drücken. j
Um $, und S, zu vergleichen, verfuhr ich folgender-
massen: ich nahm einen starken Kupferdraht und
mass seinen Widerstand durch directe Substitution
zuerst am Rheostaten I und dann am Rheostaten II.
Auf I erhielt ich das Stück von 20,10 bis 90,74,
dessen Widerstand nach Tabelle C gleich 70,71 8,
ist; auf II erhielt ich das Stück von 19,08 bis 89,70,
dessen Widerstand gleich 70,36 S, ist.
Es sind also
70,71 8, — 70,36 S,
oder
Sr e 0,995057.. 6.
Nun kam es darauf an S, in Siemenschen Einheiten
auszudrücken; eine ungefähre Schätzung ergab, dass
S, etwa gleich 0,0001 Siem. Einh. sein musste. Da
demnach der Gesammtwiderstand eines Rheostaten
nur etwa '4, Siem. Einh. war, konnte ich durch di-
| recte Substitution den Vergleich nicht ausführen —
kleinere fertige Widerstánde als 0,1 Siem. Einh. stan-
den mir nicht zu Gebote. Ich verschaffte mir daher
| erst drei starke Kupferdráhte und verfuhr folgender-
massen. Es seien A, D und C die Unterschiede der
Widerstánde je eines dieser Dráhte und eines starken
Kupferbügels, der statt desselben je eingeschalten
werden konnte. Durch directe Substitution auf II und
Reduction nach Tabelle C fand ich nun
A — 299,88 S,
B = 292,685,
C.= 284,88 8$,
A= B= (= 877,44 S,.
Ich hatte nun eine Siemensche Einheit in der be-
kannten Construction im Holzgefäss zur Verfügung,
welche ich mit Siem. Orig. bezeichnen will und auf
welche ich bei einer Temperatur von 18,2° alles redu-
cirt denke. Ausserdem hatte ich eine aus Neusilber-
draht verfertigte, dem physikalischen Centralobserva-
torium angehörende Siemensche Etalonreihe zur Ver-
fügung, deren Theile ich mit einander vorerst ver-
glich. Diese Theile waren
1 — 0,5 — 0,2 — 0,2 — 0,1 Siemensche Einheiten.
Nach Reduction (Tabelle C) fand ich |
1 = 0,5 + 0,2 + 0,2 + 0,1 + 32,3 8,
0,5 = 0,2 + 0,2 + 0,1 + 9,1 8,
0,2 — 0,2 — 6,9 S, :
0,2 = 0,1 + A+ B+ C= 277,1 S,
0,1 = A = B — C 4- 231,2 8,
Siem. Orig. = 1 + 89,8 S,
Da A+ B-+ C = 877,44 S, gefunden war, so er-
hált man durch successive Substitution zuletzt
Siem. Orig. = 11297,0 8, oder
S, — 0,0000885... Siem. Orig.-Einh.
Ferner erhält man den gesammten veränderlichen
Widerstand T, von II zwischen den Scalentheilen 5,0
und 340,0 (= 332,2 8):
T, = 0,0294... Siem. Orig.-Einh.
In dem physikalischen Cabinet der Akademie be-
fanden sich einige Jacobi'sche Widerstandseinheiten,
unter denen eine, von Herrn v. Jacobi selbst angefer-
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
434
tigte, die ich mit Jac. Orig. bezeichnen will. — Ich
benutzte den Rheostaten, um diese Einheit mit der
Siemenschen zu vergleichen. Jene Drähte À, B und
C und die oben untersuchten Siemenschen Etalons
benutzend, fand ich nach gehóriger Reduction
Jac. Orig. = 0,5 + 0,1 + A + C + 56,1 S,.
Dies giebt, wenn man die bereits bekannten Werthe
einsetzt i
Jac. Orig. = 7292,5 $,.
Da nun Siem. Orig. = 11297 S,,
endlich
Jac. Orig. = 0,6456 ... Siem. Orig.
so erhált man
Ausser jener Originaleinheit fanden sich noch zwei,
I und II gezeichnete, Jacobische Einheiten, in Leipzig
verfertigt — ich will sie mit J, und J, bezeichnen.
Ich verglich mit möglichster Sorgfalt J, mit J. Orig.
und mit J,,, doch unterlasse ich eine Beschreibung
meiner Methode, die an und für sich nichts Besonde-
res darbot, nur dass ich mir Mühe gab, durch dié aus-
und einzuschaltenden Bügel und Drähte, deren Wider-
stände alle bestimmt wurden, keine Fehler mit ein-
laufen zu lassen.
Ich fand bei 22,1?
J, — J. Orig. 4- 175,1 S,
J,=J, = 6 LL S
Mit Benutzung des oben gefundenen Werthes von
J. Orig. — 7292,5 S, findet man daraus
J, = 1,0240... J. Orig.
J — 1,0156... J. Orig.
Jene, in Leipzig verfertigten Einheiten unterschei-
den sich also jetzt sehr bedeutend von dem Jacobi’
. Schen Original-Etalon. Sie sind aus Neusilber gefer-
tigt und mógen immerhin im Laufe der Zeit eine Ver-
ánderung ihres Widerstandes erlitten haben.
8 6.
Wir wollen nun betrachten, wie sich die Wirkung
der Temperatur bei dem Gebrauche des neuen Rheo-
staten darstellt und welche Vorzüge er in dieser Be-
ziehung vor anderen Rheostaten voraus hat. Man hat
allgemein zwei Ursachen von Temperaturveründerun-
gen in Betracht zu ziehen. Erstens die áusseren —
dureh die Zimmertemperatur, den Beobachter und
Tome XXII.
| Sonstige äussere Umstände bedingten und zweitens die
inneren Ursachen, d. i. die Erwürmung durch den
Strom selbst. Die Übelstünde, welche die früheren
Rheostaten meist darboten, waren in dieser Beziehung
| die folgenden: `
|
1) Man konnte nicht sicher sein, dass am Anfang des
Versuches die Temperatur des veründerlichen
Theiles (Draht etc.) diejenige der umgebenden Luft
war, besonders wenn kurz vordem der Apparat
benutzt worden war, oder seinen Ort gewechselt
hatte.
2) Die Erwürmung des Drahtes etc. wihrend der Ver-
suche selbst konnte nur in dem Rheostat von F. C.
G. Müller beseitigt werden; sie muss bei den mei-
sten Rheostaten eine nicht unwesentliche gewesen
sein.
Ich will nun zeigen, in wie hohem Grade diese
Ubelstánde bei dem neuen Rheostaten sich verringern
lassen und theilweise sogar ganz in Wegfall kommen
und beginne mit den «äusseren Ursachen».
Es ist leicht, vor jedem Versuch die Temperatur
aller Quecksilbersäulen des Rheostaten genau zu be-
stimmen. Dazu braucht man nur in das Quecksilber
der Gefässe og Thermometer herabzulassen und in je
eins derselben (von jedem der beiden Rheostaten) ein
wenig Quecksilber hinzuzugiessen und eine etwa ebenso
grosse Quantität aus dem andern herauszunehmen.
Sofort fliesst dieser Überschuss durch die, hier He-
berrolle spielende feste Röhre, aus dem einen Gefäss
in das andere und die feste Róhre füllt sich mit neuem
Quecksilber, welches aus einer, durch Herabschrauben
der beweglichen Róhren beliebig regulirbaren Tiefe
gekommen ist. Der Thermometer in den Gefässen aa’
zeigt die Temperatur desselben an, welche von der
Zimmertemperatur meist wenig verschieden sein mag.
Dies Hinüberstrómenlassen kann man nach jedem
Versuche vornehmen, sobald eine Veründerung des
Gesammtwiderstandes des Rheostaten unschädlich ist.
Man sieht also, dass der erste der oben erwähnten
Übelstände bei dem neuen Apparat wegfällt.
Ändert sich die Temperatur um 1°, so wächst da-
bei der constante Widerstand des Rheostaten, d. h. `
der Widerstand des in der festen Röhre befindlichen
Quecksilberdrahtes um eine Grösse, die leicht in Sca-
lenwerthen sich finden lässt; die bei der Erwärmung
28
435
Bulletin de l’Académie Impériale
noch ausserdem stattfindende Veränderung aller Dimen-
sionen kann, wie leicht einzusehen, vernachlässigt
werden.
Nennen wir o den Zuwachs, den der Widerstand
des eonstanten Theiles bei einer Temperaturerhöhung
von 1° erhält, so erhält man rund
o = S,
d.h. der Widerstand ündert sich um einen Scalen-
theil. Genau liess sich © nicht berechnen, da mir die
inneren Dimensionen der dünnen Róhre nicht bekannt
waren.
Zum Schutz gegen Luftstrómungen, Strahlungen
etc. waren geeignete Massregeln getroffen worden,
auf die es sich nicht lohnt näher einzugehen. Ich gehe
. über zu den inneren, durch die Ströme selbst erzeug-
ten Würmewirkungen. und hier ist es, wo der neue
Apparat einen ganz ausserordentlichen Vortheil dar-
bietet. Der Rheostatenwiderstand besteht aus zwei
Theilen: dem veránderlichen und dem constanten.
Wir haben nun die Möglichkeit, bei den allermeisten,
vielleicht bei allen Versuchen die störende Erwärmung
des veränderlichen Theiles durch den Strom gänzlich
wegzuschaffen. Dieser veränderliche Theil besteht aus
der Quecksilbersäule, welche durch die bewegliche
` Röhre beim Niederschrauben aus der grossen Queck-
- silbermasse der Gefässe aa’ gleichsam herausgeschnitten
wird; beim Zurückschrauben vermischt sich nun das
Quecksilber, welches in der Röhre gewesen war, mit
der übrigen Masse. Man hat also während des Expe-
rimentirens nur so oft als möglich die beweglichen
Röhren bis ganz hinauf dd hone an jede Erwár-
mung des veränderli
den Strom zu vermeiden. Damit die Vermischung eine
vollständige werde, wäre es vielleicht gut, an den unte-
ren Theil der beweglichen Röhre eine Ringplatte zu
befestigen. Was nun endlich die Erwármung des con-
stanten Widerstandes (des Quecksilbers in den festen
Róhren), welcher nicht zum eigentlichen Rheostaten-
widerstande gehórt, sondern eher die Rolle von Ver-
bindungsdrühten spielt — betrifft, so wird bei vielen
Versuchen in Folge beiderseitiger Compensation dies-
selbe auf die Ablesungen fast keinen Einfluss haben.
- Ist das Verhältniss P: Q =k= Į; S0 verschwindet
sie vollständig und dies war bei den meisten unserer
durech
UULU
Versuche annähernd der Fall, es war k etwa =.
Ferner ist zu bemerken, dass durch möglichst hán-
figes Zugiessen von Quecksilber und Hinüberstrómen-
lassen desselben aus einem der Gefässe aa’ in das an-
dere (wie oben beschrieben) jede etwa stattgefundene
Erwärmung immer wieder gleichsam weggeschafft
werden kann. Dies kann so oft geschehen, als ohne
Schaden der Gesammtwiderstand des Rheostaten ein
wenig verändert werden kann, was sich dabei nicht
wird vermeiden lassen; durch eine kleine Veränderung
des Quecksilberniveaus in den Gefässen a ändern sich
nämlich auch die Längen der Quecksilbersäulen in den
Verbindungsröhren gs (Fig. 3 und 8). Statt des Zu-
giessens von Quecksilber wäre es viel einfacher, zur
Erreichung "desselben Zieles je eines aus jedem Paar
der Gefässe aa’ so beweglich zu machen, dass es, viel- x
leicht durch eine einfache bequeme Bewegung ein we-
nig in die Hóhe gehoben und hierauf wieder auf den
früheren Stand herabgelassen werden kónnte. Hiebei
würde durch die festen Róhren frisches Quecksilber
hinüber- und herüberfliessen. Bei den meisten galva-
nometrischen Messungen hat man es mit Einstellungen
zu thun, von denen je zwei zusammengehóren und
eine zu messende Widerstandsgrósse liefern. Nach.
jedem solchen Paar von exacten Einstellungen kann
meist ohne Schaden der Gesammtwiderstand des Rheo-
staten sich ändern und könnten daher durch ein
kurzes Emporheben von je einem der Gefásse aa’ die
festen Róhren mit frischem Quecksilber gefüllt werden.
Noch auf einen andern, vielleicht wesentlichen, `
Vortheil des neuen Rheostaten will ich aufmerksam `
machen: ersetzt man die beweglichen Róhren durch
andere, dickere, so kann der Widerstandswerth der.
Scaleneinheit beliebig veründert und fast ins Unbe-
stimmte verringert werden — als unterste Grünze für
die Dicke der Róhre dient der innere Diameter der
festen Röhre. Versucht habe ich ein derartiges Er- `
setzen der beweglichen Röhren nicht. i
Ich will es nun versuchen, zum Schluss die Mängel
und die Vortheile des neuen Rheostaten zusammenzu-
stellen und diejenige Gatt tung von galvanometrischen
Messungen, fúr welche derselbe ganz besonders geeig-
net sein muss, möglichst genau zu prücisiren. _
Die bisher nicht erwähnten Mängel sind folgende
zwei:
1) Die Kleinheit des gesammten veränderlichen Wi- `
derstandes — nur 0,0294 Siem. Einh. (s. $ 5) — macht ` `
437
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
438
den Apparat untauglich zur directen absoluten Mes-
sung im geringsten bedeutender Widerstände.
2) Der grosse, nicht wegzuschaffende Widerstand
des constanten Theiles des Rheostaten, der fast drei-
mal so gross ist als der gesammte variabele Wider-
stand desselben. Dieser Übelstand, der ja möglicher
Weise bei irgend welchen Versuchen störend hervor-
treten könnte, wird kaum zu beseitigen sein, da ja die
innere Röhre, welche den constanten Widerstand re-
präsentirt, natürlich stets dünner und länger sein
wird, als die äussere, bewegliche. Bei anderen Rheo-
staten giebt es fast gar keinen constanten Widerstand.
Die vielen Vorzüge des neuen Apparates sind:
1) Grosse leicht erreichbare Genauigkeit und Si-
cherheit der Einstellung.
2) Absolute Kleinheit der noch erkennbaren und
messbaren Widerstandsgrössen.
. 8) Unv lichkeit des variabelen Widerstandes
mit der Zeit.
4) Möglichkeit durch Umwechseln der beweglichen
Róhren den Widerstandswerth der Scaleneinheit zu
veründern.
5) Möglichkeit, während des Versuches durch ein-
maliges Herauf- und Hinabschrauben der beweglichen
Röhren jede durch den Strom etwa erzeugte Erwär-
mung des variabelen Widerstandes hinwegzuschaffen.
DI Möglichkeit, nach jedem Versuche ohne Mühe
das gesammte, auch das den constanten Widerstand
bildende, Quecksilber in den Röhren zu erneuern und
auf diese Weise jeder Störung, die durch Er wärmung
desselben entstehen könnte, vorzubeugen.
Überbliekt man alle die adgefühirtén Eigenschaften,
so sieht man, dass der neue Rheostat ganz besonders
vorzügliche Dienste leisten muss bei solchen galvano-
metrischen Untersuchungen, bei denen es darauf an-
kommt, entweder sehr kleine Widerstände direet zu
messen, oder geringen, durch äussere oder innere Ur-
sachen erzeugten Änderungen einer gegebenen Wi-
- derstandsmasse genau und sicher zu folgen.
$ 7:
Um die Vorzüge des neuen Rheostaten an einem
praktischen Beispiel zu zeigen, gleichsam als Illustra-
tion der eben gewonnenen Resultate, führte ich eine
Untersuchung der Widerstandszunahme aus, welche
ein Eisendraht bei der Magnetisirung erleidet. Mous-
son und Edlund hatten bekanntlich gar keine solche
Zunahme bemerken kónnen, welche erst durch Thom-
son und Beetz als vorhanden nachgewiesen wurde.
Habe ich Beetz's Methode recht verstanden, so be-
nutzte er ebenfalls die Wheatstone'sche Brücke,
deren Zweige sich wie 1: 10 verhielten; in dem grós-
seren Zweige war der Rheostat, im kleineren der Ei-
sendraht eingeschalten, so dass er den verzehnfachten
Widerstandszuwachs zu messen im Stande war. Beetz
giebt für jeden Draht nur eine Zahl an, welche ver-
muthlich dem Maximum der Magnetisirbarkeit ent-
spricht. Jene Widerstandszunahme durch directe Sub-
stitution an einem Rheostaten zu messen und ferner
für dieselbe eine Reihe von Gróssen zu finden, welche
einer Reihe von wachsenden Magnetisirungen entspre-
chen, ist bisher Niemanden gelungen. Um jene Gróssen
zu studiren, verfuhr ich folgendermassen: auf Fig. 10
bedeuten Byda und rro dieselben Theile, wie auf Fig.3;
die zwischenliegenden Theile, die zwei Rheostaten und
der Agometer sind weggelassen. Ich zerschnitt nun
einen lingeren Eisendraht von 1,7 mm. Dicke, so
dass ich 16 Drähte von je 520 mm. Länge erhielt.
Jeden derselben steckte ich in eine eng umschlies-
sende Glasróhre, so jedoch, dass die Drähte an beiden
Enden aus der Róhre ein wenig hervorragten. Diese
Enden wurden zu je zwei so zusammengelóthet, dass
das ganze Bündel gleichsam einen Zickzack bildete;
dann wurde es in eine weitere Glasróhre AA von etwa
25 mm. Dicke hineingeschoben und auf diese dann
die magnetisirende Spirale von 430 mm. Länge auf-
gewunden. An die beiden letzten freien Enden des
Eisendrahtes wurden Kupferdrühte gelóthet, welche
in y und v eintauchten, so dass also der Eisendraht
mit dem Rheostaten II denselben Zweig bildete; bei
T stand die Batterie, deren Strom die magnetisirende
Spirale durchfloss; bei d ein Commutator zum Öffnen
und Schliessen dieses Stromes. Da die Erwärmung
des Eisendrahtes durch den hindurchgehenden Strom
vielfach die Wirkung der Magnetisirung in Bezug auf
die Änderung des Widerstandes übertreffen muss, so
verschaffte ich mir, zur Vermeidung der durch diese
Erwärmung entstehenden Störung noch einen zweiten,
jenem völlig gleich behandelten Eisendraht und schal-
tete ihn bei XX auf der andern Seite in den den
Rheostaten I enthaltenden Zweig ein. Unterliess ich
dies, so genügte ein mehrmaliges momentanes Sehlies -
9g*
439
Bulletin de l'Académie Impériale
| 440
sen des Stromes, um die Einstellung des Rheostaten II
auf viele Scalentheile zu verándern. Als aber: der
zweite Draht auf der andern Seite eingeschalten war,
veründerte ein 20 Secunden dauernder ununterbroche-
ner Strom niclit merklich die Einstellung der Rheo-
staten.
Um nun die Widerstandszunahme beim Magnetisi-
ren zu messen, wurde der Rheostat II schnell hinter
einander eingestellt: erstens bei ungeschlossenem und
- dann bei geschlossenem magnetisirenden Strome,
wobei der Stromschliesser d in Anwendung kam.
Letzteres geschah auf folgende Weise: ich zählte laut
eins, zwei, drei etc. Bei zwei wurde (bei y) der mag-
netisirende Strom, bei drei der Hauptstrom geschlos-
sen, bei vier letzterer, bei fünf ersterer wieder geóff-
net. Die Schliessung des Hauptstromes geschah also,
als der Draht bereits magnetisirt war, hiebei musste
also der Strom in der Brücke Null sein, was eben
durch die Einstellung des Rheostaten II erreicht
wurde. Beim Magnetisiren wuchs der Widerstand des
Eisendrahtes sehr bedeutend, was besonders schón zu
bemerken war, wenn der Strom bei d plötzlich geöff-
net wurde, wáhrend der Hauptstrom noch geschlossen
war. Beim Beobachten durch das Fernrohr sah man
dann, wie der Magnet im Galvanometer einen plótzli-
chen heftigen Stoss erhielt, in Folge der plótzlichen
Widerstandsabnahme in dem einen Zweige der Brücke.
Der Widerstand o des Eisendrahtes erwies sich als
gleich
o = 5786 8, — 0,51217 ... Siem. Einh.
Die Stárken der magnetisirenden Stróme habe ich
nicht direct gemessen, sondern nur nach einander
Batterien von 1, 2, 3 etc. Elementen angewendet.
Folgende Angäben werden die angewendeten Ströme
doch einigermassen definiren: die Daniell’schen Ele-
mente mit dem Cu in den Thongefissen hatten
125 mm. Dicke und 1,7 decim. Höhe der Flüssigkeit.
Der Widerstand v des Kupferdrahtes der Spirale mit-
sammt den kurzen Zuleitungsdrähten war gleich
v = 12324,8 $, = 1,09098... Siem. Einh.
Dicke dieses Drahtes 1,5—1,6 mm. Lánge der Spi-
rale 430 mm. bei etwa 25 mm. innerer Weite. Die
Lànge des Drahtes ist nicht gemessen worden, sie be-
rechnet sich aus dem Widerstande auf etwa 94
Meter.
Ich will nochmals hervorheben, dass die Messung
der Widerstandszunahme durch directe Substitu-
tion an dem Rheostaten II geschah, welcher mit
dem magnetisirten Drahte in demselben Zweige der
Brückencombination sich befand. In der folgenden
Tabelle sind die Resultate meiner Beobachtungen Zu-
sammengestellt :
< Mai 1876.
| |
0 E 1
1 0,3 | 1,000052
2|: 6,8 1,000139
3 1,25 ` 1,000217
iT T8 1,000312
5| 215 | 1,000373
glat 1,000416
7| 95 1,000433
919,5 1,000433
In der ersten Colonne steht die Anzahl der be-
nutzten Elemente, in der zweiten die Widerstandszu- z
nahme des Eisendrahtes bei der Magnetisirung in
Scalentheilen S, und in der dritten der daraus be-
rechnete Gesammtwiderstand des Drahtes, denselben
im unmagnetischen Zustande als 1 angenommen. Jede
Messung. wurde zweimal ausgeführt und aus den oft
identischen oder nur sehr wenig verschiedenen Zahlen
das Mittel genommen. Die Abhängigkeit der Wider-
standszunahme von der Anzahl der Elemente wird
dargestellt dureh die Curve Fig. 11.
giebt uns also die Móglichkeit, durch directe Substi-
tution, ohne Multiplication eine ganze Reihe von wach-
senden Werthen jener so ausserordentlich kleinen Wi-
derstandsveränderung zu messen.
Über die Anwendbarkeit des Satzes von der Strom- .
vertheilung auf zersetzbare Leiter. Von Dr. R. Lenz.
(Lu le 5 octobre 1876.)
Der KirchhofPsche Satz von der Vertheilung des. —
galvanischen Stromes in sich verzweigenden metalli- ` `
schen Leitern ist durch so viele directe,und indirecte
Versuche bestütigt worden, dass eine fernere expe-
rimentelle Prüfung desselben unnóthig erscheint. An-
Der Apparat .
Tafel I.
0. Chwolson, Jacobis Quecksilber-Rheostat.
Bullet.de lAcad.Imp.d.sc. T. XXII.
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441
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
442
ders hingegen steht es mit der Frage über die An-
. wendbarkeit dieses Satzes auf flüssige, zerlegbare Lei-
ter; hier fehlt es an einer experimentellen Prüfung des
Satzes und auch a priori lässt sich die Gültigkeit des-
selben nicht nachweisen. Die Vorgünge beim Durch-
gang des Stromes durch Leiter zweiter Classe sind,
nach der üblichen Auffassung, von denen der ersten
. Classe so sehr verschieden, dass Gesetze, die für die
einen Leiter gefunden sind, sich nicht unbedingt auch
auf die andern übertragen lassen.
Es wáre z. B. nicht widersinnig zu nennen, auch
nicht einmal unwahrscheinlich, wollte man den Flüs-
sigkeiten eine auswáhlende Eigenschaft für den elec-
` trischen Strom zuschreiben , welche man etwa als eine
Function der Arbeit ansehen kónnte, die der Strom
bei Zersetzung der Leiter zu verrichten hátte. Unter
soleher Voraussetzung würde aber die Theilung des
Stromes in verschiedenen Zweigen einer Leitung, die
aus verschiedenen Flüssigkeiten besteht, nicht nur von
dem Widerstande der Zweige abhüngen, sondern auch
von den chemischen Eigenschaften derselben. Auch
giebt es eine ganze Reihe von Erscheinungen, welche
in diesem Sinne nicht nur gedeutet werden kónnten,
sondern auch wirklich so aufgefasst worden sind. Zum
Theil gehóren hierher die Versuche über den Zusam-
menhang der Widerstánde von Lósungen und ihrem
-—. Concentrationsgrade, mehr aber noch die Erschei-
nungen, welche bei der Electrolyse von Lósungsge-
mengen beobachtet wurden.
. Seitdem Gahn’) nachgewiesen, dass aus einem Ge-
menge von Eisen- und Kupfervitriollósung beide Me-
talle zugleich nur dann ausgeschieden werden, wenn
in der Lósung von dem Eisen mehr als 99 Theile ge-
gen einen Theil Kupfer vorhanden sind, im entgegen-
gesetzten Falle aber nur Kupfer allein reducirt, seit-
dem sind über die Electrolyse gemengter Lósungen zu
wiederholten Malen Versuche gemacht worden. Vor-
wiegend sind es drei Arbeiten, die hier zu berück-
sichtigen sind: die von Becquerel, Magnus und
Hittorf.
Beequerel?) benutzte zu seinen Versuchen 3 Lö-
sungen: Kupfer, Silber und Blei in Form von sal-
petersauren Salzen. Die Gemenge wurden hergestellt
aus Kupfer und Silbersalz, Kupfer und Bleisalz, Sil-
1) Gilbert's Annalen 1803. B. XIV.
2) Becquerel Traité de I’ électricité T. VI. pg. 356 ff.
ber und Bleisalz. Zu positiven Resultaten führten nur
die Untersuchungen über die zwei erstgenannten Ge-
menge, während die Versuche für das letzte zum Theil
an der Schwierigkeit der Untersuchung scheiterten.
Durch diese Versuche gelangte Becquerel im We-
sentlichen zu folgenden Resultaten: |
Aus einem Gemenge von Kupfer und Silbersalz re-
ducirt nur Silber, solange in der Lósung auf ein
Aequivalent Silbersalz weniger als 60 Aequivalente
Kupfersalz kommen; ebenso scheidet aus einem Ge-
menge von Kupfer und Bleilósung das letztere Metall
nur dann aus, wenn in der Lósung auf ein Aequivalent
Kupfersalz nicht weniger als 45 Aequivalente Bleisalz
vorhanden sind. Hieraus zieht Becquerel den Schluss, :
dass der Strom sich nur bei grósseren als den ange-
führten Verhältnissen in die 2 Electrolyte theilt, bei
geringeren Verhältnissen hingegen ungetheilt durch
die Silber-, resp. Kupferlösung strömt. Da nun aber er-
fahrungsmässig auch noch viel schwächere Lösungen
von salpetersaurem Kupfer und Blei den Strom leiten,
so folgt aus Becquerel’s Schluss, dass der Satz von der
Stromvertheilung in diesem Falle keine Anwendung fin-
det, dass trotz des grösseren Widerstandes der Lösung
des Silbersalzes der Strom doch vorwiegend durch die
Silber-, resp. Kupferlösung geht.
Ferner fand Becquerel, dass in Lösungen, in de:
nen auf i Aequivalent Silbersalz 67 Aequivalente Kup-
fersalz kamen, die Metalle ihren Aequivalenten pro-
portional ausgeschieden wurden; ebendasselbe trat in
einem Gemenge ein, in welchem auf 1 Aequivalent
Kupfer-57 Aequivalente Bleisalz enthalten waren. Hier-
aus folgert Becquerel, dass bei solchen Verhältnissen
der Salze, wie sie eben angeführt worden, der Strom
sich in jedem der erwähnten Gemenge in 2 gleiche
Theile theilte, von denen die eine Hälfte durch das
Silber-, resp. Bleisalz strömte, die andere durch das
Kupfersalz. Demnach wäre die Stromstärke wiederum
nicht proportional der Leitungsfähigkeit der Zweige,
denn erfahrungsmässig haben die zuletzt angeführten
Lösungen verschiedene Widerstände. |
Zur Erklärung seiner Versuche nimmt Beeque-
rel somit stillschweigend an, dass die Flüssigkei-
ten in der That eine auswählende Eigenschaft für den
Durchgang der Ströme besitzen, und zwar muss sich
diese Eigenschaft mit dem Concentrationsgrade der Lö-
sung ändern, denn mit ihm änderte sich nach Becque-
443
Bulletin de l'Académie Impériale
444
cs APERTA ERN MEE
rel's Versuchen der Grenzwerth, bei welchem Kupfer
aus einer Kupfer- und Silberlósung ausgeschieden
wurde. Er betrug, wie wir angeführt, 60, bei einem
andern Concentrationsgrade aber 80.
Ähnliche Versuche sind später von Magnus”) ge-
macht worden. Er zersetzte eine Lósung von Kupfer-
vitriol und bestimmte den Concentrationsgrad dersel-
ben, bei welchem eine Wasserstoffentwickelung an der
negativen Electrode begann bemerklich zu werden, wo
also nach seiner Ansicht der Strom nicht nur durch
das Kupfersalz ging, sondern auch durch das Wasser.
Auch er fand einen Grenzwerth für das Auftreten des
Wasserstoffes und folgerte daraus, dass bei verdünn-
ten Lósungen der Strom sich theile und durch beide
Electrolyte: Kupfersalz und Wasser, stróme; bei stár-
“keren Concentrationen aber nur durch das Kupfersalz
allein. Magnus nimmt also gleichfalls an, dass die
Stromtheilung nicht proportional der Leitungsfähig-
keit der beiden Electrolyte erfolge, denn das Gesetz
dieser Proportionalität schliesst einen Grenzwerth aus.
Dieser Ansicht von Magnus trat Hittorf *) entge-
gen. Nach seiner Auffassung theilt sich der Strom, beim
Durchgang durch ein Gemenge von Lösungen, in die
einzelnen Electrolyten proportional ihrer Leitungs-
fähigkeit und die ausgeschiedenen Ionen folgen dem
electrochemischen Grundgesetze; der Grund aber, wa-
rum sowohl bei Beequerel's als auch bei Magnus's
Versuchen nur einer von den Ionen gefunden wurde,
ist in einer secundáren Wirkung in den Electrolyten
zu suchen. Nach dieser Auffassung theilt sich z. D.
bei den ersten der Becquerel'schen Gemenge der
Strom in 2 Theile, der eine geht durch das Kupfer-,
der andere durch das Silbérsalz, sowohl Kupfer als Sil-
ber werden, bei jedem Verháltniss, in welchem sie auch
in der Lösung enthalten sein mögen, redueirt. Ist nun
in der Lösung wenig Kupfer vorhanden, so verdrängt
das sich ausscheidende Kupfer das Silber aus seiner
Verbindung, wobei auf ein Aequivalent Kupfer ein
Aequivalent Silber ausscheidet. Die Gesammtmenge
des ausgeschiedenen Silbers muss also gleich sein
derjenigen, welche in einem in die Kette gleichzeitig
eingeschlossenen Silbervoltameter reducirt wird, wie
Becquerel dies in der That gefunden. Bei grósserem
Verhältniss des Kupfers zum Silber findet hingegen
3) Pogg. Annalen 1857 B. CH. pg. 1. :
4) Pogg Annalen 1858. B. CHI. pg. 1.
das sich ausscheidende Kupfer in seiner nächsten Um-
gebung nicht die nöthige Anzahl von Silberatomen,
die es aus seiner Verbindung verdrängen könnte und
wird daher mit dem Silber zugleich theilweise redu-
cirt. Dass wir unter gewöhnlichen Verhältnissen eine
solche Reaction des Kupfers auf salpetersaures Silber,
oder gar des Bleis auf das Kupfersalz nicht beobach- `
ten, kann Hittorf's Ansicht nicht widerlegen, da im `
sogenannten statu nascenti die chemischen Erschei-
nungen von den gewöhnlich beobachteten. wesentlich
verschieden sein kónnen,
Um den Beweis für die Richtigkeit seiner Auffas-
sung zu führen, zerlegte Hittorf zwei Gemenge von
Jodkalium und Chlorkaliumlósung in Wasser und be-
stimmte die Mengen des ausgeschiedenen Jods und
Chlors durch Analyse des Electrolyten vor und nach
der Electrolyse. Y
Das erste Gemenge war so gewählt, dass auf 1
Aequivalent Jod ein Aequivalent Chlor kam. Nach
der Electrolyse war das Verhältniss von Chlor und
Jod dasselbe, wie vor derselben; es waren also gleiche
Aequivalent-Mengen von Chlor und Jod ausgeschieden
worden. Hieraus folgt der Schluss, dass sich der Strom
in den Electrolyten proportional den Atommengen
getheilt hatte, oder nach dem eleetrochemischen Grund-
gesetz, dass der Strom in 2 gleiche Theile gespalten war. `
In dem 2ten Gemenge waren auf 1 Aequivalent `
Jod angenühert 3 Aequivalente Chlor vorhanden und
wiederum war der Electrolyt nach der Electrolyse un-
verándert geblieben, woraus denn wie früher folgt,
dass der Strom sich proportional der Atommenge von
Jod und Chlor getheilt hatte. E 9H
Aus diesen Versuchen folgtrt demmach Hittorf,
dass beim Durchgang des Stromes durch ein Gemenge
von Chlor- und Jodkaliumlósung derselbe sich theile
proportional den Atommengen der Salze. Nun fáhrt
Hittorf weiter fort: «Wie ich nieht zweifele, werde
ich in einem Nachtrage zu dieser Arbeit zeigen kón-
nen, dass die Widerstánde von Lósungen gleich vieler
Aequivalente unserer beiden Electrolyte gleich sind» `
Wire diese Annahme bewiesen, so folgte hieraus ae
lerdings die Anwendbarkeit des Kirchhoff'schen Sat-
zes auch auf zersetzbare Leiter, jedoch ist dieser Nach- `
weis von Hittorf nicht geführt worden, wenigstens
habe ich ihn nicht finden können. Ich will noch beson-
ders hervorheben , dass zur Erklärung der Hittorf'-
445
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
schen Versuche und damit sie die entscheidende
Kraft haben, die er ihnen zuschreibt, es durchaus
` nicht genügt, wenn bewiesen würde, dass die Leitungs-
fähigkeiten der Lösungen, den in ihnen enthaltenen
Atommengen von Chlor und Jod proportional seien;
der erste Versuch zwingt vielmehr zu der Annahme,
dass, wie Hittorf sagt, die Widerstände von Lösun-
gen gleich vieler Aequivalente der beiden Electrolyte
gleich sind; oder mit anderen Worten, dass die Atome
von Chlor und Jod in Chlorkalium und Jodkalium
gleiche Widerstánde haben. Sollte dieses nieht der Fall
sein, so bleiben für die Erklürungen der Hittorf'-
schen Resultate nur 2 Annahmen: entweder ist das
Gesetz der Stromvertheilung nicht anwendbar, oder
aber, auch in den Hittorf'schen Versuchen fanden
secundáre Wirkungen statt, von denen es allerdings
schwer hält, sich Rechenschaft zu geben.
Solange der Beweis für die Gleichheit der Wider-
stände, von denen die Rede, nicht geführt ist, darf
man jedenfalls in Hittorf's Versuchen nicht einen
Beweis für die Anwendbarkeit des Gesetzes der Strom-
verzweigung in Flüssigkeiten betrachten; denn gerade
diesen Nachweis ist Hittorf schuldig geblieben ).
Aus den angeführten Gründen schien mir eine Prü-
fung des KirchhofPschen Satzes für zersetzbare Lei-
ter nicht überflüssig, und ich theile in Nachstehendem
die Resultate einer solchen mit.
Um jegliche secundáre Wirkung zu vermeiden,
wandte ich die Flüssigkeiten getrennt an; ist die An-
wendbarkeit des Gesetzes für diesen Fall bewiesen, so
hat es seine volle Gültigkeit auch für Gemenge der
Lósungen, vorausgesetzt natürlich, dass die Lósungen
vollstándig indifferent gegen einander sind. Die Form
der Stromverzweigung, welche ich bei meinen Ver-
Suchen anwandte, war die allereinfachste: eine Spal-
tung der Leitung in zwei Zweige. Der Strom einer
Sáule ging durch einen Drath, der sich in zwei theilte
"und dadurch 2 Zweige bildete; in jedem der Zweige war
ein Trog mit einer der zu vergleichenden Lósungen
gefüllt. Bezeichnen i, und à, die Stromstürken in den
. beiden Zweigen, r, und r, die Widerstände der Drähte,
5) Dass eine Stromvertheilung zwischen Kupferdrath und Kupfer-
vitriolösung stattfindet, ist zwar von Quinke (Pog. Ann. CXLIV pg.
20) nachgewiesen, nicht aber, dass sie nach dem Kirchhoff'schen Satz
erfolgt. d
w, und w, die der Flüssigkeiten, so ist nach dem Satze
von der Stromvertheilung:
2, (w, +r) = 1, (w,+r,)
Und wenn man r, und r, sehr klein gegen w, und w,
macht:
2 — 1],
1910»
Sollten die Flüssigkeiten eine auswählende Eigen-
schaft besitzen, so würde man der Gleichung die Ge-
stalt:
48,00 iw 8
or ele gern Por df
geben kónnen, in welcher s, und s, Coefficienten wá-
ren, die für verschiedene Flüssigkeiten, vielleicht auch
für verschiedene Concentrationsgrade einer und der-
selben, verschieden wären.
Die Untersuchung führt demnach zur Messung von
den Stromstürken und Widerstánden in jedem der
Zweige. Die Stromstürken wurden gemessen durch die
Niederschläge in den Trógen oder Zersetzungszellen,
die Widerstánde durch eine Siemen'sche Brücke. Die
allgemeine Aufstellung der Apparate war folgende:
B ist die schematische Darstellung der Brücke, in
welcher N das Widerstandssystem, D den Unterbre-
+
D
LA
H «
AIDIIT TITI ES
HAMM B Pg ILA, |
R |
cher darstellt, G ist das Galvanometer, A ein 2tes
Siemen'schesWiderstandssystem von 0, 1 bis 5000 S. E;
Lë
a, a, und b sind Quecksilbernäpfe, Z und II die Zerset-
\
447
` Bulletin de l'Académie Impériale
448
y cio o e
zungszellen, e die Süule, welche zu den Widerstands-
messungen diente und aus 2 Bunsen 'schén Bechern mit
Chromsäure bestand, Æ die Säule aus 6 Bunsen”-
schen Bechern für die Zersetzung der Flüssigkeiten; die
übrigen Theile sind Verbindungsdrähte: die punktir-
ten dienen zur Widerstandsbestimmung, die voll aus-
gezogenen zur Messung der Stromstärke. In Bezug.
auf die einzelnen Apparate ist Folgendes zu bemerken:
Als Galvanometer diente ein vorzüglicher Multiplica-
tor von Sauerwald mit astatischer Nadel und Spie-
gelablesung. Die Tróge sind aus Spiegelglas gefertigt,
4 Cm breit, 5 hoch und etwa.30 lang; die oberen Kanten
laufen dem Boden parallel, auf ihnen liegen starke
Messingklótze, die gespalten sind und die Electroden
sowohl wie Zuleitungsdrühte aufnehmen. Die Tróge
wurden vor der Füllung mit Flüssigkeit horizontal
gestellt.
Bei der Messung der Widerstände war der Ver-
bindungsbügel f aus den Nápfen a, und a, herausgeho-
ben, ebenso der Draht d, statt dessen tauchte der
Drath c in a, oder in a,, je nach dem man den Wider-
stand des Troges I oder ZZ messen wollte. Hierbei
wurde der Zuleitungsdraht h entweder in den Napf b
getaucht oder aber in denselben, in welchen c tauchte;
im ersten Falle ging bei Schluss des Contactes der Strom
durch den Trog, im 2ten Falle war der Trog ausge-
schlossen; es musste alsdann im System R der Wi-
derstand vergróssert werden, und diese Zunahme
ist gleich dem Widerstande der Flüssigkeit zusam-
men mit dem so genannten Ubergangswiderstande
und den kurzen Verbindungsdrühten, die von den
Quecksilbernápfen zu den Electroden führen. Der
Gesammtwiderstand dieser Drähte war nicht nur für
beide Tróge gleich, sondern betrug überhaupt nur
0,014 S. E.; er ist daher gegen den der Flüssigkeit
ganz zu Vernachlässigen, da, wie wir sehen werden,
die Widerstánde der Flüssigkeiten im günstigsten Falle
nur bis 0,05 S. E. sicher bestimmt sind. Die Wider-
stánde wurden stets zweimal gemessen, vor der Elec-
trolyse und nach derselben, sie variirten jedoch immer
nur wenig, obgleich zuweilen die positiven Electroden
mit ein wenig Oxyd bedeckt waren. Es war daher
auch der Übergangswiderstand jedenfalls nur gering
gegen den der Flüssigkeiten.
Der Versuch wurde nun in folgender Ordnung ge-
macht: die Tróge wurden mit 400 Cm. Lósung gefüllt,
wobei sie etwa 4 Cm. hoch stand, dann wurden die gewo- -
genen Electroden .eingestellt und der Widerstand des
Systems R so regulirt, dass keine Ablenkung der Nadel `
erfolgte, wenn die Flüssigkeit aus der Kette ausge-
schlossen war. Darauf wurde der Trog in den Strom-
kreis gebracht und das Widerstandssystem R so weit
verändert, bis wieder keine Ablenkung des Galvano-
meters erfolgte. Die Differenz der beiden Einstellun-
gen des Systems R ergab den Widerstand des einen
Troges. Durch Umlegung des Drahtes c aus dem einen
in den andern Napf wurde, statt des einen Troges,
der andere in den Strom geschlossen und sein Wider-
stand auf dieselbe Weise gemessen. Um eine Zer-
setzung der Flüssigkeit während dieser Versuche zu
vermeiden, wurde der Strom nach jedem Contact
mittelst eines Wenders, der an der Siemen’schen Brücke
angebracht ist, in umgekehrter Richtung durch den
Trog geschickt; übrigens dauerte der Schluss nur einen
Moment.
Einigermassen störend war bei diesen Versuchen zu
weilen die Polarisation der Electroden, die, obgleich
schwach, der Nadel doch einen merklichen Stoss gab.
Trotzdem sind die Messungen bei kleinen Widerstän-
den bis auf 0,05 S. E., bei grösseren bis auf 0,1 oder `
0,2 S. E. sicher, wie ich durch mehrfache Wiederho-
lungen mich überzeugt habe.
Nachdem die Widerstände bestimmt waren, wurden
die Drähte c und A beseitigt und in die Nàpfe a, a, der ` m
Draht g mit dem Bügel, in den Napf b der Draht d
eingetaucht. Dadurch waren die Tröge parallel in den
Stromkreis der Batterie E eingeschaltet, und es hatte
sich nun der Strom in den 2 Zersetzungszellen zu ` `
theilen. Die Kette blieb gewöhnlich 1'— 2 Stunden ` `
geschlossen, worauf von Neuem die frühere Verbin-
dung hergestellt und der Widerstand gemessen wurde.
Hierauf wurden die Eleetroden herausgenommen, sorg-
fältig zwischen Fliesspapier getrocknet, wenn die Nie-
derschläge compact und adhärent waren, und nach Y,
Stunde gewogen. Das Silber reducirte nicht selten
in grobkörniger Gestalt, mit schwacher Dendryten-Bil-
dung; in solchen Fällen wurde es sorgfältig gesammelt, `
gewaschen, im Luftbade stark getrocknet und dann ge-
wogen. |
Um mir einen Begriff von der Genauigkeit der ein-
zelnen Messungen zu bilden, machte ich einige Vor-
E & e
O E ME E EE ien,
versuche. Die Tröge wurden zu gleicher Höhe mit 10% —
»
PE E EE a TER TR HE ERE SN SS
Y REM ME aeo ouis as ^
449
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
,
450
Lósung von Kupfervitriol gefüllt mit einem Zusatz von
1% Schwefelsäure und dann die Widerstände gemes-
sen. Die Electroden waren aus Kupfer. Der Versuch
ergab folgende Resultate:
Entfernung der
Electroden. Widerstand. Widerstand für 100"
Trog I 142,3" 23,9 16,80
o «140,0 20,0 16,79
Trog II 136,7 22,8 16,68
© «155,5 22.6 16,68
Mittel 16,74 0,08 — 0,59/,
Die Widerstandsbestimmungen sind also bis 0,5Y,
sicher und wahrscheinlich noch genauer, da die Diffe-
renzen zum gróssten Theil wohl einem kleinen Unter-
schied im Querschnitt der Tróge zuzuschreiben sind.
Um die Genauigkeit in der Bestimmung der Strom-
stárke zu ermitteln, wurden die mit Kupfervitriol ge-
füllten Tröge hinter einander in die Kette geschlossen.
. Der Niederschlag an der negativen Electrode betrug:
Differenz 0,0008 — 0,3/,.
Darauf wurde Trog II erst mit einer Lósung von
~ salpetersaurem Silber-Oxyd, dann mit Zinkvitriol ge-
` ` füllt, während Trog I stets mit Kuperlösung gefüllt
blieb. In der Silberlósung wurden silberne Electroden
` benutzt, im Zinkvitriol solche aus almalgamirtem Zink.
Bei Zerlegunng der Silberlósung erhielt ich:
"m Trop IE. : lire PEU 0,2837 gr.
im Trog II Silber 0,9674 aequival.0,2843 «
Differenz — 0,0006 = 0,2,
` Bei Anwendung von Zinkvitriol fand ich:
nmn TOP T KAPRET i ov nr. 0,3426 gr.
im 2108 II Zink 0,3495 segna 0,3411 «
Differenz. . .0,0015—0,5,
Die Messungen der Stromintensitäten durch die Nie-
. «derschláge an den negativen Electroden sind also gleich-
falls bis 0,5%, genau.
Man könnte aus diesen Bestimmungen schliessen,
. dass die Untersuchungen jedenfalls bis zu 17/ sicher
seien, doch ist die Genauigkeit der Resultate in der
That geringer, weil bei den Versuchen, in der Form,
. -Wie sie angestellt wurden, noch fernere Fehler auftre-
ten können. Vor allen Dingen liegt eine Fehlerquelle,
Tome XXII.
die nicht vermieden wurde, in der Polarisation der
Electroden. Allerdings habe ich nur solche Combina-
tionen von Flüssigkeiten und Electroden gewählt,
bei welchen die Polarisation gering ist, aber dennoch
ist sie nicht völlig aufgehoben. Bei der Bestimmung
der Widerstánde war die Polarisation jedenfalls viel
schwácher als wührend der Electrolyse, theils weil
der Strom nur momentan geschlossen wurde und die
Polarisation sich zu entwickeln nicht Zeit hatte, theils
auch weil nur 2 Elemente angewandt wurden. Bei der
Messung der Stromstürke trat hingegen die Polarisa-
tion in ihrer vollen Kraft auf. Die Versuche wer-
den in Folge des Einflusses der Polarisation immerhin
mit Fehlern bis 2 Procent behaftet sein. Noch grósser
können die Fehler in den Fällen werden, wo die eine
Flüssigkeit einen sehr grossen Widerstand im Ver-
gleich zur andern hatte, weil alsdann an der negati-
ven Electrode wenig Metall ausgeschieden wurde und
daher kleine Fehler in der Wügung oder etwaige Ver-
luste einen grossen Prozentsatz ausmachten und ausser-
dem dieser Fehler noch mit dem grossen Widerstande
multiplieirt wurde. Allerdings hätte ich die Polarisation
messen und berücksichtigen können; ich glaubte mich
indessen dieser Arbeit entheben zu können, da ich in
den Resultaten überhaupt keine zu grosse Genauigkeit
suchte. In der That handelt es sich im vorliegenden
Falle gar nicht darum kleine Abweichungen vom Ge-
setz der Stromvertheilung aufzufinden. Sollen Becque-
rel’s und Magnus’s Versuche nach ihrer Auffassung
erklärt werden, so muss das Verháltniss, in dem der
Strom sich theilt, sehr weit vom Satze der Strom-
vertheilung in Drähten abweichen.
Nach diesen Bemerkungen will ich nun die Ver-
suchsresultate mittheilen.
1. Reihe.
In dieser Reihe wurden Lösungen schwefelsauren
Kupferoxyds verschiedener Concentrationsgrade unter
einander verglichen. Den Lösungen war etwa 1 Pro-
cent Schwefelsäure zugesetzt, um den Niederschlag
cohärent zu machen. Die Versuche mit diesen Flüs-
sigkeiten, so wie mit allen folgenden, wurden stets so
angestellt, dass für jedes Paar Lösungen, die mit ein-
ander verglichen wurden, die Prüfung bei 2 ver-
schiedenen Verhältnissen der Widerstände in den 2
Trögen gemacht wurden. Ich dachte dadurch einen
29
451
Bulletin de l’Académie Impériale
452
durch die Polarisation entstehenden Fehler, falls er
- merklich sein sollte, auffinden zu können.
Die Resultate der ersten Reihe sind in folgender
Tabelle I aufgeführt, in welcher in der 1ten Spalte die
X des Versuches angegeben ist, in der 2ten die Be-
zeichnung des Troges, in der dritten die Stárke der
Lósung, d. h. die Gewichtsmenge Salz auf 100 Ge-
wichtstheile Wasser, in der 4ten der Widerstand w,
in der 5ten das Gewicht des Niederschlages, durch wel-
ches der Stromstärke à gemessen wurde, in der 6ten das
We?
wobei à, w, sich auf den Trog I, % w; auf den Trog Il
bezieht. Was die Angaben des Procentgehaltes anbe-
trifft, so ist noch zu bemerken, dass sie nur angenäherte
sind und durch Verdünnung der ursprünglichen Lö-
sung berechnet wurden ohne Berücksichtigung der
Concentration.
Tabellel.
N |Trog E w | i | "b Am
E | ee
111 l10! 38,58 | 0,2408 | 9,290) 1,012
II |30| 18,50 | 0,4961 | 9,179
9 | 1 |10| 19,05 | 0,2959 | 5,637| 1,012
II |30| 18,98 | 0,2849 | 5,571.
3 | 1 |10| 38,8 | 0,5742 | 22,15 1 0,993
II |20| 26,18 | 0,8516 | 22,30
4 | I |10| 20,22 | 0,3196 | 6,463 | 1,001
II |20| 25,15 | 0,2567 | 6,455
5 | I ,10| 34,65 | 0,5316 |18,42 | 1,002
II |10| 35,05 | 0,5246 | 18,39
6 | I |10| 17,80 | 0,3075 |. 5,474 | 1,018
II |10| 34,70 | 0,1549 | 5,375
7 | I |10| 38,10 | 0,1807 | 6,886| 0,976
| II |10| 20,50 | 0,3440 | 7,053
8,1 |10| 37,75 | 0,2220 | 8,381| 1,026
| 5| 62,38 | 0,1309 | 8,168.
9 I 10| 37,02 | 0,5965 | 22,44 | 1,022
€ g 34,70 | 0,6332 El 95 |
|
]
ju diesen Zahlen ist ein Einfluss der Polarisation
nicht zu merken, wie ein Vergleich der Resultate
zeigt, welche bei je 2 verschiedenen Widerständen der-
selben Lösung gefunden wurden; nimmt man daher
für die Versuche aus Lösungen von derselben Stärke
die Mittel, so erhält man:
für Stärke 30 20 10 5
àw 1012 0,997 0,999 1,024.
19 Wa
Auch ein Einfluss des Concentrationsgrades ist nicht
merklich, und da die Zahlen von 1 nicht mehr als um
etwa 2%, abweichen, so folgt daher aus den Versu-
chen, dass für 2 Lósungen desselben Salzes, die im
Concentrationsgrade verschieden sind, das Gesetz der
Stromvertheilung in Dráhten volle Anwendung findet.
9. Reihe.
In dieser Reihe wurden Lósungen von schwefel-
saurem Kupferoxyd, im Troge I, und von salpetersaurem
Silber im Troge II untersucht. Die Resultate sind in
derselben Form, wie in der Tabelle I mitgetheilt, nur
ist noch eine Spalte p hinzugefügt, in welcher das
Gewicht das reducirte Silbers angegeben ist. Unter à
ist dann das üquivalente Gewicht desselben in Kup-
fer mitgetheilt.
Für die Aequivalente wurde angenommen: für Sil-
ber 107,93, für Kupfer 31,72.
Tabelle 2.
e 49
N |Trog 3 w p i iw C
1 | I Lo 39,10 0,4256 116,64 |
II | 5| 65,30) 0,8842 0,2605 17,01 |0,980
2|1 10, 38,25 0,2827 |10,81 |
II | 5| 40,58/0,9177 0,2704 |10,97 [0,986
3 |I 10 51,55 0,5602 118.57 |.
u 2/,1107,68 0,5762 0,1698 |18,28 1,016 —
4 I 10| 50,00 0,2580 |12,90 Go
| II 12%) 54,15 0,8088 0,2383 [12,90 1,000
5 | 1110| 41,20| 0,2280 | 9,394
pna Dë 0,1490 0,0439 | 9,1701,013
6 I El: 9 0,1662 | 8,219
D DU 45,59/0,6047,0,1782 | 8,124 1,012
7 ; .10| 40,10 0,6741 |27,03
u | %\399,90 0,2177 |0,06412 25,64
8 e ‚10 40,35 0,2743 11,07 |
E KI 430,30 0,0880 0,02592/11,25 |0,984 `
9 1.10 38,60 0,1866 | 7,209 .
B | 2 rum ,30/0,0562 0,01656 7,585,0,950
Da sich auch hier ein Einfluss der Polarisation -
nehme ich die Mittel für
nicht merklieh macht, so
1054 —
n
453
ki
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
454
. alle Versuche bei einer und derselben Stürke der Ló-|
sung. Dann ist:
Stärke 5 2% 1% e e aa
A 0,983 1,008 1,012 1,054 0,986 0,950.
272
Also auch zwischen Kupfervitriol und salpeter-
saurem Silberoxyd theilt sich der Strom umgekehrt
. proportional den Widerstánden der Lösungen.
3 Rei h e.
In dieser Reihe wurde Kupfervitriol und Zink-
vitriol benutzt. Der Trog I enthielt Kupfervitriol, das
Zinkvitriol war im Troge II.
Als Electroden dienten amalgamirte Zinkplatten.
Für das Aequivalent des Zinks ist die Zahl 32,5
angenommen.
Tabelle 3.
X Trog) 5 | w p | i | iw zë
Agi [40.4:28,22 0,5425 120,75
II |15,2 | 56,62/0,3694/0,3592 |20,34 | 1,023
cd: E 27,20 0,4319 116,06
II 15,2 97.00 0,6286.0,6113 16,50 | 0,973
3| I 10 | 36,10 0,2748 | 9,91
II | 7,6 | 82,250,1236/0,1201 | 9,886| 1,004
| 1 710° | 38,55 0,5396 20,80
4 II | 7,6 | 46,750,4570/0,4444 120,76 | 1,002
pet 10:1: 37,50 0,5093 119,10
5/1 | 3,8 1150,700,1285,0,1250 (18,83 | 1,014
I ¡10 | 36,35 0,3251 |11,82
—6|IL | 3,8 | 45,05/0,2721/0,2648 111,92 | 0,991
I |10 | 43,15 0,3333 114,38
7 II | 1,9 [243,75/0,0579/0,0563 (13,72 | 1,048
I ¡10 | 40,75 0,5257 [21,43
8|11| 1,9 127,759,1666/0,11619 (20,69 | 1,036
I ¡10 | 40,60 0,6546 [26,59 |
9 II | 0,95 459,90.0,0627/0,0609728,04 | 0,948
I 110° 38,00 0,4796 (18,22 |
10 II | 0,95201,250,09680,0942 18,95 | 0,981
Die Mittel für Lósungen derselben Stárke sind:
für Stärke 15,9 7,6 38 1,9 0,95
àw 0,998 1,003 1,002 1,042 0,964.
Auch hier ist wiederum ein Einfluss der Polarisation
durchaus nicht merklich.
Ich habe noch einen Versuch. mit salpetersauren
Salzen von Silber und Kupfer gemacht. Im Troge I
befand sich das Kupfersalz, im Troge'II die Silberlös-
sung. Die Lösung des Kupfersalzes war 14,48%, die
des Silbers 5%,; demnach kommen auf 1 Aequivalent
Silbersalz 4 Aequivalente Kupfersalz; die Salze befin-
den sich also in einem Verhültniss, das nach Becque-
rel weit unter der Grenze der'Ausscheidung für Kup-
fer liegt. Ich erhielt bei einem Versuch:
Trog Stärke w p i Dër
I 14,5 69,0
u, 5
iw
0,1340 9,245
68,46 0,4567 0,1346 9,208 1,004
Also auch diese Lósung folgte strenge dem Kirch-
hofPschen Satze. Ich hielt es nach den Erfahrungen,
die ich an den vorigen Lósungen gemacht, nicht für nó-
thig, einen Einfluss der Concentration noch ferner zu
untersuchen.
Für die 3 ersten der von mir untersuchten Salze
ist ein Einfluss der Concentration auf eine geringere
oder gróssere Abweichung vom Gesetze über die Ver-
theilung nicht merklich, obgleich die Verdünnung, z.
B. beim Silbersalz, bis zu sehr weiter Grenze getrie-
ben wurde.
Man ist daher berechtigt, aus allen Resultaten, die
anein und demselben Salze gewonnen wurden, ein Ge-
sammtmittel zu ziehen, dann erhált man folgende Zah-
len:
a vy
2 Po
Für re Kupfer, und schwefelsaures Kupfer ...1,006
« « und salpetersaures Silber....0,999
« « « und schwefelsaures Zink..... 1,002
« salpetersaures Kupfer und salpetersaures Silber....1,
Alle diese Zahlen weichen von 1 um weniger ais 1%,
ab, und ist daher diese Abweichung auf Beobachtungs-
fehler zu schieben.
Die Untersuchung führt daher zu dem Schluss: —
«In flüssigen Leitern findet die Stromverzweigung
genau nach demselben Gesetze statt, wie in Leitern
erster Klasse.»
Hiermit aber sind auch alle theoretischen Folgérun-
gen, die Becquerel und Magnus aus ihren Versu-
| chen gezogen, unhaltbar.
F
455
456
AS E E
De la chronologie technique géorgienne, ecclésiastique
et civile. Par M. Brosset. (Lu le 27 mai 1875.)
§ 4. Histoire de la chronologie géorgienne.
Ère mondaine, cycles pascaux.
Il west pas question ici d'un nouveau systeme chro-
nologique, mais simplement de faits matériels, admis
sans conteste par tous les chronographes; ce sont,
d'un côté les cycles de 532 ans, remontant prolepti-
quement jusqu'en 5508 et 5604 avant lere chré-
tienne; puis des années, soit antérieures à J.-C., sup-
putées aussi proleptiquement , soit postérieures, cal-
culée comme les précédentes, d’après les cycles de
- 532 ans, qui fonctionnent dans l'historiographie grecque
au moins depuis l'an 877, en Géorgie positivement
depuis 781: la naissance de J.-C. restant fixée d'un
cóté à 5509, de l'autre à 5605 d'une ere mondaine
artificielle.
Toute la chronologie technique géorgienne , tant
ecclésiastique que civile, roule sur l'usage du cycle
de 532 a., qui, par les circonstances dans lesquelles il
a été introduit dans le pays, a donné naissance à une
ère mondaine, artificielle comme toutes les ères con-
nues. En voici l'agencement, comparé à l'ére et aux
- cycles grecs, non moins artificiels que ceux des Géor-
giens.
Fin des cycles grecs ; Fin des cycles géorgiens;
annés du avant annés du avant
monde; J.-C. monde; J.-C.
5508 — 96 5604
1.532 4976 436 5072
2.1064 4444 968 4540
3.1596 3912 1500 4008
4.2128 3380 2032 3476
5.2660 2848 2564 2944
6.3192 2316 3096 2412
1.9424 1784 3628 1880
8.4256 1252 4160 1348
9.4788 720 4692 816
10.5320 188 5224+96 284
+ 188 = + 284—
5508 5604
+ 344, ap. J.-C. + 248, ap. J.-C.
11.5852 314 5852 248
12.6384 376 6384 780
13.6916 1408 6916 1312
Bulletin de l'Académie Impériale
Fin des cycles grecs: Fin des cycles géorgiens; .
annés du avant annés du avant
monde; J.-C. monde; J.-C.
14.7448 1940 7448 - 1844
15.7980 2472 7980) 2376
5508 + 1874 — 7382 — 466, 14° cycle grec
5604 + 1874 = 7478 = 30, 15° cycle géorgien.
Ces deux series, obtenues par simple addition et
soustraction, indiquent le rapport des cycles de 532 a.
aux années mondaines et avant J.-C., en partant d'un .
certain point de l'ére chrétienne vulgaire, op ils ont `
commencé à fonctionner dans les deux pays. $
On sait, par un témoignage du patriarche Photius’),
que la combinaison des cycles lunaire et solaire, pour `
obtenir une période commencant par leur 1” année
et finissant ensemble par leur dernier N’, fut primiti-
vement imaginée, au IV^ S. par un certain Métrodore;
que l'on eroit avoir été un mathématicien alexandrin.
Cette période, merveilleusement exacte pour l'époque
et trés commode pour faire éviter de nombreux calculs,
ne fut pas comprise sur-le-champ, ni admise uniformé- |
ment par les nations chrétiennes. L'auteur de la Chro-
nique pascale, qui en voulait faire, au VIT S., la pre-
miére application en grand, et qui commence en eftet
son livre par la résurrection du Sauveur et par la de
Páque, n'en saisit pas non plus le mécanisme de la
méme facon que Victorius de Limoges, en Aquitaine,
qui en avait rédigé tous les calculs en 457 de J.-C., le
faisant commencer en 28 de l'ére chrétienne, ni comme
Denys-le-Petit, qui en 526 lui donnait pour initiale
l’année 2 av. J.-C). Pour lui, il déclare“) que les
périodes de 532 a. commencent à l’année de la mort
du Sauveur, en y ajoutant l’année mondaine en Cours. Gi
C'est lui, cependant, qui en l’année 35 de Justi-
nien 1" — 562 de J.-C., s'exprime de la sorte: «Hoc
quinto et trigesimo Justiniani imperatoris anno, martii
mensis XX, ind. X, a. III ol. 335, completi sunt anni `
532 pascalis cycli, sanctae et vivificae crucis... , mM
quá coepimus celebrare sanctam Christi resurrectionem, `
et incipit secunda cycli pascalis periodus, annorum
532, a vicesimá primá die martis, quà quidem die ` `
1) Inutile de dire que les Géorgiens ne font plus d'usage de leur 22.
ancienne ére mondaine, remplacée par l'ére grecque.
2) Ducange, Préface de la Chron. pascale, éd. Bonn, t. H p. 38.
3) On n'est pas d'accord sur le fait que Denys-le-Petit ait adopté `
et réformé le cycle de Victorius; Dulaurier, de la Chronol. arm. p.93. GC
4) Chr. pasc. p. 20, 25.
Y
457
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
458
aequinoctium incipit.» Or, pour cet auteur, qui place
nettement la naissance du Sauveur en 5507, done sa
mort en 5540, Pannée 35 de Justinien devait étre
- l'année mondaine 6072 (non 6069), et le commence-
ment du 1" cycle pascal en 5540, non 5537, qui ne
coïncide avec aucune époque connue. A la rigueur,
* 5500 4- 33 = 5533 +532 = 6065. Il est donc tombé
$ dans Pun des défauts qu'il reproche à ses PERENDISE
seurs.
Voici, du reste, comme il en était venu à fixer en
la 35°a. de Justinien la fin de la première de ses
= périodes:» Computetur principium reparationis sive
> periodi annorum 532 à quinto anno et ipsius Philippi
Junioris et filii ejus... ad 19 Tiberii Caesaris annum...
in quo passio contigit: invenies tempus annorum.. 218
«Descendens vero ad annum octavum Constan-
tini maximi, colliges annos ........... 65
«A nono autem Constantini usque T annum
praesentem, indict. X anni 35 imperii Justiniani,
e E DIIS 24
«Ita ut simul collecti a salutari paschate us-
Que ad praesentem 35 annum anni conficiantur» 532
A ces chiffres partiels, sujets à discussion, si l'on
i ajoute 33 a. (18 du règne de Tibère, 15 de celui d’ Au-
guste, 41° a.), on obtient 565 de J.-C. pour la 35° a
- de Justinien. Ainsi notre auteur, quoique plaçant la
. naissance de J.-C. en 5507, commençait son premier
cycle en 533 de l'ére vulgaire. De son second cycle,
> eommencé en 563, il ne reste, que je sache, d'autre
- trace que l'indication donnée par Samouel d'Amt en
= 1096 — 1094: «En cette année s'ouvre un cycle de
. 500 a.» i. e. de 532 a., suivant la formule usitée chez
les Arméniens et chez la Géorgiens.
3 Il convient de noter que dans la petite Chronique
-~ dp patriarche de Constantinople Nicéphore, écrite dans
les premières années du IX” s., le méme événement
est raconté en d'autres termes: «En la 7' a. de Justin,
neveu de Justinien, dit l'auteur, fin d'un (eig) cycle
; pascal de 532 a., à partir du crucifiment, indict. VI,
depuis Adam 6065 a,»
Justin ayant été couronné le 14 novembre 565, sa
7° a. tombe en 572, juste 10a. après la 35° de Justi-
. Bien. Quant à l'année 6065, elle est en rapport avec
l'ère mondaine 5500, et convient mieux au règne de
Justinien qu'à celui de son successeur Justin; mais
l'Art de vérifier les dates explique trés bien cette diffé-
©
rence de 7 a. entre les notations chronologiques de
l'époque. *)
Maintenant, s'agit-il de la méme chose chez les
deux chroniqueurs, placant le crucifiment, l'un en l'an
30, l'autre en l'an 40 de l'ére chrétienne, ou bien y
a-t-il quelque erreur de la part du second, ou une
simple inadvertence de copiste, c'est ce qu'il est diffi-
cile de déterminer.
L'ére mondaine de Jules-Africain, 5500 avec ses
dérivés, 5501 — 5508, pour la naissance de J.-C.,
fournit bien des variantes pour l'époque de l'usage du
cycle Dionysien, chez les différentes nations; mais dés
le moment oü l'ére 5508, connue de S. Maxime dés
l'an 641 de J.-C., suivant les auteurs de l'Art de vé-
rifier les dates, éd. in-f” p. XVII, et employée pour la
première fois dans la date du VI concile écuménique,
2° de Constantinople, devint officielle, les périodes de
532 a. depuis l'origine du monde se trouverent aussi
fixées proleptiquement*). Certains manuscrits de la
chronique de Nestor, peu exacts dans les détails, in-
diquent cependant avec raison l'année 6384 comme la
dernière d'un 12° cycle, ce qui prouve que déjà au
XI S. on avait calculé proleptiquement, avec l'ére
5508, les périodes dont il s’agit”). Il est vrai que
l'historien slave donne, entre autres éléments de son
caleul, l'ére mondaine 5500, mais les Byzantins, en
admettant 5852, 24”a. suivant leur système, de l'em-
pereur Constance II, pour la fin de leur 11' cycle pro-
leptique^), qui coincide avec Pan 344 de l'ére chré-
tienne, reportent la fin du 10 en 5320 d. m., et celle
des précédents, ainsi que des suivants, aux années que
5) Art de ver. les dates, éd. in-f°, p. XVI. L'explication repose
sur la variante provenant de l'olympiade 194, 2* a., au lieu de 195,
1™° a., donnée par J.-Africain à la naissance du Sauveur, et d'autre
part sur une réduction de 10 a. de l'ére de J.-Africain, 277 au lieu
de 287, pour l'avénement de Dioclétien. En outre J. Africain n plagant
la naissance du Sauveur 3 a. plus tót que notre ére vulgaire, sa mort
aurait eu lieu en 30, et conséquemment l'an 562 se trouve étre ré-
ellement le dernier de la période de ss a., dite la premiere. Tout
cela est fort compliqué, comme on le v
6) Trés probablement c'est au Geet de N prs que l'ére de 5508
fut adoptée, pour obtenir, par l'addition de 8 a., un systéme complet
de chronologie, des épactes vraies et un régime complet d'initiales
pour les deux cycles lunaire et solaire, que ne donnait pas l'ére de
Jules-Africain; Steinheil, Ort, o ppemacuncaenin ..., p. 362, ex-
RE en détail cette question.
Muralt, Chronogr. byzantine, p. 427, 732; les dates et calculs
de N estor ne s’accordent lá avec aucune des sources connues: l'his-
torien mêle l’ère de J regiam avec celle de Constantinople, et
allonge cette dernière de 10
8) Chron. Pase. II, 87, éd. ge Bonn.
Bulletin de l'Académie Empériale
montre notre Tableau, calculé sur le méme pied. Toute-
fois, depuis lors on ne voit pas que les historiens grecs
aient fait un usage habituel d'une autre notation chro-
nologique que leur ére mondaine. Celle de l'incarna-
tion, usitée dans l'occident, seulement depuis le XI Sy
n'est pour ainsi dire jamais citée dans leurs écrits. Il
me paraít trés probable que, outre la correction de
plusieurs erreurs chronologiques, déjà remarquées lors
du concile de Nicée’), l'addition faite par les Grecs,
de 8 ans, à l'ére de Jules-Africain, eut aussi pour bon
résultat de compléter leur premier cycle proleptique,
partant. de la création, auquel, avec l’ere de 5500, il
manquait en effet 8 années, en remontant depuis 876
après J.-C.
Suivant moi, l’ère de 5508 étant admise officielle-
ment vers la fin du VII’ S., et les chronographes
l'ayant raccordée avec les cycles de 532 a., les deux
séries marchèrent dès-lors d'ensemble, mais l'usage
du cycle fut relégué au second plan.
Il est permis de faire remarquer ici que la date de
562, fin du 2" cycle, au dire de la Chronique pascale,
avec l'initiale d'un second cycle l'année suivante, ne
s'est pas entièrement perdue. Les Arméniens, qui ve-
naient, en 552, d'établir leur calendrier national,
trouvèrent bon, en cette année 562, d'adapter aussi
-à leur comput le cycle pascal, comme norme réguliére
de la Páque, et sur-le-champ décidérent que l'année
552, la premiere de leur réforme, serait aussi la pre-
miére de leur cycle pascal: 552 de J.-C. — 1 du ca-
. lendrier arménien, — aussi 1 du cycle pascal; toute-
fois les Arméniens, pas plus que les Grecs, ne font
usage fréquent de cette période, dans leurs notations
chronologiques. Ce n'est que plus tard, en 1085, au
renouvellement du cycle, que le computiste arménien
Jean Sarcavag fonda le calendrier fixe des fétes mobiles
jusqu'alors; en 1617 Azaria de Djoulfa entama une
nouvelle période: deux éres qui sont appelées Petit
comput de Sarcavag et d'Azaria; celui de Sarcavag fut
surtout employé dans la Petite- Arménie, et n’a guère
servi qu'à dater les chartes des rois Roubénides, et
certains mémentos de copistes; celui d'Azaria n'est
aussi usité que chez les Arméniens de Perse, dans les
dates des manuscrits et des livres imprimés, et finira
en 2148.
9) Steinheil, p. 362.
Les orthodoxes russes se contentent, comme les
Grecs, de l'ére mondaine 5508, qui fut adoptée par
eux, au lieu de celle de Jules-Africain, lors de leur
conversion au christianisme, au IX” S. Cette ére
parait fréquemment et seule dans les rescrits des
Tsars, jusqu'au règne de Pierre-le-Grand; mais l'usage
de l'ére de Jules-Africain s'était conservé, comme on
le voit dans le Psautier avec additions, lleayTHpb cb
wscrbroganiane, et avait servi à fixer la fête de Noël au
25 décembre, ainsi que la premiére Páque au 30 mars”).
Le cycle pascal, connu chez les Russes sous le nom de
Grande indiction, se modéle en tout sur celui des
Grees et n'est mentionné que fort rarement dans les
chroniques.
Quant aux Géorgiens, voici l'histoire peu compliquée
de leur chronologie. :
Lorsque le savant Adler publiait en 1782, la 1^ P^
de son Museum Borgianum, p. 161, il apprit du P.
Stéphanos Avutandil, archevéque de Tiflis, alors à
Rome, «que le caractère géorgien vulgaire Khedvouli,
lis. Mkhédrouli 93963eo. paraissait avoir été inventé
lors de la formation du calendrier, en 1312.» C'est la
première notice communiquée à l'Europe sur ce sujet.
En 1830 M. Klaproth ayant eu l'occasion de citer
une date géorgienne!), l'an 137 —917 de J.-C., en
concluait l'existence d'une ére géorgienne commen-
cant en 781 de J.-C. Comme le savant prussien
s'était borné à ces quelques mots, je crus devoir ré-
pondre sur-le-champ à la question soulevée par lui et
donner, comme je le fis en effet, les éclaircissements
strictement nécessaires. Plus tard j'entrai dans de
plus grands développements. ^)
Cependant le renseignement fourni à Adler par un
Géorgien, et par lui communiqué au public, n'était `
pas une solution, encore moins celui donné par
Klaproth, d'aprés un auteur alors inconnu, et partant,
sans authenticité; mais la curiosité s'était éveillée, et
la partie restée obscure du sujet devait étre éclaircie.
Or la Bible géorgienne imprimée à Moscou et le Code
du prince-royal Wakhtang, manuscrit de la grande.
Bibliothéque de Paris, ainsi que quelques autres, por-
tent de doubles dates, l'année chrétienne vulgaire,
unie à celle d'une période moins considérable, dont
10) Iakofkin, Pascalie arithmétique (en russe), 1'* éd., $ 60, 61. .
11) Nouv. Journ. asiatique, V, 29 n. 2.
12) Nouv. J. asiat V, 231; Chron. géorg. Paris, 1830, p. I — X.
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des Sciences de Saint -Pétersbourg.
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Pouverture, par une soustraction facile, est reportée
sûrement à l’année 1313 — 1, aprés la réforme
. signalée par Adler: de là à trouver l'année chrétienne
correspondant à celle de cette petite période, quand
elle est seule, comme dans la Chronique géorgienne de
la Bibliothéque de Paris, le pas était facile.
La Bible a été imprimée au village de Seswenski,
lis. Bsésviatski, prés de Moscou, le 1" mai 7251
— 1743 — 431 du cycle pascal.
Le Code, Table alphabétique, datée 1” juillet
438 = 1750.
Voilà, entre des milliers, deux dates officielles du
_ cycle commencé en 1313, et dont l'année 1844 fut
la dernière: c'était le XIV’.
D'autre part, si Klaproth ne s'était pas trompé en
citant la date 137 — 917, qui, par une soustraction
du méme genre, reporte à l'an 780 pour la fin d'une
semblable période, on découvre aussitót qu'il s'agit de
la période Victorienne ou Dionysienne, i. e. du cycle
pascal de 532 a., intervalle qui sépare en effet l'an
. 780 de 1312. Ainsi le XIII cycle, ouvert en 781,
le XII’ en 749, le XIV” en 1313, le XV” en 1845,
sont clairement déterminés. C'est ce que le P. Stéph.
7 Avutandil, peu au fait, à ce qu'il paraît, des choses
Ch a WE LS" a ELLE.
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ger A ETE SN
> n Er O
ES en Y E
de son pays, appelait da formation du calendrier,» ce
que les Georgiens nomment We Age, révolution;
jobzgolo, cycle, ou par abrégé, je-6o5o3o5o koroni-
3 coni; byosbosbo, cycle de 500; les Arméniens disent
aussi en abréviant $/bgSwpfuphuws; qui à la même
signification. Le nom koroniconi, grec d'origine, s'ap-
plique soit au cycle entier, soit à chacune de ses années.
Le fait de l'emploi des cycles pascaux, soit seuls,
comme dans la Chronique géorgienne, soit conjointe-
. mem avec les années de l'incarnation, comme dans les
dates de la Bible et du Code géorgien, XIV? période,
soit encore conjointement avec une année mondaine,
comme dans la date de la Bible et du Traité de
Mtzkhétha sur le comput: 6837 = 453 = 1233 de
J.-C., ce fait étant constaté, il faut entrer dans quel-
ques explications.
Dans la triple date de la Bible, l'année chrétienne
B. 1743, soustraite de 7251, donne pour reste 5508,
ère mondaine des Grecs; dans celle du manuscrit de
P Mtzkhétha, 1233, soustrait de 6837, a pour reste
5604, ére mondaine géorgienne: c'est ce qu'il faut
. expliquer.
Les plus anciens livres historiques géorgiens ne
contiennent aucune espece de date, jusqu'à l'époque
de la conversion du pays au christianisme; celles que
l'on trouve dans les Préfaces des œuvres historiques de
Wakhoucht et dans les premiéres pages de son
Histoire, ont été calculées par lui, suivant son systéme,
et insérées dans son texte. Par contre, on ne trouve
dans les Annales, attribuées à Wakhtang VI, que de
rares synchronismes, mentionnés sans indications pré-
cises d'années. Outre les faits composant les syn-
chronismes, il y a pourtant parfois des résumés,
disant que de tel fait à tel autre il s'est écoulé tant d'an-
nées, et c'est à cela que se bornent les notations chrono-
logiques les plus anciennes. Au contraire, dans l'histoire
de la conversion des Ibériens, nous lisons que $° Nino,
égale aux apótres, mentionnée chez Rufin et chez les
historiens ecclésiastiques, contemporains ou voisins de
son époque, «mourut en 5838 d. m., 338 depuis
l Ascension ™®),» ce qui donne Tore mondaine de Jules-
Africain. Deux autres dates de méme espèce se trou-
vent“), la 1" dans le récit de la mort des saints
martyrs David et Costantiné: 6223 d. m. = 777
depuis le crucifiment de J.-C., ou 6249 d. m. — 730
depuis le crucifiment*). Cette dernière indication,
donnée en toutes lettres, dans un vieux manuscrit du
Musée asiatique de l'Académie, mais non tout-à-fait
exacte, se rapproche de ga vérité: 6249 — 730
= 5519 +33 — 5552; l’autre, simplement placée
en note sur un manuscrit, n'a aucune apparence
d'authenticité et ne vaut pas la peine d'étre discutée.
Le fait est que les deux saints dont il s'agit périrent
dans l’incursion de Mourwan, dit le Sourd, qui fut
plus tard le dernier khalife Ommiade, vers l'an 735
de 3.6: au temps de Léon l’Isaurien. C'est une
malheureuse phrase du récit original, oú Mourwan est
qualifié «fils de la soeur de Mahomet,»-qui a donné lieu
à la fausse tradition, que les saints David et Costan-
tiné périrent au temps de l'empereur Héraclius; mais
les Georgiens les plus instruits n'admettent pas cette `
tradition, qui est contraire à tout ce que l'on sait
d'ailleurs. 9) T
En procédant toujours du plus connu au motns:
13) Hist. de Gé. p. 128, 132.
14) Ib. p. 246.
15) Élém. de la gramm. géorg., p. 279 sqq.
16) V. Fan dogmm-lrgugsmès, Tiflis, 1858, p. 122.
Le
t
Bulletin de l'Académie Impériale
connu, nous trouvons chez les auteurs géorgiens des
" 4 8
dates passablement nombreuses du XIII cycle,
181— 1312, seules; du méme, avec accompa-
gnement de l'ére mondaine géorgienne 5604, je n'en
connais guére plus d'une quinzaine, dont quelques-
unes vont se produire dans la suite de mon travail.
Le XIII? cycle a une importance particuliere dans
la chronologie géorgienne, parce que l'année initiale
181 a eu sa raison d'étre, parce qu'il est le premier
numéroté par les auteurs, enfin parce qu'il est l'ori-
gine de l'ére mondaine des Géorgiens, et qu'il est le
seul dont il existe des Tables datées, authentiques et
anciennes, des 532 années, avec toutes leurs caracté-
ristiques pascales, avec indications marginales de di-
vers événements: quatre thèses que je vais essayer de
développer.
1) Pourquoi le XIIT cycle pascal, premier mentionné
' par les auteurs géorgiens, s'ouvre-t-il en 781 et non
par une autre année quelconque?
On sait qu'en 248 de l'ére vulgaire Rome célébra
la fin de son premier millénaire, et que le second
eommenca en 249; or Rome n'étant plus alors la
capitale du monde, l'univers ne s'intéressait plus à
conserver la mémoire de la fondation de Romulus;
on peut méme assurer que Constantinople aurait plu-
tót voulu la faire disparaitre entierement, et de fait
je ne sache pas qu'aucup peuple ait jamais fait men-
tion dans sa ce second millenaire de Rome,
si ce n'est les Arméniens, qui le nomment dere des
Horhoms,» i. e. des Romains, encore n'en parlent-ils que
très rarement, dans leurs dates les plus solennelles *”).
Par contre, la période Victorienne ou Dionysienne était
fort goütée en orient, à cause de son rapport à la féte
pascale, et, comme nous l'avons vu précédemment, sa
premiere évolution depuis la mort du Sauveur s'était
accomplie en 562, ce qui place la naissance de J.- C.
3 a. avant l’ere vulgaire. Les Arméniens, entre
17) A la grande rigueur, 753 de Rome avant J.-C. et 247 aprés
l’ouverture de l'ére chrétienné vulgaire, donnent précisément en
avril 247 l'année finale du 1** millénaire de la fondation de Rome:
cela suffit pour justifier le P. Tchamitch, M. Dulaurier et tous les
partisans de l'opinion qui termine en cette année les mille ans de
la ville de Romulus. Mais l'année 247’n’ayant pris fin qu'en. avril
248, 4° de Philippe le pére, c'est alors que furent célébrés les jeux
du 1°” millénaire, et cette année peut aussi, à la rigueur, être comptée
la premiére du second. Toutefois les Géorgiens, qui commencent
Pannée julienne en janvier, sont également justifiés de compter
249 — 1, comme ils le font en effet.
autres, se l'étaient appropriée et l'avaient adaptée à
leur calendrier. Les Asiatiques, les Syriens, le patriar-
cat de Jérusalem en faisaient usage, chacun à sa
manière, et l'on voit dans la Bibliothèque orientale
d'Assémani que plusieurs traités de ce cycle, en vers,
circulaient dans le diocèse d'Antioche. Comme done
les Géorgiens étaient, pour la hiérarchie et pour la
discipline ecclésiastique, ainsi que pour la liturgie,
sous la dépendance de ce pays, il n'est pas étonnant
que les prétres syriens aient introduit chez eux
l'usage du cycle pascal. Or précisément en 780
finissait une période de 532 a. aprés 248 (249 + 531-
= 780): le moment done était favorable pour en `
commencer une nouvelle en 781.
Aussi dans le Traité de comput, du manuscrit de
Mtzkhétha, est-il dit clairement, au ch. 1", que le
moine géorgien Jean Chawthel, de Tbeth, avait rédigé
en vers iambiques le traité du cycle syrien, en
453 — 1233. Ce personnage était contemporain de
la reine Thamar, et son successeur Abouséridzé, aussi |
de Tbeth, postérieur de quelques années, mit en simple
prose son élucubration sur le méme sujet.
2) Je dis que le XII’ cycle est le premier qui ait
recu un N’. Nous lisons en effet dans l'Hist. de Gé.,
p. 264, que le 46° monarque de ce pays, Achot-
Couropalate, aussi le premier roi de la dynastie ba-
gratide restaurée et définitivement installée, depuis
lan 787, «mourut le 29 janvier 6334 = 6430 = 46 ` à
du koroniconi évoluant pour la XIII" fois, jo$abo¿e-
bolss 33506559353: de Ap ee. Il est done clair que
la nouvelle dynastie, pour donner de la fixité aux
dates de son existence, avait adopté l'an 781 comme —
initial de sa chronologie. Si l'historien dit «treizième» —
c'est qu'en effet douze fois 532 — 6384 — 5604
— 780, à quoi ajoutant 46, on obtient 826 pour
lannée chrétienne cherchée de la mort d'Achot.
Quant aux deux éres mondaines qui accompagnent le
chiffre 46 dans les manuscrits, la 1'* est l'ére grecque ` `
5508, la 2* est celle des Géorgiens, 5604 av. J.-C.
3) On ne sait pas positivement, quand ni a quel ` E:
sujet les Grecs ont adopté décidément la période pas- -
cale, mais il est démontré qu'après cette adoption leur
XIII cycle s'ouvrit en 877; il est également certain D
qu'en adaptant proleptiquement, par voie de soustrac-
tion successive, les périodes antérieures à l’ere mon- | |
daine de Jules-Africain, il aurait manqué 8 a. à là `
d
-
465 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 466
premiére, et que Paddition de ces 8 années a permis
de faire tomber juste en 876 la fin du XII cycle, en
6384 d. m.
Quant aux Géorgiens, ayant également voulu cal-
culer proleptiquement, aussi par soustraction régulière,
les dates des faits antérieurs à 781, comme il man-
quait 96 a. à leur premier cycle, à cause de l’époque
anticipée de leur point de départ, ils les ont ajoutés
et ont obtenu l’ère mondaine 5604 av. la naissance
de J.-C.: de lá dans les manuscrits des Annales, les
deux différentes dates mondaines de la mort d’Achot-
Couropalate.
Depuis lors le koroniconi ou année du cycle syrien,
comme il est appelé dans le Traité de Mtzkhétha, fut
employé en Géorgie, soit seul, soit concurremment avec
les ères mondaines grecque et géorgienne proprement
dite. Par ex., toutes les dates de la généalogie des
Bagratides °) sont celles des années du cycle, qui
n'offrent aucun moyen de contróle, quand elles sont
seules, sans synehronismes connus. Leur exactitude
dépend uniquement de celle des sources, généralement
inconnues, consultées par le chroniqueur et retracées
pas le copiste.
Du XII’ cycle, 249 — 780 de J.-C., je ne connais
par une seule date provenant des manuscrits ou des
monuments, car une vingtaine de notations de ce genre
citées par Wakhoucht, dans sa Pascalie en abrégé,
dont je parlerai plus tard, sont données par lui sans
indication de sources et probablement calculées par
l'historien, conformément à son systeme.
Voici maintenant quelques dates bien authentiques,
que j'ai recueillies moi-même, sur les monuments ou
dans des manuscrits d'époque certaine, et qui sont
intéressantes à diverses points de vue.
. 1) Le plus ancien manuscrit géorgien connu avec
date, est l'Évangéliaire du couvent de Djroudch, en
Iméreth, dont une grande partie fut achevée en
6540 — 156 du cycle, l'autre en 160 du cycle; or
156 — 936 de J.-C., qui soustrait de 6540 — 5604;
160 = 940 de J.-C. ^).
Apres celui-ci vient le manuscrit de Tischendorf, à
la Bibliothèque Impériale publique, ayant subi
* 18) Hist. de Gé., Trad. fr. p. 282; texte, p. 198; l’année chré-
tienne y a été ajoutée aux dates pascales, par le traducteur, à
l'exemple le de Wakhoucht.
19) XII? Rapp. sur mon voyage arch., p. 83, 84.
iome XXII.
plusieurs remaniements, dont le texte a été composé
en 941 et certaines parties retouchées en 185 ou
plutót 184 du cycle pascal — 964 de J.-C., 6561 de
Père mondaine. Comme cette année du noi que
le mauvais état du manuscrit rend douteuse, n’est pas
tout-à-fait exacte, il faudrait 6568 — je me contente
de Pindiquer ici et prie le lecteur de se référer aux
Mémoires de l'Académie t. XI, N. 12, p. 10 — 20,
oü la question est traitée amplement. Quant à la
date 941, de la composition de l'ouvrage, voici com-
ment elle est obtenue: depuis Adam jusqu'au eruci-
fiement, 5534 a. + 907 jusqu'à l'époque indiquée
— 6441— 5500 — 941 «comput de Jérusalem.»
Pour les Georgiens, 6553 d. m.; soit 5534 + 112
+ 907 = 6553. Les 112 a. à ajouter «suivant les
Georgiens,» comme il est dit dans le manuscrit, se
forment de 96, complément du 1” cycle, 4- 16, pour
atteindre une ère primitive (de J.- Africain), 5516: de
là résulte, pour les Géorgiens, une ére de 5604 av.
lere chrétienne. Ces 112 a. font tellement partie du
systéme du rédacteur des notes du manuscrit, que
pour lui l'année 57 du cycle pascal «comput de
Jérusalem,» répond à 169 «à la maniere géorgienne,»
et respectivement 907 répond à 1019. Tout cela
prouve qu'au X" S. l'usage des éres mondaines et des
cycles n'était pas encore établi sur des règles fixes. ?°)
2) Sur la facade S. de l'église de Conmourdo on lit
la date de sa fondation «en l'an pascal 184, un
samedi, du mois de mai, 1" de la lune;» 184 = 964 `
de J.-C.?'). Le reste est exact, puisque le samedi 13
mai était nouvelle lune.
3) Un Commentaire sur l'Apocalypse, au couvent
de Chiomghwimé, vu par M. Platon Iosélian, est daté
6582 — 198 du cycle, année cyclique répondant à
978 de J.-C., et celle de l'ére mondaine donne 5604
pour la naissance du Sauveur.?)
4)Sur la facade de l'église de Dchqondid ou
Mart wil), on lit l'année de sa fondation, en [6]60[4]
— 216 du cycle; l'année cyclique — 996 de J.-C.,
20) On se rapelle que l’ère de Jules-Africain, primitivement
établie à 5515, fut réduite en nombre rond à 5500 a. ; mais d’après
notre manuscrit il parait qu'au X* s. les computistes de Jérusalem
avaient encore conservé ces 15 a. de surplus. C'est un cas trés
obseur.
21) 2* Rapport, ei 167.
22) 1°” Rapp., p. 4 32
28) Martwil est Paltération géorgienne de paprupro», «église
consacrée à un martyr.»
30
467
Bulletin de l'Académie Impériale
468 `
et celle de l'ére mondaine = 5604. Quoique rétablie
par conjecture, cette date mondaine ne laisse aucun
doute.?*)
Il en sera de méme du transfert de la porte de fer
de Gandja à Gélath., en [67]4[2] — 13° a. du règne
de Dimitri 1", 1138, 9 de J.-C.)
5) Sur la muraille E. du clocher de Zarzma, se lit
la date cyclique 265 = 1045”). M. Bakradzé, dans
la 3° P", encore manuscrite, du compte-rendu de son
voyage dans le Gouria, nous apprend cette curieuse
circonstance, que l'église de la Transfiguration, appli-
quée à la cathédrale de Chémokmed, est une répéti-
tion de l'ancienne église de Zarzma, transférée ici à
une époque jusqu'à présent inconnue, dont l'image y
est déposée. Il rectifie également avec bonheur le
texte de deux des inscriptions de Zarzma, dont l'une
copiée par moi, l'autre, que j'ai publiée d'aprés une
copie imparfaite, qui se trouve au Musée asiatique de
lAcadémie. Ces inscriptions sont trés intéressantes
pour l'histoire.
Là méme et dans le 1” Appendice à la 2° P de
son compte-rendu, M. Bakradzé restitue le nom du
monastère, de Thisel eoljgo, du district d'Akhal-
Tzikhé, ancienne possession de la famille Diasamidzé.
Thisel était situé à 4 ou 5 verstes au 5. E. d'Atsqour,
sur la droite d'une petite rivière. En effet, la plupart
des noms mentionnés dans les grafiti reproduits par
moi d’après un manuscrit de la grande Bibliothèque de
Paris, à la suite du texte de la Chron. géorgienne,
p. 119, 121... sont ceux de familles ou d'individus
originaires du Samtzkhé.
6) Sur une église, à Wéré, on lit, en chiffres arabes,
Phi 921 1001. *)
A Tswimoeth, sur la muraille E. de l'église, la date
en chiffres arabes prp, 222 = 1002. *)
Sur la fenétre N. de la cathédrale de Kouthais, se
lit la date, également en chiffres arabes, ppp, 223
— 1003. Ces trois dates, dont la dernière seule est
parfaitement conservée, indubitable, et en chiffres de
forme indienne 333, sont à ce/que je sais, les plus an-
24) 7° Rapp., p. 12.
25) 11° Rapp., 41.
26) 2° Rapp. p. 132; Chron. géorg. p. 107, sqq. Paléographie.
27) 6° Rapp., p. 30.
28; Ibid. p. 99.
ciens monuments connus de l'emploi des chiffres dits
arabes.”)
7) Les beaux manuscrits du Commentaire sur $,
Matthieu, à Gélath, sont dates”): l'un, de l'an 267—
1047; l'autre, de 268 — 6510 d. m., 15° indiction
grecque; le 3°, de 273 = 1053. L'année 268 du se-
cond — 1048 de J.-C.; quant à Père mondaine 6510,
Pindiction, qui est exacte, fait voir qu'il s'agit d'une
date de l'ére greccque, ne coincidant pourtant pas avec
la date chrétienne indiquée par celle du cycle. Je crois
que les 46 années qui manquent ici”) prouvent que le
copiste a tout simplement transcrit une date donnée
par un original antérieur, car il y à des exemples de
pareils faits, dans les manuscrits géorgiens. |
8) Sur un mur de la tribune de l'église de Soouk-
Sou, en Aphkhazie PL, une inscription peinte mentionne
l'apparition d'une comète en 6669 — 286, 38° indic-
tion du règne de Bagrat IV, occupant alors le trône.
En 1066, année chrétienne correspondant à celle du
cycle, Páques étant le 16 avril, les Rameaux tom-
baient le 9 du méme mois. La comète mentionnée ici,
avec indications relatives à la Páque, est cet astre
fameux au XI" S., dont l'apparition coincida avec la
conquéte de l'Angleterre par les Normands. Quant
à l'indietion, ce mot est pris ici, comme généralement
dans les thartes géorgiennes, pour l'année du régne,
et non dans le sens grec habituel de ce mot.
9) La date de la mort de David-le-Réparateur est
inserite dans les Annales «le samedi 24 janvier 325,»
date cyclique évidemment fausse *), qui répondrait à
1105 de J.-C. On lit «le 25 janvier,» dans l'abrégé
arménien des Annales, qui se termine brusquement ici,
sans autres détails. D'autres manuscrits, plus véridi- `
ques, donnent l'année pascale 345 — 1125, que la
critique des synchronismes démontre comme plus pro-
bable et presque certaine; car, pour comble, le 24 jan-
vier 1125 était réellement un samedi. |
Je n'aurais pas cité cette date 345 — 1125, si le
savant historien Wakhoucht, p. 56 de son manuscrit
autographe, n'avait fixé la mort du roi David d'une
29) 6° Rapp. 30, 100; 11° Rapp. 3.
30) 11* Rapp. p. 27,
31) Au lieu de 6510,
— 1048 — 6556.
32) 8° Rapp. p. 116.
33) Hist. de Gé. p. 380.
sqq.
la date cyclique demande 6556 : 5508 +- 1048
469
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
470
maniere assez curieuse, «l'an 5079 d. m., 6638 des
Grecs, 1130 de J.-C., 350 du cycle, le samedi 24 jan-
vier, indiction 8;» or 5079 — 1130 — 3949, date
artificielle de la naissance du Sauveur, suivant Scaliger;
du reste tous les synchronismes sont exacts, à l'excep-
tion de l'hebdomadaire, qui était un vendredi, en 1130,
date inexacte d'ailleurs.
10) A Oubé, en Iméreth **), une tour bâtie pour un
stylite «a été construite en 361 — 535, année inter-
calaire des Sarrazins.» L'année cyclique — 1141 de
J.-C.; l'année de l'Hégyre 536, qui était en effet in-
tercalaire, de 355 j., commenca le 6 aoüt 1141 de J.-C.
11) Un Évangile manuscrit, au couvent de Chio-
Mghwimé, porte la date «6804 — 490;» l'année cy-
clique — 1270 donne 5534 jusqu'au crucifiement ct
5500 jusqu'à la naissance du Sauveur. ®)
12) Je pourrais citer une multitude d'autres dates,
ne présentant pas d'autres éléments que les précé-
dentes, mais je termine cet inventaire par celles, pour
le moment les plus récentes que je connaisse, de l'ére
géorgienne du monde.
Au couvent de Kober — en ar. le Tombeau — dans
la vallée de la Débéda, un monument sépuleral porte
deux inscriptions: l'une, de l'an 6896, l'autre, oü le
millésime est omis [6] 899. Là sont ensevelis Mkhar-
grdzel, moine sous le nom de Giorgi et fils de Chahan-
chah ou Chanché II, et sa femme Wanané. Les deux
années mondaines, ici employées seules — 1292 et
1295 de J.-C., avec l'initiale 5604.
Par contre, non loin de là, au couvent de Wanana-
Vank, une belle inscription ne porte que la date cy-
clique 342 = 1122.95)
Enfin le Traité «du cycle syrien,» de 532 a., ma-
nuscrit de Mzkhétha, nous donne la triple date «6741
= 6837 = 453 du XIIT cycle, 1233 de l'ére chré-
tienne; les deux dates mondaines sont celles de l'ére
grecque et du comput géorgien, 5508 et 5604.
1 3) La reine Thamar, femme de Giorgi XI, y 7192
= 372 (= 1684) depuis Adam: année mondaine
grecque, et date du XIV’ cycle géorgien. ”)
14) Sur les monnaies on trouve les dates cycliques
suivantes:
S 34) 1% Rapp. p 44.
37) 1° Rapp. p. 25.
De Giorgi III, pére de la grande reine Thamar, l'an
394 — 1174.
De Thamar, les années cycliques 404, 407, 420,
430 — 1184, 1187, 1200, 1210.
De Giorgi IV, Lacha, fils de Thamar, aussi l'année
430 = 1210, peut-être 434 — 1214.
De Rousoudan, sœur du précédent, 447, 450 —
1227, 1230.
De David IV, fils de Rousoudan, peut-étre de Da-
vid V, fils de Giorgi-Lacha, 467 — 1247.
Ces dates, malgré quelques incertitudes ou inexac-
titudes, servent à fixer l'avénement de Thamar, son
union avec David-Soslan et une année, 1210, où elle
était encore vivante, bien que les Dates placent sa
mort en 1201, 4*5), ce qui est tout-à-fait insoutenable.
Quant aux règnes des deux David, fils de Giorgi-Lacha
et de Rousoudan, ce n'est que par des conjectures
plus ou moins probables que l'on peut déterminer ce-
lui des deux princes contemporains et homonymes qui
a pu faire frapper la monnaie de l'an 1247.
J'ai trouvé des Tables complétes du cycle géorgien,
ce que les Russes nomment Tables de l'évolution de
lindietion, dans le manuscrit de Tischendorf, à la
Bibliothèque Impériale publique; dans” celui de M.
l'académicien Sreznefski, dans l'Hymnaire de Mtzkhé-
tha, enfin dans un Hymnaire de Chémokmed, dont j'ai
donné des extraits, dans le 2° Rapport sur mon voyage,
p. 188. Toutes ces Tables, ainsi que celle publiée à
la suite de la Bible géorgienne, commencent par une
année oü le terme pascal tombe au 13 avril, tandis
que le 1" terme nicéen est le 2 avril, second de la
série géorgienne. C'est méme là l'origine du nom géor-
gie du cycle des 19 termes $53935-o6o, 13 — 2, vul-
gairement 65,696.
La serie des dates que nous venons d’exposer se
rapportent toutes, excepté le X 13, au XIII cycle,
781— 1312; du XH’ 249 — 780, il n'en existe pas
une seule, à ma connaissance, ni sur les monuments,
ni dans les manuscrits, ce qui n'empéche pas que
Wakhoucht, dans un travail particulier sur les 35
Páques, dont il sera question plus tard, n'en donne 21,
entre les années chrétiennes 314 et 718. Comme il
ne mentionne pas les sources d’où il les a tirées, il
38) Hist. de Gé. p. 477; Addit. p. 297; lis. 1214.
30*
471
Bulletin de l'Académie Impériale
472
est permis de croire qu'il les a simplement calculées,
d'aprés ses recherches particuliéres.
Les nombreuses chartes que jai analysées, dans
PIntroduction à l'Histoire de Géorgie, dans les 6° et
8' Rapports sur mon voyage et à la fin du t. II de
l'Histoire mod. de la Géorgie, sont ordinairement da-
tées seulement de l'année cyclique et de l'indiction
ou année du régne du souverain souscripteur du docu-
ment. Parfois, trés rarement, on y rencontre l'ére
mondaine géorgienne, et le plus souvent celle de Con-
stantinople, accompagnée de circonstances du calen-
drier, notamment la date mensuelle et l'hebdomadaire,
pour l'année en question. C'est ce que l'on peut voir
encore dans le t. 1" des Actes de la Commission ar-
chéographique du Caucase, publiés sous la direction
de l'honorable M. Berger. Ces chartes ont été criti-
quées avec soin par M. Berdzénof, et plusieurs sont
trés graves pour la chronologie. eg
Les indications les plus détaillées, relatives à la
mort des personnes souveraines, sont encore celles des
atabeks d'Akhal-Tzikhé, dont un certain nombre sont
mentionnées dans un joli Évangile manuscrit que j'ai
vu à Gélath *): ces dates se composent de l'année cy-
clique, avec le quantième mensuel et l'hebdomadaire,
et sont toutes du XIV” cycle, 1313—1844.
Deux dates du méme genre se retrouvent dans la
Chron. géorgienne, p. 3, et dans les Dates de Wa-
khoucht, 163— 1475. Je ne cite pas celle-ci, parce
que l'ére mondaine grecque doit y étre rectifiée;
Pautre se lit ibid. p. 10, et dans les Dates de Wa-
khoucht, année 261—1573.
De cette longue énumération il résulte que les
Géorgiens, ayant recu de Syrie le cycle de 532 a.,
l'ont adapté à leur chronologie en 781, XIIT période,
puis en 1313, XIV” période, et en 1845, XV" période;
qu'en l’accomodant à leur histoire et remontant pro-
leptiquement, ils sont arrivés à un premier cycle,
finissant l'an 436 du monde, qu'ils ont parfait en y
ajoutant les 96 ans manquants, et donnant l'an 5604
av. J.-C., ère dont ils ont fait usage durant le XIII
cycle, peu ou presque point durant le XIV'. Ayant
depuis lors adopté l'ére 5508, tout en conservant les
initiales de leurs périodes, qui sont en avance de 96 a.
39) V. Mélanges asiatiques, tirés du Bull. de l'Ac, des sc., t. V
p. 651 sqq., l'analyse de ces pièces.
40) 11° Rapp. p. 4:
sur les cycles grecs. Pour l'ordinaire ils ne se servent
pour leurs dates que de l'année cyclique, ou de l'an-
née mondaine unie à.celle de l'ére chrétienne; car
lannée chrétienne seule leur donne un numéro de
trop pour le calcul des cycles lunaires et des épactes,
et exige, avant toute opération, la soustraction d'une
année du millésime chrétien. L'ére de l'incarnation
ne se rencontre guére que dans les chartes d'Iméreth
et de la Mingrélie, à cause des rapports incessants de
ces contrées avec les missionnaires occidentaux.
Soit à fixer le terme pascal, pour l'année 1875.
Année chrétienne.
Terme Comput Année
RE Avec i
orthodoxe. georgien. soustraction. soustraction. cyclique.
1875 5604 1875 1875:19 1875 —31
—2 875 —1 171 31:19
1873:19 7479:19 1874:19 165 12
171 — m 52 imn
163 177 164 13 11
152 171 152 e
11 69 12 12
Ben _57 ee x11
10 12 ld 12
x1 GE 12
-10 11 132:30
10 KAN 12
US AER
124:30 a 30
4 121:30 Ma
1 18
30 +14
ni 30 32
NL26M wer e —31
17 29 PL lA
a +14. Terme, en avance
43 43 "une anne
ql —31
PL12 A 12
Terme
$2. L'année civile et ecclésiastique, sa composition et
appellations de ses diverses parties.
Parlons maintenant de l'année et des appellations
géorgiennes de ses parties constitutives.
Les Géorgiens nomment l'année civile [pogo /séli,
transcription du persan JL sål, ou Fagofsgot sélitsadi,
égalemeut du persan »l. JL. sâl sád ou ol. sádeh
«année pure, complète;» étymologie qu'appuie le rap-
prochement de (3ebo , les reins, au plur.; persan
soul; Kéiere tsamali, poison, arabe pl. sam, et simoum,
vent empoisonné pye, ob pl, sam iéli.
L'année bissextile se dit 6sjo naci, du géorgien
6s3s9gdo naclébi, défectueux, qui n'a qu'une ressem-
| blance fortuite avec l'arabe | D nasi «retard.» Les
473
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
474
Arméniens disent twqw 9 nahandch, du persan Ll,
nahandjar , irrégulier, s'appliquant aux années inter-
calaires, de 355 j., équivalant aux bissextiles.
L'année ecclésiastique, proprement celle du cycle
de 532 a., se nomme joóabozebo koroniconi , repré-
sentation du grec xpovxov.
L'année géorgienne civile s’ouvrait autrefois au 1”
janvier, comme celle du calendrier julien, ce qui est
affirmé directement dans les plus anciens traités de
comput et indirectement par Wakhoucht, écrivant au
XVIII s.*), lorsqu'il donne la méthode pour fixer låge
de la lune; en commencant par janvier le compte des
mois. Le fait est prouvé .bien plus clairement par la
série des indicateurs des jours ggob lodo353ebo. ré-
pondant aux réguliers de l'ancienne chronologie tech-
niques, série donnée par les traités du X°et du XIII’ st
janvier O, février 3, mars 3..; en effet janvier, initial
de l'année, n'a point de régulier et ne peut en avoir.
C'est ce que dit l'auteur du Traité de Mtzkhétha, daté
de l'an 1233, $ VII: «Quoique le 1" septembre soit
fixé comme l’initiale de l'année, cependant en ce qui
concerne les caleuls, recherches et tous objets dont je
traite, c'est janvier qui en est réellement l’initiale;»
aprés quoi notre auteur donne la théorie et les chiffres
des réguliers mensuels, tels que je les ai indiqués
tout-à-l'heure.*)
Il est vrai que Wakhoucht, dans un petit Tableau,
donne une tout autre série que ses prédécesseurs:
mars 5, avril 1, mai 3...., mais ce n'est pas sans une
raison valable. Les réguliers ou indicateurs des jours
sont fixés d'aprés une certaine époque fondamentale,
non choisie au hazard, et qui sert de norme, à laquelle
doivent se rapporter les méthodes imaginées pour dé-
terminer tout hebdomadaire cherché. Or dans le cas
présent, il s'agit de la 1” année de l'ére chrétienne,
d'aprés le calendrier orthodoxe, oú l'année s'ouvre en
mars; dans ce calendrier, le 1" mars de l'année 5509
est réellement 5 ou mardi; comme done Wakhoucht,
dans le Tableau en question, part de l'année de mars,
comme le calendrier orthodoxe, il devait fixer le régu-
lier de mars et celui des autres mois en accord avec
l'année mondaine géorgienne d'oú se forment les cycles;
41) Études de chronologie technique, Mém. de i'Ac. t. XI, M. 13,
82.
p.
42) Étude de chron. techn. p. 8, 11; 29, 45.
43) Ét. de chron. techn. p. 67.
or l'année 5604 comporte 96 a. de plus que celle des
Grecs 5508, ce qui fait trois cycles solaires et 12 a.
de surplus; car l'an 13 du 4° cycle solaire géorgien
était égal à 1 du 1" cycle solaire grec: c'est pourquoi
dans les deux opérations ci-contre“) on voit d'un côté
21, de l'autre 5, ce qui égale 12 (5 en avant du cycle
200, 197 grec, et 7 en arrière du cycle 199,196 grec).
L'année 5 du cycle géorgien, 1" de l'ére chrétienne, a
donc pour concurrent 5, qui, avec le régulier 5 de
mars, donne 10:7 — 3 mardi, à partir de dimanche,
1” mars, dans les deux calendriers.
L'année romaine a conservé dans les noms de ses
dix mois primitifs la trace de leur ordre numérique,
à partir de mars: quintilis, sextilis, september . . .,
jusqu'à december, méme aprés l'addition, sous Numa-
Pompilius, de janvier et de février. Le calendrier de
Jules-César, s'ouvrant en janvier et admettant aprés
chaque tétraétéride le bissexte au second 24 février,
donna lieu à une autre combinaison.
Pour les Juifs l'année commencait par la lunaison
de nisan — mars, 1” mois du printemps, servant à fixer
la Páque; l'é églisé chrétienne dut aussi fixer l'ouverture
de son année à la lunaison pascale, déterminant
l'époque des plus grandes fétes, l'année civile restant
à l'initiale de janvier, comme dans le calendrier julien.
Plus tard, à une époque qui n'est pas précisément
connue, mais probablement à cause de l'indiction,
tombant en septembre, à l'équinoxe d'automne, pro-
bablement aussi en vue du comput syro - macédonien
usité dans toute l'Asie, dont le calendrier s'ouvrait
également en septembre, les Grecs chrétiens fixèrent
aussi dans ce mois l'initiale de leur année civile, par
44)
21:4
5 + 21 = 26 : 7 — 5 ma. 1 M.
5605 : 28
200 + 5
5:4=1+5=6 ven.
25 M + 1 — 7 sam. 1° janv.
1M.
7+3=10:7=
51M. 3
24 24
99:7 =1, 25 M. 27:7=6 ven. 26 M.
l'Annonciation.
475
Bulletin de l'Académie Impériale
476
opposition à l'année latine de janvier. On a vu
précédemment, qu'au XIII s., d’après un témoignage
authentique, le cycle pascal syrien, introduit en
Géorgie, admettait aussi l'initiale de septembre comme
ouvertement reconnue dans les temps antérieurs. Au
reste les Juifs aussi, outre leur année religieuse de
nisan — mars, avaient et ont encore leur année civile,
s’ouvrant dans la lunaison de tisri, leur 7° mois,
répondant à septembre. De lá est venu chez les
Géorgiens le nom de Nouvel an sbseso fe, donné à ce
mois dans l'ouvrage arménien sur le comput, d’Anania
de Chirac, VII’ S. On pourrait croire que c'est par
une licence poétique que l'auteur des Géorgiques à dit,
1. I, vers 218,
Candidus auratis aperit cum cornibus annum
Taurus . . .
puisque le signe du bélier est regardé comme le
premier du zodiaque; mais en effet avril, d’après
l'étymologie de son nom, est le mois qui ouvre la terre
sous influence du renouveau, et qui donne le signal
des travaux champétres. D'autre part Franceur,
dans son Uranographie, 6” éd. p. 297, dit que les
brames indiens commencaient l'année au mois d'avril,
et cette opinion peut se soutenir, si ce mois enjambait
de mars sur le mois suivant.
Du reste, outre les trois initiales déjà mentionnées,
les peuples chrétiens connurent celles du 25 décembre
ou de la Nativité du Sauveur, celle de Páques ou de sa
Résurrection, celle de la lunaison de mars, qui déter-
mine la Páque, ayant toutes eu leur raison d'étre,
et qui sont longtemps restées en vigueur, parce
qu'elles se, rattachaient à la religion ou au culte;
enfin celle du 25 mars ou de l'Annonciation, la plus
logique de toutes, a eu la vogue et a persisté long-
temps chez divers peuples, comme par ex. à Florence,
puis dans plusieurs provinces francaises, avant l'année
1563, oü le nouvel an au 1” janvier fut rendu obli-
gatoire, par un décret du roi Charles IX. Le 25 mars
était vraiment fondé en raison pour les peuples
chrétiens, et Denys-le-Petit mérite d'étre approuvé,
pour y avoir rattaché son ère de l’incarnation®). Il me
semble que la Géorgie doit avoir eu quelque velléité
à cet égard; car l’auteur du Traité de Mtzkhétha,
$ VII et passim, insiste souvent sur le róle que joue
45) Art de vérif. les dates, éd. in-fo., p. IV, V, X.
dans les calculs du comput la lettre hebdomadaire du
jour de l'Annonciation. Voici comme elle était
employée en Géorgie. Soit l'année 1875, ère chré-
tienne.
5604 Preuve. Or la lettre du jour de
1875 1875 ; CH
—479:28 ER l Annonciation est plus
6 9267 pot faible d'une unité que
187 EE
168. 3513:7—4me, Celle du 1” janvier, en
199 1 janvier année commune.
ee
ef M. Au contraire, en année bissextile `
Ss LA
âme. janvier les deux lettres sont égales.
Soit l’année 1864.
79898:7 = 4 me. 1°’ janvier.
Pourquoi l'auteur aurait-il
insisté sur cette particula-
rité, s'il n'avait pas vou-
lu indiquer l'Annonciation
comme initiale du comput
ecclésiastique géorgien, à son époque, en 1233?
5 + 20 = 25:7 == 4 me. 25 M.
me. 1°” janvier.
Combinée avec l'indicateur du jour, la lettre de
l’ Annonciation, comme autrefois le concurrent, ser-
vait à déterminer tout hebdomadaire cherché ^). Elle
avait donc pour les computistes géorgiens une certaine
valeur, que les nouvelles méthodes ont remplacée.
Par ex. en 1864 soit à fixer l'hebdomadaire du
4 mars:
4 lettre de l'Annonciation. 1864.4
3 indicateur de mars. 466
4 1 de mars .
11:7 = 4me., ce qui est exact, 2331:7 = 0 1 M.
8
— 8 me. 4 M.
Les anciens computistes géorgiens, à défaut de
connaissances positives en astronomie, avaient une
manière particulière de décomposer l’année, pour
montrer la différence de 11 jours entre l’année
lunaire et la solaire“). Ils nommaient sixain 34953989:
46) Études de chron. technique,
47) C'est ce que les Géorgiens
Rasch sim, nom qui s'applique également à la
¿gera», du cycle solaire.
p. 13, 42.
appellent la lettre de l'année,
lettre manuelle,
477
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
478
les six jours de moins, donnés par les mois lunaires
de 29 jours, et quintette, byoypeo, les cinq jours res-
tant des mois de 31 jours, aprés en avoir formé ceux
de 30 jours: les deux restes réunis formaient le onzain
$360930533€»o, qui constitue la différence en question,
et ce onzain, répété 19 fois et augmenté d'un jour
pour le saut de la lune 9ogsGol aber. en l'an
17 du cycle lunaire, donnait les 210 jours ou 7 lunai-
sons complémentaires de 30 jours, qui complétent, au
bout de 19 a. les 235 lunaisons du cycle. Je ne
mentionne ce rouage, inutile d'ailleurs, du comput,
que pour faire voir à quel degré d'exactitude étaient
parvenus les computistes des X° et XIII S.
Les saisons sont nommés farosi (556v; la saison
en général, l'état de la température, dari gs6o, deux
mots qui ont la plus grande ressemblance avec les
arméniens «pk tari année, qwp dar siècle, et avec
le persan ou plutôt l’arabe ,,,5 doureh, révolution d'un
astre. La signification précise n’est pas la même,
mais il y a analogie lointaine, qui permet de supposer
une relation entre les objets désignés par les mots.
Les noms particuliers des saisons sont: le prin-
temps, ¿sSbsozbysso gazaphkhouli, l'été sobe zaph-
khouli, l'automne chémodgoma, 4399535, l'hiver %sd-
os6o, zamthari. La forme des deux premiers mots est
celle d'un participe passif, 3e»o ouli; quant au radical
zaphkh, il a une telle analogie de forme et de sens
avec le persan © tep, l'arménien muy tap, signifiant
l'un et l'autre «chaleur;» avec le géorgien o$oe»o thbili
chaud, et le latin tepidus, que l'on est porté à supposer
une origine commune. Reste seulement à expliquer
le passage du £ et du th au z, et l’addition du kh; or
le th géorgien, quand il est bien prononcé, est tout-
à-fait l'équivalent du ih anglais, et le mot »sb than, avec,
Noms romains Religieux.
lanwari ... ¿sgbsggdod m8) ............
mois de l'Épiphanie. ........
Théberwali `
ou
Phéberwali
MOL S8 (IN. sn. Bp. JT A
Deni nie ns Sushi oda de dp >
se prononce comme san, cvv. Quant au kh épenthétique,
s'il l'est réellement, je ne saurais en rendre compte
qu'au moyen du changement de b ou p précédent, en
aspirée, comme dans ooo@olo ou (5e5og»olo pour
Thbilisi, la ville chaude, Tiflis. Ainsi le nom du prin-
temps, à cause de la préposition inchoative ¿s pour
5:6, signifie proprement la saison échauffée, et celui
de l'été la saison chaude.
L'automne porte un nom purement géorgien, dont
les parties constitutives chemo dedans — prés, et dgoma
se tenir, donnent à peu prés le sens d’intermede, entre
l'été “et Phiver. Dans le nom de ce dernier il n'est
pas possible de méconnaitre le radical du ai per-
san, du nt ismiern arménien, du yeınov et de
lhiems grec et latin, enfin du zima russe et du hima
sanscrit.
Passons maintenant aux mois.
Les mois géorgiens sont nommés thwé ou ththwé
033, 9033. Sans que l'on puisse s'expliquer la raison
de la consonne redoublée dans la seconde forme, qui
est classique et la plus archaique. Le mot thwé, qui
est certainement la racine du nom de la lune mthware
dongs6), est donc l'équivalent de pyw, l'astre des
mois; quoique l'on ne lui connaisse pas d'analogue
incontesté, soit en géorgien, soit dans d'autres
idiomes, il n'est pas sans un air de parenté assez pro-
noncé, d'une part avec les mots 2mojèo mthiebi, astre
brillant, Lucifer, et doyb» mtheni brillant, formés d'un
radical oo, o, car le m initial indique un qualificatif
dérivé; de l'autre, avec l'arménien D, thiv, en dériva-
tion Pny thov, nombre, d’où le géorgien osse»as
!hwalwa, compter; mais ces aperçus ne sont pas entiè-
rement satisfaisants. ?
Quant aux noms des mois, il en existe trois séries:
Nationaux. Se aen,
Caen be geg ne. Noutzzni:
ES Ur yzbolo Sourts- Aghv. :
gounisi. Niwncani.
un. 063560, doGasbo . . Agh.Tzakhouli,
marcani, mircani.
076035, 09535;
Igrica, igaca.
....
479
Bulletin de l'Académie Imperiale
4*0
Noms romains. Religieux.
¿ Vulgaires et aghvans,
Nationaux. rmétiens.
Md ado dirige d nr gs6gedol og); mois Doubaï, Bou-
des roses. bas. Agh.Orili.
Iwnisi ogsbexóol CÈDE
Mois de la S.-Jean, le 24. ........ mods QU mobok 03),
A E ¿380jeróol o3. moi de la fenaison.
Mois de S. Cyriaque, le 25........ Qasos og, mois des Agh. Khoural-
Agwisto... IsGosderdol ou Ze de Aal moissons. . ouban.
eat, Mois de la fête de Marie, le 15. soso ou door Arm. Maréri.
sbsg-f jeo, le nouvel an; sgolo, mariali ou
Secdenbéri‘) 363369U-o3j, mois de l’Encenie ou de — marili alisi.
la restauration du temple de la
Résurrection à Jérusalem, le 13.— Kwelthobis - thwé,
Encore, Ewgénisthwé, Mois de S. ` mois de l'abondance.
Engine A nreti rrt
Ocdonberi . Iwanobis thwé, comme juin; le 20, ¡segoberdob og), ghwi-
Déposition des reliques du saint ... | nobis, Sos
looge el —- sipho- s
i | CNN
boggol — sthwlis E = =
thwé, mois de la ven- H Gë
dange.
Noenbéri .. ¿oea6¿edol ozz, mois de la S.-George, Hool zabo, bouquet Agh. Namots
fète qui se célèbre le 10.....
Déc'enbéri . Jadol ou Jëcleule Ach 03,
de pleurs.
ago goo. flux de
EN
Mois de la Nativité, Noël, le 25 ***). pleurs.
*) Le journal g6mgès, dans ses en-tête, donne les noms suivants: juin, em beg ; juillet, Jgn gg; août,
dns dm bal 044; septembre, abaabeh aan; octobre, anzbsm3nt gg; novembre, gom6gm ol ngg; décembre,
Jéntggt Im dnd as.
**) Je crois que c'est une mauvaise lecture du mot Enkénis-thwé, qui ne se trouve que dans le Syntagma
de Maggi.
*** V. les détails sur les mois dans les Mém. de l'Acad. Imp. des sc. VI? série, sc. polit. t. V. Matériaux pour
servir à l'hist, de Ge. Introduction.
Les noms latins et leurs correspondants, tirés de
fétes chrétiennes, n'ont pas besoin d'explication, si ce
n'est que la féte de S. Jean est appliquée à deux mois
différents oú se célébrent des fétes particuliéres con-
sacrées au méme saint.
Si Pon veut comparer les noms nationaux géorgiens
avec ceux des mois de l'Aghovanie arménienne *), tels
qu'ils se rencontrent dans un manuscrit du traité sur
le comput, par Anania de Chirac, au VII? S., on voit |
48) Contrée située sur les deux rives de la riviére Alazan, et qui
au X® s, était devenue le Cakheth.
que les noms de mars, ésakhouli, et de septembre,
toulen, ont la plus grande analogie de forme avec ceux
des mois géorgiens correspondants; que namots humi-
dité "Lana: répond pour le sens à tiris-coni; khoural-
ouban «rues brúlantes» est le géorgien byse gosb, lettre
pour lettre, et correspond parfaitement à juillet —
aoüt: toutes analogies qui ne sauraient étre fortuites.
Quant aux véritables noms géorgiens, apani est.
«un cri de douleur,» provoqué par la froidure;
sourtsqounisi, sans étre parfaitement régulier, répond
à 904366350 «abondant en eau;» mircani est une alté-
ration de Marikh, nom arabe de la planéte de Mars;
491
igrica ou igaca, paraît dérivé de l'armenien booth
` «féminin, voluptueux;» wardoba est «la floraison des
roses,» thiba-thwé «le mois de la fenaison,» meatha-
thwé, celui des moissons. Les autres mois portent
des noms aussi significatifs que ceux-là. On les trouve
tous, soit dans l’histoire, soit dans le Dictionnaire
original géorgien de Soulkhan-Saba, composé à la fin
du XVII’ S.; quant aux noms des mois aghovans, on
peut les lire dans le manuscrit arm. 114 de la grande
Bibliothèque de Paris.*")
ll faut ajouter que les mois géorgiens dont je viens
de donner la notice répondent si peu jour par jour à
ceux du calendrier romain qu'ils enjambent de l'un
sur l'autre, que certaines appellations sont données
dans les lexiques à deux mois différents, mais rappro-
chés l'un de l'autre. Sans entrer dans le détail de ces
variétés, il suffit de s'en référer au texte d'Anania de
Chirac, où est indiqué le commencement de chacun de
ces mois nationaux, comparativement aux mois égyp-
tiens et autres, de facon à faire voir que les dates
-mensuelles. des fêtes ne se répondent point dans les
deux calendriers géorgien et romain. Peut-étre de
fins connaisseurs trouveraient-ils des résultats intéres-
sants pour la précession des équinoxes, dans l'étude
des différences de dates entre le VII” s. et notre
époque.
Le premier jour du mois se nomme ob osgo «la
| m tete du mois,» et l'hebdomadaire tombant ce jour-là
H
est ol: gsg35o «le jour déterminé du mois.» |
La semaine porte le nom géorgien chwideouli
dseyyeo «le septain,» ou le nom grec ¿385 cwira,
kyriaké, comme en russe l'on dit neybas, le dimanche
et la semaine.
Le jour est nommé dghé ee, dont la ressemblance
avec l'arménien wf» tiou, tiv, avec dies et nemb, est
trop évidente pour avoir besoin d'étre relevée ni ex-
pliquée.
Les sept jours de la semaine, chiffrés 1—7, sont:
¿go6s, cwira dimanche; à dsbsoo, 2° sabat, ‘lundi;
à Iso, 3° férie, mardi; e 9s5soo, 4" férie, mer-
credi; 3 d59soo, 5° férie, jeudi; 3sésb¿ggo parasc'évi
«préparation» répondant à l'ourbati arménien, d'origine
,.. 49) J'ai publié un extrait de cet ouvrage dans le t. X du Nouv.
Journ. asiatique, 1832, p, 526.
Tome XXII.
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
482
syrienne, et qui a le méme sens, vendredi, veille de
dsèsoo le sabat ou samedi. Cette numération, d origine
Julienne et chrétienne, s'est conservée chez les histo-
riens byzantins et dans les livres arméniens. Dans
l'occident, le dimanche est numéroté 0 ou 7, ce qui
en fait le 7° jour de la semaine, bien que d'aprés les
Dictionnaires de l'Académie francaise et de Littré,
dimanche soit défini «1” jour de la semaine.»
Il n'est pas rare de rencontrer chez les historiens
arméniens, dans leurs dates les plus exactes, par
exemple chez Arakel de Tauris, une petite différence
d'un jour dans l'énoncé de l'hebdomadaire, tenant pro-
bablement à ce que les Arméniens modernes, ainsi que
les Türks et plusieurs peuples asiatiques, commencent
le jour au coucher du soleil, au lieu de le faire, comme
en Europe, chez les Grecs et les Georgiens, à minuit.
Le jour géorgien est divisé en 24 heures, dont 12
pour la nuit et autant pour le jour proprement. dit.
L'heure, jami 5%, est la transcription de l'arménien
du jam, analogue au py hébreu, proprement le jour
ou le temps en général; on dit encore saathi lssoo,
de Parabe äcl..
Quant aux parties de l'heure), il parait qu'elle se
divisait au temps ancien, en quarts, naothkhali seo
bsgo; tsentili fabos; en cinquièmes, tsentiliani
Vabdoszosbo , ou martzwali 9ségsseo , proprement
«grain.» Tsentili et tsentiliani semblent étre des pro-
nonciations altérées de isertili | 36(5oso, signifiant pré-
cisément «un point?).» Le martzwali équivaut à 192".
Outre cette division il en existe une, d'origine
sexagésimale, oü le fractionnement de l'heure va jus-
qu'à la 10° puissance.
Tsami Ysdo, 60^, la minute. ..... E DIOE m
Tsouthi Kass, 60' tsami, la seconde 3600
C'ési Aa, 60 tsouthi, la tierce; arm. 4&u moitié 21600
Masi sto, 60 c'ési, la quarte; arm. «wb partie 129600
Ardi ségo, 60 masi; wpy moment .......7776000
Méqi Zus, 60 ardi; murs, moment.....466760000
Tséni Yybo, 60 mégi.
Watsé 353, 60 tséni.
50) Dictionnaire de Soulkan-Saba, rédigé á la fin du xvu* 8.
évidemment avec des matériaux d'un temps plus reculé, d'origine
inconnue.
51) Traité de Mtzkhétha, p. 39. á
483
Bulletin de l'Académie Impériale
484
Blitsi deeofjo, 60 watsé; Gancranie éclat.
Nwini kache, 60 blitsi; din.
A quoi bon cette division atomique de l'heure, qui
dépasse des milliards de parties? Mais cette fantaisie
doit étre ancienne, puisque le P. Nikolski, dans sa
Revue des livres liturgiques, en russe, p. 257, parle
d'un Jymmmkb, traité du cycle lunaire, rédigé au
XII? s; par le moine Kirik, qui s'était aussi amusé à
diviser l'heure de 60' en 5 parties, valant 12', puis
chacune de celles-ci en 60”, celles-ci en 60" et ainsi
de suite jusqu'à la 7° puissance. C'était limitation
d’une autre fantaisie, juive celle-là, divisant l'heure
en 1080 parties, dont 18 ou la 60° partie valent une
minute, 216 ou la 5' partie équivalent au martzwali
ou grain géorgien, de 12'. On dit que c'est le rabbin
Samuel Iachinai qui, au III s. de notre ère, a intro-
duit la division de l'heure en 1080 parties.
Évidemment cette division excessive peut avoir
quelque utilité dans des calculs délicats, et remplacer
nos fractions décimales; mais je n'ai pas de preuve
qu'elle ait jamais été employée.
—. Ayant exposé tout ce qui concerne la chronologie
et l'année civile, disons maintenant quels sont les auxi-
liaires de la chronologie ecclésiastique.
Les cycles, en général, se nomment c’inclozi
¿obje bo, transcription du grec xvxhos, en bon
géorgien moktzéwi deigyge. révolution, ou tzkhrili
Ho , terme technique, signifiant crible; mais je
crois que sa vraie racine est 66e3s cesser, d’où le
dérivé ghéndoso et, par abréviation ghéogo, cessé,
limité, terminaison.
Le premier et le plus grand des cycles est celui de
532 a., dit par abrévation khouthasiani \gosVosbo, de
cinq cents; les Arméniens lui donnent également chez
eux le nom abrégé de $ as wp/-pkut> qui a le méme
sens, sans quoi il faudrait composer les mots mons-
trueux bosta eso? 360$». $ [^24 iple p.puurulEp
lncinunrblzurb.
Le second cycle est mzis moltzéwi bol 9e]5330.
le eycle solaire, et ses deux appendices nécessaires:
le ¿ges kheltha ou les lettres manuelles, formant
une série de 28 numéros, se suecédant l'un à l'autre,
avec sept sauts ou intervalles pour les bissextiles, du-
rant 98 a. Parallélement à ces 28 numéros, court
une série pareille, de 28 lettres annuelles, ou concur-
rents, plus faibles d'une unité que les lettres ma-
nuelles, auxquelles on les adjoint, parce que la 1”
année ne peut avoir de concurrent. Wakhoucht, dans
un Tableau ingénieusement composé”), donne le N°.
de l'année cyclique, avec indication du bissexte, et
celui du concurrent y afférant, qui, additionné avec le
régulier du mois et divisé par 7, donne l'hébdomadaire
de la téte du mois pour. chaque année. Il va de soi
que les années cycliques, caleulées d’apres l'ére mon-
daine 5604, et les lettres manuelles, sont différentes
des années et des lettres manuelles grecques, calculées
d’après l'ére 5508, tonjours en avance de 12 rangs,
sans changer rien aux dates, ce qui provient des 96
a. ajoutés à l'ére mondaine géorgienne; car 96 divisé.
par 28 donne 4, et.12 de reste. Ainsi le cycle sui-
vant commence par 13, quand le 1" cycle solaire
grec est 1.
Quant à la lune, dont le, cours a une importance
majeure dans le caleul de la Páque, les Géorgiens ont `
leur mthwaris moktzéwi dngs6ob 0046330, cycle lunaire,
dit aussi athekhramétouri, cycle de 19, remplaçant
chez eux le nombre d'or, qui lorsqu'on en fait la
recherche en réunissant l'année mondaine 5604 et le
millésime et divisant par 19, ou simplement, en opé- `
rant sur l'année commune du cycle de 532 a., ne
demande aucune autre addition ni soustraction; mais
si l'on opère sur un millésime de Jore chrétienne, seul,
veut que l'on soustraie une année de ce millésime.
La raison en est bien simple. Les cycles de 532 a.
sont organisés d’après l'ére mondaine dont il s'agit, —
et leurs années initiales sont en rapport, comme on `
la vu sur le Tableau de la 1° page, avec certaines
années de l'ére chrétienne, tandis que, si l'on agit sur
l'année chrétienne seule, les 96 a. mentionnés donnent
une année de trop (96:19 — 5 + de reste). Les
autres opérations nécessaires pour trouver l’öpacte, la
nouvelle et la pleine lune, se font comme à l'ordinaire.
Soit l'année 1875: .. ;
52) Études de chron. techn. p. 67.
D
+
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
486
Quoique l'épacte julienne,
obtenue par la méthode géorgienne et avec le N. d'or,
Avec le N.d'or.
1875 53 — 1 = 52:30 = 22
er 1+5=6—6 = ö
1876:19 29 —9 — 134
71
166
_152
14
—3
11
zednadébi % US ge
soit plus faible de 3 unités que le fondement russe,
485
1875 ` Métho de géorg. XV* cycle de 532.
— 2 1875 31:19
1873 : 19 vel 9
171 1874 : 19 "mE
7363 171 y
_ 152 164 SH
11 152
—1 12
10 EN
x11 11
10 XM
10 11
+14 11
124 : 30 121 : 30
4
30 30
IAEA t
SEG 29
+17 +14
43 48
—31 +81
PL12 A 12 A
Les computistes géorgiens admettent une seconde
série ou cycle de 19 a., découlant de la 1”, et qui
se nomme athsamétori ou simplement ézamétori,
Shades Ger, $593.60. vulg. tzamétouri 699760;
ce nom, dans sa forme réguliére, provient de ath dix
- Sam trois et ori deux; la forme vulgaire signifie pro-
prement cycle «de 13,» mais en tout cas, les deux
premiers termes en sont les nombres 134 9^. ; . . c'est
done à proprement parler le «cycle de 13— 2,» c'est-
à-dire le cycle des 19 pleines lunes pascales, afférant
aux Nos. 1—19 du cycle lunaire. Aussi, dans la liste
des années du cycle pascal de 532, la 1" année est-
elle marquée par Vépacte O ou 30 et par la PL
. 18 avril, amenant la Pâque au 15 de ce mois. Mais
le N° 1 du cycle lunaire est coté le 19” dans les listes
rédigées depuis que le cycle nicéen a prévalu, et par
-~ suite l'année 2 est devenue la 1", ce qui ne nuit pas
à la justesse des caleuls, parce que c'est toujours le
cycle pascal géorgien qui donne l'année du cycle lu-
naire, l'épacte et conséquemment la Páque, ainsi qu'on
l'a vu dans l'exemple allégué ci-contre.
$ 3. Explication de quelques termes techniques.
936705 so 6çols, ou jago 56,55, carnelevale, car-
niprivium, maconyeró, dimanche de la Sexagésime,
où cesse chez les Grecs l'usage de la viande, le 56°
jour avant Pâques.
sesgods, la Résurrection, le jour de Pâques.
on voit pourtant que la PL pascale est déterminée
identiquement des deux côtés.
s@355 «prendre,» avoir permission de prendre des
aliments gras, cette permission méme.
sgj5s-gebo, jours de permission, dans le sens indiqué;
les Arméniens disent mumf.p» jours où l'on mange
gras.
s@pdol-wsd), veille du carniprivium.
edu vulg. zbalain «plénitude ;» pleine. lune, spécia-
lement pascale.
sbswo 4395, Dimanche-Nouveau, Oougna max bas, Quasi-
modo.
stsgo 9003563, nouvelle lune.
Wess, de dbs «buis» fête du buis, i. e. dimanche des
Rameaux.
C'est par erreur que certaines personnes ont
lu de bes, dimanche de la Prostitution.
Vel gobas gés: le dimanche brillant, Páques.
¿37920 gsdeabossgs, examen de la côte, autre nom du
dimanche de Thomas, Quasimodo.
Les Armeniens nomment wofwuwep$Qanlunnn ub
Abr becht. Dimanche de l'église universelle, ou de
la basilique, le 3' dim. aprés Páques. On le
nomme aussi le dimanche vert kurt: et le 4°,
Dimanche «rouge, Ywpdkp>» sans doute à cause
de la couleur des ornements d'église ces jours-là.
gog-sgjds-gpjbo, grands jours de permission, de
prendre des aliments gras, de Noël au dernier
jour inclus, qui est le dimanche du carniprivium.
Ce sont 32 jours, ou 33 en bissextile, Páques
487
Rulletin de l'Académie Impériale
ass
tombant le 22 mars; 66 jours, 67 en bissextile,
Pâques étant le 25 avril: ainsi, de Noël au 25 ou
26 janvier; au 28 ou 29 février.
gogo spgUjos. la grande pleine lune, pascale. `
epolralsdogdzebo, les indicateurs des jours, i. e. les
réguliers mensuels, qui, unis au concurrent annuel
et au quantième, divisés par 7, donnent au quo-
tient l'hebdomadaire cherché; c'est l'ancienne
méthode, tant prónée par Scaliger. Chez les
Géorgiens 1 est le signe du dimanche. \
NUN la Pâque; arm. qued de dreckt: séparer;
jour oú les Hébreux ont été séparés ou se sont
séparés des Égyptiens.
ooxl-o53o, la tête, le 1” jour d'un mois.
ooxl«ese9o. l'hebdomadaire du 1” jour du mois.
onzi C,H,
N OZnC,H,
Zn(OH); + C,H,
Ls dá C,H,
+ 2H,0 = HC — C,H, +
NOH
Obgleich nach Wagner und Saytzew die beiden
Molecüle des Zinkäthyls nicht auf einmal áuf den
so ist es ihnen doch
nicht gelungen das, nach Zersetzung mit. Wasser im
ersten Stadium der Reaction sich bildende, Zwischen-
product — rg un Monoethylin des ein-
fach-äthylirtem Methyl ol . Nach
Wagner's und Saytzew e Më ist die Einwirkung
| der Säurechloranhydride auf zinkorganischen Verbin-
dungen der soeben angeführten ganz analog, und daher
kann die Bildung dés Acetons und des Trimethylcar-
binols aus Chloracetyl und Zn(CH,), durch folgende
Gleichungen ausgedrückt werden: .
CH,
CH, SHC, 2 OH,
D. coc * 2- ch "> Ol CH;
das: heisst das Endproduct einer solchen Einwirkung
zweier Molecüle C,H,OCI auf ein Molecül Zn (CH)
werden Aceton und ZnCl, sein, und bei der Berei-
tung der Ketone auf diese.Art würde man zu jenen
Gewichtsverhältnissen der reagirenden Körper zurück- `
kehren müssen, welche Chiozza und Freund angaben.
Zweitens, könnte man bei der Einwirkung von '/, Mol.
7 CH;
Zu(CH,), auf CH, — C — OZnCH, die Bildung einer
3:0
^ CH,
solchen Verbindung CH, — C — OZnCH, erwarten,
: CH,
welche bei der Zersetzung mit Wasser eine eben so
grosse Menge Trimethylearbinol gehen würde, als
wenn zur Reaction Zn(CH,) und nicht CH, genom-
men sein würde, der Unterschied wáre in der Menge
des ausgeschiedenen Sumpfgases, — in dem einen Falle
würde sie halb so gross als in dem andern sein:
1) CH? CH?
| / Cl | | 3
Ee + TOW = 0c a und.
| OZnCH?’ | OZnCH?
CH? CH?
CH? CH
& v | ré C :
N +2H,0 = C \ + CH? + Zn (OH).
|. OZnCH ` |
CH? CH*
2) ar ee
Cl | | CH?
cé SE al 7, 0l
| à OZnCH* CH | ES OZnCH? FACH und
CH’
-
-
hole hat.
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
506
C . + Zn e + 3H°0 —
| | OZnCH?
CH?
Wenn ferner drittens bei der Einwirkung z. B. von
Chlobutyryl oder Chlorisobutyryl auf ein Molecül
Zn (CH,), sich eine solche Verbindung
y CH
O,H,-C L OZnCH,
^s
wirklich bildet, so muss sie, übereinstimmend mit
der Erklárung Saytzew's und Wagner's, fähig sein,
bei der Einwirkung eines Molecüls Zn(C al, dis
Reaction
CH,
C,H,-0 s OZnCH, + (CH) Zn =
CH
C,H,-0 4 OZnCH,
> GE
zu geben, und bei der Zersetzung dieser letzteren Ver-
bindung mit Wasser musste sich ein tertiürer drei
verschiedene Radicale enthaltender Alkohol bilden.
Eine bejahende Entscheidung dieser Fragen durch
die entsprechenden Versuche würde die erwühnte Er-
klárung der Einwirkung von zinkorganischen Ver-
bindungen auf Chloranhydride der Sáuren, wenn auch
nicht endgültig zweifellos, so doch wenigstens im
hóchsten Grade wahrscheinlich machen. Diese Ent-
scheidung bildet unter anderem einen Theil dieser
meiner Arbeit, welche sich zugleich auf die Natur
jener, bei der Eihaltang der sotme und -— tertiären
Alkohole, sich bildenden hochsi N
sowie dis Ursachen ihrer Entstehung bezieht. |
In dieser Abhandlung berühre ich nicht die Bildung
der bei der Bereitung der tertiären Alkohole entste-
henden entsprechenden C,H,,, deren Natur mehr
oder weniger erforscht ist, und welche ihre Bildung
ganz bestimmt der wasserentziehenden Wirkung des
Chlorzinks auf die entstehenden terfiiren Alkohole
verdanken. Dennoch halte ich es nicht für überflüs-
Sig, eines Umstandes zu erwähnen, der ein rein prak-
tisches Interesse bei der Bereitung der tertiären Alko-
Der Unterschied in den Siedepunkten der
CH
Cop
| Mogr* 2CH* + Zn (OH + Zn
OH
Cl
OH.
tertiären Alkohole und der ihnen entsprechenden
ungesättigten Kohlenwasserstoffe der Aethylen-Reihe
nimmt bestündig in dem Masse ab, wie das Molecular-
gewicht des Alkohols wächst. Für das Trimethyl-
carbinol und das ihm entsprechende Isobutylen ist
dieser Unterschied = 90°, für das Dimethyläthyl-
carbinol und das aus ihm gewonnene Amylen schon
= 67, und für das Dimethylisobutylcarbinol und das
entsprechende Hexylen = 46°. Wenn man bedenkt,
dass die tertiären Alkohole sehr schwer die letzten
Spuren Wasser verlieren, welche in Folge der Bil-
dung von Hydraten den Siedepunkt stark erniedrigen,
so wird sich die Trennung durch Destillation der
Kohlenwasserstoffe CnH,, von den Alkoholen mit ho-
hem Moleculargewicht als sehr schwierig herausstel-
len. Bei der Bereitung von tertiären Alkoholen mit
geringem Molecülargewicht dagegen verflüchtigt sich
während der Destillation der chlorzinkhaltigen Lösung
der Kohlenwasserstoff, der sich gebildet hat, vollstän-
dig, oder doch die grösste Menge davon. Um den
Alkohol ohne Beimengung des Kohlenwasserstoffs zu
erhalten, muss man, nach der Zersetzung des Reac-
tionsproducts mit Wasser, die erhaltene Alkohol-
lösung vom Zinkoxyd abfiltriren, wenn der Alkohol
in Wasser leicht löslich ist, wenn aber der Alkohol
sich schwer löst, so muss man die ölige Flüssigkeit
mittelst eines Scheidetrichters abscheiden; hierdurch
wird die Nothwendigkeit der Auflösung des Zinkoxyds
in Salzsäure, und folglich die Anwesenheit von ZnCl,
[und die Bildung des Kohlenwasserstoffs umgangen,
was die Reinheit und Menge des zu erhaltenden Alko-
hols vergrössert.
Versuche über die Bildung der Ketone bei der Einwirkung von
Säurechloranhydriden auf zinkorganische Verbindungen.
Wenn auch die gewöhnliche Bereitungsart der Ke-
tone durch die Einwirkung von 2Zn(R), auf R'COCI
im Resultate ein fast ganz reines Product gibt, so ist
es dennoch insofern nicht ganz bequem, weil eine
grosse Menge der organischen Zinkverbindung ver-
507
— -
braucht wird, und bei der Zersetzung durch Wasser
ein Verlust des Products sattfindet. Dieser Verlust
hängt sowohl von der grossen Menge der sich ent-
wickelnden Gase ab, welche das Keton fortführen, als
auch von der bedeutenden Erwármung, welche immer
trotz der Abkühlung stattfindet. Nach Saytzew und
Wagner muss die Reaction bei der Bildung der Ke-
. tone zwischen einem Molecül ZuR" und 1 Mol. R'COCI
stattfinden, und wenn man weiter dieser ihrer Ansicht
folgt, so hat man, wie schon oben bemerkt, folgenden
Gang der Reaction zu erwarten:
CH, dr CH,
CH,- ec OZnCH, + on = 2 CO + nt,
| Cl CH,
Demnach muss ein Moleeül Zn(R), auf 2 Mol.
R'COCI genügen um eine der theoretischen nahe Menge
des Ketons zu erhaltem. Um diese Frage zu lósen,
hielt ich es für's beste, die Reaction zwischen Zink-
methyl und Chloracethyl zu wühlen, indem ich bei
verschiedenen. Versuchen verschiedene Gewichtsver-
hältnisse der reagirenden Körper anwandte. Um das
zweite, zur Bildung vom krystallinischem Körper füh-
rende, Stadium der Reaction zu vermeiden, wurden
alle Gemenge sofort nach der Bereitung durch Wasser
zersetzt und das auf diese Weise erhaltene Product
quantitativ bestimmt.
Einwirkung von 2 Mol. Zn(CH,), auf 1 Mol. C¿H¿OCI.
10 gr. C,H,0Cl wurden. unter starker Abkühlung
tropfenweise zu 23 gr. Zn (CH,), zugesetzt. Nach Been-
digung der Reaction war die Flüssigkeit fast farblos,
und man erhielt nach ihrer, unter starker Gasentwicke-
lung stattfindenden, Zersetzung mit Schnee 6,5 gr.
Aceton“). Der Theorie nach müsste man aus 10 gr.
C,H,0C1 — 7,5 gr. Aceton erhalten, folglich erhielt
man 86,67, der theoretischen Menge. 3
Einwirkung von 1*/, Mol. Zu(CH,), auf 4 Mol. C,H,0C1. :
Erster Versuch. 21gr. Zu(CH,), und 17 gr.
C,H,0C1 wurden mit einander unter Einhaltung der-
selben Bedingungen vermischt. Die Flüssigkeit ist etwas
bräunlicher gefärbt; nach der Zersetzung mit Schnee
14) Bei allen Versuchen enthielt das Zn(CH,), kein CH,J; das
erhaltene Aceton wurde über CaCl, getrocknet und bei 55—57° ge-
sammelt. Es verband sich energisch mit NaHSO,, unter starker
Wärmeentwickelung, zu einer krystallinischen Masse.
Bulletin de l'Académie Impériale
anita A Lin Ré A GR
508
erhält man (Gasentwickelung wieder stark) 10 gr. Ace-
ton. Theoretisch musste man aus 17 gr. C¿H,OCI
12,5 gr. erhalten, es wurden also 80°, der theore-
tischen Acetonmenge erhalten. |
ZweiterVersuch. 7 gr. Zn(CH;),und 4 gr. C, H,0CI.
Die Flüssigkeit sah ebenso aus, wie beim ersten Ver-
such; von Aceton erhielt man 2,5 gr., anstatt der von
der Theorie geforderten 3 gr., d. h. 83,3%.
Einwirkung von 4 Mol. Zn(CH,), auf 1 Mol. C,H,0Cl.
Erster Versuch. 33 gr. Zn(CH,, und 27 gr.
C,H,0 CI wurden wie früher vermischt; das erhaltene
Gemenge stellte eine etwas dicke dunkelrothe Flüssig-
keit dar. Die Zersetzung dieser Flüssigkeit mit Schnee
ging ruhiger vor sich, als bei den vorherigen Versuchen,
und anscheinend unter nur geringerer Gasentwicke- `
lung. Aceton erhielt man 16,5 gr., anstatt der von der
Theorie geforderten 20 gr., was 82,5%, ausmacht. In
den ersten drei Versuchen wurden keine Nebenpro-
ducte, bei diesem Versuche dagegen erhielt man Spu-
ren eines hochsiedenden Kórpers, welcher einen ei-
genthümlichen scharfen Geruch hatte.
Zweiter Versuch. Zur Reaction wurden. 17 gr.
Zu(CH,), und 14 gr. C,H,0 Cl genommen. Nach Been-
digung derselben war die Flüssigkeit dunkler, als beim
ersten Versuch; nach der Zersetzung erhielt man 7 ‚Dgr.
Aceton, anstatt der theoretisch-erwarteten 10 gr., was
75,0%, ausmacht. Vom hochsiedenden Producte er-
hielt man im Verhältniss zum ersten Versuche mehr.
Einwirkung von 2 Mol. (C,H,0CI) auf 4 Mol. (CH3)o»
Erster Versuch. Zur Reaction wurden 19 gr.
Zu(CH,), und 33gr. C,H,OC1 angewandt. Beim Zugies-
sen der letzten Tropfen Chloracetyl fand eine unbe-
deutende Gasentwickelung statt. Nach der Hinzufü-
gung der ganzen Menge des genommenen Chloran-
hydrids wurde die Flüssigkeit recht diekflüssig und
fürbte sich dunkel braunroth. Darauf wurde das er-
haltene Product sogleich mit einer grossen Menge Was-
ser verdünnt; es fand weder Erwármung noch Gasent-
wickelung statt. Man erhielt 17,5 gr. Aceton, anstatt
der theoretischen Menge 25 gr., was 70,0% ausmacht.
Zugleich mit Aceton bildete sich eine geringe Menge
von hochsiedendem Nebenproduct, und zwar
mehr als in den beiden folgenden Versuchen.
Zwéiter Versuch. Angewandt 19 gr. Zn (CH ` :
relativ `
`~
509
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
510
und 24 gr. C,H,OCl. Von Aceton erhalten 14 gr. Der
Theorie nach muss man aus 24 gr. C,H,OCI, 18 gr.
Aceton bekommen; diese Menge Aceton macht FAT
der theoretischen aus.
Dritter Versuch. 10 gr. Zn (CH,), und 16 gr.
C,H,OCI. Von Aceton wurde 9 gr. erhalten, statt der
theoretisch geforderten 10,5 gr., also 85,7%, der theo-
retischen Menge. Bei der Bereitung der Ketone nach
letzterer Methode ist es durchaus nóthig, die letzte
Menge des Chloranhydrids schnell zuzugiessen und da-
rauf sofort das Product mit einer grosser Wassermenge
zu vermischen. Beachtet man diese Bedingungen nicht,
so vermindert sich die Menge des sich bildenden Ke-
tons; dieses ist aus dem ersten Versuche ersichtlich,
welcher verhältnissmässig weniger Aceton als die letzten
- Versuche lieferte, weil die Mischung 2 — 3 Stunden
stehen geblieben war, ehe dieselbe durch Wasser bear-
beitet wurde. Wahrscheinlich findet hier unter dem
Einflusse von ZnCl, Bildung condensirter Aceton-
derivate statt. ;
Aus den beschriebenen Versuchen sieht man, dass bei
der Reaction von 2C,H,OCl auf 1 Mol. Zn(CH,), durch-
schnittlich etwa 80%, der theoretischen Acetonmenge
erhalten werden. Dieses Verhältniss der reagirenden
- Körper wurde von Hrn. Lawrinowitsch bei der Be-
reitung des Methyläthylketons angewandt (durch Ein-
wirken von 2 Mol. C,H,0C1 auf 1 Mol. Zn(C,H*),) und
dabei gute Resultate erzielt; die Menge des von ihm er-
haltenen Ketons betrug auch ungefähr 80°/ der theore-
tischen Menge. Die vergleichende Quantitáts-Bestim-
mung des sich bei verschiedenen Gewichtsverhältnissen
der reagirenden Kórper bildenden Acetons führt also an-
nühernd zu ein und demselben Resultate, námlich, dass
bei der Vergrösserung der Menge von Zn(CH,), und
Anwendung einer und derselben Menge C,H,OCI die
Ausbeute von Aceton fast gar nicht vergróssert wird.
Auf diese Versuche sich stützend, muss man zugeben,
dass bei der Bildung von Aceton durch Einwirkung von
2 Mol. Zn(CH,), auf 1 Mol. C,H,0C1 und von (1. Mol.
Zn(CH,), auf 1 Mol. C,H,OCI im ersten Falle 1 Mol.
-Zn(CH,), und im zweiten '/, Mol. Zn(CH,), nur als Auf-
lósungsmittel dienen und bei der Zersetzung mit Wasser
ohne Nutzen verloren gehen. Bei dem Verháltniss von
1 Mol. Zu(CH,), und 1 Mol. CHOCO geht die Reaction
so vor sich, wie Saytzew und Wagner es voraus-
- setzten, und in der That ist bei der Zersetzung mit
Wasser die Entwickelung der Gase in diesem Falle
bedeutend schwücher, als bei den oben erwühnten Ver-
hältnissen. Bei dem Verhältniss von 2 Mol. C, H,OCI
und 1 Mol. Zn(CH,) geht die Reaction ganz so vor sich,
wie vorausgesetzt wurde, das heisst:
: CH
Ss + Zu(CH,), = let 2.
Als Ae dieser Gleichungen kann Me Abwesen-
heit der Gase bei der Zersetzung durch Wasser des Pro-
ducts der Reaction.von 2 Mol. C,H,OCI und 1 Mol.
Zn(CH,), dienen.
Obgleich die beschriebene Synthese der Ketone
durch Einwirkung von 2 Mol. R'COCI und 1 Mol. Zu HI,
für allgemein gelten kann, so ist dennoch z. B. für die
Bereitung der Pinakoline lieber ein anderes Verhält-
niss vorzuziehen, und zwar gerade das umgekehrte,
d. h. 1 Mol. R'COCI und 2 Mol. Zn(R’),, oder doch
wenigstens 1 Mol. R'COCI auf 17/, Mol. Zn(R”),. Da das
einfachste Pinakolin, das tertiäre Butylmethylketon, bei
106” siedet, so ist natürlich der Verlust eines solchen
Ketons bei der Zersetzung des Reactionsproducts hóchst
unbedeutend und die Ausbeute des Ketons ist fast theore-
tisch, ausserdem wird das Keton hierbei fast vollstän-
dig rein sein. Bei dem Verhültniss von 2 Mol. R'COCI
auf 1 Mol. Zn(R)), wird aber die Menge des erhaltenen Pi-
nakolins im Verhältnisse zum angewandten Säure-Chlor-
anhydrid geringer sein und Beimengung von Neben-
producten enthalten. Dasist für die Bereitung der Pina-
koline deswegen besonders wichtig, weil die Bereitung
der Chloranhydride der tertiáren Säuren im Verhält-
niss zur Bereitung der organischen Zinkverbindungen
sehr kostspielig ist.
Vergleichende quantitative Bestimmung von Trimethylcarbinol,
welches bei der Einwirkung von 1 Mol. C,H,O0CI auf 2 Mol.
Zn(CH,) und von 1 Mol. C,H,0Cl auf 1'/, Mol. Zn(CH,),
à entsteht.
Zur synthetischen Bereitung von synthetischen Tri-
methylcarbinol gebraucht man gewöhnlich 1 Mol.
C,H,OCl auf 2 Mol. Zn(CH,),. Nach Saytzew und
Wagner geht hierbei die Reaction folgendermassen
vor sich:
511 Bulletin de l'Académie Impériale 512
CH / CH, dem Wasser herausgenommen und blieb bei gewühn-
cocı + 20H) = CH,-C < OZnCH;; licher Temperatur 3 Tage lang stehen. Nach dieser
Cl | Frist hat man den Inhalt des Kolbens mit Wasser zer-
setzt und die sich bei der Zersetzung ausscheidenden
Gase in einem Gasometer, der zur annähernden Mes-
sung der Gasmenge eingerichtet war, gesammelt.
Nachdem das ganze krystallinische Product mit Was-
ser zersetzt war, nahm das ausgeschiedene Gas im Ga-
someter 7,5 Raumtheile ein. Der erhaltene Alkohol
stellte, nachdem er vorher über entwässertem BaO
getrocknet und bei 81— 83^ abdestillirt war, bei ge-
wöhnlicher Zimmer - Temperatur eine krystallinische
Wasser erhält man dann den Alkohol. Es war inter- | aus langen Nadeln bestehende Masse dar, — das war Tri-
essant zu wissen, wie die Reaction zwischen 1 Mol. | methylcarbinol. Bei dieser Reaction bildete sich we-
C,H,001 und 1'/, Mol. Zn(CH,), vor sich gehen würde. | der Aceton noch irgend ein hochsiedendes Nebenpro-
Man könnte erwarten, dass dieselbe folgenden Gleichun- | duct, Der Theorie nach müsste man aus 10 gr. C,H,0C1
gen entsprechen wird: 9,4 gr. Trimethylcarbinol erhalten, und ich erhielt
7,2 gr., was 76,8%, der theoretischen Menge. aus
macht.
CH,
CH,-C / OZnCH, + Zn(CH,), =
3 TWO 3 3'2
Cl
CH,
CH,-C Z- OZnCH, + ZnCH,Cl.
CH,
/ CH,
Nach der Zersetzung: von CH,-C <- OZnCB, mit
CH
CH
CH. + Za(CH,), Oe e OZnCH,; |
/ CH, ÿ Einwirkung von 4 Mol. C,H,0C auf 1°, Mol. Zn(CH;),.
CH,-C OZnCH, + ACH, =
OH, : 17 gr. €,H,0Cl wurden zu 32 gr. Zn (CH) all-
mählich zugegossen, wobei dieselben Bedingungen, wie
beim ersten Versuche, eingehalten wurden. Nach
Beendigung des Zugiessens war die Flüssigkeit mehr
gefärbt, als bei dem ersten Versuche. Nach 5 Stunden
(während welcher der Kolben in dem Schneewasser
blieb) war die Masse fast vollständig krystallisirt.
Bevor die Zersetzung mit Wasser. vorgenommen
wurde, blieb der Kolben bei gewöhnlicher Temperatur‘
3 Tage lang stehen; die bei der Zersetzung entwei-
a
CH,-0 OZnCH,+ OL.
y .
Nach der Zersetzung des letzteren Products mit
Wasser würde man eine ebenso grosse Menge Alkohol
erhalten, wie im ersten Falle, der Unterschied würde
nur in der Menge der sich ausscheidenden Gase be-
stehen; im ersten Falle müsste man eine doppelt so
grosse Menge Gas erhalten, wie im zweiten. Um diese
Frage aufzukláren, wurden folgende Versuche ausge-
geführt.
Einwirkung von 4 Mol. C,H,0CI auf 2 Mol. Zu(CH,),
zum ersten Versuch gedient hatte, gesammelt und nah-
men dabei 6 Raumtheile ein, während, bei dem Ver-
hältnisse von 2 Mol. Zn(CH;) und 1 Mol. .C,H506l,
der Raum des sich aus den im vorliegenden Falle zur
Reaction genommenen 32 gr. Zn(CHy), entwickelnden
Gase gleich 10,5 Raumtheilen sein müsste. Der
Schnee abgekühlten Kolben befand, zugesetzt. Als das | Berechnung nach müssten die aus 32 gr. Zn (CH3)
Zugiessen beendet war, wurde die Flüssigkeit etwas róth-| und 17 gr. C,H,0CI bei der Zersetzung mit Wasser
lich. Nach Verlauf von 3 Stunden zeigte sich im obern | sich entwickelnden Gase (vorausgesetzt, dass die Reac-
Theile der Flüssigkeit (der Kolben blieb in der Mischung | tion nach der früher angeführten Gleichung vor sich
von Wasser und Schnee) ein krystallinisches Häutchen, | geht) 5,2 Raumtheile einnehmen. Das bei diesem
welches sich bestándig vergrósserte, und nach Verlauf | Versuche in einer Menge von 12,7 gr. erhaltene
von 10 Stunden war die ganze Flüssigkeit vollständig Trimethylcarbinol ging bei der Destillation bei 81° —
in Krystalle verwandelt. Darauf wurde der Kolben aus 83° über und stellte die bekannte krystallinische
10 gr. C,H,0C1 wurden tropfenweise allmählich zu
33 gr. Zu(CH,),, welches sich in einem durch Wasser mit
chenden Gase wurden in demselben Gasometer , der .
ausgesprochene Annahme.
518
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
514
Masse dar, welche bei Zimmer. Temperatur fest blieb.
Theoretisch müsste man aus 17 gr. CH40Cl — 16 gr.
C,H,,0 erhalten, folglich wurde es 79,6%, der theore-
tischen Menge gebildet. Zugleich mit dem Alkohol
ist bei dieser Reaction eine unbedeutende Menge von
Aceton entstanden; von den hochsiedenden Neben-
producten aber war keine Spur anwesend”). Wie man
sieht, bestütigen die Versuche vollkommen die vorher
Der Unterschied von 3 Y,
zwischen den bei zwei Versuchen erhaltenen Mengen
von Trimethylcarbinol kann nicht als bedeutend an-
gesehen werden, wenn man bedenkt, dass bei den ver-
schiedenen Manipulationen immer ein Verlust nicht
umgangen werden kann. Die relativ gróssere Menge
von Trymethylcarbinol bei dem letzten Versuche wird
durch die verhältnissmässig grössere Menge Materials
erklárt, wobei der Verlust selbstverstándlich relativ
kleiner sein muss. — —
Die Bereitung der tertiáren Alkohole unter An-
wendung von 1Y, Mol. Zn(R'), und 1 Mol. R'COCI
kann nicht verallgemeinert werden und ist nur für
Trimethylearbinol brauchbar. Schon bei der Berei-
tung von dem Trimethylcarbinol náchsten Analogon,
Dimethyläthylcarbinol, muss man, um eine bessere
Ausbeute zu erhalten, zur Reaction zwischen 2 Mol.
Zn(CH,), und 1 Mol. C,H;OCI Zuflucht nehmen. Da
dem Zn(CH,), öfters etwas CH,J beigemengt ist, wel-
ches das Verhältniss zwischen letzterem und dem
- Chlorpropionyl ändert, so bildet sich gewöhnlich
eine geringe Menge des entsprechenden Ketons. Das-
selbe wird auch für einige andere tertiäre Alkohole
beobachtet. Ist ‘aber das Verhältniss ganz genau
1 Mol. C,H,OCI auf 2 Mol. Zu(CH;),, so erhält man
gar keinen oder nur Spuren von Keton, Der Grund,
warum das Dimethyläthylcarbinol und andere tertiáre
Alkohohle nicht in reinem Zustande aus 1 Mol.
R/COCI und 11, Mol. Zn (R.), erhalten werden können,
liegt wahrscheinlich in dem verschiedenen Verhalten
T
zu erklären, will ich die Reaction zwischen 2 Molecü-
der Verbindungen R-C /_ OZnR' zu ZnR'Cl. Um dieses
l
15) Die Kolben, in welchen die Reaction des zwischen C,H40CI
und Zn(CH,) vor sich ging, wie auch die Mengen des Wassers, wel-
ches zur Zersetzung des krystallinischen Products angewandt wur-
den, waren möglichst gleich.
Tome XXII.
len Zn(CH,), und 1 Molecül CHOCO) — und zwischen
3 Mol. Zn(CH;, und 2 Mol. C,H,0C1 näher bespre-
chen. (Letzteres Verháltniss wird zur bequemeren
Erklärung des Ganges der Reaction anstatt des Ver-
hältnisses von 1, Mol. Zn(CH,), und 1 Mol. C;H,0CI
genommen) Nimmt man 2 Molecüle Zn (CH) und
1 Mol. C,H,0C1, so zerfällt die Reaction in zwei Sta-
dien; im ersten Stadium verbindet sich ein Molecül
Zn(CH;) direct mit CHOCO) und bildet die Verbin-
. CH,
dung CH,-C OZuCH,, welche im zweiten Stadium
CI
mit dem anderen Molecül Zn(CH,) reagirt und
y CH |
CH,C — OZnCH, + CH;ZnCl
Ct
giebt; im zweiten Stadium tritt also das Chlor in
Wechselwirkung mit Zn(CH;), ein, wobei das Cl gegen
CH, ausgetauscht wird. Nimmt man aber 2 Mol.
C,H40Cl und 3 Mol. Zn(CH,),, so zerfällt die Reac-
tion in 3 Stadien: im ersten Stadium treten
2C,H,0Cl in directe Vereinigung mit 2 Zn(CH;),
/
! 3
und bilden 2CH,- C — OZnCH,; im zweiten Stadium
Cl
tritt 1 Mol. CH;- C <- OZnOCH, in Wechselwirkung
C |
mit dem nachgebliebenen Molecül Zn(CH;) und es
CH, |
bildet sich CH,-C ^ OZnCH, = ZnCH,CI; endlich im
letzten Stadium tritt das andere Molecül
7 CH,
CH, - C— OZnCH,
^l
in Wechselwirkung mit ZnCH,CI und bildet
7 CH;
CH,- € — OZnCH; und ZnCl..
N
CH,
Auf diese Weise werden wir zu Ende der Reaction
aus 2 C;H,OCI und 3 Zn (CH;), haben
2CH,-C — OZnCH, und ZnCl,.
Ce
CH,
33
15
Bulletin de l'Académie Impériale
B
516
In der That lässt sich das Chloratom in |
CH,C Ce OZnCH,
Cl
mit grosser Leichtigkeit gegen CH;, welches sich in
CH,ZnCl befindet, austauschen. "Dieser Austausch
erklárt, warum eine und dieselbe Menge von Trime-
thylcarbinol bei Anwendung von 1 Mol: C,H4CIO auf
2 Mol. Zn (CH;), wie von 1 Mol. C,H;CIO auf UG Mol.
Zn(CH,), sich bildet. In dem Maasse aber, wie das
Molecülargewicht des Chloranhydrids und das der
organischen Zinkyerbindung wächst, werden das Chlor-
atom in C1- C E OZnR’ wie das Radical R’, sowohl
R
in ZnCIR/, als auch in Zn(R’), weniger beweglich und
lassen sich nicht mehr so leicht gegenseitig austau-
schen. In der That, bei Anwendung von 0¿H,0C1 geht
der Austausch von Chloratom der Verbindung
, CH,
C,H, - C- OZnCH,
CH,
gegen CH, von Zn(CH,), viel langsamer vor sich, als
bei der Wirkung des Chloracetyls auf Zn (CH,),. Das
zweite Stadium der Reaction tritt in diesem Falle erst
nach etwa vierundzwanzig Stunden ein. Bei C,H,OCI
(Iso) und Zn(CH;) beginnt das zweite Stadium der
Reaction nach etwa zweimal vierundzwanzig Stunden
und schreitet nur sehr langsam vorwárts. Bei Anwen-
dung beider letzterer Chloranhydride geht der Aus-
tausch von Chloratom in R'-C E OZnR' gegen R' des
C
ZnCIR' gar nicht vor sich. Bei C¿H,OCI (Chlorisova-
leryl) ist auch der Austausch von Chloratom des
Re oH
CH, — C£ OZnCH,
Mel
gegen CH, des Zn (CH) ausserordentlich tráge und
sogar nach Verlauf eines Monats tritt grósstentheils
ungefähr nur die Hälfte von C,H, — C — OZnCH, in
Wechselwirkung mit Zn(CH,)% ein.
Synthese der tertiáren Alkohole, welche drei verschiedene `
Radicale enthalten.
Bis jetzt war noch kein tertiárer Alcohol bekannt,
in welchem alle drei mit einem und demselben Koh-
lenstoffatom verbundenenen Radicale verschieden wä-
ren. Es ist mir gelungen, die beiden einfachsten
Reprisentanten dieser Gruppe darzustellen: das Methyl-
äthylpropylcarbinol und das Methyláthylisopropylcarbi-
nol. Die Darstellung dieser Alkohole kónnte, wie ich
schon früher bemerkt, als Bestätigung der Erklärung
dienen, welehe Saytzew und Wagner der Einwirkung
von Sáurechloranhydriden auf zinkorganische Verbin-
dungen gegeben haben. l
Zur Darstellung von Methyläthylpropylcarbinol
wurde zu 1 Mol.Zn(CH,), unter Abkühlung allmählich
ein Molecül Chlorbutyryl zugesetzt. Zu Ende der Reac-
tion wurde die Flüssigeit im Kolben hellroth und etwas
diekflüssig. Darauf wurde sofort zum Gemenge ein
Molecül Zn (C,H;), zugefügt, wobei keine Reaction zu
bemerken war. Die ursprüngliche Farbe der Flüssig-
keit veránderte sich fast gar nicht. Nach drei Tagen
wurde der Kolben, in welchem die Reaction vor sich.
| gegangen war, aus dem Wasser herausgenommen und.
wührend anderthalb Monate bei Zimmer- Temperatur
gelassen. pe :
Nach zwei Wochen bildeten sieh in der Flüssigkeit
zwei Schichten: eine untere kleine und fast feste Schicht
und eine obere dickflüssige. Eine weitere Veránderung
der Schichten fand nicht statt. |
Die nach der Zersetzung mit Wasser erhaltene
ölige Flüssigkeit wurde . mit einer concentrirten
Lösung von NaHSO, behandelt, darauf über was-
serfreiem Baryt getrocknet und fractionirt. Nach,
mehreren fractionirten Destillationen gelang es einen
Körper mit einem ziemlich constanten Siedepunkte von
135?— 138? abzuscheiden. Um die Zusammensetzung
'| und die Natur des erhaltenen Körpers zn bestimmen
wurde aus ihm durch Einwirken von gasfórmiger HJ
das Jodür dargestellt. Der Geruch des Jodürs erin-
nerte ein wenig an Terpentin. Die Bestimmung des
Jods in diesem Körper führte zu folgendem Resultate:
0,5425 gr. des Körpers gaben 0,5680 gr. AgJ, was `
56,58%, Jod ausmacht. Der Theorie nach muss in
C,H,, J 56,19Y, Jod enthalten sein. Die Bestimmung
von J hat also gezeigt, dass man es mit dem Jodür
517 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 518
eines Heptylalkohols zu thun hatte. Die Bildung des
Heptylalkohols bei der oben beschriebenen Reaction
kann durch folgende Gleichung ausgedrückt werden:
CH
UTE TB
oc + Zn (CH), —C,H,- 6 — 9 Zn CH,
i
LE
C, H, CO Zn CH, + Zn(C,H
Wd:
| je CA,
= OZnGH, + C,H,-C 0 Zn CH,
CH
, 2778
und wenn letztere Verbindung mit Wasser zersetzt
pod € mar gen neuen tertáren Heptylalko-
ol-Methyli lcarbinol, eine farblose
Flüssigkeit, welche einen schwach campherartigen Ge-
ruch hat. Aus dem Jodür des Methyläthylpropylearbi-
nols wurde durch Einwirkung eines Gemisches von
gesättigter alkoholischer Aetzkalilösung und von festem
Aetzkali das entsprechende Heptylen dargestellt. Er-
hitzt man die Mischung des Jodürs mit der alkoholi-
schen Lauge, so tritt die Reaction bei der Siedetem-
peratur schnell ein und beendigt sich bald unter Aus-
scheidung von Jodkalium. Bei der Destillation und
Verdünnung des Destillats mit viel Wasser erhält man
den Kohlenwasserstoff als eine ölige aufschwimmende
Schicht. Dieses Heptylen stellt eine farblose Flüssig-
keit dar, mit einem Geruch, der an das Amylen erin-
nert; sein Siedepunkt liegt Saken 90°—95?°,
Um seine Natur zu bestimmen wurde seine Verbin-
dung mit Brom dargestellt. Mit Brom verbindet es
sich sehr energisch; giesst man aber Brom zu Hepty-
len unter starker Abkühlung mittelst einer mit Ca-
pillarrobr versehenen Pipette, so geht die Vereinigung
unter kaum merklicher Ausscheidung von HBr vor
sich. Die Bestimmung der Brom-Menge gab folgendé
A Resultate: 0,6140 gr. des Kohlenwasserstoffes gaben
1,6425 gr. der Bromverbindung. Die Menge des ver-
bundenen Broms ist gleich 1,0285 gr , was 62,619,
` Br. ausmacht, nach der Formel C,H,, Br, berechnet
man 62,01%, Br. Von mehreren der Theorie nach mög-
lichen Structurformeln des erhaltenen Heptylens muss
man auf Grundlage bekannter Thatsachen eine von den
folgenden zwei annehmen:
- CH,
1) C=CH.CH, (Dimethylpropylüthylen)
=CH,.CH,CH, :
‚CH, j
2) C — CH, .CH, (Diäthylmethyläthylen)
CH CH,CH, e
Zur Darstellung des Methyläthylisopropylcarbinols
wurde die Reaction ebenso geführt, wie bei der Be-
reitung von Methyläthylpropylcarbinol, nur mit dem
Unterschiede, dass man anstatt Chlorbutyryl Chlor-
isobutyryl anwandte.
Nach Beendigung der Reaction war, die Flüssigkeit
kaum gefürbt und blieb leicht beweglich. Nachdem
aber dieselbe bei Zimmer-Temperatur wührend an-
derthalb Monate gestanden hatte, wurde sie recht
dickflüssig. Nach Zersetzung mit Wasser erhielt man
eine ölige Schicht mit starkem Campher-Geruch. Die
Flüssigkeit wurde mehrere Mal der fractionirten Des-
tillation unterworfen und aus dem Erhaltenen, nachdem
es vollkommen ausgetrocknet war, durch mehrmaliges
Fractioniren eine Portion ausgeschieden, die ziemlich
constant bei 124— 127^ siedete. Der Geruch dieser
Portion erinnerte stark an das Hydrat des Pentamethyl-
üthols, er war eampherartig und erinnerte zugleich an
Schimmel. Um die Zusammensetzung und die Natur des
erhaltenen Kórpers zu bestimmen, wurde wieder das Jo-
dür durch Einwirkung von gasfórmiger HJ bereitet. Die
Bestimmung des Jods zeigte, dass es das Jodür eines
Heptylalkohols war: 0,8295 gr. der Substanz gaben
0,8720 AgJ, was 56,78%, ausmacht. Für die Formel
C.H,,J sind 56,19%, Jod berechnet. Nach seiner Ent-
stehung muss der erhaltene Alkohol als Methyläthyl-
isopropylearbinol angesprochen werden; seine Bildung
bei der beschriebenen Reaction ist ganz analog der
Bildung von MethylithyIpropylear binol.
Aus dem Jodür des M lcarbinols
wurde durch Einwirkung einer alkaholincheig Aetzkali-
lösung der Kohlenwasserstoff dargestellt, welcher ein
Heptylen mit dem Siedepunkt 75—80° und mit ei-
nem dem von Amylens sehr ähnlichen Geruche ist. Zur
Prüfung wurde seine Verbindung mit Brom dargestellt:
0,5155 gr. von Kohlenwasserstoff gaben 1,3895 gr.
der Bromverbindung. Die Menge des gebundenen
Broms ist 0,8740 gr., was 62,90%, Br. ausutacht; wäh-
‚rend man nach der Formel CH, Dr, 62,01%, Brom
S ; 33%
519
Bulletin de PAcadémie Impériale
520
berechnet. Bei der vorsichtig ausgeführten Vereini-
gung von Brom mit diesem Heptylen entwickelt sich
nur eine unbedeutende Menge HBr.
Am allerwahrscheinlichsten kann man diesen Koh-
lenwasserstoff als Tritmethyläthyläthylen ansehen und
seine Bildung. würde in diesem Falle durch folgende
Gleichung ausgedrückt werden kónnen:
CH, <<
ihsani El
CH, — un
> CH,
CH-C — Ode — H,0= CH, — — C, H,
Ein besonderes Interesse wird, wie ich glaube, der
Oxydationsgang dieser neuen tertiáren Alkohole dar-
bieten.
Da ich bei der gegenwürtigen Arbeit nur die Móg-
lichkeit ihrer Bildung darzuthun beabsichtigte, und
da ausserdem nur eine geringe Menge von Substanzen
mir zur Verfügung stand, so konnte ich weder ihre
physikalischen Eigenschaften náher, noch ihr Verhal-
ten bei der Oxydation untersuchen. Dazu kommt noch,
dass, obgleich die Selbstständigkeit der erwähnten Al-
kohole, meiner Meinung nach, für genügend bewiesen
angesehen werden kann, ich dieselben dennoch nicht
in genügender Reinheit ausscheiden konnte. Daher
habe ich auch die Absicht, diese Alkohole in grösse-
ren Mengen darzustellen und mich mit dem näheren
Studium ihrer Eigenschaften zu beschäftigen.
Alle oben angeführten Versuche über die Synthese
der tertiären Alcohole und der Ketone haben die An-
sichten Saytzew’s und Wagner's vollkommen be-
stätigt.
Untersuchung der hochsiedenden Nebenproducte, welche man
gleichzeitig mit den Ketonen und den tertiáren Alkoholen bei
der Einwirkung von Sáurechloranhydriden auf zinkorganische
Verbindungen erhält.
Auf die Nebenproducte mit hóherem Siedepunkt,
welche sich zugleich mit den Ketonen bilden, hat schon
Freund"), als er Ketone darstellte, seine Aufmerksam-
keit gelenkt. Jedoch konnte er weder die Natur noch
die Zusammensetzung dieser Kórper bestimmen, da sie
keinen beständigen Siedepunkt zeigten. Dem Anscheine
nach ähnlicher Producte erwähnt auch A. Popow in
seiner Untersuchung über die Ketone "). Auch bei der
16) Ann. d. Chem. und Pharm CXVIII, S. 1.
17) Die Beschreibung der einwerthigen Ketone. Kasan 1869.
Darstellung verschiedener tertiárer Alkohole bilden
sich zugleich mit den Alcoholen und den Ketonen diese
hochsiedenden Nebenproducte, aber in so geringer
Menge, dass ihre Untersuchung nicht ausgeführt wer-
den konnte. Bei der Bereitung von Dimethylisobutyl-
carbinol!?) bemerkte ich die Bildung eines Nebenpro-
ducts mit dem Siedepunkt 217 — 219°, sammelte das-
selbe und bin zur Ansicht geführt worden, seine
Bildung müsse man dem geringen Überschusse des zur
Reaction genommenen Chlorisovaleryls zuschreiben.
Die Natur und die Zusammensetzung dieses Kórpers
blieben damals unerklárt. Als ich mich mit der Dar-
stellung grósserer Mengen von Dimethylisopropylear-
binol beschäftigte (um daraus die Dimethylisopropyl-
essigsäure darzustellen), erhielt ich auch das Neben-
product mit dem Siedepunkt 189 —191'. Nachdem
ich auf diese Weise zwei, dem Anscheine nach, analoge
Producte zur Verfügung hatte, welche auch, nach
ihren Siedepunkten zu urtheilen, ziemlich rein wa-
ren, konnte ich zu‘ihrer ausführlichen Untersuchung .
schreiten. ; |
Nicht weniger interessant, als die Bestimmung der
chemischen Natur dieser Kórper, war das Auffinden
der Ursachen ihrer Entstehung bei der Einwirkung von
Säurechloranhydriden auf zink-organische Verbindun-
gen. Dieses konnte indirect zur Erlüuterung des Me-
chanismus dieser Einwirkung selbst dienen.
Die Bestimmung der Zusammensetzung der hoch-
siedenden Nebenproducte hat mir gezeigt, dass sie dem
Mesityloxyd analoge Producte der Condensation der `
Ketone sein mussten. Auf den ersten Blick schien es,
dass man die Bildung dieser Producte durch die was-
serentziehende Wirkung von Chlorzink auf Ketone
leicht erklären könnte. Da es bekannt war, dass die
tertiàren Alkohole beim Abdestilliren aus einer wäs-
serigen Lösung von ZnCl, leicht Wasser verlieren und
ungesättigte Kohlenwasserstoffe geben, so erschien es
nicht unwahrscheinlich, dass auch die Ketone, welche
sich zugleich mit den tertiáren Alcoholen bilden, diese
Producte beim Abdestilliren von der chlorzinkhaltigen
Lösung liefern. Diese Ansicht führte mich zum Stu-
dium der
Einwirkung von Chlorzink auf Aceton.
Wenn man Aceton mit wasserfreiem ZnCl, in zu-
18) J. d. R. Ch. 6. VI, 170.
`~
SA IA EE
521
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
522
- ]
geschmolzenen Róhren auf dem Wasserbade zwei Tage
lang erhitzt, so bildet der Inhalt der Róhre eine dicke
dunkelbraune Masse. Behandelt man dieselbe mit Was-
ser, so erhält man eine kleine ölige Schicht auf der
Oberfläche des Lösung. Dieses mit Wasser ausge-
waschene und über CaCl, getrocknete Product be-
ginnt bei der Destillation bei ohngeführ 200° zu sie-
den, und die Temperatur steigt bald bis auf 300?
dabei bleibt ohngefähr noch die Hälfte des ganzen
Products als harzige Masse in dem Destillations-
apparate zurück. Ganz ebenso verhält sich das Ace-
ton zu ZnCl,, wenn man die Einwirkung bei gewóhn-
licher Temperatur vor sich gehen lásst, nur ist dann die
Reaction viel langsamer. Wasserfreies ZnCl, wirkt
also auf Aceton nicht nur beim Erhitzen ein, sondern
giebt mit demselben auch ohne Erhitzen ein Gemenge
hóherer Condensationsproducte. Hóchst merkwürdig
- ist es aber, dass wasserfreies ZnCl,, trotzdem dass es so
energisch condensirend wirkt, immer nur eine sehr ge-
ringe Menge von angewandtem Aceton verändert. Et-
was anders verhält. sich eine wässerige Chlorzinklö-
sung: beim Erhitzen von Aceton mit solcher Lösung
in zugeschmolzenen Röhren im Wasserbade während
zweier Tage verdichtet sich das Aceton weniger stark,
als bei Einwirkung von wasserfreiem Chlorzink. Un-
terwirft man das bei letzterer Reaction erhaltene Oel
der Destillation mit dem Thermometer, so beginnt
es schon bei 140° zu sieden, das Quecksilber im Ther-
mometer steigt dennoch bald bis zu 300°, und im
- Destillationsapparate bleibt, dabei gleichfalls ein har-
ziger Rückstand. Der Umstand, dass die erhaltene
Flüssigkeit schon bei 140° zu sieden beginnt, kann
auf die Anwesenheit einer unbedeutenden Menge von
Mesityloxyd deuten. Durch die oben beschriebene
Versuche der Einwirkung von wasserfreiem ZnCl,
auf Aceton lässt sich nur die Bildung der hochsieden-
den Nebenproducte bei der Reaction von 2 Mol. R'COCI
auf 1Mol Zn(R), erklären, weil die bei dieser
letzteren Reaction sich bildenden Nebenproducte eben-
falls keinen bestündigen Siedepunkt haben und bei
ihrer Destillation im Destillationsapparate immer
harzige Producte zurückbleiben. Ausserdem war bei
der Einwirkung von 2 Mol. R'COCI auf ein Mol. ZnR',
die Menge der hochsiedenden Körper desto grös-
Ser, je spáter das Reactionsproduct durch Wasser
zersetzt wurde und je linger also die Reaction zwi-
schen den entstandenen ZnCl, und Aceton vor sich ge-
hen konnte. Die Entstehung der Condensationspro-
ducte bei der Bereitung tertiürer Alkohole kann man
aber nicht durch wasserentziehende Wirkung der ZnCl,-
Lósung auf die sich hierbei in geringer Menge bil-
denden Ketone erklären. Bei der oben beschriebenen |
Wirkung der wässerigen ZnCl,-Lósung auf Aceton,
bei zweitägigem Erhitzen auf 1007 verdichtete sich
nur eine geringe Menge desselben, und Mesityloxyd
konnte darin nur in den allergeringsten Mengen vor-
handen sein. Dennoch bestehen aber die Producte,
welche sich bei der Einwirkung von 1 Mol. R'COCI auf
2 Mol. Zu(R’), bilden, fast vollständig aus Analogen
des Mesityloxyds. In Anbetracht der oben beschrie-
benen Versuche musste jedoch die Ansicht, dass die
condensirten sich bei der Einwirkung von 1 Mol.
R'COCI auf 2 Mol. ZnE', bildenden Producte ihre Ent-
stehung der wasserentziehenden Wirkung von ZnCl,
auf Ketone verdanken, aufgegeben werden.
Eine andere Erklárung der Entstehung von Con-
-densations-Producten der Ketone könnte in der was-
serentziehenden Wirkung der organischen Zinkver-
bindungen gesucht werden. Einige hierauf bezügliche
Beobachtungen findet man schon in der chemischen
Literatur. Rieht und Beilstein””) erhielten bei der
Einwirkung von Aceton auf Zinküthyl das Phoron,
Prof. Butlerow*) erhielt bei der Einwirkung von
Aceton auf Zinkmethyl ein schweres unangenehm rie-
chendes Oel, welches er für einen Kohlenwasserstoff
hielt und dessen Bildung er durch wasserentziehende :
Wirkung von Zn(CH,), auf Aceton erklärte. Die er-
wühnten Untersuchungen liessen bis zu einem gewis-
sen Grade die Móglichkeit zu, auch in dem zu unter-
suchenden Falle die Bildung von verdichteten Producten
der wasserentziehenden Wirkung der organischen Zink-
verbindungen auf Ketone zuzuschreiben. Da einerseits
bei den Versuchen von Rieth und Beilstein, wührend
der Einwirkung von Zn(C,H,), auf Aceton, sich nur `
Phoron und kein Mesityloxyd (was jedenfalls etwas
befremdend erscheint) bildet und, andrerseits die von
Butlerow bei der Einwirkung von Aceton auf Zn(CH,),
erhaltenen verdichteten Producte von ihm nicht un-
tersucht worden waren, so hielt ich es für nothwendig,
19) Ann. d. Ch. u. Ph. CXXVL S. 145.
20) Zeitschr. f. Ch. 1864 S. 385.
523
Bulletin de l'Académie Impériale
524
ausführliche Versuche über die Wirkung von Zn(CH,),
und von Zn(C,H,), auf Aceton anzustellen.
Einwirkung von Zinkäthyl auf Aceton.
Nach Rieth und Beilstein wirkt Zinkäthyl beim
Erhitzen sehr energisch auf Aceton ein. In der That,
wenn man 1 Mol. C,H,O mit 1 Mol. Zn(C,H,), zusammen-
mischt und mit umgekehrtem Kühler auf dem Wasser-
bade bis zum Sieden von Aceton erhitzt (bei gewóhn-
licher Temperatur findet keine merkliche Einwirkung
statt), so bemerkt man in Laufe der ersten 10-15 Minu-
ten gar keine Veránderung des Gemisches, spáter tritt
aber plótzlich eine heftige Reaction ein, im Kolben findet
ein starkes Aufscháumen statt und durch den stark ab-
gekühlten Kühler kommen anfangs Dümpfe von freiem
Aceton und später die von Zn(C,H,), zum Vorschein.
- Ungeachtet der raschen Abkühlung des Kolbens gelingt
es nicht, die Reaction zu beruhigen und sie dauert so
lange fort, bis die letzten Spuren von freiem Zn(C,H,),
und Aceton verbraucht sind. Nach Beendigung der
Reaction stellt die Masse im Kolben eine stark-blasige
Masse dar, welche, indem sie sich abkühlt, bald zu
“einer zähen amorphen Substanz wird.
Zersetzt man nun diese Substanz mit Wasser, so er-
hàlt man, unter einer unbedeutenden Gasausscheidung,
viel Zinkhydrat und auf der Oberflüche der Flüssig-
keit sammelt sich eine gefärbte ölige Schicht, welche
den starken characteristischen Geruch der Condensa-
tionsproducte von Aceton besitzt. Diese Schicht wurde
auf dem Oelbade vom Zn(OH), abdestillirt, zur Ent-
'fernung des Acetons mit Wasser gewaschen, über ge-
sehmolzener Pottasche getrocknet und mit dem Ther-
mometer destillirt. Der Körper fing bei ungefähr 110°
an zu sieden und der Quecksilberfaden des Thermo-
meters stieg allmählich bis 300°, wobei im Destilla-
tionsgefáss nur ein geringer Theil zurückblieb. (Bei
den Versuchen von Rieth und Beilstein gingen die er-
haltenen Producte bei der nàmlichen Temperatur über.)
Nachdem dieses Product einige Mal der fractionirten
Destillation unterworfen war, gelang es, eine Portion
mit dem ziemlich constanten Siedepunkt von 1 28- 1 33°
56,19%, berechnet. Es gelang mir nicht, das Phoron
mit constanten Siedepunct abzuscheiden, desswegen
wurde auch die Analyse dieses Kórpers nicht ausge-
führt. Die Versuche, das Phoron aus den Portionen,
welche einen dem Phoron nahen Siedepunkt hatten,
zum Krystallisiren zu bringen, misslangen gleichfalls.
Die Portion, welche unter 128^ siedete, bestand aus
einem Gemenge von Mesityloxyd und Aceton. In dem
Wasser, mit welchem die erhaltene Oelschicht ausge-
waschen wurde, fand man nur Aceton.
Die folgenden zwei Versuche wurden ohne Erhitzen
ausgeführt. Das Aceton wurde unter Abkühlung zum
Zn(C,H,), zugegossen. .
Im Laufe von 3—4 Tagen veránderte sich die Farbe
und die Beweglichkeit der Flüssigkeit nicht im ge-
ringsten. Am 4ten oder 5ten Tag fing die Flüssigkeit
an dick zu werden, wobei sich aus ihr allmáhlich Ga-
se entwickelten. Nach 10 Tagen war das Gemenge so :
dick geworden, dass es sich im Kolben kaum bewegte,
und auf seiner Oberflüche bildete sich ein ziemlich
bedeutendes Háutchen, welches aus Gasbláschen be-
stand, die in der obern Schicht dieses Gemenges
enthalten waren. Als diese Masse mit Schnee zersetzt
wurde, so zeigte sich, dass sie viel freies Aceton ent- -
hielt; auf der Flüssigkeits-Oberflüche sammelte sich
eine ölige Schicht, welche mit Wasser ausgewaschen,
über geschmolzener-Pottasche getrocknet und destil-
lirt wurde. Bei der Destillation erhielt man, ebenso
wie im ersten Versuche, ein Gemenge von Producten,
welche von 115 bis 300°, siedeten, doch war die Menge |
jenes Theils des Oeles, welcher zwischen 128 — 133^
gesammelt wurde, grósser als alle übrigen Producte
zusammengenommen. Die Bestimmung von Jod in der
Jodwasserstoffverbindung dieser Portion gab folgende.
Resultate: 0,5930gr. der Substanz lieferten 0,7075 gr.
AgJ, was 56,26%, J entspricht. Der Formel C,H,,JO for- —
dert 56,19%, Jod. Auf diese Weise erwies sich der bei `
128—130? siedende Kórper als ziemlich reines Mesi-
tyloxyd; aber, ebenso wie im ersten Versuche, ge-
lang es mir nicht das sich bei dieser Reaction bildende
Phoron in genügend reinem Zustande zu erhalten.
zu gewinnen, welche den Geruch des Mesityloxyds be- |.
_sass. Die Bestimmung des Jods in der Jodwasserstoff-
verbindung dieses Kórpers gab folgende Resultate:
0,2345 gr. des Kórpers gaben 0,2470gr. AgJ, was
56,829/ Jod entspricht; für die Formel C,H,,JO sind
Einwirkung von Zinkmethyl auf Aceton. |
Wenn man 1 Mol. C,H,O mit 1 Mol. Zn(CH,), bei
gewöhnlicher Temperatur zusammenbringt, so beginnt
die Reaction, unter kaum hörbarem Knistern, schon
xw
beds 1417 IT ad A AAA AE o OR Abt, E
d: WATER CH D o
525
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
526
bei den ersten Tropfen Aceton, welche in den Kol-
ben zum Zn(CH,), zugegossen werden, und allmählich
stellt sich eine Gasentwickelung ein. Nach. Hinzufü-
gung des ganzen Acetonquantums wurde das Gemenge
ziemlich dick und trübe. Gase entwickelten sich
dabei beständig. Nach etwa 15 Minuten hatte sich die
Mischung in eine gallertartige Masse verwandelt,
welche eine weisslich - graue Farbe besass und eine
grosse Menge der während der Reaction gebildeten und
in der Masse zurückgebliebenen Gasbläschen einschloss.
Nach Verlauf einer Woche wurde die gallertartige
Masse fester und geborsten. Als sie mit einer-grossen
Menge Wasser bearbeitet wurde, entwickelten sich
keine Gase und die einzelnen Stücke wurden vom Was-
-ser nur sehr schwer angegriffen. Man war gezwungen,
die Flüssigkeit von ihnea wiederholt abzudestilliren
und neue Mengen Wasser zuzusetzen; aber auch un-
ter dieser Bedingung zersetzte sich die Masse nicht
leicht, und zu Ende musste man das sich ausscheidende
Zinkoxyd in Salzsáure auflósen, um auf diese Art al-
les Oel auszuscheiden,
Dieses Oel enthielt Spuren von Aceton dud stellte
ein Gemenge der Condensationsproducte dar, welche
bei von 103 bis 300" siedeten. Aus ihnen wurde das
Mesityloxyd mit dem Siedepunkt von 128—132? aus-
geschieden. Die Bestimmung des Jods in der Jodwas-
serstoffverbindung dieses letztern gab befriedigende
Resultate: 0,4390 gr. der Substanz gaben 0,4600
-AgJ oder in %=56,60J; die Formel C,H,,JO for-
dert 56,19%, Jod.
Bei einem andern Versuche wurde das Aceton sehr
langsam zum Zn(CH,), zugegossen, wobei der Kolben
mit Zn(CH,), in Wasser und Schnee stand. Auf diese
Weise war das Knistern schwächer, als beim ersten
' Versuche, es entwickelten sich auch weniger Gase und
die Flüssigkeit wurde nicht so schnell dick; nach Ver-
lauf einer Stunde stellte aber das Gemenge doch eine
weisslichgraue gallertartige Masse vor. Die weitere
Veründerung der Masse und auch die nach der Zer-
setzung mit Wasser erhaltenen Producte erwiesen sich
als vollkommen identisch mit den im ersten Versuch
- beobachteten.
Aus den angeführten Versuchen sieht man, dass das
` Zn(CH,), und Zn(C,H,),, wenn auch unter verschiede-
nen Bedingungen, auf Aceton stets nur Wasser ent-
ziehend einwirken und ein Gemenge von Condensations-
producten bilden. Die Bildung von Mesityloxyd wird
durch folgende einfache Gleichung ausgedrückt:
2C,H,0 + Zu(R‘,) = C,H,,0 + 2R'H + ZnO,
doch besteht die Einwirkung der organischen Zink-
verbindungen auf Aceton nicht allein in der Verdich-
tung zu Mesityloxyd. Aus C,H,,0 und C,H,O findet
wahrscheinlich unter nochmaliger Ausscheidung von
Wasser eine weitere Verdichtung statt, und auf diese
Art erhált man hóhere Producte.
Durch die beschriebene Wirkung von Zu(CH, ) und
Zn(C,H,), auf Aceton kann man sich ganz deutlich die
Entstehung der Condensationsproducte der Ketone
bei der Reaction von 1 Mol. R'COCI auf 2 Mol. ZnR’,
vorstellen. Wenn man die letzte Hülfte von R'COCI
zu 2 Mol. ZnE', zugiesst, befindet sich im Kolben nicht
nur 1 Mol ZnK , sondern auch R'-C E OZnR' und das
Cl
Chloranhydrid, indem es mit dieser Verbindung zu-
sammentrifft, kann auf einen kleinen Theil davon unter
Bildung von Keton und ZnCl, einwirken. Das gebil-
dete Keton giebt seinerseits mit dem noch vorhandenen
freien ZnR', Verdichtungsproducte; da aber das ZnR’,
zur Hálfte mit der Verbindung SG OZnR’ ver-
^g
dünnt ist, so vid seine Wirkung auf die Ketone
KSE sein, als wenn es frei ist, und daher wer-
den, aller Wahrscheinlichkeit nach, die entstehenden
Verdichtungs-Producte des Ketons fast ausschliesslich .
aus den Analogen von Mesityloxyd bestehen. Das sich
bei der Verdichtung der Ketone ausscheidende Was-
ser wird einen Theil von ZnR’, zersetzen, und zwar
unter Entwicklung von Gasen, was bei der Reaction
öfters wirklich beobachtet wird. Um diese Behaup-
tung zu bestütigen, wurde folgender Versuch ausge-
führt. Unter Abkühlung goss man 1 Mol. CH,COCI
zu 1 Mol. Zn(CH,, allmählich zu (das Zinkmethyl
wurde in diesem Verhältniss genommen, um den letz-
ten Mengen Chloranhydrid die Moglichkeit zu gewüh-
ren, ein wenig mehr R-C de OZnR'in Aceton und Zn Cl,
Ze |
zu zerlegen); das Gemenge blieb in Schneewasser ste-
hen. Nach’ 1—2 Stunden begannen aus der röthlich
gewordenen Flüssigkeit sich Gase zu entwickeln, und
527
Bulletin de l'Académie Impériale
528
E
später erstarrte dieselbe zu einer
amorphen Masse. Als die Masse mit Wasser zersetzt,
wobei eine nur schwache Gasentwickelung stattfand,
und die Verdichtungs-Produckte abdestillirt waren, so
erhielt man Aceton und Mesityloxyd; von letzterem
ungefähr die Hälfte der ganzen Menge von Product.
Za näherer Bestimmung der Natur des höher-sieden-
den Productes wurde seine Verbindung mit HJ dar-
gestellt.
I. 0,4625 gr. der Substanz gaben 0,4850 gr.
II. 0,6150 » » » » 0,6475 »
In Procenten:
I. 56,66J (berechnet für C,H,,JO0 — 56,19J)
II. 56,89J
Die Bildung von Mesityloxyd kann man in diesem
Falle.so vorstellen, dass beim Zugiessen von 1 Mol.
(CH,COCI zu 1 Mol. Zu(CH,), die letzten Portionen
Chloracetyl zum Theil die Verbindung
AgJ
AgJ
- 3
CH,-C E OZnCH, in Aceton und ZnCl, zersetzen, da-
| CI
durch bleibt ein Theil von Zn(CH,), frei, und kann
das Aceton zu Mesityloxyd verdichten. Je schneller
. das Chloracetyl zum Zu(CH,), zugegossen wird, desto
mehr wird es von der Verbindung CH,-C ^ OZuCH,
Cl
zersetzt und desto mehr Zn(CH,), bleibt frei, dem ge-
mäss vermehrt sich auch entsprechend die Menge von
Mesityloxyd.
Einige dem Mesityloxyd analoge Derivate: CH, 0, C,,H,.0
| un
Cole >;
` Unter den Producten der Verdichtung der Ketone von
der allgemeinen Bildungsart 2 CO — H,O war bis jetzt
nur ein einziges und zwar das einfachste Glied, Mesi-
tyloxyd, bekannt. Zuerst wurde das Mesityloxyd von
Kane ”) durch Einwirkung von H,SO, so wie von HCI
auf Acteon erhalten. Spüter erhielt es Fittig”) bei
der Einwirkung von Aetzkalk auf Aceton. Baeyer”),
21) Pogg. Ann. 44, S. 433.
22) Ann. d. Chem. u. Pharm. CX, 8. 32.
23) Ann. d. Chem. u. Pharm. CXL, S. 297.
*
dunkelbraunen | Klaisen?*) und Kasantzew”) forschten nach den Be-
dingungen, unter welehen man, bei der Einwirkung
von HCl auf Aceton, die grösste Menge von Mesityl-
oxyd erhált.
Das Verhalten von Mesityloxyd zu verschiedenen
Reagentien und seine chemische Natur sind ziemlich
ausführlich erforscht. So untersuchte Fittig”) das Ver- `
halten von Mesityloxyd zu Salpeter- und Schwefelsáure,
desgleichen behandelte er es auch mit Chlor, die sich
hierbei bildenden gefärbten öligen Körper wurden aber
von ihm fast gar nicht nüher untersucht, und daher
kann man auch über dieselben nichts Bestimmtes sa-
gen. Eine in dieser Richtung ausführlichere Untersu-
| chung führte Baeyer”) aus, welcher bei der Einwir-
kung von Chlor auf Mesityloxyd den Körper C,H,Cl,0,
und bei der Einwirkung von PCI, die Verbindung
C,H,,Cl, erhielt. Die letztere Verbindung verwan-
delte Baeyer weiter in C,H,Cl. Baeyers Ver-
suche haben also dargethan, dass das Mesityloxyd sich |
zu Chlor und PCI, ebenso wie das Aceton selbst verhält.
Als er Mesityloxyd in Alkohol-Lösung mit Natrium-
amalgam behandelte, erhielt er ein mit Campher-Ge-
ruch begabtes Oel, welches bei der Destillation sich
anfangs zersetzte, indem es Wasser ausschied und erst
bei 206° einen constanten Siedepunkt zeigte. Der Kör-
per mit diesem Siedepunkt erwies sich der Zusammen-
setzung nach als C,,H,,0; Baeyer hielt diesen letzteren
Körper für Mesitylaether und erlárte seine Bildung
durch den Verlust von Wasser aus dem Mesitylalko-
hol, weleher bei der Einwirkung von Natriumamal-
gam auf Mesityloxyd entstehen konnte. Diese An-
schauung drückte er durch folgende Gleichungen aus:
"C H,0 + H, = 0,H,0;
26,H,,0 — H,0 = C HO.
Die unlängst von Klaisen *) ausgeführten Versuche
haben gezeigt, dass bei der Reduction von. Mesityl-
oxyd durch Natriumamalgam sich nicht C¡¿H;¿0, son-
dern CHA (also etwa Pinacolin von Mesithyloxyd)
bildet. Klaisen drückte die Bildung dieses Kürpers
folgendermassen aus:
91) Ann. d. Chem. u. Pharm. CLXXX, S. 1.
25) J. d. R. Ch. G. VII 172.
26) Ann. d. Chem. u. Pharm. CXS. 23.
27) Ann. d. Chem. u. Pharm. CXLS: 297.
28) Amn. d. Chem. u. Pharm. CLXXX $. 1.
EN
529
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
530
20,H,,0 + H, =C,,H,¿O + HO:
Ausserdem bemerkte Klaisen, dass zugleich mit die-
sem Product in geringen Mengen ein krystallinischer
Kórper entsteht, den er jedoch nicht náher untersuchte
(vielleicht Pinacon von Mesityloxyd). Weiter fand
Klaisen, dass das Mesityloxyd mit Brom sich zu ei-
nem gefärbten schweren Oel, wahrscheinlich C¿H,¿Br,0,
verbindet und dass dieses Oel sich leicht unter Ent-
wickelung von HBr zersetzt. Als Claisen Mesityl-
oxyd durch Salpetersáure oxydirte, erhielt er Essig- und
Oxalsáure. Es gelang mir, eine Verbindung des Me-
sityloxyds mit HJ darzustellen. Am bequemsten erhält
man diese Verbindung, indem man HJ unter Abküh-
lung in Mesityloxyd leitet. Die Verbindung C¿H,,JO
erscheint, nachdem sie mit Wasser ausgewaschen und
über Chlorealeium getrocknet ist, als eine schwere,
dunkel gefárbte Flüssigket, welche bei der Einwirkung
von alkoholischer Aetzkalilósung wieder Mesityloxyd
giebt.
Das dem Mesityloxyd nächste Analogon wird C,H,,O
sein (aus dem Methylüthylketon); diese Verbindung
erhielt ich zugleich mit Methyläthylketon bei der Ein-
wirkung ] Molecüls Chlorpropionyl auf 1 Mol. Zn(CH,),.
Das auf diese Art bereitete Gemenge erscheint als eine
ziemlich dicke dunkelrothe Flüssigkeit, aus welcher
nach einiger Zeit sich Gase zu entwickeln anfangen.
Nach Verlauf eines Tages erstarrt die recht dick ge-
wordene Flüssigkeit zu einer dunkeln amorphen Masse.
Wird diese Masse mit Wasser zersetzt, so erhált man
eine ólige Schicht, nnd wird nun dieses Oel über ge-
schmolzener Pottasche getrocknet und fractionirt, so
. kann man daraus einen bei 167—168? siedenden Theil
gewinnen, dessen Geruch etwas an Mesityloxyd erin-
mert. Die Verbrennung dieses Kórpers mit CuO gab
folgende Resultate: 0,1825 gr. der Verbindung gaben
0,4670 gr. CO, und 0,1680 gr. H,O.
In Procenten:
Versuch: digni Se
C = 75,83 C = 76,19
H=11,13 H=1111.
= Dieser Kórper erscheint als farblose im Wasser un-
lósliche Flüssigkeit; seine Entstehung kann durch
folgende Gleichung ausgedrückt werden: 2C,H,O (Me-
thyläthylketon) — H,O = DNA,
Tome XXII.
Die Bestimmung des specifischen Gewichts ergab
Folgendes:
Gewicht des Wassers bei 0°....... =1,9560
» desselben Volums von Körper =1,7155
» des Wassers bei + 18°.... =1,9530
» desselben Volums von Körper
RE EE ioca indio =1,6840
Hieraus berechnet man:
das specifische Gewicht bei 0?..... =0,8770
» D D » + 18? e =0,8620
Der Coefficient der Ausdehnung für
1° zwischen 0^ und + 18°......... =0,00103.
Bei der Einwirkung von gasfórmigem HJ auf C,H,,0
erhält man ein schweres dunkel-gefärbtes Oel von der
Zusammensetzung C,H ‚JO.
Die Bestimmung der Jod-Menge in dieser Verbin-
dung ergab folgende Resultate: 0,2900 gr. der Ver-
bindung gaben 0,2645 gr. AgJ, was 49,31%, J aus-
macht, für C,H,,JO fordert die Theorie 50,00%, J.
Der Bildung des so eben beschriebenen Products
analog kann man erwarten aus dem Methylisopropylke-
ton die Verbindung C,,H,¿O zu erhalten; und in der
That bekam ich diese Verbindung bei der Reaction
zwischen Chlorisobutyryl und Zn(CH,), als Nebenpro-
duct. Es ist eine farblose eigenthümlich riechende
Flüssigkeit, welehe im Wasser unlóslich ist und bei
einer Temperatur von 189—191? siedet. Bei der
Verbrennung mit Kupferoxyd gaben 0,1825 gr. Sub-
stanz 0,5200 gr. CO, und 0,1925 gr. H,O; oder in
Procenten :
Versuch. Theorie für C,,H,,0.
0277,69 C=11,92
H= 11,72 H=11,69
Die Bestimmung des specifischen Gewichts ergab: .
Gewicht des Wassers bei 0°......... —1,0400
» desselben Volums von Substanz
BI beso = 0,9050
» des Wassers bei + 20°...... =1,0390
» desselben Volums von Substanz
bi+20........2......=0,8890
Hieraus ergiebt sich:
Das specifische Gewicht bei 0°...... =0,8700
» » » ED. 0,8550.
: E
531
BEE)
Da dieser Körper sich direct mit HCl oder HJ ver-
einigt, so folgt wohl daraus, dass er eine ungesättigte
Verbindung ist. Das Chlorwasserstoffderivat wurde
dargestellt dureh Einleiten von HCl unter Abkühlung
in €,,H,,0, welches mit einer geringen Menge Wasser
vermischt war. Die mit Wasser ausgewaschene und
über CaCl, getrocknete Verbindung stellte ein schwach
gelb gefärbtes Oel dar, welches einen etwas an Terpen-
tin erinnernden Geruch besass. Die Bestimmung von
Chlor in dieser Verbindung führte zu folgenden Re-
sultaten: :
1) 0,4840 gr. der Verbindung gaben 0,3660 AgCl.
2) 0,3495 gr. der Verbindung gaben 0,2655 AgCl.
In Procenten :
erhalten : für die Formel C,¿H,¿C10 berechnet:
1) 18,49, 2) 18,45. 18,62.
Leitet man gasfórmige HJ unter Abkühlung in
CHA, so erhält man einen dunkel-gefärbten krystal-
linischen Kórper, welcher bei Zimmer- Temperatur
fest bleibt. :
Bei der Bereitung von Dimethylisobutylcarbinol.
erhält man in einigen Fällen gar keinen Alkohol, son-
dern nur ein Gemenge von Methylisobutylketon und
ein hochsiedendes Product. |
Trennt man dieses Nebenproduct vom Keton, so
geht es bei der Destillation bei 217 — 219° über und
erscheint als eine farblose, in Wasser unlósliche Flús-
sigkeit. Bei der Verbrennung mit CuO erhielt man
0,7345 gr. CO, und 0,2760 gr. H,O.
In Procenten ausgedrückt: Nach der Formel 0,2H,,0 :
ás Versuch. chnet.
re IT € 219,12
H- 1219 H—12,08
Wie aus der Analyse ersichtlich, erwies sich dieser
Körper als Cl) und seine Bildung aus Methyliso-
butylketon findet nach folgender Gleichung statt
20,H,,0 —H,0 = C,,H,0.
Die Bestimmung des specifischen Gewichts ergab:
Gewicht von Wasser bei 0° ......... —1,0400
» desselben Volums der Substanz
bei gp ` o —1,8990
» von Wasser bei+20°....... 51,0390
» desselben Volums der Substanz
e =1,8830
Bulletin de l'Académie Impériale 532
Hieraus hat man:
das specifische Gewicht bei 0°..... . 20,8640
» » » » +" 920: SS — 0,8490.
Die Verbindung dieses Kórpers mit HCl wurde auf
dieselbe Weise wie die Vorhergehende bereitet. Die
Bestimmung von Chlor in dem erhaltenen hellgelben
Oele ergab: :
0,3110 gr. Substanz lieferten 0,2015 gr. AgCl.
In Procenten entspricht dieses 16,01%, Cl und nach
der Formel C,,H,,CIO berechnet man 16,059/, Cl. Die
Jodwasserstoff- Verbindung wurde durch Einwirkung
von HJ auf C,,H,,O erhalten; 0,1565 gr. davon ga-
ben 0,1210 gr. AgJ.
Das macht in Procenten 41,72%, J und der Formel
C,,H,, JO entsprechend 40,96*/, J. Die oben beschrie-
benen von mir erhaltenen Verbindungen kann man am
wahrscheinlichsten für ungesättigte Ketone halten.
Sie verbinden sich alle mit Brom und geben dabei
schwere dunkel-gefärbte Oele. Die Bestimmung von
Brom konnte, in Folge der heftigen Zersetzung unter
Ausscheidung von HBr, nicht ausgeführt werden.
Der Versuch, von den Verbindungen C,,H,,0 und
C,,H,,0, durch Entziehung eines Moleculs Wasser, zu
den entsprechenden Kohlewasserstoffen zu gelangen,
führte nicht zum gewünsten Resultate, obgleich Ver-
suche mit verschiedenen wasserentziehenden Reagen-
tien angestellt wurden. è 3
Aus den von mir gesammelten Thatsachen kann man
natürlich keinen bestimmten Schluss über die chemi-
sche Structur der beschriebenen Kórper ziehen. Zur
Bestimmung der chemischen Structur der ungesättig-
ten Ketone, und theilweise auch zur entgültigen Fest-
stellung der Structur des Mesityloxyds selbst, führt, `
meiner Meinung nach, ein sehr bequemer Weg, der
des Studiums ihrer Verbindungen mit Halogenwas-
serstoffsüuren. Dieser Weg kann auf zweifache Weise
betreten werden: entweder kann man diese Verbin-
dungen reduciren und auf diese Weise zu den gesät-
tigten Ketonen und zu seeundären Alkoholen überge-
ben, oder man kann sie oxydiren. Ich will hier diesen `
und jenen móglichen Fall für das Mesityloxyd näher
betrachten. Ist die Struetur von Mesityloxyd wirklich
CH,- C0- CH — C Z Hs. so wird bei der Verbindung SS
S CH,’
mit HJ der Körper CH,CO-CH,-CI fp? entstehen,
| a.
&
533
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
534
welches Methylisobutylketon darstellt, in dem ein
Wasserstoffatom des Radicals Isobutyl durch Jod er-
setzt ist. Bei der Reduction dieser Verbindung muss
man die Bildung von Methylisobutylketon oder Methyl-
isobutylearbinol erwarten. Auf diese Weise würde die
IR der bei der Reduction von
/ CH,
X CH,
Sg Weise entstehenden Producte mit den syn-
thetisch-dargestellten die Frage über die Structur von
Mesityloxyd vollstándig entscheiden. Vor kurzem hat
Kasantzew”) die Absicht ausgesprochen, die chemi-
sche Structur des Phorons vermittelst einer ühnlichen
Methode zu bestimmen. Er beabsichtigt námlich von
der Verbindung von 2 Molecülen HJ mit 1 Mol. Pho-
ron auszugehen. Klaisen ?) versuchte Phorontetra-
bromid durch die Einwirkung von Zink und Schwefel.
sáure zu reduciren, jedoch erfolglos: der Wasserstoff
entzog das Brom und reducirte das gebildete Phoron.
Bei der Reduction der Verbindung von Mesityloxyd
mit HJ wird man aber vielleicht zur Ersetzung des
Halogens durch Wasserstoff gelangen. Durch Oxyda-
tion von
/ CE
ip CH,
kann man hoffen, Chlorisobuttersáure zu erhalten, und
durch deren Reduction zu Isobuttersäure úberzugehen.
Diese Arbeit ist im Laboratorium des Herrn Prof.
Butlerow ausgeführt worden.
. CH,-CO-CH,-CJ
CH,-CO-CH,-CCI
Osmotische Erscheinungen bei Pflanzen und Thierzel-
len, hervorgerufen durch die Einwirkung von Áther.
Zweite Mittheilung. Von Heinrich Struve. (Lu le
9 octobre 1876.)
Schloss ich meine erste Mittheilung *) mit den os-
motischen Erscheinungen unter Einwirkung von Äther
auf Froschlarven ab, so hat sich im Laufe der letz-
ten Monate wieder eine Reihe neuer und überaus
. interessanter Thatsachen angesammelt, über die ich
in den folgenden Zeilen berichten móchte. Hierbei
29) Journal d. Russ. Chem. Gesellschaft B. VII. S. 172.
80) Ann. d. Chem. u. Pharm. CLXXX $. 1
1) Bull. de l'Acad. Imp. des Sciences tom. XXI. pag. 243—252.
werde ich aber die einzelnen Versuche trotz unver-
meidlicher Wiederholungen nach meinen Aufzeichnun-
gen der Reihe nach wiedergeben.
Versuch mit Kröten.
Am 13. (25.) October wurden sechs kleine Kröten,
die am Ufer die Kurflusses gefangen waren, in einem
Verdrängungs-Apparat mit Äther behandelt. Beim
Hineingeben der Kröten in den Äther erfolgte nach
wenigen Augenblicken der Tod, wobei sie in den son-
derbarsten augenblicklichen Stellungen blieben. Die
Augen einiger Kröten waren vollständig geschlossen,
während die anderer Kröten ganz klar und offen wa-
ren. Diese Klarheit der Augen verschwand aber bald,
indem sie ein mattes Ansehen annahmen. Nach 12
Stunden der Äthereinwirkung sammelten sich auf dem
Boden des Gefässes einzelne schwach gelblich gefärbte
Tropfen an, während sich auf dem Rücken der Krö-
ten schleimartige Absonderungen zeigten, die im Laufe
der nächsten 24 Stunden an Volum zunahmen, doch
von dann an keine weiteren Formveränderungen zeig-
ten. Diese Absonderungen traten an allen Kröten durch-
aus gleichartig und gleich gelegen auf. Die grössten
.Absonderungen erfolgten etwas unterhalb der Augen,
dort, wo die länglichen Drüsen an jeder Seite des
Kopfes liegen, wührend die andern überall dort sich
beobachten liessen, wo die Króten durch dunkle Flecke
gekennzeichnet sind.
Diese Ausscheidungen, deren nähere Natur noch
nicht eingehender von mir festgestellt worden ist, zeich-
nen sich noch durch einen auffallenden Dichroismus
aus. Bei durchfallendem Lichte erscheinen sie nàm-
lich mit einer schwach gelblich-rothen Farbe, während
bei reflectirtem Lichte sich ein ausgezeichnetes Far-
benspiel von Blau und Grün bemerkbar macht. Diese
Erscheinung unterliegt durch längere Einwirkung von
Áther unter Gegenwart von hellem Tageslicht keinen
bemerkbaren Veründerungen.
Derartige schleimartige Absonderungen zeigten sich
nicht auf dem Unterleibe oder auf den Vorderfüssen,
während sie auf den Hinterfüssen unter Anwendung
einer Loupe nicht schwer zu beobachten waren. Bei
einer mikroskopischen Untersuchung dieser Ausschei-
dungen konnten keine bestimmten Formelemente beob-
achtet werden; es zeigte sich eine amorphe Masse mit
dünnen hautartigen Ausscheidungen, wie man derar-
84*
535
Bulletin de l'Académie Impériale
536
tige aus alkalischen Albumin-Auflósungen durch Ein-
wirkung von Kohlensäure erhalten kann. Auch zei-
gen sich derartige Ausscheidungen unter besonderen
Umständen bei der Behandlung von Albuminkrystallen
mit Wasser’).
Wie schon gesagt, die Schleimabsonderungen neh-
men weiterhin nicht an Volum zu, während sich am
Boden eine grössere Quantität einer braunrothen Flüs-
sigkeit ansammelt, die vollständig durchsichtig ist und
bleibt. Die Kröten selbst quellen dabei mehr und mehr
auf, doch dieses hat auch seine Grenzen, wobei sie
aber vollständig weich bleiben, während der Äther
“eine gelbliche Färbung annimmt.
Nach Verlauf von vier Monaten wurde der Äther
abgegossen und der Destillation unterworfen, wodurch
ein stark gelb gefärbter Rückstand erhalten wurde, der
überaus leicht in Äther löslich ist, und aus dem sich
bei gewöhnlicher Zimmertemperatuf selbst nach län-
gerer Zeit durchaus kein festes Fett abscheidet. Die-
ses ölartige Fett besitzt einen eigenthümlichen unan-
genehmen penetranten Geruch. Bei einer Behandlung
mit Natronlauge lässt es sich verseifen, und wenn man
diese Seife abdampft, glüht, so erhält man einen feuer-
festen Rückstand, in dem man sowohl mit Magnesia-.
2) Das Auftreten dieser schleimartigen Absonderungen erinnert
sehr lebhaft an die interessanten Versuche von M. Traube zur
Theorie der Zellbildung und Endosmose.
Traube benutzte zu seinen Versuchen vorzüglich eine Lösung
von Leim, die tropfenweise mit einer Gerbsäure-Lösung behandelt
wurde. Ähnliche Erscheinungen erhält man auch bei der Benutzung
einer Tanninlösung zur Ausfällung von Albumin oder Blutlösungen.
Auch in der unorganischen Natur kann man auf ähnliche Erschei-
nungen hinweisen, so zum Beispiel beim Vermischen von Wasser-
glas-Lösungen mit Alaunlösungen, wo sich unter besonderen
ständen oft auch derartige zellenartige Niederschläge einstellen, die
sich während Tage und Wochen ohne Veränderung erhalten.
Auf die Arbeit von M. Traube, die ich leider nicht im Original
kenne, bin ich durch das Lehrbuch der Botanik von I. Sachs *) auf-
merksam gemacht worden und dieses veranlasst mich, hier gleich
auf eine Anmerkung von Sachs einzugehen, die er bei Erörterung
der Versuche von Traube hinzugefügt hat. Sachs nämlich fügt in
einer Anmerkung hinzu, in der er zuerst darauf aufmerksam macht
dass in allen Schweinsblasen, Ochsenblasen, Herzbeuteln, Amnien,
Collodiumhäuten, Pergamentpapieren, die bisher zu Diffusionsver-
suchen benutzt worden waren, sich wirkliche Löcher befinden und
schliesst darauf mit folgenden Worten: «Diese Erfahrungen
zeigen, wie wenig zuverlässig die bisher mit Häuten
gemachten Diffusionsversuche sein müssen.»
Hier glaube ich, begeht Sachs einen Fehler und macht Vielen
einen ungerechten Vorwurf, denn wäre derselbe wirklich begründet,
so hätte man, gestützt auf die bisherigen so zahlreichen Diffusions-
erscheinungen, nicht zu so entschiedenen Thatsachen gelangen kön-
nen, die wir als feststehend in der Wissenschaft annehmen müssen.
*) I. Sachs. Lehrbuch der Botanik. Leipzig. 1874. Seite 643.
lósung, als auch mit Molybdán-Salpetersáure die Ge-
genwart von Phosphorsäure nachweisen kann. Aus
dieser Thatsache müssen wir auf die Gegenwart von
Lecithin im Krótenfett schliessen.
Untersucht man dieses flüssige Fett vor der Spalte
des Spectralapparates, so erhült man ein überaus deut-
liches Sáurespectrum des Bluts, námlich von 45,0 bis
47,9 einen scharf begränzten Absorptionsstreifen im
Roth und weiterhin von 72,4 bis 75,9 einen über-
aus sehwachen Streifen im Grün. Dieses Spectrum ver-
ändert sich nicht bei längerem Stehen des Öls an der
Luft unter Einwirkung des Lichts.
Auf diese Spectral-Erscheinung, die eine bis dahin
nicht beobachtete Thatsache ist, komme ich in der
Folge noch wieder zurück.
Gleichzeitig mit der Atheruntersuchung wurden `
auch die Kröten selbst einer mikroskopisch-histiolo- `-
gischen Untersuchung unterworfen. Hierbei ergab es
sich, dass alle Blutgefässe vollständig leer waren, nur
in den Arterien zunächst dem Herzen wurden best
erhaltene Blutkörperchen-Hüllen gefunden, die voll-
ständig farblos waren, doch mit überaus scharfen Con-
touren der äusseren und inneren Hülle, so dass man
Messungen hätte ausführen können.
Die aus den Kröten ausgepresste Flüssigkeit (3 CC.)
von bräunlicher Farbe bei saurer Reaction zeigte vor
der Spalte der Spectralapparates durchaus kein Spec-
trum. Ebenso konnten aus der Lösung nach vorsich-
tigem Abdampfen und bei geeigneter Behandlung mit
Kochsalz und Eisessigsäure keine Häminkrystalle er-
halten werden. Eine andere Quantität, deren Lösung
über Schwefelsäure im luftlceren Raume abgedampft, |
hinterliess einen durchaus amorphen Rückstand.
Diese durch die Einwirkung von Äther auf Regen-
würmer, Froschlarven und Króten gewonnenen That-
sachen veranlassten mich, in ähnlicher Weise auf Fleisch-
stücke einzuwirken, wodurch eine Reihe von Erschei-
nungen sich herausstellte, die von nicht zu unter-
schätzender Bedeutung sind.
Erster Versuch.
Aus einem grösseren Stück Ochsenfleisch wurden
aus der Mitte zwei kleine Stücke rasch herausge-
schnitten und unmittelbar an Fäden weisser Seide Im
Äther aufgehängt, so dass demnach die frischen Schnitt-
flächen nur momentan mit der atmosphärischen Luft
/
537
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
in Berührung kamen. Beide Fleischstücke zeigten die
bekannte Fleischfarbe und nur an dem einem Stück
war eine kleine Blutader zu bemerken, aus der Spu-
ren von Blut hervortraten.
Die erste Einwirkung des Äthers machte sich da-
durch bemerkbar, dass die Fleisch-Oberflüchen eine
gleichfórmige hellere Fárbung annahmen mit Ausnahme
einer kleinen Seitenfläche, die längere Zeit mit der Luft
in Berührung gewesen war. Diese blieb dunkler ge-
färbt selbst nach Monate langer Einwirkung von Äther.
Nach und nach zeigten sich an verschiedenen Stel-
len der Fleischstücke einzelne weisse Tropfen, die
spüter herabfielen, um sich auf dem Boden des Glases
anzusammeln. Diese Erscheinung nahm nach und nach
zu, indem auf der ganzen Oberflüche des Fleischstückes
ziemlich gleichmässig ölartige erst klare, bald darauf
sich trübende Tropfen hervortraten. Am Boden sam-
melte sich eine trübe Masse an, aus der sich eine
amorphe Substanz auschied, die sich theils zu Boden
senkte, theils hautartig die Flüssigkeit überdeckte.
Nimmt man einen derartigen Tropfen unmittelbar
vom Fleischstück aufs Objectglas zur Prüfung mit dem
Mikroskope, so erkennt man in demselben niehts Kry-
stallinisches. Er bildet eine hyaline Haut, die selbst
nach dem Eintrocknen an der Luft noch deutlich sicht-
bar ist, und ein feinkórniges amorphes Gerinsel, die
sich beide in concentrirter Weinsáure vollstándig auf-
lösen.
Nach drei Tagen der Äther-Einwirkung wurde ein
Stück Fleisch herausgenommen, die auf der Ober-
fläche desselben noch anhaftenden Tropfen abgestreift
und darauf ein frischer Durchschnitt gemacht. Hier-
bei ergab sich, dass mehr oder weniger das ganze
Fleischstück von Äther durchdrungen und hierdurch
mürbe geworden war, während nur die äussersten
Schichten eine graue Farbe zeigten. Die aussenliegen-
den Schichten besassen eine röthliche Färbung, doch
immerhin von geringerer Intensität als das frische
Fleisch. Ebenso blieb das Bild nach einer fünfmonat-
lichen Einwirkung des Äthers. Bei der mikroskopischen
LI
SS Untersuchung dieses Fleisches ergab sich das bekannte
Bild quergestreifter Muskelfiden in aller Schónheit,
. Ja ich möchte noch hinzufügen, dass das Bild schöner
und deutlicher war, als wenn man frisches Fleisch
unmittelbar untere.
Der ausgepresste trübe Saft von stark saurer Reac-
tion gab nach dem Abdampfen an der Luft einen gelb-
lich weissen Rückstand, der bei gelindem Erwürmen
schmolz und hierbei einen starken Bouillon-Geruch
verbreitete. Bei hóherer Temperatur trat unter Auf-
blähung Verkohlung ein, und schliesslich wurde eine
ziemlich schwer verbrennliche Kohle erhalten, die
eine grauschwarze alkalische Asche gab, in der Kalk-
erde, Magnesia, Kali, Phosphorsüure, Schwefelsüure
und Chlor nachgewiesen werden konnten.
Ein anderer Theil des Saftes wurde filtrirt und da-
rauf im klaren Filtrat die Gegenwart von Albumin so-
wohl durch Salpetersáure, als auch durch Erhitzen
der Lósung nachgewiesen.
Schliesslich wurde der Rest des Muskelsaftes 80
viel als möglich vom Äther getrennt und darauf über
Schwefelsäure unter der Luftpumpe abgedampft, wo-
bei sich aus der Lósung verschiedene Krystalle aus-
schieden. Der Rückstand wurde mit Wasser behan-
delt, filtrirt und die so erhaltene blassgelb-róthliche
Lósung wieder abgedampft. Hier schieden sich aus
der Lósung, nachdem sie stark concentrirt war, erst
gróssere farblose Krystalle aus und schliesslich noch
lange Säulen, die dem äusseren Ansehen nach über-
aus an die bekannten Blutkrystalle erinnerten, nur
dass sie hier vollständig farblos waren. Als diese kry-
stallinische Salzmasse mit einigen Tropfen Wasser be-
handelt wurde, so verwandelten sich die langen säu-
lenfórmigen Krystalle in hautartige hyaline Massen
um, an welchen man zum Theil noch die frühere Form
deutlich erkennen konnte. Bei noch grósserem Zusatz
von Wasser bildete sich ein unlóslicher amorpher Nie-
derschlag. Die saure, immer noch Albumin haltige
Lösung, die bei der Prüfung vor der Spalte des Spec- ,
tralapparates ein deutliches Spectrum vom Hämatin
nach Preyer?) gab, wurde abfiltrirt und darauf wie-
der unter der Luftpumpe abgedampft. Diese Lósung,
die einen eigenthümlichen Milehgeruch und Geschmack
zeigte, gab nach dem Abdampfen verschiedene Kry-
stalle, von welchen sich einige durch Grósse und Schón-
heit der Formen auszeichneten. Spüter schied sich
noch aus der Masse ein feines Gerinsel ab, doch die
früher beobachteten langen süulenfórmigen Krystalle
traten nicht mehr auf. Die rückstündige Masse lóste
sich auf Zusatz von Wasser fast vollstándig auf, bis
3) Preyer. Die Blutkrystalle 1871. S. 231 oder Tafel I, II.
Bulletin de l'Académie Empériale
540
7 A
auf die grósseren Krystalle, die getrennt werden konn-
. ten. In der so erhaltenen stark sauren Lósung konnte
die Gegenwart von Albumin nicht mehr nachgewiesen
werden. Auf Zusatz von Kali im Überschuss und von
schwefelsaurer Kupferoxydlósung nahm die Lósung eine
lazurblaue Fürbung an, die beim Erwármen erst hel-
ler wurde und schliesslich in eine gelbe überging. Nach
dem Erkalten fürbte sich die Flüssigkeit durch die
Einwirkung der Luft nach und nach schón violett; er-
hitzte man nun wieder die Lósung, so fand keine Far-
benveründerung mehr statt.
Tweiter Versuch.
Frisches Ochsenfleisch wurde, nachdem es in kleine
Stücke zerschnitten war, im Verdrüngungs - Apparat
mit Äther behandelt. Die rothe Färbung des Fleisches
ging rasch in eine etwas hellere über, doch selbst nach
längerer Einwirkung erfolgte keine solche Entfárbung
des Fleisches, wie im ersten Versuch. Ziemlich rasch
sonderte sich ein vom aufgelósten Blut roth gefárbter
Muskelsaft ab, der anfangs vollstándig klar war, spá-
ter sich trübte, so dass schliesslich ein rothbraun ge-
fürbter Niederschlag erfolgte. Untersuchte man diesen
Muskelsaft bald nach der Ausscheidung vor der Spalte
des Spectral-Apparates, so zeigte sich das deutlichste
Spectrum des Sauerstoff-Hämoglobins (Preyer). Mit
der Zeit der weiteren Einwirkung veründerte sich aber
dieses Spectrum in das des Hámatins, wie schon früher
bemerkt worden ist.
Nach der Filtration des Muskelsaftes erhált man
eine Lósung, die durch den Gehalt an mechanisch ab-
sorbirten Áther vor fernerer Zersetzung geschützt ist.
Erwármt man eine solche Lósung, so erfolgt schon bei
+ 40° C. eine neue Trübung von Albumin, bei 50?
wird die Ausscheidung bedeutend stärker. Trennt man
jetzt das ausgeschiedene Albumin durch Filtration, so
muss man die Lösung bei + 70° erhitzen, um eine
neue Albuminausscheidung zu erreichen. Auch hier
erhält man ein weisses Albumin, und wenn man jetzt
wieder filtrirt, so gewinnt man eine mehr oder weniger
rothbraun gefärbte Lösung von stark saurer Reaction,
die aber durchaus frei von Albumin ist.
Das aus dem Muskelsaft freiwillig ausgeschiedene
Albumin, wie auch das durch Kochen erhaltene, löst
sich in concentrirter Weinsäure vollständig zu einer kla-
ren dünnen Flüssigkeit auf, die bei hinlänglichem Vor-
! handensein von Albumin schliesslich zu einem Gelée er-
starrt. Aus diesen Erscheinungen müssen wir folgern,
dass in diesen Albuminmassen nicht Hüllen von Blut-
kórperchen enthalten sein kónnen, da sich diese durch
eine auffallende Unlöslichkeit in concentrirter Wein-
süure auszeichnen, sondern sie nur aufquellen. |
Behandelt man den dureh Kochen und Filtration
von Albumin befreiten Muskelsaft mit Kalilósung, so
entweieht Ammoniak mit Spuren von Trimethylamin,
das sich durch seinen charakteristischen Geruch zu
erkennen giebt.
Ein Theil des frisch filtrirten Muskelsaftes wurde
zur Bestimmung des specifischen Gewichtes benutzt,
wobei sich ergab
sp. G. des átherhaltigen Muskelsaftes bei + 15° C.
= 1,0120,
sp. G. des ätherfreien Muskelsaftes bei + 15° C.
= 1,0190.
Zur Entfernung des Äthers wurde ein bestimmtes
Volum des Saftes so lange unter der Luftpumpe ab-
gedampft, bis der Geruch nach Äther vollständig ver-
schwunden war. Darauf wurde durch Hinzufügung von
reinem Wasser das ursprüngliche Volum wiederher-.
gestellt und darauf die Wägung ausgeführt.
Dieser Muskelsaft von blutrother, Farbe trübte sich
bei +- 30° C. und später erfolgte eine förmliche Aus-
scheidung von Albumin, das durch Filtration getrennt
werden konnte. Bei erneuerter Erwürmung der Flüssig-
keit trat erst bei A. 62? C. eine neue Ausscheidung von `
Albumin ein, doch die vollstándige Ausfállung des- -
selben erfolgte erst bei .- 80°C. Diese verschiede- `
nen Albumine waren von blendend weisser Farbe, wáb-
rend die Lósung die frühere Färbung behielt und ..
ebenso dieselben Absorptionstreifen, wie vor der Er-
würmung, zeigte. ws
Dieses Verhalten des Fieischsaftes zur Wärme erin- :
nert durchaus an die Angaben von Kühne‘), nach
welchen in der todtstarren Muskel sich drei Albumin-
stoffe befinden sollen, námlich: 1) Alkalialbuminat, `
2) ein bei 4- 45? gerinnender und 3) ein bei 75° gerin-
nender Albuminstoff.
Eine andere Quantität des frischen filtrirten Mus-
kelsaftes wurde mit dem Wilds'chen Polarostrembo-
4) Hoppe - Seyler. Handbuch der physiologisch - chemischen
Analyse 3** Auflage 1870 Seite 385. i ; ;
541
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
542
meter geprüft, wobei sich eine deutliche Drehung von
279 nach rechts herausstellte.
Dritter Versuch.
Frisches Ochsenfleisch wurde wie im vorigen Ver-
such angegeben mit Äther behandelt, der ausgeschie-
dene Muskelsaft vom Äther getrennt und filtrirt. Das
auf dem Filter gesammelte Gerinsel, sorgfáltig aus-
gewaschen, gab bei der Untersuchung unter dem Mi-
kroskope keine besonderen Formelemente zu erkennen.
Das Bild wurde auch nicht deutlicher nach Zusatz von
concentrirter Weinsáure. Im Gegentheil es erfolgte
ziemlich rasch eine vollstindige Auflósung. In glei-
cher Weise wirkte Milchsáure. Eine kleine Quantitát
dieses Ausgeschiedenen wurde mit einer 10%, Koch-
salzlósung behandelt, wobei nur Spuren eines Kór-
pers in Auflósung gingen, die sich beim Kochen durch
eintretende Trübung anzeigten. Nicht mehr wurde von
einer noch verdünnteren Kalisalzlósung, ebenso wie von
einer Salpeterlósung aufgelóst. Diese Versuche zeigen,
dass in dem Gerinsel kein Myosin enhalten ist, oder
wenn, so hóchstens unbedeutende Spuren desselben.
Eine Probe dieses Niederschlages gab nach dem
Trocknen und nach einer Behandlung mit Kochsalz und
Eisessigsáure ausgezeichnete Háminkrystalle, was für
die Gegenwart von o Hämatin spricht. Wurde das
feuchte Gerinsel nach dem Auswaschen mit Wasser
mit Spiritus (75° Tr.) behandelt, so erfolgte bei ge-
linder Erwärmung eine überaus schwache Färbung
des Alkohols. Diese Lósung abfiltrirt, im Wasserbade
eingedampft, gab einen überaus unbedeutenden Rück-
stand, aus dem aber immerhin Spuren von Hámin-
krystallen dargestellt werden konnten. Dieses Auftre-
ten der Häminkrystalle bedarf noch einer näheren Er-
klárung, da meinen bisherigen Erfahrungen nach der
Blutfarbstoff o Hámatin in Spiritus unlóslich ist.
Behandelt man darauf den noch feuchten Rückstand
des Gerinsels mit ammoniakalischem Spiritus, so fárbt
sich derselbe rasch roth und giebt vor der Spalte des
Spectralapparates untersucht das bekannte Spectrum
des sogenannten Sauerstoffs - Hämatinalkali nach
Preyer. Das rückständige Albumin bleibt aber im-
mer schwach braun gefürbt und nimmt beim Trocknen
bei 100? eine dunkelschwarze Farbe an. Behandelt
man dieses ausgetrocknete Albumin mit Eisessigsäure
in einem Gláschen mit eingeriebenem Glasstópsel, so
färbt sich die Säure nach und nach hell rosa, während
das Albumin aufquillt und dabei fast farblos wird.
Die gefärbte Eisessigsäure giebt bei der Untersuchung
mit dem Spectralapparat die bekannten Absorptions-
streifen des Säurebandes.
Der durch die Einwirkung von Äther ausgeschie-
dene Muskelsaft von stark saurer Reaction war blut-
roth gefärbt, nichts destoweniger schied sich aus der
Lösung, beim Erwármen das Albumin mit blendend
weisser Farbe ab.
24,5 CC. des klaren stark nach Äther riechenden
Muskelsaftes wurden in einer Platinschale erst mit
75 CC. Wasser verdünnt und darauf schwach erwärmt.
Zugleich mit der Entweichung des Äthers erfolgte
auch die Trübung der Lösung, doch erst bei einer
Temperatur von gegen + 80°C. erfolgte eine vollstän-
dige Ausscheidung aller Albuminstoffe. Das Albumin
von blendend weisser Farbe wurde auf einem bei 100°
getrocknetem und tarirtem Filter gesammelt, ausge-
waschen und darauf im luftleeren Raume getrocknet.
Dieses Albumin trocknete zu einer dunkelbraunen
hornartigen Masse zusammen = 0,478 Grm., nach
fernerem Trocknen bei 100° wurden 0,423 Grm. er-
halten. Bei höherer Temperatur verbrannte dieses Al-
bumin unter starkem Aufblähen und hinterliess nach
dem Verbrennen der Kohle nur eine Spur von Asche
— 0,003 Grm., in der Kalkerde und Phosphorsäure
nachgewiesen werden konnten.
Das schwach blutfarbene Filtrat, das bei stark sau-
rer Reaction ein überaus scharfes Absorptionsspectrum
von reducirtem Hämatin nach Preyer (Tafel I, 11) gab,
wurde in einer Platinschale im Wasserbade einge-
dampft, wobei durchaus keine fernere Trübung erfolgte.
Schliesslich die Lósung in einem tarirten Platintiegel
eingedampft, und der Rückstand von dunkelbrauner
Farbe, der beim ferneren Trocknen bei 100° einen
überaus starken Bouillon- Geruch verbreitete, dem
Gewichte nach — 1,044 Grm. bestimmt. Dieser Rück-
stand wurde verbrannt und hinterliess schliesslich eine
weisse Asche — 0,244. Diese Asche lóste sich nur
theilweise in Wasser, das darauf eine starke alkalische
Reaction zeigte; nach Zusatz von Salpetersüure erfolgte
vollständige Auflösung ohne irgend welehe Kohlensäure-
Entwickelung. Diese Lösung wurde wieder eingedampft,
getrocknet und darauf mit Wasser behandelt, wobei
543
Bulletin de l'Académie Impériale
cine vollstándige Lósung der Salzmasse erfolgte, ein
Zeichen der Abwesenheit von Kieselsáure.
Die Lósung wurde mit Ammoniak im Überschuss
versetzt, der Niederschlag von phosphorsaurer Magne-
sia und phosphorsaurer Kalkerde nach 24 Stunden ge-
sammelt und dem Gewichte nach — 0,025 bestimmt.
Dieses Gemenge bestand aus 0,018 Grm. phosphor-
saurer Magnesia und 0,007 Grm. phosphorsaurer
Kalkerde.
Die von diesen Salzen abfiltrirte Lósung wurde mit
einer Eisenchloridlósung von bestimmtem Eisengehalt
— 0,928 Eisen versetzt und mit Ammoniak gefällt.
Das Gewicht des phosphorsäurehaltigen Eisenoxydes
— 0,394 Grm. und folglich Phosphorsäure = 0,0683.
Die vom Eisenoxyd abfiltrirte Lösung wurde ein-
gedampft und darauf nach Zusatz von Salzsäure die
Schwefelsäure durch Barytlösung gefällt. Gewicht des
schwefelsauren Baryts = 0,032 Grm., somit Schwe-
felsäure = 0,011 Grm. `
Stellen wir diese analytischen Resultate zusammen,
so finden wir, dass in 100 CC. Muskelsaft enthalten
sind:
Amic oe 1,72 oder 28,77%
Organische Substanz 3,27 » 54,70»
TER 0,99 » 16,53»
5.98 100
` Femer besteht der bei
stand aus: |
23,37%, feuerfesten Bestandtheilen
76,637, organischen Substanzen.
100° getrocknete Rück-
ES Dieses Verhältniss lässt sich mit demjenigen im
Fleischextract aus der Fabrik Fray-Bentos Liebigs
Company) vergleichen, in dem auf 27,18%, unorga-
nische Substanzen 72,82 organische kommen,
Diese Übereinstimmung ist so genau, als man nur
wünschen kann und hieraus dürfen wir schliessen, dass
der durch Ather ausgepresste Muskelsaft von Ochsen-
fleisch nach Ausscheidung des aufgelösten Albumins
durchaus identisch mit dem Liebig’schen Fleischex-
tract ist.
Die oben angeführten 23,37°/, feuerfester Bestand-
theile bestehen aus: X
À x Wagner. Jahresbericht der chemischen Technologie 1874.
Phosphorsáure.. ......
Schwefelsäure. .......
Phosphorsaure Magnesia 1,72
Phosphorsaure Kalkerde 0,66
Chlorkalum |, ...... 12,68
Kali
23,37
oder in 100 Theilen Asche
Phosphorsäure .. 36,75
Schwefelsáure... 5,05
Magnesia...... 2,62
Kalkerde...... 1,23
Chlorkalium-Kali 54,35
100
Bei diesen analytischen Resultaten müssen wir zu-
erst hervorheben, dass die Bestimmung des Chlors
und Kali nicht ausgeführt worden war, darum diesel-
ben aus dem Verlust bestimmt. Ferner konnten we-
der Kieselerde noch Eisenoxyd in der Asche nachge-
wiesen werden.
Des Vergleiches wegen lasse ich hier die Analyse
der Gesammtasche von Ochsenfleisch nach Stólzel^)
folgen, nach der in 100 Theile Asche enthalten sind:
Ki ons 35,94
Magnesia.... 3,51
Kalkerde.... 1,73
Kalim.: =. 5,36
OD ee 4,86,
Eisenoxyd ... 0,98
Phosphorsáure 34,36
Schwefelsäure. 3,97
Kieselsáure... 2,07
Kohlensäure.. 8,02
100
Beim Vergleich dieser Resultate mit den meinigen
musste man folgern, als ob durch die Einwirkung von
Äther aus dem Fleische alle anorganischen Salze mit
dem Muskelsaft ausgetreten wären. Dagegen spricht
aber die Thatsache, dass, wenn man die mit Äther behan-
delten rückständigen Fleischstücke trocknet und ver-
brennt, man schliesslich einen feuerfesten Rückstand
6) Gorup-Besanez. Physiologische Chemie 1862. Seite 615.
545
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
546
erhált, in dem man Phosphorsáure, Kalkerde, Magnesia
und Kali nachweisen kann. Dieses Factum muss mit
der Zeit durch genaue quantitative Versuche näher
festgestellt werden.
Zugleich müssen wir noch hervorheben, dass, wenn
man die Fleischstücke nach der Behandlung mit Äther
unmittelbar darauf mit Wasser behandelt, eine sauer
reagirende Flüssigkeit erhalten wird, aus der beim
Erhitzen noch Albumin ausgeschieden wird.
Im Verlauf dieser drei Versuche mit Ochsenfleisch
wurden verschiedene Ätherauszüge erhalten, von wel-
chen einige sich durch eine gelbliche Färbung auszeich-
neten, wührend andere wiederum vóllig farblos waren.
Diese Lósungen wurden schliesslich getrennt der De-
stillation unterworfen, um einerseits die im Äther lós-
lichen Substanzen näher kennen zu lernen und anderer-
seits, um den Áther zu neuen Arbeiten wiederzuge-
winnen. Hierbei zeigte es sich, dass die meisten Äther-
lösungen im Verhältniss, als der Äther entwich, sich
mehr und mehr gelb färbten und dass sich beim Er-
kalten aus diesen Lósungen ein weisses festes Fett
__abschied. Beim ferneren Abdampfen schied sich schliess-
lich auch ein gelber fettartiger Körper aus, der sich
' durch eine grosse Leichtlóslichkeit in Alkohol und
Äther auszeichnete. Wurde ein solcher Rückstand mit
Natronlauge behandelt, so erfolgte eine Verseifung,
aus der durch Abdampfen, Verbrennen und Glühen
schliesslich eine weisse Asche gewonnen wurde, in der
Phosphorsäure in reichlicher Menge nachgewiesen wer-
den konnte. Aus dieser Thatsache müssen wir auf das
Vorkommen von Lecithin in diesen Lösungen schliessen.
Auf diese Thatsache hat schon Hoppe-Seyler”) hin-
gewiesen, indem er erwähnt: «Lecithin findet sich
in fast allen bisher darauf untersuchten thie-
rischen nnd pflanzlichen) Zellenflüssigkeiten
und ebenso in fast allen thierischen Flüssig-
- 7) Hoppe-Seyler. l. c. Seite 128.
8) Die Angabe von Hoppe-Seyler, dass sich Lecithin in fast
allen bisher darauf untersuchten pflanzlichen Zellenflüssigkeiten
findet, veranlasst mich zu erwähnen, dass es mir bei meinen bishe-
rigen Untersuchungen noch nicht gelungen ist, dieses Factum bestä-
tiren zu können. Ich möchte es deswegen in Abrede stellen und
glaube auch darauf hinweisen zu müssen, dass wir diese von
E Hoppe-Seyler aufgestellte Annahme weder in dem bekannten
Werke von Julius Sachs, noch von Mayer in seinen agricultur-
chemischen Vorlesungen aufgeführt finden. Káme Lecithin wirklich
in den pflanzlichen Zellenflüssigkeiten allgemein oder auch nur un-
ter besonderen Verhältnissen vor, hätten die genannten Gewährs®
mánner die Thatsache gewiss nicht mit Stillschweigen übergangen.
Tome XXII.
keiten, wie Blut, Transsudate, Galle, Eiter-
flüssigkeiten, besonders reichlich ist es im
Gehirn, Nerven, Eidotter, Sperma, Eiter, Blut,
electrischen Organen der Rochen gefunden.»
Wurden schliesslich diese verschiedenen Atherló-
sungen vor der Spalte des Spectralapparates unter-
sucht, so stellte sich heraus, dass einzelne dieser Ló-
sungen ein überaus deutliches Absorptionsspectrum
des Sauerstoffhimoglobins nach W. Preyer gaben.
Als weiteren Beleg dieser neuen und merkwürdigen
Thatsache führe ich noch folgende quantitative Be-
stimmung dieser Absorptionslinien auf, námlich 60,0
bis 63,5 und 70,6 bis 73,0, somit Linien überein-
stimmend so nah, als man nur wünschen kann, mit den
Angaben von W. Preyer, die einem Gehalt von
0,04 p. c. Hämoglobin entsprechen.
Wie gesagt, diese Erscheinungen der Absorptions-
linien traten nicht bei allen untersuchten Lósungen
gleich stark auf, ja bei einigen traten gar nicht die
Linien auf, obgleich dem äusseren Ansehen nach kein
besonderer Unterschied zwischen den Lósungen fest-
zustellen war.
Eine Erklárung dieser neuen Erscheinung lag durch-
aus nicht auf der Hand, zumal da man, wie bekannt, durch
unmittelbare Ausschüttelung von Blut mit Äther Aus-
züge erhült, die derartige Spectralerscheinungen nicht
zeigen. Als Ausweg suchte ich zuerst die Erklürung
in dem Vorkommen von Lecithin und um mich von
der Richtigkeit einer derartigen Auffassung unmittel-
bar durch den Versuch zu überzeugen, wurden Ei-
dotter direct mit Áther ausgeschüttelt und die so er-
haltenen stark gelb gefárbten Lósungen unmittelbar
oder nach gehóriger Concentration vor der Spalte des
Spectralapparates untersucht. Das Resultat war im-
mer ein durchaus negatives, wobei ich zugleich nicht
unterlassen kann hervorzuheben, dass es mir auch
nicht gelang, die von W. Preyer im chloroformigen
Auszug des Eigelbs angegebenen Absorptionsstreifen
beobachten zu kónnen.
Diese Thatsachen belegen aufs deutlichste, dass die
angeführten Absorptionslinien nicht auf die Gegen-
wart von Lecithin zurückgeführt werden kónnen. Die
Erklürung dieser neuen Erscheinung ist und bleibt
demnach noch eine offne Frage, die aber in physiolo-
gischer Hinsicht von nicht zu unterschätzender Be-
deutung ist.
35
-
547
Bulletin de l’Académie Impériale
548
Beim weiteren Verfolg dieser Erscheinung stellte
es sich nun noch heraus, dass durchaus nicht die
Átherauszüge aus all und jeder Fleischsorte diese
Spectralerscheinung gaben, sondern dieselbe vielmehr
nur selten auftrat. So fand ich diese Erscheinung
nicht in den Ätherauszügen aus Hühnerfleisch, Schwei-
nefleisch, magerem Ochsenfleisch , Lachsfleisch, wäh-
rend sie sehr entschieden und stark aus fettem Ochsen-
fleisch und Kalbfleisch erhalten wurde. In Sonderheit
stark zeigte sich dieses Spectrum in den Ätheraus-
zügen einer Kalbsleber. Bei einer gleichen Behand-
lung einer frischen Ochsenleber zeigten die ersten
8 Ätherauszüge durchaus kein Spectrum, die folgen-
den aber ein überaus starkes. Aus Hühnerlebern wurde
nur ein sehr schwaches Spectrum erhalten.
Bei der Bedeutung dieser Thatsachen halte ich es für
gerechtfertigt, wenn ich mich schon hier etwas aus-
führlicher über diegdie Gewinnung dieser neuen Sub-
stanz begleitenden Erscheinungen auslasse. Hierdurch
gebe ich die Möglichkeit, dass auch von anderen Sei-
ten her dieses neue Factum aufgenommen und ver-
folgt werden kamn, wenngleich ich mir besonders vor-
behalte, diese Untersuchung in möglichst grosser Aus-
dehnung fortzusetzen. |
Bei der Behandlung einer Kalbsleber, die in kleine
Stücke zerschnitten war, erfolgten mit Äther sehr rasch
die osmotischen Erscheinungen, wobei der Äther eine
citronengelbe Farbe annahm. Diese Lösung wurde ab-
gegossen und der Destillation unterworfen, wobei als
Rückstand ein orange-gelbes Öl erhalten wurde, das
bei der Prüfung vor der Spalte des Spectralapparates
nur schwache Spuren eines Speetrums erscheinen liess.
Der wiedergewonnene Äther wurde von Neuem auf die
Leberstücke gegeben, färbte sich nach einiger Zeit
überaus schwach gelblich und wurde erst nach 3-tä-
giger Einwirkung abgegossen und destillirt. Der Rück-
stand zeigte eine schwach bräunlich-gelbe Farbe und
'gab ein bedeutend stärkeres Spectrum als je erstere
Lösung. Die nächstfolgenden Ätherauszüge waren fast
farblos und doch nach einer unbedeutenden Concen-
tration derselben gaben sie das deutlichste Spectrum.
Mit der Behandlung der Leber mit Äther wurde un-
unterbrochen fortgefahren und obgleich schon 8 mal
der Äther erneuert worden war, so gaben die Lösun-
gen immer noch die genannten Absorptionstreifen.
Diese verschiedenen Ätherlösungen wurden schliess-
lich in einem Glaskolben zusammen abgedampft, wo-
bei eine Lösung von röthlich-brauner Farbe erhalten
wurde, die ein überaus deutliches Spectrum gab. Beim
ferneren Abdampfen schieden sich nach und nach roth-
gefärbte Öltropfen aus, während die Lösung eine gelb-
liche Farbe zeigte. Beim Abkühlen erstarrten diese
Öltropfen zu einer rothgefärbten durchscheinenden
Masse, so dass die überstehende trübe gelb gefärbte
Lösung abgegossen und der Rückstand noch mit Was-
ser abgewaschen werden konnte. Dieser Rückstand
gab das schönste Spectrum des Hämoglobins nach
Preyer.
Setzte man diesen Rückstand im Glaskolben der Tem-
peratur des kochenden Wassers aus, so erfolgte keine
Schmelzung, kein Flüssigwerden, aber auch keine an-
deren Veränderungen der Masse zeigten sich. In Äther
und Alkohol ist dieser Rückstand löslich mit schwa-
cher Blutfarbe, und diese Lösung giebt das Spectrum
in bekannter Weise. Beim Behandeln mit Natronlauge
erhält man eine Seife, die nach dem Erkalten erstarrt
und dabei immer noch dasselbe Spectrum zeigt. Ebenso
wird das Spectrum durch eine Behandlung mit Schwe-
felnatrium nicht verändert, dasselbe gilt, wenn man
die alkoholische Lösung mit Essigsäure behandelt. Es
tritt hier kein Säureband, wie beim Blut, auf, son-
dern nach und nach verschwindet das Speetrum voll-
ständig. !
Durch dieses Verhalten der Lósung zum Schwefel-
natrium und zur Essigsäure unterscheidet sich das
oben erwähnte Spectrum in überaus charakteristischer
Weise vom Spectrum des Hämoglobins. a +
Behandelt man eine kleine Probe dieser fettartigen
Substanz auf dem Objectglase in bekannter Weise mit `
Kochsalz und Eisessigsüure, so erhált man keine Há-
minkrystalle.
= Kocht man diese Substanz in einer Platinschale mit
Natronlauge, so erfolgt nach und nach eine vollstándige
Verseifung, so dass bei gehóriger Concentration die .
ganze Masse seifenartig erstarrt. Beim weitéren Ab-
dampfen dieser Seife im Wasserbade erhält schliess-
lich einen gelblich gefärbten Rückstand, der in Al-
kohol nur zum Theil löslich ist. Die alkoholische Lö-
sung von schwach róthlich-brauner Farbe zeigt das
frühere Spectrum in ausgezeichneter Weise und giebt
‚beim Abdampfen einen schwach gefärbten Rückstand,
der schwer in kaltem, leicht in kochendem Alko-
549
des Sciences de Saint- Pétersbourg.
550
hol lóslich ist. Diese Lósung, bei deutlicher alka-
lischer Reaction, giebt immer die unveránderten Ab-
sorptionsstreifen. Versetzt man diese Lósung mit Na-
tronlósung und verdampft sie, so erhält man einen Rück-
stand, der bei hóherer Temperatur unter Verbreitung
eines starken Geruchs nach Fett verbrennt, wobei
. zuletzt eine Asche hinterbleibt, in der die Gegenwart
von Phosphorsäure mit Leichtigkeit nachgewiesen wer-
den konnte.
Der nach der Verseifuug und nach der Behandlung
mit Alkohol unlösliche Rückstand ist in Wasser leicht
löslich mit schwach gelblicher Farbe und zeigt keine
Absorptionsstreifen. Dieser in Alkohol unlösliche Rück-
stand verbrennt auch bei höherer Temperatur unter
Verbreitung eines Fettgeruchs und unter Hinterlas-
sung einer Asche, in der die Gegenwart von Phos-
phorsäure dargelegt werden konnte.
Versetzt man die wässrige Lösung dieser Verbin-
dung mit Schwefelsäure, so erfolgt erst starke Ent-
wickelung von Kohlensäure und darauf Trübung durch
Abscheidung der fettartigen Säure. Schüttelt man
jetzt diese Lösung mit Äther aus, so löst sich die
Fettsäure mit gelblicher Farbe auf. Dampft man diese
Lósung wieder ab, so erhált man einen Riickstand, in
dem man nach dem Verkohlen Phosphorsáure nach-
weisen kann und der vor der Spalte des Spectralappa-
rates keine Absorptionstreifen zeigt. Dieser Rückstand,
sorgfältig mit Wasser ausgewaschen, um möglicher
Weise vorhandene Spuren von Schwefelsäure zu ent-
fernen, und dann in Alkohol aufgelóst, zeigte eine
deutliche saure Reaction.
Behandelt man die nach dem Ausziehen mit Äther
rückstündigen Leberstücke mit kochendem absolutem
. Alkohol, so erhält man eine schwach grünliche Lösung,
die sich leicht filtriren lässt. Diese Lösung im Was-
serbade eingedampft hinterlässt einen grünen glänzen-
den Rückstand, der sich in Wasser zu einer schleimi-
gen opalisirenden grünlichen Masse auflöst, die einer
verdünnten Gallenlösung überaus ähnlich aussieht.
Ausserdem verbreitete dieser Rückstand, ebenso wie
die Lösung einen eigenthümlichen süsslichen Geruch.
Prüft man eine kleine Probe dieser Lösung mit der
Fehling’schen Kupferlósung, so stellt sich überaus
rasch eine Ausscheidung von Kupferoxydul ein, als
Zeichen der Gegenwart von Traubenzucker. Ver-
setzt man eine andere Probe mit concentrirter Schwe-
felsäure unter Vermeidung einer besonderen Steiget
rung der Temperatur der Flüssigkeit, so färbt sich die
Lósung blassroth als Zeichen der Gegenwart von
Gallensáuren. Schüttelt man schliesslich den Rest
der wässrigen Lösung mit Äther, so färbt sich der
Äther wieder grün und prüft man darauf diese Lösung
vor der Spalte der Spectralapparates, so zeigt sich
noch ein schwaches Spectrum, was darauf hinweist,
| dass bei den Behandlungen der Leberstücke mit Äther
noch nicht die ganze Quantität des das Spectrum ge-
benden Körpers extrahirt worden war. Eine zweite
Behandlung der Leberstücke mit Alkohol gab eine
Lösung, in der man immer noch Spuren von Zucker
und Gallensäuren nachweisen konnte, es zeigten sich
aber keine Spectralerscheinungen mehr.
Diese hier mitgetheilten Erfahrungen über die durch
die Einwigkung von Äther auf Fleisch hervorgerufenen
osmotischen Erscheinungen veranlassten mich, dieser-
ben als Ausgangspunkt zu einer Reihe vergleichender
quantitativer Fleischanalysen verschiedener Thiere zu
nehmen. Diese neuen umfangreichen Arbeiten schlossen
sich in unerwarteter Weise an eine von der Kaiser-
lichen caucasischen medicinischen Gesellschaft aufge-
stellte Frage: «über die Nahrhaftigkeit des hie-
sigen Fleisches zum Tscherkasskischen» an.
Wenn gleich wenig zur endgültigen Entscheidung die-
ser Frage, die zumal für die Verpflegung der caucasi-
schen Armee von grósster Bedeutung ist, auf rein che-
misch - analytischem Wege spricht, so hoffe ich doch
immer durch meine unternommenen Untersuchungen
etwas zur Lósung derselben beizutragen. Von dieser
Überzeugung ausgehend theilte ich schon vor einigen
Wochen der Kaiserlichen caucasischen medicinischen
Gesellschaft meine ersten Resultate der Fleischanaly-
sen in kurzer Zusammenstellung mit. .
Unabhängig hiervon gehen aber meine Untersu-
chungen ungehindert weiter, und hoffentlich ist es mir
gestattet, nach einiger Zeit wieder berichten zu kónnen.
Tiflis, 13. April 1876. |
Fortgesetzte Untersuchungen über den Encke'schen
Cometen. Von Dr. E. v. Asten. on le 21 septembre
1876.)
In meiner letzten der Kais. Academie mitgetheilten
Abhandlung (Bull. T. XX, Pg. 340—366) habe ich
^ 35*
551
Bulletin de l'Académie Impériale
552
Resultate behandelt, welche sich aus der Verbindung
der vier in die Jahre 1861 — 62, 1865, 1868 und 1871
fallenden Erscheinungen des Encke'schen Cometen er-
geben haben. Es hatte sich dabei gezeigt, dass die al-
gemeinen, die himmlischen Bewegungen regelnden,
Gesetze hinreichten, den Lauf des Cometen wührend
der sechs Jahre 1865—71 zu erkláren, wührend der
Anschluss der Beobachtungen von 1861—62 die Zu-
ziehung der Hypothese einer Acceleration von nahezu
dem durch Encke's Rechnungen festgestellten Betrage
nóthig machte. Weitere Untersuchungen, bei denen
die sümmtlichen in die Jahre 1855-75 fallenden Er-
scheinungen in den Kreis der Betrachtung gezogen
- wurden, habe ich seitdem in den Astronomischeu Nach-
richten X 2038— 2039 veröffentlicht. Trotz des in
gewisser Beziehung unvollstándigen Characters dieser
Rechnungen liess sich. dennoch schon mit Bestimmt-
heit daraus folgern, dass die Entwickelung der Theorie
des Encke'schen Cometen ohne die Annahme einer im
Allgemeinen bei jedem Umlaufe eintretenden Accele-
ration seiner mittleren Bewegung unmöglich sein werde.
Indessen schienen mir mehrere Gründe gegen die Hy-
- pothese zu sprechen, welche die Ursache dieser Er-
scheinung in einem widerstehenden Mittel sucht. Ausser
dem oben erwühnten Umstande, dem scheinbar vólli-
gen Ausbleiben der Acceleration wührend der Zeit
1865—1871, gehören hierher, allerdings verhältniss-
mässig kleine, Störungen des Laufes des Cometen,
welche bestimmten Gesetzen nicht zu folgen schienen,
deren Vorhandensein jedoch einem eingehenden Stu-
dium der exacten Encke’schen Arbeiten während des
Zeitraumes 1818—48 nicht entgehen kann. Ausser-
dem zeigte die Discussion der Beobachtungen von
1875, dass zwischen 1871 und 1875 zwar unzweifel-
haft eine Vergrösserung der mittleren Bewegung des
Cometen eingetreten ist, dass der Betrag derselben
jedoch nur zwei Drittel des aus Encke’s Rechnungen
zwischen 1818—48 und den meinigen zwischen 1855
und 1865 abgeleiteten Mittelwerthes derselben er-
reichte. Die aus diesen Stórungen resultirenden Ab-
weichungen der Theorie von den Beobachtungen, deren
Erklärung weder Encke noch mir bisher gelungen
war, glaubte ich dem Umstande zuschreiben zu müssen,
dass die Grüsse der Acceleration wáhrend jedes Um-
laufs des Cometen keine constante sondern veründer-
liche Grósse sei. Die analytische Entwickelung der
Theorie der Bewegung in einem widerstehenden Mittel
giebt zwar Rechenschaft von Veründerungen in der
Acceleration. Dieselben sind jedoch einerseits von der
Art, dass sie der Rechnung unterworfen werden kón-
nen und von Encke auch unterworfen worden sind, an-
dererseits, da sie von den verháltnissmássig nicht gros-
sen Veränderungen der Cometenbahn durch die Stö-
rungen der Planeten und durch die A leration selbst
abhüngen, von solcher Kleinheit, dass sie sich der Con-
statirung durch die Beobachtungen jedenfalls entzie-
hen müssen. Um solche Störungen in der Regelmäs-
sigkeit der Acceleration zu erklären, wie sie so eben
besprochen worden sind, müsste man ausser dem durch
den Äther bewirkten Widerstande auch noch auf
physische Veründerungen im Innern der Cometen-
materie Rücksicht nehmen, immer vorausgesetzt na-
türlich, dass man es hier mit, der Bewegung des En-
cke'schen Cometen eigenthümlichen, Phánomenen zu
thun hat. Unter diesen Umstánden schien es mir aber
einfacher, die ganze Ursache der Acceleration in eine
Thätigkeit des Cometen selbst zu verlegen, wie es be-
kanntlich Bessel vorgeschlagen hat. Indem ich jedoch
die Entscheidung über diesen delicaten Punkt ver-
schob, bis durch Rückwärtsführung der Stórungen bis
1848 ein Anschluss an die Encke'schen Rechnungen
gewonnen sei, machte ich schon 1874 darauf auf-
merksam, dass die Zuziehung einer eventuellen Secular-
ünderung der Excentricitit der Cometenbahn ein
passendes Mittel bieten kónne, über die relative
Wahrscheinlichkeit beider Erklárungsarten zu ent-
scheiden. Da dieser Anschluss jetzt gewonnen ist, steht
mir zur Prüfung der Frage das Material von 18 in die
Jahre 1818—1875 fallenden Erscheinungen zu Ge-
bote. Indem ich mir vorbehalte, das Detail meiner Un-
tersuchungen in einem ausführlichen Mémoire zu ge-
ben, dessen einzelne Theile noch einer weiteren Durch-
arbeitung bedürfen, halte ich es für wünschenswerth,
die gewonnen Hauptresultate schon jetzt zur Kenntniss
des Publicums zu bringen, um so mehr, als ich den
Standpunkt, auf dem ich zur Zeit meiner letzten Mit-
theilungen stand, jetzt nicht mehr vertreten kann.
Wenn ich mich bei Begründung dieser Resultate et-
was kürzer fasse, als Manchem vielleicht wünschens-
werth erscheinen wird, so muss ich dafür die Nachsicht
der Astronomen in Anspruch nehmen und kann nur auf
das Mémoire verweisen, welches mit möglichster Be-
553
‘des Sciences de Saint - Pétersbourg.
schleunigung zu vollenden, meine nächste Sorge sein
wird.
übergehe, welches ich bei der Verbindung der Er-
scheinungen 1818— 1875 einschlug, halte ich es für | _
unnóthig, bei den Principien zu verweilen, welche mich
bei der Entwickelung der planetarischen Stórungen in
dem Zeitraume 1848— 1875 leiteten, da dieselben
bei anderen Gelegenheiten zur Genigé erórtert wor-
den sind. Ich will hier nur erwühnen, dass, da ur-
sprünglich nur die Bestimmung der Masse des Mer-
cur im Plane der Arbeit lag, welche' gewissermassen
ein Element der Theorie des Encke'schen Cometen
bildet, die Summation der Stórungen für die 5 Plane-
ten Venus, Erde, Mars, Jupiter und Saturn gemein-
schaftlich ausgeführt wurde. Die zu Grunde pue
Massen für diese Planeten sind: *
m (9) = tee:
mbr C)— eem
m (d) = er
m (%) = ER
m (Š) = ur
Ein Versuch, die Beobachtungen des Cometen dar-
zustellen, indem man diese Massen unverändert bei-
behielt, liess aber so grosse Fehler übrig, dass ich
mich genöthigt sah, zu untersuchen, ob nicht die Än-
derung einer oder einiger derselben nöthig sei. Eine
Correction der Jupitersmasse, welche ohne Schwie-
rigkeit eingeführt werden konnte, indem die Summe
aller Störungen mit den durch den Jupiter allein er-
zeugten identificirt wurde, führte zu keinem befriedi-
genden Ziele. Da jedoch das Gewicht dieser Masse
sich als sehr bedeutend herausstellte, wurde sie bei
Auflösung der Gleichungen als zu bestimmende Unbe-
kannte beibehalten. Ausser den Jupitersstörungen sind
nur diejenigen von grösserer Bedeutung, welche der
Comet durch Venus und Erde erleidet. Dass die be-
nutzte Burkhardt’sche Venusmasse bedeutend feh-
lerhaft sei, war nicht zu befürchten, da das von Le-
verrier in neuerer Zeit gefundene Resultat, nämlich:
Indem ich jetzt zu der Darstellung des Verfahrens
m(2)= uu
nur etwa /, davon verschieden ist. Bei der Erdmasse
ist es aber etwas Anderes. Die Masse m ( + C)
= — 355409 Ist von Encke aus der Verbindung seiner
Sonnenparallaxe mit den D ároi
und der allgemeinen Schwere an dessen Oberflüche
abgeleitet worden. Der jetzt am meisten gebrüuchliche
Werth der Sonnenparallaxe, der von Newcomb, näm-
lich:
BERN
würde diese Masse um etwa ein Zehntel vergrös-
sern. Da sich jedoch die Astronomen über den jetzt
anzunehmenden Werth der Sonnenparallaxe noch nicht
endgültig geeinigt haben, und da mich ausserdem der
Gedanke reizte, auf einem gewiss unerwarteten Wege
einen Beitrag zu einer der jetzt auf der Tagesordnung
stehenden Fragen der Astronomie zu liefern, beschloss
ich, nicht etwa die Störungen durch Einführung des
Newcomb'schen Werthes der Erdmasse zu verbessern,
sondern diese Masse aus den Beobachtungen des En-
cke’schen Cometen selbst zu bestimmen. Da die Stö-
rungen des Encke’schen Cometen durch die Erde
jedoch nur für die Periode 1818— 1848 getrennt von
den Störungen der übrigen Planeten vorlagen, hätte
ich die Summation für den Zeitraum 1848—1875
noch einmal besonders ausführen müssen, wodurch ein
nicht unbeträchtlicher Zuwachs an Arbeit entstanden
sein würde, wenn sich in diesem speciellen Falle nicht
ein Mittel dargeboten hätte, dessen Anwendung mich
dieser Mühe überhob. Wenn nämlich die von Han-
sen in seiner Pariser Preisschrift entwickelten abso-
luten Erdstörungen des Encke’schen Cometen, deren
etwas vollständigere Ableitung zugleich eine meiner
ersten Arbeiten über diesen Cometen gebildet hat,
auch zu ungenau sind, um die Resultate der speciellen
Störungsrechnung ersetzen zu können, so überzeugte
mich doch die Vergleichung derselben mit den durch
die Methode der Variation der Constanten von Encke
berechneten Störungen, dass ihre Verwerthung für
die Bildung der Coefficienten der Erdmasse möglich
sei, ohne merkliche Fehler befürchten zu müssen. In
den Erd-Störungen der mittleren Anomalie des En-
cke’schen Cometen kommt ein Glied vor, welches bei
der Masse m(4+ €) — agy 186" beträgt, und
555
Bulletin de l'Académie Impériale
556
dessen Periode ungeführ 47 Jahre umfasst. Da die
Beobachtungen, welche mir zur Bahnbestimmung dien-
ten, sich über einen Zeitraum von 57 Jahren ver-
theilen, musste der Einfluss eines Fehlers dieses Glie-
des sehr betrüchtlich werden, da sein Coefficient geo-
centrisch im Durchschnitt fünf, im Maximum sogar
achtzehnmal vergróssert auftritt.
Ich komme jetzt zu der dem Encke'schen Cometen
eigenthümlichen und daher empirisch zu ermittelnden
Stórung. Die Schwierigkeit, ihre Ursache zu ergrün-
den, entspringt besonders aus dem Umstande, dass sie
sich wesentlich nur in einem einzigen Elemente, der
mittleren Bewegung, bemerklich macht, und dass die
Beobachtungen immer in demselben kleinen das Pe-
rihel einschliessenden Theile der Cometenhahn con-
centrirt sind. Wir wissen über dieselbe eigentlich
nichts Anderes, als dass sich die mittlere Bewegung
des Cometen im Laufe jeder Revolution um eine Quan-
tität vergrüssert, welche im Grossen und Ganzen als
eine Constante betrachtet werden darf. Offenbar kann
dieser Bedingung durch unzählige Hypothesen genügt
werden. Die einfachste unter denselben scheint die zu
sein, dass sich der ganze Betrag der Stórung aus einer
stetigen Folge von Incrementen zusammensetze, wel-
che die mittlere Bewegung auf allen Punkten der
Bahn gleichmässig empfängt, oder mit anderen Wor-
ten, dass die mittlere Bewegung, nach Abzug der pla-
netarischen Stórungen, die Form:
p= py + Art
habe, wo t die von der Epoche an gerechnete Zeit be-
deutet. Alle anderen Hypothesen kónnen in der Form:
p=p+ f o(d
zusammengefasst werden, wo r den Radiusvector des
Cometen bezeichnet, welche besagt, dass in gewissen
Theilen der Bahn grössere Beträge der Störung ein-
treten, als in anderen. Für die Rechnung wird es am
bequemsten sein, anzunehmen, dass sich das Element
y. jedes Mal in dem Augenblicke, wo der Comet einen
bestimmten Punkt seiner Bahn passirt, sprungweise än-
dert. Ich habe eine solche Form adoptirt und den
Augenblick des Eintritts der Störung in die jedes-
malige Perihelpassage verlegt. Es versteht sich von
selbst, dass das nicht der Fall der Natur sein kann.
Die gewählte Form wird sich diesem aber so nähern,
dass der Unterschied für jede Erfahrung unmerklich
sein wird, wenn es wahr ist, dass der ganze Betrag der
Störung sich innerhalb eines sehr kurzen den Moment
der Perihelpassage einschliessenden Zeitraumes zusam-
mensummirt. Einen Grund, dieser Annahme den Vorzug
vor anderen zu geben, giebt der Faye'sche Comet an
die Hand, in dessen Bewegung die sorgfältige Unter-
suchung des Herrn Prof. Axel Möller den Einfluss
besonderer Kräfte nicht hat entdecken können. Will
man diesem Himmelskörper nicht eine von der des
Encke'schen Cómeten wesentlich verschiedene Con-
stitution beilegen, so muss man die Ursache der Stö-
rung in Kräften suchen, welche nur in Regionen des
Weltenraums wirksam sind, durch welche sich der
Faye’sche Comet nicht bewegt, d. h. in Regionen,
welche der Sonne näher liegen, als das Perihel dieses
Cometen. Von Hypothesen, welche diese Voraus-
setzung erfüllen, sind bisher zwei Gegenstand der
Discussion gewesen. Die erste erklärt die Accelė-
ration durch den Widerstand eines Mittels, welches
proportional dem Quadrate der Geschwindigkeit des
sich in demselben bewegenden Körpers wirkt, und
dessen Dichtigkeit umgekehrt proportional dem Qua-
drate der Entfernung von der Sonne variirt. Die zweite
erkennt diese Ursache in Ausströmungen von mate-
riellen Theilen aus dem Cometenkörper. Die erste
dieser Hypothesen ist von Encke streng der Bearbei-
tung seines Cometen zu Grunde gelegt worden. Ihre
analytische Entwickelung zeigt, dass 9 Zehntel der
ganzen in einem Umlaufe erzeugten Acceleration in
der kurzen Zeit von 50 Tagen, während der Comet den
von den Radien vectoren 0,7 eingeschlossenen Theil-
seiner Bahn durchläuft, erfüllt werden. Der Wider-
stand erzeugt aber, während er die Elemente Knoten
und Neigung ganz ungeändert lässt und in der Länge
des Perihels nur sehr kleine periodische Störungen
hervorbringt, ausser der Acceleration der mittleren
Bewegung auch eine Secularánderung der Excentri-
cität. Da Encke die Ursache der Acceleration, welche
sein Comet notorisch erführt, als erkannt stipulirte,
konnte er beide Änderungen aus einander theoretisch : |
ableiten und brauchte daher aus den Beobachtungen
nur eine einzige Constante, die Constante des Wider-
standes U zu bestimmen. Indem er niemals versucht
hat, den Zahlenwerth beider Quantitáten empirisch
ic
>
557
des Sciences de Saint-Pétersbourg.
558
zu ermitteln, begab er sich aber der Aussicht, dass
gewichtigste Argument, was úberhaupt zu erlangen ist,
für die Richtigkeit seiner Hypothese beizubringen. Da
es meine Absicht war, zuerst das Thatsüchliche der auf
den Cometen wirkenden Kräfte festzustellen, bevor der
Speculation Rechte zugestanden wurden, musste die
unabhángige Bestimmung sowohl der Secularánderung
der mittleren Bewegung als auch der der Excentricitát
aus den Beobachtungen erfolgen. Es ist klar, dass der
Gleichfórmigkeit wegen der Eintritt der Änderung
des Excentricitätswinkels auch in den Augenblick der
Perihelpassage verlegt werden musste.
Aus vorstehender Auseinandersetzung folgt, dass die
Aufgabe vorlag, aus dem gesammten auf 57 Jahre
vertheilten Beobachtungsmaterial 11 Unbekannte zu
ermitteln, nümlich ausser den 6 Elementen der Co-
metenbahn:
7) Die Acceleration der mittleren Be-
wegung bei jeder Perihelpassage . . TM
8) Die Veründerung des Excentricitáts-
winkels bei jeder Perihelpassage. . . y
9) Die Masse des Mercur ......... m($)
10) Die gemeinschaftliche Masse der
Erde nnd des Mondes .......... mé + €)
11) Die Jupitersmasse............. m(2)
Die Beobachtungen vertheilen sich auf 18 in die
Jahre 1818—1875 fallende Erscheinungen, und sind
in 66 Normalórtern vereinigt worden. Wegen des
schon oben erwáhnten Umstandes jedoch, wonach
durch irgend welche Ursache die Wirkung der Acce-
leration beim Übergang über das Perihel von 1868
zum gróssten Theil aufgehoben worden ist, mussten
die beiden letzten Erscheinungen von 1871 und 1875
"mit den dazu gehörenden 9 Normalórtern vorläufig
von der Untersuchung ausgeschlossen werden, so dass
zur Bestimmung der 11 Unbekannten 114 Gleichungen
übrig blieben. Es schien mir ráthlich, die Unter-
suchung über die Ursache, welche der Annahme ge-
máss zwischen 1868 und 1871 der Acceleration ent-
gegengewirkt hat, so lange zu verschieben, bis die aus
den 16 Erscheinungen 1818—1868 abgeleiteten Re-
sultate fertig vorlagen. Die aus den Beobachtungen von
1818 bis 1858 abgeleiteten Normalórter sind unver-
ändert so beibehalten worden, wie sie Encke in sei-
Die Normalórter der vier Erscheinungen 1861— 1871
habe ich in den Astr. Nachr., V 2038—39, gegeben.
Die zur Erscheinung 1875 gehórenden führe ich hier
an. Ausser zwei Pulkowaer Beobachtungen des Hrn.
Geh. Raths O. v.Struve und zweier Berliner Beobach-
tungen von Prof. Tietjen und Dr. Vogel, ist bei
Bildung derselben nur die vorzügliche Beobachtungs-
reihe des Hrn. Prof. Bredichin in Moskau, zu wel-
cher die Vergleichsterne am Repsold'schen Meridian-
kreise der Pulkowaer Sternwarte von Hrn. Rom-
berg bestimmt worden sind, benutzt worden.
Normalórter für die Erscheinung 1875.
M. Berl. Zeit. Æ 1875.0 Decl. 1875.0
1875 Febr. 27,0 5° 36 1053 --10? 4'36;7
März 8,0 10 58 49,3. +12 5 15,9
März 26,0 24 26 29,5 --16 13 12,0
April 8,0 35 53 45,7 +16 49 30,2
Bei der Auflósung der Gleichungen nach der Me-
thode der kleinsten Quadrate erhielten die Normal-
órter der Erscheinungen 1818—19, 1822 u. 1832
das Gewicht ”/,, diejenigen der Erscheinungen 1825
und 1835 das Gewicht Y,, alle anderen das Gewicht 1.
Die Elemente, zu denen ich gelangte und für welche
als Normalepoche die Zeit 1865 Aug. 19,0 M. Berl.
Zeit, gewählt worden ist, nebst ihren —
Fehlern, sind:
Elemente XVI.
T, — 1865 Aug. 19.0 Mittlere Berliner Zeit.
Aequinox 1865.0.
M = 24?46'12,45 + 0,546
zv — 158 3 48,91 + 1,853
Q — 334 32 38,55 + 8,790
i — 13 3 51,21 + 1,177
p = 57 48 43,22 + 1,025
ns 10735871812 + 0,0004632
wW = +0,1044184 = 0,0001353
o = —3,6796 + 0,1501
mini = 1/7636440 = 195907
m(&--C)e 1/305878 + 2272
m(9) = 1/1049,632 + 0,298
Dieselben sind mit XVI bezeichnet worden, weil
sie auf 16 Erscheinungen beruhen. Es ist interessant,
dass aus diesen Elementen folgende System von os-
culirenden Elementen mit demjenigen zusammenzu-
nen 8 academischen Abhandlungen aufgeführt hat.
559
Bulletin de l'Académie Impériale
560
- stellen, welches Encke aus der Discussion der 10 Er-
scheinungen 1818—48 erhielt. Das Encke’sche System
X beruht auf den Massen, welche ich am Anfange
dieser Abhandlung angeführt habe. Die Mercursmasse,
. sowie die sogenannte Constante des Widerstandes
wurde aus den Beobachtungen wie folgt bestimmt:
m (8$) = 1/3271742
— 1/894,892
Aus der letzteren Constante hat Encke in einer
im Berliner astronomischen Jahrbuch für 1861 auf-
genommenen Abhandlungen: «Über die Existenz eines
widerstehenden Mittels im Weltenraume» die folgen-
den Werthe der von mir unabhängig von einander be-
stimmten Quantitäten p’ und e abgeleitet:
p = 050977743
ọ = —3,471
System X (Encke) System XVI (Asten)
T_ „= 1819 Jan. 27.25 M. Pariser Zeit.
M = 359° 59 52,07 359° 59’ 49768
x — 156 59 44,44 156 59 46,78
Q — 334 33 38,99 334 33 17,53
i — 13 37 0,06 13 36 56,01
p= 58 3 43,09 58 3 42,47
p = 1076,958259 10765938309
Aequ. 1819.0
T = 1822 Mai 24.0 M. Par. Zeit.
M = 0° 034554 0? 03915
x = 157 12 16,85 157512 1819 `
Q — 334 25 28,34 334 25 8,79
i= 13 20 23,37 13 20 21,00
e = 57 37 7,06 57 37 8,59
p = 1069527197 10695535612
Aequ. der Epoche.
T oss 1825 Sept. 16.3 M. Par. Zeit.
M= 0 023/01 0° 0'19737
=157 15 3,8. 157 15 5,65
Q — 334 2749,10 334 27 29,87
i — 13 21 30,57 13 21 28,05
o — 57 39 50,36 57 39. 51,81
p = 1070,335921 1070,338311
Aequ. der Epoche.
= 1829 Jan. 9.72 M. Par. Zeit.
359? 59' 28711
157 18 28,05
384 29 32,07
13 20 38,42
57 38 10,04
10697863241
Aequ. der Epoche.
T
M = 359° 59' 21,93
r = 157 18 25,75
Q = 334 29 50,98
i — 18 20 40,91
"9 5738 BET
uw = 1069851933
I.
M = 0 013509
z = 157 21 33,54 -
Q = 334 32 28,33
i — 13 22 15,13
o — 57 43 13,31
uw = 10717330853
50 — 1832 Mai 4.0 M. Par. Zeit.
0° 0' 8/26
157 21 35,95
334 32 9,77
13 22 12,45
57 43 13,93
1071,347675
Aequ. der Epoche.
T , — 1835 Aug. 26.3 M. Par. Zeit.
M = 359° 58' 35/54
x = 157 24 1,77
Q = 334 35 18,77
i = 13 2121,58
o E
p = 1070/756846
57 40 47,02
359° 58' 46/85.
157 24 4,04
334 35 0,38
13 21 18,96
57 40 48,06
1070770606
Aequ. der Epoche.
T , = 1838 Dec. 19,0 M. Par. Zeit.
M = 359° 59' 43/28
r = 157 27 36,51
A = 334 37 0,12
13 21 34,71
57 41 41,30
` i T
o ==
p = 10717148705
359° 59 42/69
157 27 38,97
.334 36 42,27
13 21 32,02
57 41 43,13
10717143915
.—. Aequ. der Epoche.
T ,-— 1842 April 12.0 M. Par. Zeit.
M = 359° 5% 47;40
157 29 59,14
334 39 98,81
13 20 32,71
57 39 12,16
10707617361
Fr 6 92) A
ü d 0 d M
359? 59' 32535
157.30. 188.
334 39 11,20
13 20 30,07
57 39 13,89
1070;621030
Aequ. der Epoche.
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
T_e
ME
—
—
—
—
"c0 ec RT 3
zu
1
M =
T ==
$2
à
9
Ls
Dem pr XVI allein gehóren an die Elemente:
Zeg
T
= 1845 Aug. 9.6 M. Par. ‚Zeit.
359° 59’ 48/54 Eo 51/94
157 44 53,73 157 44 54,84
334 19 51,87 334 19 36,60
13 7 40,26 13. 7 38,87
57 56 16,06 57 56 15,83
1075/313357 1075318179
Aequ. der Epoche.
— 1848 Nov. 26.125 M. Par. Zeit.
0° 0'35,45 0? 0'40/29
157 4741,12 . 157 47 40,36
334 22 30,77 334 22 15,73
13 8 42,16 13 8 40,90
57 58 46,60 57 58 49,59
10767524260 1076/429183
. Aequ. der Epoche.
E Juni 23.0 M. Berliner Zeit.
M = 29?58 31/26
x = 157 51 5,57
Q = 334 23 42,98
(oum 13 °7 499
p = 5757 6,68
p = 10767369543
Aequ. 1852.0.
= 1855 Oct. 6.0 M. Berl. Zeit.
— 2859 5,35
me 157 99 1241
334 26 16,15 -
13 8 4,65
57 57 56,55
1076,523551
Aequ. 1855.0.
859 Jan. 28.0 M. Berl. Zeit.
30° 18’ 31/61
157 57 0,54
334 28 0,63
13. 4 17.25
57 49 17,90
10737963016
Aequ. 1858.0.
jd g un
T ,-- 1862 Mai 22.0 M. Berl. Zeit.
31?15' 6,32
108 T TIE
334 30 57,93
13 4 57,32
57 51 17,64
10747404629
Aequ. 1862.0.
T, — 1865 Aug. 19.0 M. Berl. Zeit.
24° 46 19745
158 3 48,91
334 32 38,55
13 3 51,21
57 48 43,22
1073/871812
Aequ. 1865.0.
T-+, = 1868 Juni 14.0 M. Berl. Zeit.
332? 13' 46,68
158 11 18,25
334 31 33,68
13 6 40,60
58 7 .1,08
1079/029196
Aequ. 1868.0.
FO. Dad e
E » qd d il
die AR
MENS
Die osculirenden Werthe von p. und 9 vor und in-
clusive der Erscheinung von 1848 sind, je nachdem
die Osculationsepochen früher oder spáter als die be-
treffenden Periheldurchgünge fallen, im System XVI
bezüglich um die Hälfte des Werthes der Constanten
v. und o vermehrt oder vermindert worden, ein Ver-
fahren, das natürlich nur rein formale Bedeutung hat,
durch welches jedoch der móglichst beste Anschluss
an die Form, in welcher Encke die Störungen y’ und
el berechnete, erzielt wird. Der Betrag der Störung
durch das widerstehende Mittel lässt sich nämlich
durch den Inhalt einer von einer Curve und der Ab-
scissenaxe eingeschlossenen Fläche repräsentiren ,
welche gegen das Perihel symmetrisch liegt, dort
ihren höchsten Punkt erreicht und deren Ordinaten
mit der Entfernung von demselben rapid, jedoch mit
endlicher Geschwindigkeit gegen die Abscissenaxe zu
abfallen. Die von mir gewählte Form fordert dagegen,
dass, bei gleich bleibendem Inhalte der durch die Curve
36 |
Bulletin de l'Académie Impériale
und Abscissenaxe begrünzten Fläche, sich die Strecke
der Abscissenaxe, wo die Ordinaten noch einen merkli-
chen Werth haben, unendlich zusammenzieht, während
die Ordinate der Curve im Perihel einen unendlich
grossen Werth bekommt. Durch die angewandte Re-
duetion würden daher für das Perihel selbst beide
Formen zu identischen Resultaten führen. Die Normal-
örter werden durch beide Systeme, wie folgt, dargestellt,
wobei zu bemerken ist, dass Encke bei Auflösung
seiner Gleichungen allen Normalörtern gleiches Ge-
wicht gegeben hat.
Darstellung der Normalórter.
Rechnung — Beobachtung.
System X (Encke) XVI (Asten)
M. Pariser Zeit. ARcos® ADecl ARcosd ADecl
1818 Dec. 22,25 1476 +21,6 | +24,5 +-24,8
1819 Jan. 1,25 —16,9 + 2,1 | — 3,1 + E €
12,25 —60,1 —26,7 | —39,8 — 20,7
1822 Juni 2,85 -+50,1 +19,9 +48,3 +23,9
12,85 + 1,0 — 6,9 |.— 2,3 + 4,6
22,95 +25,4 —11,8 +18,7 + 9,3
` 1825 Aug.12,6 —25,0 --13,6 — 38,2 +14,9
17,6 —20,2 + 7,2 | —34,2 + 9,8
22,6 — 97 + 2,7 | —25,1 + 7,5
27,6 — 8,2 — 2,4 | —24,5 + 4,2
Sept. 1,6 + 5,8 — 3,7 | —10,4 + 4,2
6,6 + 0,1 — 4,6 | —16,4 + 4,3
1828 Oct. 28,3 4-10,8 + 4,6 +11,0 +20,8
Nov. 8,3 2-23,8 + 5,6 | +11,0 +19,0
30,3 +36,1 + 4,4 0,0 + 1,6
Dec. 7,3 +39,1 +12,4 | — 6,7 + 3,0
14,3 —+37,1 +15,3 | —15,6 — 1,3
25,3 +38,1 +20,2 | —25,9 — 6,7
1832 Juni 5,9 — 3,3 —34,3 | +41,5 + 8,9
1835 Juli 30,5 —57,9 +21,8 | —19,4 +12,4
Mittlere Berl. Zeit.
1838 Sept. 23,5 +17,3 +24,5 | +11,7 +24,1
Oct. 14,5 — e — 2,4 | —16,7 — 8,2
245 #68 + 2,9 | — 3,2 —13,9
Nov. 5,5 —13,0 — 6,9 | +10,4 —16,0
11,5 — 24,9 —14,8 | + 0,2 —19,2
24,5 .—11,8 — 5,4 | + 7,9 — 7,0
564
System X (Encke) ` (XVI Asten)
M. Pariser Zeit. i ABR cosg8 A Decl. ARcosö A Decl.
1842 März 38 e 5.8 bd 16m 2.7 15 050
298 + 92,6 — 1,8 | + 4,4 — 3,4
April 78 —24,5 —28,7 | — 8,0 — 2,1
Mai 18 16 —104=-25,3 | —19,2 + 4,7
1845 Juli 10,6 +29,7 + 5,2 | +41,4 + 3,7
1848 Sept. 20 15" —20,3 — 1,4 | + 1,9 + 1,9
Out 715 —413 402. 298 = 66
28 15/—— 5,6 456] — 4,7 + 058
Noc d dif 20 cBINS cor 013 Ta:
Durch das System XVI allein werden die betreffen-
den Normalórter, wie folgt, dargestellt:
System XVI.
M. Berl. Zeit.
1852 Jan. 20,5
Febr. 12,5
Márz 8,5
1855 Juli 17,0
30,0
12,0
13,5
11,5
5,5
27.5
Aug.
1858 Aug.
Sept.
Oct.
1861 Nov.
Ca
Lä
a
EA
ec.
1862 Jan.
März
1865 Juni
Juli
27,0
13,0
17,0
22,0
27,5
15,5
23,0
30,0
1868 Juli
: Aug.
AA cos à
:1-20;1
+ 5,4
+25,6
+21,8
+27,5
+29,5
—. 3,8
+ 7,8
+14,3
+20,1
-- 23,0
+ 7,1
(o 4,7
+ 4,0
er pg
—16,4
ARE:
-——
+ 3,6
+ 7,9
+11,4
—+14,6
Die Summe der mit ihren Gewichten multiplieirten
Fehlerquadrate wird für die 114 dem System XVlzu
Grunde liegenden Positionen:
(nn) = 19534,0, =
woraus der wahrscheinliche Fehler eines Normalorts
r= + 9,290
565
des Sciences de Saint - Pétersbourg.
folgt. Für die 35 ersten in die Jahre 1818—1848
fallenden Normalórter wird (nn) = 112668, während
Encke’s Darstellung (nn) = 419701 giebt. Diese
Zahl wird zwar durch Reduction auf meine Gewichte
auf (nn) = 31627,7 vermindert, bleibt jedoch im-
merhin dreimal grösser als die aus meiner Darstellung
folgende Summe der Fehlerquadrate. Die grosse Ver-.
besserung wird noch auffallender, wenn man auf die
Darstellung einzelner Erscheinungen oder Normalörter
eingeht. So ist das Quadrat des Fehlers bei dem Nor-
malorte 1842 Mai 18 bei Encke fast ebenso gross,
als die Summe der Fehlerquadrate für die 35 ersten
Normalörter in meiner Darstellung zusammengenom-
men. Es ist klar, dass diese Verbesserung einzig und
allein den veränderten Massen der Erde und des Ju-
piter zu verdanken ist, welche den Elementen XVI zu
Grunde liegen. Die Mercursmasse kann dabei keinen
Antheil haben, da die Masse m (Y )— 1/3271742
bei Beibehaltung der alten Erd- und Jupitersmasse
den Beobachtungen vor 1848 offenbar besser entspre-
chen muss, als jede andere. Wenn man aber ausser-
dem bedenkt, dass die gefundene kleine Correction
der Bessel'schen Jupitersmasse die Summe der Fehler-
quadrate für alle 114 Gleichungen nur um 3000
+ vermindert, so muss man den weitaus gróssten Antheil
an dieser Verbesserung der starken positiven Correc-
tion zuschreiben, welche die Encke'sche Erdmasse
oder, mit anderen Worten, die Enke'sche Sonnen-
parallaxe erfahren hat. In seiner Abhandlung «Inves-
tigation of the distance of the Sun etc. ete., Washington
1867» giebt Newcomb die folgende Relation zwi-
schen beiden Quantitäten:
log z? = 8,35488 + log m (6),
wobei zu bemerken ist, dass alle in den Coefficienten
von m (5) eintretenden Constanten so genau bekannt
sind, dass für unseren Zweck der numerische Theil
dieses Ausdrucks als absolut genau betrachtet werden
darf. Zieht man von dem oben gefundenen Werthe:
1 |
mr €) — 50587942272
die Mondmasse: m(C)= Sa en(5) ab, so erhält
man zunächst: : i
m (= 5096342299
und. daraus die Sonnenparallaxe:
v = 9;009 + 0,022.
Ohne natürlich die Richtigkeit dieser Zahl innerhalb
der Gränzen ihres wahrscheinlichen Fehlers behaupten
zu wollen, kann ich doch nicht umhin, es als ein
Factum zu betrachten, dass die Theorie des Encke’-
schen Cometen eine Vergrösserung desNewcomb'schen
Werthes z — 8”.85 fordert. Eine weitere Entwicke-
lung meiner Gründe verspare ich für das Eingangs
dieser Abhandlung erwühnte Mémoire.
Meine Bestimmung der Mercursmasse muss ich als
die erste betrachten, welehe uns einen wirklichen Be-
griff von dem materiellen Inhalte des kleinsten unter
den Hauptplaneten giebt. In der Zeit 1818—1868
ist der Encke'sche Comet dem Mercur dreimal sehr
nahe gekommen. Die stärksten Annäherungen beider
Körper waren:
1835 Aug. 23,5 o = 0,120
1848 Nov. 22,6 = 0,039
1858 Oct. 25,1 o — 0,095.
Bei seiner Ableitung der Mercursmasse konnte sich
Encke nur auf die Stórungen stützen, welche der Co-
met bei der ersten der drei angeführten Gelegenheiten
erlitten hat, da die Stórung vom Jahre 1848 erst in
der folgenden Erscheinung von 1852 sich in den De-
obachtungen zeigen konnte, weil hier nur die Ände-
rung der mittleren Bewegung in Betracht kommen
kann. Da nun, wie Encke in seiner 7. Abhandlung
selbst gezeigt hat, die Mercursstórungen in der Zeit
bis 1848 sich derart mit der dem Encke’schen Co-
meten eigenthümlichen empirischen Störung vermi-
schen, dass ihr Einfluss fast vollständig durch eine
kleine Änderung der Acceleration ersetzt werden kann,
leuchtet es ein, dass die Encke’sche Bestimmung höch-
stens als Gränzwerth Bedeutung habeu kann. Ganz
anders liegt die Sache aber für das aus den 50 Jahren
—
'1818—1868 abgeleitete Resultat. Nicht allein wirk-
ten die in den Jahren 1848 und 1858 eingetretenen
viel bedeutenderen Störungen bei dieser Bestimmung
| mit, der längere Zeitraum, über den die Beobachtun-
gen vertheilt sind, würde auch schon für sich allein
die Ersetzung der im Jahre 1835 erfolgten Störung
durch eine Variation der Acceleration nicht erlaubt
haben. Aus der Combination der Masse m (Y Les
Lagun mit dem Halbmesser des Mercur in der Ein-
heit der Entfernung 3734, der Sonnenparallaxe 97009
, 36*
567
Bulletin de l'Académie Impériale
1... NIORT DRE
und der Erdmasse m (5) = een, ergiebt sich die Dich-
tigkeit des Mercur zu 0,80 der Dichtigkeit der Erde.
Über die gefundene Jupitersmasse ist hier nichts
Anderes zu bemerken, als dass sie in guter Überein-
stimmung mit den auf anderen Wegen gefundenen
Zahlen steht.
So interessant auch die eben besprochenen Resul-
tate in Bezug auf die Massen dreier Planeten sind, so
liegt doch der Kern vorliegender Untersuchung in den
Aufschlüssen, welche sie uns über das Wesen der
dem Encke'schen Cometen eigenthümlichen Stórung
. verschafft. Wenn die Beobachtungen auch nicht der-
artig dargestellt worden sind, dass die übrig bleiben-
den Fehler als die wirklichen Beobachtungsfehler an-
gesehen werden dürfen, so liegt doch kein Grund vor,
aus denselben auf andere den Lauf des Cometen be-
einflussende Krüfte zu schliessen, als die wirklich vor-
ausgesetzten. Diese Fehler sind in der That eher klei-
ner, als man bei Anwendung der speciellen Stórungen
während eines Zeitraumes von 50 Jahren auf einen
Kórper wie der Encke'sche Comet, dessen Perihel
innerhalb der Mercursbahn liegt und dessen Excen-
` trieität sehr bedeutend ist, hätte erwarten sollen. Denn
man darf nicht ausser Acht lassen, dass man bei Beur-
theilung der Güte der Darstellung der Beobachtun-
gen durch die Rechnung eigentlich nur auf die im he-
` liocentrischen Orte übrig bleibenden Fehler zu sehen
hat, welche etwa fünfmal kleiner ausfallen werden
als im geocentrischen Orte. Variatiónen von mehr
als einigen Tausendtheilen der Secunde in der Grösse
der Störung y” während einzelner Perihelpassagen
sind durch die Untersuchung von der Möglichkeit
ausgeschlossen. Besonders fesselt die Aufmerksamkeit
aber die Relation, in welcher die empirisch ermittelte
Störung der Excentricitit o zu der Acceleration der
mittleren Bewegung y” steht. Dies Verhältniss ist näm-
lich in der That dasselbe, welehes die Hypothese for-
— dert, dass die beiden Störungen durch ein Mittel er-
zeugt werden, dessen Dichtigkeit umgekehrt propor-
tional dem Quadrate des Abstandes von der Sonne
variirt, und welches der Bewegung eines sich in dem-
selben bewegenden Kórpers einen Widerstand entge-
gensetzt, der proportional dem Quadrate der Geschwin-
digkeit desselben' wirkt. Berechnet man námlich aus |
der Constanten p — + 071044184 den Werth von
w theoretisch, so findet man:
: 9 Se TOS
während die Beobachtungen
o = — 3,680 + 07150
geben. Diese Übereinstimmung ist zu frappant, als dass
sie einem Zufalle zugeschrieben werden kónnte, und
man wird daher kaum noch Anstand nehmen dürfen,
zu behaupten, dass die Ursache der ausserordentli-
chen Störung, welche der Encke'sche Comet noto-
risch erfährt, in einem widerstehenden Mittel zu su-
chen ist, Die Thatsache, dass in der Bewegung des
Fay'eschen Cometen der Einfluss eines Widerstandes
sich nicht bemerklich maeht, kann gegen die Existenz
dieses Mittels überhaupt nicht geltend gemacht wer-
den, da dieser Comet immer so weit von der Sonne ent-
fernt bleibt, dass in den Gegenden des Weltenraumes,
durch die er sich bewegt, die Dichtigkeit des Äthers
so gering angenommen werden muss, dass derselbe
dort auch auf die Bewegung des Encke'schen Come-
ten einen merklichen Einfluss nicht mehr übt.
Bis hierher, glaube ich, werden meine Schlüsse
gewichtigeren Einwendungen kaum ausgesetzt sein kón-
nen. Die Sache verwickelt sich jedoch bedeutend, wenn
wir die beiden letzten in die Jahre 1871 und 1875
fallenden Erscheinungen in den Kreis der Betrachtung
ziehen. Die Fortführung der Stórungen, sowohl der
planetarischen, wie der durch den Äther bewirkten,
führt für diese beiden Jahre zu folgenden osculirenden |
Elementen:
System XVI.
T= 2 = 1871 Juli 15,0 M. Berl. Zeit.
M= 309° 59' 5,90
z= 158 13 23,32
AN — 334 34 19,37.
tz de (20,70
o — 58 8 22,80
p = 1079,824622
Aequ. 1871,0
T + 8 — 1874 Oct. 27,0 M. Berl. Zeit.
M= 309? 41' 14577
1-158 17 22,32
Q —334 36 53,97
i = 18 7 16,56
o — 58 8 48,35
u = 10795434257
Aequ. 1875,0
569 des Sciences de Saint - Pétersbourg.
. Da das System XVI auf durchaus solider Basis ruht,
sollte man eine gute Darstellung der Beobachtungen
erwarten. Statt dessen bleiben für die betreffenden
Normalórter folgende enorme Abweichungen der Rech- |
nung von der Beobachtung übrig:
M. Berl. Zeit. AR cos à à Deet -
1871 Oct. 14,5 + 4248 +5 40/5
Nov. 5,5 — 7 395 +9 29,3
Nov. 15,0. —17 45,9 +4 984 |
Noy. 25,5: —23 57,6 —2 30,8
Dec. 5,0 —28 35,1 —5 48,0
1875 Febr.27,0 + 115,2 +0 48,9
Mirz 8,0 + 1443 +0 40,8
Márz26,0 + 2 40,0. —0 22,9
April. 8,0 — 3 42,9 —7 28,2
Da die Störungsrechnungen unabhängig von einander
zweimal durchgeführt worden sind, steht es für mich
fest, dass die Ursache dieser Fehler in einer Naturer-
scheinung zu suchen ist. Um ihrer Ursache auf die
Spur zu kommen, wurden die beiden Erscheinungen
zuerst unter Anwendung der dem System XVI eigen-
thümlichen Massen so wie der zugehörigen Constante
des Widerstandes verbunden, eine Operation, aus der
das System II hervorging:
System II. (1871— 1875).
T — 1871 Juli 15,0 M. Berl. Zeit.
M=309° 57' 36,20 + 0,498
z — 158 13 23,76 + 4,191
Q=334 34 21,20 + 13,221
i= 13 7 26,68 + 1,941
p = 58 8 29,99 -t 2,044
y —1079,706427 Æ 0,001357
Aequ. 1871,0
T — 1874 Oct. 27,0 M. Berl. Zeit
M—309 37' 23,25
e = 168 :.17 29,76
Q —334 36 55,80
asta DOF ANA
p= 58 8 54,48
E w = 1079/316062
t3 Aequ. 1875,0
welches die 9 Normalórter, wie folgt, darstellt:
Rechn. — Beob.
M. Berl. Zeit. AR cos. A Decl.
1871 Oct. 14,5 — 7,0 — 270
Nov. 5,5-- 7,10 — 2,4
Nov. 15,0+1,9 + 3,7
Nov. 25,5 —3,3 - 3,9
Dec. 5,0—2,7 — 3,9
1875 Febr. 27,0 — 2,1 + 5,6
März 8,0—3,4 — 1,7
März 26,0— 5,2 — 0,5
April. 8,0 — 1,6 — 2,3
Die Summe der Fehlerquadrate ist 261,6.
Die Unterschiede beider Systeme sind in den 4 Ele-
menten T, $2, ?, @ höchst unbedeutend, desto eclatan-
ter ist aber die Differenz in den beiden Elementen M
und y, welche den Ort des Cometen in seiner Bahn
bestimmen. Die Ursache der Abweichung zwischen
Theorie und Beobachtung muss daher in einer Stö-
rung gesucht werden, welehe die mittlere Bewegung
des Cometen in dem zwischen 1868 Juni 14,0 und 1871
Juli 15,0 liegenden Zeitraume erfahren hat. Ihre
‚Grösse und die Zeit, wo sie Statt gefunden hat, lässt
sich ohne Schwierigkeit bestimmen, wenn man ihr
"Eintreten als momentan betrachtet. Sieht man die für
die Epochen des Systems II gültigen Werthe von M
als Resultate der Beobachtung an, so führt die Verglei-
chung derselben mit den dem System XVI eigenthüm-
lichen Werthen von M zu folgenden Gleichungen:
åp. t= 8970 *
Ap (t + 1200) = — 231,52
in welchen Ay. die Stórung ausdrückt, welche der Co-
met zu einer um ? Tage von der Epoche 1871 Juli
15,0 rückwärts gerechneten Zeit erlitten hat. Man
erhält :
Ay. = — 071 1818
t = — 759 Tage
oder der Zeitpunkt, wann die Störung Statt fand, ist:
1869 Juni 16.
Bringt man die aus dieser Hypothese folgenden Cor-
rectionen von M und p an die Elemente XVI an, so
erhält man folgende Darstellung der Normalörter:
Bulletin de l'Académie Impériale `
572
571
AR cos ò. A Decl.
.1871 Oct. 145 +248 + 27
Nov. 5 25,2 +28,6
Nov. 15,0. — 4,6 29,1
Nov. 25,5 —30,0 +12,1
Dec. 5,0 —33,6 — 6,0
1875 Febr. 27,0 + 5,1 + 7,0
März 8,0 + 40 — 0,5
März 260 + 2,2 + 0,4
Ap. 8,0 + 6,3 + 0,4
Der gefundene Zeitpunkt des Eintritts der Stórung
giebt zu einer eigenthümlichen Vermuthung Anlass.
Der Radius-Vector des Cometen war damals:
log r = 0,5098,
der Comet befand sich also in der Gegend, in der sich die
kleinen Planeten bewegen. Ein Zusammenstoss mit |
einem derselben liegt also nicht ausser der Möglich-
keit. Zu einem solchen müsste es allerdings gewisser-
massen gekommen sein, wenn man für die Masse die-
ser Körper nicht einen Werth annehmen will, der
ausser jeder Wahrscheinlichkeit liegt. Da die Unsi-
cherheit des aus der Erscheinung 1875 gefolgerten
M für den Zeitpunkt des Eintritts dieser Störung un-
geführ einen Spielraum von 150 Tagen übrig lässt, so
. würde sich diese Vermuthung erproben lassen, wenn
man nachweisen könnte, dass Encke’s Comet zwi-
schen April und September 1869 einem dieser klei-
nen Himmelskörper wirklich bis wenigstens auf 0,01
nahe gekommen wäre. Ich habe mir diejenigen unter
den kleinen Playeten, deren Bahnen bekannt sind, auf
diese Vermuthung hin, freilich nur flüchtig, angese-
hen, aber keine Combination gefunden, die ich einer
sorgfältigen und daher zeitraubenden Untersuchung für
werth gehalten hätte, obgleich bedeutende Annäherun-
gen einiger dieser Kórper an den Encke'schen Come-
ten zweifellos Statt gefunden haben. So náherte sich
der Comet der Diana 1869 Mai 28,5 bis quí
o = 0,071. Wollte man aber diesem Planeten so-
gar die Masse m = ‘homww beilegen, so würde der-
selbe in der Zeit 1869 April 5 bis 1869 Juli 25 in
der mittleren Bewegung des Enckeschen Cometen
doch nur eine Störung von Ap. — — 0500160 hervor-
gebracht haben. Selbst dann aber, wenn genauere
Nachforschungen unter den bekannten kleinen Pla-
neten fruchtlos bleiben sollten, würde die Móglich-
keit nicht ausgeschlossen sein, dass die Stórung auf
einen noch unentdeckten Planeten zurückzuführen ist,
besonders da der Comet zu der angegebenen Zeit sich
in einer Entfernung von der Sonne befand, in der sich
nur die entfernteren dieser Kórper bewegen. Wie man
die Sache aber auch ansieht, so ist die eben bespro-
chene Vermuthung, die ich durchaus nicht zum Range
einer Hypothese erheben will, die einzige, welche,
wie mir scheint, zu einer dem speculativen Bedürfniss
des Astronomen in etwas entsprechenden Erklärung
führt. |
— AA
BULLETIN BIBLIOGRAPHIQUE.
L'Académie a recu dans ses dernières séances les
ouvrages dont voici les titres:
Dervischjan, (P. Seraphin). Armeniaca I. Das altarme-
nische «f£. Ein Beitrag zur indo-europäischen Laut-
lehre. Wien 1877. 8.
Nève, (Fél). Exposé des guerres de Tamerlan et de Schah-
Rokh dans l'Asie occidentale. Bruxelles 1860. 8.
Riccardi, (P.). Biblioteca matematica Italiana. Fascic. 4.
(Vol. II). Modena 1876. 4.
Boncompagni, (P.). Bulletino di. bibliografia e di storia
delle scienze matematiche e fisiche. Tomo VIII: Indici. `
Tomo IX. Gennaro— Luglio 1876. Roma 1875— 76. 4.
Archiv der Mathematik und Physik. Gegründet v. Grunert,
fortgesetzt von R. Hoppe. Th. 59. Heft 2. 3. 4. Leipzig
1876. 8.
Bulletin de la Société mathématique de France. Tome IV.
Avril N:4. Mai N5. Paris 1876. 8.
Marie, (Maximilien). Théorie des fonctions de variables
imaginaires T. III. Histoire de cet ouvrage. Paris.
1876. 8.
Gaussin L. Définition du calcul quotientiel d'Eugène Gou-
nelle. Paris 1876. 4 `
Glaisher, (J. W. L.). On a class of identical relations in
the theory of elliptic functions. (From the Philoso-
phical Transact. of the Roy. Soc. of London 165. 2).
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Harant, (A). Théorie des aubes courbes et de leurs effets.
Paris 1876. 8
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Comité international des poids et mesures. Procès-verbaux `
des séances de 1875-1876. Paris 1876. 8.
Vierteljahresschrift der astronomischen Gesellschaft.
X Jahrg. Ar" Heft XI Jahrg. 2" und 3" Heft. Leipzig
1875 — 76. 8.
Memoirs of the royal Astronomical Society. Vol. XLIL `
1873—1875. London 1875. 4. ^
~
w
T Kack 1
CM Se Ut dan r
EE E E dE
|
E
F
hi
)
E
578 des Sciences de Saint- Pétersbourg. 574
Monthly notices of the Royal Astronomical Society.
Vol. XXXVI N: 1. 4—9. London 1875—76. 8.
Wolf, Gad. Me Mittheilungen XXXIX. XL.
Zürich 1 8.
Su VEER und meteorologische Beobach-
tungen an der k. k. Sternwarte zu Prag im Jahre
1875. 36 Jahrgang. Prag 1876. 4.
Annalen der Sternwarte in Leiden, herausg. von Dr. H. G.
Van de Sande Bakhuyzen. A" Bd. Haag 1875. 4.
Van de Sande Bakhuyzen, (H. G.). Verslag van den
staat der sterrenwacht te Leiden. 1873—74. Ana
. dam 1874. 8.
Jahresbericht am 19 Mai 1876 dem Comité der Nicolai-
Hauptsternwarte abgestattet vom Director der Stern-
warte. St. Petersbourg 1876. 8
Block, Eugen, Hilfstafeln zur Berechnung der Polaris-
Azimute zunächst mit Rücksicht auf die Zeitbestim-
mung im Verticale des Polarsterns. St. Petersburg
1875. 4
Nyrén, Magnus, Déclinaisons moyennes corrigées des
étoiles- principales pour l'époque 1845,0 déduites des
observations faites au cercle vertical de Poulkowa
dans les années 1842—1849 et recherthes sur les
erreurs de division du cercle. St.-Pétersbourg 1875. 4.
Publication des Kónigl. Preussischen Geodátischen Insti-
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5. Zusammenstellung e La der Gradmessungs-
— Arbeiten. Berlin 187
2, Astronomisch- senti Arbeiten im Jahre 1875.
Berlin 1876.
3. Das Rheinländische en 1 Heft. Die Bon-
ner Basis. Berlin 1
4. iden IL Heft. Beobachtungen auf dem
- Steinheil’schen Fühlspiegel-Comparator. Berlin1876. 4.
5. Das Präcisions-Nivellement ausgeführt von dem geodä-
tischen Institut B. I. Arbeiten in den Jahren 1867—75.
Berlin 1876. 4.
| Verhandlungen der vom 20 bis 29 September 1875 in Pa-
ris vereinigten: permanenten Commission der euro-
päischen Gradmessung, redigirt von den Schriftfüh-
rern C. Bruhns. A. Hirsch. Berlin 1875. 4.
Oudemans, J. A. C. Die Triangulation von Java. Erste
Abtheilung. Batavia 1875. 4. e
Bulletin de la Société des sciences de Nancy. Série IL
Tome I. fasc. I. III. IV 6° année 1873. 8° année 1875.
Nancy 1874—76. 8.
Composition du conseil d'administration de la Societé des
sciences de Naney pour l'année 1874. Proces-verbaux
des séances 1874. Nancy 1875. 8.
Société des sciences physiques et naturelles de Bordeaux,
Extrait des procès-verbaux des séances. Bordeaux
1876. 8.
Atti della Società Italiana di scienze naturali. Vol. XVII.
— Vol. XVIII. Fasc. I. II. Milano 1876. 8.
Atti della Società Toscana di scienze naturali.. Vol. I. Fasc.
3. Pisa 1876. 8.
Atti dell’ Accademia Gioenia di scienze naturali di Catania.
Serie terza. Tomo VI e IX, Catania 1870. 1874. 4.
Giornale di scienze naturali ed economiche. Parte I*: Scienze
naturali. Anno 1875. Vol. XI. Fasc. I—IV. Palermo
x 7
Jahres-Bericht der naturforschenden Gesellschaft Grau-
bündens. Neue Folge. XIX. Jahrg. 1874/75. Chur
1876. 8.
Verhandlungen der Schweizerischen naturforschenden Ge-
sellschaft in Andermatt den 12. 13. u. 14. Sept. 1875.
58. en Jahresber. 1874/75. Luzern
1876
Michel der naturforschenden Gesellschaft in Bern
s dem Jahre 1875. Ne 878—905. Bern 1876. 8.
a ea des naturforschenden Vereines in Brünn.
XIIL Band 1874. Brünn 1875. 8.
Katalog der Bibliothek des naturforschenden Vereines in
Brünn. Brünn. 1875. 8.
Jahresbericht 36, 37, 38, 39 und 40 des Mannheimer Ver-
eins für Naturkunde. Mannheim 1870— 76. 8.
Verhandlungen der physikal.-medicin. Gesellschaft in Würz-
burg. Neue Folge. IX. Bd. 1. u. 2. Heft. Würzburg
1876. 8.
Jahrbücher des Nassauischen deren für Naturkunde.
Jahrg. XXVII und XXVIII. Wiesbaden 1873—74. 8.
Bericht über die Senckenbergische naturforschende Ge-
sellschaft. 1874. 1875. Frankfurt a. M. 1876. 8.
Jahresberieht des Vereins für Pra i zu Zwickau.
1874. 1875. Zwickau 1875—76.
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